Désormais on sait qui il était clap 3

mesrine2018 a écrit:Bonsoir.

Je m'étonne que les administrateurs de ce forum n'interviennent pas face au déferlement d'informations ayant vocation à révéler des adresses perso des membres de la famille de l'auteur identifié, ou tout type d'infos à caractère personnel, quand ce ne sont pas de pures suppositions, accompagnées de déductions qui perso, me semblent super malsaines... Y a un côté "voyeurisme" la dedans qui perso me fout la gerbe.

Et ce car la famille de l'auteur n'est en rien responsable de ses actes.

C'est pourtant pas trop difficile à concevoir si on se met 30 secondes dans les pompes des enfants, de l'épouse... et de ceux qui ont été nommément cités, voire parfois avec des adresses...qu'ils traversent une épreuve bien plus difficile que l'émotion qui motive les personnes qui véhiculent les dites informations.

C'est consternant de bêtise.

C'est la toute première fois (et probablement la dernière) que je suis d'accord avec Mesrine, donc les posts en question seront supprimés ou tronqués en espérant ne pas en louper au passage. Merci de ne plus diffuser de noms ou d'adresses des proches de FV.

Mioche Mannetje a écrit:

Metsec a écrit:FV est né le 22 janvier 1962.

D'où provient cette date ?

Kassandra l'indique dans le fil sur le parcours de FV.

Pour moi il ne va pas falloir aller chercher très loin pour comprendre les origines de sa déviance. Déjà (comme toujours) on nous dit que c'était une famille "absolument normale". Ben voyons. Il est fort possible qu'il y ait eu des violences sexuelles ou physiques au sein de la famille et qu'on en ai rien su. Combien de familles avec de l'inceste où le secret est gardé ? C'est malheureusement un grand classique. Pareil si son père les battait, ces choses peuvent rester au sein de la famille et être ignorées des voisins.

Même en admettant que M. Vérove et sa nouvelle femme ait été irréprochables (je ne veux pas salir leur mémoire), il y a encore tout un tas de facteurs qui ont pu déstabiliser le jeune François. Harcèlement scolaire ? Abus sexuels par un professeur ou un prêtre ? Traumatisme lié à la mort de sa mère ? On sait que quand il avait une dizaine d'années il avait des pensées suicidaire, ça ne laisse quand même présager rien de bon sur ce qu'il a pu vivre.

Ajoutez à ça qu'il a probablement eu du mal à avoir du succès avec les filles de son âge : trop bizarre, trop timide. Déjà perturbé dans son épanouissement sexuel par des viols/violences, il est alors possible qu'il ait dévié vers les petites filles. Je suis sûr à 99% qu'il a commis des agressions dans son adolescence. L'interrogatoire de ses sœurs d'adoption sera très parlant à mon avis.

Bonjour,

Quand il dit dans la lettre à sa femme " les choses que tu avais décelé en moi plus jeune...".
Fait-il allusion à des abus sexuels? avec qui? son père?
Il veut peut-être trouver une explication à des problèmes sexuels rencontrés avec elle .

S'il a véritablement suivi une psychothérapie, est-ce que ce professionnel est connu ?
Je ne pense pas qu'il ait confié ses crimes à son thérapeute mais surement certains problèmes de comportement pulsionnels ou sa tendance à la pédophilie.

Est-ce que ce praticien peut parler et faire sauter le secret professionnel?

natacha37000 a écrit:S'il a véritablement suivi une psychothérapie, est-ce que ce professionnel est connu ?
Je ne pense pas qu'il ait confié ses crimes à son thérapeute mais surement certains problèmes de comportement pulsionnels ou sa tendance à la pédophilie.

Est-ce que ce praticien peut parler et faire sauter le secret professionnel?

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Est_il vraiment étonnant, qu'on lui a laissé le temps de réagir et de mal réagir ? au fait d'être convoqué en sachant que son ADN va être prélevé ...et que ça ne prendra pas longtemps !? LOL

C'est certain que si on cherchait dans un lot de  X hommes, c'est que la pêche allait être bonne !

Pour ma part, on lui a laissé le temps "au grélé" (quel qu'il fut) le temps de fuir ou de se suicider au vu de la manière de prévenir que son ADN sera pris ! ça coupe court à toutes les infos qu'il faut cacher; identifier le grele oui mais pas de procès...pas rentrer dans les détails...un "nouveau M.F" qui coûterait encore très cher....

natacha37000 a écrit:S'il a véritablement suivi une psychothérapie, est-ce que ce professionnel est connu ?
Je ne pense pas qu'il ait confié ses crimes à son thérapeute mais surement certains problèmes de comportement pulsionnels ou sa tendance à la pédophilie.
Est-ce que ce praticien peut parler et faire sauter le secret professionnel?

Le secret médical s'applique. Quand quelqu'un est au courant d'un meurtre, il peut se taire et n'aura aucuns problèmes.
Par contre, si le meurtrier commet un nouveau meurtre (et que c'est anticipable), alors le témoin silencieux risquerait de gros problèmes et sa responsabilité est engagée (car les crimes sont prévisibles au vu du profil dangereux du grêlé).

Vu à quel point il a dupé son entourage proche, je ne pense pas qu'il s'est confié à qui que ce soit. Si il a été chez le psy, c'était pour débrancher son cerveau et ses pulsions. La police va saisir les dossiers du psy si les archives existent et que le psy est vivant. Le grêlé a certainement été voir un généraliste ou un psy, et il a du lui raconter des généralités (dépression du à son travail...). Il raconte les problèmes généraux vécus, et ça passe.
Le psy ne va pas investiguer tant. Par ailleurs, je me demande si les enqueteurs en désesport de cause n'avaient pas demander aux psy de leur fournir des suspects..
Si il y a un passif de pédophilie dans sa famille, alors sa belle mère; demi soeur et soeur adoptives sont au courant. Il se peut aussi qu'il ai eu une enfance à peu près correct mais une agression violente une seule fois (avec ou sans plainte). Il se peut qu'il soit le seul au courant.

pantophobe a écrit:

AmaniteP a écrit:J’ai du mal à imaginer qu’il se soit gentiment rangé comme cela. On parle quand même d’un meurtrier et agresseur d’enfant (la pire chose dans notre société, même les gars en prison ne supportent pas ça).
Je suis certaine qu’il était en représentation H24, il jouait au bon samaritain, au voisin parfait, pour être absolument insoupçonnable. Pour moi, c’est du vent, du faux.

La naissance de ses enfants a peut être changé la donne....l' humain est complexe...97 son dernier crime selon lui ...35 ans... il s ' est pris en main dit il , lui seul sait ce que ça veux dire...

Cf fourniret qui même en continuant à drastiquement changé ses habitudes pendant l'adolescence de son fils.

Tristann a écrit:Pour Karine.L la piste du grêlé est ultra séduisante au premier abord : garrot espagnol, le grêlé était dans le secteur à cette période vu qu'il a agressé Ingrid le 29 juin 1994, mais hélas pas de preuves irréfutable comme un l'ADN. Ça complique les choses.

Son ex-copain est resté longtemps dans le viseur des enquêteurs il me ​semble, notamment pour une histoire de liens pour journaux que l'auteur à utilisé (?) Les mêmes ou presque que ceux qu'il utilise dans le cadre de son emploi l'ex-copain (?)
Mais pas de preuves ADN encore une fois.

C'est du 50 / 50

r gouardo a été/ est toujours un possible suspect également

Manneke a écrit:

Tristann a écrit:Pour Karine.L la piste du grêlé est ultra séduisante au premier abord : garrot espagnol, le grêlé était dans le secteur à cette période vu qu'il a agressé Ingrid le 29 juin 1994, mais hélas pas de preuves irréfutable comme un l'ADN. Ça complique les choses.

Son ex-copain est resté longtemps dans le viseur des enquêteurs il me ​semble, notamment pour une histoire de liens pour journaux que l'auteur à utilisé (?) Les mêmes ou presque que ceux qu'il utilise dans le cadre de son emploi l'ex-copain (?)
Mais pas de preuves ADN encore une fois.

C'est du 50 / 50

r gouardo a été/ est toujours un possible suspect également

-
J'y crois ABSOLUMENT pas et il n'a jamais été soupçonné (?) Par contre pour les victimes du printemps 87 OUI, sauf Sabine Dumont vu que l'ADN inconnu sur le tee-shirt ne correspond pas à celui de Gouardo sans entrer dans les détails.

François Verove suivait le dossier de près ne serait ce que pour savoir quand est ce qu'il se ferait attrapper pour pouvoir se suicider (et il a préparé le suicide se sachant cerné un jour ou l'autre).
Il serait intéressant de savoir comment il s'informait (site web, internet?). Il serait intéressant de voir si lui ou ses proches (femme, enfants) ont visualisé un des reportages du grêlé.
Par ailleurs, si certains des meurtres qui lui sont attribués (Karine Leroy et Sophie Narme), si le grêlé n'était pas le coupable, il aurait pris la peine de démentir un crime en moins. Bien au contraire, il renvendique de potentiels nouveaux crimes entre 94/97 (et là pour le coup c'est des disparitions de cadavres, ou des cadavres très dégradés). Si le grêlé était vivant, il dirait où il a enterré les victimes potentielles.

feracheval28 a écrit:Pour ma part, on lui a laissé le temps de fuir et de se suicider

Plusieurs dizaines voire centaines de personnes étaient visées par les convocations, et la procédure judiciaire ne prévoit pas que quiconque soit interpellé à son domicile pour un « simple » prélèvement génétique.

Mais si un coupable est alerté de l'avancée des recherches, il a tout le temps de préparer sa fuite effectivement. Et je vous rejoins : les enquêteurs sachant depuis longtemps que le grêlé faisait partie des effectifs, sa mort arrange bien l'institution qui s'épargne un long procès retentissant.

utilisateur a écrit:François Verove suivait le dossier de près

Je pense au contraire qu'il avait enfoui toutes ces histoires et a dû être terriblement surpris par l'appel de la gendarmerie, ce jour d'octobre.

VERS
DENIS COURTINE
DEUX MOTARDS de la garde
républicaine s’engagent dans
une petite allée en escargot
d’un lotissement de Marcqen-Barœul (Nord). On est au
début des années 1980 et
François Vérove fait un retour
remarqué dans son quartier.
Accompagné d’un collègue, il
arrête son engin devant le
numéro 10, où vivent son
père, sa demi-sœur ainsi que
sa belle-mère et les deux filles
de celle-ci. « Ce jour-là, on a
compris que François était
devenu gendarme », se souvient aujourd’hui un voisin
qui avait assisté à la scène.
Une semaine plus tôt, le
même riverain avait eu une
pensée sympathique pour ce
gamin qu’il croisait quasiment
tous les jours dans les années
1970. « En apprenant l’identité
du Grêlé aux informations, on
s’était dit, avec ma femme,
qu’il n’avait vraiment pas de
chance de porter le même
nom que ce tueur en série qui
venait de se suicider. » Il a fallu
que les médias évoquent le
métier de garde républicain
exercé un temps par le Grêlé
pour que les voisins se rendent à l’évidence. Le retraité de
59 ans mis en cause pour trois
meurtres et six viols entre
1986 et 1994 en région parisienne est bien l’adolescent
« discret » et « poli » qui faisait
partie de la bande de jeunes du
quartier.
« Si vous cherchez une
faille dans la vie de François
Vérove, ce n’est pas à Marcqen-Barœul que vous la trouverez, botte en touche un
autre voisin. S’il y a eu un événement déclencheur dans
son parcours criminel, c’est
forcément à Paris. » En apparence du moins, le Grêlé a eu
une jeunesse d’une banalité
confondante.
« Son truc, c’était
sa moto de cross »
Tout juste adolescent, l’enfant
de Gravelines s’installe avec
son père dans une des villes
les plus huppées du Nord. Fils
unique, François Vérove vient
de perdre sa mère « emportée par un cancer », d’après
un retraité du quartier. Son
père, fonctionnaire des PTT,
change de vie et emmène son
fils à l’intérieur des terres, au
nord de Lille. L’ancien élève
au collège Pierre-et-MarieCurie de Gravelines tente tant
bien que mal de s’intégrer à
son nouvel environnement.
« Ce n’était pas trop difficile,
se souvient un des gamins du
quartier. C’était un nouveau
lotissement, et on est tous
arrivés plus ou moins à la
même période. » Dans ces
maisons en brique, caractéristiques du Nord, chaque
habitation est couplée à une
autre. Les nouveaux arrivants
font partie de la classe
moyenne. Après les cours, les
adolescents se retrouvent
dehors. « À l’époque, dans les
années 1970, il n’y avait pas
encore les jeux vidéo. Alors
on se retrouvait dans la rue.
On discutait, on fumait un
pétard, on allait parfois boire
un coup au bistrot… Vraiment
rien d’exceptionnel », témoigne, fouillant dans sa mémoire, un des anciens ados resté
vivre dans le quartier.
Dans cette bande, François
Vérove ne marque pas les
esprits. On s’en souvient, évidemment, comme on se souvient de tous les jeunes du
même âge, mais l’adolescent
ne se distinguait pas du lot.
« Lui, son truc, c’était sa moto
de cross. Ce n’est pas du tout
étonnant qu’il en ait fait son
métier. Il faisait des tours dans
le quartier. Jamais au point
d’embêter les voisins. »
« Je ne me souviens pas
d’éclats de voix »
L’autre « particularité », c’est
le « sérieux » du jeune homme. « Il ne traînait pas le soir,
se remémore un autre voisin.
Son père ne rigolait pas trop
avec ça. » Le père de François
Vérove, justement, refait sa
vie. « Il s’est mis en couple
avec une femme qui travaillait
avec lui aux PTT. Quelque
temps après l’installation, elle
l’a rejoint dans la maison avec
ses deux filles, précise une
riveraine. Après, ils ont eu une
petite fille tous les deux. »
François, enfant unique jusque-là, se retrouve avec une
belle-mère et trois filles.
Quelle est l’ambiance dans
cette famille recomposée ?
« Je ne me souviens pas
d’éclats de voix, assure le voisin mitoyen, qui n’a jamais
déménagé. Pour moi, son
père n’était pas particulièrement sévère, j’avais des rapports très cordiaux avec lui. »
Un ami d’enfance de François Vérove a toutefois confié
à BFMTV que l’adolescent de
Marcq-en-Barœul « venait
sonner le soir, parfois même
tard, pour demander s’il pouvait rentrer pour discuter
avec [sa] mère ». L’objet de ces
conversations, selon ce
copain de quartier du Grêlé ?
« Il y a un soir où ils discutaient de ce qui se passait, pas
forcément bien, dans leur vie.
Comme tout adolescent, parfois on a des problèmes, des
états d’âme […]. Il avait parfois
des problèmes au niveau de
sa famille, avec son père, et un
soir il a proposé à ma mère de
se suicider avec elle. »
« Il a fini par couper
les liens avec son père »
Un rapport conflictuel avec
son père ? « François n’aimait
pas trop parler de ce qu’il se
passait chez lui, nous confie
un autre ami d’enfance. C’était
quelqu’un d’assez secret.
Mais je sais qu’il a fini par couper les liens avec son père. Je
crois que c’est à cause d’une
histoire d’héritage. » Le papa
est finalement décédé, d’un
cancer, selon un riverain. La
belle-mère a ensuite déménagé et quitté la maison de
Marcq-en-Barœul.
C’est aussi dans cette ville
du Nord que François Vérove
rencontre celle qui deviendra
sa femme en 1985. Une fille du
village d’à côté. Elle le suit en
région parisienne après sa
réussite au concours de la
gendarmerie. C’est à cette
époque que le Grêlé frappe le
plus. Pour les affaires où son
ADN a matché, en 1986, il viole Sarah, 8 ans, et la laisse
pour morte à Paris (XIIIe
). Un
mois plus tard, il viole et
étrangle Cécile Bloch, 11 ans,
toujours dans la capitale
(XIXe
). L’année d’après, en
1987, il torture et tue Irmgard
Müller, 20 ans, et Gilles Politi,
38 ans, à Paris (XIXe
).
Son ADN ne sera plus
retrouvé sur une scène de crime avant 1994. Que s’est-il
passé entre-temps ? En 1988,
il quitte la gendarmerie pour
la police et devient papa d’une
petite fille. Un autre enfant
suivra, un garçon, né en 1991.
Marcq-en-Barœul, mercredi.
C’est dans ce pavillon
que François Vérove
s’installe avec son père
dans les années 1970.
Il laissera dans le quartier
le souvenir d’un adolescent
« discret » et « poli ».
LP/DENIS COURTINE
Prades-le-Lez (Hérault), avril 2013. François Vérove est soupçonné
d’avoir commis trois meurtres et six viols entre 1986 et


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Tristann a écrit:

natacha37000 a écrit:S'il a véritablement suivi une psychothérapie, est-ce que ce professionnel est connu ?
Je ne pense pas qu'il ait confié ses crimes à son thérapeute mais surement certains problèmes de comportement pulsionnels ou sa tendance à la pédophilie.

Est-ce que ce praticien peut parler et faire sauter le secret professionnel?

-
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Bonjour,

Merci Tristann

PSY: "En France, un patient qui avoue un crime sur le divan est protégé par le secret. Le psy qui le dénonce risque la condamnation pénale."

Confession religieuse: "Si on lui avoue un crime, le prêtre reste en effet lié par le secret. Mais ce n’est pas le cas pour les affaires de pédophilie"

Bonjour, je constate la présence d'une "allée rubens" a mons en baroeul, commune limitrophe de marc en baroeul. Les maisons y sont jumelés et fabriqué en briques rouges, comme décrit dans le parisien (google map). Probablement une simple coincidence m'enfin.

Concernant Gilles Politi, je me demande depuis un moment, est il dans le carnet d'IM? Si ce n'est pas le cas et en partant de l'hypothèse qu elle avait une relation avec GP, Élie Lauringe pourrait être le surnom qu'ELLE a donné à GP pour éviter de se faire pincer si la femme de Gp tomber sur le carnet par exemple.

Mais dans ce cas, pourquoi l’adresse 13 rue Rubens ?

Lorsqu'il agresse Cyril et sa copine lors d'une boum.
On pense que c'est lui et je le crois fortement vu les circonstances et le mode opératoire.
IL a isolé Cyril dans une chambre et sa copine dans une autre.
IL ligote chacun des enfants et demande a la jeune-fille de se déshabiller.
Toutefois, celle-ci se défend et il ne la viole pas et la laisse tranquille.
Il volera uniquement des objets.
Pourquoi n'a-t-il pas été au bout de ses actes?
La jeune-fille l'aurait elle tiré de son fantasme comme l'a fait Ingrid en 94?
Il n'a pas non plus tués ces deux enfants comme il l'a fait avec la jeune fille au pair et son patron.
Ses pulsions auraient-elles régressé à cette époque?
J'ai l'impression qu'après le crime de Cécile, il agresse sexuellement des enfants mais ne les tue plus, par contre, il ne fait pas de sentiments concernant les adultes ( Sophie Narme ?, Karine Leroy ?).
Le fait qu'il ait eu des enfants l'a peut-être dissuadé de tuer des enfants au fil du temps.

[i]VERS
DENIS COURTINE

« Lui, son truc, c’était sa moto
de cross. Ce n’est pas du tout
étonnant qu’il en ait fait son
métier. Il faisait des tours dans
le quartier. Jamais au point
d’embêter les voisins. »
« Je ne me souviens pas
d’éclats de voix »
L’autre « particularité », c’est
le « sérieux » du jeune homme. « Il ne traînait pas le soir,
se remémore un autre voisin.
Son père ne rigolait pas trop
avec ça. » Le père de François
Vérove, justement, refait sa
vie. « Il s’est mis en couple
avec une femme qui travaillait
avec lui aux PTT. Quelque
temps après l’installation, elle
l’a rejoint dans la maison avec
ses deux filles, précise une
riveraine. Après, ils ont eu une
petite fille tous les deux. »
François, enfant unique jusque-là, se retrouve avec une
belle-mère et trois filles.
Quelle est l’ambiance dans
cette famille recomposée ?
« Je ne me souviens pas
d’éclats de voix, assure le voisin mitoyen, qui n’a jamais
déménagé. Pour moi, son
père n’était pas particulièrement sévère, j’avais des rapports très cordiaux avec lui. »[/i]

Bonjour,
Merci à Mimi ou à la personne qui a posté.

Bref, Verove s'est peut-être senti un peu abandonné suite au décès de ma Maman... Partage de son père avec une belle-maman et 3 soeurs ? ... qui pourrait expliquer sa déprime, mais on n'est sait rien.
Je n'ai pas noté à quelle date, sa femme est venu le rejoindre en région parisienne, mais vraiment étrange qu'il ait continué à agir avec femme et enfants et considérant le poste de son épouse (gendarme elle aussi)...
La voiture c' était certainement la sienne (un ou 2 jeunes enfants à l'époque) ! Pas la peine de la chercher, comptez sur lui pour l'avoir fait disparaitre. (Possible qu'elle ait été recyclée en objet d'art). Le gag serait qu'elle ait été déclarée "volée". C'est certainement côté témoignages qu'il faudrait creuser. Le costume accroché à l'intérieur, çà lui ressemble finalement.
Quant au cross, souvenez-vous, sur les photos aériennes de Mitry... un terrain juste à proximité du lieu d'enlèvement ! ? Pourquoi Ingrid n'a pas été convoqué à la gendarmerie (ou police) avec ses parents.

Je dois bien admettre que je ne sais pas grand chose de ce carnet, beaucoup d'informations dont très peu sont sourcées. Je n'avais pas compris que le carnet faisait office d'agenda et qu'elle y consignait par date ses rencontres, je pensais qu'elle se contentait d'y référencer ses proches à la manière d'un répertoire. @AmaniteP effectivement mes deux interrogations sont contradictoires, j'ai bien précisé que pour Mons en Baroeul, c'était probablement un hasard. En 70 les maisons jumelés étaient a la mode en construction et la brique rouge est typique du Nord de la France donc bon... Cependant... se pourrait-il que Verove y ait vecut avec ses amis et que par abus de langage ou erreur ses amis parlent de Marq en Baroeul pour dire Mons? Dans l article l'un d'eux precise qu'ils Vivaient "loin du centre" or si l'on regarde la carte des lieux, ce n'est pas bien grand... et Mons n'est qu' a quelque km du centre de Marcq... C'est tiré par les cheveux, j'en convient.

Il ne la viole pas grâce à l'intervention de Cyril qui l'assomme légèrement en lui lançant un réveil à la tête
Bravo Cyril !
Il est vraiment étrange ce Grêlé qui détale devant des ados pour commettre un crime atroce quelques jours plus tard !