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Mort de Laura et disparition de son mari à Tenerife : le restaurateur montois arrêté avec son fils nie être impliqué dans l’affaire, « il les connaissait, mais il n’y avait aucun problème entre eux »
Un sac. Deux cadavres. Une Renault Clio… Voici les éléments nouveaux qui auraient poussé la police à arrêter un restaurateur de Mons et son fils. Le Montois nie et ne veut pas être extradé.

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« Ils l’ont laissée pour morte » : procès de la violente agression de Shaïna, six mois avant son assassinat
Âgés à l’époque des faits de 14 et 15 ans, deux jeunes hommes comparaissent ce mardi devant le tribunal pour enfants de Senlis (Oise) pour des violences en réunion commises contre l’adolescente le 1er mai 2019. L’un d’eux est suspecté d’avoir voulu se venger de la collégienne qui avait porté plainte contre lui pour agression sexuelle.

Rouée de coups jusqu’à en perdre connaissance. Lorsque les pompiers interviennent au square Wagner à Creil (Oise), le 1er mai 2019, ils découvrent une adolescente de 14 ans au visage tuméfié. Quelques minutes plus tôt, une dizaine de personnes se sont acharnées sur la jeune fille. Malgré cette déferlante de violences, l’affaire était à l’époque passée sous les radars. Il a fallu attendre sa mort, le 25 octobre 2019 après avoir été poignardée et brûlée vive par son petit ami, pour que son nom soit connu de tous : Shaïna Hansye, victime à répétition de la violence des hommes.

Cinq ans après les faits, deux des auteurs présumés sont jugés ce mardi au tribunal pour enfants de Senlis (Oise) pour vol et violences aggravées. Ils sont soupçonnés d’avoir tabassé l’adolescente. Parmi les mis en cause : Malik (le prénom a été changé). Âgé de 15 ans au moment des faits, il en a aujourd’hui 21 et est suspecté d’être l’initiateur de l’agression. Le mobile ? Il aurait voulu se venger de Shaïna qui avait porté plainte pour viol contre lui deux ans plus tôt. Il a, depuis, été condamné pour ces faits.

« Un pénalty dans la bouche »
La scène se déroule en milieu d’après-midi. Alors que Shaïna se trouve avec son amie Chloé (le prénom a été changé) au pied d’un immeuble du quartier du Moulin, dans les hauts de Creil, un jeune homme à vélo s’arrête devant elle. « Sale pute. Je vais te briser, t’es morte », lance-t-il. Selon les deux adolescentes, il s’agit de Malik, qui aurait été prévenu de leur présence dans le secteur.

D’après Shaïna, ce n’est pas la première fois que celui-ci la menace. Il lui aurait déjà envoyé des messages malgré son contrôle judiciaire et l’interdiction d’entrer en contact avec elle dans le cadre de la plainte pour viol.

Après de nouvelles intimidations, les deux filles décident d’aller se réfugier dans un autre bâtiment. Mais elles croisent la route d’un autre jeune. Après avoir demandé à Chloé si son amie est bien Shaïna, il frappe cette dernière avec une béquille, un morceau de bois ou une matraque, selon les témoignages. Pour la victime, cet ado est Rayan (le prénom a été changé), l’autre prévenu de cette affaire, alors âgé de 14 ans.

Une fois au sol, la collégienne se retrouve encerclée par une dizaine de personnes aux visages dissimulés qui se déchaînent sur elle. Désigné comme l’un d’entre eux, Malik aurait envoyé un coup de pied dans la tête de Shaïna.

Alors qu’elle avait récupéré le téléphone de son amie, Chloé explique se l’être fait voler par Rayan. Après ce déferlement de violences, la bande prend la fuite. « Ils l’ont laissée pour morte, ne décolère pas Yasin Hansye, le frère de Shaïna. Elle a eu très peur et m’a dit qu’elle pensait qu’elle allait mourir. » Au moment de sa prise en charge par les secours, la victime, sous le choc, est incapable de s’exprimer. Lors de son examen à l’unité médico-judiciaire, le médecin relèvera plusieurs ecchymoses au visage et sur le corps, et lui délivrera deux jours d’ITT.

En raison de l’absence de vidéosurveillance sur les lieux de l’agression, seuls Malik et Rayan seront identifiés et interpellés. En garde à vue, Rayan se défend de toute implication et assure qu’il n’était pas sur place. Pourtant, les enquêteurs du commissariat de Creil ont découvert une conversation sur Snapchat où il décrit la scène de violence. Dans le message, il dit avoir demandé à Shaïna de venir la voir et d’évoquer « une patate ». « Elle a fait une crise. (…) Après, tout le monde l’a piétinée », écrit-il, mentionnant un « coup de matraque » et « un pénalty dans la bouche ».

Récupérer le téléphone pour en effacer les messages de menaces
Il évoque également avoir arraché le téléphone des mains de Chloé. Face à ces éléments, Rayan répond qu’il n’est pas le seul à utiliser son compte Snapchat et qu’il n’était pas au courant de cette conversation. Pourtant, une adolescente du quartier affirme avoir été missionnée par ce dernier pour aller récupérer, auprès de Chloé, le code de déverrouillage du téléphone de Shaïna. D’après elle, il lui a également confié qu’ils avaient « défoncé Shaïna à dix » et qu’il était l’auteur du vol. Ce que le jeune homme réfute, affirmant ne pas la connaître. Sollicitée, son avocate n’a pu être jointe.

L’une des thèses retenue par l’accusation est que l’objectif de cette attaque était de récupérer le portable afin d’en effacer les messages de menaces que Shaïna aurait reçus de Malik, alors mis en examen pour les violences sexuelles commises deux ans plus tôt. Mais devant le juge d’instruction, Malik nie être l’auteur de menaces et d’avoir participé à l’agression, se trouvant dans un autre quartier au moment des faits.

Pour lui, il s’agit d’un mensonge de la victime qui serait animée par un désir de vengeance en raison de la procédure alors en cours. Même chose pour Chloé, qui ne ferait que soutenir son amie. Son avocat, Me Camille Radot, n’a pas souhaité s’exprimer.

Selon Me Zoé Royaux, qui intervient pour le Collectif féministe contre le viol (CFCV), cette affaire illustre parfaitement le « schéma de représailles » dont une femme peut être victime lorsqu’elle porte plainte. « Il y a une violence qui est totale et un très fort sentiment d’impunité de la part de Malik. Il continue de la poursuivre alors qu’il est sous contrôle judiciaire et qu’il n’a pas le droit d’entrer en contact avec elle, ce qui prouve qu’il n’a pas peur de la justice. »

Le 1er juin 2023, Malik a été condamné à deux ans de prison avec sursis par la chambre spéciale des mineurs de la cour d’appel d’Amiens (Somme) pour la plainte pour viol, requalifiée en fait d’agression sexuelle, commise avec d’autres jeunes contre Shaïna, en août 2017. Après cela, elle se verra étiquetée comme une « fille facile » à Creil. Réputation qui avait poussé son meurtrier à se rapprocher d’elle avant de la tuer en apprenant qu’elle était tombée enceinte de lui. Ce dernier a été condamné à dix-huit ans de réclusion criminelle en juin 2023.

« En tant que victime, Shaïna a subi toutes les infractions sexuelles et sexistes prévues par le Code pénal », souffle Me Royaux. Pour la famille Hansye et leur avocate, Me Negar Haeri, c’est un nouveau procès qui s’ouvre, le quatrième en l’espace de deux ans et demi. « La justice devrait faire son œuvre », espère Yasin Hansye qui va faire face une nouvelle fois à Malik. « La dernière fois qu’on l’avait vu, il avait pété un plomb et quitté la salle. On connaît sa ligne de défense qui consiste à dire que Shaïna a tout inventé, soupire-t-il. Le recroiser, c’est tout sauf agréable. Mais ils ne nous font pas peur : Shaïna, c’est notre soleil. »

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« Le 1er juin 2023, Malik a été condamné à deux ans de prison avec sursis par la chambre spéciale des mineurs de la cour d’appel d’Amiens (Somme) pour la plainte pour viol, requalifiée en fait d’agression sexuelle, commise avec d’autres jeunes contre Shaïna, en août 2017. Après cela, elle se verra étiquetée comme une « fille facile » à Creil. Réputation qui avait poussé son meurtrier à se rapprocher d’elle avant de la tuer en apprenant qu’elle était tombée enceinte de lui. Ce dernier a été condamné à dix-huit ans de réclusion criminelle en juin 2023. »

Deux ans avec sursis pour agression sexuelle en bande, il n'ira donc pas en prison.

Et dix-huit ans pour assassinat, c'est cadeau, il sera encore en capacité de refaire sa vie vu qu'il était encore mineur au moment des faits.

Pour des faits aussi graves à défaut de peine de mort (dommage), il faut des perpétuités réelles sans possibilité de sortir, et des conditions d'incarcération impitoyable sans lien avec l'extérieur.

Bonjour Tristan

La peine de mort a été abolie définitivement.
Pour le reste, les juges ne font qu'appliquer les lois.
Si l'on souhaite durcir ces lois, il faut passer par le Parlement...

Reconnus coupables, les deux prévenus font appel.

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Des ossements et un short retrouvés dans les Hautes-Pyrénées pourraient appartenir à Mattéo Michel, disparu depuis un an
Mattéo Michel, un jeune homme de 20 ans, est porté disparu depuis le 1er août 2023 lors d’une randonnée dans les Hautes-Pyrénées, où il avait dû faire demi-tour en raison du brouillard.

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A priori les ossements retrouvés ne sont pas d'origine humaine.

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235291ŦAlexis78 a écrit:A priori les ossements retrouvés ne sont pas d'origine humaine.

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Et le short alors?

235300ŦKassandra88 a écrit:

235291ŦAlexis78 a écrit:A priori les ossements retrouvés ne sont pas d'origine humaine.

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Et le short alors?

Après la découverte, le 24 juin 2024, d’ossements et d’un short dans le secteur où le jeune Mattéo Michel, 20 ans, a disparu en août 2023, sa mère indique que les affaires n’appartiennent pas à son fils.

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Peut-être le short du squelette retrouvé le 21/10/23 ?
;-)
En direction de la cabane du Thou (2 100 mètres d’altitude) – où Mattéo Michel avait été aperçu pour la dernière fois – les bénévoles ont retrouvé un corps dans le ruisseau de la Piarre. Ce n’était pas Mattéo Michel, mais un homme décédé il y a quelques jours

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faisant suite à la mort d’une fillette de 8 ans, article qui a été relayé par Diane hier, avec insistance sur le cri « Allah ekbar »
- cette jeune femme est dans un état mental tel qu’elle ne peut même pas entrer en garde à vue
- elle a été immédiatement internée  dans un hôpital psychiatrique
- actuellement le cas de meurtre n’est pas avéré : des analyses par médecins légistes sont en cours

Évitons donc tout jugement actuel avant plus amples informations

Fillette tuée à Colmar : sa mère était connue pour violences
Le 02/07/2024 à 10h50
Ce 30 juin, une fillette de 8 ans a été retrouvée morte dans un appartement de Colmar (Haut-Rhin). Sa mère, la principale suspecte, est connue de la justice pour des violences volontaires sur personne dépositaire de l’autorité publique.
[…]

La mère a été hospitalisée en psychiatrie

La mère, en raison de son état, n’a pas pu donner d’explications. Rapidement placée en garde à vue pour homicide volontaire par un ascendant sur un mineur de moins de 15 ans, elle est finalement hospitalisée en psychiatrie. Elle est connue de la justice pour des violences volontaires sur personne dépositaire de l’autorité publique « mais il ne s’agit pas du tout d’une personne connue défavorablement, qui de manière récurrente provoquait des interventions de la police », a pondéré Jean Richert. Âgée de 30 ans, elle est accompagnante de l’Éducation nationale dans une école de Colmar.
En attendant, une autopsie devrait être pratiquée dans les prochains jours : « Il s’agira de caractériser de manière plus fine les lésions, de déterminer ce qui a causé la mort, et de confronter ces éléments aux explications de la mère lorsqu’elle pourra être entendue », a indiqué le magistrat. La piste du meurtre est pour l’heure privilégiée mais l’enquête devra également reconstituer les circonstances qui ont amené à ce drame : « D’autres hypothèses, y compris non criminelles, ne sont pas exclues. Une hypothèse très sérieuse de travail implique l’intervention d’un tiers, a avancé le procureur. Il convient de se demander si cette femme a pu tuer sa fille dans un accès de rage, ou si elle a pu avoir une décompensation après avoir découvert que la petite était morte. » L’enquête se poursuit.

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Cet article est bien different de celui déposé par Diane dans le nouveau thread qu’elle a créé
Déjà lorsque j’avais lu que la mère avait 21 ans et la fille 8 ans, ( c’est possible mais rarissime) j’ai douté de l’information
Kassandra a bien eu raison de douter que Diane avait déposé ce message dans un but politique
Ce qu’elle continue impunément ailleurs, ainsi que Mike.
Désolée pour ce HS mais c’était nécessaire, l’autre fil étant fermé

Les suspects arrêtés en Belgique acceptent d'être extradés.
La raison principale est la suivante: ils veulent s'expliquer. "Nos clients ne souhaitent en aucune manière retarder l'extradition et leur audition par le juge d'instruction de Tenerife", affirment leurs avocats à nos confrères.

Ces deux restaurateurs nient leur implication dans la disparition du couple, et depuis la découverte du corps, dans le meurtre de Mme Trappeniers. Toutefois, contrairement à ce qui avait été dit auparavant, ils disent qu'ils connaissaient le couple et qu'ils se fréquentaient.

"Ils ont été leurs locataires, mais ils n'avaient "ni différends ni dettes d'argent ou autre", ajoute encore Me San Bartolome à la DH.

Les deux suspects se trouvaient à Tenerife lorsque Laura Trappeniers et Marc Olbrechts ont disparu, mais ils sont rentrés en Belgique le jour même où le corps de la femme a été retrouvé. Leurs avocats affirment qu'il s'agit simplement d'une coïncidence.

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États-Unis : un fugitif retrouvé en Géorgie sous une fausse identité, 30 ans après son évasion de prison
Steven Craig Johnson s’était évadé d’une prison de l’Oregon en 1994. Il a refait sa vie en Géorgie, empruntant l’identité d’un enfant décédé en 1962 au Texas.

L’homme vivait depuis plus de dix ans sous le nom de « William Cox », une fausse identité qu’il a volé à un enfant décédé au Texas en 1962, a fait savoir le ministère de la Justice dans un communiqué de presse.

L’homme a réussi à obtenir une copie de l’acte de naissance de l’enfant, qui lui a permis d’avoir un numéro de sécurité sociale dans le même État en 1995. Il a passé son permis de conduire, sous cette identité, trois ans plus tard en Géorgie, détaille le communiqué.
Selon le communiqué, c’est grâce à l’utilisation d’une nouvelle technologie, qui n’a pas été divulguée, que les enquêteurs ont retrouvé la trace du fugitif.
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Bonsoir,,
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En août 2020, une jeune fille avait été tuée non loin du marché Talensac, à Nantes. Interpellé quelques jours plus tard, le suspect, Françoise Vergniaud, déjà lourdement condamné, comparaîtra une nouvelle fois devant les assises, à la fin du mois d’octobre 2024.
Dès le 25 octobre

238659ŦKassandra88 a écrit:Trois attaques en quelques semaines : l’ombre d’un prédateur sexuel plane sur le bois de Vincennes

INFO LE PARISIEN. C’est la psychose autour de la Cartoucherie, dans le bois de Vincennes (Paris XIIe), un site qui héberge une école, des théâtres et un centre équestre. Deux agressions sexuelles et un viol y ont eu lieu en quelques semaines. Le suspect semble être le même à chaque fois.

« Alerte ! Le bois de Vincennes n’est pas sûr. Ne partez jamais seule ! Prenez notre navette, le bus ou demandez un covoiturage. » Ces panneaux jaunes, anxiogènes, ont été installés à la hâte, mi-juin. « À nos frais », indique les responsables des théâtres installés à la Cartoucherie (Paris XIIe).

Et désormais, un gardien surveille également ce site installé au milieu du bois de Vincennes qui accueille cinq théâtres, une école et un centre équestre ...

C’est d’ailleurs en se réfugiant dans la guérite de l’agent de sécurité qu’une femme extérieure au site a sans doute échappé au pire le 17 juillet. Elle aurait pu être la troisième victime d’une agression sexuelle ou d’un viol en quelques semaines.
Deux autres victimes ont été recensées dans ce périmètre restreint. Une éducatrice de l’école d’abord, victime d’exhibition sexuelle. Et une personne qui sortait d’une représentation ensuite. Ce viol, survenu le 28 mai, a été vécu comme un électrochoc. « Depuis, le comportement de chacun a changé ici », reconnaissent la plupart des employés du site. Et c’est là que les panneaux et un service de sécurité ont été mis en place.

« On a dû s’organiser, personne ne sort seul du travail »
« Cela a créé une psychose, car il y a de fortes chances qu’il s’agisse d’une même personne », reprend une employée du Théâtre du Soleil. En effet, à chaque fois le portrait de l’agresseur comporte des similitudes : un masque chirurgical et un sweat-shirt particulièrement reconnaissable. « Certains pensent du coup qu’il s’agit d’un squatteur du bois de Vincennes », indique une source proche de l’enquête.
....
Les deux premiers faits ont eu lieu en début de soirée. Mais la dernière agression du prédateur de la Cartoucherie s’est même déroulée en plein jour. Le 17 juillet, il est 17h30 lorsqu’une femme marchant dans le bois à proximité de la route de la Cartoucherie est abordée et touchée par un homme qui tente de la violer. Elle parvient à s’enfuir et se réfugier auprès de l’agent en faction. Celui-ci prévient la troupe du Théâtre du Soleil. Et les artistes décident de ratisser le bois. Une battue de près d’une heure qui n’a pas permis de retrouver l’agresseur. « On a voulu agir vite, pour le retrouver et mettre fin à ce cauchemar, on est tous tellement choqués », confie une artiste.

Des caméras de vidéoprotection installées à la Cartoucherie
« Depuis fin mai, on demande aux parents de venir chercher leurs enfants à l’intérieur du centre, reprend une cavalière, en charge de stages au centre équestre. Jusque-là, parfois certains prenaient le bus ou attendaient leurs parents au bord de la route. C’est fini tout ça. Franchement ça fait un peu peur. »

De leur côté, dans les théâtres, les responsables espèrent que les pouvoirs publics vont « prendre leurs responsabilités. » « Parce qu’on ne pourra pas renforcer encore davantage la sécurité, financièrement c’est trop compliqué », soupire le responsable d’une de ces compagnies qui viennent d’ajouter ces derniers jours des caméras de vidéoprotection à la Cartoucherie.

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Le violeur en série du bois de Vincennes qui a attaqué 7 jeunes femmes a été interpellé.
L'auteur présumé?: un quadragénaire qui a été interpellé le 22 août sur son lieu de travail à Vitry-sur-Seine, dans le Val-de-Marne.

Le suspect avait déjà été condamné en 2015 pour le viol d’une femme et avait été libéré en juin 2023.
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Encore un récidiviste

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Les autorités cherchent désormais à identifier d'autres victimes potentielles.

L'enquête est toutefois loin d'être terminée. "Au vu de son comportement, on peut facilement imaginer que cet homme a pu commettre des faits similaires depuis sa remise en liberté, analyse un membre de la préfecture de police de Paris. Il faudra fouiller dans son passé et surtout tisser d'éventuels liens avec des dossiers non résolus. D'anciennes victimes d'agressions sexuelles vont sans doute se manifester, nous l'espérons."

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Paris : le corps d’une étudiante retrouvé après une battue dans le bois de Boulogne
INFO LE PARISIEN. Les proches de cette jeune femme de 19 ans, étudiante à Paris Dauphine, ont retrouvé son corps ce samedi après-midi. Une enquête pour homicide volontaire a été ouverte.

Le cadavre d’une étudiante de 19 ans, portée disparue depuis vendredi, a été découvert en grande partie enterré. Une battue était organisée ce samedi par les proches de la jeune femme. Une enquête pour homicide volontaire a été ouverte par le parquet de Paris, qui nous indique ce samedi vers 21 heures que « la levée de corps n’est pas terminée » et que « la victime n’est pas formellement identifiée ». Une procédure pour disparition inquiétante avait été déclenchée. Personne n’a pour l’heure été interpellé, nous précise d’autre part le ministère public.

D’après les premiers éléments de l’enquête, la jeune femme, scolarisée à l’université Paris Dauphine voisine, devait se rendre chez ses parents dans les Yvelines, à Montigny-le-Bretonneux, ce vendredi. Ne la voyant pas arriver, ils ont appelé ses amies. Personne n’aurait eu de signe de vie de la jeune femme après son déjeuner vers 14 heures à l’université.

Son corps découvert par des proches
Inquiets, les proches de l’étudiante sont parvenus à géolocaliser son téléphone. Celui-ci était repéré dans le bois de Boulogne. L’annonce d’une battue a alors été relayée sur les réseaux sociaux. Un rendez-vous était fixé ce samedi, à 15h15, à l’intersection de l’avenue du Maréchal-Fayolle et de l’avenue de Pologne, à Paris (XVIe).

Le portable, selon une source policière, a été localisé entre 16h15 et 16h30 au cours de la battue. Selon nos informations, le corps de l’étudiante a été retrouvé à 20 m de là par des proches. On ignore pour l’heure comment la victime a été tuée.

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243879ŦKassandra88 a écrit:Paris : le corps d’une étudiante retrouvé après une battue dans le bois de Boulogne
INFO LE PARISIEN. Les proches de cette jeune femme de 19 ans, étudiante à Paris Dauphine, ont retrouvé son corps ce samedi après-midi. Une enquête pour homicide volontaire a été ouverte.

Cadavre enterré dans le Bois de Boulogne : Philippine, une étudiante de 19 ans, a été identifiée

Cette jeune étudiante de 19 ans à Paris Dauphine, dont les proches avaient signalé la disparition dès vendredi soir, a été reconnue ce samedi tard dans la soirée. Le ou les meurtriers sont en fuite.

Disparue depuis vendredi
La jeune femme présenterait de multiples blessures. L’enquête pour homicide volontaire, confiée à la brigade criminelle, n’a donné lieu pour l’heure à aucune interpellation, ajoute le ministère public. Le drame remonte à vendredi. Philippine déjeune à la cantine étudiante de l’université Paris Dauphine, une école prestigieuse spécialisée dans les sciences des organisations et de la décision. L’établissement se trouve à deux pas du Bois de Boulogne.

D’après l’avis de recherche, elle est vue une dernière fois à 14 heures. Et après ? Plus rien. La jeune femme devait se rendre dans l’après-midi chez ses parents à Montigny-le-Bretonneux (Yvelines). Ne la voyant pas arriver, ses proches tentent évidemment de l’appeler. Elle ne décroche pas.

Son téléphone borne dans la zone du Bois de Boulogne
L’inquiétude monte très vite. Ce n’est pas du tout dans les habitudes de l’étudiante de ne pas donner de nouvelles. Le soir même, vers 23 heures, une proche de Philippine se rend au commissariat du XVIe arrondissement. Une procédure pour disparition inquiétante est ouverte. Sur le papier, il est tôt pour s’alarmer. Après tout, la jeune femme est majeure. Mais la famille est persuadée qu’il lui est arrivé quelque chose.

Les proches tentent alors une géolocalisation du téléphone portable. C’est ce qui va permettre de retrouver Philippine. Apparemment, la puce est toujours activée dans la zone du Bois de Boulogne. Une battue est organisée à 15h15 ce samedi sur le secteur. À l’appel de la famille, une cinquantaine de personnes se mobilisent et se rendent sur place. Ce sont eux qui retrouvent le téléphone portable de l’étudiante.

Moins d’une heure plus tard, à environ 20 m du lieu de découverte de l’appareil, derrière un monticule, des policiers distinguent des formes anormales. C’est le corps de Philippine, en grande partie enterré. Un périmètre de sécurité est mis en place. Une partie de la soirée, les enquêteurs et les experts de la scientifique ont tenté de relever sur place un maximum d’indices.

Les proches qui ont participé aux recherches devaient être entendus dans les locaux de la brigade criminelle rue du Bastion à Paris (XVIe). À ce stade de l’enquête, aucun élément ne filtre sur d’éventuelles pistes.

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Bon, "elle est majeure, elle a le droit de disparaitre" je constate que ça a encore été servi à ses proches.
"Les proches qui ont participé aux recherches" ... A se demander si on ne devient pas systématiquement suspect lorsqu'on cherche un proche ou qu'on témoigne. (GP d'Emile, JMC, Tao ...) Maintenant, il arrive que l'auteur d'un meurtre se trouve parmi ceux qui recherchent la victime (BP d'Antoine Dupont).

La traque du meurtrier de Philippine, retrouvée enterrée dans le bois de Boulogne, se poursuit.
Aucune interpellation n’avait eu lieu ce dimanche en fin d’après-midi, au lendemain de la découverte du cadavre d’une étudiante de 19 ans. Le mobile du meurtre reste mystérieux.

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De nombreuses traces de sévices et de blessures ont été constatées sur le cadavre. La cause de la mort elle, reste toujours inconnue. Une autopsie devait être réalisée dimanche.

Selon Le Figaro, des témoins affirment avoir vu un homme muni d’une pioche dans le secteur, vendredi 20 septembre dernier.

Celui-ci avait les cheveux bruns et mesurait près d’1,80 mètre de haut. Son visage était par ailleurs recouvert d’un masque chirurgical. L’intéressé se dirigeait vers un lac.

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Selon nos informations, des témoins ont rapporté aux enquêteurs avoir aperçu un homme brun d’environ 1m80, le visage dissimulé derrière un masque chirurgical et portant une pioche, se diriger vers le lac du bois de Boulogne. Une description suspecte à laquelle s’intéresse la brigade criminelle de la police judiciaire de Paris qui recherche activement l'auteur de ce crime et les raisons de son passage à l'acte. Le meurtrier connaissait-il la jeune femme ? A-t-elle fait une mauvaise rencontre ? Les enquêteurs vont pouvoir s’appuyer sur le bornage téléphonique de Philippine, les images des caméras de vidéosurveillance et les témoignages afin de retracer les dernières heures de la victime.
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« Ils ont d’abord retrouvé la coque du portable, croit savoir un agent de sécurité qui avait été sollicité par les proches. Le petit copain leur a confirmé que c’était bien celui de Philippine ». Le téléphone a été retrouvé. Et puis, à seulement quelques dizaines de mètres, des policiers ont découvert le cadavre.

Le secteur où le cadavre a été retrouvé, bien que boisé, n’est pas désert.
« Cette zone est plutôt calme, évalue Frédo le SDF. Côté bois, il n’y a pas de prostitution. Il faut remonter un peu vers la fête à Neuneu pour trouver des camionnettes. »

A priori, Philippine n’avait pas de raison de se rendre à l’arrière de son université. La station RER, où la ligne C est en direction des Yvelines, se trouve de l’autre côté.

« J’ai repéré vendredi un type bizarre qui me fixait, se souvient le SDF. Mais bon, cela ne veut pas dire grand-chose. » De l’autre côté, vers la Porte de la Muette, les vigiles parlent d’un secteur bien plus criminogène passé une certaine heure. Sauf que la victime semble disparaître tôt dans l’après-midi.

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Petit pêle-mêle de septembre :
Raymond Touillet condamné à 30 ans en appel la semaine dernière pour le meurtre de Chantal Chillou.
Samire Lymani, auteur du meurtre d'Auréle Vaquier, a renoncé a faire appel et est définitivement condamné à 30 ans de réclusion.
La cour de cassation confirme la condamnation de Mamadou Diallo à 16 ans de réclusion pour le meurtre de Catherine Burgod.

Et aussi la condamnation a 30 ans de prison de Camille Anguenot pour le meurtre de Théo Decouchant. Il y avait la possibilité de suivre les débats en direct du procès sur L'Est Républicain

Raymond Touillet aurait dû être mis sous les verrous en septembre 2008, date où son empreinte génétique a été prélevée et ajoutée au FNAEG après une condamnation pour violences intra-familiales. Son empreinte génétique avait fait un "match" avec l'empreinte génétique de la scène de crime de 2001.

Il y a eu un dysfonctionnement, et l'information n'a pas été exploitée. Il sera mis sous les verrous que 12 ans après, en 2020.

Idem avec Dominique Pelicot, son empreinte génétique a été prélevée en 2010, a fait un "match" avec l'empreinte génétique du viol de 1999, hélas la lettre du laboratoire s'est égarée dans le tribunal.
(voir l'article de Paris Match que j'ai posté hier).

Combien d'autres cold cases ne sont toujours pas résolus car il y a eu un dysfonctionnement avec le traitement des empreintes génétiques ?