Re: Désormais on sait qui il était clap 4

par FrenchGhost3 Dim 31 Oct - 18:02

Bonsoir, a t on des infos sur les demi soeurs de F Verove? .. afin de savoir si Verove se comportait bien, ou bien si Verove les agressaient sexuellement l lorsqu' ils vivaient ensemble dans la maison familiale ?..Merci.

par Ness Dim 31 Oct - 18:08

@ Tristan
Affaire de mœurs je ne pense pas à une relation avec une prostituee ?
Parce que pour des jeunes militaires vivant plus ou moins en caserne cela ne devait pas être si rare que cela. ?
Je ne sais pas pourquoi mais chez moi ça évoque un problème avec un ou une mineure.

par regis Dim 31 Oct - 18:12

Kassandra88 a écrit:
chris0706 a écrit:

Oui, les fascicules Elvifrance, en plein boom chez nous une bonne décennie, depuis le milieu des années 70... Certains titres des Séries Rouge, Jaune, Verte, mêlaient la pornographie et le gore, souvent macabre.
En effet, aucun doute qu'il a été addict, en plus des magazines comme celui qu'il laisse à saclay.

Dans l'une d'elle, il y a un Elie, le prophète:
SUPER-DIABOLIQUE # ? "Piège pour un vampire"
Stories inside:

"Piège pour un vampire" 87 pp (italian JACULA #158)
"Elie le prophête" 97 pp (italian LUCIFERA #141)
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Dans l armée y avait plein de gens qui lisaient ces revues ca formait la jeunesse. Maintenant y a la couleur ...

par Ness Dim 31 Oct - 18:19

FrenchGhost3 a écrit:Bonsoir, a t on des infos sur les demi soeurs de F Verove? .. afin de savoir si Verove se comportait bien, ou bien si Verove les agressaient sexuellement l lorsqu' ils vivaient ensemble dans la maison familiale ?..Merci.

Malheureusement aucune information.
Mais cela pourrait être le pourquoi de cette affaire.

par Invité Dim 31 Oct - 18:21

L'enquête démontre que l'assassin connaissait la jeune allemande avec qui il avait entretenu une relation. [source : Wikipédia]

Cela m'intrigue fortement. Les enquêteurs n'avaient aucune idée de l'identité du meurtrier. Alors, je voudrais vraiment savoir sur quels fondements factuels l'existence et le caractère de cette "connaissance", à plus forte raison cette "relation" (de quelle nature en fait ? Est-ce que les enquêteurs ont établi que le sperme sur le tampon hygiénique de Irmgard Müller ne pouvait provenir que de l'assassin ?) entre les deux, étaient démontrés par les enquêteurs. Je pense n'avoir lu ni entendu rien là-dessus.

Veuillez m'excuser la maladresse que j'ai en m'exprimant (à cause de raisons que je suppose désormais connues).

par Kassandra88 Dim 31 Oct - 18:28

Mioche Mannetje a écrit:L'enquête démontre que l'assassin connaissait la jeune allemande avec qui il avait entretenu une relation. [source : Wikipédia]

Cela m'intrigue fortement. Les enquêteurs n'avaient aucune idée de l'identité du meurtrier. Alors, je voudrais vraiment savoir sur quels fondements factuels l'existence et le caractère de cette "connaissance", à plus forte raison cette "relation" (de quelle nature en fait ?) entre les deux, étaient démontrés par les enquêteurs. Je pense n'avoir lu ni entendu rien là-dessus.

Veuillez m'excuser la maladresse que j'ai en m'exprimant (à cause de raisons que je suppose désormais connues).

Pour autant que l'on admette que Vérove = Elie Lauringe, on retrouve son nom écrit à plusieurs reprises sur les carnets d'IM.
Vérove a eu une relation sexuelle consentie avec IM la veille du double meurtre.

par Invité Dim 31 Oct - 18:35

Kassandra88 a écrit:Vérove a eu une relation sexuelle consentie avec IM la veille du double meurtre.

Mais cela ne prouve PAS DU TOUT que Vérove/Elie Lauringe devait forcément être le meurtrier. Admettre cela tient de suppositions indémontrables.

par Invité Dim 31 Oct - 18:39

Ness a écrit:@ Tristan
Affaire de mœurs je ne pense pas à une relation avec une prostituee ?
Parce que pour des jeunes militaires vivant plus ou moins en caserne cela ne devait pas être si rare que cela. ?
Je ne sais pas pourquoi mais chez moi ça évoque un problème avec un ou une mineure.

-
Graveeee chez moi aussi, quand je lis, où entend histoire de mœurs ça sent le roussi généralement. La blème c'est que dans la gendarmerie le mot "mœurs" peut avoir plusieurs significations comme a écrit mimi tout a l'heure je cite :
La prostitution,
le proxénétisme,
la pornographie,
les stupéfiants,
les boissons alcoolisées,
les jeux de hasard,
l'exhibitionnisme.

par Invité Dim 31 Oct - 18:46

Oups il n'a pas dit exactement cela erreur de ma part sorry, mais le mot 'mœurs" ce n'est pas exclusivement en rapport avec une affaire à connotation sexuelle avec un / une mineur(e)
D'où l'ambiguïté.

par Maison Dim 31 Oct - 18:47

L'exhibitionnisme ? Pourquoi pas !
Catherine MILLET le connait peut-être Laughing

Franchement, s'il a consommé au Bois, pas très viril le G., j'espère bien qu'il ne s'y est pas prostitué ! Embarassed

par hd99 Dim 31 Oct - 18:58

bonsoir,
j'ai vu l'article du parigo suivant, y a t-il le meme sur ce topic, ou éventuellement un abonné qui pourrait me mp?
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je vous remercie! Smile

par Invité Dim 31 Oct - 19:03

hd99 a écrit:bonsoir,
j'ai vu l'article du parigo suivant, y a t-il le meme sur ce topic, ou éventuellement un abonné qui pourrait me mp?
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je vous remercie!

Le tueur était si proche. Il ne vivait qu’à 200 m des lieux du double homicide. Les policiers ont dû s’arracher les cheveux, il y a quelques semaines, en recevant la fiche militaire de François Vérove. Eux qui ont entendu un nombre incalculable de voisins et exploré des dizaines de fausses pistes dans l’affaire des « Suppliciés du Marais » le 29 avril 1987, rue Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie (IVe), ont-ils envisagé que le meurtrier d’Irgmard Müller et de Gilles Politi fût un Garde républicain logé dans l’ancienne caserne Napoléon, juste derrière l’Hôtel-de-Ville de Paris ?

Facile de réécrire l’histoire depuis que le tueur en série s’est donné la mort à 59 ans le 29 septembre en réalisant qu’il allait être démasqué. Maintenant que l’on peut calquer la vie de François Vérove au parcours du « Grêlé », pourquoi insister sur sa carrière militaire, lui qui n’a passé que cinq ans de sa vie, de 1983 à 1988, avec l’uniforme de Garde alors qu’il a été, par la suite, policier pendant plus de vingt ans ?

D’abord, parce que c’est la période où le tueur frappe le plus. Rien que pour les crimes où il est confondu par son ADN, cinq de ses six victimes ont été attaquées entre 1986 et 1987. Ensuite, parce que le « Grêlé » s’est souvent servi de sa carte professionnelle et de son arme de service pour piéger ses proies. Parmi les 750 personnes listées par la juge en mars pour un prélèvement génétique, que des anciens gendarmes ayant travaillé en Île-de-France.

Au début des années 1980, la carrière professionnelle de François Vérove démarre sur les chapeaux de roues. À peine sorti de son adolescence à Marcq-en-Barœul (Nord), il décroche, après une enquête de moralité, le concours de gendarme et choisit d’être affecté à la prestigieuse Garde républicaine. Cette unité d’élite assure des missions d’honneur et de sécurité au service des plus hautes autorités de l’État. « Cela peut-être aussi un coup de chance, un manque de candidatures, analyse un ancien garde. En tout cas, à l’époque, il y avait beaucoup de types de sa région affectés chez nous. »

« Il ne prenait rien à la légère »
Le passionné de moto caresse peut-être alors le rêve d’intégrer l’escadron motocycliste, chargé notamment d’escorter le président de la République et d’assurer la sécurité des coureurs du Tour de France. Mais il n’en fera jamais partie. En fait, le jeune gendarme intègre la cavalerie. « La noblesse de la Garde républicaine, la dernière unité montée du pays, l’héritière des mousquetaires », résume un retraité du régiment.

A priori, le jeune nordiste n’y connaît pourtant rien en équitation. « Mais on avait beaucoup de débutants dans nos rangs, se souvient la même source. Cela permet de façonner le cavalier. » D’après la gendarmerie, après une formation au centre d’instruction de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), il est affecté en août 1983, à l’âge de 21 ans, au premier escadron, basé au quartier des Célestins à Paris (IVe).

« Il en était fier, se remémore un de ses anciens amis. Je lui ai rendu visite chez lui aux Célestins. De sa fenêtre, on voyait les chevaux. » À l’époque, le cavalier devait « à 80 % assurer des missions d’honneur », décrit un de ses camarades. Avec son plumet rouge sur le casque, le Garde républicain protège les hauts personnages de l’État aussi bien au gouvernement que dans les palais nationaux. Sa fonction, décrit un ancien responsable, « réclame une grande disponibilité, une absence de droit à l’erreur et, dans la mesure où elle est exécutée en public, une perfection absolue ».

Cela peut convenir en apparence au profil de François Vérove. « Dans la vie de tous les jours, il était très rigoureux, rembobine un de ses amis. Il ne plaisantait pas avec les horaires. Et il se mettait en quatre quand il avait quelque chose à faire. Il ne prenait rien à la légère ».

« Une affaire de mœurs » alors qu’il est à la cavalerie
Pourtant, très vite, cela se passe mal. Au moins un « incident » remonte aux oreilles de ses camarades. « On nous a parlé d’un problème de moralité, une affaire de mœurs », murmure l’un d’entre eux. Une autre source évoque « un souci dans le bois de Boulogne ». Impossible d’en savoir plus. Toujours est-il que François Vérove ne reste que très peu de temps à la cavalerie.

Six mois seulement après son intégration, il est déjà transféré dans un des deux régiments d’infanterie de la Garde, précise la gendarmerie. D’après nos informations, il pourrait s’agir du 2e, celui chargé de la protection des palais nationaux. Un des voisins de la famille Vérove à Marcq-en-Barœul nous avait confié avoir vu « François » rendre visite à ses proches sur une moto de la Garde républicaine. S’il n’était pas à l’escadron motocycliste, il ne pouvait donc être qu’estafette, ces « coursiers » qui transmettent les plis.

Il déménage du quartier des Célestins à la caserne Napoléon qu’il ne quittera qu’à son départ de la gendarmerie. C’est à cette période que François Vérove devient le Grêlé. Parmi tous les crimes dont il est suspecté, l’un d’entre eux, évoqué notamment par les anciens membres du forum de l’émission de télévision « Non élucidé », fait particulièrement écho au métier de gendarme.

Il confie en 1987 qu’il s’appelle « François »
Le 1er avril 1987, une « boum » a lieu entre préados dans un appartement de l’impasse Morlet (XIe). Un homme se présente comme policier, exhibe une carte tricolore où des invités lisent plutôt « gendarmerie », montre son arme à un jeune qui doute de sa fonction et s’invite à la fête en prétextant s’assurer que les invités ne fassent pas trop de bruit. Il s’improvise DJ, fait même la vaisselle, et à la fin, alors que quasiment tous les fêtards sont partis, viole une enfant de 11 ans. Le faux policier avait confié peu de temps avant à un adolescent qu’il s’appelait « François ».

On compte durant cette période plus d’une vingtaine de faits qu’on ne peut attribuer au Grêlé, faute notamment d’ADN. Tout au long de sa carrière militaire, il est de plus en plus mal vu de ses supérieurs. « Durant son temps d’affectation, il ne donne pas entière satisfaction », convient la gendarmerie. Il quitte l’institution en août 1988 et devient simple gardien de la paix dans la police.

Après une période de « pause », il viole la petite Ingrid, 11 ans, à Saclay (Essonne) après l’avoir enlevée à Mitry-Mory (Seine-et-Marne) à quelques kilomètres de la maison qu’il habitait à Longperrier.

par Invité Dim 31 Oct - 19:10

Kassandra88 a écrit:
chris0706 a écrit:

Oui, les fascicules Elvifrance, en plein boom chez nous une bonne décennie, depuis le milieu des années 70... Certains titres des Séries Rouge, Jaune, Verte, mêlaient la pornographie et le gore, souvent macabre.
En effet, aucun doute qu'il a été addict, en plus des magazines comme celui qu'il laisse à saclay.

Dans l'une d'elle, il y a un Elie, le prophète:
SUPER-DIABOLIQUE # ? "Piège pour un vampire"
Stories inside:

"Piège pour un vampire" 87 pp (italian JACULA #158)
"Elie le prophête" 97 pp (italian LUCIFERA #141)
Notes : NO NUMBER ON THE BACK
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Qu'il ait trouvé là dedans la réf pour son pseudo, un peu tiré par les cheveux, mais why not ? Après tout, le jour où on a appris son nom, il m'a paru sonner aussi "italien" que "flamand".

Au passage, on a du mal à imaginer à quel point ces petit formats adulte, mal dessinés et imprimés sur papier de m..., sont recherchés: il y a deux ans, trouvé pour 3 x rien un carton de qques dizaines en BE dans une broc... Revendus sur eBay à l'unité, très bien partis.
Et les amateurs ne sont pas des violeurs / tueurs en puissance: ils cherchent seulement leur madeleine de Proust... et à boucler leur collection.

par Valdez Dim 31 Oct - 19:25

Bonsoir,

A la suite de cette affaire de mœurs, dont on ignore pour le moment la cause, il avait tout intérêt à se faire discret, peut-être à t-il estimé qu'il valait mieux faire une pause de ses crimes un certain temps. Devenant père en plus en 1988, peut-être qu'en se consacrant à sa fille, ses pulsions avaient diminué provisoirement ?

par Marla Dim 31 Oct - 20:00

Valdez a écrit:Bonsoir,

A la suite de cette affaire de mœurs, dont on ignore pour le moment la cause, il avait tout intérêt à se faire discret, peut-être à t-il estimé qu'il valait mieux faire une pause de ses crimes un certain temps. Devenant père en plus en 1988, peut-être qu'en se consacrant à sa fille, ses pulsions avaient diminué provisoirement ?

Mais l'affaire de mœurs cité par le Parisien, a eu lieu en 1984, c'est ce qui lui a valu son affectation dans un autre régiment d'infanterie à la Caserne Napoléon. Malgré cette affaire de mœurs en 1984, il est resté gendarme! Il est parti de la gendarmerie après pour rejoindre la Police en Aout 1988!! Une autre affaire de mœurs? Ou plus grave?? En sachant que 1987 était sa période la plus fournie en activité connue, avec un mode opératoire d'interpellation abusives à répétition....
On a l'impression qu'on prépare le terrain pour d'autres révélations, qui vont montrer que F. Verove était loin d'être insoupçonnable....

par Valdez Dim 31 Oct - 20:06

Mioche Mannetje a écrit:
Kassandra88 a écrit:Vérove a eu une relation sexuelle consentie avec IM la veille du double meurtre.

Mais cela ne prouve PAS DU TOUT que Vérove/Elie Lauringe devait forcément être le meurtrier. Admettre cela tient de suppositions indémontrables.

Le sperme trouvé sur le tampon hygiénique d'IM et le mégot trouvé chez les Politi ont été analysés et comportaient le même ADN...celui de Vérove !

par Sortcière Dim 31 Oct - 20:17

Valdez a écrit:Bonsoir,

A la suite de cette affaire de mœurs, dont on ignore pour le moment la cause, il avait tout intérêt à se faire discret, peut-être à t-il estimé qu'il valait mieux faire une pause de ses crimes un certain temps. Devenant père en plus en 1988, peut-être qu'en se consacrant à sa fille, ses pulsions avaient diminué provisoirement ?

Bonsoir Valdez,

J'avais cru comprendre qu'intégré sur Paris à la GR en Août 83 (donc après probablement un an de formation ailleurs) il avait rapidement pas donné satisfaction + le pépin de moeurs et ce dans les six mois :
"Six mois seulement après son intégration, il est déjà transféré dans un des deux régiments d’infanterie de la Garde, précise la gendarmerie." Donc dès février 84

Et là on a le choix :
"S’il n’était pas à l’escadron motocycliste, il ne pouvait donc être qu’estafette, ces « coursiers » qui transmettent les plis." J'ignore ce que font exactement ces coursiers ni avec quoi ils se déplacent et où. On lui a peut-être laissé sa chance dans l'escadron motocycliste mais aucune certitude à ce sujet ni dans ce cas pendant combien de temps.

Si il se marie en 85, ce n'est pas ça qui le calme vu ses activités criminelles en 86 et 87 et probablement jusqu'à son départ de la Gendarmerie en août (?) 88.

Dans la Police il a dû trouver plus de disponibilité et des horaires plus réguliers, d'autant qu'il opte pour la filière syndicaliste qui à mon avis lui donne un sentiment de meilleure protection. De plus en effet il y a la naissance de sa fille puis en 91 de son fils, ce qui suppose une plus grande présence à domicile et je ne sais pas trop où il est affecté. Il attend fin 92 pour faire son stage moto. Mais on voit qu'en 94 il est toujours actif du point de vue criminel ... avec pourtant chez lui une fillette de 7 ans ... Il n'a pas encore réalisé qu'il laisse son adn, il se sent toujours insoupçonnable ...
J'ai peut-être tort mais je ne compterai pas trop sur une pause ... en tout cas si il parle de 97 ç'est parce que là il a réalisé qu'il n'est plus invulnérable et qu'il doit tout faire pour obtenir une mutation le plus loin possible. Et il va oeuvrer pour ça. Il a besoin de ne plus être connu de personne pour faire son mytho tranquilou.

par Invité Dim 31 Oct - 20:21

Marla a écrit:On a l'impression qu'on prépare le terrain pour d'autres révélations, qui vont montrer que F. Verove était loin d'être insoupçonnable....

-
Au vu du dernier article du Parisien, je pense aussi qu'on aura des révélations fracassantes à venir. Ça sent le roussi à mon humble avis.

par weltG Dim 31 Oct - 20:29

Ce genre d'articles pourrait amener de nouveaux témoignages d'anciens gendarmes on ne sait jamais....

par Valdez Dim 31 Oct - 20:34

Sortcière a écrit:
Valdez a écrit:Bonsoir,

A la suite de cette affaire de mœurs, dont on ignore pour le moment la cause, il avait tout intérêt à se faire discret, peut-être à t-il estimé qu'il valait mieux faire une pause de ses crimes un certain temps. Devenant père en plus en 1988, peut-être qu'en se consacrant à sa fille, ses pulsions avaient diminué provisoirement ?

Bonsoir Valdez,

J'avais cru comprendre qu'intégré sur Paris à la GR en Août 83 (donc après probablement un an de formation ailleurs) il avait rapidement pas donné satisfaction + le pépin de moeurs et ce dans les six mois :
"Six mois seulement après son intégration, il est déjà transféré dans un des deux régiments d’infanterie de la Garde, précise la gendarmerie." Donc dès février 84

Et là on a le choix :
"S’il n’était pas à l’escadron motocycliste, il ne pouvait donc être qu’estafette, ces « coursiers » qui transmettent les plis." J'ignore ce que font exactement ces coursiers ni avec quoi ils se déplacent et où. On lui a peut-être laissé sa chance dans l'escadron motocycliste mais aucune certitude à ce sujet ni dans ce cas pendant combien de temps.

Si il se marie en 85, ce n'est pas ça qui le calme vu ses activités criminelles en 86 et 87 et probablement jusqu'à son départ de la Gendarmerie en août (?) 88.

Dans la Police il a dû trouver plus de disponibilité et des horaires plus réguliers, d'autant qu'il opte pour la filière syndicaliste qui à mon avis lui donne un sentiment de meilleure protection. De plus en effet il y a la naissance de sa fille puis en 91 de son fils, ce qui suppose une plus grande présence à domicile et je ne sais pas trop où il est affecté. Il attend fin 92 pour faire son stage moto. Mais on voit qu'en 94 il est toujours actif du point de vue criminel ... avec pourtant chez lui une fillette de 7 ans ... Il n'a pas encore réalisé qu'il laisse son adn, il se sent toujours insoupçonnable ...
J'ai peut-être tort mais je ne compterai pas trop sur une pause ... en tout cas si il parle de 97 ç'est parce que là il a réalisé qu'il n'est plus invulnérable et qu'il doit tout faire pour obtenir une mutation le plus loin possible. Et il va oeuvrer pour ça. Il a besoin de ne plus être connu de personne pour faire son mytho tranquilou.

Bonsoir,

Merci de l'information, j'ignorais que cette histoire de mœurs datait de 1984 !!! J'aurais juré que c'était plutôt vers 1987-1988...étant donné son départ soudain et précipité de la gendarmerie, en août 1988 !

En effet, dès qu'il a pu partir dans le sud en 2000, il a tout fait pour repartir à zéro, endossant le rôle du citoyen modèle, du mari, père et grand-père idéal, et même du gentil conseiller municipal au dessus de tout soupçon !

par Claire Dim 31 Oct - 20:38

Tristann a écrit:
Marla a écrit:On a l'impression qu'on prépare le terrain pour d'autres révélations, qui vont montrer que F. Verove était loin d'être insoupçonnable....
-
Au vu du dernier article du Parisien, je pense aussi qu'on aura des révélations fracassantes à venir. Ça sent le roussi à mon humble avis.

Hum, je dirais qu'il n'y avait pas grand chose dans cet article du Parisien. Mais attendons la suite

par Invité Dim 31 Oct - 20:51

Claire a écrit:
Tristann a écrit:
Marla a écrit:On a l'impression qu'on prépare le terrain pour d'autres révélations, qui vont montrer que F. Verove était loin d'être insoupçonnable....
-
Au vu du dernier article du Parisien, je pense aussi qu'on aura des révélations fracassantes à venir. Ça sent le roussi à mon humble avis.

Hum, je dirais qu'il n'y avait pas grand chose dans cet article du Parisien. Mais attendons la suite

-
Il évoque un fait de mœurs ce n'est pas rien quand même! Comme a écrit Weltgeist plus haut :
"Ce genre d'articles pourrait amener de nouveaux témoignages d'anciens gendarmes on ne sait jamais"

Souvent il suffit que qu'un seul passe à table pour que cela fasse un effet domino.

par Valdez Dim 31 Oct - 20:59

Marla a écrit:
Valdez a écrit:Bonsoir,

A la suite de cette affaire de mœurs, dont on ignore pour le moment la cause, il avait tout intérêt à se faire discret, peut-être à t-il estimé qu'il valait mieux faire une pause de ses crimes un certain temps. Devenant père en plus en 1988, peut-être qu'en se consacrant à sa fille, ses pulsions avaient diminué provisoirement ?

Mais l'affaire de mœurs cité par le Parisien, a eu lieu en 1984, c'est ce qui lui a valu son affectation dans un autre régiment d'infanterie à la Caserne Napoléon. Malgré cette affaire de mœurs en 1984, il est resté gendarme! Il est parti de la gendarmerie après pour rejoindre la Police en Aout 1988!! Une autre affaire de mœurs? Ou plus grave?? En sachant que 1987 était sa période la plus fournie en activité connue, avec un mode opératoire d'interpellation abusives à répétition....
On a l'impression qu'on prépare le terrain pour d'autres révélations, qui vont montrer que F. Verove était loin d'être insoupçonnable....

Bonsoir,

C'est difficile à dire : peut-être que son départ en août 1988 de la gendarmerie est effectivement dû à une autre affaire de mœurs...ou bien tout simplement la fin d'un contrat déterminé de 5 ans ?

par Maison Dim 31 Oct - 21:25

Vous venez d'exhiber assez stupidement et grossièrement, ainsi que puérilement votre attitude sexiste...

A propos de vous Mioche = petit enfant en "français familier!"... Que cherchez-vous sur ce forum ?

par Sortcière Dim 31 Oct - 21:50

Il s'était fait un ou 2 copains pas plus sur Prades le Lez semble t-il. Mais quand il a déménagé il n'a prévenu ni dit au revoir à personne. C'est dire la superficialité des relations qu'il pouvait nouer ...
Il utilise et ménage les autres tant que ça peut lui être utile mais ça ne va pas plus loin à mon avis. Je crains que l'on ne trouve pas grand monde pour parler de lui en dehors des banalités habituelles car ce genre d'individu est essentiellement tourné vers son nombril et l'obtention de ce qu'il convoite ou l'évitement de ce qui peut le révéler. Tant mieux dans un sens car si quelqu'un avait décelé sa vraie nature il n'aurait pas hésité à l'éliminer.
Quand il dit dans sa lettre à sa femme qu'elle avait perçu quelque chose dans sa jeunesse j'en ai eu froid dans le dos pour elle.

En fait le boumerang a pris du temps pour lui revenir dans la gueule mais il est arrivé pile poil quand il a eu terminé ce qu'il devait considérer comme la maison de ses rêves pour la retraite de ses rêves. Il n'allait pas envisager une fin de vie pourrie en prison.

J'ai lu que les prélèvements adn avaient débuté en mars. J'ignore si c'est exact, en sait on plus à ce sujet ? Combien de prélèvements effectués avant lui ? Y a t-il eu des critères retenus pour l'ordre des prélèvements ? Le secret semble avoir été bien gardé. C'était un quitte ou double pour la Juge d'Instruction aussi.

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