Affaires récentes

Encore une affaire sordide, pauvre minote....


« Inhumain et incompréhensible » : stupeur dans les Vosges après la mort d’une fillette de 5 ans
La petite fille de cinq ans a été retrouvée morte dans un sac-poubelle, ce mardi à Rambervillers, une commune des Vosges. Un adolescent de 16 ans, chez qui le corps a été retrouvé, a été placé en garde à vue par les gendarmes.

L’attente, interminable pour les parents d’une petite fille de cinq ans, aura duré une heure avant de connaître un terrible dénouement. Signalée disparue par sa mère vers 15 heures alors qu’elle jouait dans un square du centre-ville de la commune de Rambervillers (Vosges), la fillette a été retrouvée morte dans un sac-poubelle, ce mardi à 16 heures dans un appartement situé à moins de 400 m de chez elle.

C’est le maire de la commune, Jean-Pierre Michel, accompagné des gendarmes, qui a annoncé la terrible nouvelle aux parents de la petite fille d’origine roumaine et dont la famille est installée à Rambervillers depuis plusieurs années. « Le décès d’un enfant c’est toujours dramatique mais, dans ces circonstances, c’est encore plus inhumain et incompréhensible », souffle l’élu qui confesse lui-même ne pas avoir encore totalement réalisé.

Juste avant cette macabre découverte, un adolescent de 16 ans avait téléphoné aux forces de l’ordre pour signaler qu’il avait trouvé le corps d’une fillette dans un sac déposé devant chez lui, rue du Parmoulin. À leur arrivée dans cette une artère entourée de maisons de deux ou trois étages aux façades vieillies, les gendarmes n’ont pas découvert le corps signalé par l’adolescent. Ils sont alors entrés dans le logement du jeune homme qui leur avait téléphoné et c’est là qu’ils ont trouvé la dépouille de la fillette, glissée dans un sac-poubelle. Leur interlocuteur leur a alors expliqué avoir remonté le corps de la petite fille dans son appartement car il ne savait pas quoi en faire.

Des propos incohérents
Immédiatement, ce garçon de 16 ans a été placé en garde à vue par les enquêteurs. Les gendarmes s’interrogent évidemment sur son implication dans la mort de la fillette, notamment en raison des incohérences entre son appel aux gendarmes et le lieu de la découverte de l’enfant. Selon une source proche du dossier, ce garçon avait été aperçu par les policiers municipaux errant dans la rue quelques instants après la disparition de la fillette.

Questionné par les îlotiers, le jeune homme avait tenu des propos étranges et évoqué les recherches en cours dans des termes troublants. « Il disait notamment avoir vu la fillette mais ne plus trop se souvenir où et il semblait un peu confus », glisse un policier municipal. Autant d’éléments suspects que les gendarmes de la section de recherches de Nancy vont tenter d’éclaircir au cours de la garde à vue du jeune homme.

D’autant que des témoignages troublants affleurent déjà au sujet de ce suspect de 16 ans. Une voisine de la famille de l’adolescent, contactée par téléphone ce mardi soir, assure ainsi que le jeune garçon placé en garde à vue est « sorti de chez lui en milieu d’après midi et a demandé à un voisin où se situait le conteneur à poubelles ». La même femme assure qu’il arrive à cet enfant de « parler à son vélo ».

Le maire de la commune indique que l’adolescent était connu des services de la police municipale. « Il avait été appréhendé pour des suspicions d’attouchement sexuel sur de petites filles », précise l’élu. Le jeune garçon avait ensuite été éloigné de la commune et de chez ses parents, décrits comme des gens sans histoire, avant de revenir il y a quelques semaines. Le procureur d’Épinal doit tenir une conférence de presse ce mercredi matin.
Par Vincent Gautronneau, Timothée Boutry et Ronan Folgoas.
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Merci Tristanduvar pour l'info et l'article.Une bonne équipe au Parisien .
Le maire de la commune indique que l’adolescent était connu des services de la police municipale. « Il avait été appréhendé pour des suspicions d’attouchement sexuel sur de petites filles », précise l’élu. Le jeune garçon avait ensuite été éloigné de la commune et de chez ses parents, décrits comme des gens sans histoire, avant de revenir il y a quelques semaines.
 Rien n'a été fait pour empêcher ce crime .

Exactement Lisetoct, il faut toujours attendre qu'un drame arrive pour s'émouvoir.

Ça me rappelle l'affaire Matthieu Moulinas, il avait
commis un viol un an auparavant le meurtre sauvage d'Agnès Marin... Et il se retrouve dans un internat mixte sans réel suivi socio-judiciaire.

Tristanduvar a écrit:Exactement Lisetoct, il faut toujours attendre qu'un drame arrive pour s'émouvoir.

Ça me rappelle l'affaire Matthieu Moulinas, il avait
commis un viol un an auparavant le meurtre sauvage d'Agnès Marin... Et il se retrouve dans un internat mixte sans réel suivi socio-judiciaire.

Oui , l'affaire Matthieu Moulinas : l'histoire semble se répéter . Comme si personne n'avait pris conscience de la dangerosité de ces ados ...Pénurie de moyens , défaut d'organisation dans la chaîne du suivi socio-judiciaire et un manque criant de pros de qualité dans le domaine de la santé mentale ?

Avril 2021 . Emmanuelle Badibanga / Thomas Debatisse. article de Marianne 10/05/23.
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Couple ( 76 et 84 ans) tué à Grasse 06 . : LE SUSPECT ÉTAIT SOUS CONTRÔLE JUDICIAIRE POUR UN MEURTRE EN PRISON.Un cambriolage et un bain de sang... Le récit de l'horreur du double meurtre de Grasse
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INFO LE PARISIEN. L’homme interpellé ce jeudi matin dans l’enquête sur le meurtre d’Iris Coëtmen, dont le corps a été retrouvé dans un fleuve à Lanester (Morbihan), est bien connu de la justice pour avoir été condamné pour un viol remontant à 2001, à Lorient déjà.

Iris Coëtmen est-elle tombée dans les griffes d’un prédateur sexuel ? C’est désormais sur cette terrible hypothèse que planchent les enquêteurs de la police judiciaire de Rennes qui mènent depuis deux semaines des investigations pour comprendre pourquoi la jeune fille de 23 ans a été retrouvée morte dans le Blavet, un fleuve côtier, à Lanester (Morbihan) le 27 mai dernier. Selon des sources proches de l’enquête, le suspect interpellé mercredi matin à son domicile d’Hennebont, commune toute proche du lieu de la découverte du cadavre, est déjà connu de la justice pour viol.
Il s’agit de Christophe R., 50 ans, condamné à neuf ans de prison en juin 2015 par la cour d’assises du Morbihan pour avoir abusé sexuellement d’une jeune femme lors d’une « agression ultra-violente », selon un connaisseur du dossier. Les faits remontent à janvier 2001, mais l’enquête avait été classée sans suite dans un premier temps, faute d’éléments permettant de l’identifier, avant d’être rouverte grâce à l’ADN dix ans plus tard.
Christophe R. est soupçonné d’être l’auteur du meurtre d’Iris, et possiblement son viol dans le cadre d’une information judiciaire également ouverte pour enlèvement. Le quinquagénaire a été identifié grâce à des vidéos de caméras de surveillance de la sous-préfecture de Lorient. Le soir des faits, Iris sortait d’un bar de Lorient attenant place Jules-Ferry, très alcoolisée, et avait été aperçue titubant sur les images, vers 3h30. Elle avait passé la soirée avec son beau-frère, placé en garde à vue avant d’être relâché et mis hors de cause.
Les vidéos analysées depuis montrent la jeune fille allongée à terre, à quelques mètres à peine de l’établissement… et du commissariat de la ville. On y voit un homme s’approcher d’elle et la déplacer alors qu’elle semble inconsciente. Apparaît ensuite sur la route l’image d’un fourgon blanc qui aurait pu servir à enlever la jeune étudiante en informatique. Le corps d’Iris avait été retrouvé sept heures plus tard par un promeneur à 6 km, à Lanester, portant les traces de lésions traumatiques, de strangulation et d’un rapport sexuel récent.
Vingt-deux ans après, au même endroit
Les enquêteurs ont alors décidé de croiser les propriétaires de ce modèle de véhicule avec celui des personnes inscrites au fichier des délinquants sexuels (Fijais) et sont ainsi remontés à Christophe R., condamné pour une affaire comportant des similitudes troublantes avec le meurtre d’Iris.
Le 24 janvier 2001, la victime avait été attaquée vers minuit en rentrant d’une soirée. Au moment où elle passait à proximité d’un cinéma, à 900 m de là où Iris a disparu, elle avait senti une présence, s’était retournée. Puis un inconnu avait surgi derrière elle, lui avait passé une corde autour du cou avant de la traîner jusque dans un bosquet pour abuser d’elle. Elle n’avait dû son salut qu’à son sang-froid, réussissant à le mettre en fuite en prétendant être atteinte du sida. Le violeur était reparti en lui volant ses effets personnels, dont son sac, retrouvé le lendemain… à Lanester, là même où a été découvert le corps d’Iris, vingt-deux ans plus tard.
Christophe R. n’avait pas été identifié dans un premier temps malgré son ADN laissé sur une chaussette. Il n’était alors pas inscrit au fichier des empreintes génétiques (FNAEG). Mais il le sera dix ans plus tard, en 2011, lorsqu’il se retrouvera impliqué dans une affaire de vol de sous-vêtements féminins. Lors de sa garde à vue, il avait d’abord nié avant, selon un article de Ouest-France de l’époque, de reconnaître posséder des bijoux appartenant à la victime ainsi que de nombreux dessous de femme retrouvés chez lui, à Lanester.
Mis en examen, Christophe R. avait d’abord tenté de faire annuler la procédure en raison de la prescription mais la Cour de cassation lui avait donné tort. L’homme avait par ailleurs été suspecté d’un autre viol dans des circonstances ressemblantes, mais aucun élément ne permettait de le confondre.
Lors du procès, Christophe R. avait nié tout rapport sexuel contraint, en dépit de la présence de son ADN, sans convaincre la cour d’assises qui l’avait condamné à une peine de neuf ans de prison assortie d’un suivi socio-judiciaire de cinq ans. Il n’avait pour autant pas fait appel.
D’après le Télégramme, ce rebondissement fait écho à une histoire troublante rapportée aux policiers lorientais par une autre jeune femme, il y a un mois. Celle-ci avait assuré n’avoir plus aucun souvenir d’une soirée, très alcoolisée, qu’elle avait passée en ville. Elle affirmait également s’être réveillée dans un fourgon, et évoquait un enlèvement. Pour l’heure, aucun lien n’est établi entre ces deux affaires.

Meurtre d’Iris dans le Morbihan : le principal suspect Christophe R. mis en examen
Selon nos informations, le suspect a nié les faits en bloc lors de sa garde à vue. Il conteste avoir eu un contact avec Iris la nuit du 26 au 27 alors que les policiers ont la preuve matérielle du contraire. De source proche du dossier, on craint également que le suspect ait pu commettre d’autres viols et meurtres dans la région car son comportement cette nuit-là est décrit comme celui d’un prédateur.
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Une enquête rondement menée, GG aux enquêteurs!

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Depuis le mois de janvier, Franck Chevallier, 59 ans, standardiste dans un hôpital en région parisienne, est mis en examen pour «assassinat». Il est soupçonné d’avoir tué son amie et maîtresse présumée, Christine Clari, 67 ans, retrouvée noyée sur une plage corse.

L’affaire remonte au 9 septembre 2020. Dans le golf d’Ajaccio (Corse), cette sexagénaire venue passer quelques jours de vacances en compagnie de Franck sur l’île de beauté est retrouvée inanimée dans l’eau. Malgré l’intervention des secours, elle est déclarée morte par noyade. Son corps est rapatrié et inhumé en Seine-Saint-Denis.

Quelques mois plus tard, plusieurs compagnies d’assurance découvrent que Christine Clari avait souscrit treize contrats d’assurance-vie… au nom de Franck Chevallier mais aussi de sa femme et ses deux enfants pour un montant d’1,3 millions d’euros.

Les parents de Natacha de Crombrugghe n’excluent pas un acte malveillant: “Le squelette semblait presque entier.
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Féminicide de Magali Blandin : un procès requis sans les vrais coupables

Si Jérôme Gaillard et ses parents, les principaux protagonistes de l’assassinat de Magali en 2021, se sont suicidés au cours de l’instruction, le parquet de Rennes vient de requérir le renvoi en correctionnelle de trois Géorgiens suspectés d’avoir aidé puis tenté d’extorquer le tueur.

Il ne reste plus qu’eux pour affronter la mort de Magali Blandin. À l’issue d’une instruction marquée par le suicide de son mari Jérôme Gaillard - qui a avoué le meurtre - et des parents de ce dernier, Jean et Monique, soupçonnés de l’avoir aidé à assassiner son épouse le 11 février 2021 à Montfort-sur-Meu (Ille-et-Vilaine), le parquet de Rennes a requis début juillet le renvoi devant le tribunal correctionnel de Gio Z., Severiani T. et Zaza P.

Ces trois Géorgiens sont respectivement soupçonnés d’avoir escroqué, extorqué ou aidé Jérôme Gaillard à faire disparaître des preuves de son crime. Des petits escrocs un temps imaginés comme de potentiels tueurs et plongés dans une affaire criminelle hors norme le 4 mars 2021.

« Si Magali est un problème, il faut se débarrasser du problème »
Magali Blandin, âgée de 42 ans, est alors portée disparue depuis presque un mois. Malgré d’intenses fouilles menées par les gendarmes, qui ont un moment envisagé l’hypothèse du suicide de la mère de quatre enfants, rien n’a permis d’expliquer sa disparition.

Début mars, Jérôme Gaillard demande un rendez-vous au juge d’instruction chargé d’enquêter sur la disparition de sa femme. Et fait de troublantes révélations.

Il raconte alors au magistrat s’être ouvert, à la mi-novembre 2020, de ses problèmes de couple à Gio Z., un Géorgien à qui il avait loué un garage durant quelque temps. Condamné à cinq reprises pour des vols ou des infractions routières, cet ancien footballeur semi-professionnel lui aurait alors dit que « si Magali [était] un problème, il [fallait] se débarrasser du problème ».

Gio Z. aurait alors, affirme Jérôme Gaillard au juge, proposé de lui présenter un Russe pouvant « régler le problème » contre 20 000 euros. Une version que Gio Z. - initialement mis en examen pour complicité d’assassinat - a nié tout au long de l’instruction, affirmant avoir simplement reçu 12 000 euros de la part de Jérôme Gaillard car ce dernier « les devait pour une caméra » et pour un projet de construction d’une maison en Géorgie.

Un dernier point qui semble conforté par des nombreux échanges de SMS. Contacté, Me Antoine Ory, l’avocat de Gio Z., n’a pas souhaité s’exprimer.

Pour le parquet de Rennes, s’il est aujourd’hui établi que Gio Z. n’a « jamais eu l’intention d’engager qui que ce soit pour mettre fin aux jours de Magali Blandin », il a bien proposé ses services dans le « seul but de tromper Jérôme Gaillard et l’inciter à remettre de l’argent. » Pour le magistrat, Gio Z. aurait donc bien escroqué l’assassin de Magali…

« Abstention volontaire d’empêcher un crime »
Une qualification baroque qui aurait même permis à Jérôme Gaillard de se porter partie civile sur ce volet de l’affaire s’il ne s’était pas donné la mort en prison le 1er novembre 2021… Le ministère public requiert par ailleurs le renvoi de Gio Z. devant le tribunal pour « abstention volontaire d’empêcher un crime », après qu’il a été le « premier à recueillir les confidences de Jérôme Gaillard sur la volonté de mettre fin aux jours de sa femme ».

Des confidences que Gio Z. et son ami Severiani T. sont suspectés d’avoir finalement utilisé après la disparition de Magali…

Car si Jérôme Gaillard demande à rencontrer le juge d’instruction ce 4 mars 2021, c’est qu’il vient de trouver ses parents, Jean et Monique, apeurés après qu’ils ont découvert dans leur boîte aux lettres un document manuscrit portant ces termes inquiétants : « On peut te détruire, nous savons ce que tu as projeté de faire ». La missive est accompagnée d’une clé USB chargée de plusieurs enregistrements réalisés par Gio.

Sur l’un d’eux, on entend Jérôme Gaillard dire : « J’aime ma femme plus que tout mais je n’ai pas d’autre choix que de la tuer ». Et les auteurs de l’envoi de réclamer 15 000 euros en liquide à Jérôme Gaillard sous peine de livrer les enregistrements à la police.

Une rencontre afin de remettre la somme d’argent est finalement planifiée le 14 mars 2021 à Rennes. Mais le GIGN est prévenu : Gio Z. et Séveriani T. sont interpellés.

Il avoue le meurtre à l’issue du chantage
Quelques heures plus tard, Jérôme Gaillard, qui a focalisé l’intérêt des gendarmes en dénonçant le chantage des Géorgiens, est placé en garde à vue et avoue le meurtre de sa femme. Ses parents, avisés depuis plusieurs mois de ses projets, sont incarcérés dans la foulée. Ils se suicideront après leur remise en liberté à leur domicile, quelques mois après la mort de leur fils.

À l’issue de cette affaire terrible, qui laisse quatre orphelins et une famille brisée, Gio Z., Severiani T. et Zaza P. – ce dernier étant mis en examen pour avoir prêté puis détruit le véhicule ayant servi à transporter le corps de Magali, son renvoi a été requis par le parquet – pourraient être jugés l’an prochain. Presque anecdotique.

« Pour les parents de Magali, l’affaire judiciaire s’est arrêtée avec la mort des responsables du meurtre de leur fille, Jérôme Gaillard et ses parents, souligne Me William Pineau, l’avocat des proches de Magali Blandin. Ils n’ont aucune attente de ce procès. » Me Frédéric Birrien, l’avocat de Zaza P., n’a pas souhaité s’exprimer et le conseil de Severiani T. n’a pas donné suite.
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@ manor,
Je déplace ton message:
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J'attendais des nouvelles de cette affaire, le procès s'est déroulé cette semaine.

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Les jurés de la cour d'assises n'ont pas mis longtemps à se forger une opinion sur la culpabilité de Patrice Monthieux. Partis délibérer vers 8 h 30 ce mercredi matin, ils ont rendu leur verdict juste après 10 heures.

Le quadragénaire a été condamné à 30 ans de réclusion criminelle pour avoir enlevé, séquestré et tué Aude Jean-Alexis.

Une condamnation conforme aux réquisitions du ministère public qui avait réclamé 30 ans de réclusion criminelle.

Les dénégations de l'accusé n'ont pas convaincu le jury. Patrice Monthieux a pourtant clamé son innocence jusqu'à ce matin lorsqu'il a prononcé ses derniers mots avant le début des délibérations.

"Mesdames et messieurs, je tiens à dire que vous avez devant vous un homme brisé, un homme enfermé. 4 ans pendant lesquels je crie mon innocence ! Je n'ai pas enlevé , séquestré ou tué Aude ! Il faut qu on puisse l'entendre et le comprendre. Je ne suis pas capable de faire cela ! Je vous remercie"

Malgré l'absence du corps de la jeune femme, malgré les versions divergentes de l'accusé, les jurés ont acquis l'intime conviction que la présence de sang d'Aude Jean-Alexis sur une paire de menottes appartenant à Patrice Monthieux et les traces d'ADN retrouvées dans sa voiture étaient des preuves suffisantes de sa culpabilité.

Un procès durant lequel, la cour s'est plongée dans l'intimité de l'accusée et de la victime. De nombreuses heures de débat ont été consacrées à la vie sexuelle et conjugale de Patrice Monthieux.

À l'énoncé du verdict, Evelyne Rémilien a confié un certain soulagement.

On a fait tout ça pour que l'honneur de ma fille soit lavé. C'est elle la victime, pas Patrice Monthieux. On a sali Aude, on a sali ma famille. C'est peut être la victoire du bien contre le mal

Maître Alex Ursulet, avocat de Patrice Monthieux, a d'ores et déjà fait part de sa volonté d'interjeter appel de ce verdict.

MALLEMORT: DES HABITANTS RACONTENT COMMENT ILS ONT EMPÊCHÉ L'ENLÈVEMENT D'UNE JEUNE FILLE

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198353ŦSourisverte a écrit:MALLEMORT: DES HABITANTS RACONTENT COMMENT ILS ONT EMPÊCHÉ L'ENLÈVEMENT D'UNE JEUNE FILLE

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Ben oui, c'est presque tous les jours. Heureusement, toutes les tentatives n'aboutissent pas.

La Belgique n'hésite pas à publier la photo d'un suspect quand elle en dispose.
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Je suppose que c'est parce que la victime avait rencontré son agresseur sur les RS qu'elle a pu fournir cette photo.

Aisne : une femme suspectée d’avoir permis le viol de ses 4 enfants, plusieurs hommes écroués
Le 07/10/2023 à 17h08
Les faits dépassent l’entendement : une mère aurait livré ses propres enfants en pâture à plusieurs hommes…

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Sinon, pour signaler une disparition, choisissez cette rubrique:
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En cherchant des infos concernant Zoé, je suis tombée sur cette affaire concernant aussi la région de Bade-Wurtemberg.

Ayleen, la jeune fille de 14 ans qui avait disparu le 21 juillet à Gottenheim (Bade-Wurtemberg) à 15 km de la frontière française a été retrouvée morte à 300 km plus au Nord, dans un lac en Hesse. Un suspect a été arrêté par la police allemande.
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Comme quoi, Lina pourrait être très loin ...

200252ŦKassandra88 a écrit:En cherchant des infos concernant Zoé, je suis tombée sur cette affaire concernant aussi la région de Bade-Wurtemberg.

Ayleen, la jeune fille de 14 ans qui avait disparu le 21 juillet à Gottenheim (Bade-Wurtemberg) à 15 km de la frontière française a été retrouvée morte à 300 km plus au Nord, dans un lac en Hesse. Un suspect a été arrêté par la police allemande.
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Comme quoi, Lina pourrait être très loin ...

Merci Kassandra
Une bonne nouvelle et un mauvaise
En effet Lina pourrait être très loin, morte ou vivante et enfermée.
Un terrible drame de toutes façons.

Bonjour,

Hier j'ai regardé la rediffusion du FELA sur l'assassinat de Mihaela Miloiu. Je ne connaissais pas cette affaire pour laquelle Alexandre Verdure a été condamné en première instance à 20 ans puis 30 ans en appel.

AV a toujours contesté les faits mais admets avoir été présent. Sa version est un scenario rocambolesque selon lequel il aurai vu nuitamment cette jeune prostituée se faire agresser dans une station service. Il serait intervenu et l'aurait emmené dans sa voiture. Puis il aurait décidé de se payer une passe avec elle. Ensuite de quoi des mystérieux individus seraient sorti d'une voiture et auraient lardé la jeune femme de coups de couteau et de coups de poing avant de fuir. Lui en état de sidération aurait déposé le corps nu dans un champ et serait rentré chez lui sans rien dire.

Ses avocats ont tout tenté pour pousser la thèse des proxénètes. Evidemment des proxénète qui butent leurs filles ça existe. Mais les éléments matériels et les circonstances n’accréditent pas cette thèse. D'autant que Mihaela était une poule aux oeufs d'or visiblement et leur rapportait beaucoup d'argent.

AV s'est aussi ridiculisé lors des reconstitution car il est apparu évident que, vu la nuit noire et sans lune au moment du crime, il ne pouvait pas du tout avoir vu les détails qu'il décrivait chez les tueurs. Entre autre chose.

Ce qui m'a intéressé aussi c'est qu'on retrouve des éléments qui donne un air de déjà vu chez ce criminel :

* C'est un type un peu immature, fan de l'uniforme, qui s'est révé pompier ou flic héros. Mais il a toujours échoué, n'étant juste que gendarme réserviste, et son égo semble en avoir pris un coup.
*C'est un mythomane un peu à la J-C Roman auprès de ses parents. Il se ventait des enquêtes qu'ils aurait résolu alors qu'en tant que réserviste il n'a jamais mené la moindre enquête. Du reste ses parents sont dans le déni et croient tout ce qu'il peut dire et notamment en son innocence.
* Sa compagne avait dans les derniers mois avant le meurtre de Mihaela refusé d'avoir des relations sexuelles avec lui car il devenait presque violent et dans leurs ébats la traitait de plus en plus comme un objet sexuel. On peut supposer qu'il s'est montré trop ardent envers Mihaela, qu'elle a essayé de le repousser et qu'il a pété un plomb.