Affaires récentes

Kassandra88 a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Manor a écrit:Il a déjà une des trois caractéristiques de la triade Macdonald, comme Lelandais, on va bientôt apprendre qu'il maltraitait ses vaches.

Sortcière a écrit:Je n'avais pas vu passer cette info mais je me réjouis que l'on sache enfin ce qui est arrivé à cette jeune fille :
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Lisetoct a écrit:Kassandra a posté :Vaux-le-Pénil : l'auteur du quadruple assassinat va-t-il obtenir sa libération conditionnelle ? Evil or Very Mad  Evil or Very Mad

Pas de libération conditionnelle : " A noter que Boulai n’a jamais avoué son acte, niant en permanence les preuves les plus accablantes de sa culpabilité jusqu’au dernier jour de son procès.

Parmi ces preuves, la découverte des quatre corps de la famille exterminée à la machette sur les lieux mêmes où vivait Boulai, dans le pavillon qu’il avait  accaparé après avoir fait disparaître ses occupants : Stéphanie Sané, 21 ans, son compagnon Donald Davila, un peu plus âgé, et leurs deux enfants, Donald Junior, 3 ans, et Donatella, 2 ans."

Pas si sur!

Edgar Boulai, l’assassin de toute une famille, va-t-il être libéré après 26 ans de prison ?
Celui qui a massacré un couple et ses deux enfants à la machette en 1995 à Vaux-le-Pénil (Seine-et-Marne) a demandé sa libération pour la troisième fois. Ce que le tribunal d’application des peines de Moulins (Allier) lui a accordé. Le parquet a fait appel.

Un condamné à la perpétuité peut en effet demander à sortir de prison au bout de 18 ans d’incarcération, si aucune peine de sûreté n’a été prononcée, comme c’est le cas dans cette affaire. Après 26 ans derrière les barreaux, l’homme de 66 ans semble près d’obtenir gain de cause puisque le tribunal d’application des peines de Moulins a accordé une libération conditionnelle. Le parquet a interjeté appel. La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Riom (Puy-de-Dôme) devrait se prononcer le 14 décembre lors d’une audience qui ne sera pas publique, réunissant trois juges, un représentant d’associations de victimes et un représentant d’associations de réinsertion de détenus. Gilberte Crovisier peut envoyer un courrier pour faire part de ses observations. Pour le moment, Edgar Boulai reste donc en prison.

Meurtres sauvages sur fond de rite vaudou
Difficile de savoir comment s’est déroulée sa vie lors de ces dernières années, ni de savoir quelles garanties, comme la perspective d’un emploi et d’un logement, il a pu présenter, le tribunal refusant de communiquer. Tout juste peut-on comprendre à la lecture du journal local La Montagne qu’il peint dans le cadre des ateliers artistiques de la centrale et que ses toiles ont fait l’objet d’une petite exposition à Moulins. Nous avons cherché à contacter l’avocat d’Edouard Boulai. En vain.

« J’étais remontée, on fait l’éloge de ce monsieur. Il a l’air en pleine forme », se désespère Gilberte Crovisier, 71 ans, à qui l’on peut décerner les insignes de mère courage pour avoir enduré tant de souffrances. Elle s’est battue durant un an pour que l’on retrouve les corps de Stéphanie, 21 ans, Donald, 35 ans et leurs enfants de 3 et 22 mois. Toute la famille avait été signalée disparue de son domicile de Vaux. Ils n’avaient emporté ni papiers, ni argent, ni vêtements. Ne croyant pas à la version d’une disparition volontaire, Gilberte Crovisier est allée chaque week-end surveiller le terrain où avaient vécu sa fille et sa famille. Elle n’a cessé de solliciter la police afin qu’ils n’abandonnent pas leur enquête, leur faisant remarquer que Boulai roulait aussi dans la voiture des disparus.

Les révélations de la compagne d’Edgar Boulai, condamnée à six mois de prison dont trois avec sursis pour destruction de preuve, ont mis les enquêteurs sur la bonne voie. Présente lors du massacre, elle racontera dans une déposition avoir été réveillée ce soir-là par des cris « semblables à ceux de moutons qu’on égorge ». Ce sont des lettres de Boulai, alors en prison pour d’autres faits, à sa compagne qui ont aiguillé les policiers. Ils ont alors découvert les corps enterrés sous des poules sacrifiées, signe d’un rite vaudou.

« À chaque demande de libération, je ne vis plus. Si la justice veut nous achever, qu’ils le libèrent »
Edgar Boulai, expulsé de son appartement à Dammarie-les-Lys le 20 septembre, a ainsi massacré la famille pour s’emparer de leur logement. Il avait en effet demandé à Donald de l’héberger dans son cabanon de Vaux-le-Pénil. Une bicoque en bois, située sur un terrain abandonné, que la famille squattait avec l’autorisation de la mairie. Le refus de Donald a provoqué une dispute entre les deux hommes, l’après-midi du samedi 16 septembre. Et c’est ce soir-là que sera assassinée la famille.

« Il a tué des bébés, s’émeut Gilberte Crovisier. La petite avait encore des couches. On ne peut pas libérer les assassins d’enfants ». Elle souligne aussi la dangerosité du détenu, au CV judiciaire déjà bien long avant de commettre ces quatre assassinats. Cet habitué de la bouteille avait déjà été condamné à des viols, des attentats à la pudeur, des agressions, des vols, des conduites en état d’ivresse. Lors de son procès, une ancienne petite amie a dit de lui qu’ « il fracassait les femmes ».

« Il a été capable de dormir toute une année dans leur maison, à quelques mètres d’eux après les avoir tués, rappelle Gilberte. Ce n’est pas possible de le libérer. Ça fait huit ans qu’il demande à sortir et à chaque fois vers Noël. Déjà qu’avec mes fils, on a rayé cette fête de nos vies. À chaque demande de libération, je ne vis plus. Si la justice veut nous achever, qu’ils le libèrent. »

Pour donner une nouvelle chance aux condamnés, la justice avance le droit à l’oubli. « Comme si j’allais oublier mes enfants, soupire Gilberte Crovisier dont le corps a fini par convertir la douleur en maladies. Ah ça, la perpétuité réelle, elle est pour moi. J’ai mis 25 ans à sortir un peu la tête de l’eau. Et encore, c’est parce qu’au départ j’aimais beaucoup la vie. Sinon, ça fait longtemps que je ne serais plus là ».

Adolescente enlevée à Tonneins et retrouvée morte : ce que l'on sait du suspect et du décès de Vanessa, 14 ans.

Une collégienne de 14 ans, enlevée vendredi midi à la sortie du collège de Tonneins dans le Lot-et-Garonne, a été retrouvée morte. Le suspect a pu être identifié et arrêté par la gendarmerie. Il était déjà connu de la police et de la justice.

Que s'est-il passé ?
Une adolescente de 14 ans quitte son établissement scolaire, le collège Germillac de Tonneins dans le Lot-et-Garonne, vendredi midi. Sa famille ne la voyant pas rentrer comme prévu - car la jeune fille est externe - donne l'alerte. Les gendarmes visionnent les images de vidéosurveillance de la ville qui montrent Vanessa monter dans la voiture d'un inconnu. La piste de l'enlèvement est rapidement privilégiée. Les enquêteurs remontent la piste du suspect qui vit à Marmande. Il est arrêté vers 23h et avoue avoir étranglé la jeune fille. Il conduit les gendarmes sur les lieux où se trouvait le corps dans une maison abandonnée de Birac-sur-Trec, au nord de Tonneins.

Qui est la victime ?
La collégienne était scolarisée en 4e. Originaire d'Espagne, Vanessa, 14 ans, était prise en charge dans une unité pédagogique allophone destinée aux nouveaux arrivants. La famille est arrivée en France il y a un an et réside à Tonneins. La jeune victime avait un frère et une sœur. La famille ne parle pas français. En état de choc, le père et la mère ont été hospitalisés.

A lire aussi : Lot-et-Garonne : une adolescente de 14 ans enlevée à la sortie du collège de Tonneins et retrouvée morte, un homme interpellé

Qui est le suspect ?
Le suspect est un homme de 31 ans, ex-intérimaire. Il était déjà connu de la justice pour des faits d'agression sexuelle quand il était mineur. Il n'avait pas été condamné à de la prison ferme et ne bénéficiait pas d'un suivi sociojudiciaire, indique BFMTV. Par la suite, il avait commis des dégradations et des vols, selon nos confrères. Il est actuellement entendu à la gendarmerie de Marmande pour enlèvement suivi de meurtre par strangulation.

Comment va se dérouler l'enquête ?
Le suspect sera présenté normalement demain au parquet d'Agen. Le procureur de la République Olivier Naboulet tiendra une conférence de presse ce samedi à 17 heures. Le corps de l'adolescente va être autopsié. Des analyses toxicologiques sont aussi prévues. De nombreuses questions seront à éclaircir : pourquoi le suspect s'en est-il pris à cette adolescente ? La connaissait-il ou non ? L'a-t-il mise en confiance ? Lui a-t-il tendu un piège ? Pourquoi avoir laissé son cops dans une maison abandonnée ? L'enquête a été confiée à la brigade de recherches de Marmande et à la section de recherches d'Agen.

Kassandra88 a écrit:Corps décapité en Meurthe-et-Moselle : une partie du cadavre d’une femme retrouvée en Allemagne. Selon le média local allemand TR News, ce sont la tête et les jambes de la victime qui ont été retrouvées sur le parking à Temmels.

Un homme de 48 ans avait été arrêté le 6 octobre au Luxembourg, soupçonné d’être impliqué dans le meurtre d’une quadragénaire de nationalité portugaise.

Une partie du cadavre démembré d’une femme découvert en septembre à Mont-Saint-Martin, en Meurthe-et-Moselle, a été retrouvée en Allemagne, à quelque 65 km de là, ont confirmé ce mardi les autorités judiciaires luxembourgeoises chargées de l’enquête et la police allemande. Les éléments du corps avaient été retrouvés le 1er novembre sur un parking près du village allemand de Temmels, à la frontière avec le Luxembourg.

Les analyses réalisées en Allemagne ont révélé une « concordance avec l’ADN » prélevé sur le tronc d’une Portugaise de 40 ans résidant au Luxembourg, découvert le 19 septembre par un passant aux abords d’un bâtiment désaffecté de Mont-Saint-Martin, commune française également frontalière du Grand-Duché, a indiqué le parquet de Diekirch.

Les médias luxembourgeois évoquent un réseau de « mariages blancs » derrière cet assassinat.

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