Yannis Moré
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Tueur en série : le grêlé. :: AFFAIRES EN COURS :: DISPARITIONS DE LONGUES DATES
Maddie MCCANN, Charazed, Tatiana ANDUJAR, Yannis MORÉ, Marion ,Liam...
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Re: Yannis Moré
Nous ne les avions pas attendu pour établir un rapprochement entre les deux affaires:
« Beaucoup de similitudes » : il y a 34 ans, la dernière trace du petit Yannis, à seulement 60 km du village où a disparu Émile
Le 2 mai 1989, Yannis, un enfant de 3 ans, a mystérieusement disparu à Ganagobie (Alpes-de-Haute-Provence), à près de 60 km du lieu où Émile demeure introuvable depuis samedi. Il n’a jamais été retrouvé. « Les gens étaient désemparés, c’était très lourd », se souvient la maire du village, qui a participé aux recherches il y a trente-quatre ans.
Une triste coïncidence… presque troublante. Alors que le petit Émile, deux ans et demi, reste introuvable après cinq jours de recherches intensives, les souvenirs d’un fait divers presque similaire refont surface dans les Alpes-de-Haute-Provence. Dans le village de Ganagobie, situé à 63 km au sud-ouest du Vernet, un petit garçon nommé Yannis, âgé de trois ans, disparaît le 2 mai 1989 alors qu’il construisait une cabane avec trois de ses frères à quelques mètres de la maison familiale. Une fugue ? Un enlèvement ? Un meurtre ? L’enfant n’a jamais été retrouvé et, trente-quatre ans après, le mystère reste entier.
Dès le signalement de la disparition de Yannis, un important dispositif de recherche a été mis en place dans le village est dans ses alentours. « C’était similaire à ce qu’il se passe au Vernet pour tenter de retrouver Émile », se souvient Sylvie Belmonte, aujourd’hui maire de Ganagobie. « À l’époque, j’étais au secrétariat de la mairie. Je coordonnais les recherches avec les enquêteurs. Il y a eu la gendarmerie, les chiens, les pompiers, les militaires… et beaucoup de bénévoles. »
« On était vraiment dévoués, à chaque heure, à chaque pas pour essayer de le retrouver »
Comme lors des battues effectuées pour retrouver Émile, des volontaires venus des alentours s’étaient déplacés pour venir prêter mains fortes aux secours. « Un service de minibus et de navette avait même été mis en place pour que les habitants de Peyruis, une ville voisine, puissent venir à Ganagobie pour participer activement aux recherches », raconte Sylvie Belmonte. « Il y avait eu une grande mobilisation, un grand élan de solidarité. »
Céline Belmonte, de la même famille que l’élue, a participé aux battues citoyennes pour tenter de retrouver Yannis. « À l’époque, j’avais 17 ans, j’avais entendu à la radio la disparition du petit. J’avais demandé à ma maman de me monter au village de Ganagobie pour pouvoir participer aux recherches », se rappelle-t-elle. « C’était très impressionnant. On était vraiment dévoués, à chaque heure, à chaque pas pour essayer de le retrouver ».
Cette détermination à retrouver Yannis s’est mélangée à de la peur. Aujourd’hui secrétaire à la mairie de Ganagobie, Céline Belmonte se souvient d’un moment difficile à vivre. « On avait tous très envie de le retrouver, mais je me disais tout le temps : mon Dieu si c’est moi qui le retrouve, comment je vais réagir », confie-t-elle. « Et puis, c’était compliqué, on cherchait à des endroits où on se disait que de toute façon, un enfant de trois ans ne pouvait pas aller. Les alentours du village sont très escarpés », détaille-t-elle.
« La disparition du petit Émile a fait remonter beaucoup de souvenirs »
Comme au Vernet, un sentiment d’impuissance a fini par gagner les rangs des secours et des volontaires après des premières recherches infructueuses. « Les gens étaient désemparés, c’était très lourd », se souvient l’actuelle maire de Ganagobie. Les battues ont cessé après seulement trois jours, comme celles organisées pour trouver Émile, et les recherches ont été exclusivement confiées aux enquêteurs.
« La disparition du petit Émile a fait remonter beaucoup de souvenirs, il y a beaucoup de choses similaires », constate Sylvie Belmonte. « Quand j’ai vu une photo de militaires en rang en train d’avancer en ligne et de chercher, j’ai revu les images qu’on a connues à Ganagobie. J’ai écrit au maire du Vernet pour lui faire part de notre soutien moral », assure l’élue.
https://www.leparisien.fr/faits-divers/beaucoup-de-similitudes-il-y-a-34-ans-la-derniere-trace-du-petit-yannis-a-seulement-60-km-du-village-ou-a-disparu-emile-13-07-2023-TRXLWS4MTVFBDFM2ZOMPC6UJR4.php
« Beaucoup de similitudes » : il y a 34 ans, la dernière trace du petit Yannis, à seulement 60 km du village où a disparu Émile
Le 2 mai 1989, Yannis, un enfant de 3 ans, a mystérieusement disparu à Ganagobie (Alpes-de-Haute-Provence), à près de 60 km du lieu où Émile demeure introuvable depuis samedi. Il n’a jamais été retrouvé. « Les gens étaient désemparés, c’était très lourd », se souvient la maire du village, qui a participé aux recherches il y a trente-quatre ans.
Une triste coïncidence… presque troublante. Alors que le petit Émile, deux ans et demi, reste introuvable après cinq jours de recherches intensives, les souvenirs d’un fait divers presque similaire refont surface dans les Alpes-de-Haute-Provence. Dans le village de Ganagobie, situé à 63 km au sud-ouest du Vernet, un petit garçon nommé Yannis, âgé de trois ans, disparaît le 2 mai 1989 alors qu’il construisait une cabane avec trois de ses frères à quelques mètres de la maison familiale. Une fugue ? Un enlèvement ? Un meurtre ? L’enfant n’a jamais été retrouvé et, trente-quatre ans après, le mystère reste entier.
Dès le signalement de la disparition de Yannis, un important dispositif de recherche a été mis en place dans le village est dans ses alentours. « C’était similaire à ce qu’il se passe au Vernet pour tenter de retrouver Émile », se souvient Sylvie Belmonte, aujourd’hui maire de Ganagobie. « À l’époque, j’étais au secrétariat de la mairie. Je coordonnais les recherches avec les enquêteurs. Il y a eu la gendarmerie, les chiens, les pompiers, les militaires… et beaucoup de bénévoles. »
« On était vraiment dévoués, à chaque heure, à chaque pas pour essayer de le retrouver »
Comme lors des battues effectuées pour retrouver Émile, des volontaires venus des alentours s’étaient déplacés pour venir prêter mains fortes aux secours. « Un service de minibus et de navette avait même été mis en place pour que les habitants de Peyruis, une ville voisine, puissent venir à Ganagobie pour participer activement aux recherches », raconte Sylvie Belmonte. « Il y avait eu une grande mobilisation, un grand élan de solidarité. »
Céline Belmonte, de la même famille que l’élue, a participé aux battues citoyennes pour tenter de retrouver Yannis. « À l’époque, j’avais 17 ans, j’avais entendu à la radio la disparition du petit. J’avais demandé à ma maman de me monter au village de Ganagobie pour pouvoir participer aux recherches », se rappelle-t-elle. « C’était très impressionnant. On était vraiment dévoués, à chaque heure, à chaque pas pour essayer de le retrouver ».
Cette détermination à retrouver Yannis s’est mélangée à de la peur. Aujourd’hui secrétaire à la mairie de Ganagobie, Céline Belmonte se souvient d’un moment difficile à vivre. « On avait tous très envie de le retrouver, mais je me disais tout le temps : mon Dieu si c’est moi qui le retrouve, comment je vais réagir », confie-t-elle. « Et puis, c’était compliqué, on cherchait à des endroits où on se disait que de toute façon, un enfant de trois ans ne pouvait pas aller. Les alentours du village sont très escarpés », détaille-t-elle.
« La disparition du petit Émile a fait remonter beaucoup de souvenirs »
Comme au Vernet, un sentiment d’impuissance a fini par gagner les rangs des secours et des volontaires après des premières recherches infructueuses. « Les gens étaient désemparés, c’était très lourd », se souvient l’actuelle maire de Ganagobie. Les battues ont cessé après seulement trois jours, comme celles organisées pour trouver Émile, et les recherches ont été exclusivement confiées aux enquêteurs.
« La disparition du petit Émile a fait remonter beaucoup de souvenirs, il y a beaucoup de choses similaires », constate Sylvie Belmonte. « Quand j’ai vu une photo de militaires en rang en train d’avancer en ligne et de chercher, j’ai revu les images qu’on a connues à Ganagobie. J’ai écrit au maire du Vernet pour lui faire part de notre soutien moral », assure l’élue.
https://www.leparisien.fr/faits-divers/beaucoup-de-similitudes-il-y-a-34-ans-la-derniere-trace-du-petit-yannis-a-seulement-60-km-du-village-ou-a-disparu-emile-13-07-2023-TRXLWS4MTVFBDFM2ZOMPC6UJR4.php
Re: Yannis Moré
Ça commence à bien faire toutes ces disparitions de jeunes garçons dans un secteur géographique restreint, à quelques années d'intervalle ( comme les disparus de l'Isère...) Un tueur en série a-t-il fait de ce coin tranquille son terrain de chasse à la fin des années 80 ?
Sur la toile certains s'enflamment, et y voient déjà un rapport avec la disparition d'Émile. Pour ma part, je pense qu'il est trop tôt pour faire des théories là-dessus......
Je n'ai pas connaissance d'un tueur en série qui sévit durant une période, qui s'arrête, et qui "reprend du service" plus de trente ans après en France.
Sur la toile certains s'enflamment, et y voient déjà un rapport avec la disparition d'Émile. Pour ma part, je pense qu'il est trop tôt pour faire des théories là-dessus......
Je n'ai pas connaissance d'un tueur en série qui sévit durant une période, qui s'arrête, et qui "reprend du service" plus de trente ans après en France.
Invité- Invité
Re: Yannis Moré
Il y a également la disparition de Léo balley. Même si c'est un enfant plus grand, que c'est à plus de 150 km, il y a cette similitude : en pleine nature, entourée d'autres personnes. Un instant...et l'enfant disparaît. 1996...
J'espère simplement que c'est le hasard. Que pour certains il s'agit d'une réelle fugue et que leurs petits corps ont été cachés par la nature.
Mais ça interroge. L'impression que ces enfants se volatilisent tout à fait. Ça fait froid dans le dos.
J'espère simplement que c'est le hasard. Que pour certains il s'agit d'une réelle fugue et que leurs petits corps ont été cachés par la nature.
Mais ça interroge. L'impression que ces enfants se volatilisent tout à fait. Ça fait froid dans le dos.
" Un meurtre sans des ciseaux qui brillent est comme des asperges sans sauce hollandaise. Sans goût. "
Alfred Hitchcock
Alfred Hitchcock
Pondyness
Re: Yannis Moré
Coucou, en lisant ce sujet:
https://www.google.com/amp/s/www.bfmtv.com/amp/bfm-dici/on-en-parle-encore-34-ans-avant-emile-la-disparition-de-yannis-avait-deja-traumatise-les-alpes-de-haute-provence_AN-202307130411.html
J'apprends:
"Un an plus tard pourtant, les vêtements que portait Yannis au moment de sa disparition sont retrouvés dans une zone boisée de la commune, pourtant déjà fouillée."
C'est nouveau ou on le savait déjà ?
https://www.google.com/amp/s/www.bfmtv.com/amp/bfm-dici/on-en-parle-encore-34-ans-avant-emile-la-disparition-de-yannis-avait-deja-traumatise-les-alpes-de-haute-provence_AN-202307130411.html
J'apprends:
"Un an plus tard pourtant, les vêtements que portait Yannis au moment de sa disparition sont retrouvés dans une zone boisée de la commune, pourtant déjà fouillée."
C'est nouveau ou on le savait déjà ?
Colombo
Raphaël
rhyslex a écrit:Oui et ce qui me trouble encore c'est comme si ces enfants disparaissaient d'un coup sans laisser aucune trace, Raphaël fut retrouvé avec un bouquet de fleurs dans les mains trois jours après sa disparition sans aucune trace de boue ou d'écorchure, griffure après avoir crapahuté dans la garrigue provençale pendant trois jours. Son papa m'a encore dit hier qu'il ne comprend toujours pas que l'enquête n'aie pas plus été approfondie avec tous les éléments troublants qu'elle contient.
Pour Raphaël quelles sont les causes de la mort ? Il y a eu une autopsie j'imagine ?
Malheureusement, je crois qu'il est possible qu'une personne déviante passe le plus clair de son temps libre à donner libre court à ses perversions. Certaines personnes matent des femmes, des hommes dans leur intimité. Il existe des pervers qui observent les enfants.
Il faudrait savoir si des témoignages à l'époque ont relevé l'attitude inhabituelle d'une personne. Est ce que lors de randonnées, balades, une personne seule a été aperçue... Aux alentours des écoles également. Mais il y a de grandes chances que cette personne se soit fondue dans la nature, qu'elle n'ait inquiété personne... Un fantôme ! Bien réel celui là par contre.
Pondyness
Raphaël
L'autopsie conclut à une mort par épuisement mais le papa m'expliqua que c'était plutôt une mort de "désespoir", cela arrive et c'est documenté par la science, beaucoup de personnes mortes de cette façon dans les camps de concentration ou en arrivant dans les camps.
L'autopsie ne révéla aucun sévice de quelque sorte que ce soit, aucune blessure, rien du tout...
Les chiens perdent sa trace à 50m de la maison des grands parents comme avec le petit Émile.
Il avait neigé les derniers jours et mis à part ses vêtements humides de rosée rien d'autre : ni boue, ni écorchures de ronces etc...
Cette affaire me touche car elle s'est produite dans le village natal de ma mère et qu'à l'époque (j'avais 11ans) cela m'avait beaucoup marqué
L'autopsie ne révéla aucun sévice de quelque sorte que ce soit, aucune blessure, rien du tout...
Les chiens perdent sa trace à 50m de la maison des grands parents comme avec le petit Émile.
Il avait neigé les derniers jours et mis à part ses vêtements humides de rosée rien d'autre : ni boue, ni écorchures de ronces etc...
Cette affaire me touche car elle s'est produite dans le village natal de ma mère et qu'à l'époque (j'avais 11ans) cela m'avait beaucoup marqué
rhyslex
Raphaël
J'imagine que ça a dû vous marquer. C'est traumatisant une disparition comme celle ci.
C'est presque mystique cette histoire.
C'est le bouquet de fleurs qui ne colle pas avec une mort par désespoir/épuisement. Si l'enfant avait paniqué il aurait dû être blessé normalement. Parce que lorsque l'on se perd à un moment il y a la peur, l'angoisse de ne pas retrouver son chemin. Être seul, sentir la nuit arriver c'est terrible pour un enfant. Ses vêtements auraient dû être abîmés, sales. A t'il était captif quelque part ? Ça pourrait être une explication...
C'est presque mystique cette histoire.
C'est le bouquet de fleurs qui ne colle pas avec une mort par désespoir/épuisement. Si l'enfant avait paniqué il aurait dû être blessé normalement. Parce que lorsque l'on se perd à un moment il y a la peur, l'angoisse de ne pas retrouver son chemin. Être seul, sentir la nuit arriver c'est terrible pour un enfant. Ses vêtements auraient dû être abîmés, sales. A t'il était captif quelque part ? Ça pourrait être une explication...
Pondyness
Re: Yannis Moré
rhyslex a écrit:L'autopsie conclut à une mort par épuisement mais le papa m'expliqua que c'était plutôt une mort de "désespoir", cela arrive et c'est documenté par la science, beaucoup de personnes mortes de cette façon dans les camps de concentration ou en arrivant dans les camps.
C'est plus ou moins ce qu'on a dit aux parents de la petite Nora Quoirin disparue en Malaisie. Les parents n'y ont jamais cru.
Re: Yannis Moré
Souhaitons par je ne sais quel miracle que la disparition d'Émile réveille celles des autres enfants. Et que le pôle cold case soit sollicité. Il a beaucoup à faire, mais si Émile n'est pas retrouvé, que personne n'est arrêté il faudra se poser la question d'un TES dans la région qui opère peut être depuis de nombreuses années.
" Un meurtre sans des ciseaux qui brillent est comme des asperges sans sauce hollandaise. Sans goût. "
Alfred Hitchcock
Alfred Hitchcock
Pondyness
Re: Yannis Moré
En effet cela fait penser à ce qui est arrivé à Nora Quoirin. Maintenant, je me questionne sur la réaction possible d'un enfant lorsqu'il se perd et ne reconnaît pas son environnement. Je ne sais pas s'il existe des études/travaux à ce sujet. Car il se peut que le psychisme switch. En raison d'un stress intense. Ça se voit notamment en zone de guerre.
" Un meurtre sans des ciseaux qui brillent est comme des asperges sans sauce hollandaise. Sans goût. "
Alfred Hitchcock
Alfred Hitchcock
Pondyness
Re: Yannis Moré
"Une dent de lait" Yannis est donc peut-être toujours en vie, enlevé par quelqu'un en mal d'enfants.
Re: Yannis Moré
C'est jeune pour perdre une dent de lait naturellement.
Il y a peu de chance qu'il mène sa vie sous une autre identité. Ou bien c'est une existence où il est séquestré... Comme celle de Natascha kampush ou Elisabeth Fritzl... Il aurait plus de 35 ans.
Est ce possible d'oublier un enlèvement et de ne se poser aucune question durant plusieurs années... À nouveau, le psychisme humain sait jouer des tours. Mais à part s'il se trouve à l'étranger, cette situation me semble impossible, difficilement tenable dans le temps.
Il y a peu de chance qu'il mène sa vie sous une autre identité. Ou bien c'est une existence où il est séquestré... Comme celle de Natascha kampush ou Elisabeth Fritzl... Il aurait plus de 35 ans.
Est ce possible d'oublier un enlèvement et de ne se poser aucune question durant plusieurs années... À nouveau, le psychisme humain sait jouer des tours. Mais à part s'il se trouve à l'étranger, cette situation me semble impossible, difficilement tenable dans le temps.
Pondyness
Re: Yannis Moré
Pondyness a écrit:C'est jeune pour perdre une dent de lait naturellement.
Il y a peu de chance qu'il mène sa vie sous une autre identité. Ou bien c'est une existence où il est séquestré... Comme celle de Natascha kampush ou Elisabeth Fritzl... Il aurait plus de 35 ans.
Est ce possible d'oublier un enlèvement et de ne se poser aucune question durant plusieurs années... À nouveau, le psychisme humain sait jouer des tours. Mais à part s'il se trouve à l'étranger, cette situation me semble impossible, difficilement tenable dans le temps.
"dent de lait" Oui, c'est vrai, même un an après sa disparition, à moins qu'elle ne lui appartienne pas...ou alors...
Séquestré ou adopté. Dans un des reportages consacré aux disparus de l'Isère, un homme s'est présenté à la famille de Ludovic. Il avait été adopté mais n'avait aucun souvenir de ce qu'il avait vécu avant ses 6 ans. Il s'est demandé s'il n'était pas Ludovic. Il a rencontré son frère, la ressemblance entre les 2 hommes était troublante ... mais les tests ADN ont mis fin au questionnement.
Raphaël
rhyslex a écrit:Oui et ce qui me trouble encore c'est comme si ces enfants disparaissaient d'un coup sans laisser aucune trace, Raphaël fut retrouvé avec un bouquet de fleurs dans les mains trois jours après sa disparition sans aucune trace de boue ou d'écorchure, griffure après avoir crapahuté dans la garrigue provençale pendant trois jours. Son papa m'a encore dit hier qu'il ne comprend toujours pas que l'enquête n'aie pas plus été approfondie avec tous les éléments troublants qu'elle contient.
On ne trouve pas grand chose sur cette affaire restée un peu confidentielle à l'époque me semble t-il.
On parle de 4 jours de recherches (retrouvé en contrebas d'un sentier dans un endroit inaccessible) mais la mort a été déterminée comme ayant eu lieu 2 jours plus tôt.
Est ce le cas ?
Edit : retrouvé à 4 km ... (c'est vraiment loin).
Sortcière
Raphaël
Sortcière a écrit:rhyslex a écrit:Oui et ce qui me trouble encore c'est comme si ces enfants disparaissaient d'un coup sans laisser aucune trace, Raphaël fut retrouvé avec un bouquet de fleurs dans les mains trois jours après sa disparition sans aucune trace de boue ou d'écorchure, griffure après avoir crapahuté dans la garrigue provençale pendant trois jours. Son papa m'a encore dit hier qu'il ne comprend toujours pas que l'enquête n'aie pas plus été approfondie avec tous les éléments troublants qu'elle contient.
On ne trouve pas grand chose sur cette affaire restée un peu confidentielle à l'époque me semble t-il.
On parle de 4 jours de recherches (retrouvé en contrebas d'un sentier dans un endroit inaccessible) mais la mort a été déterminée comme ayant eu lieu 2 jours plus tôt.
Est ce le cas ?
Edit : retrouvé à 4 km ... (c'est vraiment loin).
Effectivement on trouve quasiment rien sur cette affaire, concernant la date de décès effective, il faut que je vérifie.
Oui 4km c’est loin et comme pour Yannis l’endroit avait déjà été fouillé dans les jours précédents. Les pompiers ont eu beaucoup de mal à le retirer de l’endroit où il reposait
rhyslex
Re: Yannis Moré
Pondyness a écrit:
Est ce possible d'oublier un enlèvement et de ne se poser aucune question durant plusieurs années... À nouveau, le psychisme humain sait jouer des tours. Mais à part s'il se trouve à l'étranger, cette situation me semble impossible, difficilement tenable dans le temps.
Cela me semble possible, si on l’a enlevé pour une mère en mal d’enfant, et qu’il a été « adopté » par une famille aimante. Dans ce cas là, oui il pourrait tout à fait être vivant et avoir une vie des plus normales, sans même se poser des questions si sa mémoire a occulté ses premières années d’enfances. Mais ces cas semblent très rares…
Sola
Re: Yannis Moré
Kassandra88 a écrit:Pondyness a écrit:C'est jeune pour perdre une dent de lait naturellement.
Il y a peu de chance qu'il mène sa vie sous une autre identité. Ou bien c'est une existence où il est séquestré... Comme celle de Natascha kampush ou Elisabeth Fritzl... Il aurait plus de 35 ans.
Est ce possible d'oublier un enlèvement et de ne se poser aucune question durant plusieurs années... À nouveau, le psychisme humain sait jouer des tours. Mais à part s'il se trouve à l'étranger, cette situation me semble impossible, difficilement tenable dans le temps.
"dent de lait" Oui, c'est vrai, même un an après sa disparition, à moins qu'elle ne lui appartienne pas...ou alors...
Séquestré ou adopté. Dans un des reportages consacré aux disparus de l'Isère, un homme s'est présenté à la famille de Ludovic. Il avait été adopté mais n'avait aucun souvenir de ce qu'il avait vécu avant ses 6 ans. Il s'est demandé s'il n'était pas Ludovic. Il a rencontré son frère, la ressemblance entre les 2 hommes était troublante ... mais les tests ADN ont mis fin au questionnement.
Espérons qu'un test ADN a été fait. Pour les parents ça changerait beaucoup de chose.
Pour les enfants adoptés, cette recherche d'origine et ce vide sur leur histoire est un traumatisme. On se souvient de l'histoire de Julia Wendell dans l'affaire Maddie.
Pondyness
Re: Yannis Moré
Sola a écrit:Pondyness a écrit:
Est ce possible d'oublier un enlèvement et de ne se poser aucune question durant plusieurs années... À nouveau, le psychisme humain sait jouer des tours. Mais à part s'il se trouve à l'étranger, cette situation me semble impossible, difficilement tenable dans le temps.
Cela me semble possible, si on l’a enlevé pour une mère en mal d’enfant, et qu’il a été « adopté » par une famille aimante. Dans ce cas là, oui il pourrait tout à fait être vivant et avoir une vie des plus normales, sans même se poser des questions si sa mémoire a occulté ses premières années d’enfances. Mais ces cas semblent très rares…
Il faut espérer si c'est le cas que le fait de médiatiser à nouveau permette de le reconnaitre. A moins qu'il soit à l'étranger.
@Sortcière : adorable le petit Raphaël.
Pondyness
Raphaël
Le père de Raphaël a écrit un livre "l'enfant perdu". J'ai cherché pour le commander mais il est introuvable.
Pondyness
Raphaël
C'est dommage. Il y a un des commentaires qui a été laissé par la personne qui aurait retrouvé le petit Raphaël sur ce blog:
http://quelemondeestbeau.blogspot.com/2014/03/normal-0-0-1-115-657-5-1-806-11.html?m=1
http://quelemondeestbeau.blogspot.com/2014/03/normal-0-0-1-115-657-5-1-806-11.html?m=1
Pondyness
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