Affaires récentes

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Les investigations ont été confiées aux policiers de la brigade criminelle de Paris afin d’élucider ce crime. À ce stade, aucune information ne filtre sur les circonstances dans lesquelles la victime a trouvé la mort. En fin de matinée lundi, un périmètre de sécurité était toujours déployé dans les bois à proximité de la zone où le corps a été retrouvé. Des fonctionnaires de la police judiciaire étaient d’ailleurs de retour sur place pour relever encore quelques indices qui pourraient être utiles à l’enquête.

...

Pour l’heure, les questions restent en suspens. « Que s’est-il passé ? Un rôdeur ? Un règlement de compte au sein de l’établissement ? Un bizutage qui a mal tourné ? questionne un professeur. On peut tout imaginer mais seule l’enquête pourra répondre à nos interrogations. » De leur côté, les policiers travaillent, entre autres, sur de potentiels suspects qui pourraient apparaître sur les images de vidéosurveillance ou correspondre à des descriptions faites par des témoins.

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Un bizutage?
Elle était en 3ème année.

Commettre un crime dans la nature (Benoît Jung) ou dans la plus grande ville de France, ça change la donne.

À mon humble avis, ce n'est qu'une question de temps avant qu'ils lui tombent dessus.
J'ai cru comprendre à travers les articles qu'ils ont un suspect avec une description physique, des témoins oculaires.

Si je rajoute, les nombreuses caméras + la téléphonie (si crime non prémédité) ça va aller vite.

Meurtre de Philippine, retrouvée enterrée dans le bois de Boulogne à Paris : l’étudiante est morte asphyxiée
INFO LE PARISIEN. L’autopsie pratiquée sur la jeune femme de 19 ans ne permettrait pas pour l’heure de déterminer précisément la cause de l’asphyxie qui a provoqué sa mort.

Le meurtrier présumé de Philippine, 19 ans, retrouvée morte dans le bois de Boulogne, a été interpellé en Suisse par la police helvétique, a appris Europe 1 de source policière.

Un homme de 22 ans, Taha O., soupçonné d'avoir tué Philippine, une étudiante de 19 ans, à Paris vendredi dernier, a été interpellé à Genève (Suisse) ce mardi soir. Le suspect, déjà connu de la justice, avait été condamné pour un viol commis en 2019 et faisait l'objet d'une obligation de quitter le territoire français (OQTF).
Son ADN a été retrouvé sur la scène de crime, selon plusieurs sources.

Les enquêteurs l'ont ensuite rapidement identifié puisque son identité était inscrite au Fichier judiciaire automatisé des auteurs d'infractions sexuelles ou violentes (FIJAIS) suite à cette précédente condamnation, qui avait été assortie d'une interdiction de territoire français pour dix ans. "Il a été localisé dans la région d'Annecy ce mardi dans la journée, puis en Suisse", confie l'une des sources. "Il tentait manifestement de rejoindre un autre pays".

Sous OQTF, mais toujours sur le territoire français, bref !
Combien de drame faudra-t-il pour faire bouger les choses ?

Encore un qui n'avait rien sur le territoire national, comme la meurtrière de la jeune Lola, entre autres.

Heureusement que cet après-midi, D. Migaut déclarait : "Le laxisme de la justice n'existe pas."

Certaines diront que nous sommes d'extrême-droite, des fachos, car on s'indigne qu'un ressortissant marocain puisse être encore en France alors qu'il a une obligation de quitter le territoire français sur la tête.

C'est la même chose avec l'individu qui a tué l'adjudant-chef, Éric Comyn. Un dangereux multirécidiviste et toujours dehors.
Pas une semaine sans histoire similaire, y'en a marre.

244377Ŧruth a écrit:Encore un qui n'avait rien sur le territoire national, comme la meurtrière de la jeune Lola, entre autres.

Heureusement que cet après-midi, D. Migaut déclarait : "Le laxisme de la justice n'existe pas."

Bonjour,
Je me doutais bien qu'on ne mettrait pas beaucoup de temps pour retrouver cette ordure.
Pourra t'on connaitre une journée qui ne sera pas marquée par un fait horrible?
Il n'avait rien à faire sur le territoire national, vous avez raison, mais Reiser était dans son pays, Gonin aussi.

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Pourquoi le tueur présumé de Philippine avait été remis en liberté il y a trois semaines malgré une OQTF

INFO LE PARISIEN. Faute d’une réponse du Maroc pour l’expulsion de Taha O., sa rétention administrative avait été prolongée trois fois. À la quatrième demande, une juge avait fini par le mettre dehors. C’était 16 jours avant le meurtre de l’étudiante de 19 ans dans le bois de Boulogne à Paris.

Trois fois, pendant la période de rétention administrative, la France a demandé au Maroc de reconnaître Taha O., le meurtrier présumé de Philippine, la jeune étudiante de Dauphine, comme un sujet du royaume chérifien afin de l’expulser dans son pays de naissance. Faute de réponse, l’homme de 22 ans a finalement été relâché dans la nature le 4 septembre, soit 16 jours avant le meurtre sordide de Philippine, 19 ans. Un crime dont il est soupçonné et qui lui vaut d’être placé depuis mardi soir en détention provisoire en Suisse, où il avait pris la fuite.

Voilà, pour résumer, l’imbroglio administratif et judiciaire qui risque de faire couler beaucoup d’encre. « Du droit des étrangers tout ce qu’il y a de plus banal, soupire une source judiciaire. Là, on en parle à cause d’un terrible fait divers mais c’est ni plus ni moins que l’application de la loi. »

Sa rétention avait déjà été prolongée trois fois
Le 20 juin, Taha O. finit de purger sa peine au centre de détention de Joux-la-Ville (Yonne) après un aménagement classique. Il avait été condamné à sept ans de prison en 2021 pour le viol d’une femme de 23 ans dans un bois de Taverny (Val-d’Oise). Il était âgé de 17 ans au moment des faits. À peine sorti de prison, pas question de le mettre dehors. La cour d’assises des mineurs de Pontoise avait assorti la condamnation d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF) une fois libéré.

Sans surprise, le préfet de l’Yonne ordonne donc dans la foulée un placement en rétention administrative. Le temps d’organiser l’expulsion, le jeune homme se retrouve dans un centre à Metz (Moselle). Et là, ça coince. Parce que Taha O. n’a aucun document d’identité. Certes, il est né à Oujda, tout près de la frontière algérienne, mais rien ne prouve qu’il est bien marocain.

Dès le 18 juin, les autorités françaises anticipent et sollicitent le royaume chérifien. Cela s’appelle une « demande de reconnaissance aux fins de délivrance d’un laissez-passer ». Pas de réponse. Nouvelle demande, le 16 juillet. Rien. Le courrier du 27 août n’attire pas plus l’attention.

Pendant ce temps, la rétention administrative se poursuit. Elle ne peut être que temporaire, selon la loi. Logiquement, c’est 60 jours. Il peut y avoir des prolongations mais c’est très encadré. Justement, un pays étranger qui fait le sourd, c’est un motif de prolongation.

Pour le jeune homme, il y en a eu trois de durées variables. Le 3 septembre, la France ne voit toujours rien venir. Le préfet de l’Yonne demande donc une quatrième prolongation, de 15 jours cette fois. C’est au tribunal de trancher. Et voici Taha O. devant une juge des libertés et de la détention.

« Le risque de réitération de faits délictueux, et donc la menace à l’ordre public, ne peut être exclu »
Dans la salle d’audience, il y a aussi l’avocat du « retenu » et celui du préfet. Le représentant du parquet n’est pas là. La juge a bien conscience, argumente-t-elle, que le jeune homme « a porté atteinte à la sécurité des personnes » avec son affaire de viol. Elle remarque bien que l’intéressé « ne justifie ni d’un logement, ni d’une insertion sociale ou professionnelle ». Elle voit bien qu’il « n’a aucun revenu ». En somme, « le risque de réitération de faits délictueux, et donc la menace à l’ordre public, ne peut être exclu ».

Du coup, il ne faut pas le libérer ? Si, estime-t-elle. Car l’administration française « ne peut établir » qu’elle arrivera d’ici 15 jours à obtenir d’une part le fameux laissez-passer vers le Maroc et, d’autre part, à organiser le voyage en avion.

Si encore Taha O. s’était mal comporté pendant la troisième prolongation, elle aurait pu éventuellement en accorder une quatrième, comme le dispose la loi. Mais « il n’est fait état d’aucun comportement de l’intéressé qui aurait constitué une menace ou un trouble à l’ordre public » pendant cette période.

Bref, conclut-elle, « les conditions légales d’une nouvelle prolongation ne sont pas remplies ». « La requête préfectorale doit être rejetée et Monsieur Taha O. doit être remis en liberté ». Selon nos informations, il avait tout de même été assigné à résidence à la suite de sa sortie du CRA. Une obligation qu’il n’avait jamais respecté.

Grosse hypocrisie du Maroc au passage.

Meurtre de Philippine : le maire du XVIe arrondissement réitère sa demande d’une « brigade spécifique » au bois de Boulogne

Après le meurtre de Philippine, étudiante de 19 ans, Jérémy Redler a de nouveau réclamé plus de moyens et la création d’une brigade spécifique pour le bois de Boulogne.
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Meurtre de Philippine : vidéosurveillance, téléphonie… Comment le suspect, déjà condamné pour viol, a été retrouvé
Un ressortissant marocain de 22 ans a été interpellé mardi soir à Genève, en Suisse. Il est suspecté d’être l’auteur du meurtre de la jeune étudiante de 19 ans dans le bois de Boulogne à Paris.

C’est donc le scénario tragique d’une mauvaise rencontre qui serait bien à l’origine de la mort de Philippine, cette jeune femme de 19 ans, étudiante à Paris Dauphine. Mardi soir, comme l’a révélé actu17, l’homme soupçonné du meurtre de la jeune femme a été interpellé à la gare de Genève (Suisse) par des policiers locaux. Le suspect, Taha O., âgé de 22 ans, un homme sans domicile fixe, est un ressortissant marocain, déjà connu de la justice française pour un viol commis dans un bois à Taverny (Val-d’Oise) en 2019 alors qu’il était mineur.

Il avait été condamné en 2021 à 7 ans de prison pour ces faits. Il était sorti en 2024, avant d’être placé en Centre de rétention administratif (CRA) avec une obligation de quitter le territoire (OQTF). Pour des raisons qui ne sont pas encore connues, il a quitté le CRA de Metz (Moselle) le 4 septembre, selon nos informations. Soit moins de 3 semaines avant la découverte du corps de la jeune étudiante, sommairement enterré dans le bois de Boulogne, à quelques centaines de mètres de son université. Après sa sortie de détention, il était assigné à résidence, en attendant son expulsion. Une assignation qui n’aurait jamais été respectée.

Il retire de l’argent à Montreuil avec la carte bancaire de Philippine
Le suspect a été confondu à la suite d’un gros travail d’étude de la téléphonie et de la vidéosurveillance, notamment quand il retire de l’argent à un distributeur de Montreuil (Seine-Saint-Denis) avec la carte bancaire de Philippine. L’homme était fiché au FNAEG, le fichier national des empreintes génétiques depuis le viol dans le Val-d’Oise. Un travail de fourmi qui a fini par payer.

Toujours selon nos informations, le scenario du meurtre de Philippine serait similaire au drame qui était survenu en 2019, même si d’après le parquet l’enquête actuelle reste dans un cadre ouvert pour homicide volontaire. Autant d’éléments qui seront décortiqués à la suite de l’extradition.

L’étudiante est morte asphyxiée
Mardi, nous révélions que l’autopsie réalisée par les médecins légistes de l’Institut médico-légal de Paris avait conclu à une mort par asphyxie. Le plus souvent, cette formulation est associée à une strangulation. La jeune femme de 19 ans aurait été étranglée ? Pas sûr du tout. Aucune trace de serrage ne permettrait d’accréditer cette hypothèse.

Il reste encore des zones d’ombre, c’est sans doute la raison pour laquelle le parquet de Paris évoquait dimanche soir « d’autres examens et expertises » à mener. Une chose est sûre en revanche : l’information selon laquelle l’étudiante en troisième année de licence économie et ingénierie financières aurait été victime de coups, relayée dans un premier temps par une source policière, est fausse, selon nos informations. « Et cela ajoute à chaque fois de la douleur aux proches », s’agace une connaissance de la famille.

L’enquête confiée à la brigade criminelle
C’est grâce justement à la mobilisation de cette famille, « très soudée », que le corps de l’étudiante a pu être retrouvé lors d’une battue samedi après-midi, à environ 250 m de l’endroit où elle avait été vue pour la dernière fois, à la cantine de l’université de Paris-Dauphine vendredi dernier à 14 heures. Le corps de Philippine avait été retrouvé en grande partie enterré samedi 21 septembre au cours d’une battue dans le bois de Boulogne à Paris (XVIe). Une découverte survenue 28 heures après le dernier signe de vie donné par la victime. L’enquête avait été confiée à la brigade criminelle.

La jeune femme devait se rendre la veille chez ses parents à Montigny-le-Bretonneux (Yvelines). Ne la voyant pas arriver, ses proches avaient tenté de l’appeler. En vain. L’inquiétude monte très vite, ce n’est pas du tout dans les habitudes de l’étudiante de ne pas donner de nouvelles. Le soir même, vers 23 heures, une proche de Philippine se rend au commissariat du XVIe arrondissement. Une procédure pour disparition inquiétante est ouverte.

Les proches tentent alors une géolocalisation du téléphone portable. C’est ce qui va permettre de retrouver le corps de la jeune femme. Apparemment, la puce est toujours activée dans la zone du bois de Boulogne. Une battue est organisée à 15h15 ce samedi sur le secteur. À l’appel de la famille, une cinquantaine de personnes se mobilisent et se rendent sur place. Ce sont eux qui retrouvent le téléphone portable de l’étudiante.

Moins d’une heure plus tard, à environ 20 m du lieu de découverte de l’appareil, derrière un monticule, des policiers distinguent des formes anormales. C’est le corps de Philippine, en grande partie enterré.

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Bah ! on s'inquiète de faire établir la nationalité de quelqu'un quand il est libérable ? L'établissement de la nationalité des étranger est à revoir, il y a quelque chose qui ne tourne pas rond ...
Affaire abominable !

Meurtre de Philippine : une information judiciaire a été ouverte mardi, notamment pour homicide et viol.

Un juge d’instruction est chargé depuis mardi de l’enquête ouverte notamment pour homicide et viol concernant la mort à Paris de la jeune étudiante, Philippine, et pour laquelle un suspect a été arrêté mardi soir en Suisse, a indiqué le parquet de Paris mercredi.

L’information judiciaire porte notamment sur les infractions de meurtre précédé, accompagné ou suivi d’un autre crime, viol, vol et escroquerie, le tout en état de récidive légale. « Les autorités judiciaires françaises vont adresser une demande d’extradition aux autorités judiciaires suisses afin de se voir remettre l’intéressé le plus rapidement possible », a précisé le ministère public.

Source, Le Parisien.

Je préfère ne pas faire de commentaire, car je risque d'avoir des poursuites.

Toujours les mêmes histoires, les mêmes causes, les mêmes origines. . .Je ne commente pas non plus ce que tout le monde constate dans la douleur.

244455ŦVan-JM a écrit:Toujours les mêmes histoires, les mêmes causes, les mêmes origines. . .Je ne commente pas non plus ce que tout le monde constate dans la douleur.

Non, chaque histoire tragique est unique.

Bonjour Kassandra,

je pensais à l'empreinte néfaste de ces OQTF qui n'ont plus rien à faire ici, et qui violent, qui assassinent. La non application d'expulsion est donc toujours la même cause de décès, de souffrance.

244470ŦVan-JM a écrit:
Bonjour Kassandra,

je pensais à l'empreinte néfaste de ces OQTF qui n'ont plus rien à faire ici, et qui violent, qui assassinent. La non application d'expulsion est donc toujours la même cause de décès, de souffrance.

On peut toujours espérer qu'en gérant mieux les OQTF (en veillant à ce qu'ils soient bien renvoyés chez eux) on limitera la criminalité. Malheureusement, combien de fois n'ai je pas des vu des familles bien intégrées socialement (travail donc payant des impôts, enfants scolarisés ...). se retrouver avec une obligation de quitter le territoire. OQTF pour moi n'est pas synonyme de délinquant.

J'ai déjà entendu des acteurs du système judiciaire ( Belges) se demander si il serait possible d'empêcher le crime avant qu'il se produise ( un peu comme des gamins qui refont le monde). Douce utopie façon ''minority report''.
Aujourd'hui il est clair que beaucoup de crimes sont commis par des gens qui ne devraient pas circuler parmi nous, et que nombre de victimes seraient toujours vivantes, si la loi d'expulsion était appliquée.

Encore une victime d'OQTF dont jamais je n'ai entendu parler ( Mais peut être suis je mal informé ?  ) :

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Pas fan d'Hanouna, mais pour le coup j'aime bien son émission sur Europe 1, il dit les termes, ne censure pas les auditeurs.

Comme c'est étonnant que vous partagiez un extrait d'Europe 1...
" Pas fan d'Hanouna, mais pour le coup j'aime bien son émission sur Europe 1" Mais bien sûr, vous n'êtes absolument pas facho... C'est qui le propriétaire de cette radio ? Bolloré, un danger absolu pour notre démocratie. Je l'affirme haut et fort.
Faites les comptes, combien d'agressions, de meurtres en France qui n'ont rien à voir avec des étrangers ? Faites les comptes. Soyez honnête.
Ces drames vous gargarisent et vous confortent dans vos idées nauséabondes.

Il est indispensable de prendre un pas de recul quand un événement aussi atroce se produit, de sorte à ne pas tirer de conclusion hâtive sur le fonctionnement de tout un système.

C'est comme ça que fonctionne la récupération politique qui met en œuvre des lois pénales toutes aussi répressives les unes que les autres depuis 20 ans.

"Viol en 2019, et il était déjà dehors, c'est une honte" : Le viol est puni de 15 ans de réclusion criminelle maximum.
Lorsque l'on est mineur, on bénéficie de l'excuse de minorité qui divise par deux la peine.
La peine de 7 ans prononcée à l'égard de ce mineur est donc plutôt sévère par rapport à ce que prévoit la loi.

Par ailleurs quand on effectue une peine de prison on bénéficie de "crédits de remise de peine" à condition de bien se comporter, imputés au temps total.
La mise en œuvre est suivie par un juge qui s'appelle le "juge d'application des peines".
Bref, cet individu n'est pas sorti avant la fin de sa peine.

"Comment se fait il qu'il soit toujours en France alors qu'il a une OQTF ?"
Pour qu'un OQTF soit exécutée, il faut s'assurer que l'état de la nationalité de la personne qui en fait l'objet accepte de la récupérer.
La plupart du temps ces états refusent. Ces personnes restent donc sous la responsabilité de la France le temps qu'une solution soit trouvée.

A la fin de sa peine cet individu a été immédiatement placé dans un centre de rétention administrative (CRA) qui est littéralement une prison pour étrangers.
Comme les conditions de détentions sont très dures et sans garanties pour les droits fondamentaux, la durée de rétention doit rester "relativement limitée"...

Du coup on fait quoi ?
Selon vous, le FN ?

= Rétablissement de la peine de mort
= Remise en cause de l'excuse de minorité
= Rétablissement des peines planchers
= Fermeture totale des frontières

La loi ne' doit pas se changer sur le fondement d'un fait divers, aussi effroyable soit il.

C'est pourtant ce qui se fait de plus en plus. C'est pour cela qu'il faut rester attentif et vigilant.
Une loi, ça se travaille en profondeur.
Elle doit prendre en compte tous les aspects, tous les acteurs impliqués; et elle doit venir avec un budget.

On peut réfléchir à...:

= Quelles sont les conditions de détention de détention des étrangers dans les CRA ?
= Quels moyens sont mis en œuvre pour la réinsertion des détenus ?
= Comment assurer l'accueil et l'insertion des étrangers (notamment quand ils sont entrés légalement sur le territoire) ?
= Comment prendre en charge les mineurs délinquants pour ne pas qu'ils deviennent des majeurs délinquants ?
(...)

Tant de réflexion qui vous dépassent j'imagine bien @Tristan du Var et @Van JM.
On vous a moins lu sur le procès Pélicot étonnamment...ou pas.

Pondyness,

vous pensez être au dessus du lot, alors que vous vous comportez de manière agressive, incivilisée, et très mal élevée.
Gardez votre mal être pour vous. Personne ici ne vous cherche.

Je ne pouvais pas ne pas vous répondre voyons.

Il est possible de le faire sans être insultant.
Perso pour les raisons précitées, entre autreS, échanger avec vous n'est ni productif, ni intéressant.

Fin de discussion, et bonne soirée.

Forcément. Pourtant, cela aurait été intéressant. Je ne suis pas insultante. Je trouve par contre le rôle d'hanouna/bolloré dangereux et préoccupant. C'est pourquoi je réagis.
On ne doit pas se servir d'un fait divers pour distiller une apologie...

Je réagis juste à l'actualité, et l'actualité, c'est que ce ressortissant Marocain n'avait rien à faire en France, et il a violé et assassiné une Française à la fleur de l'âge.
J'aurais écrit la même chose si le coupable aurait été un arménien, un asiatique, un hongrois, or ce n'est pas le cas.
Et arrêter avec vos vieux poncifs sur le RN, à aucun moment j'en fais mention.

Lola Daviet et Philippine Le Noir de Carlan seraient encore parmi nous, si ces barbares avaient été expulsés vers leurs pays d'origine, l'Algérie pour Dahbia Benkired et le Maroc pour Taha Oualidat.