Meurtres ou agressions antisémites

Ici, c'est une petite palestinienne qu'on a tenté de tuer:

États-Unis : une femme suspectée d’avoir tenté de noyer une enfant de 3 ans en raison de son origine palestinienne
Une femme de 42 ans a été inculpée pour tentative de meurtre et de blessure sur un enfant au Texas, après avoir tenté de noyer une fillette de trois ans.
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234742ŦTristanduvar a écrit:

Malgré l'horreur des faits, ces gens sont d'une grande dignité, aucune dégradation, aucune haine, des drapeaux Israéliens et Français, car oui, nous sommes chez nous.

Leurs dignités ne rendra pas l’honneur de leur fille je suis désolé mais si on fais un truc pareil à ma fille je vois rouge y’a plus de dignité ou de retenue qui tienne,si la justice ne fais rien je rends justice moi même il y’a que la peur et l’intimidation qui pourrons calmer ces jeunes énergumènes et puis quoi encore faudrait aussi tendre l’autre joue et se laisser écraser sagement?

Bientôt il y a aura France - Israël possiblement au stade de France, qui se trouve en Seine-Saint-Denis (93), département qui brille régulièrement dans la rubrique des faits-divers.

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Ça va être sport, avec tous les fanatiques pro Palestine Hamas et antisémites.
Ça va se passer comment avec les supporters Israéliens qui vont venir en famille de manières neutres ? Seront-ils en sécurité ?

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Il faut être suicidaire pour organiser cette rencontre dans le contexte actuel, où les actes antisémites explosent  en France, avec + 1.000%.

Viol antisémite de Courbevoie : le profil sidérant du mineur de 12 ans à l’origine du déchaînement de haine contre la victime
Par Guillaume PoingtENQUÊTE - Le jour du viol de l’adolescente, le mis en examen s’affichait fièrement sur le réseau TikTok en retenue dans un commissariat, vraisemblablement dans le cadre d’une précédente affaire.

Le profil des mineurs de 12 et 13 ans suspectés d’être impliqués dans le viol abject d’une enfant juive de 12 ans à Courbevoie (Hauts-de-Seine) se précise. Les deux mineurs de 13 ans ont, notamment, été mis en examen pour viol en réunion, agression sexuelle en réunion, tentative d'extorsion, violences en réunion, menaces de mort et injures à raison de la religion. Le premier, déscolarisé et fugueur, vivait avec une mère «totalement dépassée» sur laquelle il exerçait des violences, le second dans un foyer pour jeunes.

Le troisième mineur, âgé de 12 ans, a quant à lui été placé sous le statut de témoin assisté concernant les faits de viol. Il est mis en examen pour le reste des infractions. Son rôle dans le déclenchement de ce crime barbare semble majeur.

Selon les premiers éléments de l'enquête, la victime avait un début d’«amourette» avec ce mineur de 12 ans qu’elle avait rencontré pendant une activité sportive extrascolaire il y a environ deux semaines. Pourquoi un tel acharnement ?…

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Viol d'une fille juive de 12 ans près de Paris: le profil inquiétant de l’un des co-auteurs, son ex-“petit ami”
Le profil d’un troisième (très) jeune suspect de cette sordide affaire interpelle la presse française.

Les faits ont eu le 15 juin dans un local désaffecté de Courbevoie (Hauts-de-Seine), en région parisienne. Deux adolescents, âgés de 12 et 13 ans, ont été mis en examen pour viol en réunion, agression sexuelle en réunion, tentative d’extorsion, violences en réunion, menaces de mort et injures à raison de la religion. Ils ont été placés en institution fermée. Ce lundi, c’est sur le profil interpellant d’un troisième suspect, âgé de 12 ans, que se penche Le Figaro. En effet, s'il n’a pas participé activement au viol de la jeune victime, il serait à l’origine d’un véritable “déchaînement de haine” à son égard.

Ex-”petit ami”
À ce stade, le jeune garçon n’est placé que sous le statut de témoin assisté pour le viol en tant que tel. Il reste en revanche mis en examen pour les autres chefs d’accusation. Et pour cause, son rôle dans le déclenchement du crime “semble majeur”, souligne le quotidien français. Selon les premiers éléments, il aurait en réalité entretenu une “amourette” avec la victime “il y a environ deux semaines” avant d’apprendre qu’elle était de “confession juive”, précise Le Figaro. Ce détail aurait provoqué sa colère et il aurait alors “déversé toute sa haine” sur elle, relate l’avocate de la famille. Selon Me Muriel Ouaknine-Melki, la jeune fille lui avait auparavant fait croire qu’elle était musulmane “pour se protéger”. Selon la même source, il est suspecté de l’avoir entraînée vers les lieux du crime. C’est dans ce local désaffecté de Courbevoie que la jeune fille aurait subi de premiers attouchements, des insultes antisémites et été “giflée”. Le jeune tortionnaire aurait également menacé de la brûler vive en allumant un briquet “près de sa joue”. Le tout "motivé” par le conflit israélo-palestinien, selon l’avocate.

Connu de la justice
Le jour du viol, ce collégien, qui ne fréquente plus les cours depuis un mois pour une raison indéterminée et qui habite en région parisienne avec sa famille, a publié sur les réseaux sociaux une photo de sa “garde à vue” dans un commissariat, aux côtés de deux autres camarades non identifiés: la “meilleure de sa vie”, confie-t-il, V de la victoire arboré fièrement. Il serait donc déjà connu de la justice pour d’autres faits: celle qui concerne l’agression de Courbevoie n’a en effet eu lieu que deux jours plus tard.

Vif émoi en France
L’affaire a suscité un vif émoi en France et plusieurs rassemblements de soutien se sont tenus à Courbevoie et à Paris. La jeune victime est profondément choquée. La nature de ses blessures physiques n’a pas été détaillée: “Elle a vraiment cru qu’elle allait mourir”, a commenté l’un de se avocats.

Le président Emmanuel Macron a personnellement réagi ce dimanche sur X, en marge d’une marche contre l’antisémitisme: “En cette matinée de marche contre l’antisémitisme à Courbevoie, je pense à cette enfant agressée, frappée parce que juive, violée par d’autres enfants. Éduquons, ne cédons rien, punissons. L’antisémitisme, le racisme et toutes les haines abîment chacun de nous.”[/b]

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Ce gamin est un vrai psychopathe.
Ce serait intéressant de savoir pour quels autres faits il était déjà poursuivi.

Collégienne de 12 ans violée à Courbevoie : « Notre fille a vécu l’antisémitisme dans sa chair » [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
EXCLUSIF. Les parents de la jeune adolescente, agressée, violée et injuriée le samedi 15 juin par un groupe de trois garçons de son âge au motif qu’elle était juive, ont décidé de s’exprimer pour la première fois.

234822ŦTristanduvar a écrit:Collégienne de 12 ans violée à Courbevoie : « Notre fille a vécu l’antisémitisme dans sa chair » [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
EXCLUSIF. Les parents de la jeune adolescente, agressée, violée et injuriée le samedi 15 juin par un groupe de trois garçons de son âge au motif qu’elle était juive, ont décidé de s’exprimer pour la première fois.

« Avant de la laisser repartir, ils lui ont fait jurer sur Allah de ne rien dire, qu’elle ne devait surtout en parler à personne, ni à ses parents ni à la police. Ils lui ont même demandé de se convertir à l'islam »

234825ŦDiane a écrit:

234822ŦTristanduvar a écrit:Collégienne de 12 ans violée à Courbevoie : « Notre fille a vécu l’antisémitisme dans sa chair » [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
EXCLUSIF. Les parents de la jeune adolescente, agressée, violée et injuriée le samedi 15 juin par un groupe de trois garçons de son âge au motif qu’elle était juive, ont décidé de s’exprimer pour la première fois.

« Avant de la laisser repartir, ils lui ont fait jurer sur Allah de ne rien dire, qu’elle ne devait surtout en parler à personne, ni à ses parents ni à la police. Ils lui ont même demandé de se convertir à l'islam »

Mais non Diane, c'est encore un coup de l'extrême-droite.

Combien d'individus en France ont la même idéologie religieuse et mortifère que ces jeunes ? C'est du terrorisme.

Cette affaire n'est pas qu'un fait-divers, continuons à nier les évidences, c'est bien.

234826ŦTristanduvar a écrit:
Mais non Diane, c'est encore un coup de l'extrême-droite.

Ce n'est même pas drôle.

Collégienne de 12 ans violée à Courbevoie : « Notre fille a vécu l’antisémitisme dans sa chair »
EXCLUSIF. Les parents de la jeune adolescente, agressée, violée et injuriée le samedi 15 juin par un groupe de trois garçons de son âge au motif qu’elle était juive, ont décidé de s’exprimer pour la première fois.

Par Ronan Folgoas et Jean-Michel Décugis
Le 24 juin 2024 à 20h12

...

Comment se porte aujourd’hui votre fille ?

Le père. Elle est très choquée. Ses agresseurs lui ont volé son enfance. Ce choc lui provoque des réminiscences, des flash-back la nuit. Elle rencontre des difficultés pour s’endormir et subit des réveils nocturnes. C’est un quotidien assez pénible. Le lendemain qui a suivi les faits, elle a réussi à trouver les mots pour expliquer à la police ce qui lui est arrivé, ce qu’elle a vécu. Depuis, elle connaît plus de difficultés à se confier.

Dans quelles circonstances avez-vous compris ce qui s’était passé ?

La mère. Nous avons appris, grâce au camarade avec lequel elle avait passé l’après-midi, qu’elle était en danger et séquestrée.

Le père. Je me suis alors lancé à sa recherche. Je me suis rendu autour du square d’où elle avait disparu puis je suis passé devant cette ancienne crèche où elle était prisonnière, sans entendre quoi que ce soit, malheureusement. Je l’ai cherchée pendant une heure environ. Ne la trouvant pas, je suis retourné à mon domicile où elle n’était toujours pas rentrée. Je suis redescendu pour poursuivre les recherches et c’est là que je l’ai trouvée dans le hall de notre immeuble. Elle était en pleurs, en détresse totale. Elle m’a tout de suite dit : « Papa, j’ai été violée. Ils m’ont tout fait. » Là, elle m’a donné les détails. Puis elle m’a dit : « Je n’ai rien le droit de te dire, ils m’ont fait jurer de ne rien dire sinon ils me tueraient. Ils m’ont menacée de mort, et ils m’ont dit qu’ils vous feraient du mal à vous aussi. » Elle m’explique aussi que ses agresseurs lui ont réclamé 200 euros, qu’elle devait remettre le lendemain, à une certaine heure, dans le square. En aucun cas, elle ne devait prévenir la police. Si elle n’apportait pas l’argent, ils s’en prendraient aussi à sa famille.

Quelle a été votre première réaction ?

Le père. Je lui demande tout de suite qui lui a fait cela. Elle me donne le prénom du seul garçon qu’elle connaît parmi ses trois agresseurs. Elle l’a rencontré par l’intermédiaire d’autres amis. Puis elle a continué à le fréquenter via les réseaux sociaux. En, revanche, elle me dit ne pas connaître les deux autres.

Qu’avez-vous fait ensuite ?

Le père. Je prends ma fille dans les bras, j’essaie de la rassurer. J’essaie de récupérer un certain nombre d’informations auprès d’elle. Nous montons à notre domicile. Je lui dis qu’en aucun cas nous nous soumettrons aux exigences de ces gens, qu’il fallait prévenir la police. J’appelle ma femme pour lui dire que quelque chose de grave s’est passé… que notre fille a été violée.

La mère. J’avais déjà prévenu la police deux heures plus tôt en portant plainte pour disparition inquiétante. J’ai rappelé la police pour les avertir que nous avions retrouvé notre fille mais qu’elle avait été violée. Je suis rentrée à la maison. J’ai retrouvé ma fille en pleurs, je l’ai prise dans mes bras pour essayer de la réconforter. Je lui ai dit qu’elle allait devoir être forte. Je lui ai expliqué ce qui allait se passer, qu’elle devait prendre tout son temps pour expliquer ce qui s’était passé et qu’elle allait devoir se soumettre à des examens, que cela ne serait pas agréable. Je lui ai dit qu’on devait tout faire pour la protéger et aussi protéger les autres, faire en sorte que cela ne se reproduise pas.

« C’est un acte clairement antisémite qui est lié à l’importation en France du conflit israélo-palestinien »
Le père de la victime
Vos avocats ont parlé d’une « expédition punitive » dont votre fille a été la cible. Qu’avez-vous compris des « raisons » pour lesquelles votre fille a été visée ?

Le père. Pour moi, c’est un acte clairement antisémite qui est lié à l’importation en France du conflit israélo-palestinien. L’expédition punitive consistait à venir massacrer une personne parce qu’elle est juive.

La mère. D’après ce que nous avons compris, F. (le mineur de 12 ans) a dit à notre fille : « Pourquoi tu as menti ? Je sais que tu n’es pas musulmane… Alors, tu es de quelle religion ? » En fait, il avait appris que notre fille était juive et il en déduisait qu’elle était forcément « pro-Israël » et anti-palestinienne. La réalité est bien différente puisque notre fille, comme nous-mêmes, est pour le camp de la paix. Mais visiblement, ce F. n’a pas supporté le fait qu’elle ait pu lui mentir sur sa religion.

Dans quelles circonstances votre fille avait-elle indiqué qu’elle n’était pas juive ?

Sa mère. Après le 7 octobre, notre fille a subi un harcèlement dans son collège et une mise à l’écart du fait de sa religion. Cela a commencé dans le courant du mois de novembre par des saluts nazis, des croix gammées sur les tables à l’école ou des blagues sur la Shoah. Elle a perdu plusieurs camarades musulmanes de cette façon, sans que cela ne débouche sur des violences physiques. Dans ce contexte déjà très tendu, nous lui avions conseillé de rester prudente sur les questions liées à la religion. C’est pour ces raisons qu’elle a dû laisser entendre à F. quelques semaines avant les faits qu’elle était musulmane.

Comment a-t-elle fait la rencontre de F. ?

La mère. Tout a commencé lors de la visite du site olympique de hockey sur gazon à Colombes (Hauts-de-Seine), auxquels plusieurs collèges étaient conviés. Ils se sont rencontrés à cette occasion par le biais d’amis communs dans leurs collèges respectifs. Ensuite, ils ont gardé contact… Ils ont eu un petit « crush », comme ils disent.

Quel lien faites-vous entre le drame vécu par votre fille et le contexte géopolitique ?

Le père. Un amalgame s’est opéré dans une partie de l’opinion entre Israël, vu comme l’agresseur du peuple palestinien, et les Français juifs qui sont dès lors montrés du doigt et dénoncés pour des faits qui se déroulent à plusieurs milliers de kilomètres.

La mère. Nous ne vivons pas un antisémitisme résiduel mais un antisémitisme pesant, visible, palpable. Notre fille l’a vécu dans sa chair à l’école avant de subir l’impensable le 15 juin.

« Il y a selon nous un mimétisme entre les actes perpétrés par les terroristes du Hamas dans les kibboutz et ce que notre fille a subi en bas de chez nous à Courbevoie »
La mère de la victime
Qu’avez-vous pensé des réactions du monde politique ?

Le père. Il nous a été très pénible de voir comment notre « affaire » a pu être instrumentalisée par l’ensemble des partis politiques. Nous préférons rester éloignés de ce genre de sollicitations. En revanche, nous nous exprimons auprès de vous pour alerter les consciences des parents et des enfants, quelle que soit leur confession, pour que ce genre de drame ne se répète pas.

La mère. Nous ne cherchons pas à faire pleurer sur notre sort et sur le sort de notre fille. Nous voulons surtout que les consciences se réveillent et fassent la distinction entre un conflit extrêmement brûlant qui se déroule à l’étranger, d’un côté, et les Français juifs, de l’autre. Or, il y a selon nous un mimétisme entre les actes perpétrés par les terroristes du Hamas dans les kibboutz et ce que notre fille a subi en bas de chez nous à Courbevoie.

Qu’est-ce qui vous fait dire cela ?

Le père. Notre fille a été saisie de force puis conduite contre sa volonté dans un local désaffecté à l’abri des regards et retenue pendant un temps très long, peut-être une heure et demie. Elle a été menacée à l’aide d’un briquet, ils lui ont fait avaler un papier, puis elle a subi des actes sexuels affreux tout en étant filmée. Il y avait de la part de ses agresseurs l’envie très claire de la détruire et de faire de sa vie un calvaire. Le sentiment d’impunité de ces garçons est d’ailleurs sidérant. Ils se pensaient vraiment à l’abri de poursuites et ont pu croire que notre fille serait tellement effrayée qu’elle ne dirait rien.

Pourquoi ?

La mère. Avant de la laisser repartir, ils lui ont fait jurer sur Allah de ne rien dire, qu’elle ne devait surtout en parler à personne, ni à ses parents ni à la police. Ils lui ont même demandé de se convertir à la religion musulmane.

Qu’attendez-vous désormais de l’enquête et de la justice en général ?

Le père. Nous attendons simplement que la justice reconnaisse comme des crimes ce que notre fille a vécu. Nous espérons aussi que la société française prenne pleinement conscience du niveau de violence et de haine dont des enfants de 13 ans sont capables à l’encontre d’un autre enfant, au prétexte qu’il est juif. Notre drame est aussi le signe d’une faillite collective de notre société qui se révèle incapable de lutter contre cet islamisme radical qui gangrène même l’esprit des enfants jusque dans ses formes les plus extrêmes.

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« Après le 7 octobre, notre fille a subi un harcèlement dans son collège et une mise à l’écart du fait de sa religion. Cela a commencé dans le courant du mois de novembre par des saluts nazis, des croix gammées sur les tables à l’école ou des blagues sur la Shoah. Elle a perdu plusieurs camarades musulmanes de cette façon, sans que cela ne débouche sur des violences physiques. Dans ce contexte déjà très tendu, nous lui avions conseillé de rester prudente sur les questions liées à la religion. C’est pour ces raisons qu’elle a dû laisser entendre à F. quelques semaines avant les faits qu’elle était musulmane. »

L'Éducation Nationale se distingue encore une fois par son inaction pour protéger les personnes en danger, sans parler et sa politique du « pas de vagues. »

Comme avec les professeurs menacés de mort, car ils ont essayé de faire respecter le règlement sur les abayas ou avec la laïcité.

Toutes les problématiques liées à des individus qui veulent nous imposer leurs idéologie moyenâgeuse, par la menace et la violence nous pètent à la gueule. Je ne vois aucun motif d'espoir pour la suite.

Expulsion des étudiants pro-palestiniens de l’ULB: une femme juive agressée, le bâtiment saccagé
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Ca commence à bien faire ces occupations d'université.
On n'a pas vu un tel était de solidarité avec les Israéliens massacrés le 7 octobre, ni pour le massacre des Ukrainiens.

bonjour. je fais un tour sur votre forum....
noter : ce gamin est (se dit) "converti" à l'islam : il a été élevé dans un milieu bien franchouillard, rien à voir avec l'islam.
Je ne connais pas sa vie, mais visiblement il y a quelque chose qui ne va pas chez lui, qui ressort par la violence. Alors, il regarde autour de lui, qu'est ce qu'il voit, qu'est ce qu'on lui montre comme "modèle" de violence, de méchanceté, de violation des interdits ? l'islamisme, la caricature de l'islam. Alors, il identifie sa révolte à l'islam - je doute qu'il en aie la moindre connaissance théologique.
bonne soirée.

234933Ŧirène a écrit:bonjour. je fais un tour sur votre forum....
noter : ce gamin est (se dit) "converti" à l'islam : il a été élevé dans un milieu bien franchouillard, rien à voir avec l'islam.
Je ne connais pas sa vie, mais visiblement il y a quelque chose qui ne va pas chez lui, qui ressort par la violence. Alors, il regarde autour de lui, qu'est ce qu'il voit, qu'est ce qu'on lui montre comme "modèle" de violence, de méchanceté, de violation des interdits ? l'islamisme, la caricature de l'islam. Alors, il identifie sa révolte à l'islam - je doute qu'il en aie la moindre connaissance théologique.
bonne soirée.

Bonsoir Irène.
Je partage ta façon de voir les choses.

234897ŦKassandra88 a écrit:Expulsion des étudiants pro-palestiniens de l’ULB: une femme juive agressée, le bâtiment saccagé
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Ca commence à bien faire ces occupations d'université.
On n'a pas vu un tel était de solidarité avec les Israéliens massacrés le 7 octobre, ni pour le massacre des Ukrainiens.

Bonjour Kassandra

Inutile de chercher bien loin les raisons de ces partis-pris...
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Huit membres de la Jeune garde antifasciste mis en examen à Paris, accusés de violences antisémites

« Nous rejetons en bloc ces accusations », a réagi dans un communiqué la Jeune Garde Paris, un des groupes du mouvement fondé en 2018 et assumant une stratégie musclée contre l’extrême droite.

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Saint-Brice-Sous-Forêt (95) :
Une octogénaire, porteuse d'un collier étoile juive, de 88 ans, attaquée par derrière par "des individus de type maghrébin".
Frappée et crachée au visage avec une dent cassée, elle est traitée de "Sale Juive". Auteurs en fuite.

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Merci à tous pour vos contributions . Ce fil n'aura pas servi à rien.

235454ŦKassandra88 a écrit:Huit membres de la Jeune garde antifasciste mis en examen à Paris, accusés de violences antisémites

« Nous rejetons en bloc ces accusations », a réagi dans un communiqué la Jeune Garde Paris, un des groupes du mouvement fondé en 2018 et assumant une stratégie musclée contre l’extrême droite.

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Les huit suspects, âgés d’une vingtaine à une trentaine d’années, ont été mis en examen "pour violences en réunion ayant entraîné une incapacité supérieure à huit jours dans un moyen de transport collectif de voyageurs en raison de la race, de l’ethnie, de la nation ou de la religion" et placés sous contrôle judiciaire, d’après le parquet de Paris.

"L’Unité médico-judiciaire a retenu 12 jours d’incapacité de travail en raison du retentissement psychologique", précise le parquet. Un "enregistrement audio de l’agression a été diffusé sur le compte Instagram du groupe intitulé + jeune garde +", ajoute la même source.

Rima Hassan assure n’avoir aucun lien avec eux
La député LFI Rima Hassan affirme de son côté sur X que "l’info selon laquelle 'mon service d’ordre' aurait été impliqué dans une agression à caractère antisémite à l’occasion de la tenue d’une conférence à Dauphine est fausse". La militante franco-palestinienne assure qu’elle n’a "pas été personnellement informée de la mobilisation de ce collectif dont je ne connais par ailleurs aucun membre".
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A suivre ...

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Les faits remontent au 28 janvier 2021 : à son domicile, consultant la messagerie vocale de son téléphone personnel, l’élue découvre un message terrifiant. "Traîtresse, tu vas arrêter de travailler avec les juifs, soutenir...
la suite pour les abonnés
ce n'est pas la première fois...24 mars 2017
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Dans la même journée, un internaute, qui est passé par la rubrique « Contact » du site de la Région, a laissé un message intitulé
« Honteux »:
"Honte à Carole Delga qui ose enlever le micro à un élu FN. Cette info sera relayée dans tous les médias. Bande de pourris de gauchiasses ! Vous êtes une honte pour la France et un jour on vous massacrera tous, socialos de merde ! En espérant que la famille Delga se fasse égorger dans un prochain attentat !"

et récemment 25/06/2024
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La question se pose alors que la présidente du conseil régional Occitanie a été la cible d’un tag haineux ("Delga va crever"), inscrit en grosses lettres jaunes sur la façade de la Maison des territoires, un bâtiment de verre situé en bordure du boulevard de la Marquette à Toulouse, et loué par le Département.

Qui est cette femme qui focalise tellement de haine ?
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Bref un monde de douceur...

Selon mon opinion, le problème central reste l'ignorance , l'inculture , l'illettrisme.J'avais beaucoup aimé cette banderole en fronton d'une bibliothèque dans une modeste ville de l'ouest américain : Adventure starts at the Library.
L'antisémitisme provient de gens incultes ou de gens issus d'autres religions monothéistes .