Viols, agressions sexuels, harcèlement et tous faits sexuels commis sur des adultes

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Le parquet de Paris confirme, jeudi 22 août, qu'il requiert un procès pour viols et agressions sexuelles à l'encontre de Gérard Depardieu, pour les faits dénoncés par la comédienne Charlotte Arnould. Le parquet de Paris, "par réquisitoire définitif du 14 août 2024, a requis le renvoi de Gérard Depardieu devant la cour criminelle départementale pour être jugé de viols par pénétration digitale et agressions sexuelles les 7 et 13 août 2018 au préjudice de Charlotte Arnould", explique le parquet de Paris dans un communiqué.

Inquiétante série d’agressions sauvages de personnes âgées à Besançon
Plusieurs seniors ont été agressés à leur domicile dans la préfecture du Doubs, dont un en est mort cet été. En attendant d’interpeller les auteurs, les autorités ont mis en place un plan de protection des personnes âgées.

Par Valentin Collin, correspondant à Besançon (Doubs)
Le 22 août 2024 à 07h45La rue de la Grette est calme en ce mois d’août. Dans ce quartier résidentiel de Besançon (Doubs), quelques voitures et bus circulent doucement, à deux pas se situe l’hôtel de police. C’est pourtant dans l’une de ces maisons, qu’en fin de semaine, une femme de 87 ans a été molestée alors qu’elle se trouvait dans son canapé. La dernière agression d’une série ultra-violente, qui pousse les fonctionnaires à se mobiliser.

Le premier fait a été constaté le 25 juillet dans le quartier de Planoise. « L’alerte a été donnée par la voisine. Elle a entendu des râles dans les parties communes qui ont succédé aux bruits d’une dispute », retrace Christine de Curraize, procureure de la République adjointe. Sur place, les policiers ont retrouvé la porte du logement ouverte. À l’intérieur, un retraité de 74 ans étendu dans une mare de sang. Il a été immédiatement évacué vers l’hôpital mais n’a pas survécu à ses blessures. L’autopsie a révélé des coups multiples et des fractures au niveau du crâne et de la mâchoire. Des témoins disent avoir vu deux individus prendre la fuite à l’arrière de l’immeuble. Les différentes pièces ont visiblement été fouillées par les suspects.

Les agresseurs ont profité d’une porte laissée ouverte
Trois semaines plus tard, le 13 août, c’est une femme de 88 ans qui a été victime à son tour. Elle a ouvert sa porte à un individu qui se dissimulait derrière un bouquet de fleurs. Une fois dans l’entrée, l’agresseur s’est jeté sur elle et l’a frappée à de multiples reprises. Il a ensuite tenté de l’étrangler avec des bas résille avant de prendre la fuite. L’octogénaire a été prise en charge par les pompiers et hospitalisée. Malgré la gravité de ses blessures, ses jours ne sont plus en danger. Les enquêteurs sur place ont observé un grand désordre dans l’appartement. « La piste d’un acte crapuleux est privilégiée », indique une source proche du dossier.

Le 15 août, rue de la Grette, une femme de 87 ans a été violentée sur son canapé. Les malfrats ont profité d’une porte laissée ouverte pour s’introduire dans sa maison et se jeter sur elle. Ils l’ont frappée au visage avant de lui demander sa carte bleue. Ils sont finalement repartis avec un billet de 50 euros, laissant derrière eux leur victime, le visage en sang. Les médecins ont relevé une plaie importante au visage mais son pronostic vital n’est pas engagé.

Un dispositif inédit en France prévu jusqu’au 15 septembre
Ces trois agressions sont-elles liées ? Quelles sont les raisons qui poussent ces cambrioleurs à agir avec une si grande violence ? À ce stade, aucune interpellation n’a été menée et le mystère reste entier. « Le seul lien que nous faisons entre ces affaires est l’âge des victimes et leur état de vulnérabilité, constate le directeur interdépartemental de la sécurité publique, Yves Cellier. À titre expérimental, nous lançons une sécurisation individuelle des seniors sur la commune de Besançon. L’idée est de proposer aux personnes âgées qui le souhaitent un passage quotidien à leur domicile. »

Ce dispositif inédit en France est prévu jusqu’au 15 septembre. Il pourra être prorogé « si besoin », poursuit le directeur. En parallèle, un travail d’investigation est mené pour tenter d’identifier les auteurs.

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L'influenceur masculiniste Andrew Tate placé en garde à vue en Roumanie
Banni de TikTok et d'Instagram pour des propos misogynes, ce Britannique de 37 ans attendait déjà son procès pour viols et traite d'êtres humains.

En garde à vue pour une nouvelle enquête. L'influenceur britannique Andrew Tate a été arrêté en Roumanie, où il vit depuis des années, pour être interrogé par le parquet chargé de la lutte contre le crime organisé, mercredi 21 août. La justice roumaine affirme que les procureurs "ont exécuté quatre mandats de perquisition" en lien avec "des délits de formation d'un groupe criminel organisé, de traite de mineurs", "de relations sexuelles avec un mineur" et de "blanchiment d'argent".

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Cette affaire va t'elle se dégonfler?

Affaire Auradou-Jegou : « La plaignante ne s’est pas présentée aux examens », la demande de non-lieu reportée
Sauf nouveau contretemps, les avocats des deux rugbymen français accusés de viol aggravé en réunion déposeront finalement leur demande d’abandon des charges ce mardi.

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239980ŦKassandra88 a écrit:
Les agresseurs ont profité d’une porte laissée ouverte
Trois semaines plus tard, le 13 août, c’est une femme de 88 ans qui a été victime à son tour. Elle a ouvert sa porte à un individu qui se dissimulait derrière un bouquet de fleurs. Une fois dans l’entrée, l’agresseur s’est jeté sur elle et l’a frappée à de multiples reprises. Il a ensuite tenté de l’étrangler avec des bas résille avant de prendre la fuite. L’octogénaire a été prise en charge par les pompiers et hospitalisée. Malgré la gravité de ses blessures, ses jours ne sont plus en danger. Les enquêteurs sur place ont observé un grand désordre dans l’appartement. « La piste d’un acte crapuleux est privilégiée », indique une source proche du dossier.

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Besançon : une femme interpellée après avoir violemment agressé une octogénaire avec un bouquet de fleurs
Cette vieille dame de 88 ans a fait la mauvaise rencontre d’une prétendue vendeuse de fleurs qui l’a agressé après lui avoir extorqué de l’argent début août. La suspecte sera jugée dès lundi en comparution immédiate.
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A t'elle aussi agressé les autres personnes âgées?

Rugbymen français inculpés de viol en Argentine : la plaignante a fait une tentative de suicide

La femme argentine qui accuse les deux rugbymen du XV de France de l'avoir violée a fait une tentative de suicide vendredi et suit un "traitement intensif". Elle ne sera pas présente mardi à l'audience lors de laquelle les avocats des accusés entendent déposer une demande de non-lieu, afin d'obtenir leur retour en France.

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Le procès de Stéphane Plaza renvoyé au 9 janvier, une expertise psychiatrique demandée.

L’animateur, accusé de violences sur deux anciennes compagnes, ne s’était pas présenté ce mercredi devant le tribunal pour des raisons de « santé mentale ». L’audience a été renvoyée au 9 janvier. Dans cette attente, une expertise psychiatrique a été diligentée.

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Affaire Auradou-Jegou : « Une tentative de manipulation » dénoncée après la diffusion de photos de la plaignante.

L’avocat des deux rugbymen français accusés de viol aggravé en réunion déplore une « instrumentalisation des médias » après la divulgation dans la presse argentine de photos de la plaignante prises le jour de son dépôt de plainte.

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Viols de Mazan : le procès débute le 2 septembre.

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240908ŦSortcière a écrit:Viols de Mazan : le procès débute le 2 septembre.

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Bonjour à tous,
Dans la mesure où Pél. est le suspect n°1 du meurtre de Sophie Narme, on peut retrouver les derniers détails de l'affaire ici:
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Procès pour viol collectif à Avignon : qu'est-ce que la "soumission chimique", au cœur de l'affaire ?
Par TD avec AFP. Publié le 31 août 2024 à 17h35


Le procès d'une affaire, dans laquelle il sera largement question de "soumission chimique", s'ouvre lundi à Avignon.
Derrière ce terme, on retrouve l'usage à des fins criminelles de substances psychoactives.
Il s'agit pour les agresseurs d'empêcher leurs victimes de réagir aux agressions

Un procès hors norme de viols en série s'ouvre à Avignon lundi 2 septembre pour quatre mois. Dans cette affaire, qui a vu un homme recruter durant dix ans des inconnus sur internet pour violer son épouse, il sera notamment question de "soumission chimique", un fléau qui sévit autant dans la sphère festive que dans la sphère privée.
Une multitude de substances utilisées

Selon la définition de l'agence nationale de santé (ANSM), la soumission chimique se caractérise par l'administration "à des fins criminelles de substances psychoactives à l’insu de la victime ou sous la menace, pour commettre un crime ou un délit". Parmi les substances les plus utilisées, on retrouve en France les antihistaminiques et sédatifs, mais également les benzodiazépines et apparentés, utilisés comme anxiolytiques ou somnifères. Les spécialistes mentionnent par ailleurs les antidépresseurs ainsi que les opioïdes.

"Dans tous les cas, l'objectif de l'agresseur est le même", résume Leïla Chaouachi, la rapporteuse de l'enquête annuelle sur le sujet auprès de l’ANSM : "Que vous ne soyez plus en capacité d'opposer une résistance." Plusieurs scénarios peuvent être observés : "Soit l'agresseur vous drogue à votre insu ou sous la menace, soit il vous laisse vous alcooliser ou vous droguer vous-même et il passe à l'acte quand il voit que vous n'êtes plus en mesure de vous défendre", ajoute-t-elle.

Les autorités de santé, lorsqu'elles évoquent la soumission chimique, constatent qu'il demeure à l'heure actuelle délicat de quantifier le nombre de cas. Sur la base des plaintes qui sont déposées, l'ANSM recense chaque année depuis 2003 les molécules utilisées par les agresseurs, de même que le mode opératoire qu'ils ont choisi. La dernière enquête en date, qui portait sur l'année 2021, avait fait état de 727 "signalements suspects", de 82 "soumissions chimiques vraisemblables" et de 354 "soumissions chimiques possibles". Les agressions sexuelles demeurent les signalements les plus mentionnés (75,5%), suivies par des violences physiques (6,3%) et des vols (5,1%).

Les cas recensés ne représentent toutefois probablement qu'une petite partie de la réalité. En matière d'agressions sexuelles, les magistrats sont les premiers à reconnaître que le dépôt de plainte peut se révéler difficile pour les victimes. Et d'autant plus quand les victimes souffrent d'amnésie.

Si le terme de soumission chimique n'existe pas en tant que tel dans le droit pénal, notons que le fait d'administrer à une personne, à son insu, une substance afin de commettre à son égard un viol ou une agression sexuelle est puni depuis 2018 de cinq ans de prison et de 75.000 euros d'amende.
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Je sors un peu du cadre, mais je ne peux pas rester indifférente au sort des femmes Afghanes dont la liberté vient encore un peu de se réduire sous la coupe des talibans.
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Bonjour Kassandra

C'est une méthode de "gouvernement" dans plusieurs pays de cette région du Moyen et du Proche-Orient : une poignée d'individus s'accaparent le pouvoir et les richesses du pays par les armes et, pour limiter le risque de révoltes et de révolutions, accordent aux mâles le droit de se comporter en petits roitelets au sein de leur foyer.

Malheur aux adolescentes et aux femmes dans ces pays. Elles n'ont au mieux le droit que de vivre soumises et de souffrir en silence.

Une histoire d’amour se transforme en horreur: un homme accusé d’avoir séquestré et torturé une femme pendant cinq ans en Pologne.

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VIOLS de Mazan : Pas de huis clos

Position de l'Avocat général :

"Le procès fait état de faits d’une extrême violence, de façon répétitive pendant une dizaine d’années. Des photos circuleront, des vidéos seront à notre sens nécessairement visionnées et il apparaît que la publicité serait dangereuse pour les bonnes mœurs et porterait atteinte à la dignité des personnes, victimes comme accusés"

Position de la victime :

"Elle souhaite que ce qu’elle a vécu se sache, et estime qu’elle n’a pas à se cacher. Personne ne peut imaginer que ma cliente trouvera une satisfaction à l’exposition de ce qu’elle a subi. Le huis clos c’est s’enfermer ici avec les personnes qui l’ont agressée, elle souhaite que cette salle soit ouverte que cette justice soit rendue de manière publique."

La Cour a tranché : L'audience sera publique


C'est bien un minimum du minimum, tout de même, que de respecter la position de la victime !

Je note le dernier conseil suggéré dans l'article :

Il est également conseillé de faire analyser ses cheveux, qui conservent l’agent de soumission plus longtemps que le sang ou les urines.

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Procès de la soumission chimique : « Dominique Pélicot a donné à mon conjoint la recette pour me violer »
EXCLUSIF. Le septuagénaire, jugé à partir de ce lundi avec 50 autres accusés pour avoir drogué et livré sa femme à des inconnus, distillait également ses conseils à des internautes. Son arrestation a ainsi permis de mettre fin au calvaire de Marie, victime depuis des années.

Le mot lui échappe parfois, tel un vestige de sa vie de couple. Son « conjoint », comme elle le nomme encore, faute de pouvoir le désigner comme son « violeur », s’est pourtant rendu coupable de haute trahison. De celles qu’on ne peut pardonner, ni même envisager. Quand on le lui fait remarquer, Marie (le prénom a été modifié) s’en explique.

« J’ai mis un an à réaliser. Et encore… Cela reste difficile de faire le deuil d’une relation de sept ans qui a donné naissance à un enfant. J’ai encore du mal à dire je, à prononcer certains mots », soupire la trentenaire, dont la vie a pris un tour impensable, le 13 juin 2023.

Six heures, ce matin-là. La police envahit l’appartement du couple, interpelle son compagnon, mène une perquisition. Marie observe, éberluée. Ne comprend rien aux questions qu’on lui pose sur son couple, sa santé, ses habitudes alimentaires… Ni pourquoi on lui présente la photo d’un retraité qu’elle n’a jamais vu.

À cette époque, la presse s’est déjà largement fait l’écho des épouvantables déviances de « Dominique P. », ce septuagénaire qui droguait sa femme pour la faire violer par des inconnus recrutés sur Internet, et dont le procès s’ouvre lundi avec 50 autres accusés à Avignon (Vaucluse).

« J’étais dans le déni, incapable de parler »
Marie, qui vit dans une autre région, n’avait pour sa part jamais entendu parler de l’affaire. « On m’annonce alors tout ce que ce monsieur a fait à sa femme. Et les policiers ajoutent : Votre conjoint et lui ont discuté du fait d’abuser de vous, de la même manière. »

À cet instant, le sol se dérobe sous ses pieds. Pour se protéger, son inconscient déploie un mince filet de sécurité et la persuade qu’il y a méprise. « La première semaine, j’étais dans le déni, incapable de parler, rembobine-t-elle. Je me disais que c’était impossible, que le compte de mon conjoint avait été piraté. »

L’évidence va vite la rattraper. Comment expliquer sinon cette fatigue, cette perte de cheveux et cette déprime qui l’accablent depuis bientôt deux ans ? Des effets secondaires typiques des anxiolytiques que Marie avait jusque-là mis sur le compte du stress, sans penser à consulter. Au téléphone, elle en sourit : « Pour que j’aille chez le médecin, il faut vraiment que je ne puisse plus marcher ! »

Les analyses capillaires vont conforter les suspicions, et révéler qu’elle était droguée aux anxiolytiques depuis au moins trois ans. Les discussions entre les deux hommes, exhumées sur l’ordinateur de Dominique Pélicot, sont plus anciennes encore. Le retraité y détaille les effets des diverses molécules, leur dosage idéal, les aliments ou boissons dans lesquels les dissoudre… « En clair, il lui a donné la recette pour me violer. »

Des ordonnances, établies par un médecin en visioconsultation, sont retrouvées au nom de son conjoint. De même que des vidéos le montrant abusant d’elle, inconsciente. C’est en les regardant, quelques mois plus tard, qu’elle parvient enfin à assimiler la réalité de ce qu’elle a subi. « J’avais lu ses conversations immondes, mais les images, c’est encore plus violent. Certains faits dataient du mois précédent. »

Un homme « à qui l’on donnerait le bon Dieu sans confession »
Une duplicité qu’elle peine à concevoir, de la part de celui qu’elle a aimé sans réserve. Un homme « charismatique », « à qui l’on donnerait le bon Dieu sans confession ». « Si j’avais dû soupçonner quelque chose, cela aurait été de l’infidélité, rien de plus », dit-elle, sonnée. Car l’enquête a permis de mettre au jour une perversité d’un degré supplémentaire.

Durant huit ans, la jeune femme a été victime de harcèlement sur les réseaux sociaux. « Quelqu’un se faisait passer pour moi sur coco.fr », ce même site via lequel Dominique Pélicot harponnait les candidats au viol. « Mon nom, mon visage, mon adresse y étaient régulièrement diffusés. »

« Je recevais ensuite des messages sur mes réseaux sociaux où l’on m’insultait, on me réclamait plus de photos, sous peine de s’en prendre à mes enfants. » Un calvaire numérique qui a donné lieu à des agressions, et aurait pu se terminer en drame.

« Un jour, un homme s’est jeté sur moi alors que je reprenais ma voiture après le travail, témoigne-t-elle. J’ai hurlé et il m’a lâchée… Mais il ne comprenait rien, il était persuadé que c’était moi qui lui avais donné rendez-vous. Je lui ai dit que non, mais il est revenu le lendemain, encore plus agressif. Visiblement, son interlocuteur lui avait dit d’insister en se faisant passer pour moi et disant qu’en réalité j’aimais qu’on me force. »

Avalanche émotionnelle
Marie dépose plainte, en vain. Tente de traquer l’auteur du faux profil sur coco.fr, sans succès. Et finit par se faire une raison, persuadée qu’il s’agit de la vengeance d’un ex, qui finira bien par se lasser. « Quand j’y repense… J’ai même dû retenir mon conjoint, qui menaçait d’aller lui casser la gueule », se souvient-elle, amère.

Ses ordinateurs, saisis et analysés, vont en effet révéler que cet usurpateur malveillant, prêt à organiser un guet-apens pour faire agresser Marie dans un parking sombre, c’était lui, l’homme dont elle partageait la vie. « Invraisemblable », souffle-t-elle. Mis en examen et placé en détention provisoire, l’homme détenait, en outre, des contenus pédopornographiques.

Une avalanche émotionnelle à laquelle s’ajoute un ultime traumatisme. « Dans leurs conversations, ils évoquent clairement la possibilité que Dominique Pélicot vienne abuser de moi. Dans un autre échange, quelque temps avant son arrestation, il s’en vante, et décrit même mon salon. » Si l’enquête n’a pas retenu cette possibilité, la jeune maman ne cesse d’y penser. « Je ne pourrai jamais m’enlever de la tête qu’il m’a peut-être violée. Je suis condamnée à vivre avec ce doute. »

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Ici, on évoque Sophie Narme.

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Merci Kassandra. On entre à un niveau ultime de perversion. Dire que Pelicot a donner la recette au mari se cette femme pour la violer. Et pour la faire violer. En plus c'est un pédophile. Et dire que l'avocat de Pelicot a commencé a essayé de victimiser son client en parlant d'une enfance difficile...Pour le coup je n'ai aucun soute que son parcours criminel recelle encore des surprises.

241162ŦTivier a écrit:Merci Kassandra. On entre à un niveau ultime de perversion. Dire que Pelicot a donner la recette au mari se cette femme pour la violer. Et pour la faire violer. En plus c'est un pédophile. Et dire que l'avocat de Pelicot a commencé a essayé de victimiser son client en parlant d'une enfance difficile...Pour le coup je n'ai aucun soute que son parcours criminel recelle encore des surprises.

De rien Tivier.
Pélicot détenait aussi des fichiers pédo dans son ordi.
Idem pour Lelandais (tél). A se demander si la frontière n'est pas mince entre la pornographie et la pédo-pornographie.

Viols de Mazan : "La culture du viol est très présente dans notre pays", déplore la présidente de la Fondation des Femmes.

Le procès des viols de Mazan (Vaucluse) s'est ouvert, lundi 2 septembre. Invitée du 11/13 info, Anne-Cécile Mailfert, présidente de la Fondation des Femmes, revient sur l'affaire. (...)

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Article très complet :

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Quand je pense que tous ces mis en accusation qui se sont rendus chez Pélicot (seuls 3 ont renoncé au vu de la situation) vont chercher à invoquer (selon leurs Avocats) une situation de libertinage ... alors que le libertinage est fondé sur les deux principes fondamentaux que sont le consentement exprès et la sécurité ... je sens qu'on va atteindre des sommets !

241166ŦSortcière a écrit:Article très complet :

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Quand je pense que tous ces mis en accusation qui se sont rendus chez Pélicot (seuls 3 ont renoncé au vu de la situation) vont chercher à invoquer (selon leurs Avocats) une situation de libertinage ... alors que le libertinage est fondé sur les deux principes fondamentaux que sont le consentement exprès et la sécurité ... je sens qu'on va atteindre des sommets !

Donc, le mari de Marie s'appèlerait jean-Pierre M.

Et à partir de la retraite, il y a quelque chose qui se passe, qui fait qu'à un moment donné, il songe à ce schéma criminel. Bien essayé. Il avait 38 ans quand Sophie Narme a été assassinée. Humm, bien sur, il est présumé innocent.