Désormais on sait qui il était clap 3

Tristann a écrit:[/url]
Ça doit être la maman de FV, il était très jeune quand elle est décédée.

AmaniteP a écrit:Si on en croit cet article, sa femme vivait avec lui à Paris. C’est encore plus sordide.

Il parle de sa belle-mère et des filles de celle-ci. Ca avait l’air de mal se passer avec le père (assez strict, il ne voulait pas qu’il sorte le soir), mais ça se passait peut-être mal aussi avec la belle-mère. Il refusait de parler de ce qui se passait chez lui…

De plus, les deux filles de sa belle-mère ? Y’aurait-il pu avoir des attouchements ? Une profiler dont j’ai oublié le nom supposait qu’il avait commencé dans son enfance par ce genre d’actes.

intéressé a écrit:Sortcière dit, "Je ne crois pas du tout à l'existence d'un complice et je pense aussi que l'intention d'éliminer les deux victimes préexistait. Elle s'imposait même dans le cas du vol du matériel photographique si c'est ce matériel qui était convoité puisque IM connaissait Vérove et même si elle ignorait sa véritable identité."

Je me suis posé la même question, quant au vol comme déclencheur de tout ce qui s'ensuivait.

J'ai lu, sur divers journaux, ici, etc :
- Irmgard vivait dans une "chambre dans la proximité", probablement donc, comme d'habitude à l'époque pour de telles chambres, et haussmanniennes et dans le Marais, sans douche
La chambre possédait une douche (confirmé par une voisine de palier
- vol de la Hasselblad ( avec ou sans plusieurs objectifs, mais déjà le boîtier seul valait une fortune, c'était le matériel préféré des "pros" )
- rapports sexuels "consentants, avec le tueur" (!) "quelques heures avant sa mort"
- Irmgard "( comme ) crucifiée devant le lit à étages" dans la chambre d'enfant dans l'appart
- Politi "surpris en dormant"

Tout cela ne "colle" pas vraiment pour un crime sexuel, et s'il n'est pas exclu qu'il ait pris la "Hassi" après coup, en guise de "souvenir", c'était peut-être le but de la venue de notre homme, et ensuite cela a totalement dégénéré :
Pas de traces de lutte sur le corps de GP

Pensons qu'il avait la clef de l'appart, faite à partir de la clef d'Irmgard ( avec son consentement ou plutôt fait derrière son dos, quand elle n'était pas là chez elle dans sa chambre, pour laquelle il avait p-ê la clef ) ; il s'en servait pour voler la "Hassi" qu'il y avait répéré auparavant.
La porte d'entrée de l'immeuble venait d'être changée le lundi. Il n'avait pas la clé ... ou alors peut être une 'copie' de l'ancienne clé. Il s'est fait ouvrir la porte via l'interphone.

Car vu l'absence ( présumée ) de douche dans la chambre indépendante d'Irmgard, le jeune "couple" avait plutôt l'habitude d'avoir ses rapports dans des circonstances plus confortables, dans l'appart, p-ê même sur le lit conjugal du couple d'employeurs de la fille, eux étant tous les deux au travail et les gosses à l'école.

Là, notre homme s'est retrouvé avec Politi dont il ne savait pas qu'il avait fait, exceptionnellement p-ê, un service de nuit, dormant donc en journée ; bagarre, menace avec l'arme à feu, ligotement.

Sur cette scène, arrive Irmgard, que notre homme n'avait pas non plus attendue à cette heure-là.

( D'ailleurs, il est souvent dit, dans la presse, etc., qu'il n'y aurait que deux échantillons ADN de notre homme : sur le bout de cigarette laissé dans l'appart, et du sperme sur la pauvre Cécile ; cela me semble entièrement faux, puisqu'alors, il ne serait pas possible d'avancer qu'Irmgard avait eu des rapports "consentants" ( et donc sans éraflures ou autres traces ; elle portait, morte, sa culotte il est dit ) "avec son tueur", puisque sans trace de sperme là aussi ( ce qui ferait alors au minimum 3 traces ADN, non pas 2 ), cela aurait bien pu été un tiers. )
Pas de traces d'éraflures à l'autopsie. Ni de sperme de G.P cela dit en passant.

Irmgard se trouve scandalisée de la situation devant ses yeux, au lieu d'y consentir ( ce qui est parfaitement compréhensible ; elle était jeune : elle n'a pas su juger la situation dans ce qu'elle risquait d'impliquer pour son propre sort, n'était pas parfaite "actrice"... n'y était pas assez "cynique" non plus ), et notre homme s'est donc maintenant pris à elle, pour la "faire taire" d'abord, quitte à décider ce qu'il "en ferait" par la suite.

Et voilà, avec maintenant deux proies sans défence devant lui, notre homme a dû se dire, spontanément, je vais pleinement profiter de la situation puisque de toute façon, elle est bien trop avancée pour que je puisse m'en sortir indemne si je m'en tire maintenant, je laisserais deux adultes qui pourront m'identifier d'une manière ou d'une autre...

Étant donné surtout qu'Irmgard au moins le connaissait suffisammen bien pour donner d'amples détails, que ce soit sur son physique, sa physiognomie, ou que sur les circonstances de sa vie (!) - rappelons-nous qu'avant cette scène, Irmgard avait ce même savoir p-ê assez "intime" sur lui, mais avait manqué de motivation de l'utiliser contre lui ; avec ce revirement total de situation, et de leur "relation", Irmgard au moins était devenu un grave danger pour lui, de son point de vue.

Et voilà qu'il s'est décidé à se défaire de ses deux "ennemis" dorénavant, et à partir de là, il a voulu "en profiter tout au moins", càd servir ses démons, avec apparemment Irmgard sa cible première, vu le fait que d'après ce qu'ils avaient "vécu" auparavant, ensemble, au moins tant qu'il l'avait perçu, elle aurait "dû" réagir différemment, càd lui montrer sa loyauté dans le crime premier, vol plus tout ce qui était alors "nécessaire", selon lui, pour éliminer le témoin, Politi.

Irmgard l'avait donc "trahi", à ses yeux, et évidemment, si elle était en plus l'amante de Politi, ce qui ne semble pourtant pas du tout être établi (?), sa réaction à la scène, quand elle avait entré l'appartement et par la suite, a dû être encore bien plus "fâcheuse" aux yeux de notre homme.

Raconté comme cela, le double meurtre du Marais redevient "cohérent", mais ce n'est qu'un scénario fictif, évidemment. De toute façon, je ne pense pas que notre homme aurait donc encore "couché" de façon classique avec Irmgard qq heures auparavant seulement, et aurait ensuite décidé de la mettre à mort, pour ne pas parler de la présence ( soudaine ? ) de Politi dans cela.

Évidemment, cela était une "bêtise" de vouloir voler du matériel pour 20.000 Francs ou plus chez lemployeur de sa "copine" pour commencer, mais certainement, il a dû vouloir ensuite simuler des traces d'effraction, avant de s'en aller sans être importuné, ce qui ne semble alors plus aussi "idiot" car qui possède un tel engin, s'en sert en public, et dès lors s'attire des envieux qui éventuellement le suivent à la maison, pour ensuite chercher à y faire un vol par effraction.

D'ailleurs, je trouve cette nouvelle photo plus ou moins "actuelle" de notre homme qui circule depuis qq jours, absolument "dégueulasse" dans le sens qu'elle montre bien que nous avions affaire à un mec bien agressif et désagréable à ses heures au moins ; l'appeler "Fernandel", ce qu'ont dû faire ses collègues il semble, eh bien...

Et pour ce qui est d'éventuelles "couvertures" par des collègues, je lis sur n-tv.de, qui, avec qq jours de retard, traite l'affaire, que la police britannique avait, pendant des années, activement "couvert" leur collègue qui s'est ensuite revélé être l'assassin de Sarah Everard, un meutre où l'acteur avait fait activement usage de sa qualité de flic pour mettre l'emprise pour sa proie.

Auparavant, quand il y avait "couverture", il était connu de ses collègues comme exhibitionniste, et, selon le journal, "pour ses comportements inadéquats envers des femmes", sur ce tout dernier point, il est pourtant possible que les avis différeraient ? Et cette affaire-là ne montrerait pas non plus une règle "d'abord exhibitionniste, ensuite assassin", ce clivage étant extrêment rare en effet, mais quand même, l'esprit de corps, ça protège les auteurs indéniablement, et les collègues, eux, ont, et la plupart du temps à raison, peur d'être ensuite pour cible par la hiérarchie, par les supérieurs, et c'est là le problème... également pour toute personne qui, innocente, se retrouve dans les filets de la police ( française surtout ), et qui a donc intérêt à admettre tout acte, au lieu de se faire malmener encore et encore, tout comme c'était aussi, nous le savons, le cas dans cette affaire-ci : Si ce n'était pas les supérieurs qui installeraient l'omertà, certains collègues honnêtes réussiraient bien à en finir avec des pratiques inacceptables... et alors avancer que tel ou tel collègue pourrait être responsable de faits extérieurs même au service : il en faudrait un changement d'esprit d'abord, et cela ne sera donc pas pour demain.


Et pour finir, on peut lire que les traces ADN issues de "viols seuls" n'ont pas encore été centralisées, tandis que seules les prélèvements de suspects le sont, et les traces issues de meurtres, etc, et que dès lors "cela va prendre du temps", d'éventuellement attribuer des viols en France, à notre homme... on ne reste pas carrément bouche bée, mais on se pose quand même des questions, sur l'organisation judiciaire française...

Raph_ a écrit:

Tristann a écrit:Affaire du «Grêlé» : à Marcq-en-Barœul, sur les traces du tueur en série, ado sans histoire et fan de motocross
Avant d’intégrer la gendarmerie en région parisienne et de commettre ses premiers crimes, François Vérove a vécu une adolescence en apparence sans histoire avec sa bande de copains à Marcq-en-Barœul (Nord). Ils témoignent.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Marcq-en-Barœul, ce mercredi après-midi. Des années 70 jusqu'au début des années 80, François Vérove a vécu dans cette maison avec son père, sa demi-soeur, sa belle-mère et ses deux filles. Une adolescence en apparence sans histoire.
-
Deux motards de la Garde Républicaine s’engagent dans une petite allée en escargot d’un lotissement de Marcq-en-Barœul (Nord). On est au début des années 1980 et François Vérove fait un retour remarqué dans son quartier. Accompagné d’un collègue, il arrête son engin devant le numéro 10 où vivent son père, sa demi-sœur ainsi que sa belle-mère et ses deux filles. « Ce jour-là, on a compris que François était devenu gendarme », se souvient aujourd’hui un voisin qui avait assisté à la scène.
-
Une semaine plus tôt, le même riverain avait eu une pensée sympathique pour ce gamin qu’il croisait quasiment tous les jours dans les années 1970. « En apprenant l’identité du Grêlé aux informations, on s’était dit avec ma femme qu’il n’avait vraiment pas de chance de porter le même nom que ce tueur en série qui vient de se suicider. » Il a fallu que les médias évoquent le métier de Garde républicain exercé un temps par le Grêlé pour que les voisins se rendent à l’évidence. Le retraité de 59 ans mis en cause pour trois meurtres et six viols entre 1986 et 1994 en région parisienne est bien l’adolescent « discret » et « poli » qui faisait partie de la bande de jeunes du quartier.
-
Si vous cherchez une faille dans la vie de François Vérove, ce n’est pas à Marcq-en-Barœul que vous la trouverez, botte en touche un autre voisin. S’il y a eu un événement déclencheur dans son parcours criminel, c’est forcément à Paris. » En apparence du moins, le Grêlé a eu une jeunesse d’une banalité confondante.
-
Tout juste adolescent, l’enfant de Gravelines s’installe avec son père dans une des villes les plus huppées du Nord. Fils unique, François Vérove vient de perdre sa mère « emportée par un cancer », d’après un retraité du quartier. Son père, fonctionnaire aux PTT - l’équivalent de la Poste aujourd’hui - change de vie et emmène son fils à l’intérieur des terres, au nord de Lille. L’ancien élève au collège Pierre-et-Marie-Curie de Gravelines tente tant bien que mal de s’intégrer à son nouvel environnement.
-
« Son truc, c’était le moto-cross »
« Ce n’était pas trop difficile, se souvient un des gamins du quartier. C’était un nouveau lotissement et on est tous arrivés plus ou moins à la même période. » Dans ces maisons « Bâtir » en brique rouge, caractéristiques de l’architecture du Nord, chaque habitation est couplée à une autre. Les nouveaux arrivants font partie de la classe moyenne. Après les cours, les adolescents se retrouvent dehors. « À l’époque, dans les années 1970, il n’y avait pas encore les jeux vidéo. Alors on se retrouvait dans la rue. On discutait, on fumait un pétard, on allait parfois boire un coup au bistrot… Vraiment rien d’exceptionnel », fouille dans sa mémoire un des anciens ados resté vivre dans son quartier.
-
Dans cette bande, François Vérove ne marque pas les esprits. On s’en souvient évidemment, comme on se souvient de tous les jeunes du même âge, mais l’adolescent ne se distinguait pas du lot. « Lui, son truc c’était sa moto-cross. Ce n’est pas du tout étonnant qu’il en ait fait son métier. Il faisait des tours dans le quartier. Pas au point d’embêter les voisins. Et ce n’était pas le seul à a voir un deux-roues. C’est un lotissement un peu éloigné du centre. »
-
« Je ne me souviens pas d’éclats de voix »
L’autre « particularité », c’est le « sérieux » du jeune homme. « Il ne traînait pas le soir, se remémore un autre voisin. Son père ne rigolait pas trop avec ça. » Le père de François Vérove, justement, refait sa vie. « Il s’est mis en couple avec une femme qui travaillait avec lui aux PTT. Quelque temps après l’installation, elle l’a rejoint dans la maison avec ses deux filles, précise une riveraine. Après, ils ont eu une petite fille tous les deux. ». L’enfant unique se retrouve avec une belle-mère et trois filles. Quelle est l’ambiance dans cette famille recomposée ? « Je ne me souviens pas d’éclats de voix, assure le voisin mitoyen, qui n’a jamais déménagé. Pour moi, il n’était pas particulièrement sévère, j’avais des rapports très cordiaux avec lui. »
-
Un ami d’enfance de François Vérove a toutefois confié à BFMTV que l’adolescent de Marcq-en-Barœul « venait sonner le soir, parfois même tard, pour demander s’il pouvait rentrer pour discuter avec [sa] mère ». L’objet de ces discussions, selon ce copain de quartier du Grêlé ? « Il y a un soir où ils discutaient de ce qui se passait pas forcément bien dans leur vie. Comme tout adolescent parfois on a des problèmes, des états d’âme (…). Il avait parfois des problèmes au niveau de sa famille, avec son père, et un soir il a proposé à ma mère, de se suicider avec elle. »
-
« Il a fini par couper les liens avec son père »
Un rapport conflictuel avec son père ? « François n’aimait pas trop parler de ce qu’il se passait chez lui, nous confie un autre ami d’enfance. C’était quelqu’un d’assez secret. Mais je sais qu’il a fini par couper les liens avec son père. Je crois que c’est à cause d’une histoire d’héritage. » Le papa est finalement décédé, selon un riverain, d’un cancer. La belle-mère a quitté ensuite la maison de Marcq-en-Barœul.
-
C’est aussi dans cette ville du Nord que François Vérove rencontre celle qui deviendra sa femme en 1983. Une fille du village d’à côté. Elle le suit en région parisienne après sa réussite au concours de la gendarmerie. C’est à cette époque que le Grêlé frappe le plus. Pour les affaires où son ADN a matché, en 1986, il viole Sarah, 8 ans et la laisse pour morte à Paris (XIIIe). Un mois plus tard, il viole et étrangle Cécile Bloch, 11 ans, toujours dans la capitale (XIXe). L’année d’après, en 1987, il torture et tue Irmgard Müller, 20 ans et Gilles Politi, 38 ans à Paris (XIXe).

Son ADN ne sera plus retrouvé sur une scène de crime avant 1994. Que s’est-il passé entretemps ? En 1988, il quitte la gendarmerie pour la police et, d’après un proche, il a son premier enfant. Son deuxième naît en 1991.

Par Denis Courtine.

Affaire du «Grêlé» : à Marcq-en-Barœul, sur les traces du tueur en série, ado sans histoire et fan de motocross [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Merci pour cet article.

"Elle (sa femme) le suit en région parisienne après sa réussite au concours de la gendarmerie."

Ce qui contredirait l'hypothèse selon laquelle il vivait seul à Paris en semaine et rentrait voir sa femme dans le nord le week-end.

Kassandra88 a écrit:

Isola a écrit:

Kassandra88 a écrit:

Isola a écrit:
C'est votre avis et je le respecte, mais malheureusement ce n'est pas le mien.  A l'époque on parlait que de cette affaire, et sa femme, qui était aussi policière à l'époque , en a entendu bien évidemment parler.

Je veux bien vous croire, mais d'où tenez vous l'info selon laquelle sa femme était aussi dans la police?
Vous êtes la première personne qui s'exprime ici pour nous dire  "à l'époque, on ne parlait que de cette histoire" vous êtes policier/gendarme?

L'information a été donnée dans 1de récents reportage où on a dit aussi son prénom et âge. .  Pour votre 2ème observation , sachez que à l'époque  je vivais à Paris, et on ne parlait que du grêlé ! Et sachez que peut-être la nouvelle génération peut ne pas  savoir, mais pas l'ancienne.

Tout ce que moi j'ai lu/entendu, et j'ai capté pas mal de sources, c'est que sa fille était policière et que sa femme était agent immobilier, alors quelle sont  vos sources?
à l'époque  je vivais à Paris, et on ne parlait que du grêlé ! Je suis à agréablement surprise car ici, il y a pas mal de Parisiens de la génération de JP Bloch qui ont découvert le grêlé via les reportages.

El_Loco a écrit:Pantophobe, J'ai suivi votre travail avec attention avant de me créer un compte et je dois dire que c'est du très bon travail.

Kadoudal a écrit:Une hypothèse un peu psy:

Il perd sa mère à 10 ans, son père se remarie 4 ans plus tard avec une femme qui a 2 filles. Dans son esprit le trouble s'installe. Sa mère lui manque, l'autre ce n'est pas sa mère, quand aux fillettes qui détournent l'affection dont a il été privé, elles deviennent des victimes potentielles. Il les rend responsables de son mal être. Ne pouvant se venger sur ces dernières, il va ruminer et de là naîtra sa haine des fillettes heureuses qu'il faut détruire, lui qui ne l'a jamais été (heureux). Il cherche à leur faire mal, à les humilier, à les salir (ses victimes).

PS: Je tiens bien à préciser qu'il ne s'agit aucunement de lui trouver des excuses, mais simplement d'essayer de comprendre ce qui a pu se passer dans sa tête.

Hycare791 a écrit:

mesrine2018 a écrit:.

petite rédaction qui espère que 'Hycare791' aura une poussée de neurones pour bien comprendre ce qui suit :

.

Est-ce Elie Lauringe?
Nul ne peut le dire.
Est-ce François Vérove?
Nul ne peut le dire.
--
L'alternative (de raisonnement basé sur des constatations) est donc simple : soit FV était seul et il a effacé ses traces par anticipation au studio de IM, auquel cas la thèse de la 'pulsion' s'effondre et je pose la question : 'qui est Elie Lauringe'?
Et si Vérove = Lauringe, quel est le lien?
A défaut, la pluralité d'auteurs est envisageable, car les constatations n'apportent rien d'autre comme faits que l'adn de l'auteur a été retrouvé sur une clope et dans la culotte de IM.
Ce qui, n'en déplaise à quiconque, ne fait pas de lui, jusqu'à preuve du contraire (ce qui est très mal barré pour qu'il s'explique), l'auteur.
Donc encore moins un 'tueur en série' à ce jour que ma grand-mère.
--

La phrase d'introduction est charmante , ça donne grave envie de lire le long pavé qui suit hein ...

Pour info vous pensez bien que j'ai pas attendu votre inscription sur le forum pour prendre connaissance de la scène du crime ni des différents témoignages, sachant que je faisais parti des membres du forum France 2. Les neurones il s'agirait pas de me les griller    

Vous pensez bien également que je me suis posé la question à maintes reprises de savoir si oui ou non, il y avait obligation d'une complicité dans cette affaire.... J'espère que vous comprendrez que je m'intéresse pas au grêlé depuis la semaine dernière.

J'ai donc gardé uniquement l'essentiel de votre post.

Pour rappel il semble jusqu'à preuve du contraire que cette cigarette a été utilisée pour torturer les victimes. En brûlant les victimes, l'auteur cherche à déclencher une réaction  pour qu'il y est des mouvements physiques de leur part. Mouvements physiques qui ont pour effet de resserrer encore un peu plus les liens autour de leur cou et ainsi précipiter leur mort. Plus les victimes bougent plus il y a strangulation.

On retrouve l'ADN de F.V sur cette cigarette. Si vous savez pas si F.V est bien l'auteur ( ou un des auteurs ) du double crime, c'est pas le cas de tout le monde, parce que l'usage de la cigarette est sans équivoque.

Même si il y a un complice, mais clairement j'y crois pas une seconde ... Trouver un complice en concluant un pacte diabolique pour accomplir un crime sadique c'est plus que surprenant surtout pour un butin  de 2 appareils photos... Enfin bref chacun(e) est libre de penser ce qu'il ou elle veut,  obligatoirement  FV participe au crime. Les constations médico légales et la cigarette laissent aucun doute sur ce point... Enfin pour moi .

Concernant la thèse de la pulsion je n'ai jamais réellement adhéré J'ai toujours pensé à tort ou à raison que lorsque le G se rend chez les Politi c'est dans l'intention de tuer. Et possiblement il a une arme de poing avec lui ( son silencieux ).

Et pour finir avec ce faux nom Elie Lauringe qui vous turlupine. Je note l'absence de ce que vous auriez du remarquer... Il n'y a pas de François V dans le carnet d'Irmgard. Surprenant lorsqu'on sait qu'elle y notait  ses fréquentations, sauf lui !

pantophobe a écrit:

Giucy28 a écrit:Pas vu sur sa page FB, à moins que je n'aie pas la bonne page

Ben moi je te le dis , la fille s 'est enlevée de son fb mais je l' ai encore , et les vandewiele sont encore amis avec lui...


au moins c 'est clair....et nous sommes lu sur le forum car depuis ce matin ça a beaucoup bougé sur les fb ...vous êtes prévenu...

Laissons ses enfants et sa famille en dehors de ça svp...

Veritas a écrit:

Kadoudal a écrit:"L’ancien élève au collège Pierre-et-Marie-Curie de Gravelines tente tant bien que mal de s’intégrer à son nouvel environnement."

Donc les 2 photos de ce même CES sont bien des photos de FV.

- Classe de 4e en 1977-78 (en bas à droite) : copainsdavant.linternaute.com/photo/4eme-1-college-pierre-et-marie-curie-3680059
- Classe de 3e en 1979-80 (en haut à droite) : copainsdavant.linternaute.com/photo/3eme-ii-college-pierre-et-marie-curie-3670952

jeanjeand a écrit:

Vous êtes sûr pour la photo de 3eme ?

Metsec a écrit:FV est né le 22 janvier 1962.

Metsec a écrit:FV est né le 22 janvier 1962. Logiquement il aurait donc dû être en 4ème en 1975-1976 et en 3ème en 1976-1977. Or les photos datent respectivement de 1977 et 1978. Si les photos ont été prises à la rentrée (en septembre), ça voudrait dire que FV aurait eu 18 ans à la fin de sa 3ème et en effet je n'y crois pas une seconde. Mais à mon avis les photos ont été prises durant l'année. Dans ce cas ça devient plus plausible : FV aurait eu un an de retard, donc il aurait bien été en fin de 3ème mi-1978. Et comme il est de janvier il aurait déjà 16 ans sur la photo.