qui est il? XIV
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MattCo69
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qui est il? XIV
Pusher83 a écrit:Avec son visage pas commun, personne n'a jamais eux-mêmes un soupçon depuis 1994 tss..
Il connaît bien Paris même, et les environs..
La ferme à Saclay pour la dernière agression en 1994, Il roule pendant beaucoup de kilomètres en voiture avec Ingrid, avec des risques considérables.. Il connaît le lieu..
Il a rencontré des gens juste avec sa profession obligatoirement, même dans cette direction le néant..
Un visage comme celui-ci, quand même impossible de l'oublier..
Ce n'est pas la peine d'écrire n'importe quoi.
C'est justement parce qu'il a un visage commun et passe partout qu'il n'a jamais été vraiment reconnu, la tendance est plutôt de le voir partout.
Dernière édition par Kassandra88 le Mer 6 Mai 2020 - 10:37, édité 1 fois
Re: qui est il? XIV
Bonsoir
C’est vrai que faire autant de bornes nous ferait penser qu’il n’avait pas prémédité l’enlèvement d’Ingrid. Que faisait-il à Mitry Mory, on ne le saura peut-être jamais mais s’il n’a pas calculé son méfait à l’avance en 1994, il cherchait un endroit « secure » qu’il connaissait très bien, la ferme était sûrement toute indiquée. Saclay a toujours été un endroit intéressant dans le dossier.
Lieu d’entrainements de la police, des pompiers, et pour ces derniers des gens aux horaires différents des horaires de bureau.
Cela me fait penser bien sûr à l’horaire de l agression de CB entre autres (effectuée après une garde par ex. )
Je sais pas pourquoi je bloque sur la possibilité d’un G pompier au dessus de tous soupçons, au sein même du culte du secret militaire, puisque les pompiers sont des militaires, avec un physique imposant, une connaissance des circuits et des issues de secours des immeubles, des parkings, des ascenseurs ...
Il aurait été intéressant de savoir si on considère Mitry comme intéressant si des pompiers auraient eu de la famille là -bas et a ce moment là . Pourquoi pas !?
Continuons !!
C’est vrai que faire autant de bornes nous ferait penser qu’il n’avait pas prémédité l’enlèvement d’Ingrid. Que faisait-il à Mitry Mory, on ne le saura peut-être jamais mais s’il n’a pas calculé son méfait à l’avance en 1994, il cherchait un endroit « secure » qu’il connaissait très bien, la ferme était sûrement toute indiquée. Saclay a toujours été un endroit intéressant dans le dossier.
Lieu d’entrainements de la police, des pompiers, et pour ces derniers des gens aux horaires différents des horaires de bureau.
Cela me fait penser bien sûr à l’horaire de l agression de CB entre autres (effectuée après une garde par ex. )
Je sais pas pourquoi je bloque sur la possibilité d’un G pompier au dessus de tous soupçons, au sein même du culte du secret militaire, puisque les pompiers sont des militaires, avec un physique imposant, une connaissance des circuits et des issues de secours des immeubles, des parkings, des ascenseurs ...
Il aurait été intéressant de savoir si on considère Mitry comme intéressant si des pompiers auraient eu de la famille là -bas et a ce moment là . Pourquoi pas !?
Continuons !!
MattCo69
Re: qui est il? XIV
Je crois que l’on aura + de chance a l´avenir de choper ce personnage avec l’ADN qu’avec ces histoires de peau... j'espère sincèrement
MattCo69
Re: qui est il? XIV
C'est vrai que pompier comme profession très intéressant, un homme qui sauve des vies au-dessus de tout soupçon.. Même pour sa famille.. Entre le début des agressions et la dernière, il a énormément évolué.. Il prend le temps d'enlever la gamine passe plusieurs heures avec elle.. Avant les années 90 il n'a peut-être pas le permis ou de véhicule, donc il fait usage de la ruse.. Hypothèses..
Le véhicule il n'a jamais été retrouvé bien sûr..
Le véhicule il n'a jamais été retrouvé bien sûr..
Invité- Invité
Re: qui est il? XIV
Pusher83 a écrit:C'est vrai que pompier comme profession très intéressant, un homme qui sauve des vies au-dessus de tout soupçon.. Même pour sa famille.. Entre le début des agressions et la dernière, il a énormément évolué.. Il prend le temps d'enlever la gamine passe plusieurs heures avec elle.. Avant les années 90 il n'a peut-être pas le permis ou de véhicule, donc il fait usage de la ruse.. Hypothèses..
Le véhicule il n'a jamais été retrouvé bien sûr..
Le 1er avril 1987, il vole le véhicule des parents de Cyril. Il s'en débarrassera quelques temps plus tard. Pourquoi?
Re: qui est il? XIV
Dans des messages d'avant, une personne a dit que des témoins ils ont vu le grêlé avec des habits différents le même jour. Si c'est bien exact, alors c'est qu'il réside, ou au pire il a point de chute dans le secteur des agressions.
C'est fragile, mais ça peut tenir..
Le hic c'est que personne va revoir le grêlé avant/après les agressions.. Fantômas..
Beaucoup d'agressions dans les 6~19 arrondissements de Paris, dans d'autres arrondissements aussi..
Difficile de croire que ce n'est pas un familier des lieux..
C'est fragile, mais ça peut tenir..
Le hic c'est que personne va revoir le grêlé avant/après les agressions.. Fantômas..
Beaucoup d'agressions dans les 6~19 arrondissements de Paris, dans d'autres arrondissements aussi..
Difficile de croire que ce n'est pas un familier des lieux..
Invité- Invité
Re: qui est il? XIV
MattCo69 a écrit:
Je sais pas pourquoi je bloque sur la possibilité d’un G pompier au dessus de tous soupçons, au sein même du culte du secret militaire, puisque les pompiers sont des militaires, avec un physique imposant, une connaissance des circuits et des issues de secours des immeubles, des parkings, des ascenseurs ...
Il aurait été intéressant de savoir si on considère Mitry comme intéressant si des pompiers auraient eu de la famille là -bas et a ce moment là . Pourquoi pas !?
Continuons !!
Bonjour,
L'hypothèse "pompier" pourquoi pas.
Il y a une caserne à Mitry-Mory 19-21 Rue des Frères Lumière, c'est très près du domicile d'Ingrid. Une fois Claude P. interpellé, les enquêteurs n'ont pas cherché plus loin. Les pompiers n'ont sans doute pas été interrogés.
Cependant je ne sais pas si il y avait une caserne cet endroit en 1994.
Re: qui est il? XIV
Merci pour ce retour Kassandra et les infos
Une caserne effectivement proche comme celle a 15minutes de 15-16 rue petit.... normal pour une caserne et intervenir rapidement me direz-vous. Il n’y a que des coïncidences il parait.
Voilà cette piste du pompier partant de rien a pourquoi pas. C’est une avancée considérable lol
Une caserne effectivement proche comme celle a 15minutes de 15-16 rue petit.... normal pour une caserne et intervenir rapidement me direz-vous. Il n’y a que des coïncidences il parait.
Voilà cette piste du pompier partant de rien a pourquoi pas. C’est une avancée considérable lol
MattCo69
Re: qui est il? XIV
Y a aussi une caserne boulevard massena à moins d'un kilomètre de la place de vénétie
kersauson
Re: qui est il? XIV
Cela peut expliquer qu'il connaît aussi bien les arrondissements de Paris, et la banlieue proche..
Invité- Invité
Re: qui est il? XIV
Bonjour à tous,
Un temps perçu comme possible auteur de l'enlèvement d'Estelle Mouzin, les dernières infos confirment que le G n'était pas lié à cette affaire. Depuis très longtemps, j'étais persuadée que Fourniret était celui qui avait enlevé Estelle, mais j'aurais pu me tromper.
Ce que je n'ai jamais compris, c'est pourquoi les enquêteurs avaient rejeté d'emblée la piste G.
Un temps perçu comme possible auteur de l'enlèvement d'Estelle Mouzin, les dernières infos confirment que le G n'était pas lié à cette affaire. Depuis très longtemps, j'étais persuadée que Fourniret était celui qui avait enlevé Estelle, mais j'aurais pu me tromper.
Ce que je n'ai jamais compris, c'est pourquoi les enquêteurs avaient rejeté d'emblée la piste G.
Re: qui est il? XIV
Même si je suis un peu "hors sujet" ....
«Cold cases» : comment mieux traiter les crimes non élucidés en France ?
« On ne sait même pas combien il y a d’affaires non résolues en France. » Jacques Dallest, procureur général de Grenoble (Isère), anime un groupe de travail composé de policiers, de gendarmes et de magistrats.
Les experts des « cold cases » demandent notamment une meilleure conservation des scellés pour permettre des comparaisons d’ADN des années après. LP/Marc Menou
Martine Escadeillas, Christelle Oudin, Estelle Mouzin … Autant de victimes disparues il y a plus de dix ans et de familles qui ont dû attendre l'année 2019 pour avoir enfin un début de réponse de la justice avec l'arrestation de suspects. Ces cas restent pourtant une goutte d'eau dans l'océan des « cold cases » insolubles. Si certains, comme le meurtre du petit Gregory en 1984, font toujours l'objet d'une enquête, d'autres prennent la poussière dans les archives des tribunaux, classés sans suite et oubliés des juridictions.
« On doit créer une mémoire criminelle au sein de la justice, estime Jacques Dallest, procureur général près la cour d'appel de Grenoble (Isère). Aujourd'hui, on ne sait même pas combien il y a d'affaires non résolues en France. » Fort de ce constat, le magistrat anime depuis le mois de novembre un groupe de travail chargé de repenser le traitement des « cold cases » en France.
« On est en échec, car il n'y a pas de méthode de travail », appuie Me Didier Seban, avocat spécialiste de ces affaires et membre du groupe de réflexion. Les trois premières réunions de travail ont notamment mis en lumière un manque de spécialisation des magistrats chargés de suivre ces dossiers à part.
Faciliter les rapprochements entre les affaires
« Connaître tous ces dossiers, qui sont anciens et parfois classés, n'est pas évident pour un procureur, admet le commissaire divisionnaire Philippe Guichard, patron de l'Office central de répression des violences aux personnes (OCRVP). On doit réfléchir à un regroupement de ces cas auprès de magistrats spécialisés, qui ne quittent pas leur poste tous les deux ans. »
« Les cold cases demandent une méthodologie précise, confirme le général Jean-Philippe Lecouffe, sous-directeur de la police judiciaire de la gendarmerie, lui aussi impliqué dans ce groupe de travail. Passer la main à des magistrats qui ont la fibre pour ces enquêtes est une option à étudier. » Un peu à l'image des JIRS, ces juridictions spécialisées créées pour lutter contre la criminalité organisée.
« Une centralisation des dossiers, au niveau régional ou national », pourrait aussi aider à élaborer des rapprochements entre certaines affaires. Il a ainsi fallu 23 ans pour que la justice – poussée par Mes Didier Seban et Corinne Herrmann, les avocats de la famille – établisse une corrélation entre la mort d'Isabelle Mesnage en 1986 dans la Somme et les deux meurtres commis par Jacques Rançon en 1997 et 1998 à Perpignan, qui ont conduit à son arrestation en 2014. Les blessures des trois jeunes femmes étaient pourtant quasiment identiques… et Jacques Rançon vivait dans la Somme au moment du meurtre d'Isabelle Mesnage. « Malheureusement, la justice ne réalise pas le parcours de vie de ces tueurs, souligne Me Seban. Dès lors, faire des liens entre les affaires est très compliqué. Il faut changer cela. »
Pouvoir comparer des ADN des années après
L'autre réflexion du groupe concerne « le temps qui passe et qui joue forcément pour les auteurs », estime Jacques Dallest. En juin 2018, l'interpellation des parents de la petite martyre de l'A10, une petite fille dont le corps supplicié avait été abandonné au bord d'une autoroute, a bien été rendue possible par des prélèvements ADN conservés depuis 1987. Mais « des cold cases le restent en raison d'une disparition ou d'une mauvaise conservation des scellés », assure le commissaire Guichard…
Dans l'affaire des disparus de l'Isère, « la justice a même perdu les ossements d'un enfant », dénonce Me Seban. « Le fichier national des empreintes génétiques peut permettre de régler de vieux dossiers, confirme Jacques Dallest. Mais pour faire des comparaisons, il faut des scellés. Or, ils sont parfois détruits après le classement sans suite d'une affaire. » Et même quand ils sont conservés quelques années, c'est parfois trop peu… « La carrière d'un criminel comme Michel Fourniret s'étend sur près de 50 ans, souligne le général Lecouffe. La conservation de l'ADN, elle, n'est que de 40 ans… »
LIRE AUSSI > Enquêtes criminelles : les archéologues à la rescousse
Sur le même plan, Me Seban plaide aussi pour rendre systématique « le prélèvement d'ADN des personnes enterrées sous X. Cela aurait peut-être permis de relier ces cadavres à des criminels des années plus tard. » La même problématique existe pour les disparus, dont l'ADN est encore trop rarement conservé alors qu'il pourrait être collecté sur des objets ou sur des proches. C'est d'ailleurs bien parce que des parents de Lydie Logé, disparue en 1993, ont fourni leur ADN que la justice a pu faire le lien entre la jeune femme et un fragment génétique retrouvé dans la camionnette de Michel Fourniret… parmi une trentaine d'ADN restés inconnus à ce jour.
« Bien sûr, on ne résoudra jamais toutes les affaires, admet le procureur général de Grenoble. Mais on parle de la criminalité la plus grave, celle qui touche des familles. On doit tout faire pour s'améliorer. » Le groupe de travail rendra ses préconisations avant l'été.
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«Cold cases» : comment mieux traiter les crimes non élucidés en France ?
« On ne sait même pas combien il y a d’affaires non résolues en France. » Jacques Dallest, procureur général de Grenoble (Isère), anime un groupe de travail composé de policiers, de gendarmes et de magistrats.
Les experts des « cold cases » demandent notamment une meilleure conservation des scellés pour permettre des comparaisons d’ADN des années après. LP/Marc Menou
Martine Escadeillas, Christelle Oudin, Estelle Mouzin … Autant de victimes disparues il y a plus de dix ans et de familles qui ont dû attendre l'année 2019 pour avoir enfin un début de réponse de la justice avec l'arrestation de suspects. Ces cas restent pourtant une goutte d'eau dans l'océan des « cold cases » insolubles. Si certains, comme le meurtre du petit Gregory en 1984, font toujours l'objet d'une enquête, d'autres prennent la poussière dans les archives des tribunaux, classés sans suite et oubliés des juridictions.
« On doit créer une mémoire criminelle au sein de la justice, estime Jacques Dallest, procureur général près la cour d'appel de Grenoble (Isère). Aujourd'hui, on ne sait même pas combien il y a d'affaires non résolues en France. » Fort de ce constat, le magistrat anime depuis le mois de novembre un groupe de travail chargé de repenser le traitement des « cold cases » en France.
« On est en échec, car il n'y a pas de méthode de travail », appuie Me Didier Seban, avocat spécialiste de ces affaires et membre du groupe de réflexion. Les trois premières réunions de travail ont notamment mis en lumière un manque de spécialisation des magistrats chargés de suivre ces dossiers à part.
Faciliter les rapprochements entre les affaires
« Connaître tous ces dossiers, qui sont anciens et parfois classés, n'est pas évident pour un procureur, admet le commissaire divisionnaire Philippe Guichard, patron de l'Office central de répression des violences aux personnes (OCRVP). On doit réfléchir à un regroupement de ces cas auprès de magistrats spécialisés, qui ne quittent pas leur poste tous les deux ans. »
« Les cold cases demandent une méthodologie précise, confirme le général Jean-Philippe Lecouffe, sous-directeur de la police judiciaire de la gendarmerie, lui aussi impliqué dans ce groupe de travail. Passer la main à des magistrats qui ont la fibre pour ces enquêtes est une option à étudier. » Un peu à l'image des JIRS, ces juridictions spécialisées créées pour lutter contre la criminalité organisée.
« Une centralisation des dossiers, au niveau régional ou national », pourrait aussi aider à élaborer des rapprochements entre certaines affaires. Il a ainsi fallu 23 ans pour que la justice – poussée par Mes Didier Seban et Corinne Herrmann, les avocats de la famille – établisse une corrélation entre la mort d'Isabelle Mesnage en 1986 dans la Somme et les deux meurtres commis par Jacques Rançon en 1997 et 1998 à Perpignan, qui ont conduit à son arrestation en 2014. Les blessures des trois jeunes femmes étaient pourtant quasiment identiques… et Jacques Rançon vivait dans la Somme au moment du meurtre d'Isabelle Mesnage. « Malheureusement, la justice ne réalise pas le parcours de vie de ces tueurs, souligne Me Seban. Dès lors, faire des liens entre les affaires est très compliqué. Il faut changer cela. »
Pouvoir comparer des ADN des années après
L'autre réflexion du groupe concerne « le temps qui passe et qui joue forcément pour les auteurs », estime Jacques Dallest. En juin 2018, l'interpellation des parents de la petite martyre de l'A10, une petite fille dont le corps supplicié avait été abandonné au bord d'une autoroute, a bien été rendue possible par des prélèvements ADN conservés depuis 1987. Mais « des cold cases le restent en raison d'une disparition ou d'une mauvaise conservation des scellés », assure le commissaire Guichard…
Dans l'affaire des disparus de l'Isère, « la justice a même perdu les ossements d'un enfant », dénonce Me Seban. « Le fichier national des empreintes génétiques peut permettre de régler de vieux dossiers, confirme Jacques Dallest. Mais pour faire des comparaisons, il faut des scellés. Or, ils sont parfois détruits après le classement sans suite d'une affaire. » Et même quand ils sont conservés quelques années, c'est parfois trop peu… « La carrière d'un criminel comme Michel Fourniret s'étend sur près de 50 ans, souligne le général Lecouffe. La conservation de l'ADN, elle, n'est que de 40 ans… »
LIRE AUSSI > Enquêtes criminelles : les archéologues à la rescousse
Sur le même plan, Me Seban plaide aussi pour rendre systématique « le prélèvement d'ADN des personnes enterrées sous X. Cela aurait peut-être permis de relier ces cadavres à des criminels des années plus tard. » La même problématique existe pour les disparus, dont l'ADN est encore trop rarement conservé alors qu'il pourrait être collecté sur des objets ou sur des proches. C'est d'ailleurs bien parce que des parents de Lydie Logé, disparue en 1993, ont fourni leur ADN que la justice a pu faire le lien entre la jeune femme et un fragment génétique retrouvé dans la camionnette de Michel Fourniret… parmi une trentaine d'ADN restés inconnus à ce jour.
« Bien sûr, on ne résoudra jamais toutes les affaires, admet le procureur général de Grenoble. Mais on parle de la criminalité la plus grave, celle qui touche des familles. On doit tout faire pour s'améliorer. » Le groupe de travail rendra ses préconisations avant l'été.
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Re: qui est il? XIV
Dommage pas de preuves irréfutables pour l'affaire
« Karine Leroy » la technique de mise à mort/barbarie ressemble à la technique pour tuer Gilles Politi, à quelques détails..
Même si son copain/ex-copain, il est aussi dans le viseur des enquêteurs.. Rageant..
« Karine Leroy » la technique de mise à mort/barbarie ressemble à la technique pour tuer Gilles Politi, à quelques détails..
Même si son copain/ex-copain, il est aussi dans le viseur des enquêteurs.. Rageant..
Invité- Invité
Re: qui est il? XIV
Pusher83 a écrit:Dommage pas de preuves irréfutables pour l'affaire
« Karine Leroy » la technique de mise à mort/barbarie ressemble à la technique pour tuer Gilles Politi, à quelques détails..
Même si son copain/ex-copain, il est aussi dans le viseur des enquêteurs.. Rageant..
Non justement!
Re: qui est il? XIV
Bonjours a tous et a toute.
les années passe et lui court toujours c'est pas normal sa.
falco.
les années passe et lui court toujours c'est pas normal sa.
falco.
Invité- Invité
Re: qui est il? XIV
Salut Falco
Sans vouloir être offensant, les années passent et tu fais toujours trois fautes par ligne
Sans vouloir être offensant, les années passent et tu fais toujours trois fautes par ligne
MattCo69
Re: qui est il? XIV
MattCo69 a écrit: Salut Falco
Sans vouloir être offensant, les années passent et tu fais toujours trois fautes par ligne
Salut mattco69.
c'est ma signature.
Invité- Invité
Re: qui est il? XIV
plus les années passent, moins il court vite. on va bien finir par le rattraper, j'y crois de plus en plus
kersauson
Re: qui est il? XIV
Il est simplement mort tout simplement qui sait..
Même mort faut savoir son identité..!
S'il est vivant, pas impossible qu'il consulte des forums/rubriques qui parlent de lui..
Ensuite, s'il est toujours sur la région parisienne depuis la dernière agression en 1994.. Vraiment de la science-fiction.. Mais possible..
Même mort faut savoir son identité..!
S'il est vivant, pas impossible qu'il consulte des forums/rubriques qui parlent de lui..
Ensuite, s'il est toujours sur la région parisienne depuis la dernière agression en 1994.. Vraiment de la science-fiction.. Mais possible..
Invité- Invité
Re: qui est il? XIV
Kassandra88 a écrit:Bonjour à tous,
Un temps perçu comme possible auteur de l'enlèvement d'Estelle Mouzin, les dernières infos confirment que le G n'était pas lié à cette affaire. Depuis très longtemps, j'étais persuadée que Fourniret était celui qui avait enlevé Estelle, mais j'aurais pu me tromper.
Ce que je n'ai jamais compris, c'est pourquoi les enquêteurs avaient rejeté d'emblée la piste G.
Bonjour Kass,
J'espère que tout va en Belgique
Excellente remarque.
Soit les enquêteurs étaient convaincus que c'était Fourniret (1/2 preuves et intimes convictions)
Soit ils sont sûrs que ce n'est pas le G.
Et là, on peut s'interroger ...
Pourquoi ?
Les enquêteurs savent qui est le G., mais attendent davantage de preuves.
Les enquêteurs savent qu'il est mort, donc savent qui il est...
Autre possibilité ?
Bizarre tout de même.
Maison
Re: qui est il? XIV
Des gens qui ont des doutes sur quelqu'un de leurs familles/collègues, c'est bien qu'ils contactent les services compétents, même si ce n'est pas une bonne piste le doute est levé..
Si le grêlé il est arrêté un jour, la prescription de 30 ans.. Il risque encore quelque chose ?!
Pas très clair cette histoire de prescription de 30 ans..
Si le grêlé il est arrêté un jour, la prescription de 30 ans.. Il risque encore quelque chose ?!
Pas très clair cette histoire de prescription de 30 ans..
Invité- Invité
Re: qui est il? XIV
Pusher83 a écrit:Si le grêlé il est arrêté un jour, la prescription de 30 ans.. Il risque encore quelque chose ?!
Pas très clair cette histoire de prescription de 30 ans..
Bonjour Pusher, bonjour à tous,
Tout nouvel acte de procédure remet le compteur à zéro. C'est ce qui s'est passé en rapprochant les meurtres de Karine Leroy et Sophie Narme du G. Le fait d'établir qu'il n'a pas rédigé les lettres à Marie et Sophie également.
Aucune crainte à avoir à ce propos.
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