"tueur en série" d'un autre genre : le Covid-19 Clap 1
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Re: "tueur en série" d'un autre genre : le Covid-19 Clap 1
Bonjour à tous
On se plaint beaucoup du manque de tests. Encore faudrait il être certains de leur fiabilité....
La petite Julie avait eu deux tests négatifs à Necker, moins de 24 heures avant son décès.
Il n'est pas précisé quelle technologie a été utilisée, en principe à l'hopital c'est la PCR, si j'ai bien compris, mais....
<< Julie est admise en réanimation mardi. Quand Sabine vient rendre visite à sa fille dans l’après-midi, celle-ci est anxieuse, parle mais fatigue vite : « J’ai mal à mon cœur », dit-elle. Mais les résultats aux deux derniers tests au Covid-19 apportent de bonnes nouvelles : négatifs. « On ouvre la porte de la chambre, les infirmières ne mettent plus de blouse, le médecin lève le pouce pour me dire c’est bon », raconte Sabine. Julie semble avoir évité le pire. Il est tard, Sabine rentre chez elle, promet qu’elle reviendra le lendemain.
...Un test positif
Tard dans la soirée, un appel : le résultat du premier test fait à l’hôpital de Longjumeau vient d’arriver, Julie est positive au Covid-19 et son état se dégrade, elle doit être intubée. « On n’y croit pas. On se dit qu’ils se sont trompés. Et pourquoi ces résultats arrivent aussi tard ? », se demande encore Sabine. « Depuis le début, on nous dit que le virus ne touche pas les jeunes. On l’a cru, comme tout le monde », dit la sœur aînée de Julie, Manon. Vers 00 h 30, un autre coup de fil : « Venez, vite ! ». « Là, j’ai paniqué. Il y a des mots qui vous font comprendre », explique Sabine.
Selon le directeur général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, qui a annoncé la mort de la jeune fille jeudi soir, Julie a été victime d’une forme sévère du virus « extrêmement rare » chez les jeunes. « Elle était déjà grise », dit Sabine. Quand elle arrive à l’hôpital avec sa fille aînée vers 01 h 00 du matin mercredi, Julie est morte. Elle lui touche la main, « sa peau était encore tiède », se souvient-elle. Sa sœur lui caresse le front. Et puis tout de suite, on leur explique qu’elles ne la reverront plus, le protocole en temps d’épidémie est strict.
« Tout ce qu’on vous annonce, en une heure… » dit Sabine. Impossible aussi de récupérer les affaires de la jeune fille, tout doit être brûlé. Elles arrivent quand même à garder une chaîne de baptême, un bracelet. Le corps de Julie est dans la chambre mortuaire de l’hôpital Necker. Il n’en sortira pas avant l’enterrement prévu dans quelques jours. Par mesure de précaution, il n’y aura pas de cérémonie, seulement dix personnes seront présentes au cimetière. Depuis jeudi soir, les bandeaux de télévision rappellent en boucle qu’une adolescente de 16 est morte du coronavirus. « C’est horrible parce que moi, je sais que c’est la mienne », dit Sabine. >>
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On se plaint beaucoup du manque de tests. Encore faudrait il être certains de leur fiabilité....
La petite Julie avait eu deux tests négatifs à Necker, moins de 24 heures avant son décès.
Il n'est pas précisé quelle technologie a été utilisée, en principe à l'hopital c'est la PCR, si j'ai bien compris, mais....
<< Julie est admise en réanimation mardi. Quand Sabine vient rendre visite à sa fille dans l’après-midi, celle-ci est anxieuse, parle mais fatigue vite : « J’ai mal à mon cœur », dit-elle. Mais les résultats aux deux derniers tests au Covid-19 apportent de bonnes nouvelles : négatifs. « On ouvre la porte de la chambre, les infirmières ne mettent plus de blouse, le médecin lève le pouce pour me dire c’est bon », raconte Sabine. Julie semble avoir évité le pire. Il est tard, Sabine rentre chez elle, promet qu’elle reviendra le lendemain.
...Un test positif
Tard dans la soirée, un appel : le résultat du premier test fait à l’hôpital de Longjumeau vient d’arriver, Julie est positive au Covid-19 et son état se dégrade, elle doit être intubée. « On n’y croit pas. On se dit qu’ils se sont trompés. Et pourquoi ces résultats arrivent aussi tard ? », se demande encore Sabine. « Depuis le début, on nous dit que le virus ne touche pas les jeunes. On l’a cru, comme tout le monde », dit la sœur aînée de Julie, Manon. Vers 00 h 30, un autre coup de fil : « Venez, vite ! ». « Là, j’ai paniqué. Il y a des mots qui vous font comprendre », explique Sabine.
Selon le directeur général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, qui a annoncé la mort de la jeune fille jeudi soir, Julie a été victime d’une forme sévère du virus « extrêmement rare » chez les jeunes. « Elle était déjà grise », dit Sabine. Quand elle arrive à l’hôpital avec sa fille aînée vers 01 h 00 du matin mercredi, Julie est morte. Elle lui touche la main, « sa peau était encore tiède », se souvient-elle. Sa sœur lui caresse le front. Et puis tout de suite, on leur explique qu’elles ne la reverront plus, le protocole en temps d’épidémie est strict.
« Tout ce qu’on vous annonce, en une heure… » dit Sabine. Impossible aussi de récupérer les affaires de la jeune fille, tout doit être brûlé. Elles arrivent quand même à garder une chaîne de baptême, un bracelet. Le corps de Julie est dans la chambre mortuaire de l’hôpital Necker. Il n’en sortira pas avant l’enterrement prévu dans quelques jours. Par mesure de précaution, il n’y aura pas de cérémonie, seulement dix personnes seront présentes au cimetière. Depuis jeudi soir, les bandeaux de télévision rappellent en boucle qu’une adolescente de 16 est morte du coronavirus. « C’est horrible parce que moi, je sais que c’est la mienne », dit Sabine. >>
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L'enfer, c'est les autres.
Electra
Re: "tueur en série" d'un autre genre : le Covid-19 Clap 1
Les Chinois avaient déjà observé deux variantes du Sars-CoV-2: et la plus virulente représenterait 70 % des infections. (article de début mars)
Selon l'équipe de chercheurs, qui a publié ses travaux le 3 mars dans la revue National Science Review, le coronavirus se partage en deux types, L et S, qui se distinguent par leurs récepteurs de surface, par lesquels les virus s'arriment et pénètrent dans les cellules humaines. Le type S, à l'origine de l'épidémie, aurait peu à peu été supplanté par le type L, qui se serait adapté à l'espèce humaine en devenant plus virulent et plus contagieux. Ce dernier aurait pris le dessus sur le type S depuis janvier 2020, au fur et à mesure que la pression sélective augmentait sur le type S. À l'heure actuelle, le type L représente 70 % des cas contre 30 % pour la souche S. Cette dernière serait pourtant en résurgence, car provoquant des symptômes moins sévères, elle est moins bien repérée.
......
le Sars-Cov-2 est un virus à ARN, il a tendance à muter facilement. Les chercheurs chinois ont d'ailleurs identifié 149 variantes mineures parmi les 103 génomes analysés. Ces différences peuvent expliquer en partie pourquoi certaines personnes sont plus atteintes que d’autres. Des chercheurs italiens avaient déjà remarqué que la version italienne du virus était différente de la version chinoise. Ces mutations restent pour l'instant largement insuffisantes pour parler de l'apparition d'un nouveau virus, qui serait insensible contre un futur vaccin contre le Sars-CoV-2.
.....
Certains soupçonnent cependant des mutations de plus grande ampleur. C'est par exemple le cas en Iran, où le taux de mortalité semble particulièrement élevé (5,5 % contre 2 à 3 % dans la population générale). Un pneumologue iranien, cité par L’Express, se dit ainsi « interloqué » par le caractère agressif de la maladie. « J'ai l'impression qu'en plus du coronavirus, les patients sont touchés par une sorte de myocardite [inflammation du muscle cardiaque] virale, car l'attaque contre le cœur paraît particulièrement forte et rapide », relate le médecin...
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Selon l'équipe de chercheurs, qui a publié ses travaux le 3 mars dans la revue National Science Review, le coronavirus se partage en deux types, L et S, qui se distinguent par leurs récepteurs de surface, par lesquels les virus s'arriment et pénètrent dans les cellules humaines. Le type S, à l'origine de l'épidémie, aurait peu à peu été supplanté par le type L, qui se serait adapté à l'espèce humaine en devenant plus virulent et plus contagieux. Ce dernier aurait pris le dessus sur le type S depuis janvier 2020, au fur et à mesure que la pression sélective augmentait sur le type S. À l'heure actuelle, le type L représente 70 % des cas contre 30 % pour la souche S. Cette dernière serait pourtant en résurgence, car provoquant des symptômes moins sévères, elle est moins bien repérée.
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le Sars-Cov-2 est un virus à ARN, il a tendance à muter facilement. Les chercheurs chinois ont d'ailleurs identifié 149 variantes mineures parmi les 103 génomes analysés. Ces différences peuvent expliquer en partie pourquoi certaines personnes sont plus atteintes que d’autres. Des chercheurs italiens avaient déjà remarqué que la version italienne du virus était différente de la version chinoise. Ces mutations restent pour l'instant largement insuffisantes pour parler de l'apparition d'un nouveau virus, qui serait insensible contre un futur vaccin contre le Sars-CoV-2.
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Certains soupçonnent cependant des mutations de plus grande ampleur. C'est par exemple le cas en Iran, où le taux de mortalité semble particulièrement élevé (5,5 % contre 2 à 3 % dans la population générale). Un pneumologue iranien, cité par L’Express, se dit ainsi « interloqué » par le caractère agressif de la maladie. « J'ai l'impression qu'en plus du coronavirus, les patients sont touchés par une sorte de myocardite [inflammation du muscle cardiaque] virale, car l'attaque contre le cœur paraît particulièrement forte et rapide », relate le médecin...
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Re: "tueur en série" d'un autre genre : le Covid-19 Clap 1
Article intéressant de Sky.
On était plusieurs à se demander pourquoi il y avait une mortalité relativement faible en Allemagne. Ceci semble confirmer ce que j'avais lu il y a quelques jours.
- En grande majorité, les premiers atteints venaient de rentrer de vacances de ski en Italie, donc relativement jeunes et en bonne forme physique;
- Ils ont commencé très tôt à tester massivement et à tracer les contacts;
- Les hôpitaux sont bien équipés avec 620,8 lits en soins intensifs / 100k habitants.
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On était plusieurs à se demander pourquoi il y avait une mortalité relativement faible en Allemagne. Ceci semble confirmer ce que j'avais lu il y a quelques jours.
- En grande majorité, les premiers atteints venaient de rentrer de vacances de ski en Italie, donc relativement jeunes et en bonne forme physique;
- Ils ont commencé très tôt à tester massivement et à tracer les contacts;
- Les hôpitaux sont bien équipés avec 620,8 lits en soins intensifs / 100k habitants.
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Moustique
Re: "tueur en série" d'un autre genre : le Covid-19 Clap 1
Tout ce que nous entendons est une opinion et non un fait;
Tout ce que nous voyons est une perspective et non la vérité.
Marc-Aurèle
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Marc-Aurèle
Casta- Administrateur du forum
Re: "tueur en série" d'un autre genre : le Covid-19 Clap 1
Casta a écrit:Les "grands spécialistes" infectiologues et épidémiologistes nous disent que l'on ne pourra arrêter le confinement que lorsqu'au moins 60 % de la population sera infectée et immunisée.
Autrement dit, cela veut dire que plus de la moitié des gens actuellement confinés finiront par attraper cette maladie (avec plus ou moins de symptômes, ou aucuns).
Ce que ces médecins n'expliquent pas, c'est comment ces millions de gens sont infectés tout en restant enfermés chez eux et qu'on nous répète que ce virus ne se déplace pas dans l'air.
En allant acheter leur baguette ? En faisant leurs courses ? En regardant la télé ?
Hypothèse: Si, par exemple, on est quatre à être confinés ensemble (parents, deux gosses), un d'entre eux peut déjà avoir été contaminé, voire plus. A moins de vivre dans une villa spacieuse ou un palais, le risque de contamination entre les membres du foyer, si quelqu'un l'a déjà, reste élevé - mais le confinement présente beaucoup moins de risques de contaminer d'autres à l'extérieur du foyer.
Dans un petit logement, il n'est pas forcément évident d'organiser un coin de confinement exclusif, et, compte tenu d'un laps de temps entre la contamination et l'apparition de premiers symptômes, il serait probablement trop tard pour les autres.
Moustique
Re: "tueur en série" d'un autre genre : le Covid-19 Clap 1
Bonjour Moustique
Le but de ce confinement est clair : ralentir la propagation de ce virus.
Comme tu dis, un certain nombre de personnes confinées sont probablement infectées au premier jour du confinement. Au bout du 14eme jour de confinement (on est au 11eme jour en France), en principe, toutes les personnes confinées qui avaient chopé ce virus ont, soit guéri, soit sont malades (et nécessitent ou pas des soins).
Mais ces malades, guéris ou pas, ne représentent certainement pas 60% de la population. Sans quoi, ça voudrait dire qu'on pourrait arrêter le confinement au bout de 14 jours; ce qui n'est manifestement pas le cas.
Tu me suis?
.
Le but de ce confinement est clair : ralentir la propagation de ce virus.
Comme tu dis, un certain nombre de personnes confinées sont probablement infectées au premier jour du confinement. Au bout du 14eme jour de confinement (on est au 11eme jour en France), en principe, toutes les personnes confinées qui avaient chopé ce virus ont, soit guéri, soit sont malades (et nécessitent ou pas des soins).
Mais ces malades, guéris ou pas, ne représentent certainement pas 60% de la population. Sans quoi, ça voudrait dire qu'on pourrait arrêter le confinement au bout de 14 jours; ce qui n'est manifestement pas le cas.
Tu me suis?
.
Dernière édition par Casta le 27.03.20 12:33, édité 1 fois
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Tout ce que nous voyons est une perspective et non la vérité.
Marc-Aurèle
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Marc-Aurèle
Casta- Administrateur du forum
Re: "tueur en série" d'un autre genre : le Covid-19 Clap 1
Oui, Casta, je vois mieux ce que tu veux dire.
Moustique
Re: "tueur en série" d'un autre genre : le Covid-19 Clap 1
L'enfer, c'est les autres.
Electra
Re: "tueur en série" d'un autre genre : le Covid-19 Clap 1
Bonjour meygem, et merci.
Le scientifique rassure toutefois les propriétaires d’animaux de compagnie : « Ce type de transmission est bien de l’homme vers l’animal et pas de l’animal vers l’homme. La contamination nécessite un contact rapproché avec le maître au quotidien. C’est un cas isolé, pas la règle, mais les autorités ont proposé d’adopter une série de précautions pour les personnes infectées ayant des animaux de compagnie chez elles. Il n’y a pas de raison de penser que les animaux peuvent être vecteur de l’épidémie dans notre société. »
Il faudrait signaler à tous les chats de bien confiner leurs compagnons humains, alors...
Moustique
Re: "tueur en série" d'un autre genre : le Covid-19 Clap 1
Espérons que Boris Johnson n'a pas de chat !
Il est positif au virus.
Il est positif au virus.
meygem
Re: "tueur en série" d'un autre genre : le Covid-19 Clap 1
Pusher83 a écrit:Julie, 16 ans, décédée du coronavirus : «Personne n’est invincible», se désole sa sœur
Cette lycéenne, originaire de l'Essonne, avait été hospitalisée lundi en raison d’une détresse respiratoire. Elle est morte mardi soir à l’hôpital Necker, à Paris, selon nos informations.
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Bonjour Pusher
Ce qui est terrible dans cette tragique histoire, c'est que cette jeune fille ait été testée négative dans un premier temps. Ce test n'était pas fiable, manifestement.
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Marc-Aurèle
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Marc-Aurèle
Casta- Administrateur du forum
Re: "tueur en série" d'un autre genre : le Covid-19 Clap 1
On ne sait pas encore quel test a été effectué. Les deux du même genre, ou pas?
Test au fond du nez, ou de la gorge? L'un serait plus fiable que l'autre, mais je ne me souviens plus duquel.
Le test de danger imminent, d'après ce que j'ai lu, serait la radio des poumons.
Test au fond du nez, ou de la gorge? L'un serait plus fiable que l'autre, mais je ne me souviens plus duquel.
Le test de danger imminent, d'après ce que j'ai lu, serait la radio des poumons.
Moustique
Re: "tueur en série" d'un autre genre : le Covid-19 Clap 1
La situation est devenue intenable en Île de France. Il n'y a plus de places disponibles en réanimation, alors qu'on s'attend à un afflux très important de personnes en détresse respiratoire dans les prochaines heures.
Il faut se préparer à une nombre de décès très important en Île de France ce weekend.
Il faut se préparer à une nombre de décès très important en Île de France ce weekend.
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Marc-Aurèle
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Marc-Aurèle
Casta- Administrateur du forum
Re: "tueur en série" d'un autre genre : le Covid-19 Clap 1
Bonjour Casta,
Tout à fait ! C'est tellement incroyable que cela arrive dans un pays comme la France 6 ème puissance mondiale pas rien..
À la Réunion ils ont reçu des masques avec de la moisissure, carrément.. À la ramasse complet le gouvernement..
Tout à fait ! C'est tellement incroyable que cela arrive dans un pays comme la France 6 ème puissance mondiale pas rien..
À la Réunion ils ont reçu des masques avec de la moisissure, carrément.. À la ramasse complet le gouvernement..
Invité- Invité
Re: "tueur en série" d'un autre genre : le Covid-19 Clap 1
Meygem,
Un des côtés excentriques (et touchantes) des Britanniques: Larry est le chat de la résidence du Premier ministre (en tout cas le dernier en date, adopté d'une refuge) Une véritable institution.
Le compte sur Twitter est une parodie, et qui fait de temps en temps des commentaires par rapport aux différents premiers ministres qui viennent s'installer dans sa résidence à lui.
Il y a toujours des guerres entre lui et les autres chats des résidents de Downing Street, chez le ministre des affaires étrangères, le ministre des finances...
Un fait, que j'ai pu vérifier, est que le chat de 10 Downing Street est officiellement salarié comme fonctionnaire d'Etat. Si, si.
Il est adoré par la presse, qui doit souvent attendre dehors sous la pluie en attendant que le Premier ministre du jour se présente.
Un des côtés excentriques (et touchantes) des Britanniques: Larry est le chat de la résidence du Premier ministre (en tout cas le dernier en date, adopté d'une refuge) Une véritable institution.
Le compte sur Twitter est une parodie, et qui fait de temps en temps des commentaires par rapport aux différents premiers ministres qui viennent s'installer dans sa résidence à lui.
Il y a toujours des guerres entre lui et les autres chats des résidents de Downing Street, chez le ministre des affaires étrangères, le ministre des finances...
Un fait, que j'ai pu vérifier, est que le chat de 10 Downing Street est officiellement salarié comme fonctionnaire d'Etat. Si, si.
Il est adoré par la presse, qui doit souvent attendre dehors sous la pluie en attendant que le Premier ministre du jour se présente.
Moustique
Re: "tueur en série" d'un autre genre : le Covid-19 Clap 1
Pusher83 a écrit:Bonjour Casta,
Tout à fait ! C'est tellement incroyable que cela arrive dans un pays comme la France 6 ème puissance mondiale pas rien..
À la Réunion ils ont reçu des masques avec de la moisissure, carrément.. À la ramasse complet le gouvernement..
Ce qui est encore plus grave (pour ne pas dire, criminel), c'est ce blocage en haut lieu pour interdire l'utilisation de l'hydroxychloroquine (plaquenil) en début de maladie, comme le recommandé le pr Raoult. Le ministre Veran ne l'autorise que quand les malades sont en phase terminale, quand ça ne sert plus à rien.
Des "têtes" vont tomber dans quelques mois, très probablement.
En Belgique, on l'utilise en tout cas.
Tout ce que nous entendons est une opinion et non un fait;
Tout ce que nous voyons est une perspective et non la vérité.
Marc-Aurèle
Tout ce que nous voyons est une perspective et non la vérité.
Marc-Aurèle
Casta- Administrateur du forum
Re: "tueur en série" d'un autre genre : le Covid-19 Clap 1
Coronavirus. Peut-on être touché deux fois par le Covid-19 ?
« Logiquement non, puisque le système immunitaire est capable d’éliminer le virus et qu’il va garder en mémoire cette agression ce qui lui permettra d’éviter d’être réinfecté. ».
Alors comment comprendre que les autorités chinoises et japonaises aient rapporté que plusieurs personnes guéries de l’infection du coronavirus ont pourtant été testées positives une deuxième fois au nouveau coronavirus ? Les chercheurs s’interrogent sur la réponse immunitaire à cette infection. Alors, réinfection réelle ou erreur de test et de diagnostic ?
Pour certains chercheurs à l’instar de Florian Krammer, cité par le New York Times, il ne s’agirait pas d’une réinfection, mais plutôt de traces de virus pas complètement évacuées : « Je ne dis pas que la réinfection est impossible mais dans ce court laps de temps, c’est peu probable. Même les formes d’infection les plus légères doivent laisser au moins une immunité à court terme contre le virus chez le patient en convalescence ».
L’autre possibilité est que le test négatif a été mal effectué ou que les échantillons ont été stockés à une température à laquelle le virus se détériore. Le prélèvement de gorge peut également simplement rater le virus qui se cache ailleurs dans le corps. « Un test de dépistage du virus est positif si le virus était présent sur l’écouvillon en quantité suffisante au moment où vous avez tamponné la personne », détaille Marc Lipsitch, épidémiologiste au Harvard T.H. École de santé publique de Chan. « Un test négatif n’est pas une certitude qu’il n’y a plus de virus chez cette personne. » La charge virale a pu baisser puis remonter.
Dernière piste, le patient pourrait être atteint avec un coronavirus d’une « autre souche » qui ne serait pas « strictement la même sur le plan génétique ».
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« Logiquement non, puisque le système immunitaire est capable d’éliminer le virus et qu’il va garder en mémoire cette agression ce qui lui permettra d’éviter d’être réinfecté. ».
Alors comment comprendre que les autorités chinoises et japonaises aient rapporté que plusieurs personnes guéries de l’infection du coronavirus ont pourtant été testées positives une deuxième fois au nouveau coronavirus ? Les chercheurs s’interrogent sur la réponse immunitaire à cette infection. Alors, réinfection réelle ou erreur de test et de diagnostic ?
Pour certains chercheurs à l’instar de Florian Krammer, cité par le New York Times, il ne s’agirait pas d’une réinfection, mais plutôt de traces de virus pas complètement évacuées : « Je ne dis pas que la réinfection est impossible mais dans ce court laps de temps, c’est peu probable. Même les formes d’infection les plus légères doivent laisser au moins une immunité à court terme contre le virus chez le patient en convalescence ».
L’autre possibilité est que le test négatif a été mal effectué ou que les échantillons ont été stockés à une température à laquelle le virus se détériore. Le prélèvement de gorge peut également simplement rater le virus qui se cache ailleurs dans le corps. « Un test de dépistage du virus est positif si le virus était présent sur l’écouvillon en quantité suffisante au moment où vous avez tamponné la personne », détaille Marc Lipsitch, épidémiologiste au Harvard T.H. École de santé publique de Chan. « Un test négatif n’est pas une certitude qu’il n’y a plus de virus chez cette personne. » La charge virale a pu baisser puis remonter.
Dernière piste, le patient pourrait être atteint avec un coronavirus d’une « autre souche » qui ne serait pas « strictement la même sur le plan génétique ».
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