"tueur en série" d'un autre genre : le Covid-19 Clap 10

Avec plaisir, Kassandra

Justement,  en lien avec l'infographie (posté ci-dessus par Tristan sur l'aération), une animation sur la diffusion du coronavirus dans l'air, dans différentes situations.

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On a envie d'ouvrir la fenêtre immédiatement.

Coronavirus dans l’Oise : Une enseignante suspendue pour avoir tombé le masque « afin d’enseigner pleinement »

Dans un collège de l’Oise, une enseignante vient d’être suspendue pour avoir refusé de porter le masque qu’elle considère comme « nocif pour l’apprentissage du langage »
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Pauvre France.

Kassandra88 a écrit:Bonjour,
Vaccinés ou guéris? On laisse tomber les tests PCR?
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@Ruth,
merci pour la vidéo

Bonjour Kass,

Le test négatif n'a été maintenu que pour faire perdurer l'illusion du caractère non obligatoire de la vaccination. Il ne fait que mettre en danger les non vaccinés négatifs au contact de vaccinés potentiellement contaminés. C'est sans doute pourquoi on a cessé de les rembourser et qu'on veut maintenant supprimer cette possibilité.
Le pass sanitaire c'est aussi mettre en danger les vaccinés qui vont se faire contaminer par d'autres vaccinés, car personne ne sait quelle forme de covid il peut développer étant vacciné, ni même si il ne se trouve pas en échec vaccinal.
Mais il faut tout de même sauver l'économie donc c'est bien parti pour la ségrégation des non vaccinés et l'immunisation naturelle entre vaccinés ...
On nous aura vendu tous les bobards imaginables ! lol

Mike68 a écrit: Bonjour Lisetoct - Certes , mais beaucoup de personnes âgées ne pensent pas comme toi...
Ensuite , on nous dit que les 2 premières injections ne protègent réellement et entièrement que 6 mois -
OK , et la 3ème dose , elle protège combien de temps du coup ? Aucune info là dessus :
C'est juste sidérant ! j'ai quand-même la très légère impression que les + de 65 ans servent de cobayes......

Bonjour Mike ,
Déjà , si ça ne protège que 6mois , c'est déjà bien . Après, tous les seniors vaccinés que je connais ne se sont pas retrouvés en réa .
Si on pouvait arrêter les délires sur cette vaccination , ce serait intelligent. Le pire n'est jamais sûr.

Lisetoct a écrit:

Mike68 a écrit: Bonjour Lisetoct - Certes , mais beaucoup de personnes âgées ne pensent pas comme toi...
Ensuite , on nous dit que les 2 premières injections ne protègent réellement et entièrement que 6 mois -
OK , et la 3ème dose , elle protège combien de temps du coup ? Aucune info là dessus :
C'est juste sidérant ! j'ai quand-même la très légère impression que les + de 65 ans servent de cobayes......

Bonjour Mike ,
Déjà , si ça ne protège que 6mois , c'est déjà bien . Après, tous les seniors vaccinés que je connais ne se sont pas retrouvés en réa .
Si on pouvait arrêter les délires sur cette vaccination , ce serait intelligent. Le pire n'est jamais sûr.

Salut Lisetoct ,

Tu es donc d'accord pour te faire piquer tous les 6 mois? Intéressant.

Et pour le "délire" comme tu dis , je pense qu'il est plus dans cette opération de panique
montée de toute pièce (la 5ème vague , WOW , qu'est-ce que j'ai peur......) que dans la vaccination !

Etrange impression qu'on retourne à la case départ , et qu'on tourne en rond - Si vraiment l'épidémie repart à cause des non-vaccinés
(c'est ce que je crois comprendre , ou alors la vaccination n'a servi à rien) - Obligeons les derniers récalcitrants à le faire
- soir par l'instauration d'un pass vaccinal , soit carrément par l'obligation vaccinale - qu'on en sorte !      

Tout le reste me semble être du BLA BLA BLA....

J'ai un peu de mal à comprendre :

"Quel impact sur le « pass sanitaire » ?
Les personnes présentant des comorbidités, bien qu’éligibles à la dose de rappel, ne verront pas leur « pass sanitaire » désactivé en l’absence de justification de rappel vaccinal cinq semaines après leur date d’éligibilité.

Car, si le rappel est fortement recommandé, les situations des personnes immunodéprimées ou présentant des risques de santé peuvent justifier un échange avec les médecins et une appréciation au cas par cas qui rendent difficiles l’intégration systématique au « pass sanitaire »."

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Covid-19 : que sait-on du variant découvert au Congo, à l’origine d’un cluster en Bretagne ?
Ce variant, identifié pour la première fois en République du Congo en septembre dernier, a été ajouté à la liste de ceux « en cours d’évaluation » par les autorités sanitaires françaises. Celles-ci se veulent plutôt rassurantes.

« Rien n’indique que ce variant soit particulièrement dangereux », veut rassurer Olivier Véran dans Ouest-France ce mardi. Il n’empêche qu’il est surveillé de près. Cette nouvelle version du SARS-CoV-2, identifiée pour la première fois en République du Congo et dénommée B.1.640, a été identifiée plus d’une dizaine de fois en France.

Ce variant dit « congolais » a été ajouté à la liste de ceux « en cours d’évaluation », indiquent Santé publique France et le Centre national de référence (CNR) des virus des infections respiratoires dans une analyse de risque plutôt rassurante et parue ce week-end. Il s’agit de la troisième catégorie dans la classification (quatre variants sont « préoccupants » et deux autres sont « à suivre »). Voici ce qu’on en sait.

Plusieurs mutations
Ce variant présente un « profil de mutations inhabituel ». Une mutation apparaît lorsqu’un acide aminé de la protéine Spike du virus a été modifié durant la réplication, phénomène naturel qui se produit en permanence. Elles peuvent rendre le virus plus contagieux, plus dangereux, plus résistant aux vaccins… ou n’avoir aucun impact.

B.1.640 arbore, notamment, la mutation N501Y (bien connue car elle figure aussi sur les variants « britannique », « brésilien » et « sud-africain ») ainsi que la délétion 137-145. Celle-ci « pourrait se traduire par une neutralisation diminuée par les anticorps neutralisants post-infection ou post-vaccinaux », précisent SPF et le CNR. En clair, rendre les vaccins moins efficaces.

Identifié pour la première fois au Congo
Ce variant B.1.640 a donc été détecté pour la première fois au Congo, en septembre dernier. Huit cas y ont été recensés au total, soit un tiers des 24 séquences déposées dans la base de données internationale GISAID (qui permet de centraliser les informations au niveau mondial, mais elle n’est pas exhaustive). Le séquençage est la technique qui permet d’établir en intégralité la structure génétique d’un virus.

B.1.640 semble avoir pris le pas sur Delta au Congo, si l’on se base sur les données disponibles. Ce qui constituerait un signal d’alerte, tant Delta est largement majoritaire dans de nombreux pays (dont la France) depuis le début de l’été. Mais « ce sont des nombres trop petits pour avoir une tendance », souligne auprès du Parisien Etienne Simon-Lorière, responsable de l’unité de génomique évolutive des virus à ARN à l’Institut Pasteur.

Ce variant (B.1.640) a été classé VUM (Variant Under Monitoring) par l'ECDC (c'est à dire variant à surveiller)
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Ce variant B.1.640 a réussi à émerger fin septembre au Congo alors que Delta y était majoritaire depuis fin juillet, c'est assez notable pour être signalé; il me semble qu'il n'y a pas d'autre exemple de variant ayant réussi à émerger dans un environnement dominé par Delta
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B.1.640 a également été détecté dans d’autres pays : Etats-Unis, Suisse, Pays-Bas, etc.. « On se demande comment il est possible qu’un variant apparaisse dans tant de pays. Est-ce simplement parce que voyageurs se déplacent ou parce qu’il dispose de caractéristiques particulières ? », interroge Etienne Simon-Lorière.

« Une circulation dans d’autres pays à faible capacité de séquençage ne peut être exclue », indiquent par ailleurs les autorités françaises. Le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) et l’agence sanitaire publique britannique ont également classé ce variant B.1.640 parmi ceux « en cours d’évaluation ».

Cluster en Bretagne
11 des 24 séquences déposées au niveau mondial viennent de France. 8 de ces 11 cas positifs sont issus d’un « cluster », c’est-à-dire un foyer de contamination de plusieurs personnes infectées, en Bretagne. Le cas index, c’est-à-dire celui à l’origine des contaminations, s’était justement rendu au Congo récemment.

Selon le Télégramme, il s’agit d’une personne résidant à Nantes et qui s’est rendu à une soirée à Bannalec, dans le Finistère. C’est là qu’elle aurait contaminé une famille de la commune, avant que des écoliers ne soient également touchés.

Un autre cas, qui « pourrait être lié » à ce cluster breton, a également été détecté lors d’une enquête Flash (réalisée deux fois par mois sur un échantillon de cas positifs). Un autre a été identifié en région Provence-Alpes-Côte d’Azur et un dernier, qui nécessite encore une identification formelle, est localisé en Île-de-France.

Ce variant pourrait cependant circuler davantage en France, sans qu’on le sache. « Il faut que les cas soient détectés positifs, mais il y a des personnes asymptomatiques qui ne sont pas testées », rappelle Etienne Simon-Lorrière.

Impact « inconnu » à ce stade
Santé publique France et le CNR des virus des infections respiratoires se veulent plutôt rassurants, du moins à ce stade. Tout d’abord, on constate une « absence de diffusion importante ou de progression en France ou à l’international » de ce variant B.1.640. Par ailleurs, « il n’existe pas d’éléments virologiques, épidémiologiques ou cliniques probants en faveur d’un impact significatif en santé publique » avec ce virus.

Cela étant, la présence de telles mutations est « à suivre » et « l’impact de leur combinaison », encore « inconnu », va faire l’objet d’analyses approfondies. Les résultats seront d’autant plus attendus que la France n’est pas épargnée par la reprise épidémique qui touche toute l’Europe.
Par le passé, d’autres variants, comme Epsilon, avaient également été suivis de près avant d’être retirés de la classification car ils ne présentaient pas de caractéristiques inquiétant. À l’inverse, Lambda et Mu (dit « colombien ») sont désormais classés « à suivre », et non plus « en cours d’évaluation ».


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J'ai envie de dire : à quand le variant martiens ?

Tristann a écrit:J'ai envie de dire : à quand le variant martiens ?      

Il faut que cette pandémie dure le + longtemps possible , donc tous les 2/3 mois ,
on remet une pièce dans la machine - L'Histoire sans fin.

Mike68 a écrit:

Tristann a écrit:J'ai envie de dire : à quand le variant martiens ?      

Il faut que cette pandémie dure le + longtemps possible , donc tous les 2/3 mois ,
on remet une pièce dans la machine - L'Histoire sans fin.

-
2/3 mois ?! Tu es sympa.. c'est toutes les semaines maintenant vla l'angoisse!

Tristann a écrit:

Mike68 a écrit:

Tristann a écrit:J'ai envie de dire : à quand le variant martiens ?      

Il faut que cette pandémie dure le + longtemps possible , donc tous les 2/3 mois ,
on remet une pièce dans la machine - L'Histoire sans fin.

-
2/3 mois ?! Tu es sympa.. c'est toutes les semaines maintenant vla l'angoisse!    

C'est surtout le terme de "5ème vague" qui est exagéré - Par quel miracle , avec 75% de vaccinés
+ les immunisés naturels (donc les 3/4 de la population en tout) , on pourrait se retrouver avec des
centaines de morts journaliers et les hôpitaux saturés comme il y a un an et demi - C'est du délire complet -
et certains préfets - de gros trouillards - qui ré-imposent le port du masque en extérieur dans certains départements
(Le Loir et Cher récemment , alors que le taux d'incidence , comme ils disent , y est ridiculement faible) -
On est dans une société de l'ultra-protection poussée jusqu'à l'absurde - D'autant que Blachier a bien expliqué
qu'en extérieur il n'y avait aucun risque de se contaminer , et que le port du masque actuellement
était contre-productif et nous rendrait + fragile et sensible à d'autres virus (tel la Grippe) , une fois qu'on
l'enlèverait....

Il y a malgré tout 6 millions de Français qui ne sont pas du tout vaccinés. C'est parmi eux qu'on retrouve l'écrasante majorité des patients en réanimation.
Il y a aussi 3 millions de plus de 65 ans, qui n'ont pas encore reçu leur piqûre de rappel.

Casta a écrit:Il y a malgré tout 6 millions de Français qui ne sont pas du tout vaccinés. C'est parmi eux qu'on retrouve l'écrasante majorité des patients en réanimation.
Il y a aussi 3 millions de plus de 65 ans, qui n'ont pas encore reçu leur piqûre de rappel.

Seule réponse : soit l'obligation vaccinale , soit l'instauration d'un pass vaccinal - Mais Macron ne le fera jamais ,
à cause des prochaines élections présidentielles.

Selon une étude britannique, le risque de souffrir d'une forme sévère du covid-19 augmente à partir d'un indice de masse corporelle de 23. Et le risque de mortalité apparaît à partir d'un IMC de 28.

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Pour les personnes obèses il vaut mieux maigrir que se faire vacciner, c’est sans effets secondaires et en plus c'est durable.

Hercule Poirot a écrit:Selon une étude britannique, le risque de souffrir d'une forme sévère du covid-19 augmente à partir d'un indice de masse corporelle de 23. Et le risque de mortalité apparaît à partir d'un IMC de 28.

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Pour les personnes obèses il vaut mieux maigrir que se faire vacciner, c’est sans effets secondaires et en plus c'est durable.

Bonjour Hercule Poirot,

La masse corporelle s'apprécie maintenant selon l'âge et l'IMC raisonnable n'est pas la même selon que l'on a 30 ou 70 ans.
En cas de pépin de santé j'ai vérifié autour de moi qu'avoir une "petite" réserve était plutôt rassurant vu la dénutrition que cela entraine souvent. Bon ! bien sûr il ne faut pas avoir pour autant les organes vitaux noyés dans la graisse, hein !

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Avec les fêtes de fin d'année qui arrivent à vitesse grande V, certains vont devoir faire l'impasse sur la bûche sniff... ce n'est pas plus mal, il y en aura plus pour les autres!