JANINE SOPKA une victime du dépeceur de Mons?
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JANINE SOPKA une victime du dépeceur de Mons?
2023
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En 2003, le corps d'une femme démembrée est retrouvé dans le canal de la Sambre dans le nord de la France. Les enquêteurs finissent par faire le rapprochement avec la disparition de Janine Sopka.
C'est un mystère qui reste entier, presque 20 ans plus tard. Dans le Nord, les membres d'un corps de femme découpés sont retrouvés dans des sacs plastique dans plusieurs canaux autour de la commune de Locquignol. La victime s'appelle Janine Sopka. Pour résoudre le meurtre de cette retraitée de 59 ans, les gendarmes ont envisagé plusieurs pistes, sans qu'aucune n'aboutisse réellement.
Le 25 février 2003, un homme chargé de l'entretien des espaces verts de la base nautique débute son travail au matin. Comme d'habitude, il nettoie les rives du canal de la Sambre. Mais cette fois-ci, un élément retient son attention: un sac en plastique à moitié immergé, que lui et ses collègues décident d'ouvrir.
"On s'est aperçu qu'il y avait un talon. On a vu le restant du pied. Là, on s'est dit que c'étaient des parties d'un corps humain", raconte-t-il.
Le témoignage de ces agents d'entretien va donner de précieuses indications aux enquêteurs: ils assurent n'avoir pas remarqué la présence du sac lors de leur nettoyage de la veille. Il aurait donc été déposé dans la nuit du 24 au 25 février.
Une retraitée de 59 ans identifiée
Au cours de leurs recherches, les gendarmes finissent par mettre la main sur deux autres sacs, l'un contenant des objets religieux, l'autre un tronc humain de femme. Quelques jours plus tard, le parquet d'Avesnes-sur-Helpe ouvre une information judiciaire pour "homicide volontaire".
À partir de ces différents éléments, les médecins légistes tentent de deviner la cause de la mort. Ils découvrent des lésions sur les poumons de la victime et en concluent que la victime a sûrement été asphyxiée. Par ailleurs, ils parviennent à établir que les membres du corps ont pu être découpés à l'aide d'une scie électrique.
En parallèle, les enquêteurs finissent par faire le lien avec la disparition d'une retraitée de 59 ans, Janine Sopka.
"C'était quelqu'un qui avait bon coeur, quelqu'un de vivant, qui pouvait être enthousiaste, voire euphorique", raconte l'ancien procureur d'Avesnes-sur-Helpes, Bernard Beffy, en charge à l'époque des investigations.
La perquisition du domicile de Janine Sopka ne donne rien. Mais en fouillant dans le passé de la retraitée, les enquêteurs comprennent cependant qu'elle avait pour habitude de multiplier les aventures sans lendemain. Ils se tournent donc immédiatement vers les amants de la victime, notamment vers celui qui l'a vue pour la dernière fois, et un autre homme à la réputation violente. Ces pistes n'aboutissent finalement à rien.
Un mis en examen, mais jamais de procès
La piste du tueur en série surnommé le "dépeceur de Mons", en Belgique - un autre cold case -, est également envisagée, de nombreuses similitudes apparaissant dans le mode opératoire ainsi que dans le profil des victimes, généralement des femmes seules et isolées. Pourtant, les enquêteurs écartent également cette piste.
En recentrant leur enquête sur les environs du crime, les gendarmes sont intrigués par des propos agressifs que tient le patron d'une scierie non loin: en effet, l'homme n'hésite pas, devant eux, à traiter Janine Sopka de "fille facile". "C'est un homme qui parle simplement, un peu bourru", défend son avocat, Me Vincent Demory.
"Si mon client n'avait pas été propriétaire d'une scierie, il y a tout lieu de penser qu'on ne se serait pas intéressé à lui", affirme-t-il encore.
Des traces de sang sont pourtant retrouvées à plusieurs endroits de la scierie, un élément que ne parvient pas à expliquer le propriétaire des lieux. Ce dernier est mis en examen et placé en détention provisoire. Il est pourtant libéré quelque jours plus tard, faute de preuves assez incriminantes. Malade, il est mort 7 ans plus tard, alors qu'il était toujours mis en examen. Jusqu'au bout, il clamait son innocence.
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revoir l'émission:
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En 2003, le corps d'une femme démembrée est retrouvé dans le canal de la Sambre dans le nord de la France. Les enquêteurs finissent par faire le rapprochement avec la disparition de Janine Sopka.
C'est un mystère qui reste entier, presque 20 ans plus tard. Dans le Nord, les membres d'un corps de femme découpés sont retrouvés dans des sacs plastique dans plusieurs canaux autour de la commune de Locquignol. La victime s'appelle Janine Sopka. Pour résoudre le meurtre de cette retraitée de 59 ans, les gendarmes ont envisagé plusieurs pistes, sans qu'aucune n'aboutisse réellement.
Le 25 février 2003, un homme chargé de l'entretien des espaces verts de la base nautique débute son travail au matin. Comme d'habitude, il nettoie les rives du canal de la Sambre. Mais cette fois-ci, un élément retient son attention: un sac en plastique à moitié immergé, que lui et ses collègues décident d'ouvrir.
"On s'est aperçu qu'il y avait un talon. On a vu le restant du pied. Là, on s'est dit que c'étaient des parties d'un corps humain", raconte-t-il.
Le témoignage de ces agents d'entretien va donner de précieuses indications aux enquêteurs: ils assurent n'avoir pas remarqué la présence du sac lors de leur nettoyage de la veille. Il aurait donc été déposé dans la nuit du 24 au 25 février.
Une retraitée de 59 ans identifiée
Au cours de leurs recherches, les gendarmes finissent par mettre la main sur deux autres sacs, l'un contenant des objets religieux, l'autre un tronc humain de femme. Quelques jours plus tard, le parquet d'Avesnes-sur-Helpe ouvre une information judiciaire pour "homicide volontaire".
À partir de ces différents éléments, les médecins légistes tentent de deviner la cause de la mort. Ils découvrent des lésions sur les poumons de la victime et en concluent que la victime a sûrement été asphyxiée. Par ailleurs, ils parviennent à établir que les membres du corps ont pu être découpés à l'aide d'une scie électrique.
En parallèle, les enquêteurs finissent par faire le lien avec la disparition d'une retraitée de 59 ans, Janine Sopka.
"C'était quelqu'un qui avait bon coeur, quelqu'un de vivant, qui pouvait être enthousiaste, voire euphorique", raconte l'ancien procureur d'Avesnes-sur-Helpes, Bernard Beffy, en charge à l'époque des investigations.
La perquisition du domicile de Janine Sopka ne donne rien. Mais en fouillant dans le passé de la retraitée, les enquêteurs comprennent cependant qu'elle avait pour habitude de multiplier les aventures sans lendemain. Ils se tournent donc immédiatement vers les amants de la victime, notamment vers celui qui l'a vue pour la dernière fois, et un autre homme à la réputation violente. Ces pistes n'aboutissent finalement à rien.
Un mis en examen, mais jamais de procès
La piste du tueur en série surnommé le "dépeceur de Mons", en Belgique - un autre cold case -, est également envisagée, de nombreuses similitudes apparaissant dans le mode opératoire ainsi que dans le profil des victimes, généralement des femmes seules et isolées. Pourtant, les enquêteurs écartent également cette piste.
En recentrant leur enquête sur les environs du crime, les gendarmes sont intrigués par des propos agressifs que tient le patron d'une scierie non loin: en effet, l'homme n'hésite pas, devant eux, à traiter Janine Sopka de "fille facile". "C'est un homme qui parle simplement, un peu bourru", défend son avocat, Me Vincent Demory.
"Si mon client n'avait pas été propriétaire d'une scierie, il y a tout lieu de penser qu'on ne se serait pas intéressé à lui", affirme-t-il encore.
Des traces de sang sont pourtant retrouvées à plusieurs endroits de la scierie, un élément que ne parvient pas à expliquer le propriétaire des lieux. Ce dernier est mis en examen et placé en détention provisoire. Il est pourtant libéré quelque jours plus tard, faute de preuves assez incriminantes. Malade, il est mort 7 ans plus tard, alors qu'il était toujours mis en examen. Jusqu'au bout, il clamait son innocence.
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Dernière édition par Kassandra88 le Mer 26 Juin 2024 - 0:23, édité 1 fois
Jacques Pluchard
Hélas, de nombreux liens ne sont plus accessibles :
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Jacques Pluchard a même été blanchi post mortem des accusations à son encontre:
Le procureur de la République d’Avesnes-sur-Helpe Bernard Beffy a décidé, dans une démarche exceptionnelle, de ne pas laisser la mémoire de Jacques Pluchard ternie pour l’éternité. Il vient de tracer un réquisitoire de non-lieu dans le dossier Sopka, ce qui permettrait à l’inculpé décédé d’être lavé post-mortem de tout soupçon. Il n’en avait pas l’obligation : la dynamique judiciaire veut que le décès d’un inculpé entraîne un abandon des poursuites, pour cause « d’extinction de l’action publique » causée par le décès du suspect. L’avocat de la famille Pluchard, Me Vincent Demory, bataillait depuis des années pour que l’innocence de son client soit reconnue. Jacques Pluchard, jusqu’à ses dernières heures, avait exprimé « sa souffrance de ne pas avoir été innocenté ».
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Jacques Pluchard a même été blanchi post mortem des accusations à son encontre:
Le procureur de la République d’Avesnes-sur-Helpe Bernard Beffy a décidé, dans une démarche exceptionnelle, de ne pas laisser la mémoire de Jacques Pluchard ternie pour l’éternité. Il vient de tracer un réquisitoire de non-lieu dans le dossier Sopka, ce qui permettrait à l’inculpé décédé d’être lavé post-mortem de tout soupçon. Il n’en avait pas l’obligation : la dynamique judiciaire veut que le décès d’un inculpé entraîne un abandon des poursuites, pour cause « d’extinction de l’action publique » causée par le décès du suspect. L’avocat de la famille Pluchard, Me Vincent Demory, bataillait depuis des années pour que l’innocence de son client soit reconnue. Jacques Pluchard, jusqu’à ses dernières heures, avait exprimé « sa souffrance de ne pas avoir été innocenté ».
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Re: JANINE SOPKA une victime du dépeceur de Mons?
Merci pour ces indications.
Il est vrai que les faits sont interpellants, sans pouvoir vraiment se positionner si il y a rapport ou non.
Il est vrai que les faits sont interpellants, sans pouvoir vraiment se positionner si il y a rapport ou non.
Lili.1997
Re: JANINE SOPKA une victime du dépeceur de Mons?
Bonjour,
En 2003, Janine Sopka est retrouvée dépecée à Saint-Hilaire-sur-Helpe. Qui en voulait à la retraitée de 59 ans ? A 14h30 sur RTL.
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#épisode inédit.
Le replay :
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J'ai de gros doutes sur l'implication du dépeceur de Mons, le directeur de la scierie, J.Pluchard, semble être un suspect plus solide.... mais bon, il a été blanchi après sa mort.
En 2003, Janine Sopka est retrouvée dépecée à Saint-Hilaire-sur-Helpe. Qui en voulait à la retraitée de 59 ans ? A 14h30 sur RTL.
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#épisode inédit.
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J'ai de gros doutes sur l'implication du dépeceur de Mons, le directeur de la scierie, J.Pluchard, semble être un suspect plus solide.... mais bon, il a été blanchi après sa mort.
Invité- Invité
Re: JANINE SOPKA une victime du dépeceur de Mons?
206845ŦTristanduvar a écrit:Bonjour,
En 2003, Janine Sopka est retrouvée dépecée à Saint-Hilaire-sur-Helpe. Qui en voulait à la retraitée de 59 ans ? A 14h30 sur RTL.
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#épisode inédit.
Le replay :
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J'ai de gros doutes sur l'implication du dépeceur de Mons, le directeur de la scierie, J.Pluchard, semble être un suspect plus solide.... mais bon, il a été blanchi après sa mort.
Merci Tristan.
Est ce qu'on apprend des choses nouvelles?
Re: JANINE SOPKA une victime du dépeceur de Mons?
Non rien de nouveau et pas de transfert à Nanterre mais c'était certain.
Toujours persuadé que c'est Pluchard derrière tout ça.
Toujours persuadé que c'est Pluchard derrière tout ça.
Association d'Aide aux Victimes des Affaires Non Élucidées
Carte des affaires non élucidées francophones
Manor
Re: JANINE SOPKA une victime du dépeceur de Mons?
2024
Bonsoir,
J'ai à nouveau écouté "l'heure du crime" et d'après le reportage, la route que Janine a empruntée pour entrer chez elle n'était pas (ou peu) éclairée et il n'avait pas de trottoir.
Janine a t'elle été renversée par un véhicule?
Bonsoir,
J'ai à nouveau écouté "l'heure du crime" et d'après le reportage, la route que Janine a empruntée pour entrer chez elle n'était pas (ou peu) éclairée et il n'avait pas de trottoir.
Janine a t'elle été renversée par un véhicule?
Re: JANINE SOPKA une victime du dépeceur de Mons?
234879ŦKassandra88 a écrit:2024
Bonsoir,
J'ai à nouveau écouté "l'heure du crime" et d'après le reportage, la route que Janine a empruntée pour entrer chez elle n'était pas (ou peu) éclairée et il n'avait pas de trottoir.
Janine a t'elle été renversée par un véhicule?
De cette réflexion se pose plusieurs problématiques.
Les parties corporelles retrouvées auraient dû laisser des marques liés à l'impact d'un choc avec un véhicule.
Or rien n'a été rapporté à ce sujet-là.
J'ose imaginer que s'il y avait eu un doute, un appel à témoins aurait été lancé par les autorités.
Pas de traces suspectes sur la route, ont été détectées. Liés à un accident de ce type.
Dernier point qui me vient ainsi, renverser une personne c'est une chose. Ensuite avoir l'idée de s'en débarrasser discrètement en est une autre. Mais la charger dan sa voiture l'emmener la découper comme ça à l'improviste je trouve cela tout de même gros.
Je ne dis pas que c'est impossible,
loin de là mais cela me semble un peu tiré par les cheveux tout de même
Lili.1997
Re: JANINE SOPKA une victime du dépeceur de Mons?
Bonsoir Lili,
Il faisait -4°.La chaussée devait donc être glissante. Le véhicule a pu déraper et renverser Janine.
Pas de traces sur la route? Mais en ont-ils cherché?
"Pas de trace sur les parties corporelles"
L'impact a pu se limiter à un choc à la tête entrainant la mort mais ne provoquant aucune perte de sang.
Je ne suis pas sure qu'ils aient vraiment cherché les causes de la mort.
Mais la charger dans sa voiture l'emmener la découper comme ça à l'improviste je trouve cela tout de même gros. Le découpage est la plupart du temps utilitaire. Il est plus aisé de transporter des morceaux de corps qu'un corps entier.
Maintenant, je suis bien d'accord que c'est tordu.
234915ŦLili.1997 a écrit:234879ŦKassandra88 a écrit:2024
Bonsoir,
J'ai à nouveau écouté "l'heure du crime" et d'après le reportage, la route que Janine a empruntée pour entrer chez elle n'était pas (ou peu) éclairée et il n'avait pas de trottoir.
Janine a t'elle été renversée par un véhicule?
De cette réflexion se pose plusieurs problématiques.
Les parties corporelles retrouvées auraient dû laisser des marques liés à l'impact d'un choc avec un véhicule.
Or rien n'a été rapporté à ce sujet-là.
J'ose imaginer que s'il y avait eu un doute, un appel à témoins aurait été lancé par les autorités.
Pas de traces suspectes sur la route, ont été détectées. Liés à un accident de ce type.
Dernier point qui me vient ainsi, renverser une personne c'est une chose. Ensuite avoir l'idée de s'en débarrasser discrètement en est une autre. Mais la charger dan sa voiture l'emmener la découper comme ça à l'improviste je trouve cela tout de même gros.
Je ne dis pas que c'est impossible,
loin de là mais cela me semble un peu tiré par les cheveux tout de même
Il faisait -4°.La chaussée devait donc être glissante. Le véhicule a pu déraper et renverser Janine.
Pas de traces sur la route? Mais en ont-ils cherché?
"Pas de trace sur les parties corporelles"
L'impact a pu se limiter à un choc à la tête entrainant la mort mais ne provoquant aucune perte de sang.
Je ne suis pas sure qu'ils aient vraiment cherché les causes de la mort.
Mais la charger dans sa voiture l'emmener la découper comme ça à l'improviste je trouve cela tout de même gros. Le découpage est la plupart du temps utilitaire. Il est plus aisé de transporter des morceaux de corps qu'un corps entier.
Maintenant, je suis bien d'accord que c'est tordu.
Re: JANINE SOPKA une victime du dépeceur de Mons?
posté par Sourisverte:
Une femme (JS) est retrouvée dans une rivière . Est elle aussi une victime du Depeceur ?
Une vidéo de 90’ sur Youtube (émission non élucidé)
Une femme (JS) est retrouvée dans une rivière . Est elle aussi une victime du Depeceur ?
Une vidéo de 90’ sur Youtube (émission non élucidé)
Re: JANINE SOPKA une victime du dépeceur de Mons?
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les gendarmes à la recherche d’indices sur les berges de la Sambre après la découverte des restes du corps de Janine Sopka, en 2003.
Les restes de Janine Sopka ont été découverts sur les berges de la Sambre à Locquignol en 2003.
Janine Sopka, le cold-case avesnois resté sans réponse
En 2003, son meurtre avait relancé l’affaire du dépeceur de Mons de l’autre côté de la frontière. Le corps de Janine Sopka, une habitante de Saint-Hilaire, était retrouvé découpée à Locquignol. Plus de vingt ans plus tard, l’affaire n’a jamais été résolue.
Les gendarmes à la recherche d’indices sur les berges de la Sambre après la découverte des restes du corps de Janine Sopka, en 2003.
Les gendarmes à la recherche d’indices sur les berges de la Sambre après la découverte des restes du corps de Janine Sopka, en 2003.
Par La Voix du Nord
Publié: 13 Septembre 2024 à 19h50
L’ombre du dépeceur de Mons avait créé la psychose dans la Sambre-Avesnois en février 2003. Date à laquelle des restes de corps appartenant à Janine Sopka, une sexagénaire habitant Saint-Hilaire-sur-Helpe, ont été retrouvés au relais nautique d’Hachette à Locquignol. Une semaine plus tard, un demi-tronc sera repêché à Vieux-Condé, les expertises confirmeront qu’il appartient à la même victime.
La cellule Corpus, en charge de l’affaire du dépeceur, a suivi de près le dossier. Mais la piste a été très vite oubliée. « Le mode opératoire ne correspond pas. Janine Sopka a été mutilée en séparant le bassin du tronc. Cette technique n’a été utilisée que sur une seule victime du dépeceur. Il a ensuite évolué car cette manière de procéder était trop complexe », analyse Morgan Vanlerberghe.
Non-lieu
Les gendarmes d’Avesnes se sont intéressés à un autre suspect. Jacques Pluchard, le directeur d’une scierie, située près de la maison de la victime, a été arrêté, mis en examen pour homicide et écroué après la découverte de traces de sang suspectes sur les lames de son établissement. Mais l’exploitation du sang n’a rien donné, l’homme a été libéré, mais il restera mis en examen jusqu’à son décès fin 2010. Le parquet d’Avesnes rendra finalement un non-lieu en 2011. Aujourd’hui, l’affaire Janine Sopka n’a toujours pas été élucidée par les magistrats.
En revanche, le dépeceur de Mons aurait très bien pu se débarrasser de restes humains en France. Un crâne contenu dans un sachet d’une boucherie belge qui ne disposait d’aucun point de vente dans la Sambre, avait été découvert en mars 2003 à Buvignies. Un crâne qui, par la suite, avait été perdu dans les locaux de la PJ de Lille… L’affaire n’a pas été plus loin.
les gendarmes à la recherche d’indices sur les berges de la Sambre après la découverte des restes du corps de Janine Sopka, en 2003.
Les restes de Janine Sopka ont été découverts sur les berges de la Sambre à Locquignol en 2003.
Janine Sopka, le cold-case avesnois resté sans réponse
En 2003, son meurtre avait relancé l’affaire du dépeceur de Mons de l’autre côté de la frontière. Le corps de Janine Sopka, une habitante de Saint-Hilaire, était retrouvé découpée à Locquignol. Plus de vingt ans plus tard, l’affaire n’a jamais été résolue.
Les gendarmes à la recherche d’indices sur les berges de la Sambre après la découverte des restes du corps de Janine Sopka, en 2003.
Les gendarmes à la recherche d’indices sur les berges de la Sambre après la découverte des restes du corps de Janine Sopka, en 2003.
Par La Voix du Nord
Publié: 13 Septembre 2024 à 19h50
L’ombre du dépeceur de Mons avait créé la psychose dans la Sambre-Avesnois en février 2003. Date à laquelle des restes de corps appartenant à Janine Sopka, une sexagénaire habitant Saint-Hilaire-sur-Helpe, ont été retrouvés au relais nautique d’Hachette à Locquignol. Une semaine plus tard, un demi-tronc sera repêché à Vieux-Condé, les expertises confirmeront qu’il appartient à la même victime.
La cellule Corpus, en charge de l’affaire du dépeceur, a suivi de près le dossier. Mais la piste a été très vite oubliée. « Le mode opératoire ne correspond pas. Janine Sopka a été mutilée en séparant le bassin du tronc. Cette technique n’a été utilisée que sur une seule victime du dépeceur. Il a ensuite évolué car cette manière de procéder était trop complexe », analyse Morgan Vanlerberghe.
Non-lieu
Les gendarmes d’Avesnes se sont intéressés à un autre suspect. Jacques Pluchard, le directeur d’une scierie, située près de la maison de la victime, a été arrêté, mis en examen pour homicide et écroué après la découverte de traces de sang suspectes sur les lames de son établissement. Mais l’exploitation du sang n’a rien donné, l’homme a été libéré, mais il restera mis en examen jusqu’à son décès fin 2010. Le parquet d’Avesnes rendra finalement un non-lieu en 2011. Aujourd’hui, l’affaire Janine Sopka n’a toujours pas été élucidée par les magistrats.
En revanche, le dépeceur de Mons aurait très bien pu se débarrasser de restes humains en France. Un crâne contenu dans un sachet d’une boucherie belge qui ne disposait d’aucun point de vente dans la Sambre, avait été découvert en mars 2003 à Buvignies. Un crâne qui, par la suite, avait été perdu dans les locaux de la PJ de Lille… L’affaire n’a pas été plus loin.
Dernière édition par mimi le Lun 16 Sep 2024 - 20:51, édité 1 fois
mimi
Re: JANINE SOPKA une victime du dépeceur de Mons?
Affaire Janine Sopka: «il ne s’agit pas du même meurtrier»
Les restes de Janine Sopka ont été découverts sur les berges de la Sambre à Locquignol en 2003.
Les restes de Janine Sopka ont été découverts sur les berges de la Sambre à Locquignol en 2003.
Image auteur par défaut
Par La Voix du Nord
Publié:
24 Mars 2022 à 17h36
Avec sa casquette d’enquêteur, Morgan Vanlerberghe s’est intéressé à un fait divers qui a marqué les esprits dans l’arrondissement d’Avesnes. Le 25 février 2003, au relais nautique d’Hachette à Locquignol, des ouvriers découvrent un bras et une jambe à l’intérieur de sacs-poubelles. Une semaine plus tard, le tronc de la victime est retrouvé à Vieux-Condé. Cette dernière est identifiée. Il s’agit de Janine Sopka, une sexagénaire de Saint-Hilaire-sur-Helpe.
Un mode opératoire différent ?
Évidemment, ce meurtre a mis en alerte les policiers belges. Et même si un suspect a été placé en détention provisoire avant d’être innocenté, cette affaire reste non résolue à ce jour. Pour Morgan Vanlerberghe, elle n’aurait aucun lien avec le dépeceur de Mons. « J’émets beaucoup de réserve, analyse-t-il. Le mode opératoire ne correspond pas. Janine Sopka a été mutilée en séparant le bassin du tronc. Cette technique n’a été utilisée que sur une seule victime du dépeceur. Il a ensuite évolué car cette manière de procéder était trop complexe. » De simples hypothèses évoquent la piste d’un imitateur ou d’un meurtrier opportuniste qui aurait voulu faire porter le chapeau au tueur en série belge.
En revanche, le dépeceur de Mons aurait très bien pu se débarrasser de restes humains en France. Les auteurs du livre se sont intéressés à la découverte d’un crâne en mars 2003 sur une propriété de Buvignies. Un crâne contenu dans un sachet d’une boucherie belge qui ne disposait d’aucun point de vente de l’autre côté de la frontière. « Depuis nous n’avons jamais eu de nouvelles, car le crâne a tout simplement disparu, il a été perdu dans les locaux de la PJ de Lille ! », regrette Morgan Vanlerberghe. Un raté qui renforce un peu plus l’épais brouillard autour de l’identité du dépeceur.
Les restes de Janine Sopka ont été découverts sur les berges de la Sambre à Locquignol en 2003.
Les restes de Janine Sopka ont été découverts sur les berges de la Sambre à Locquignol en 2003.
Image auteur par défaut
Par La Voix du Nord
Publié:
24 Mars 2022 à 17h36
Avec sa casquette d’enquêteur, Morgan Vanlerberghe s’est intéressé à un fait divers qui a marqué les esprits dans l’arrondissement d’Avesnes. Le 25 février 2003, au relais nautique d’Hachette à Locquignol, des ouvriers découvrent un bras et une jambe à l’intérieur de sacs-poubelles. Une semaine plus tard, le tronc de la victime est retrouvé à Vieux-Condé. Cette dernière est identifiée. Il s’agit de Janine Sopka, une sexagénaire de Saint-Hilaire-sur-Helpe.
Un mode opératoire différent ?
Évidemment, ce meurtre a mis en alerte les policiers belges. Et même si un suspect a été placé en détention provisoire avant d’être innocenté, cette affaire reste non résolue à ce jour. Pour Morgan Vanlerberghe, elle n’aurait aucun lien avec le dépeceur de Mons. « J’émets beaucoup de réserve, analyse-t-il. Le mode opératoire ne correspond pas. Janine Sopka a été mutilée en séparant le bassin du tronc. Cette technique n’a été utilisée que sur une seule victime du dépeceur. Il a ensuite évolué car cette manière de procéder était trop complexe. » De simples hypothèses évoquent la piste d’un imitateur ou d’un meurtrier opportuniste qui aurait voulu faire porter le chapeau au tueur en série belge.
En revanche, le dépeceur de Mons aurait très bien pu se débarrasser de restes humains en France. Les auteurs du livre se sont intéressés à la découverte d’un crâne en mars 2003 sur une propriété de Buvignies. Un crâne contenu dans un sachet d’une boucherie belge qui ne disposait d’aucun point de vente de l’autre côté de la frontière. « Depuis nous n’avons jamais eu de nouvelles, car le crâne a tout simplement disparu, il a été perdu dans les locaux de la PJ de Lille ! », regrette Morgan Vanlerberghe. Un raté qui renforce un peu plus l’épais brouillard autour de l’identité du dépeceur.
mimi
Re: JANINE SOPKA une victime du dépeceur de Mons?
Janine Sopka, la 6e victime ? (3/3)
De l’autre côté de la frontière, à 40 km de la ville belge, personne n’a oublié l’horrible fait divers qui a défrayé la chronique, il y a quatorze ans au cœur de l’Avesnois. Le nom de la victime d’un meurtre sanglant, une Saint-Hilairoise de 60 ans, Janine Sopka, revient régulièrement alimenter les conversations. Mais, comme pour le dépeceur, il n’y a aucune piste solide depuis 2003.
Les gendarmes à la recherche d’indices sur les berges de la Sambre après la découverte des restes du corps de Janine Sopka, en 2003.
Les gendarmes à la recherche d’indices sur les berges de la Sambre après la découverte des restes du corps de Janine Sopka, en 2003.
21 Mars 2017 à 17h17
Le 25 février 2003, alors qu’ils réalisent des travaux au relais nautique d’Hachette, à Locquignol, des ouvriers trouvent sur les berges de la Sambre des sacs-poubelles contenant un bras coupé net sous l’épaule jusqu’au poignet et une jambe sectionnée à mi-cuisse jusqu’au pied.
L’enquête de la gendarmerie s’oriente assez vite sur la piste « Janine Sopka », une habitante de Saint-Hilaire-sur-Helpe dont la disparition avait été signalée le 19 février par sa voisine. Le vernis rouge recouvrant les ongles du pied mutilé est semblable à celui contenu dans un flacon retrouvé au domicile de la sexagénaire.
Une découpe soignée
Une semaine plus tard, dans la rivière l’Escaut cette fois, à Vieux-Condé, un demi-tronc de femme est repêché par les gendarmes. L’autopsie du tronc coupé sous la cage thoracique et celle des restes humains retrouvés dans l’Avesnois montrent une similitude : une découpe soignée, presque professionnelle. La signature du dépeceur ?
Des tests ADN comparatifs, à partir d’échantillons prélevés au domicile de la victime, corroborent l’identité. Les restes humains sont ceux de Janine Sopka.
Quelques jours plus tard, alors qu’une psychose grandit en Sambre-Avesnois, nouvelle découverte macabre. Le puzzle macabre et des coïncidences dans le modus operandi, comme les sacs-poubelles et la découpe, suscitent côté belge un intérêt judiciaire et médiatique. La cellule Corpus de la police de Mons se déplace. En décembre 2003, coup de théâtre, la gendarmerie boucle le village de Saint-Hilaire. Le directeur d’une scierie, située près de la maison de Janine Sopka, est arrêté, mis en examen pour homicide et écroué. Après neuf jours de détention provisoire, il est libéré, innocenté par des tests ADN. Depuis, l’homme est décédé et l’enquête n’a pas avancé. Comme Outrequiévrain, l’horrible mystère demeure.
De l’autre côté de la frontière, à 40 km de la ville belge, personne n’a oublié l’horrible fait divers qui a défrayé la chronique, il y a quatorze ans au cœur de l’Avesnois. Le nom de la victime d’un meurtre sanglant, une Saint-Hilairoise de 60 ans, Janine Sopka, revient régulièrement alimenter les conversations. Mais, comme pour le dépeceur, il n’y a aucune piste solide depuis 2003.
Les gendarmes à la recherche d’indices sur les berges de la Sambre après la découverte des restes du corps de Janine Sopka, en 2003.
Les gendarmes à la recherche d’indices sur les berges de la Sambre après la découverte des restes du corps de Janine Sopka, en 2003.
21 Mars 2017 à 17h17
Le 25 février 2003, alors qu’ils réalisent des travaux au relais nautique d’Hachette, à Locquignol, des ouvriers trouvent sur les berges de la Sambre des sacs-poubelles contenant un bras coupé net sous l’épaule jusqu’au poignet et une jambe sectionnée à mi-cuisse jusqu’au pied.
L’enquête de la gendarmerie s’oriente assez vite sur la piste « Janine Sopka », une habitante de Saint-Hilaire-sur-Helpe dont la disparition avait été signalée le 19 février par sa voisine. Le vernis rouge recouvrant les ongles du pied mutilé est semblable à celui contenu dans un flacon retrouvé au domicile de la sexagénaire.
Une découpe soignée
Une semaine plus tard, dans la rivière l’Escaut cette fois, à Vieux-Condé, un demi-tronc de femme est repêché par les gendarmes. L’autopsie du tronc coupé sous la cage thoracique et celle des restes humains retrouvés dans l’Avesnois montrent une similitude : une découpe soignée, presque professionnelle. La signature du dépeceur ?
Des tests ADN comparatifs, à partir d’échantillons prélevés au domicile de la victime, corroborent l’identité. Les restes humains sont ceux de Janine Sopka.
Quelques jours plus tard, alors qu’une psychose grandit en Sambre-Avesnois, nouvelle découverte macabre. Le puzzle macabre et des coïncidences dans le modus operandi, comme les sacs-poubelles et la découpe, suscitent côté belge un intérêt judiciaire et médiatique. La cellule Corpus de la police de Mons se déplace. En décembre 2003, coup de théâtre, la gendarmerie boucle le village de Saint-Hilaire. Le directeur d’une scierie, située près de la maison de Janine Sopka, est arrêté, mis en examen pour homicide et écroué. Après neuf jours de détention provisoire, il est libéré, innocenté par des tests ADN. Depuis, l’homme est décédé et l’enquête n’a pas avancé. Comme Outrequiévrain, l’horrible mystère demeure.
mimi
Re: JANINE SOPKA une victime du dépeceur de Mons?
Affaire Janine Sopka : dix ans après, le mystère demeure (PHOTOS+SON+VIDÉO)
Dans l’Avesnois, personne n’a oublié l’horrible fait divers qui a défrayé la chronique il y a dix ans. Le nom de la victime d’un meurtre sanglant, une Saint-Hilairoise de 60 ans, Janine Sopka, revient régulièrement alimenter les conversations. C’est désormais une « cold case » comme disent les Américains, une affaire classée en 2011. Seul un nouvel élément probant, de nouvelles révélations, pourraient relancer l’enquête.
17 février 2013 à 13h28
Le 25 février 2003, au relais nautique d’Hachette, à Locquignol, des ouvriers trouvent sur les berges de la Sambre des sacs poubelle contenant un bras coupé net sous l’épaule jusqu’au poignet et une jambe sectionnée à mi-cuisse jusqu’au pied. L’enquête s’oriente vite sur la piste « Janine Sopka », une habitante de Saint-Hilaire disparue le 19 février. Une semaine plus tard, dans la rivière l’Escaut, à Vieux-Condé, un demi-tronc de femme est repêché par les gendarmes. L’autopsie du tronc et celle des restes humains retrouvés dans l’Avesnois montrent une similitude. Des tests ADN confirment l’identité de Janine Sopka.
Le dépeceur de Mons ?
Le puzzle macabre et des coïncidences dans le modus operandi, comme les sacs poubelle et la découpe, suscitent côté belge un intérêt judiciaire et médiatique. La cellule Corpus de la police qui enquête sur le dépeceur de Mons, se déplace. En décembre 2003, coup de théâtre, la gendarmerie boucle Saint-Hilaire. Jacques Pluchard, le directeur d’une scierie, située près de la maison de la victime, est arrêté, mis en examen pour homicide et écroué. Après neuf jours de détention provisoire, il est libéré, mais il reste mis en examen jusqu’à son décès fin 2010. Le parquet d’Avesnes rendra un non-lieu en août 2011, laissant sans réponse l‘horrible crime.
Dans l’Avesnois, personne n’a oublié l’horrible fait divers qui a défrayé la chronique il y a dix ans. Le nom de la victime d’un meurtre sanglant, une Saint-Hilairoise de 60 ans, Janine Sopka, revient régulièrement alimenter les conversations. C’est désormais une « cold case » comme disent les Américains, une affaire classée en 2011. Seul un nouvel élément probant, de nouvelles révélations, pourraient relancer l’enquête.
17 février 2013 à 13h28
Le 25 février 2003, au relais nautique d’Hachette, à Locquignol, des ouvriers trouvent sur les berges de la Sambre des sacs poubelle contenant un bras coupé net sous l’épaule jusqu’au poignet et une jambe sectionnée à mi-cuisse jusqu’au pied. L’enquête s’oriente vite sur la piste « Janine Sopka », une habitante de Saint-Hilaire disparue le 19 février. Une semaine plus tard, dans la rivière l’Escaut, à Vieux-Condé, un demi-tronc de femme est repêché par les gendarmes. L’autopsie du tronc et celle des restes humains retrouvés dans l’Avesnois montrent une similitude. Des tests ADN confirment l’identité de Janine Sopka.
Le dépeceur de Mons ?
Le puzzle macabre et des coïncidences dans le modus operandi, comme les sacs poubelle et la découpe, suscitent côté belge un intérêt judiciaire et médiatique. La cellule Corpus de la police qui enquête sur le dépeceur de Mons, se déplace. En décembre 2003, coup de théâtre, la gendarmerie boucle Saint-Hilaire. Jacques Pluchard, le directeur d’une scierie, située près de la maison de la victime, est arrêté, mis en examen pour homicide et écroué. Après neuf jours de détention provisoire, il est libéré, mais il reste mis en examen jusqu’à son décès fin 2010. Le parquet d’Avesnes rendra un non-lieu en août 2011, laissant sans réponse l‘horrible crime.
mimi
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