Les tueries du Brabant Belgique

Méa culpa...Je n'avais pas compris tout de suite LOL!



Cordialement,

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M Philippe Clerbois avait été entendu sous hypnose. Son témoignage avait révélé les portraits-robots et la mort probable d’un des auteurs .

'' On a appris, dimanche, le décès de M Philippe Clerbois, un témoin inattendu mais essentiel dans l’affaire des tueries du Brabant. C’est son témoignage, obtenu sous hypnose bien des années après, qui avait déclenché plusieurs semaines de fouilles dans les bois de La Houssière.Le 9 novembre 1985, les tueurs du Brabant attaquaient le Delhaize d’Alost, y laissant huit victimes tuées. C’était leur dernier raid, le plus sanglant. Depuis le parking du Delhaize d’Alost, les tueurs, en VW Golf GTI, filaient plein sud vers le bois de La Houssière (Braine-le-Comte). Il était 20h20.

Vers minuit et quart, deux couples traversaient le bois à bord d’une Opel Kadett. Philippe Clerbois, alors âgé de 24 ans, était assis à l’arrière. Ce n’est que bien plus tard, dix-neuf ans après, en 2004, après avoir fait le rapprochement à la suite d’une émission de télévision, qu’il avait contacté les enquêteurs.
Nous l’avions encore rencontré en décembre 2013, cette fois là à sa demande, "pour pousser d’autres que moi à parler ». Car, disait-il, «je suis certain qu’il y a des gens qui savent mais l’ignorent et se taisent. »Lui même s’était tu, ignorant pendant tout ce temps l’importance de ce qu’il avait vu.
Donc, cette nuit là du 9 au 10 novembre 1985, l’Opel Kadett à bord de laquelle il se trouve , traverse le bois. La route est étroite. Bien sûr, pas d’éclairage. Soudain, dans leurs phares…

"Ils étaient trois autour de la VW Golf, dont deux debout. Il n’y avait là qu’une voiture. Leurs phares étaient éteints et l’intérieur n’était pas éclairé. Au lieu dit de la « Chapelle au Foya » se trouve un Y. La Golf était garée au début de l’embranchement gauche, dirigée vers le Planoit et la sortie du bois. Ils avaient forcément dû nous voir arriver. Leur hayon arrière était ouvert ainsi que la portière conducteur. Nous ne roulions pas vite pour éviter les nids-de-poule. Ma réaction a tout de suite été de dire à la conductrice qui ralentissait : « Non, non, ça pue, accélère. »"Au Y, nous étions à 15 mètres d’eux. Un des hommes debout se trouvait devant la Golf, à gauche de la route, et il faisait de grands signes de bras comme pour signaler leur présence. Ensuite, en partie caché par la portière ouvertement, il y avait celui qu’on a appelé le Géant, un grand long, mince, élancé. Enfin, derrière la voiture, au pied du coffre dont le hayon était ouvert, il y avait une masse, couchée au sol. Aucun doute que c’était un corps ».

C’est sur ce témoignage que des portraits-robots furent réalisés. Largement diffusés sur les fameuses « affiches jaunes », ces portraits-robots sont devenus célèbres. En 2013, Philippe Clerbois, dessinateur industriel, estimait que les portraits étaient « de qualité, fiables ». Tout le monde les connaît. Ils n’ont malheureusement rien donné comme résultats , à ce jour. Selon lui toujours, les auteurs portaient des vestes sombres, de type militaire, des parkas smoke, et des bonnets.
De son témoignage se déduisait le fait qu’un des auteurs, celui qui se trouvait assis à l’arrière dans la Golf au moment de quitter le Delhaize d’Alost, avait été blessé grièvement par balle, sans doute même tué. Un policier instructeur de tir, Eddy N., avait ouvert le feu. Ce qui expliquait, du coup, la fin des tueries.
Il restait à retrouver les restes de cet homme , croyait-on, et c’est pour cela que des fouilles eurent lieu près du fameux embranchement en Y dans le bois de la Houssière. Et ces fouilles n’ont rien donné. A part, au titre d’anecdote, la découverte d’un ancien site mérovingien.

Hier dimanche soir, à l’annonce du décès de M Clerbois, Michel Leurquin, administrateur du site désormais appelé « tueries du Brabant/Bende Van Nijvel », voulait rendre hommage à cet homme agréable qui « a eu le courage de parler en dépit du risque qu’il ne lui arrive quelque chose ».
A titre personnel, quand nous l’avions rencontré la dernière fois, Philippe estimait que les enquêteurs devaient davantage s’intéresser à Patrick Haemers.
Cette nuit là, arrivés à l’embranchement, ils avaient en tout cas eu le bon réflexe de ne pas s’arrêter à hauteur de là Golf et demander à l’homme qui agitait les bras s’ils étaient en panne et avaient besoin d’aide.

Mais de prendre à droite, et pas à gauche, et surtout foncer à toute allure. Philippe Clerbois faisait qu’ils n’avaient pas rencontré un seul barrage policier en sortant des bois. Cela aussi ne manquait pas de l’étonner.


Gilbert Dupont, Publié le 30-01-22 à 19h44 - Mis à jour le 30-01-22 à 20h57



Il a témoigné de son expérience sur le forum des tueries du Brabant, et il est important de préciser que malgré que des éléments soient venus corroborer son témoignage, il s'y est vu traité de menteur par des hurluberlus, et ce sans que l'administration ( Leurquin/Finné) n'intervienne une seule fois. Il publiait sous le pseudo '' Aigle 4''.

Condoléances aux siens, Philippe était un mec burné, un mec bien.
 
 

Cordialement,

Un homme très courageux qui contrairement à ce qui est indiqué dans l'article a immédiatement témoigné de ce qu'il a vu.
on lui a alors conseillé de mettre ses souvenirs en veilleuse.
Il a rappelé ultérieurement son témoignage, sur lequel on ne s'est sans doute pas suffisamment questionné.
Mes sincères condoléances à sa famille.

Philippe Clerbois   :

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Cordialement,

Pyrénéen à écrit :

Un homme très courageux qui contrairement à ce qui est indiqué dans l'article a immédiatement témoigné de ce qu'il a vu.
on lui a alors conseillé de mettre ses souvenirs en veilleuse.  
Il a rappelé ultérieurement son témoignage, sur lequel on ne s'est sans doute pas suffisamment questionné.
Mes sincères condoléances à sa famille.

Salut Pyrénéen,


merci de le rappeler, voici ce que Philippe en disait, ici :  

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Sujet: Re: Le Bois de la Houssière à Braine le Comte   Le Bois de la Houssière à Braine le Comte - Page 4 EmptyLun 26 Sep 2011 - 23:31


''Museler le mot est fort.
C'est au départ après les faits que l'on m'a fait comprendre que je n'avais rien vu, mais comme à mon habitude je ne donnerai pas de nom, si ce n'est celui du premier chef de Gendarmerie Francis Derbaix qui est décédé depuis, il avait enquêter sur les recherches qui avaient été organisée à Sart Dames Avelines dans une propriété le long de la chaussée de Namur.
Mais pour ce qui est de la CBW ils ont toujours été correct ''


Sujet: Re: Le Bois de la Houssière à Braine le Comte   Le Bois de la Houssière à Braine le Comte - Page 4 EmptyLun 26 Sep 2011 - 23:36


''Sur la touche, aux ordres de quelqu'un.
Quand je m'adresse à haut gradé de la PJ qu'il quitte le repas auquel nous participons, qu'il se rend chez son supérieur judiciaire tellement l'info que je lui donnait était importante et que 2 à 3 jours après il me fait comprendre que je n'ai rien vu, c'est qu'il est aux ordres de cette personne.
Et ils ont réussis puisqu'il à fallu 18 ans pour que je témoigne à la CBW''




Cordialement,

Je crois me souvenir qu'on avait indiqué au grand-père de David Van de Steen que son petit-fils ne pouvait pas avoir reconnu P.H car il aurait été incarcéré au moment d'Alost, ce qui était faux.

Salut Pyrénéen,

oui ce serait le commissaire Ruth en personne qui lui aurait lâché ca.
Nous savons que le 4 Novembre, donc une semaine avant les faits d'Alost, Patrick Haemers, venait de réussir le braquage d'un fourgon.

Voici ce qu'en dit WIKI:
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''Le 4 novembre 1985, l'un de ses vols, réalisé à Verviers au moyen d'explosifs, cause la mort de deux postiers. Affaire sur laquelle il déclara plus tard : "Je regrette les morts énormément, je n'ai jamais voulu tuer".

Arrêté une nouvelle fois après ces événements  , il réussit à s'évader.''  


Wikipédia ne renseigne malheureusement pas la date d'arrestation qui suit les faits.


Cordialement,

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"C’était Patrick Haemers, je suis certain"  

''Tandis que l'on tire sur tout ce qui bouge, David Van de Steen, planqué à l'entrée du Delhaize, cherche à fixer dans sa mémoire les traits d'un des auteurs. Selon lui, ceux-ci sont au moins à cinq, trois dans le Delhaize, et deux sur le parking. Vénus à deux véhicules, la Golf Gti et une Mercedes.

La sa cachette, le petit David fixe le plus grand. élan. Selon lui, parlant le français. perruque. Maquille car la peau du cou apparaît plus claire. Des yeux bleus, écarquilles. Cocaïne? Et une tache noire à la gauche du visage. Un instant, l'écharpe, qui masque le bas du visage, glisse. David grave les traits. Il n'a que 9 ans mais il est malin. D'ailleurs, il survivra.

David Van de Steen a maintenant 39 ans. Mais rien ne le lui ôtera jamais de la cervelle : c'était Patrick Haemers. En fait, David n'a jamais varié depuis que la révélation lui est venue en 1989 quand il a vu à la une de l'hebdo Humo les premières photos de Haemers arrêté au Brésil. La ressemblance ne s'arrête pas à la silhouette. Elle comprend les traits du visage : Patrick Haemers.

Ce qui est étonnant, c'est que David n'est pas le seul. Quand en décembre 2013 nous retrouvons cet automobiliste qui traverse les bois de la Houssière peu après la tuerie du Delhaize d'Alost, le témoin nous assure que l'individu qu'il aperçu dans les phares est Patrick Haemers. La nuit d'Alost, Haemers est reconnu par quatre ou cinq témoins. Originaire de Woluwe, Patrick Haemers a signé des dizaines de hold-up (bureaux de poste, fourgons blindés) puis, son chant du cygne, l'enlèvement de l'ex-Premier ministre Paul Vanden Boeynants.

Mort (suicide à la prison de Forest) et 1993, Haemers n'a jamais été interrogé par la Cellule Brabant wallon. Mais le Groupe Gamma – qui enquêtait sur sa bande – a saisi une quantité incroyable de matériel qui fut analysé sans concession. Rien, pas même une microfibre, n'a mené au dossier des tueries.

Plus fort que les témoignages, c'est ce raisonnement qui a toujours fait conclure jusqu'à présent que Patrick Haemers n'était pas un tueur du Brabant : tant de preuves ont été réunies sur Patrick Haemers que si ce, on lien aurait trouvé. On retient par contre de tous ces témoignages que l'un des auteurs devait lui ressembler énormément.

Patrick Haemers mesurait 1 m 89 (comme le prouve le document rare retrouvé : Haemers sous la toise, à la police). Une taille particulière, au point qu'on a imaginé, à un moment, lister toutes les personnes possédant une physionomie approchante. Et processus par élimination.

Ce travail, fastidieux, n'a finalement pas été entrepris. Et David Van de Steen reste sur le nom de Patrick Haemers.

Source : La Dernière Heure Namur | 27 mars 2015  




Commentaire : Il est écrit ''  au point qu'on a imaginé, à un moment, lister toutes les personnes possédant une physionomie approchante. Et procéder par élimination. Ce travail, fastidieux, n'a finalement pas été entrepris.


C'est dire la volonté qu'à la CBW de vouloir résoudre cette enquête. . .



Cordialement,

Salut Kassandra,



Les relevés anorexiques que DZ a mis en avant, ne pouvaient bien évidemment pas déboucher sur une mise en examen, pas plus que les prélèvement ADN apparemment.

Si DZ a quelque chose pour dégueulasser la mémoire d'un homme, qu'elle le sorte, mais des années après, force est de constater qu'elle est toujours vide. Concernant l'ADN, il n'y avait rien qui permettait d'inculper NL, si ce n'est sous l'inquisition, pourtant des bruits qui resteront sans explications de la part de ceux qui les propagent commenceront à poindre dans la presse vers 2019, ne servant qu'à alimenter leurs auteurs :

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Pour causer, ca cause, mais dès qu'il s'agit d'expliquer, il n'y a plus personne.



Cordialement,

Kassandra à écrit :

Beaucoup de flou dans l'article à propos de l'ADN a t'il matché? Et si oui, à partir de quelle trace?

Salut Kassandra,

DZ fait le rapprochement entre l'agression d'un chauffeur de taxi commise par NL et le meurtre de Constantin Angelou exécuté dans son taxi.

Dans le taxi d'Angelou ont été retrouvés plusieurs mégots d'une même marque, dont le nombre correspondrait au trajet réalisé par les auteurs. Les autres courses effectuées par Constantin A. n'étant pas de longues distances.
Un ADN complet à été isolé :

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Un profil génétique complet dressé dans les tueries du Brabant

'' Le laboratoire bio.be de Gosselies serait parvenu à isoler de l'ADN sur un mégot de cigarette retrouvé sur les lieux des tueries du Brabant wallon et à établir un profil génétique complet d'une personne, rapporte mercredi La Dernière Heure.

Ce profil génétique complet a été réalisé au départ d'un des mégots trouvés dans le cendrier à l'arrière du taxi de Constantin Angelou, tué en janvier 1983 entre Bruxelles et Mons.

Cet assassinat est lié aux Tueries du Brabant qui ont fait 28 victimes entre 1982 et 1985. (belga)''  

Redactie 25-11-09, 07:56 Dernière mise à jour: 04-05-19, 07:57


Commentaire : Cet ADN n'est pas celui de Nicolas Lebon.( Même si, selon DZ, quelque chose dans son ADN le rend suspect...)
 



Cordialement,

Salut Kassandra,

pas mal le trailer. . .On évoque l'animatrice radio proche des gendarmes félons, waow, c'est une première!
Même sur le forum de Leurquin, on censure dès qu'on en parle...Interdiction de parler des loups.


Cordialement,

Je peux comprendre que les tueurs du brabant aient pu semer les R4 ainsi que les combis poussifs des forces de l'ordre mais, à l'époque, la gendarmerie belge disposait d'hélicoptères Alouette II et Puma donc, il aurait été facile de poursuivre les tueurs et de diriger les équipes au sol. Est ce que les hélicoptères furent appelés suite aux attaques ? Je pense que cette question mérite d'être posée...

El gringo à écrit :

Je peux comprendre que les tueurs du brabant aient pu semer les R4 ainsi que les combis poussifs des forces de l'ordre mais, à l'époque, la gendarmerie belge disposait d'hélicoptères Alouette II et Puma donc, il aurait été facile de poursuivre les tueurs et de diriger les équipes au sol. Est ce que les hélicoptères furent appelés suite aux attaques ? Je pense que cette question mérite d'être posée...

Salut El gringo,

la question se doit d'être posée, oui. . .Mais la gendarmerie n'est pas obligée de répondre, et elle ne répondra pas, comme elle n'a pas souhaité le faire lors de la commission Dutroux. . .La gendarmerie Belge était un état dans l'état.
Encore aujourd'hui, des anciens gendarmes, comme l'agent Eddy Renard (CBW), servent de couvercle à une boite de pandore(s), une marmite qui bout.

En 1985, il est évident que personne ne s'attendait à ce que les tueurs débarquent pour le doublé Braine Overiise, mais à partir de ce moment, il est inconcevable que les hélicos n'aient pas été utilisés.

1) Pas d'hélicos à Alost. . .

2) Pas d'Escadron spécial d'intervention ( ESI, anciennement groupe Diane) qui se serait trouvé en manœuvre à l'extérieur. . .

3) Pas de gendarmes, ni devant, ni aux alentours du supermarché d'Alost, ils se trouvaient en train de boire dans une buvette de foot pour un souper ou une beuverie, prévue, organisée. . .

4) Pas de gendarmes aux carrefours stratégiques, ils furent déplacés via leurs radios et l'indicatif ''Gudule''.

5) Un ex gendarmes à la CBW, qui interdit à un indicateur de parler de certains mobiles, et de certains gendarmes ( tueur condamné) qui jamais ne fut connu du grand public, et ne le sera pas grâce à la bienveillance de son collègue Eddy Renard.


Les tueries du Brabant, c'est une histoire de gendarmes qui assassinent des enfants, et comme dans  l'affaire Dutroux, ils ne sont pas obligés de répondre, et ils ne le feront pas !  



Cordialement,

A partir de l'attaque du Delhaize de Beersel, fin 1983, les TDB prennent un otage afin de garantir leur retour au véhicule, sur le parking. Ils agiront ainsi aux Delhaize de Beersel, de Braine et d'Overijse.

Il est à se questionner sur le fait qu'à Alost, ils sont sorti tranquillement, en marchant, et sans otage. . .Comme l'écrivais un jour Kassandra, poser une question, c'est déjà y répondre.


Cordialement,

JM a écrit:

El gringo à écrit :

Je peux comprendre que les tueurs du brabant aient pu semer les R4 ainsi que les combis poussifs des forces de l'ordre mais, à l'époque, la gendarmerie belge disposait d'hélicoptères Alouette II et Puma donc, il aurait été facile de poursuivre les tueurs et de diriger les équipes au sol. Est ce que les hélicoptères furent appelés suite aux attaques ? Je pense que cette question mérite d'être posée...

Salut El gringo,

la question se doit d'être posée, oui. . .Mais la gendarmerie n'est pas obligée de répondre, et elle ne répondra pas, comme elle n'a pas souhaité le faire lors de la commission Dutroux. . .La gendarmerie Belge était un état dans l'état.
Encore aujourd'hui, des anciens gendarmes, comme l'agent Eddy Renard (CBW), servent de couvercle à une boite de pandore(s), une marmite qui bout.

En 1985, il est évident que personne ne s'attendait à ce que les tueurs débarquent pour le doublé Braine Overiise, mais à partir de ce moment, il est inconcevable que les hélicos n'aient pas été utilisés.

1) Pas d'hélicos à Alost. . .

2) Pas d'Escadron spécial d'intervention ( ESI, anciennement groupe Diane) qui se serait trouvé en manœuvre à l'extérieur. . .

3) Pas de gendarmes, ni devant, ni aux alentours du supermarché d'Alost, ils se trouvaient en train de boire dans une buvette de foot pour un souper ou une beuverie, prévue, organisée. . .

4) Pas de gendarmes aux carrefours stratégiques, ils furent déplacés via leurs radios et l'indicatif ''Gudule''.

5) Un ex gendarmes à la CBW, qui interdit à un indicateur de parler de certains mobiles, et de certains gendarmes ( tueur condamné) qui jamais ne fut connu du grand public, et ne le sera pas grâce à la bienveillance de son collègue Eddy Renard.


Les tueries du Brabant, c'est une histoire de gendarmes qui assassinent des enfants, et comme dans  l'affaire Dutroux, ils ne sont pas obligés de répondre, et ils ne le feront pas !  



Cordialement,

Hello JM,

Je partage votre analyse concernant la CBW et les manipulations. D'ailleurs un juge d'instruction avait déclaré qu'à l'époque, la cellule d'enquête avait été manipulée et que la cellule d'enquête actuelle est aussi manipulée donc, tout est dit.

1) Concernant l'hélicoptère suite au raid survenu à Alost, les forces de l'ordre ont réclamé le renfort de l'hélicoptère de la gendarmerie mais, ce dernier n'est jamais intervenu suite à un imbroglio.

2) Concernant l'escadron spécial, effectivement, les membres de l'ESI s'entraînaient dans un bois à l'extérieur mais, il y a d'autres éléments qui m'interpellent : ces derniers étaient dépourvus de tout moyen de communication avec l'extérieur et leur entraînement à duré très tard, histoire qu'on ne puisse pas les appeler à la rescousse et qu'on laisse le temps au tueurs de s'échapper sans encombre.

3) Par contre, concernant la surveillance du Delhaize d'Alost, il y avait bien des gendarmes qui étaient postés devant le supermarché mais, ce soir là, ils ont quitté leur poste à 19h30, afin de se rendre à une fête, organisée par la gendarmerie. Cette fête avait lieu dans la salle d'un club de foot local.

4) Concernant le fameux "gudule" et la surveillance des points stratégiques, il faut savoir qu'à cinq reprises, les forces de l'ordre ont reçu des ordres qui ont facilité la fuite des tueurs. Par exemple, suite aux raids survenus à Braine-l'Alleud et Overijse, les gendarmes n'ont pas reçu l'autorisation de poursuivre les auteurs, alors qu'ils disposaient d'une Porsche 911, BMW et de motos puissantes. Leur supérieur hiérarchique leur a demandé de poursuivre leurs contrôles d'alcoolémie. Donc, leur supérieur avait décidé qu'il était plus important d'effectuer des contrôles d'alcoolémie plutôt que d'appréhender les tueurs du brabant.

5) Concernant l'indicateur, cela ne m'étonne pas du tout. A l'époque, on a aussi demandé à Philippe Clerbois d'oublier ce qu'il avait vu au bois de la Houssière, suite au raid survenu à Alost. Il y a beaucoup de témoignages qui mènent dans la même direction mais, on préfère les occulter car, ces témoignages mènent à la gendarmerie et même si cette institution a été dissoute suite à la réforme des polices, il y a encore des anciens gendarmes qui travaillent sur cette affaire et ils ne souhaitent pas que leur ancienne institution soit mêlée à ces massacres. Voilà pourquoi cette affaire est toujours dans l'impasse.

Bien à vous,

Kassandra à écrit :

pour abonnés Sad

Hello Kassandra,

c'est rien, cet article n'est surement qu'une autre ''Duponerie'' de Gilbert...Je me demande comment il n'est pas honteux de blablater sur le dos d'un défunt contre lequel il n'y a rien d'autre à présenter que les inepties judiciaires de Danièle Zucker.

Demain cette escroc jurera que c'est Nicolas Lebon qui a fait sauter le pont de la rivière Kwai, c'est de son niveau.



Cordialement,

Bonjour,


voici un testament documentaire du regretté Commandant Jean Claude Marlair.
Il nous éclaire quelque peu sur la situation politique de ces années de plomb, merci à lui :

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Cordialement,

Un excellent roman, accessible à tous.

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Roman '' La grande peur des Belges'', Par Jean Claude Marlair.


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'' Les «Tueuries du Brabant» ont défrayé la chronique dans la Belgique des années 1980. De nombreux livres, enquêtes et témoignages se sont penchés sur ces «commandos» qui semèrent mort et terreur dans des supermarchés belges. Ces crimes restent aujourd’hui irrésolus.
Jean-Claude Marlair a lui aussi longuement étudié la question et est arrivé à cette conclusion: une enquête de plus n’apportera rien, des pièces restent manquantes. Il a donc choisi la voie de la littérature pour que le roman, «mensonge qui dit la vérité sur le mensonge» puisse «dessiner» une vérité: le profil et les motivations de ces commandos et de leurs chefs. C’est donc plus le roman des «Tueurs» que celui des «Tueries».
Un thriller dont le cadre est une Wallonie misérable et les personnages des fanatiques minables. Le génie de l’auteur est de ne pas avoir tenté d’imiter le genre, c’est aussi celui d’avoir créé des personnages féminins, et c’est, surtout, d’avoir su planter un décor, la Wallonie, proche de l’Amérique profonde. Ancien militaire, l’auteur a en outre parfaitement rendu les aspects «techniques» liés à son sujet.

L’AUTEUR
Jean-Claude Marlair est l’auteur de Congo : le septième lot (Cri) et de Rwanda, les chemins de la mort.
Il était commandant à la base militaire belge de Vielsam durant son attaque par un commando. Il a depuis écrit un rapport où il effectue un lien entre ce vol d’armes dans la caserne et les tueries du Brabant, et a participé à de nombreuses émissions télé et documentaires sur le terrorisme européen.''



Qu'il repose en paix.




Cordialement,

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Jean-Claude Marlair est l’auteur de Congo : le septième lot (Cri) et de Rwanda, les chemins de la mort.
Il était commandant à la base militaire belge de Vielsam durant son attaque par un commando. Il a depuis écrit un rapport où il effectue un lien entre ce vol d’armes dans la caserne et les tueries du Brabant,   et a participé à de nombreuses émissions télé et documentaires sur le terrorisme européen.''

Il existe aussi des éléments matériels, qui lient Madani Bouhouche et l'attaque de la caserne de Vielsalm. Voici ce qu'en écrit Lucien Dislaire dans son livre, relatant ces évènements,''La nuit des commandos'':

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Donc, entre autres, la Thompson qui a mitraillé l'adjudant Karl Fresche, était la propriété de Madani Bouhouche au moment des faits.
Madani Bouhouche qui fut reconnu par les gendarmes l'ayant pris en chasse après l'attaque de l'armurerie ( encore une) Dekaize à Wavre, Madani Bouhouche chez qui les enquêteurs retrouveront une carte, marquée d'une croix à l'endroit ou fut incendiée la Santana qui servi à cette attaque de Wavre...Madani Bouhouche qui....La liste est longue....Madani Bouhouche qui ne fut pas traité comme les borains...Madani Bouhouche dont les autorités ont facilité la disparition, car il n'est pas question de parler de décès dans cette mise en boite présentée toute emballée.


Il est à remarquer que des fusils volés à la caserne de Vielsalm, furent retrouvés dans un appartement conspiratif de la rue des Cottages, à Uccle, dont Chantal Paternostre possédait les clefs. Chantal Paternostre fut arrêtée le 15 Aout 1985 pour faits de terrorisme. . .Soit 5 semaines avant que, furieux, ne réapparaissent les tueurs du Brabant. . .




PS : Bien malin celui qui trouvera une photo de cette dame. . .Elle doit être la seule terroriste au monde, condamnée pour ces faits, et dont l'identité est ainsi protégée.


Shuuuut, c'est les tueries du Brabant. . .



Cordialement,

Bonjour,

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Francois Eertricks aurait déclaré fin 84, début 85, que l'un des tueurs du Brabant était un gendarme qui se faisait appelé ''Dany'' ( Madani Bouhouche se faisait appeler ainsi), et qu'un sur Américain travaillant à la Fabrique Nationale d'Herstal allait se faire descendre par la bande....Mendez, qui travaillait à la FN, fut assassiné en Janvier 86 et Dany Bouhouche fut condamné pour ces faits. L'arme qui a servi à assassiner Mendez fut retrouvée chez Bouhouche, mais sans le percuteur ( Pil poil comme l'arme qui a servi à l'attaque de la caserne de Vielsalm.).

Très peu de temps après avoir confié ses infos aux autorités, Francois Eerrtickx, fut retrouvé assassiné. . .Il est à remarquer les correspondances avec l'assassinat de Mendez, orchestré par Bouhouche. . .De là à dire que c'est les flics eux mêmes qui ont vendu Francois Eertrticks à ce clébard de Bouhouche. . .  



Cordialement,