Les tueries du Brabant Belgique
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Tueur en série : le grêlé. :: AFFAIRES EN COURS :: NON ÉLUCIDÉ
Cellule Cold cases, É. Foray, M.Boisseranc, S.Alloard, C.Giboire, K.Leroy, J.Heusèle, S. Viguier...
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Mort de Bouhouche. . .La CBW se contredit!
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Publié le 02-01-06 à 12h17.
L'ancien gendarme Bouhouche serait mort
'' Une commission rogatoire est partie en France
BRUXELLES Le probable décès de l'ancien gendarme Madani Bouhouche, annoncé lundi par les quotidiens Le Soir et De Morgen sur base de source officieuse, marquerait la disparition d'une figure récurrente de plusieurs affaires de grande criminalité des années 80. Ancien de la BSR de Bruxelles, amoureux des armes, Madani Bouhouche serait décédé il y a une dizaine de jours en France, dans la région montagneuse où il s'était retiré. Il serait mort dans un banal accident provoqué par la chute d'un arbre qu'il était en train de scier. Bouhouche était âgé de 53 ans.
Son nom et celui de son ex-collègue gendarme de la BSR de Bruxelles Robert Beijer resteront liés à plusieurs dossiers de grande criminalité non élucidés des années '80. Des dossiers «flirtant » parfois avec celui des tueries du Brabant. Lors de leur «mégaprocès » devant la cour d'assises du Brabant, en 1994 et 1995, les accusés avaient dû répondre d'une série impressionnante de crimes et délits commis entre 1981 et 1989. Après cinq mois d'audience cependant, certains de ces faits, pour lesquels les accusés avaient été acquittés, étaient demeurés inexpliqués.
Parmi ceux-ci, le meurtre de l'ingénieur de la FN Juan Mendez, commis le 7 janvier 1986 sur la voie d'accès «Rosières » de l'autoroute Bruxelles-Namur, et pour lequel Madani Bouhouche était accusé. Le jury avait innocenté Bouhouche de ce crime, même s'il l'avait reconnu coupable du vol d'armes commis à son domicile quelques mois avant sa mort. La cour d'assises avait également blanchi Bouhouche pour deux attentats commis en octobre 1981, contre le major de gendarmerie Herman Vernaillen, chef du district de Bruxelles, et contre un véhicule de la BSR. Il avait par contre été reconnu coupable de recel d'armes volées en 1982 à l'Escadron Spécial d'Intervention de la gendarmerie.
La cour avait imputé à Bouhouche la location d'une série de boxes de garages et de flats dans lesquels des armes avaient été retrouvées. L'enquête avait été menée en parallèle à celle sur les tueries du Brabant. Bouhouche avait été qualifié de chef d'une association de malfaiteurs, mais la cour n'avait pu lever le voile sur cette mystérieuse association, dont elle n'avait pu désigner ni l'identité, ni les membres, ni les buts ou les commanditaires éventuels.
Si Bouhouche avait été innocenté du meurtre de Juan Mendez, les jurés l'avaient par contre reconnu coupable de vol, avec la circonstance aggravante qu'un homicide avait été commis, dans «l'affaire Zwarts », du nom d'un agent de sécurité de la Sabena disparu «corps et biens » en 1982 avec sa cargaison d'or et de valeurs à Zaventem. Bouhouche avait également été jugé coupable du meurtre du négociant libanais Ali Souleiman et d'une tentative de meurtre sur le frère de ce dernier, Ali Saïd, le 2 septembre 1989 lors d'une «expédition » menée à Anvers avec Beijer et dont l'objet demeure ténébreux. Ces deux crimes avaient pesé lourd dans la balance lors de l'arrêt de la cour.
Robert Beijer, qui comparaissait aux côtés de Bouhouche devant les assises, avait été condamné à 14 ans de réclusion. Les deux derniers co-accusés, Christian Amory et René Chang, avaient été acquittés.
Dans l'arrêt du 13 février 1995 condamnant Madani Bouhouche à vingt ans de travaux forcés, la cour d'assises avait tenu compte du dépassement du délai raisonnable dans lequel tout accusé a le droit d'être jugé. La peine principale avait dès lors été atténuée.
Bouhouche avait été remis en liberté conditionnelle en septembre 2000. Retiré en France depuis, il s'était abstenu de revenir en Belgique en octobre 2001 pour témoigner au procès d'assises de son ancien compagnon Jean-François Buslik.
Une commission rogatoire composée d'enquêteurs de la "Cellule Brabant wallon"
Une commission rogatoire a pris le départ pour le sud de la France à la suite de l'annonce du décès de Madani Bouhouche, confirme-t-on lundi à Charleroi de source judiciaire. Cette commission rogatoire est composée d'enquêteurs de la "Cellule Brabant wallon" chargée depuis de nombreuses années du dossier relatif aux tueries du Brabant. La piste de Madani Bouhouche, en raison de son passé judiciaire, avait été l'une de celles longtemps privilégiées par cette cellule, mais les innombrables investigations menées à son propos n'avaient jamais permis de démontrer son implication dans ces tueries qui avaient, plusieurs années durant, ensanglanté le pays et causé la mort de 28 personnes, avant de prendre fin de manière mystérieuse.
Une des causes de l'arrêt de ces agressions meurtrières pourrait avoir été le décès de celui qui en était considéré comme le chef, et qui aurait été blessé lors de la dernière attaque. Il y a quelques mois, des fouilles entreprises dans des bois limitrophes de la région du Centre et du Brabant n'avaient pas davantage apporté d'éléments neufs à l'enquête.
Bouhouche, qui avait encouru des condamnations pour d'autres faits, faisait l'objet d'une libération conditionnelle. Il vivait retiré en ermite dans la région de Foix, dans le sud de la France.
Selon les informations dont on dispose, son décès accidentel est survenu à la fin du mois de novembre, alors qu'il se livrait à des travaux de bûcheronnage en forêt: il a été écrasé par un arbre. Le décès avait été signalé de manière officielle par la famille à l'assistanat de probation qui veillait au bon déroulement de sa libération conditionnelle.
On précise également de source judiciaire à Charleroi que cette commission rogatoire n'est motivée par aucun élément nouveau survenu à propos de l'implication éventuelle de Bouhouche dans le dossier des tueries. Il s'agit simplement, dit-on encore, de mettre un terme définitif à cette piste déjà abandonnée par les enquêteurs.''
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Publié le 05-01-06 à 07h46
Bouhouche était dans le collimateur
'' Les récentes études effectuées par la cellule de Jumet menaient de nouveau à lui
CHARLEROI Eternel suspect dans le dossier des tueries du Brabant, Madani Bouhouche est décédé le 22 novembre, dans son chalet de Fougax-et-Barrineuf, perdu dans les montagnes de l'Ariège.
Exploitant les nouvelles techniques d'investigation, les enquêteurs de Jumet avaient diligenté des études de profiling et de géomatique, qui sert à localiser les points de chute des tueurs, à l'époque des faits. Et coïncidence, le nom de l'ex-gendarme est réapparu, parmi d'autres. Mais en consultant le registre national, les policiers ont constaté que Bouhouche était décédé. Visiblement, l'assistant de probation n'a pas eu le réflexe de prévenir la cellule belge, ce qui a laissé tout le temps à la famille du défunt de faire disparaître des preuves, si un jour elles ont existé. «Madani Bouhouche a toujours fait partie des profils intéressants, dans le cadre des investigations sur les tueries du Brabant», explique le juge Lacroix. «Il était donc opportun, à l'annonce de son décès, d'aller perquisitionner son lieu de résidence.» Sur place, les enquêteurs ont découvert un riot-gun. Une arme qui ne correspond pas à celles utilisées par les tueurs. Mais l'on connaît les talents d'armurier de l'ex-gendarme... Le disque dur d'un PC doit être analysé, tout comme des documents des années 80.
La cellule de Jumet ne cache pas qu'un nouvel interrogatoire de Bouhouche était envisageable vu les dernières études. L'individu a toujours fait partie des suspects. On s'est d'ailleurs toujours demandé pourquoi Madani Bouhouche avait dépensé plus d'un million de francs pour louer des boxes de garage. On sait que les tueurs du Brabant volaient leurs véhicules plusieurs mois avant les faits et les cachaient. Où? Personne ne l'a jamais su.. .''
Commentaire :
Dans le premier article, daté du 02 Janvier, les sources judiciaires indiquent que '' cette commission rogatoire n'est motivée par aucun élément nouveau survenu à propos de l'implication éventuelle de Bouhouche dans le dossier des tueries. Il s'agit simplement, dit-on encore, de mettre un terme définitif à cette piste déjà abandonnée par les enquêteurs ''
Dans le suivant, daté du 05 Janvier, suite aux nouvelles informations collectées par le journaliste sur les études de profiling et de géomatique qui ont, encore une fois, mis en évidence le nom de Bouhouche, la même cellule d'enquête, contredit cette fois son mensonge: '' La cellule de Jumet ne cache pas ( Ne cache plus) qu'un nouvel interrogatoire de Bouhouche était envisageable vu les dernières études''
Il est à remarquer que cet '' accident '' de bucheronnage survient précisément au moment où la justice reporte la prescription de 10 ans. . .
'' VIVA LA PLAYA DE ESPANA DANI ''
Des Belges n'ont pas abdiqués!
Cordialement,
Publié le 02-01-06 à 12h17.
L'ancien gendarme Bouhouche serait mort
'' Une commission rogatoire est partie en France
BRUXELLES Le probable décès de l'ancien gendarme Madani Bouhouche, annoncé lundi par les quotidiens Le Soir et De Morgen sur base de source officieuse, marquerait la disparition d'une figure récurrente de plusieurs affaires de grande criminalité des années 80. Ancien de la BSR de Bruxelles, amoureux des armes, Madani Bouhouche serait décédé il y a une dizaine de jours en France, dans la région montagneuse où il s'était retiré. Il serait mort dans un banal accident provoqué par la chute d'un arbre qu'il était en train de scier. Bouhouche était âgé de 53 ans.
Son nom et celui de son ex-collègue gendarme de la BSR de Bruxelles Robert Beijer resteront liés à plusieurs dossiers de grande criminalité non élucidés des années '80. Des dossiers «flirtant » parfois avec celui des tueries du Brabant. Lors de leur «mégaprocès » devant la cour d'assises du Brabant, en 1994 et 1995, les accusés avaient dû répondre d'une série impressionnante de crimes et délits commis entre 1981 et 1989. Après cinq mois d'audience cependant, certains de ces faits, pour lesquels les accusés avaient été acquittés, étaient demeurés inexpliqués.
Parmi ceux-ci, le meurtre de l'ingénieur de la FN Juan Mendez, commis le 7 janvier 1986 sur la voie d'accès «Rosières » de l'autoroute Bruxelles-Namur, et pour lequel Madani Bouhouche était accusé. Le jury avait innocenté Bouhouche de ce crime, même s'il l'avait reconnu coupable du vol d'armes commis à son domicile quelques mois avant sa mort. La cour d'assises avait également blanchi Bouhouche pour deux attentats commis en octobre 1981, contre le major de gendarmerie Herman Vernaillen, chef du district de Bruxelles, et contre un véhicule de la BSR. Il avait par contre été reconnu coupable de recel d'armes volées en 1982 à l'Escadron Spécial d'Intervention de la gendarmerie.
La cour avait imputé à Bouhouche la location d'une série de boxes de garages et de flats dans lesquels des armes avaient été retrouvées. L'enquête avait été menée en parallèle à celle sur les tueries du Brabant. Bouhouche avait été qualifié de chef d'une association de malfaiteurs, mais la cour n'avait pu lever le voile sur cette mystérieuse association, dont elle n'avait pu désigner ni l'identité, ni les membres, ni les buts ou les commanditaires éventuels.
Si Bouhouche avait été innocenté du meurtre de Juan Mendez, les jurés l'avaient par contre reconnu coupable de vol, avec la circonstance aggravante qu'un homicide avait été commis, dans «l'affaire Zwarts », du nom d'un agent de sécurité de la Sabena disparu «corps et biens » en 1982 avec sa cargaison d'or et de valeurs à Zaventem. Bouhouche avait également été jugé coupable du meurtre du négociant libanais Ali Souleiman et d'une tentative de meurtre sur le frère de ce dernier, Ali Saïd, le 2 septembre 1989 lors d'une «expédition » menée à Anvers avec Beijer et dont l'objet demeure ténébreux. Ces deux crimes avaient pesé lourd dans la balance lors de l'arrêt de la cour.
Robert Beijer, qui comparaissait aux côtés de Bouhouche devant les assises, avait été condamné à 14 ans de réclusion. Les deux derniers co-accusés, Christian Amory et René Chang, avaient été acquittés.
Dans l'arrêt du 13 février 1995 condamnant Madani Bouhouche à vingt ans de travaux forcés, la cour d'assises avait tenu compte du dépassement du délai raisonnable dans lequel tout accusé a le droit d'être jugé. La peine principale avait dès lors été atténuée.
Bouhouche avait été remis en liberté conditionnelle en septembre 2000. Retiré en France depuis, il s'était abstenu de revenir en Belgique en octobre 2001 pour témoigner au procès d'assises de son ancien compagnon Jean-François Buslik.
Une commission rogatoire composée d'enquêteurs de la "Cellule Brabant wallon"
Une commission rogatoire a pris le départ pour le sud de la France à la suite de l'annonce du décès de Madani Bouhouche, confirme-t-on lundi à Charleroi de source judiciaire. Cette commission rogatoire est composée d'enquêteurs de la "Cellule Brabant wallon" chargée depuis de nombreuses années du dossier relatif aux tueries du Brabant. La piste de Madani Bouhouche, en raison de son passé judiciaire, avait été l'une de celles longtemps privilégiées par cette cellule, mais les innombrables investigations menées à son propos n'avaient jamais permis de démontrer son implication dans ces tueries qui avaient, plusieurs années durant, ensanglanté le pays et causé la mort de 28 personnes, avant de prendre fin de manière mystérieuse.
Une des causes de l'arrêt de ces agressions meurtrières pourrait avoir été le décès de celui qui en était considéré comme le chef, et qui aurait été blessé lors de la dernière attaque. Il y a quelques mois, des fouilles entreprises dans des bois limitrophes de la région du Centre et du Brabant n'avaient pas davantage apporté d'éléments neufs à l'enquête.
Bouhouche, qui avait encouru des condamnations pour d'autres faits, faisait l'objet d'une libération conditionnelle. Il vivait retiré en ermite dans la région de Foix, dans le sud de la France.
Selon les informations dont on dispose, son décès accidentel est survenu à la fin du mois de novembre, alors qu'il se livrait à des travaux de bûcheronnage en forêt: il a été écrasé par un arbre. Le décès avait été signalé de manière officielle par la famille à l'assistanat de probation qui veillait au bon déroulement de sa libération conditionnelle.
On précise également de source judiciaire à Charleroi que cette commission rogatoire n'est motivée par aucun élément nouveau survenu à propos de l'implication éventuelle de Bouhouche dans le dossier des tueries. Il s'agit simplement, dit-on encore, de mettre un terme définitif à cette piste déjà abandonnée par les enquêteurs.''
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Publié le 05-01-06 à 07h46
Bouhouche était dans le collimateur
'' Les récentes études effectuées par la cellule de Jumet menaient de nouveau à lui
CHARLEROI Eternel suspect dans le dossier des tueries du Brabant, Madani Bouhouche est décédé le 22 novembre, dans son chalet de Fougax-et-Barrineuf, perdu dans les montagnes de l'Ariège.
Exploitant les nouvelles techniques d'investigation, les enquêteurs de Jumet avaient diligenté des études de profiling et de géomatique, qui sert à localiser les points de chute des tueurs, à l'époque des faits. Et coïncidence, le nom de l'ex-gendarme est réapparu, parmi d'autres. Mais en consultant le registre national, les policiers ont constaté que Bouhouche était décédé. Visiblement, l'assistant de probation n'a pas eu le réflexe de prévenir la cellule belge, ce qui a laissé tout le temps à la famille du défunt de faire disparaître des preuves, si un jour elles ont existé. «Madani Bouhouche a toujours fait partie des profils intéressants, dans le cadre des investigations sur les tueries du Brabant», explique le juge Lacroix. «Il était donc opportun, à l'annonce de son décès, d'aller perquisitionner son lieu de résidence.» Sur place, les enquêteurs ont découvert un riot-gun. Une arme qui ne correspond pas à celles utilisées par les tueurs. Mais l'on connaît les talents d'armurier de l'ex-gendarme... Le disque dur d'un PC doit être analysé, tout comme des documents des années 80.
La cellule de Jumet ne cache pas qu'un nouvel interrogatoire de Bouhouche était envisageable vu les dernières études. L'individu a toujours fait partie des suspects. On s'est d'ailleurs toujours demandé pourquoi Madani Bouhouche avait dépensé plus d'un million de francs pour louer des boxes de garage. On sait que les tueurs du Brabant volaient leurs véhicules plusieurs mois avant les faits et les cachaient. Où? Personne ne l'a jamais su.. .''
Commentaire :
Dans le premier article, daté du 02 Janvier, les sources judiciaires indiquent que '' cette commission rogatoire n'est motivée par aucun élément nouveau survenu à propos de l'implication éventuelle de Bouhouche dans le dossier des tueries. Il s'agit simplement, dit-on encore, de mettre un terme définitif à cette piste déjà abandonnée par les enquêteurs ''
Dans le suivant, daté du 05 Janvier, suite aux nouvelles informations collectées par le journaliste sur les études de profiling et de géomatique qui ont, encore une fois, mis en évidence le nom de Bouhouche, la même cellule d'enquête, contredit cette fois son mensonge: '' La cellule de Jumet ne cache pas ( Ne cache plus) qu'un nouvel interrogatoire de Bouhouche était envisageable vu les dernières études''
Il est à remarquer que cet '' accident '' de bucheronnage survient précisément au moment où la justice reporte la prescription de 10 ans. . .
'' VIVA LA PLAYA DE ESPANA DANI ''
Des Belges n'ont pas abdiqués!
Cordialement,
JM
Re: Les tueries du Brabant Belgique
Il est à remarquer que le corps retrouvé sur la propriété de Bouhouche fut décapité par la tronçonneuse, et que la tête fut écrasée par l'arbre scié.
Il n'y eu aucune prise ADN, avant que le corps ne soit incinéré, ou envoyé à la destruction, c'est selon. . .Je ne trouve plus cet interview d'un enquêteurs qui disait quelque chose du genre'' Si vous aviez vu les photos du corps, vous n'auriez plus de doute. . .''
Ils ne s'en sortent déjà pas avec un Portrait robot, ni une reconnaissance visuelle faite par un des gendarmes blessé à Hooilaerts, mais ici, les sherlocks ont reconnu une tête écrasée. . . . . .MWAI. . .
Cordialement,
JM
Re: Les tueries du Brabant Belgique
Interview de José Mendez ( frère de Juan Mendez) au sujet de Bouhouche :
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Il y a des attitudes qui n'ont apparemment jamais changé.
''il y en avait qui connaissaient très bien leur ex-collègue''.....Oui et surtout Bouhouche les connaissaient très bien...Connaitre les honteuses manies, et autres implications de ses poursuivants, est gage de tranquillité.
Je me demande qui est le plus détestable, le petit Bouhouche ou les toutous pas trop clean qui le protègent ?
Cordialement,
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José Mendez :
'' "Je me souviens du jour de l'arrestation de Bouhouche. Il a été mis au secret à l'école de gendarmerie. Le juge d'instruction Schlicker a reconnu que la moitié de la gendarmerie était allée saluer Bouhouche. C'était un défilé permanent de gendarmes qui n'avaient rien à voir avec le dossier, alors que Bouhouche était au secret. Même parmi les gendarmes qui étaient chargés du dossier, il y en avait qui connaissaient très bien leur ex-collègue. Pendant tout l'enquête, Bouhouche savait tout ce qui se passait."
Il y a des attitudes qui n'ont apparemment jamais changé.
''il y en avait qui connaissaient très bien leur ex-collègue''.....Oui et surtout Bouhouche les connaissaient très bien...Connaitre les honteuses manies, et autres implications de ses poursuivants, est gage de tranquillité.
Je me demande qui est le plus détestable, le petit Bouhouche ou les toutous pas trop clean qui le protègent ?
Cordialement,
JM
Re: Les tueries du Brabant Belgique
Le nom de Michel Proot est-il déjà paru dans le dossier ?
Je viens de lire un article sur ce belge installé en France, condamné pour un premier meurtre à Hoegaarden pendant sa jeunesse de braqueur de banques, puis pour deux suivants : celui de sa femme, ainsi que celui d'une retraité de son village pour maquiller l'homicide conjugal.
Joli spécimen hein.
Un dossier d'articles de presse sur les tueries du Brabant a été retrouvé soigneusement rangé dans son grenier.
Je connais très mal le dossier, mais le profil m'a fait tiqué.
L'article en question : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Je viens de lire un article sur ce belge installé en France, condamné pour un premier meurtre à Hoegaarden pendant sa jeunesse de braqueur de banques, puis pour deux suivants : celui de sa femme, ainsi que celui d'une retraité de son village pour maquiller l'homicide conjugal.
Joli spécimen hein.
Un dossier d'articles de presse sur les tueries du Brabant a été retrouvé soigneusement rangé dans son grenier.
Je connais très mal le dossier, mais le profil m'a fait tiqué.
L'article en question : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Gorloge
Re: Les tueries du Brabant Belgique
C'est invraisemblable, le nombre de pistes embourbées, avortées, dissipées au vent du nord depuis longtemps sur ce dossier.
Autant les protections occultes dont aurait bénéficié Vérove -certains s'en sont gargarisé ici- ça relavait du fantasme...
Autant il y a visiblement de gros intérêts politiques en jeu dans ce dossier. Et ça remonte à loin, à la Belgique années de plomb de la décennie 1980s.
PS Le scénariste BD Bucquoy a bien décrit cette atmosphère dans certains albums publiés à l'époque.
Autant les protections occultes dont aurait bénéficié Vérove -certains s'en sont gargarisé ici- ça relavait du fantasme...
Autant il y a visiblement de gros intérêts politiques en jeu dans ce dossier. Et ça remonte à loin, à la Belgique années de plomb de la décennie 1980s.
PS Le scénariste BD Bucquoy a bien décrit cette atmosphère dans certains albums publiés à l'époque.
Invité- Invité
Re: Les tueries du Brabant Belgique
Un témoignage interpellant concernant l'attaque du Delhaize d'Alost paru récemment dans De Morgen( article de Douglas de Coninck). Je joins un extrait de l'article, traduit à partir de Google. Des précisions sur ce témoignage ont depuis été apportées sur le forum de nos amis flamands relatifs à cette affaire.
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pyrénéen
Re: Les tueries du Brabant Belgique
Un document sur l'explication donnée par le commandant de gendarmerie d' Alost sur l'arrêt de la survaillance du Delhaize un quart d'heure avant l'heure normale.
Cet article est tiré du forum de nos amis flamands.
La question s'était posée puisque les 2 autres grandes surfaces de la ville fermaient à 18 et 19 heures.
Selon le commandant Millecamps, cette décision s'explique par le fait que la plus grande partie de la recette du jour avait déjà été évacuée .
N' était-ce pas le cas pour les journées précédentes ?
Comment les tueurs pouvaient-ils le savoir ?
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Cet article est tiré du forum de nos amis flamands.
La question s'était posée puisque les 2 autres grandes surfaces de la ville fermaient à 18 et 19 heures.
Selon le commandant Millecamps, cette décision s'explique par le fait que la plus grande partie de la recette du jour avait déjà été évacuée .
N' était-ce pas le cas pour les journées précédentes ?
Comment les tueurs pouvaient-ils le savoir ?
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pyrénéen
Re: Les tueries du Brabant Belgique
1) les tueurs ne sont pas apparus dès le départ des gendarmes, non c'est le contraire, les gendarmes ont dégagés alors qu'un tueur en long manteau, grimé et perruqué, se dirigeait vers le Delhaize.
2) Comment ont fait ces gendarmes, pour passer tout ce temps sur le parking sans se rendre compte que la Golf recherchée ( Ils sont là pour ca), sombre et dépourvue de siège arrière, se trouvait sur le parking ????
3) L'avantage d'une telle technique, arrivé avec un véhicule et repartir avec un autre déjà parqué sur site, permet de ne pas se retrouver sans place de parking une fois le moment de l'attaque arrivé ( surtout la veille d'une festivité)...Le truc c'est que la technique classique dite de ''la voiture mulet'' se résume à un véhicule anonyme qui se barre dès que la voiture des opérants se pointe sur les lieux. . .Cela ne se fait jamais avec un véhicule recherché, c'est stupide...Une telle méthode risque de faire capoter l'action. . .Les tueurs, de toute évidence ne craignaient pas de se la faire repérer, car leurs collègues corrompus par leurs vice, ont agi comme si elle n'était pas là.
Aujourd'hui encore, le chef de la CBW, l'agent Eddy R., ex gendarme de son état, continue de protéger ses collègues tueur en interdisant à des témoins d'en parler et de s'exprimer sur les réseaux sociaux. . .Mais je l'emmerde lui et ses honteuses manies.
Aujourd'hui, l'agent Eddy R. estime que son enquête n'ayant mené à rien ( Tu m'étonnes ripou!) souhaiterait, comme tout les coupables, que la prescription tombe. . .Il n'éprouve même pas de la honte ce fumier.
.
2) Comment ont fait ces gendarmes, pour passer tout ce temps sur le parking sans se rendre compte que la Golf recherchée ( Ils sont là pour ca), sombre et dépourvue de siège arrière, se trouvait sur le parking ????
3) L'avantage d'une telle technique, arrivé avec un véhicule et repartir avec un autre déjà parqué sur site, permet de ne pas se retrouver sans place de parking une fois le moment de l'attaque arrivé ( surtout la veille d'une festivité)...Le truc c'est que la technique classique dite de ''la voiture mulet'' se résume à un véhicule anonyme qui se barre dès que la voiture des opérants se pointe sur les lieux. . .Cela ne se fait jamais avec un véhicule recherché, c'est stupide...Une telle méthode risque de faire capoter l'action. . .Les tueurs, de toute évidence ne craignaient pas de se la faire repérer, car leurs collègues corrompus par leurs vice, ont agi comme si elle n'était pas là.
Aujourd'hui encore, le chef de la CBW, l'agent Eddy R., ex gendarme de son état, continue de protéger ses collègues tueur en interdisant à des témoins d'en parler et de s'exprimer sur les réseaux sociaux. . .Mais je l'emmerde lui et ses honteuses manies.
Aujourd'hui, l'agent Eddy R. estime que son enquête n'ayant mené à rien ( Tu m'étonnes ripou!) souhaiterait, comme tout les coupables, que la prescription tombe. . .Il n'éprouve même pas de la honte ce fumier.
.
Dernière édition par Kassandra88 le Lun 05 Sep 2022, 15:14, édité 1 fois (Raison : Message édité pour ne pas laisser apparaitre le patronyme de la personne évoquée.)
JM
Re: Les tueries du Brabant Belgique
Kassandra à flippé :J'ai écrit :
Aujourd'hui encore, le chef de la CBW, l'agent Eddy R., ex gendarme de son état, continue de protéger ses collègues tueur en interdisant à des témoins d'en parler et de s'exprimer sur les réseaux sociaux. . .Mais je l'emmerde lui et ses honteuses manies.
Aujourd'hui, l'agent Eddy R. estime que son enquête n'ayant mené à rien ( Tu m'étonnes ripou!) souhaiterait, comme tout les coupables, que la prescription tombe. . .Il n'éprouve même pas de la honte ce fumier.
Dernière édition par Kassandra88 le Lun 5 Sep - 15:14, édité 1 fois (Raison : Message édité pour ne pas laisser apparaitre le patronyme de la personne évoquée.)
Il est vrai que je ne peux empêcher ton trouillomètre de s'activer, mais il ne s'agit que du patronyme du chef d'enquête.
Il est public que celui ci se nomme EDDY RENARD.
Prochainement, je publierai une photo, tirée des médias, du sieur en question.
PS : Il est dommage que tu ne t'actives pas de la sorte quand les membres se font insulter, et que tu ne répondes pas aux questions qui te sont posées. . .Curieuse échelle de valeurs.
,
JM
Re: Les tueries du Brabant Belgique
JM a écrit:
Il est vrai que je ne peux empêcher ton trouillomètre de s'activer, mais il ne s'agit que du patronyme du chef d'enquête.
Il est public que celui ci se nomme EDDY RENARD.
Prochainement, je publierai une photo, tirée des médias, du sieur en question.
PS : Il est dommage que tu ne t'actives pas de la sorte quand les membres se font insulter, et que tu ne répondes pas aux questions qui te sont posées. . .Curieuse échelle de valeurs.
,
Bien avant son décès (qui remonte à 5 ans maintenant) Didier, le créateur de ce forum, avait bien insisté pour que les patronymes ne soient pas cités, sauf si le nom du quidam circulait librement. (comme celui de Fourniret par ex). C'est une demande que nous avons tous gardée. Les premières personnes visées par les plaintes en diffamation sont les administrateurs.
"membres qui se font insulter" je ne pourrais donner le nombre exact de publications que l'un des administrateurs à supprimées, justement parce qu'elles ne respectaient pas la charte. Maintenant, nous ne sommes pas infaillibles, il est possible que quelque chose a pu nous échapper.
Parfois, une pointe d'humour peut passer pour une insulte, la perception de chacun peut varier.
Si tu retrouves quelque part un post qui tu as trouvé insultant, indique moi l'endroit où il se trouve et on en discute. (NB: si ça concerne Chevaline vois plutôt avec Casta car je suis rarement sur ce fil).
"réponses aux questions" Encore une fois, je ne suis qu'en diagonale certains fils. Je peux donc ne pas avoir vu la question, ou simplement ne pas répondre car je ne connais pas la réponse.
Voilà mon échelle des valeurs.
Re: Les tueries du Brabant Belgique
JM a écrit:1) les tueurs ne sont pas apparus dès le départ des gendarmes, non c'est le contraire, les gendarmes ont dégagés alors qu'un tueur en long manteau, grimé et perruqué, se dirigeait vers le Delhaize.
C'est le grand apport de ce témoignage, c'est certain.
2) Comment ont fait ces gendarmes, pour passer tout ce temps sur le parking sans se rendre compte que la Golf recherchée ( Ils sont là pour ca), sombre et dépourvue de siège arrière, se trouvait sur le parking ????
Il y a autre chose qui m' étonne, c'est la durée du braquage . A 19H37 une habitante d ' Alost téléphone à la police municipale, ce qui implique que l'attaque a débuté à 19H35 ou 36.La fin du braquage intervient à 19 H 49 au mieux ( une caisse enregistreuse endommagée a cessé de fonctionner en mentionnant 19H48 ).13 minutes au moins , ça paraît énorme en comparaison de Braine quelques semaines avant . Après avoir tué autant de gens, ils auraient du être pressés de partir.
3) L'avantage d'une telle technique, arrivé avec un véhicule et repartir avec un autre déjà parqué sur site, permet de ne pas se retrouver sans place de parking une fois le moment de l'attaque arrivé ( surtout la veille d'une festivité)...Le truc c'est que la technique classique dite de ''la voiture mulet'' se résume à un véhicule anonyme qui se barre dès que la voiture des opérants se pointe sur les lieux. . .Cela ne se fait jamais avec un véhicule recherché, c'est stupide...Une telle méthode risque de faire capoter l'action. . .Les tueurs, de toute évidence ne craignaient pas de se la faire repérer, car leurs collègues corrompus par leurs vice, ont agi comme si elle n'était pas là.
Aujourd'hui encore, le chef de la CBW, l'agent Eddy R., ex gendarme de son état, continue de protéger ses collègues tueur en interdisant à des témoins d'en parler et de s'exprimer sur les réseaux sociaux. . .Mais je l'emmerde lui et ses honteuses manies.
Aujourd'hui, l'agent Eddy R. estime que son enquête n'ayant mené à rien ( Tu m'étonnes ripou!) souhaiterait, comme tout les coupables, que la prescription tombe. . .Il n'éprouve même pas de la honte ce fumier.
.
pyrénéen
Re: Les tueries du Brabant Belgique
Pyrénéen à écrit :
Il y a autre chose qui m' étonne, c'est la durée du braquage . A 19H37 une habitante d ' Alost téléphone à la police municipale, ce qui implique que l'attaque a débuté à 19H35 ou 36.La fin du braquage intervient à 19 H 49 au mieux ( une caisse enregistreuse endommagée a cessé de fonctionner en mentionnant 19H48 ).13 minutes au moins , ça paraît énorme en comparaison de Braine quelques semaines avant . Après avoir tué autant de gens, ils auraient du être pressés de partir.
Salut Pyrénéen,
c'est très juste. Quelque soit le motif de l'attaque, la terreur, la pression du racket etc. Il n'y a aucune raison qui justifie de trainasser ainsi.
On peux supposer que l'auteur qui s'est rendu aux coffre à trainé suite à un aléa quelconque, on peut aussi supposer qu'il se sont attardé, emporté par la notion de plaisir, car il ne faut pas oublier ce geste révélateur du géant lorsqu'il tire sur David V. :
Tiré du bouquin '' Survivant des tueurs du Brabant '' David Van De Steen et Annemie Bulté.
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''Je regarde le canon du fusil, pointé vers moi. Il semble vieux et en mauvais état. Ensuite, mon regard se fixe sur ses yeux bleus grand ouverts, qui ne clignent pas.
Des cheveux brun clair s’échappent de sa perruque. Le foulard qui recouvre son visage est en train de glisser. Je vois un visage émacié et une
verrue brune sur la joue, à côté du nez. Il ricane . Et il tire. Boum !
Géant aime ce qu'il fait donc.
Soit! Peu importe la raison de ce lambinage, tu as raison, ils ne semblent pas pressé de partir puisqu'ils sortent en marchant, tranquillement. . . Et surtout, pendant ces 13 minutes, la gendarmerie ne semblent pas pressée d'arriver. C'est un constat dont les tueurs semblent avoir conscience puisque contrairement à leurs habitudes ils ne sortent pas avec otage.
Mais surtout il est à constater que lorsque l'un des tueurs arrivé en Taunus se dirige pédibus vers le Delhaize, seulement à ce moment, pas avant, les R4 de la gendarmerie démarrent, et pour l'une s'arrête et charge deux collègue, puis s'en va. . .Ils ne devaient, ils ne pouvaient être loin quand les coups de feux ont éclaté sur la parking. . .Du 12 et un Ingram 9mm, ca pète sérieux. . .Ils n'ont pas pu ne pas entendre les premiers tirs.
Alors en plus de ne pas voir la Golf stationnée, ni les tueurs déguisés et armés, ces aveugles sont aussi sourds.
Il est triste de savoir que ca n'ira pas mieux dans les années qui viennent, car les activités des ex gendarmes qui composent la cellule est très mauvaise parait il pour l'ouïe.
Cordialement,
JM
Re: Les tueries du Brabant Belgique
Salut JM,
il y a en effet un problème concernant la surveillance du Delhaize.
Le 8 janvier 1986, M Nothomb, ministre de l'intérieur de Belgique, déclare devant une commission du Parlement : " la surveillance étant mobile, l'équipe de gendarmerie patrouillait à proximité immédiate du Delhaize ".
Dans un P-V 3989/85, l'équipe de gendarmerie précise en effet qu'elle patrouillait avec son véhicule " dans les rues voisines du Delhaize ".
Le problème, c'est que ce P-V mentionne : " nous sommes prévenus par radio d'un braquage chez Delhaize à 19H47 ".
Or l'alerte est donnée à 19H37.
Donc soit cette équipe ne se trouvait pas aux abords immédiats du Delhaize, seule grande surface d'Alost encore ouverte après 19H ce jour-là, soit les gendarmes la composant étaient en effet sourds.
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il y a en effet un problème concernant la surveillance du Delhaize.
Le 8 janvier 1986, M Nothomb, ministre de l'intérieur de Belgique, déclare devant une commission du Parlement : " la surveillance étant mobile, l'équipe de gendarmerie patrouillait à proximité immédiate du Delhaize ".
Dans un P-V 3989/85, l'équipe de gendarmerie précise en effet qu'elle patrouillait avec son véhicule " dans les rues voisines du Delhaize ".
Le problème, c'est que ce P-V mentionne : " nous sommes prévenus par radio d'un braquage chez Delhaize à 19H47 ".
Or l'alerte est donnée à 19H37.
Donc soit cette équipe ne se trouvait pas aux abords immédiats du Delhaize, seule grande surface d'Alost encore ouverte après 19H ce jour-là, soit les gendarmes la composant étaient en effet sourds.
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pyrénéen
Re: Les tueries du Brabant Belgique
Salut Pyrénéen,
mes commentaires sont en bleu.
Cordialement,
mes commentaires sont en bleu.
Pyrénéen à écrit :
Salut JM,
il y a en effet un problème concernant la surveillance du Delhaize.
Le 8 janvier 1986, M Nothomb, ministre de l'intérieur de Belgique, déclare devant une commission du Parlement : " la surveillance étant mobile, l'équipe de gendarmerie patrouillait à proximité immédiate du Delhaize ".
La défense proposée par les mis en cause, soit le fait qu'ils étaient mobiles, est un mensonge, un faux qui va à l'encontre des témoins qui les ont vus stationné à l'arrivée des tueurs, ainsi que de tout ceux qui les ont vus parqués sur site dans les moments qui ont précédés les faits.
Dans un P-V 3989/85, l'équipe de gendarmerie précise en effet qu'elle patrouillait avec son véhicule " dans les rues voisines du Delhaize ".
Le problème, c'est que ce P-V mentionne : " nous sommes prévenus par radio d'un braquage chez Delhaize à 19H47 ".
Or l'alerte est donnée à 19H37.
Donc soit cette équipe ne se trouvait pas aux abords immédiats du Delhaize, seule grande surface d'Alost encore ouverte après 19H ce jour-là, Excellente remarque Pyrénéen, il est vrai que ces gendarmes ne peuvent plaider l'excédent de travail soit les gendarmes la composant étaient en effet sourds.
Je pense que pendant les tirs, les gendarmes si ils sont d'honnêtes représentants de l'ordre, auraient du entendre les tirs, comme le stipule leur défense " la surveillance étant mobile, l'équipe de gendarmerie patrouillait à proximité immédiate du Delhaize ".. Sinon dans l'autre cas, la complicité, ils n'auraient pas pris le risque d'être vu, stationnant à proximité, en train de se tourner les pouces et qui plus est, risquant de se faire interpeller par le premier citoyen venu. C'est pourquoi je pense, qu'ayant connaissance des faits se déroulant au Delhaize, ou pas, ils se dirigeaient vers la buvette où était prévue ce jour là, une festivité pour la gendarmerie.
Le comportement de ces gendarmes serait simplement celui d'étudiants, quittant les cours avant l'heure dans le but de faire la fête un peu plus vite le Vendredi soir ? Une simple faute qu'ils ont tenté de dissimuler à la population ? . . .Ce serait un peu vite oublier les interventions sur leurs fréquences ( cf: GUDULE), l'absence de poursuite sur la route, la présence de leurs forces autour, et non dans les bois de La Houssière, lieu leur étant attribué pour se débarrasser des excédents, là où ils se trouvaient à ce moment. . .Ce serait oublier les éléments d'autres faits venant se mélanger à ceux d'Alost ( PR, corrigé, ou l'on voit le géant tenir l'arme de sa main gauche), les témoins, famille de victime, qui ne seront pas auditionnés pendant plus de trente ans ( Palsteman ).
Sourde et muette, comme tout voyou qui sait ou se trouve son intérêt, la gendarmerie continue d'enterrer ses secrets.
Cordialement,
JM
Re: Les tueries du Brabant Belgique
Tueurs du Brabant: «La nouvelle piste qui dérange la justice!» (vidéo)
Un ancien gendarme remue ciel et terre pour qu’on creuse la piste de la bande de Charleville-Mézières. Les indices sont troublants. Pour lui, cette piste, connue depuis la première tuerie, dérange la justice…
Le 30 septembre prochain, cela fera pile 40 ans que les tueurs du Brabant ont fait leur première victime. Il s’agissait de Claude Haulotte, un policier communal de Wavre abattu lors du braquage de l’armurerie Dekaise de Wavre. C’était le 30 septembre 1982.
La bande écumera ensuite toute la Belgique jusqu’en 1985. Elle cible les grandes surfaces, tire sur toute personne qui se trouve sur son chemin, tue au total 28 innocents (clients, gendarmes, enfants,…) et en blesse grièvement 22 autres pour un butin total estimé à 7 millions de francs belges (175.000 euros). La dernière attaque est celle du Delhaize d’Alost, le 9 novembre 1985, la plus sanglante des 17 attaques avec 8 morts à elle seule.
Qui a fait ça ? Qui sont les tueurs et notamment le « géant » qui fut si souvent décrit ? On ne le sait toujours pas ! Des enquêteurs de la police judiciaire fédérale, regroupés autour de la juge de Charleroi Martine Michel sous la houlette du parquet fédéral, continuent à chercher, mais le compte à rebours s’égrène. La prescription de 40 ans approche. Sans nouvel élément, le dossier se fermera en 2025. Et même plus tôt encore, comme l’a annoncé le parquet fédéral, qui souhaite terminer l’enquête cette année, « car au moins trois ans seraient nécessaires pour porter l'affaire en justice et obtenir un verdict dans ce dossier, qui comprend deux millions de pages ».
Xavier S. identifié dès 1982
De multiples pistes ont été explorées. Patrick Haemers, la filière boraine, le groupe Diane, d’anciens gendarmes, l’extrême droite,… D’aucuns ont vu dans ces attaques sanglantes une volonté de déstabiliser l’Etat. Aucune de ces pistes n’a abouti.
A quelques mois de la prescription, un homme remue ciel et terre pour que l’on creuse une piste « négligée jusqu’ici », la piste de la bande de Charleville-Mezières (Nord de la France). Cet homme est Jean-Pierre Adam, 70 ans, un ancien gendarme envoyé à Neufchâteau pour enquêter sur l’affaire Dutroux. Une enquête qui l’amènera à s’intéresser à une bande de truands de Charleville-Mézières (lire ci-contre), grands amateurs d’armes et de poker, dont font parties les frères Xavier et Thierry S.
C’est en allant consulter le dossier des frères S. le 16 mars 2000, que Jean-Pierre Adam tombe sur une énorme surprise. Cette bande, ou du moins l’un de ses membres, Xavier S., a été signalé à la gendarmerie de Hastière (Belgique) dès 1982, par un témoin anonyme, suite au portrait-robot diffusé après l’attaque de l’armurerie Dekaise à Wavre. Il lui ressemble comme deux gouttes d’eau. Suite à ce témoignage qui leur arrive 7 jours après l’attaque de Wavre, les gendarmes de Hastière se mettent en contact avec leurs collègues de Charleville-Mézières, qui leur décrivent la bande. Ils leur donnent tous les noms, les pedigrees, etc. Il s’agit de truands notoires, réputés dangereux. Nous sommes donc en 1982, les enquêteurs belges ont alors tout en main pour gratter cette piste, mais étrangement, ils ne vont pas plus loin. Aucune perquisition n’est menée.
Ce n’est pas trop tard
Fort de cette découverte faite en 2000, Jean-Pierre Adam alerte aussitôt la cellule d’enquête des tueurs du Brabant. Sans résultat.
Il n’est pourtant pas trop tard. Mais aujourd’hui encore, les enquêteurs ne semblent pas s’emballer sur cette piste de Charleville. « Ils ne veulent pas l’exploiter », accuse l’ancien gendarme Jean-Pierre Adam. « C’est devenu une affaire d’Etat ! Si cette piste se confirme, cela veut dire que la justice avait tous les éléments en main dès 1982, pour arrêter les auteurs. Ce serait avouer que si l’enquête n’avait pas foiré dès le départ, on aurait pu éviter les 27 morts qui ont suivi l’attaque de l’armurerie Dekaise». Françoise De Halleux
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Un ancien gendarme remue ciel et terre pour qu’on creuse la piste de la bande de Charleville-Mézières. Les indices sont troublants. Pour lui, cette piste, connue depuis la première tuerie, dérange la justice…
Le 30 septembre prochain, cela fera pile 40 ans que les tueurs du Brabant ont fait leur première victime. Il s’agissait de Claude Haulotte, un policier communal de Wavre abattu lors du braquage de l’armurerie Dekaise de Wavre. C’était le 30 septembre 1982.
La bande écumera ensuite toute la Belgique jusqu’en 1985. Elle cible les grandes surfaces, tire sur toute personne qui se trouve sur son chemin, tue au total 28 innocents (clients, gendarmes, enfants,…) et en blesse grièvement 22 autres pour un butin total estimé à 7 millions de francs belges (175.000 euros). La dernière attaque est celle du Delhaize d’Alost, le 9 novembre 1985, la plus sanglante des 17 attaques avec 8 morts à elle seule.
Qui a fait ça ? Qui sont les tueurs et notamment le « géant » qui fut si souvent décrit ? On ne le sait toujours pas ! Des enquêteurs de la police judiciaire fédérale, regroupés autour de la juge de Charleroi Martine Michel sous la houlette du parquet fédéral, continuent à chercher, mais le compte à rebours s’égrène. La prescription de 40 ans approche. Sans nouvel élément, le dossier se fermera en 2025. Et même plus tôt encore, comme l’a annoncé le parquet fédéral, qui souhaite terminer l’enquête cette année, « car au moins trois ans seraient nécessaires pour porter l'affaire en justice et obtenir un verdict dans ce dossier, qui comprend deux millions de pages ».
Xavier S. identifié dès 1982
De multiples pistes ont été explorées. Patrick Haemers, la filière boraine, le groupe Diane, d’anciens gendarmes, l’extrême droite,… D’aucuns ont vu dans ces attaques sanglantes une volonté de déstabiliser l’Etat. Aucune de ces pistes n’a abouti.
A quelques mois de la prescription, un homme remue ciel et terre pour que l’on creuse une piste « négligée jusqu’ici », la piste de la bande de Charleville-Mezières (Nord de la France). Cet homme est Jean-Pierre Adam, 70 ans, un ancien gendarme envoyé à Neufchâteau pour enquêter sur l’affaire Dutroux. Une enquête qui l’amènera à s’intéresser à une bande de truands de Charleville-Mézières (lire ci-contre), grands amateurs d’armes et de poker, dont font parties les frères Xavier et Thierry S.
C’est en allant consulter le dossier des frères S. le 16 mars 2000, que Jean-Pierre Adam tombe sur une énorme surprise. Cette bande, ou du moins l’un de ses membres, Xavier S., a été signalé à la gendarmerie de Hastière (Belgique) dès 1982, par un témoin anonyme, suite au portrait-robot diffusé après l’attaque de l’armurerie Dekaise à Wavre. Il lui ressemble comme deux gouttes d’eau. Suite à ce témoignage qui leur arrive 7 jours après l’attaque de Wavre, les gendarmes de Hastière se mettent en contact avec leurs collègues de Charleville-Mézières, qui leur décrivent la bande. Ils leur donnent tous les noms, les pedigrees, etc. Il s’agit de truands notoires, réputés dangereux. Nous sommes donc en 1982, les enquêteurs belges ont alors tout en main pour gratter cette piste, mais étrangement, ils ne vont pas plus loin. Aucune perquisition n’est menée.
Ce n’est pas trop tard
Fort de cette découverte faite en 2000, Jean-Pierre Adam alerte aussitôt la cellule d’enquête des tueurs du Brabant. Sans résultat.
Il n’est pourtant pas trop tard. Mais aujourd’hui encore, les enquêteurs ne semblent pas s’emballer sur cette piste de Charleville. « Ils ne veulent pas l’exploiter », accuse l’ancien gendarme Jean-Pierre Adam. « C’est devenu une affaire d’Etat ! Si cette piste se confirme, cela veut dire que la justice avait tous les éléments en main dès 1982, pour arrêter les auteurs. Ce serait avouer que si l’enquête n’avait pas foiré dès le départ, on aurait pu éviter les 27 morts qui ont suivi l’attaque de l’armurerie Dekaise». Françoise De Halleux
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Re: Les tueries du Brabant Belgique
Ce serait bien de connaitre les raisons qui permettent à cette dame de penser que la mort de son parrain est liée aux tueries du Brabant. . .Parce que là, c'est le désert, rien n'est dit.
Il est clair qu'en s'y prenant de cette façon, le travail d'enquête permettant d'identifier ce Colonel Drayer (dont on ne sait s'il est lié de près ou de loin au décès), pourrait être effectué par la juge Michel et non par un détective indépendant et rémunéré par ses soins. . .Une idée qui arrangerait tout le monde finalement, puisque l'occupation principale des membres de la CBW est de faire croire qu'ils travaillent, qu'ils cherchent à rendre justice aux défunts et à leur famille.
JM
Re: Les tueries du Brabant Belgique
Kassandra à posté :
Tueurs du Brabant: «La nouvelle piste qui dérange la justice!» (vidéo)
Un ancien gendarme remue ciel et terre pour qu’on creuse la piste de la bande de Charleville-Mézières. Les indices sont troublants. Pour lui, cette piste, connue depuis la première tuerie, dérange la justice…
Le 30 septembre prochain, cela fera pile 40 ans que les tueurs du Brabant ont fait leur première victime. Il s’agissait de Claude Haulotte, un policier communal de Wavre abattu lors du braquage de l’armurerie Dekaise de Wavre. C’était le 30 septembre 1982.
La bande écumera ensuite toute la Belgique jusqu’en 1985. Elle cible les grandes surfaces, tire sur toute personne qui se trouve sur son chemin, tue au total 28 innocents (clients, gendarmes, enfants,…) et en blesse grièvement 22 autres pour un butin total estimé à 7 millions de francs belges (175.000 euros). La dernière attaque est celle du Delhaize d’Alost, le 9 novembre 1985, la plus sanglante des 17 attaques avec 8 morts à elle seule.
Qui a fait ça ? Qui sont les tueurs et notamment le « géant » qui fut si souvent décrit ? On ne le sait toujours pas ! Des enquêteurs de la police judiciaire fédérale, regroupés autour de la juge de Charleroi Martine Michel sous la houlette du parquet fédéral, continuent à chercher, mais le compte à rebours s’égrène. La prescription de 40 ans approche. Sans nouvel élément, le dossier se fermera en 2025. Et même plus tôt encore, comme l’a annoncé le parquet fédéral, qui souhaite terminer l’enquête cette année, « car au moins trois ans seraient nécessaires pour porter l'affaire en justice et obtenir un verdict dans ce dossier, qui comprend deux millions de pages ».
Xavier S. identifié dès 1982
De multiples pistes ont été explorées. Patrick Haemers, la filière boraine, le groupe Diane, d’anciens gendarmes, l’extrême droite,… D’aucuns ont vu dans ces attaques sanglantes une volonté de déstabiliser l’Etat. Aucune de ces pistes n’a abouti.
A quelques mois de la prescription, un homme remue ciel et terre pour que l’on creuse une piste « négligée jusqu’ici », la piste de la bande de Charleville-Mezières (Nord de la France). Cet homme est Jean-Pierre Adam, 70 ans, un ancien gendarme envoyé à Neufchâteau pour enquêter sur l’affaire Dutroux. Une enquête qui l’amènera à s’intéresser à une bande de truands de Charleville-Mézières (lire ci-contre), grands amateurs d’armes et de poker, dont font parties les frères Xavier et Thierry S.
C’est en allant consulter le dossier des frères S. le 16 mars 2000, que Jean-Pierre Adam tombe sur une énorme surprise. Cette bande, ou du moins l’un de ses membres, Xavier S., a été signalé à la gendarmerie de Hastière (Belgique) dès 1982, par un témoin anonyme, suite au portrait-robot diffusé après l’attaque de l’armurerie Dekaise à Wavre. Il lui ressemble comme deux gouttes d’eau. Suite à ce témoignage qui leur arrive 7 jours après l’attaque de Wavre, les gendarmes de Hastière se mettent en contact avec leurs collègues de Charleville-Mézières, qui leur décrivent la bande. Ils leur donnent tous les noms, les pedigrees, etc. Il s’agit de truands notoires, réputés dangereux. Nous sommes donc en 1982, les enquêteurs belges ont alors tout en main pour gratter cette piste, mais étrangement, ils ne vont pas plus loin. Aucune perquisition n’est menée.
Ce n’est pas trop tard
Fort de cette découverte faite en 2000, Jean-Pierre Adam alerte aussitôt la cellule d’enquête des tueurs du Brabant. Sans résultat.
Il n’est pourtant pas trop tard. Mais aujourd’hui encore, les enquêteurs ne semblent pas s’emballer sur cette piste de Charleville. « Ils ne veulent pas l’exploiter », accuse l’ancien gendarme Jean-Pierre Adam. « C’est devenu une affaire d’Etat ! Si cette piste se confirme, cela veut dire que la justice avait tous les éléments en main dès 1982, pour arrêter les auteurs. Ce serait avouer que si l’enquête n’avait pas foiré dès le départ, on aurait pu éviter les 27 morts qui ont suivi l’attaque de l’armurerie Dekaise». Françoise De Halleux
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Dans cet article, on peut lire : '' Xavier S. identifié dès 1982'', ce qui est un gros mensonge de la ''journaliste'' Françoise De Halleux, car c'est Madani Bouhouche ( gendarme ) et Juan Mendez qui seront reconnus, identifiés, par les gendarmes lancés à leurs poursuites, gendarmes honnêtes et courageux, qui prendront du plomb dans le corps et survivront à leurs blessures.
Françoise de Halleux ne fait que répéter la tromperie consciente et délibérée de Jean Pierre Adam dont la seule motivation est de défendre la gendarmerie ( C'est lui qui le dit dans une interview), ou bien protéger les auteurs, gendarmes de profession.
Il est clair que la liberté dont jouissent encore les auteurs n'est pas due à leurs péchés, mais bien à ceux de leurs poursuivants. . .A ce sujet, il est bon de souligner que Jean Pierre Adam réside à la campagne, dans le village à coté de celui d'un très très grand ''gendarme félon'', condamné pour d'autres faits d'assassinat, gendarme dont le nom fut protégé dans la presse, gendarme qui fut jugé devant un tribunal militaire, et dont le chef d'enquête de la CBW, soit EDDY RENARD, interdit aux informateurs de citer le nom en précisant que c'est dangereux d'agir ainsi (et je peux en témoigner).
JEAN PIERRE ADAM fait de la diversion, EDDY RENARD étouffe les infos qui mènent à ce suspect, et curieux comme je le suis, je me demande comment ces deux individus qui font obstruction à la justice ont péchés en leur temps ?
Si j'avais trois sous à miser, je parierai sur des faits, qui même éteints par la prescription, terniraient à jamais leur réputation, même au sein de leurs propres familles. . .Qu'ils en souffrent à jamais.
Formule de politesse,
JM
Re: Les tueries du Brabant Belgique
Le dossier des tueurs Brabant ne sera pas nécessairement clos en 2025
Le dossier des tueurs du Brabant ne sera pas forcément clos en 2025, a assuré le ministre de la Justice Vincent Van Quickenborne (Open Vld), mercredi en commission de la Chambre. Son intention est de soumettre un texte à ce sujet en Conseil des ministres avant la fin de l'année, en vue d'un vote à la Chambre.
Selon Vincent Van Quickenborne, le parquet fédéral trouve "dommageable" la manière dont les choses ont été présentées. "L'enquête se poursuit actuellement. Diverses pistes sont encore en cours (d'investigation) et le test ADN est toujours en cours", a précisé le ministre. "Pour l'instant, 21 enquêteurs ont été nommés pour suivre le dossier. Selon le procureur fédéral, ce nombre est actuellement suffisant.”
Selon Vincent Van Quickenborne, des experts examinent actuellement le délai de prescription. L'une des options consiste à le suspendre dès que l'affaire est portée devant le juge du fond. Cela s'appliquerait à toutes les affaires criminelles et pas seulement à cette enquête-ci.
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Le dossier des tueurs du Brabant ne sera pas forcément clos en 2025, a assuré le ministre de la Justice Vincent Van Quickenborne (Open Vld), mercredi en commission de la Chambre. Son intention est de soumettre un texte à ce sujet en Conseil des ministres avant la fin de l'année, en vue d'un vote à la Chambre.
Selon Vincent Van Quickenborne, le parquet fédéral trouve "dommageable" la manière dont les choses ont été présentées. "L'enquête se poursuit actuellement. Diverses pistes sont encore en cours (d'investigation) et le test ADN est toujours en cours", a précisé le ministre. "Pour l'instant, 21 enquêteurs ont été nommés pour suivre le dossier. Selon le procureur fédéral, ce nombre est actuellement suffisant.”
Selon Vincent Van Quickenborne, des experts examinent actuellement le délai de prescription. L'une des options consiste à le suspendre dès que l'affaire est portée devant le juge du fond. Cela s'appliquerait à toutes les affaires criminelles et pas seulement à cette enquête-ci.
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Re: Les tueries du Brabant Belgique
Je viens de me rendre compte que notre rubrique est suivie par d'autres forumeurs, c'est ici, message posté par X, le 28 Octobre à 21H27 :
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Commentaire : ''X'', toi qui change de pseudo à chaque fois qu'une de tes théories a décrédibilisé ta personne ( Fanta, roulio) , je te conseille de t'instruire dans cet univers ou tu es profane, d'essayer de te faire reconnaitre comme un membre intéressant par tes camarades, et ensuite, après t'être relu, tu pourras te permettre de tenter de me commenter.
PS : Tout le monde attend toujours les soi disant éléments matériels en ta possession dont tu n'a jamais fait que d'annoncer l'existence pour mettre en avant ta petite personne.. .Mais tu es vide en fait
Formule de politesse,
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Commentaire : ''X'', toi qui change de pseudo à chaque fois qu'une de tes théories a décrédibilisé ta personne ( Fanta, roulio) , je te conseille de t'instruire dans cet univers ou tu es profane, d'essayer de te faire reconnaitre comme un membre intéressant par tes camarades, et ensuite, après t'être relu, tu pourras te permettre de tenter de me commenter.
PS : Tout le monde attend toujours les soi disant éléments matériels en ta possession dont tu n'a jamais fait que d'annoncer l'existence pour mettre en avant ta petite personne.. .Mais tu es vide en fait
Formule de politesse,
Dernière édition par JM le Ven 28 Oct 2022, 17:33, édité 1 fois
JM
Re: Les tueries du Brabant Belgique
Bonjour JM,
Je n'ai pas très bien compris. X c'est sensé être moi ou toi?
Moi, je n'ai jamais eu de compte sur ce forum.
Je n'ai pas très bien compris. X c'est sensé être moi ou toi?
Moi, je n'ai jamais eu de compte sur ce forum.
Re: Les tueries du Brabant Belgique
Kassandra à écrit :
Bonjour JM,
Je n'ai pas très bien compris. X c'est sensé être moi ou toi?
Moi, je n'ai jamais eu de compte sur ce forum.
Salut Kassandra ,
ni l'un ni l'autre. . .J'ai beaucoup de défauts, mais je ne suis pas assez bête pour confondre tes publications sérieuses et ta franchise connue de tous, avec les discours, souvent pontifiants, de ce membre qui, à plusieurs reprises s'est vu contraint de changer de pseudo.
Bien à toi,
NB : Pour l'information de ce détective en robe de chambre qu'est ''X'', j'ai possédé un compte sur le dit forum, aujourd'hui moribond, sous le pseudonyme de ''Guy Mayeu''.
JM
Re: Les tueries du Brabant Belgique
Kassandra88 a écrit: Tueurs du Brabant: «La nouvelle piste qui dérange la justice!» (vidéo)
Un ancien gendarme remue ciel et terre pour qu’on creuse la piste de la bande de Charleville-Mézières. Les indices sont troublants. Pour lui, cette piste, connue depuis la première tuerie, dérange la justice…
Le 30 septembre prochain, cela fera pile 40 ans que les tueurs du Brabant ont fait leur première victime. Il s’agissait de Claude Haulotte, un policier communal de Wavre abattu lors du braquage de l’armurerie Dekaise de Wavre. C’était le 30 septembre 1982.
La bande écumera ensuite toute la Belgique jusqu’en 1985. Elle cible les grandes surfaces, tire sur toute personne qui se trouve sur son chemin, tue au total 28 innocents (clients, gendarmes, enfants,…) et en blesse grièvement 22 autres pour un butin total estimé à 7 millions de francs belges (175.000 euros). La dernière attaque est celle du Delhaize d’Alost, le 9 novembre 1985, la plus sanglante des 17 attaques avec 8 morts à elle seule.
Qui a fait ça ? Qui sont les tueurs et notamment le « géant » qui fut si souvent décrit ? On ne le sait toujours pas ! Des enquêteurs de la police judiciaire fédérale, regroupés autour de la juge de Charleroi Martine Michel sous la houlette du parquet fédéral, continuent à chercher, mais le compte à rebours s’égrène. La prescription de 40 ans approche. Sans nouvel élément, le dossier se fermera en 2025. Et même plus tôt encore, comme l’a annoncé le parquet fédéral, qui souhaite terminer l’enquête cette année, « car au moins trois ans seraient nécessaires pour porter l'affaire en justice et obtenir un verdict dans ce dossier, qui comprend deux millions de pages ».
Xavier S. identifié dès 1982
De multiples pistes ont été explorées. Patrick Haemers, la filière boraine, le groupe Diane, d’anciens gendarmes, l’extrême droite,… D’aucuns ont vu dans ces attaques sanglantes une volonté de déstabiliser l’Etat. Aucune de ces pistes n’a abouti.
A quelques mois de la prescription, un homme remue ciel et terre pour que l’on creuse une piste « négligée jusqu’ici », la piste de la bande de Charleville-Mezières (Nord de la France). Cet homme est Jean-Pierre Adam, 70 ans, un ancien gendarme envoyé à Neufchâteau pour enquêter sur l’affaire Dutroux. Une enquête qui l’amènera à s’intéresser à une bande de truands de Charleville-Mézières (lire ci-contre), grands amateurs d’armes et de poker, dont font parties les frères Xavier et Thierry S.
C’est en allant consulter le dossier des frères S. le 16 mars 2000, que Jean-Pierre Adam tombe sur une énorme surprise. Cette bande, ou du moins l’un de ses membres, Xavier S., a été signalé à la gendarmerie de Hastière (Belgique) dès 1982, par un témoin anonyme, suite au portrait-robot diffusé après l’attaque de l’armurerie Dekaise à Wavre. Il lui ressemble comme deux gouttes d’eau. Suite à ce témoignage qui leur arrive 7 jours après l’attaque de Wavre, les gendarmes de Hastière se mettent en contact avec leurs collègues de Charleville-Mézières, qui leur décrivent la bande. Ils leur donnent tous les noms, les pedigrees, etc. Il s’agit de truands notoires, réputés dangereux. Nous sommes donc en 1982, les enquêteurs belges ont alors tout en main pour gratter cette piste, mais étrangement, ils ne vont pas plus loin. Aucune perquisition n’est menée.
Ce n’est pas trop tard
Fort de cette découverte faite en 2000, Jean-Pierre Adam alerte aussitôt la cellule d’enquête des tueurs du Brabant. Sans résultat.
Il n’est pourtant pas trop tard. Mais aujourd’hui encore, les enquêteurs ne semblent pas s’emballer sur cette piste de Charleville. « Ils ne veulent pas l’exploiter », accuse l’ancien gendarme Jean-Pierre Adam. « C’est devenu une affaire d’Etat ! Si cette piste se confirme, cela veut dire que la justice avait tous les éléments en main dès 1982, pour arrêter les auteurs. Ce serait avouer que si l’enquête n’avait pas foiré dès le départ, on aurait pu éviter les 27 morts qui ont suivi l’attaque de l’armurerie Dekaise». Françoise De Halleux
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La méthode suivie par J-P Adam m' apparaît mauvaise pour 3 raisons.
1) D'abord parce-que quand on veut chercher des coîncidences, on peut toujours en trouver, pour tout le monde : les Dupont ( B et B ) , Haemers, de Staercke, les borains ....Celles rassemblées par M Adam concernant les Sliman sont tout de même peu convaincantes ( des cartouches fabriquées en France, des plaques françaises ...) . Mouais, est-ce vraiment étonnant vu la proximité de la frontière ?
2) Ensuite parce-qu'une telle méthode convient à écarter tous les éléments factuels qui ne collent pas avec sa thèse , et même à exclure toute analyse poussée sur le mobile.
Des personnes issues du banditisme auraient commis des massacres pour obtenir des sommes alors qu'il suffisait d'aller braquer un bureau de poste pour le même résultat ?
Et pourquoi ces massacres puisque ces tueurs étaient cagoulés en 1985 et qu'ils ne pouvaient être reconnus ?
Et comment se fait-il que des bandits issus du milieu conservent des armes aussi chaudes entre 1983 et 1985 ?
3 ) Enfin, parce-que contrairement à ce que prétend M Adam, sa piste a été examinée .Mais il est persuadé que ses collègues se sont trompés. La " piste Sliman " me semble pour ma part tout à fait improbable , ne serait-ce qu' au vu de l'article joint .
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pyrénéen
Re: Les tueries du Brabant Belgique
salut Pyrénéen,
c'est clair comme de l'eau de roche.
La motivation de JP Adam, au risque de me répéter, n'est pas noble du tout. Lui qui serait au courant de la vérité depuis 1982 n'en fait part que maintenant. . .Etrange. . .C'est héroïque pour un représentant de l'ordre, bien qu'à sa décharge et au vu de son enquête, il est un petit peu ''lent'' à la réaction.
Sa motivation, il l'exprime face caméra, ici vers 13'50'' : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
'' Quand je vois, excusez moi du terme, les âneries que j'entends sur des plateaux de télévision, qui sont colportées par des hauts magistrats, comme quoi c'est l'ex gendarmerie , c'est la sureté de l'état, et on voulait déstabiliser le pays et le groupe Diane, et on alimente et on fomente tout ca, moi, c'est ca que je me suis décidé à parler. . .''
Ce qui le pousserai à parler est donc la défense de la gendarmerie, au moment ou celle ci est pointée du doigt. . .Ce n'est pas pour rendre justice ou faire son travail comme il aurait du le faire, lui qui, soi disant, connaissait la vérité depuis 1982.
Il est à remarquer que le début de son enquête commence par la recherche d'un individu qui ressemblerai physiquement à Madani Bouhouche ( gendarmerie), reconnu par les témoins dès 1982. Son objectif est donc d'égarer le regard de l'opinion public ( JT, émission télé, bouquin).
Quant à Eddy Renard ( ancien gendarme œuvrant aujourd'hui à la CBW), je suis formel, il m'a interdit de m'épancher sur l'identité du géant, et pire encore de m'exprimer sur les forums au sujet des mobiles de fin 83, en me signalant que c'était dangereux pour moi d'agir ainsi. . .On se demande dans quel société on vit. . .Mais bon, ce n'est pas les menaces d'un ripou, bien que présentées comme un conseil, qui me feront fermer ma g.
Cordialement,
c'est clair comme de l'eau de roche.
La motivation de JP Adam, au risque de me répéter, n'est pas noble du tout. Lui qui serait au courant de la vérité depuis 1982 n'en fait part que maintenant. . .Etrange. . .C'est héroïque pour un représentant de l'ordre, bien qu'à sa décharge et au vu de son enquête, il est un petit peu ''lent'' à la réaction.
Sa motivation, il l'exprime face caméra, ici vers 13'50'' : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
'' Quand je vois, excusez moi du terme, les âneries que j'entends sur des plateaux de télévision, qui sont colportées par des hauts magistrats, comme quoi c'est l'ex gendarmerie , c'est la sureté de l'état, et on voulait déstabiliser le pays et le groupe Diane, et on alimente et on fomente tout ca, moi, c'est ca que je me suis décidé à parler. . .''
Ce qui le pousserai à parler est donc la défense de la gendarmerie, au moment ou celle ci est pointée du doigt. . .Ce n'est pas pour rendre justice ou faire son travail comme il aurait du le faire, lui qui, soi disant, connaissait la vérité depuis 1982.
Il est à remarquer que le début de son enquête commence par la recherche d'un individu qui ressemblerai physiquement à Madani Bouhouche ( gendarmerie), reconnu par les témoins dès 1982. Son objectif est donc d'égarer le regard de l'opinion public ( JT, émission télé, bouquin).
Quant à Eddy Renard ( ancien gendarme œuvrant aujourd'hui à la CBW), je suis formel, il m'a interdit de m'épancher sur l'identité du géant, et pire encore de m'exprimer sur les forums au sujet des mobiles de fin 83, en me signalant que c'était dangereux pour moi d'agir ainsi. . .On se demande dans quel société on vit. . .Mais bon, ce n'est pas les menaces d'un ripou, bien que présentées comme un conseil, qui me feront fermer ma g.
Cordialement,
JM
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