Dépeceur de Mons 2
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Re: Dépeceur de Mons 2
Mikagnx à écrit :
Je suis d'accord. J'ai sans doute été un peu trop brouillon.
Pour moi le jeu de piste je n'y crois pas trop. C'est un hasard. Dans l'entité, il y a un tas de rue ou sites avec des noms qui puissent être interprétés. C'est vrai oui, mais une trentaine de noms évocateurs sur combien de rues ? Mons comporte une superficie de 146,6 KM 2, ce n'est pas rien.
De plus, hors de cette quantité de rues aux noms évocateurs, disons une trentaine, il nous fait retirer celles ou se trouvent des habitations, car celles choisies par le ou les auteurs sont dépourvues d'habitations, et ce je le pense pour plus de discrétion.
St-symphorien on n'y trouve pas de tête.
Émile Vandervelde, 98 % des belges ignoraient qu'une loi portait son nom et en quoi elle consistait. D'ailleurs il faut savoir que ce pont en réalité portait ce nom.
C'est plus un fantasme habituel dans les affaires belges que je pourrais expliquer au besoin.
Selon moi, mais il ne s'agit que de ma vision des évènements, les dépôts au noms évocateurs ne débutent qu'après la découverte des sacs de la rue Emile V. avant cela il est clair qu'il n'a pas le soucis à ce que les corps soient découverts, sinon pourquoi utiliser à chaque fois le même emplacement ? Emplacement qui jusqu'alors ne révélait pas son/leur activité.
Pour être plus clair, je pense en effet qu'il était sous-pression ou moins beaucoup moins tranquille pour déposer ses sacs postérieurement au 22 mars 1997 (il s'est même débarrasser d'une tête ce jour-là C'est une variante).
Raison pour laquelle, je pense que ces lieux de dépôts sont aussi LES PLUS PROCHES du lieu de découpe où de stockage des corps. Il a déposé ces sacs dès que cela a été possible. Initialement, il est possible qu'il ait pensé au bois d'havré où au château d'havré. Sur le trajet, quelque chose a du lui faire perdre un peu de lucidité.
Pour moi ce jour-là, il n'a pas fait 10 km avec les sacs macabres dans son véhicule. Je ne le vois pas s'aventurer pendant 15 à 20 minutes de route avec les sacs. Et certainement pas pour venir jusque-là. Depuis Cuesmes il y avait bien d'autres endroits plus rapide d'accès.
Nous ne connaissons pas ses capacités, ni son mode de pensée.
Je remarque seulement que là ou deux, puis un seul individu, toujours le même, furent aperçus, les témoins n'ont pas reconnu un de leurs voisins.
Je remarques aussi que les lieux aux noms évocateurs et correspondant à ce qu'il affectionne ( Soit dépourvus d'habitations) ne '' courent pas les rues'' si je puis terminer par un jeu de mot lamentable.
En bleu pour plus de facilités de rédaction.
Cordialement,
JM
Re: Dépeceur de Mons 2
Kassandra à écrit :
Ce que je retiens, c'est le fait que le journaliste qui participait à la discussion s'est fait voler ses documents, touts les photos qu'il avait prises sur les scènes de crime, aux obsèques ...
Le dépeceur se trouvait peut-être sur l'un de ces clichés.
Salut Kassandra,
il s'agit, je crois, de l'enterrement de NG, les policiers ont surement du en prendre aussi.
Je ne sais pas si Carmelina Russo à eu droit à un enterrement, mais si tel est le cas il est possible que le ou les auteur(s) s'y trouvent, car je le pense, il existe un lien avec cette victime.
Cordialement,
JM
Re: Dépeceur de Mons 2
Merci JM pour les "nouveautés" sur l'affaire, j'ai d'autres chats plus importants à fouetter en ce moment, mais je te lis avec attention.
Le dépeceur est vraiment hors norme par son modus operandi, cette sombre affaire rentre dans mon top 3.
Je ne sais plus qui a évoqué le fait que le dépeceur veut débarrasser les rues des "personnes sales", je suis en désaccord sur cela, je pense personnellement que le but principal c'est le mobile sexuel et sadique de prendre plaisir avec les découpes, et non des découpes purement utilitaire.
Vu son intelligence certaine, il aurait pu faire disparaître les corps plus facilement, ici ce n'est pas le cas.
Il est plus que probable que ce type ait été mêlé aux badauds pendant les découvertes des sacs, les recherches, les marches blanches etc, ( ironie du sort une des victimes a disparue après la participation à une marche blanche.)
Autre point qui m'interpelle :
"c'est le fait que le journaliste qui participait à la discussion s'est fait voler ses documents, toutes les photos qu'il avait prises sur les scènes de crime, aux obsèques ... Le dépeceur se trouvait peut-être sur l'un de ces clichés."
Pourquoi les médias n'en parlent que trop rarement ?
Cela est l'œuvre d'un plaisantin probablement..ou pas!!
Le dépeceur est vraiment hors norme par son modus operandi, cette sombre affaire rentre dans mon top 3.
Je ne sais plus qui a évoqué le fait que le dépeceur veut débarrasser les rues des "personnes sales", je suis en désaccord sur cela, je pense personnellement que le but principal c'est le mobile sexuel et sadique de prendre plaisir avec les découpes, et non des découpes purement utilitaire.
Vu son intelligence certaine, il aurait pu faire disparaître les corps plus facilement, ici ce n'est pas le cas.
Il est plus que probable que ce type ait été mêlé aux badauds pendant les découvertes des sacs, les recherches, les marches blanches etc, ( ironie du sort une des victimes a disparue après la participation à une marche blanche.)
Autre point qui m'interpelle :
"c'est le fait que le journaliste qui participait à la discussion s'est fait voler ses documents, toutes les photos qu'il avait prises sur les scènes de crime, aux obsèques ... Le dépeceur se trouvait peut-être sur l'un de ces clichés."
Pourquoi les médias n'en parlent que trop rarement ?
Cela est l'œuvre d'un plaisantin probablement..ou pas!!
Invité- Invité
Re: Dépeceur de Mons 2
[quote="JM"][quote]Mikagnx à écrit :
Je suis d'accord. J'ai sans doute été un peu trop brouillon.
Pour moi le jeu de piste je n'y crois pas trop. C'est un hasard. Dans l'entité, il y a un tas de rue ou sites avec des noms qui puissent être interprétés. [color=#0000FF] C'est vrai oui, mais une trentaine de noms évocateurs sur combien de rues ? Mons comporte une superficie de 146,6 KM 2, ce n'est pas rien.
De plus, hors de cette quantité de rues aux noms évocateurs, disons une trentaine, il nous fait retirer celles ou se trouvent des habitations, car celles choisies par le ou les auteurs sont dépourvues d'habitations, et ce je le pense pour plus de discrétion.
N'ayant pas été publié je vais essayer de vous répondre plus clairement.
Oui, alors avec les moyens de l'époque, ce travail de sélection et de repérage renforce les faits que ces lieux lui sont familiers.
Ce n'est pas un étranger à l'entité ou un nouvel arrivant.
Ce n'est pas un itinérant.
Clairement il a son travail (ou une activité ponctuelle) et son lieu de vie dans le circuit tracé par ses déplacements (entre Cuesmes et la Rue des Capucins et la zone est/nord-est commune limitrophes comprises).
Je suis d'accord. J'ai sans doute été un peu trop brouillon.
Pour moi le jeu de piste je n'y crois pas trop. C'est un hasard. Dans l'entité, il y a un tas de rue ou sites avec des noms qui puissent être interprétés. [color=#0000FF] C'est vrai oui, mais une trentaine de noms évocateurs sur combien de rues ? Mons comporte une superficie de 146,6 KM 2, ce n'est pas rien.
De plus, hors de cette quantité de rues aux noms évocateurs, disons une trentaine, il nous fait retirer celles ou se trouvent des habitations, car celles choisies par le ou les auteurs sont dépourvues d'habitations, et ce je le pense pour plus de discrétion.
N'ayant pas été publié je vais essayer de vous répondre plus clairement.
Oui, alors avec les moyens de l'époque, ce travail de sélection et de repérage renforce les faits que ces lieux lui sont familiers.
Ce n'est pas un étranger à l'entité ou un nouvel arrivant.
Ce n'est pas un itinérant.
Clairement il a son travail (ou une activité ponctuelle) et son lieu de vie dans le circuit tracé par ses déplacements (entre Cuesmes et la Rue des Capucins et la zone est/nord-est commune limitrophes comprises).
Mikagnx
Re: Dépeceur de Mons 2
[quote="JM"][quote]Mikagnx à écrit :
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Selon moi, mais il ne s'agit que de ma vision des évènements, les dépôts au noms évocateurs ne débutent qu'après la découverte des sacs de la rue Emile V. avant cela il est clair qu'il n'a pas le soucis à ce que les corps soient découverts, sinon pourquoi utiliser à chaque fois le même emplacement ? Emplacement qui jusqu'alors ne révélait pas son/leur activité.
Je ne pense pas que Vandervelde était son seul et unique choix. Initialement, il abandonnait des parties de corps dans les cours d'eau. Il faut rappeler que le tronc de Martine fut retrouvé le 25 juillet 1996 au quai des otages 4 jours après sa disparition soit un peu en aval de l'avenue des bassins/chemin de l'inquiétude qui surplombe la haine. Je maintiens qu'il connaissait tout ces lieux comme un circuit frequent
.
Nous ne connaissons pas ses capacités, ni son mode de pensée.
Je remarque seulement que là ou deux, puis un seul individu, toujours le même, furent aperçus, les témoins n'ont pas reconnu un de leurs voisins.
Je remarques aussi que les lieux aux noms évocateurs et correspondant à ce qu'il affectionne ( Soit dépourvus d'habitations) ne '' courent pas les rues'' si je puis terminer par un jeu de mot lamentable.
je ne disais pas qu'il a déposé les sacs dans sa rue. Je ne dis pas qu'il vivait au même endroit depuis 20 ans. Par contre, dans l'entité il y a vécu un certain temps. Ce qui n'exclut pas qu'il ait déménagé. Mais ces dépôts transpirent le circuit familier.
Quant aux signalements du ou des individus, j'ai lu dans le Forum avant. Mais je suis très intéressé par la vision du groupe de discussion sur la question ? Cette histoire dembarras de circulation et de camionnette blanche me fait plutôt penser à des ferrailleurs qui scruptent les dépôts clandestins pour emporter la ferraille mais pour moi ces signalements sont sortis plutôt récemment
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Selon moi, mais il ne s'agit que de ma vision des évènements, les dépôts au noms évocateurs ne débutent qu'après la découverte des sacs de la rue Emile V. avant cela il est clair qu'il n'a pas le soucis à ce que les corps soient découverts, sinon pourquoi utiliser à chaque fois le même emplacement ? Emplacement qui jusqu'alors ne révélait pas son/leur activité.
Je ne pense pas que Vandervelde était son seul et unique choix. Initialement, il abandonnait des parties de corps dans les cours d'eau. Il faut rappeler que le tronc de Martine fut retrouvé le 25 juillet 1996 au quai des otages 4 jours après sa disparition soit un peu en aval de l'avenue des bassins/chemin de l'inquiétude qui surplombe la haine. Je maintiens qu'il connaissait tout ces lieux comme un circuit frequent
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Nous ne connaissons pas ses capacités, ni son mode de pensée.
Je remarque seulement que là ou deux, puis un seul individu, toujours le même, furent aperçus, les témoins n'ont pas reconnu un de leurs voisins.
Je remarques aussi que les lieux aux noms évocateurs et correspondant à ce qu'il affectionne ( Soit dépourvus d'habitations) ne '' courent pas les rues'' si je puis terminer par un jeu de mot lamentable.
je ne disais pas qu'il a déposé les sacs dans sa rue. Je ne dis pas qu'il vivait au même endroit depuis 20 ans. Par contre, dans l'entité il y a vécu un certain temps. Ce qui n'exclut pas qu'il ait déménagé. Mais ces dépôts transpirent le circuit familier.
Quant aux signalements du ou des individus, j'ai lu dans le Forum avant. Mais je suis très intéressé par la vision du groupe de discussion sur la question ? Cette histoire dembarras de circulation et de camionnette blanche me fait plutôt penser à des ferrailleurs qui scruptent les dépôts clandestins pour emporter la ferraille mais pour moi ces signalements sont sortis plutôt récemment
Mikagnx
Re: Dépeceur de Mons 2
Mikagnx à écrit :
Je ne pense pas que Vandervelde était son seul et unique choix. Initialement, il abandonnait des parties de corps dans les cours d'eau. Il faut rappeler que le tronc de Martine fut retrouvé le 25 juillet 1996 au quai des otages 4 jours après sa disparition soit un peu en aval de l'avenue des bassins/chemin de l'inquiétude qui surplombe la haine.
Bonsoir Mikagnx,
quand il fonctionnait naturellement, c'est à dire avant que ses actes ne soient connus, je crois qu'il se débarrassait des troncs dans la rivière, et des membres à la rue Emile V. Je prends l'exemple cité, Martine B. dont le torse fut retrouvé dans la rivière et les membres rue Emile V. ( exception faite de Carmelina Russo dont les membres ne furent jamais retrouvés et dont il prit la peine de découper le torse en deux.).
Mikagnx à écrit :
Clairement il a son travail (ou une activité ponctuelle) et son lieu de vie dans le circuit tracé par ses déplacements (entre Cuesmes et la Rue des Capucins et la zone est/nord-est commune limitrophes comprises).
Si l'on accepte l'idée qu'après avoir vu ses actes dévoilés dans les médias, il ait délibérément choisi de déposer les sacs en des lieux aux noms évocateurs, il est à rechercher de l'autre coté de la carte de Mons et environs, si dans des endroits tranquilles, donc dépourvus d'habitations, il existe des rues possédant un nom évocateur.
Connaissez vous Mikagnx, des rues aux nom évocateur en des endroits favorables au dépôts tranquille comme la rue St Symphorien ou celle du dépôt ?
Autrement nous ne pouvons que penser qu'il les à déposés là ou les noms existaient.
Pour plusieurs raisons précitées, je pense qu'il connaissait Carmelina Russo, sa première victime. Nous savons qu'à l'heure ou l'on perd sa trace, son intention était de rentrer chez elle, et qu'elle était sans véhicule, il se peut donc qu'il l'ait prise à son bord, forcément pour la raccompagner, puisqu'elle devait se trouver chez elle pour attendre le coup de téléphone de son fils détenu.
Généralement, les gens qui montent dans des véhicules et ceux qui les dépannent ont en commun qu'ils vont dans une même direction. Il est donc possible que l'un ou les auteurs à de bonnes raisons de se diriger sur le haut de la carte, le domaine d'Epinlieu, là ou se rendait CR.....Entre les deux, nous trouvons l'ensemble des rues dont vous parlez.
Le jour et l'heure de disparition, soit un Jeudi 18H, peuvent aussi correspondent à l'horaire d'un individu qui rentre chez lui après une journée de travail. La première, est, contrairement aux suivantes, enlevée un jour de semaine.
Cordialement,
JM
Re: Dépeceur de Mons 2
[
Bonsoir Mikagnx,
quand il fonctionnait naturellement, c'est à dire avant que ses actes ne soient connus, je crois qu'il se débarrassait des troncs dans la rivière, et des membres à la rue Emile V. Je prends l'exemple cité, Martine B. dont le torse fut retrouvé dans la rivière et les membres rue Emile V. ( exception faite de Carmelina Russo dont les membres ne furent jamais retrouvés et dont il prit la peine de découper le torse en deux.).
bonjour JM
Certainement. Mais pour moi les 3 "nouveaux lieux" (à supposer que d'autres sacs n'aient pas été emportés par les éboueurs ce qui est probable) sont les 2 de Havré et le chemin de Bethleem à Hyon. Les autres faisaient parties de sa routine.
Toujours selon moi, les membres déposés sur les nouveaux lieux sont aussi ceux qui ont parcourus le moins de km post mortem (et si ce n'est pas le cas, pour moi ces lieux lui étaient familiers bien avant qu'ils cherchent des endroits pour déposer ses sacs surtout qu'à ce moment là la Police comme la population étaient sur le qui-vive). On ne connaît pas ses capacités certes, mais à l'époque malgré les manques d'effectifs je me souviens que des dispositifs visibles et non-visibles furent déployés. Le DDM est provocateur sans doute mais apparemment intelligent et certainement très prudent./b]
[/quote]
Si l'on accepte l'idée qu'après avoir vu ses actes dévoilés dans les médias, il ait délibérément choisi de déposer les sacs en des lieux aux noms évocateurs, il est à rechercher de l'autre coté de la carte de Mons et environs, si dans des endroits tranquilles, donc dépourvus d'habitations, il existe des rues possédant un nom évocateur.
Connaissez vous Mikagnx, des rues aux nom évocateur en des endroits favorables au dépôts tranquille comme la rue St Symphorien ou celle du dépôt ?
Autrement nous ne pouvons que penser qu'il les à déposés là ou les noms existaient.
Pour plusieurs raisons précitées, je pense qu'il connaissait Carmelina Russo, sa première victime. Nous savons qu'à l'heure ou l'on perd sa trace, son intention était de rentrer chez elle, et qu'elle était sans véhicule, il se peut donc qu'il l'ait prise à son bord, forcément pour la raccompagner, puisqu'elle devait se trouver chez elle pour attendre le coup de téléphone de son fils détenu.
Généralement, les gens qui montent dans des véhicules et ceux qui les dépannent ont en commun qu'ils vont dans une même direction. Il est donc possible que l'un ou les auteurs à de bonnes raisons de se diriger sur le haut de la carte, le domaine d'Epinlieu, là ou se rendait CR.....Entre les deux, nous trouvons l'ensemble des rues dont vous parlez.
Le jour et l'heure de disparition, soit un Jeudi 18H, peuvent aussi correspondent à l'horaire d'un individu qui rentre chez lui après une journée de travail. La première, est, contrairement aux suivantes, enlevée un jour de semaine.
Écoutez, concernant la situation géographique du DDM (je pense au sens large découpe/stockage), je le pense
depuis un certain temps. Sur base de ce qui a pu filtrer du dossier depuis lors, je ne vois pas comment il peut en être autrement.
Et pour Carmelina je pense également qu'un lien generationnel ou géographique puisse en effet exister. Ce n'est pas un automatisme mais dans une certaine proportion de crime en série, le lien avec l'auteur (parfois très mince) existe avec la première victime. Quoi qu'on a, à tort, dépeint un peu trop les victimes comme à la derive et sans attache, il me semble que Carmelina avait des gens qui dépendaient d'elles pour vivre. Il me semble qu'elle s'occupait de ses parents âgés du côté d'Epinlieu et s'occupait visiblement de son fils incarcéré. En réalité, on dépeint une dame plutôt active et pas particulièrement en marge de la société.
Bonsoir Mikagnx,
quand il fonctionnait naturellement, c'est à dire avant que ses actes ne soient connus, je crois qu'il se débarrassait des troncs dans la rivière, et des membres à la rue Emile V. Je prends l'exemple cité, Martine B. dont le torse fut retrouvé dans la rivière et les membres rue Emile V. ( exception faite de Carmelina Russo dont les membres ne furent jamais retrouvés et dont il prit la peine de découper le torse en deux.).
bonjour JM
Certainement. Mais pour moi les 3 "nouveaux lieux" (à supposer que d'autres sacs n'aient pas été emportés par les éboueurs ce qui est probable) sont les 2 de Havré et le chemin de Bethleem à Hyon. Les autres faisaient parties de sa routine.
Toujours selon moi, les membres déposés sur les nouveaux lieux sont aussi ceux qui ont parcourus le moins de km post mortem (et si ce n'est pas le cas, pour moi ces lieux lui étaient familiers bien avant qu'ils cherchent des endroits pour déposer ses sacs surtout qu'à ce moment là la Police comme la population étaient sur le qui-vive). On ne connaît pas ses capacités certes, mais à l'époque malgré les manques d'effectifs je me souviens que des dispositifs visibles et non-visibles furent déployés. Le DDM est provocateur sans doute mais apparemment intelligent et certainement très prudent./b]
[/quote]
Si l'on accepte l'idée qu'après avoir vu ses actes dévoilés dans les médias, il ait délibérément choisi de déposer les sacs en des lieux aux noms évocateurs, il est à rechercher de l'autre coté de la carte de Mons et environs, si dans des endroits tranquilles, donc dépourvus d'habitations, il existe des rues possédant un nom évocateur.
Connaissez vous Mikagnx, des rues aux nom évocateur en des endroits favorables au dépôts tranquille comme la rue St Symphorien ou celle du dépôt ?
Autrement nous ne pouvons que penser qu'il les à déposés là ou les noms existaient.
Pour plusieurs raisons précitées, je pense qu'il connaissait Carmelina Russo, sa première victime. Nous savons qu'à l'heure ou l'on perd sa trace, son intention était de rentrer chez elle, et qu'elle était sans véhicule, il se peut donc qu'il l'ait prise à son bord, forcément pour la raccompagner, puisqu'elle devait se trouver chez elle pour attendre le coup de téléphone de son fils détenu.
Généralement, les gens qui montent dans des véhicules et ceux qui les dépannent ont en commun qu'ils vont dans une même direction. Il est donc possible que l'un ou les auteurs à de bonnes raisons de se diriger sur le haut de la carte, le domaine d'Epinlieu, là ou se rendait CR.....Entre les deux, nous trouvons l'ensemble des rues dont vous parlez.
Le jour et l'heure de disparition, soit un Jeudi 18H, peuvent aussi correspondent à l'horaire d'un individu qui rentre chez lui après une journée de travail. La première, est, contrairement aux suivantes, enlevée un jour de semaine.
Écoutez, concernant la situation géographique du DDM (je pense au sens large découpe/stockage), je le pense
depuis un certain temps. Sur base de ce qui a pu filtrer du dossier depuis lors, je ne vois pas comment il peut en être autrement.
Et pour Carmelina je pense également qu'un lien generationnel ou géographique puisse en effet exister. Ce n'est pas un automatisme mais dans une certaine proportion de crime en série, le lien avec l'auteur (parfois très mince) existe avec la première victime. Quoi qu'on a, à tort, dépeint un peu trop les victimes comme à la derive et sans attache, il me semble que Carmelina avait des gens qui dépendaient d'elles pour vivre. Il me semble qu'elle s'occupait de ses parents âgés du côté d'Epinlieu et s'occupait visiblement de son fils incarcéré. En réalité, on dépeint une dame plutôt active et pas particulièrement en marge de la société.
Mikagnx
Re: Dépeceur de Mons 2
Tristan à écrit :
Autre point qui m'interpelle :
"c'est le fait que le journaliste qui participait à la discussion s'est fait voler ses documents, toutes les photos qu'il avait prises sur les scènes de crime, aux obsèques ... Le dépeceur se trouvait peut-être sur l'un de ces clichés."
Pourquoi les médias n'en parlent que trop rarement ?
Cela est l'œuvre d'un plaisantin probablement..ou pas!!
Salut Tristan,
on peut se demander ce qu'aurait pu craindre le dépeceur ? Que sa tête ne ressemble un peu trop près aux PR ? En ce cas, pourquoi s'y rendre, puisque leur parution s'est faite précédemment, et que tous savaient que cet enterrement serait couvert par la presse ? Une obligation ?
La bonne question est de savoir ce que pourrait craindre ce ou ces individu(s) au travers des clichés ?
Il est à remarquer que si le voleur n'a prit que ce qui est relatif au dossier du dépeceur, c'est que ce vol était ciblé et donc qu'il savait ou chercher ( Par exemple, le journaliste, il les gardes ou ses dossiers, chez lui ou à son travail ? C'est dans quel bureau ? Ou dans quel armoire ?), il faut de la connaissance, de la proximité, pour réaliser ca.
Je ne sais pas
Cordialement,
JM
Re: Dépeceur de Mons 2
JM a écrit:Tristan à écrit :
Autre point qui m'interpelle :
"c'est le fait que le journaliste qui participait à la discussion s'est fait voler ses documents, toutes les photos qu'il avait prises sur les scènes de crime, aux obsèques ... Le dépeceur se trouvait peut-être sur l'un de ces clichés."
Pourquoi les médias n'en parlent que trop rarement ?
Cela est l'œuvre d'un plaisantin probablement..ou pas!!
Salut Tristan,
on peut se demander ce qu'aurait pu craindre le dépeceur ? Que sa tête ne ressemble un peu trop près aux PR ? En ce cas, pourquoi s'y rendre, puisque leur parution s'est faite précédemment, et que tous savaient que cet enterrement serait couvert par la presse ? Une obligation ?
La bonne question est de savoir ce que pourrait craindre ce ou ces individu(s) au travers des clichés ?
Il est à remarquer que si le voleur n'a prit que ce qui est relatif au dossier du dépeceur, c'est que ce vol était ciblé et donc qu'il savait ou chercher ( Par exemple, le journaliste, il les gardes ou ses dossiers, chez lui ou à son travail ? C'est dans quel bureau ? Ou dans quel armoire ?), il faut de la connaissance, de la proximité, pour réaliser ca.
Je ne sais pas
Cordialement,
Je pense qu'il avait laissé les clichés sur son bureau durant ses vacances.
Peut-être aussi un collègue qui a voulu détenir le scoop éventuel ou bien saboter son travail par jalousie.
Mikagnx
Re: Dépeceur de Mons 2
En parlant de Carmelina, il y a un fait que je ne suis jamais parvenu à m'expliquer malgré l'explication des enquêteurs (bon explication qui arrive plus d'un an après vu le malheureux qui proquo au moment de l'identification).
Carmelina disparaît le 4 janvier 1996 et son bassin est retrouvé le 21 janvier 1996 à Château l'abbaye.
À supposer que le bassin ait été jeté à l'eau le jour même soit le 4 janvier et qu'au moment où il est retrouvé le 21 janvier il vient juste de s'échouer le jour même (ce qui est relativement peu probable). Cela nous fait maximum 17 jours.
À vol d'oiseau le point le plus proche de l'entité montoise (sachant que la distance par voies navigables est objectivement supérieure) par rapport à Château l'abbaye est de 32 km.
Dès lors, en minimisant au delà du raisonnable la distance et en utilisant le maximum de l'horizon temporel entre disparition et localisation du Bassin, ce Bassin à donc du deriver de minimum 1,89 km par jour. Dans les faits vu la distance on peut même sans prendre de risques arrondir à 2 km par jour. Donc un bassin humain, normalement encore constitué de chairs et d'après les observations emballé dans un sac plastique, a donc dérivé d'environ 2 km par jour dans un cours d'eau tortueux et aux profondeurs inégales ? Dans les faits, successivement 3 ou 4 cours d'eau : Haine, Canal, Escaut ou bien Trouille, Haine, Canal, Escaut.
Sans savoir dans quel état était le sac plastique : en lambeaux ou intact ? Bon, même avec de fortes précipitations en continu durant cette période, c'est assez interpellant.
Carmelina disparaît le 4 janvier 1996 et son bassin est retrouvé le 21 janvier 1996 à Château l'abbaye.
À supposer que le bassin ait été jeté à l'eau le jour même soit le 4 janvier et qu'au moment où il est retrouvé le 21 janvier il vient juste de s'échouer le jour même (ce qui est relativement peu probable). Cela nous fait maximum 17 jours.
À vol d'oiseau le point le plus proche de l'entité montoise (sachant que la distance par voies navigables est objectivement supérieure) par rapport à Château l'abbaye est de 32 km.
Dès lors, en minimisant au delà du raisonnable la distance et en utilisant le maximum de l'horizon temporel entre disparition et localisation du Bassin, ce Bassin à donc du deriver de minimum 1,89 km par jour. Dans les faits vu la distance on peut même sans prendre de risques arrondir à 2 km par jour. Donc un bassin humain, normalement encore constitué de chairs et d'après les observations emballé dans un sac plastique, a donc dérivé d'environ 2 km par jour dans un cours d'eau tortueux et aux profondeurs inégales ? Dans les faits, successivement 3 ou 4 cours d'eau : Haine, Canal, Escaut ou bien Trouille, Haine, Canal, Escaut.
Sans savoir dans quel état était le sac plastique : en lambeaux ou intact ? Bon, même avec de fortes précipitations en continu durant cette période, c'est assez interpellant.
Mikagnx
Re: Dépeceur de Mons 2
Bonjour Mikagnx,
je crois que vous voulez dire qu'il est bien possible que le bassin ait été jeté plus bas dans le cours de l'Haine. Ce qui, je pense, irait conforter mon idée dans le fait que le ou les auteur(s) a prit plus de soin à dissimuler le corps de CR....Car il est vrai que son torse, contrairement aux autres, fut scié en deux et que ses membres ne furent jamais retrouvés.
Puisque nous savons que :
1) Au travers du sort réservé à la dépouille de Martine B. qu'il se débarrasse du tronc dans la rivière et des membres en bord de route.
2) Que lorsque qu'une cachette de dépôt fonctionne, donc n'est pas découverte ( Comme la rue Emile V qu'il utilisera à plusieurs reprises.), le dépeceur continue à s'en servir.
Je me pose cette question:
Puisque l'endroit ou il s'est débarrassé de membres de CR, s'est avéré être un bon endroit de dépôt, puisque jamais découverts...Pourquoi a t il changé de lieu pour les suivantes ? Quelle en est la raison ?
Cordialement,
JM
Re: Dépeceur de Mons 2
JM a écrit:
Bonjour Mikagnx,
je crois que vous voulez dire qu'il est bien possible que le bassin ait été jeté plus bas dans le cours de l'Haine. Ce qui, je pense, irait conforter mon idée dans le fait que le ou les auteur(s) a prit plus de soin à dissimuler le corps de CR....Car il est vrai que son torse, contrairement aux autres, fut scié en deux et que ses membres ne furent jamais retrouvés.
Puisque nous savons que :
1) Au travers du sort réservé à la dépouille de Martine B. qu'il se débarrasse du tronc dans la rivière et des membres en bord de route.
2) Que lorsque qu'une cachette de dépôt fonctionne, donc n'est pas découverte ( Comme la rue Emile V qu'il utilisera à plusieurs reprises.), le dépeceur continue à s'en servir.
Je me pose cette question:
Puisque l'endroit ou il s'est débarrassé de membres de CR, s'est avéré être un bon endroit de dépôt, puisque jamais découverts...Pourquoi a t il changé de lieu pour les suivantes ? Quelle en est la raison ?
Cordialement,
Bonjour JM,
Naturellement je ne me base que sur ce qui a pu être relaté. J'ignore egalement dans quel état était le sac plastique.
Mais, au vu de la physionomie du cours d'eau en plusieurs endroit jusque là, je me demande dans quelle mesure la thèse selon laquelle le Bassin de CR ait été jeté directement à cet endroit ou dans un rayon très proche est à exclure ?
Objectivement, le temps que le bassin soit aperçu, il n'a pas dérivé de plus d'un ou 2 km selon moi (s'il a vraiment dérivé).
Je me pose cette question:
Puisque l'endroit ou il s'est débarrassé de membres de CR, s'est avéré être un bon endroit de dépôt, puisque jamais découverts...Pourquoi a t il changé de lieu pour les suivantes ? Quelle en est la raison ?
Je l'ignore.
Il semble qu'il ait été le plus loin pour abandonner les membres de cette victime. Qu'il ait caché le plus. Qu'il ait dépecer avec le plus de détail (le torse comme vous dites). C'est aussi entre CR et Martine qu'il semble y avoir le plus d'espace temporel (janvier-juillet).
Y'a t'il eu un changement dans sa vie qui fait qu'il ait du changer ses habitudes ? S'est il adapté par la suite à une difficulté rencontrée ?
Mikagnx
Re: Dépeceur de Mons 2
Mikagnx à écrit :
Naturellement je ne me base que sur ce qui a pu être relaté. J'ignore egalement dans quel état était le sac plastique.
Mais, au vu de la physionomie du cours d'eau en plusieurs endroit jusque là, je me demande dans quelle mesure la thèse selon laquelle le Bassin de CR ait été jeté directement à cet endroit ou dans un rayon très proche est à exclure ?
Objectivement, le temps que le bassin soit aperçu, il n'a pas dérivé de plus d'un ou 2 km selon moi (s'il a vraiment dérivé).
Bonjour Mikagnx,
cette réflexion est un excellent apport, je ne crois plus que le (ou les auteurs), s'est débarrassé du bassin de CR aux abords de Mons.
La vitesse de l'eau :'' La vitesse moyenne de l'eau est de 0,4 m/s x 0,85 (coefficient de correction) = 0,34 m/s.'' , Source : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Sans oublier que l'eau, comme vous l'avez remarqué, n'est pas soumise aux ralentissements dus aux sinuosité et obstacles, contrairement au sac plastique dérivant.
Mikagnx à écrit :
Y'a t'il eu un changement dans sa vie qui fait qu'il ait du changer ses habitudes ? S'est il adapté par la suite à une difficulté rencontrée ?
Les difficultés rencontrées pourraient être de l'ordre du temps, ou des moyens ( Essence pour se déplacer plus loin), mais je ne pense pas qu'il s'agisse de cela, ce genre de tueur se donne toujours les moyens d'assouvir les pulsions violentes qui sont les leurs.
En ce qui concerne le sciage du tronc qui ne s'est pas répété, El gringo à émit l'idée que le DDM aurait pu trouver cette action difficile au vu des muscles puissants se trouvant au niveau du ventre. Je pense qu'il en est des muscles bien plus puissants que ceux là, dont les muscles ischio-jambiers ( muscles postérieurs de la cuisse), les biceps, le muscle soléaire ( muscle du mollet ), que le DDM continue pourtant de scier.
Je remarque que pour le tronc de la deuxième victime, Martine B. l'auteur n'a plus prit le soin d'emballer le tronc dans un sac plastique, tout du moins, aucun article n'en parle.
Je remarque aussi que lorsqu'il dépose le tronc de NG en bord de la Haine, rue des bassins, cela constitue pour les enquêteurs, un rappel pour le tronc de NB. qui y fit découvert auparavant.
Rappel qui ne fut pas fait pour Carmelina R. et ce, malgré la fierté qu'éprouve le DDM pour ses actions.
On pourrait penser que le DDM s'est arrêté après Bégonia V. mais son arrêt pourrait tout aussi bien correspondre au moment ou Carmelina R. fut rajouté à sa liste des victimes.
Je pense que l'auteur à mit de la distance, et du soin, à ce que ne soit pas découvert le corps de Carmelina R. parce qu'il la connaissait et que ce lien constituait pour lui un danger. Mais ce n'est qu'un avis tout personnel.
Cordialement,
JM
Re: Dépeceur de Mons 2
El gringo à écrit :
Hello JM,
Je pense que tous les articles ont été posté précédemment par Kassandra. Ils seront publiés à nouveau, si nécessaire.
Bien à vous,
Bonjour Kassandra,
à l'occasion, pourrais tu poster cet article STP :
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Cet article évoque les nœuds des sacs poubelles, Morgan Vanlerberghe est le seul à s'y intéresser.
Cordialement,
JM
Re: Dépeceur de Mons 2
Bonjour Mikagnx,
cette réflexion est un excellent apport, je ne crois plus que le (ou les auteurs), s'est débarrassé du bassin de CR aux abords de Mons.
La vitesse de l'eau :'' La vitesse moyenne de l'eau est de 0,4 m/s x 0,85 (coefficient de correction) = 0,34 m/s.'' , Source : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Sans oublier que l'eau, comme vous l'avez remarqué, n'est pas soumise aux ralentissements dus aux sinuosité et obstacles, contrairement au sac plastique dérivant.
Les difficultés rencontrées pourraient être de l'ordre du temps, ou des moyens ( Essence pour se déplacer plus loin), mais je ne pense pas qu'il s'agisse de cela, ce genre de tueur se donne toujours les moyens d'assouvir les pulsions violentes qui sont les leurs.
En ce qui concerne le sciage du tronc qui ne s'est pas répété, El gringo à émit l'idée que le DDM aurait pu trouver cette action difficile au vu des muscles puissants se trouvant au niveau du ventre. Je pense qu'il en est des muscles bien plus puissants que ceux là, dont les muscles ischio-jambiers ( muscles postérieurs de la cuisse), les biceps, le muscle soléaire ( muscle du mollet ), que le DDM continue pourtant de scier.
Je remarque que pour le tronc de la deuxième victime, Martine B. l'auteur n'a plus prit le soin d'emballer le tronc dans un sac plastique, tout du moins, aucun article n'en parle.
Je remarque aussi que lorsqu'il dépose le tronc de NG en bord de la Haine, rue des bassins, cela constitue pour les enquêteurs, un rappel pour le tronc de NB. qui y fit découvert auparavant.
Rappel qui ne fut pas fait pour Carmelina R. et ce, malgré la fierté qu'éprouve le DDM pour ses actions.
On pourrait penser que le DDM s'est arrêté après Bégonia V. mais son arrêt pourrait tout aussi bien correspondre au moment ou Carmelina R. fut rajouté à sa liste des victimes.
Je pense que l'auteur à mit de la distance, et du soin, à ce que ne soit pas découvert le corps de Carmelina R. parce qu'il la connaissait et que ce lien constituait pour lui un danger. Mais ce n'est qu'un avis tout personnel.
Cordialement,[/quote]
Bonjour JM,
Merci.
Surtout que les gendarmes français (dans l'émission rtbf) disent que le niveau de l'eau au moment de la découverte était encore plus bas qu'au moment de l'émission. On a donc encore moins de courant.
Dès lors, je ne comprends pas comment les enquêteurs ont validé la thèse d'une dérivation de cette partie du corps sur plus de 30 km ?
Mais alors ? Quels enseignements pouvons-nous tirer ? Ses déplacements ? A t'il franchi la frontière depuis le sud de Mons et donc parcouru une grande distance par le nord de la France ? Ou alors a-t-il parcouru la plus grande distance par la Belgique et juste traversé la frontière ? Difficile de trancher.
Par ailleurs, on dirait qu'il a arrêté l'eau.
1) Carmelina dans un plastique.
2) Martine sans plastique (peut-être pensant qu'il y aurait décomposition dans l'eau ? ).
Du moins pour les Troncs. Il me semble qu'à Havré il y a encore eut un sac dans l'eau.
Un lien avec Carmelina ? Tout semble aller dans ce sens comme vous le développez. C'est aussi la victime avec le lieux de vie le plus au nord de Mons.
cette réflexion est un excellent apport, je ne crois plus que le (ou les auteurs), s'est débarrassé du bassin de CR aux abords de Mons.
La vitesse de l'eau :'' La vitesse moyenne de l'eau est de 0,4 m/s x 0,85 (coefficient de correction) = 0,34 m/s.'' , Source : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Sans oublier que l'eau, comme vous l'avez remarqué, n'est pas soumise aux ralentissements dus aux sinuosité et obstacles, contrairement au sac plastique dérivant.
Mikagnx à écrit :
Y'a t'il eu un changement dans sa vie qui fait qu'il ait du changer ses habitudes ? S'est il adapté par la suite à une difficulté rencontrée ?
Les difficultés rencontrées pourraient être de l'ordre du temps, ou des moyens ( Essence pour se déplacer plus loin), mais je ne pense pas qu'il s'agisse de cela, ce genre de tueur se donne toujours les moyens d'assouvir les pulsions violentes qui sont les leurs.
En ce qui concerne le sciage du tronc qui ne s'est pas répété, El gringo à émit l'idée que le DDM aurait pu trouver cette action difficile au vu des muscles puissants se trouvant au niveau du ventre. Je pense qu'il en est des muscles bien plus puissants que ceux là, dont les muscles ischio-jambiers ( muscles postérieurs de la cuisse), les biceps, le muscle soléaire ( muscle du mollet ), que le DDM continue pourtant de scier.
Je remarque que pour le tronc de la deuxième victime, Martine B. l'auteur n'a plus prit le soin d'emballer le tronc dans un sac plastique, tout du moins, aucun article n'en parle.
Je remarque aussi que lorsqu'il dépose le tronc de NG en bord de la Haine, rue des bassins, cela constitue pour les enquêteurs, un rappel pour le tronc de NB. qui y fit découvert auparavant.
Rappel qui ne fut pas fait pour Carmelina R. et ce, malgré la fierté qu'éprouve le DDM pour ses actions.
On pourrait penser que le DDM s'est arrêté après Bégonia V. mais son arrêt pourrait tout aussi bien correspondre au moment ou Carmelina R. fut rajouté à sa liste des victimes.
Je pense que l'auteur à mit de la distance, et du soin, à ce que ne soit pas découvert le corps de Carmelina R. parce qu'il la connaissait et que ce lien constituait pour lui un danger. Mais ce n'est qu'un avis tout personnel.
Cordialement,[/quote]
Bonjour JM,
Merci.
Surtout que les gendarmes français (dans l'émission rtbf) disent que le niveau de l'eau au moment de la découverte était encore plus bas qu'au moment de l'émission. On a donc encore moins de courant.
Dès lors, je ne comprends pas comment les enquêteurs ont validé la thèse d'une dérivation de cette partie du corps sur plus de 30 km ?
Mais alors ? Quels enseignements pouvons-nous tirer ? Ses déplacements ? A t'il franchi la frontière depuis le sud de Mons et donc parcouru une grande distance par le nord de la France ? Ou alors a-t-il parcouru la plus grande distance par la Belgique et juste traversé la frontière ? Difficile de trancher.
Par ailleurs, on dirait qu'il a arrêté l'eau.
1) Carmelina dans un plastique.
2) Martine sans plastique (peut-être pensant qu'il y aurait décomposition dans l'eau ? ).
Du moins pour les Troncs. Il me semble qu'à Havré il y a encore eut un sac dans l'eau.
Un lien avec Carmelina ? Tout semble aller dans ce sens comme vous le développez. C'est aussi la victime avec le lieux de vie le plus au nord de Mons.
Mikagnx
Re: Dépeceur de Mons 2
JM a écrit:El gringo à écrit :
Hello JM,
Je pense que tous les articles ont été posté précédemment par Kassandra. Ils seront publiés à nouveau, si nécessaire.
Bien à vous,
Bonjour Kassandra,
à l'occasion, pourrais tu poster cet article STP :
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Cet article évoque les nœuds des sacs poubelles, Morgan Vanlerberghe est le seul à s'y intéresser.
Cordialement,
Bonjour JM,
Voilà:
Fasciné par le dépeceur de Mons
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Quelle mouche a piqué Morgan Vanlerberghe, ce citoyen liégeois de 32 ans, pour qu’il se passionne à cette enquête montoise vieille de vingt années, et non résolue à ce jour ? Morgan n’est pas un farfelu. Juste un jeune qui a côtoyé l’enquête à sa manière, à ses douze ans. Et qui sait communiquer sa passion !
« Je suis passionné par l’histoire du dépeceur de Mons. Je consacre une partie de mon temps libre à éplucher l’enquête, et j’aime m’informer, dans les moindres détails, »explique Morgan Vanlerberghe, 32 ans. « Je me souviens que mon père, qui travaillait dans une entreprise verrière, me racontait le soir, à son retour à la maison, qu’il avait subi une déviation à Cuesmes, à cause de l’enquête judiciaire sur le dépeceur de Mons. Moi, à mon tour, je suivais les informations au journal télévisé... J’avoue que très jeune, je me suis passionné pour les enquêtes relatives aux tueurs en série. Au moment de choisir des études, j’ai hésité entre la crimino, la psycho et le secteur automobile. Aujourd’hui, je travaille à la sécurité des pistes, sur le circuit automobile de Francorchamps. » Rien à voir avec la criminologie.
Mais Morgan bouquine, s’informe sur plusieurs enquêtes sur des tueurs en série. « Voilà un an, je me suis dit qu’on approchait du 20è anniversaire de cette enquête irrésolue. J’ai eu l’idée de me pencher plus avant sur cette enquête de Mons, qui avait un peu bercé mon adolescence. J’ai récolté des informations sur Google. Je possède toute une panoplie de coupures de presse numérisées ! Et je m’intéresse à cette enquête… du moins ce qu’il est possible d’en connaître en tant que simple citoyen… »
Appel à témoins
Sa motivation est humaine aussi. « Je pense à ces cinq femmes. Elles étaient seules, elles ont erré dans ce quartier de la gare, peut-être à la recherche de quelqu’un à qui parler… Après tout, elles n’ont rien demandé, et certainement pas de tomber entre les griffes d’un tueur en série dont on ne sait même pas comment il les a éliminées ! Humainement, cela aussi me motive. »
Et si quelque part dans Mons, quelqu’un savait quelque chose ?
Un secret, jamais partagé avec une autorité judiciaire… mais que son détenteur serait peut-être enclin, vingt ans après, à confier à un citoyen lambda. Par notre démarche, par notre entretien que nous diffusons, nous invitons le moindre témoin du moindre détail qui pourrait avoir son importance, à contacter notre interlocuteur. Peut-être rêvons-nous. Mais la mémoire des victimes le vaut peut-être bien, après tout.
G. M.
Contact : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. 0477/20 34 29.
«Je me mets à la place du tueur»
Des infos, il en possède ! Et il les connaît. Dans son classeur rouge, où il rassemble toutes ses infos, il nous montre cinq schémas corporels anonymes, intitulés chacun du nom d’une victime du dépeceur de Mons. Il a entouré les parties corporelles respectives qui ont été retrouvées. Ce n’est qu’un exemple de son apprentissage du dossier. « Tout d’abord, j’ai lu sur ce dossier, j’ai regardé les séquences télévisées de l’époque que j’ai pu me procurer par Internet. Je suis venu découvrir la géographie montoise de l’enquête, je me suis imprégné des lieux des découvertes des sacs. Ces lieux ont tous en commun un territoire désert, vague, mais entouré d’habitat assez rapproché. Je visite ces lieux, le fossé profond de la rue Vandervelde… et j’essaie de me mettre à la place du tueur. J’apporte un regard nouveau sur ce dossier. Et, sur les lieux des découvertes, je m’interroge : qu’a-t-il dû ressentir, à cet endroit précis ? Pourquoi a-t-il décidé de jeter à ces endroits précis, les sacs contenant des restes de corps humain ? Et j’en arrive à la conclusion que tout s’est déroulé dans un microcosme restreint ! Par exemple, la solderie où il s’est procuré les sacs gris de la commune de Knokke-Heist, est très proche de l’hôtel le Lido, où Martine Bohn a choisi de vivre à la fin de sa vie ! Cette solderie est aussi très près de la rue Vandervelde ! Tiens, par exemple, il y a un lieu qui me taraude aussi : c’est le Bancontact de l’immeuble de la banque – aujourd’hui Fortis –, entre le boulevard Dolez et la rue Frère Orban, où Jacqueline Leclercq a apparemment retiré de l’argent… Où diable était ce distributeur ? » Nous devons lui signaler qu’il a aujourd’hui disparu au profit d’un local à la vue de tous, accessible par une grande esplanade. Et, détail piquant : « Sur des photos, j’ai observé la manière dont le nœud d’un sac-poubelle était fait. J’en conclus que le dépeceur est, ou était un gaucher. »
G. M.
Aujourd’hui, alors que l’enquête célèbre son triste 20è anniversaire, Morgan passe au second volet de son enquête. « J’écoute les gens qui ont des choses à m’apprendre sur le tueur en série de Mons. Par exemple, j’ai rencontré deux fois la patronne de l’hôtel Métropole. Elle m’a confié qu’avant de prendre sa retraite, elle aimerait connaître la vérité. Ça me motive d’autant plus à essayer de ‘trouver’! Ou du moins, à mettre ma pierre à l’édifice… »
En un an, Morgan n’a pas (encore ?) la prétention de récolter des informations de première main. Et encore moins de ‘trouver’ ! « Mon but, je le répète, c’est de mettre ma pierre à l’édifice de cette enquête ! Par exemple, je suis convaincu depuis le début de mes recherches, que l’enquête est passée juste à côté du tueur. Il était là ! Dans le microcosme dont je parlais tout à l’heure. Et on ne l’a hélas pas trouvé. Vingt ans ont passé. L’enquête n’a pas permis de confondre ce tueur resté mystérieux… Et moi, j’ai envie d’y croire ! »
Morgan Vanlerberghe connaît les limites de son travail. « Je ne suis qu’un simple citoyen. Je n’ai surtout pas la prétention, qui serait déplacée, d’empiéter sur le travail des enquêteurs. Je ne suis pas détective privé, non plus ! »
Ce qu’il aimerait faire, une fois son enquête achevée ? « Je ne sais pas encore. Écrire un livre, effectuer un court-métrage, un film ? Je verrai bien au gré de l’avancement de mon enquête. »
Et il nous demande. « Croyez-vous que je pourrais rencontrer les enquêteurs ? Ils risquent de me prendre pour un rêveur ! »
Morgan pourrait déjà rencontrer Dominique Francq, au parquet de Mons. Le premier substitut en charge de l’enquête semble approuver la démarche !
G. M.
Re: Dépeceur de Mons 2
Mikagnx à écrit :
Par ailleurs, on dirait qu'il a arrêté l'eau.
1) Carmelina dans un plastique.
2) Martine sans plastique (peut-être pensant qu'il y aurait décomposition dans l'eau ? ).
Bonjour Mikagnx,
l'absence de sac ainsi que le lieu ou fut découvert le tronc de Martine B. pourrait laisser penser que le dépeceur souhaitait que celui ci soit trouvé...Etant donné qu'il n'y a eu aucune récidive entre ce moment et celui ou fut révélé ses activités au grand public, je pense que ce n'était pas son souhait.
Concernant l'hypothèse de la décomposition, il ne devait pas ignorer que le processus prendrait un certain temps et que le tronc serait, pendant ce délai, visible de tous.
Etant donné le faible niveau d'eau de la rivière quand le DDM à jeté MB. Il est aussi clair qu'il n'espérait pas qu'elle coule.
Nous savons qu'il coupe les troncs, des épaules jusqu'à mi cuisse, et ne connaissant pas la taille de Martine B. Il est aussi bien possible qu'il n'ait pas su la faire rentrer dans ce simple sac poubelle, et que c'est la raison pour laquelle il s'en est débarrassé de la sorte. Je ne sais pas.
Il semble clair que le DDM ne semblait pas tracassé par le fait que son corps soit exposé de la sorte, à ce qu'il soit découvert, bien qu'il ait par la suite fait en sorte, avec le torse de Jacqueline L. que cela ne se reproduise plus.
Martine B. n'avait pas de difficultés financières lorsqu'elle a disparu, c'était même tout le contraire, et pourtant il n'y a pas eu de tentative de retrait d'argent sur son compte, comme ce fut le cas pour Jacqueline L. Elément qui me fait penser qu'il ne la connaissait pas.
Cordialement,
JM
Re: Dépeceur de Mons 2
Kassandra à écrit :
Bonjour JM,
Voilà:
Sainte Kassandra, merci à toi!
ca garçon à des trucs à dire, des réflexions...Ca donne super envie de lire son book.
Cordialement,
JM
Re: Dépeceur de Mons 2
Carmelina Russo disparait le Jeudi 04 Janvier 1996 vers 18H en sortant du GB de Jemappes.
1) Ce jour là, elle avait prêté sa voiture à son ami, et il est clair que si elle avait eu son véhicule pour se déplacer, elle serait toujours en vie......Ce qui signifie qu'à moins de savoir qu'elle serait sans auto et qu'elle se rendrait au GB de Jemappes, l'auteur ne pouvait pas savoir qu'elle serait là, à ce moment.
2) Les jours de chasse du DDM sont les jours de week end, et vu que sa première victime disparait un Jeudi, il n'est pas interdit de penser qu'il est tombé dessus par hasard. Par conséquent, il a peut être une bonne raison de se trouver dans son véhicule à Jemappes vers les 18H, comme quelqu'un qui a fini sa journée, et qui rentre chez lui en auto.
Le fait qu'il n'était pas prévu que Carmelina soit piétonne, le jour de semaine, l'heure de fin de journée...Il est possible que le DDM travaille par là.
Cordialement,
JM
Re: Dépeceur de Mons 2
JM a écrit:
Carmelina Russo disparait le Jeudi 04 Janvier 1996 vers 18H en sortant du GB de Jemappes.
1) Ce jour là, elle avait prêté sa voiture à son ami, et il est clair que si elle avait eu son véhicule pour se déplacer, elle serait toujours en vie......Ce qui signifie qu'à moins de savoir qu'elle serait sans auto et qu'elle se rendrait au GB de Jemappes, l'auteur ne pouvait pas savoir qu'elle serait là, à ce moment.
2) Les jours de chasse du DDM sont les jours de week end, et vu que sa première victime disparait un Jeudi, il n'est pas interdit de penser qu'il est tombé dessus par hasard. Par conséquent, il a peut être une bonne raison de se trouver dans son véhicule à Jemappes vers les 18H, comme quelqu'un qui a fini sa journée, et qui rentre chez lui en auto.
Le fait qu'il n'était pas prévu que Carmelina soit piétonne, le jour de semaine, l'heure de fin de journée...Il est possible que le DDM travaille par là.
Cordialement,
Bonjour JM,
Alors concernant la disparition de Carmelina on peut entrevoir plusieurs hypothèses (je ne retrouve plus les circonstances exactes de ce ou ces témoignages).
1) on s'est trompé et on a confondu Carmelina.
2) on a bien identifié Carmelina mais ce n'était pas le 04 janvier.
À partir du moment où Carmelina quitte bien ce GB avenue maréchal Foch à Jemappes le 04 janvier 1996 à 18h, plusieurs questions sont intuitivement légitimes.
Carmelina a t'elle prévu au moment où elle organise sa journée de passer par ce GB après sa visite à son fils au pénitencier de Mons? Si oui pourquoi ne prend elle pas sa voiture ?
Fréquentait elle souvent ce GB? Personne dans ses proches n'a été mis au courant (ex: "je rentrerai à telle heure après le GB" ) ?
Se rendait elle souvent à Jemappes par ses propres moyens ?
La prison de Mons se situait à un peu plus de 6 km de ce supermarché. Si elle dû absolument faire une course avant son retour, pourquoi ce supermarché là tout particulièrement alors qu'il en existait des bien plus proches (surtout quand on est sans moyen de locomotion, le trajet en train ou en bus reste fastidieux pour une course où on doit revenir avec ses courses en mains) ? Une offre spéciale ? Difficile à concevoir.
Compte tenu de ces hypothèses et de ces constatations, j'entrevois bien modestement quelques options (sans porter aucun jugement sur la malheureuse victime je précise).
1) Carmelina avait une activité de représentante en lingerie féminine. Avait elle un rendez-vous professionnel à ce GB ce jour-là ? Pourquoi ne pas prendre sa voiture ? Pourquoi personne au courant ? Pourquoi se rendre à la prison avec ses échantillons de lingeries sous le bras ? ?? Pourquoi le fils ne sait rien (elle lui dit l'appeler au soir donc on sous entend qu'elle lui aurait dit je vais à Jemappes). Ça ne tient pas.
2) elle a prévu de repérer le GB sans sa marchandise. Encore une fois, pourquoi ne pas prendre sa voiture ?
3) elle devait accompagner un ou une collègue pour lui montrer le travail ou l'aider. Si c'était prévu elle ressort avec la personne du GB et il y a sûrement des gens de son entourage au courant.
4) L'imprévu. À partir de 15h30 (ou 14h30 je ne sais plus quand elle quitte la prison) elle va prendre un verre et rencontre quelqu'un qu'elle connaît ou pas (collègue a qui elle va montrer comment vendre ou quelqu'un qui peut la ramener et doit passer faire une course avant ou lui propose de l'emmener au GB avant). L'hypothèse la plus plausible est que c'est quelqu'un qu'elle connaît dans ce cas.
5) Elle reste volontairement discrète sur son emploi du temps entre 15h30 et le soir car elle a un rendez-vous. Pour moi, et compte-tenu de l'époque (l'avant smartphone et internet ). Il n'y a rien de pire pour se "volatiliser" que les petites annonces de l'époque. 1) vous y allez de votre plein gré. 2) vous êtes volontairement discret sur la chose 3) pas d'intérnet, pas de SMS, pas de traces. Mais il peut s'agir d'un rendez-vous hors petites annonces bien sur...mais pas de téléphone portable pour localiser dans tous les cas.
Dans ce cas le passage au supermarché peut servir d'alibi.
Pour moi, si Carmelina s'est bien rendue se 04 janvier à ce GB, je ne pense pas que le passage à ce GB était prévu dès le matin. Je pense qu'elle s'y rendue en étant véhiculée. On dresse le portrait d'une femme prudente. Je ne vois pas une femme faire de stop le long de cette route nationale très fréquentée la nuit tombée (nous sommes le 04 janvier à 18h00 - la nuit tombe vers 17h00 à cette époque). Je ne la vois pas non plus faire plus d'une heure de marche pour rentrer. Le Bus ? On l'aurait nécessairement vu. Un taxi ? Le train ? Pareil et plutôt fastidieux. Si elle retournait au domaine d'Epinlieu le GB se trouve à 10 km .Vous imaginez le périple pour rentrer ? Ou alors le Bus ???? Mais comment se volatilise t'on dans un bus ?
Autre question. Quelqu'un sait comment elle s'est rendue à la prison ce jour-là ? Entre Epinlieu et la prison il y a 4,5 km. Pas à pieds j'imagine.
Mikagnx
Re: Dépeceur de Mons 2
L'idée est que je ne crois pas vraiment au prédateur qui conduit au hasard et enlève. C'est plus un comportement de pulsion sexuelle ça. D'ailleurs c'est ce qui conduit souvent à leur perte : véhicule repéré ou enlèvement qui échoue (même à 2, l'histoire récente des affaires criminelles nous le démontre).
Il s'agit de femmes adultes et locales : il faudrait utiliser une grande force avec discrétion ou une ruse particulièrement fine. Surtout, il faudrait avoir fait mouche si je puis dire à 100% des tentatives. Toutes femmes approchées ou ayant été approchées et ayant décliné l'aurait signalé car si elles ne l'ont pas suivi c'est qu'il y a eu doute.
De plus, il faut vraiment "tomber" à chaque fois sur des femmes plus ou moins isolées et que personne n'attend à heure fixe. Il n'était pas écrit sur leur visage qu'il n'y avait pas un mari à qui elles ont dit où elles allaient et qui donnera l'alerte après 1h.
On nous dit elle fréquentaient le quartier de la gare, un quartier qualifié de glauque. Dans les faits, il était plus secure que maintenant. C'était essentiellement des bistrots au sens le plus basique du terme. À l'époque ce devait être essentiellement une population locale avec des us et coutumes locales. C'est à dire des gens qui pour les plus assidus vennaient boire leur 5-10-20 bières quotidiennes en fonction. Une espèce d'alcoolisme d'habitude si je puis dire.
Je pense que la fréquentation des victimes était plus ponctuelle.
Pour moi, ou bien les victimes connaissaient toutes le DDM pour le suivre ou monter dans son véhicule s'il(s) les abordent en voiture. Ou bien c'est le rendez-vous (petites annonces journaux ou mur dans les cafés ou toilettes, ça se faisait je crois à l'époque) ou bien il a eu un CV dans les mains.
Il a bien fallu quelque chose comme garantie pour entrer en contact et se volatiliser.
Il n'y avait pas que des femmes isolées et en fragilité qui fréquentaient les bistrots à l'époque. Parfois et même encore maintenant, 2 époux ou concubins sont toute la journée au café. Parfois des femmes viennent boire seule mais pas toutes à minuit pour repartir dans des rues désertes.
S'il tablait la dessus un DDM totalement externe et qui rôde ou aborde aurait été repéré inéluctablement sauf s'il fait partie du décor.
Il s'agit de femmes adultes et locales : il faudrait utiliser une grande force avec discrétion ou une ruse particulièrement fine. Surtout, il faudrait avoir fait mouche si je puis dire à 100% des tentatives. Toutes femmes approchées ou ayant été approchées et ayant décliné l'aurait signalé car si elles ne l'ont pas suivi c'est qu'il y a eu doute.
De plus, il faut vraiment "tomber" à chaque fois sur des femmes plus ou moins isolées et que personne n'attend à heure fixe. Il n'était pas écrit sur leur visage qu'il n'y avait pas un mari à qui elles ont dit où elles allaient et qui donnera l'alerte après 1h.
On nous dit elle fréquentaient le quartier de la gare, un quartier qualifié de glauque. Dans les faits, il était plus secure que maintenant. C'était essentiellement des bistrots au sens le plus basique du terme. À l'époque ce devait être essentiellement une population locale avec des us et coutumes locales. C'est à dire des gens qui pour les plus assidus vennaient boire leur 5-10-20 bières quotidiennes en fonction. Une espèce d'alcoolisme d'habitude si je puis dire.
Je pense que la fréquentation des victimes était plus ponctuelle.
Pour moi, ou bien les victimes connaissaient toutes le DDM pour le suivre ou monter dans son véhicule s'il(s) les abordent en voiture. Ou bien c'est le rendez-vous (petites annonces journaux ou mur dans les cafés ou toilettes, ça se faisait je crois à l'époque) ou bien il a eu un CV dans les mains.
Il a bien fallu quelque chose comme garantie pour entrer en contact et se volatiliser.
Il n'y avait pas que des femmes isolées et en fragilité qui fréquentaient les bistrots à l'époque. Parfois et même encore maintenant, 2 époux ou concubins sont toute la journée au café. Parfois des femmes viennent boire seule mais pas toutes à minuit pour repartir dans des rues désertes.
S'il tablait la dessus un DDM totalement externe et qui rôde ou aborde aurait été repéré inéluctablement sauf s'il fait partie du décor.
Mikagnx
Re: Dépeceur de Mons 2
Mikagnx à écrit :
1) Carmelina avait une activité de représentante en lingerie féminine. Avait elle un rendez-vous professionnel à ce GB ce jour-là ? Pourquoi ne pas prendre sa voiture ? Pourquoi personne au courant ? Pourquoi se rendre à la prison avec ses échantillons de lingeries sous le bras ? ?? Pourquoi le fils ne sait rien (elle lui dit l'appeler au soir donc on sous entend qu'elle lui aurait dit je vais à Jemappes). Ça ne tient pas.
Je pense que si les forces de l'ordre ont pu déterminer ou se trouvait CR vers 18H, ils ne l'ont pas fait en la pistant via des caméras de surveillance se trouvant sur le trajet. Il est fort possible qu'ils savaient ou chercher.
Carmelina ne devait pas téléphoner à son fils, car de tout temps, et ce dans toutes les prisons du royaume, c'est le détenu qui, si il a de l'argent sur son compte, téléphone aux siens, et non le contraire. Pour un bon fonctionnement interne, il y a des heures prédéterminées pendant lesquelles les téléphones sont activés, ou les agents œuvrent à ces mouvements ( sortie cellule). L'horaire débute à 19H, ce qui implique que CR devait être rentrée à ce moment chez elle, puisqu'elle n'était pas en possession de son GSM. Son intention en quittant le GB est donc bien de se trouver à son téléphone fixe à 19H.
2) elle a prévu de repérer le GB sans sa marchandise. Encore une fois, pourquoi ne pas prendre sa voiture ?
Nous savons qu'elle avait prévu, au minimum, de se rendre à la prison, il est possible qu'elle ait jugé que son ami avait plus besoin du véhicule qu'elle, peut être.
3) elle devait accompagner un ou une collègue pour lui montrer le travail ou l'aider. Si c'était prévu elle ressort avec la personne du GB et il y a sûrement des gens de son entourage au courant.
La police à pu déterminer l'heure à laquelle elle est sortie du supermarché, donc des employés ou des caméras ont pu les renseigner, et dans un cas comme dans l'autre, un accompagnant aurait été signalé.
4) L'imprévu. À partir de 15h30 (ou 14h30 je ne sais plus quand elle quitte la prison 15H30...Source :
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Jeu 23 Mar 2017, 23:41) elle va prendre un verre et rencontre quelqu'un qu'elle connaît ou pas (collègue a qui elle va montrer comment vendre ou quelqu'un qui peut la ramener et doit passer faire une course avant ou lui propose de l'emmener au GB avant). L'hypothèse la plus plausible est que c'est quelqu'un qu'elle connaît dans ce cas.
Les visiteurs de prison patientent au moins une grosse heure avant de rencontrer le prisonnier, et pendant ce temps, ils discutent avec d'autres personnes qui comme eux sont venus voir l'un des leurs, ils sont groupés. Au fil des visites des liens se créent, et il arrive même que des covoiturage se fassent ( Lorsque les détenus s'entendent bien, il est clair.)
5) Elle reste volontairement discrète sur son emploi du temps entre 15h30 et le soir car elle a un rendez-vous. Pour moi, et compte-tenu de l'époque (l'avant smartphone et internet ). Il n'y a rien de pire pour se "volatiliser" que les petites annonces de l'époque. 1) vous y allez de votre plein gré. 2) vous êtes volontairement discret sur la chose 3) pas d'intérnet, pas de SMS, pas de traces. Mais il peut s'agir d'un rendez-vous hors petites annonces bien sur...mais pas de téléphone portable pour localiser dans tous les cas.
Dans ce cas le passage au supermarché peut servir d'alibi. Très juste.
Bonjour Mikagnx,
mes commentaires sont en bleu.
Cordialement,
JM
Re: Dépeceur de Mons 2
Mikagnx à écrit :
L'idée est que je ne crois pas vraiment au prédateur qui conduit au hasard et enlève. C'est plus un comportement de pulsion sexuelle ça. D'ailleurs c'est ce qui conduit souvent à leur perte : véhicule repéré ou enlèvement qui échoue (même à 2, l'histoire récente des affaires criminelles nous le démontre).
Bonjour Mikagnx,
El gringo nous informe ici ( Sam 18 Avr - 3:09) : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
'' Il y a un autre élément dont on ne parle jamais, c'est la piste de l'enlèvement de force. A l'époque, à Mons, il y a eu plusieurs tentatives d'enlèvements de femmes qui ont échoué. Il est possible que le dépeceur ait enlevé ces femmes de force, ce qui pourrait expliquer l'usage d'une camionnette pour les dépôts mais, aussi, pour les enlèvements...''
Nathalie G. montait en voiture avec des inconnus, et Bégonia V. ne pesait plus que 36 kg quand elle a disparu, elle se déplaçait à pieds. Si ils sont deux , comme je le pense, la tâche est plus aisée.
Je n'ai aucune certitude sur la manière dont il s'y prenait.
Cordialement,
JM
Re: Dépeceur de Mons 2
JM a écrit:
Bonjour Mikagnx,
El gringo nous informe ici ( Sam 18 Avr - 3:09) : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
'' Il y a un autre élément dont on ne parle jamais, c'est la piste de l'enlèvement de force. A l'époque, à Mons, il y a eu plusieurs tentatives d'enlèvements de femmes qui ont échoué. Il est possible que le dépeceur ait enlevé ces femmes de force, ce qui pourrait expliquer l'usage d'une camionnette pour les dépôts mais, aussi, pour les enlèvements...''
Nathalie G. montait en voiture avec des inconnus, et Bégonia V. ne pesait plus que 36 kg quand elle a disparu, elle se déplaçait à pieds. Si ils sont deux , comme je le pense, la tâche est plus aisée.
Je n'ai aucune certitude sur la manière dont il s'y prenait.
Cordialement,
Bonjour JM,
2 hommes dans une camionnette blanche qui rôdent. C'est une hypothèses tout à fait plausible. Personnellement, j'ai un peu de difficultés à concevoir cette thèse mais c'est purement de l'interprétation. Aussi discret et à deux après tant d'années, ils doivent être très très liés. Après ce qui me pose un peu problème avec ces témoignages et qui m'empêche de considérer la chose et que les témoins on vu cette camionnette suffisamment précisément pour réaliser (visiblement 2 des portraits-Robots) des descriptions des occupants (embarras de circulation, ....) mais on a ni la marque, ni une lettre de l'immatriculation, ni même certain qu'il s'agisse d'une immatriculation belge. Comme je dis, il se peut tout aussi bien que cette camionnette était occupée par ce qu'on appelle des ferrailleurs et qu'on avait vu ces gens tout simplement à ces endroits parce que ces endroits (du moins la Rue du dépôt) était aussi réputés pour des dépôts clandestins.
Concernant les enlèvements de force. J'ai brièvement et selon les maigres informations qu'on peut avoir (après autant d'années je ne comprends toujours pas que l'instruction garde les éléments précieusement alors qu'ils sont visiblement en échec depuis plus de 20 ans) évalué la faisabilité de l'enlèvement sur les différentes victimes.
1) Carmelina.
Avenue Maréchal Foch, un jeudi peu après 18h. Cela me paraît compliqué. C'est une grand route remplie deja à l'époque de supermarchés, magasins, horeca. Un trafic quasi permanent entre Hornu et Mons. On peut éventuellement s'arrêter pour prendre quelqu'un volontairement mais de forces tout en restant discret je peine à le croire. Je ne crois d'ailleurs pas quelle se soit dirigé sur cette nationale peu propice aux piétons pour rejoindre Mons. Trajet trop long. La seule possibilité pour l'enlèvement de force c'est sur le parking même (et encore) ou entre le GB et la gare de Jemappes.
2) Martine.
C'est possible dans la mesure où on ne sait que sa disparition doit avoir eu lieu entre le 20 juillet 19h30 (dernière cliente chez un coiffeur du centre de Mons à qui elle aurait dit qu'elle devait manger chez des amis) et le 21 juillet.
La seule chose qu'on peut supposer et que compte tenu de son habitation, de ses déplacements et de ses moyens de locomotion, ce que l'hypothétique enlèvement a du nécessairement se faire dans le Mons intra-muros (centre historique).
3) Jacqueline.
Heure de retour selon sa soeur qui la raccompagne: 22 décembre à 20h. Si sa carte bancaire a servi au boulevard Dolez/Frères orban, pour qu'il y ait enlèvement il faut donc que Jacqueline ait eu besoin de ressortir de chez elle après 20h. Un besoin non-prevu ou caché sinon sa soeur eut été au courant où du moins elle l'aurait déposé devant une banque avec la voiture (elle a bien attendu qu'elle rentre dans sa maison, elle n'était pas à 5 minutes près).
Quoi qu'il en soit, si enlèvement il y a, c'est entre la rue Malapert et le boulevard dolez...donc encore dans le Mons intra-muros.
4) Nathalie.
Je ne sais pas si elle montait dans les véhicules des inconnus mais il s'agissait d'une femme de 21-22 ans qui connaît la rue, frequente les cafés et les hommes. Pour l'enlever en toute discrétion, il ne faut pas se louper. Elle pouvait selon moi résister davantage. Visiblement elle disparaît un jour de week-end apres 16h je crois alors que Leopold va chercher une frite-andalouse. Il me semble qu'ils étaient dans un appartement du centre avec d'autres amis.
Concrètement, on sait qu'elle a mangé un couscous (mais pas durant la journée avec Leopold). Donc on l'enlève de force dans le Mons intra-muros et on lui fait manger un couscous dans la camionnette ????
5) Bégonia.
En effet, dans le cas de cette pauvre dame c'est plausible. Elle ne pouvait pas opposer beaucoup de résistance. On la vu attendre le Bus sur grand route à Frameries direction Mons. Pourquoi y allait elle ? Est elle arrivée jusque Mons?
Mikagnx
Re: Dépeceur de Mons 2
2 hommes dans une camionnette blanche qui rôdent. C'est une hypothèses tout à fait plausible. Personnellement, j'ai un peu de difficultés à concevoir cette thèse mais c'est purement de l'interprétation. Aussi discret et à deux après tant d'années, ils doivent être très très liés. Après ce qui me pose un peu problème avec ces témoignages et qui m'empêche de considérer la chose et que les témoins on vu cette camionnette suffisamment précisément pour réaliser (visiblement 2 des portraits-Robots) des descriptions des occupants (embarras de circulation, ....) mais on a ni la marque, ni une lettre de l'immatriculation, ni même certain qu'il s'agisse d'une immatriculation belge. Comme je dis, il se peut tout aussi bien que cette camionnette était occupée par ce qu'on appelle des ferrailleurs et qu'on avait vu ces gens tout simplement à ces endroits parce que ces endroits (du moins la Rue du dépôt) était aussi réputés pour des dépôts clandestins.
Bonjour Mikagnx,
l'individu que monsieur Palmieri à vu rentrer dare dare dans sa camionnette à la rue du dépôt, correspond à l'un des portraits robots, tout comme son véhicule ( camionnette blanche, absence de marque).
Il y a des coupes gauche et des coupes droites.
Pour Nathalie G. certaines coupes étaient plus propres que d'autres.
Il y a deux types de nœuds sur les sacs, certains avec l'excèdent enlevé, découpé, et d'autres pas.
Cordialement,
JM
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