meurtre de Céline Giboire

Adelante a écrit:

Pouvez-vous nous décrire les abords du parc des corbières, puisqu'ayant été sur place ?

Il y a une grille à l'entrée et des horaires d'ouverture. Peut-on y entrer facilement quand c'est fermé ( 18 h. ou 19 h. ? ) ?

Le passage de la plagette à la digue où ont été retrouvés les papiers par le bord de mer est-il possible ?

Bonjour à tous, c'est mon premier message sur ce forum, veuillez par avance excuser mes erreurs si j'en commets.

À défaut de pouvoir faire avancer l'enquête, je tenais à vous partager quelques informations qui pourraient nourrir vos réflexions. J'ai grandi à proximité du parc des Corbières et y ai passé beaucoup de temps dans ma jeunesse, et aussi de manière contemporaine à la disparition de Céline G (j'étais alors au lycée). Cela a peut-être déjà été dit, mais ce parc et la plage contiguë (qui ressemble à une petite crique, très belle du reste) sont en journée fréquentés par des familles. Parallèlement, cet espace accueille une population plus interlope (le mot sûrement est trop fort). Je m'explique : je me souviens bien par exemple que vers 2010, alors que j'étais sur la plage en contrebas, j'ai distinctement vu un homme âgé semi nu dans la petite forêt des Corbières, et plusieurs de mes amis m'ont confirmé qu'ils avaient déjà bu ce genre "d'activité" dans le petit massif forestier, qui a fini par acquérir mauvaise réputation en quelque sorte (avant même l'affaire CG, le parc avait, dans mon esprit et celui de mes amis, une réputation presque mortuaire, en raison des supposés "satyres" aperçus, et des rumeurs de suicides commis en ce lieu, mais c'est à prendre avec des pincettes : nous étions des enfants). De même, sur la plage, il y a une petite cabane sur les rochers (de douanier je suppose), dont l'accès a été condamné : sa porte est verrouillée et sa fenêtre est protégé par des barreau de fer. Mais sous cette fenêtre à barreaux, le rebord a été creusé, si bien que des personnes assez maigres (corpulence d'adolescent) peuvent entrer, moyennant une acrobatie, dans cette cabane. La première fois que j'y suis entré, j'y ai vu un sac de couchage et plusieurs tags : tout ça pour dire que sur cette plage et cette forêt, il y a du passage, et pas seulement des familles du coin. Le chemin derrière la cabane donne accès au parc d'une maison de retraite, qu'on peut voir sur la vue satellite, dans mes souvenirs, c'était cependant grillagé. Il suffit de connaître un peu la région où d'y avoir vécu pour avoir connaissance de ce dont vous fais part, cela n'a rien de très confidentiel. Mais ce n'est pas un parc qui s'offre à la vue du premier "étranger" venu, c'est un endroit mal desservi par les transports en commun, peu animé... bref il me semble qu'on y arrive pas par hasard.

Je confirme ce qui a été dit sur l'accès au parc, il est possible, moyennant là aussi une acrobatie d'y entrer après la fermeture du portail.
Quant à l'accès à la digue où a été trouvée la carte depuis le parc, je dirais plusieurs choses. D'une part, dans mes souvenirs, il n'est pas possible de passer du parc à la digue sans passer par l'entrée principale, car la pente qui donne sur la digue est très abrupte et boisée. D'autre part, en fonction des coefficients de marée, on peut assez facilement rejoindre la digue depuis la plage sans passer nécessairement par la forêt.

En espérant avoir pu vous éclairer

Merci svampito pour ces précisions.
Le coefficient de marée cette nuit-là étant bas, on pourrait donc penser que la personne incriminée est partie par le bord de mer et se serait débarrassée de la carte vitale sur le trajet.
On retrouve en haut de la falaise l'écharpe blanche, le gilet rose, les lunettes, le sac avec son portefeuille et sa carte d'étudiante.
Sur la plage, dans son blouson qui flotte près du corps, le téléphone.
Et, sur la digue au pied du parc des Corbières, la carte vitale et d'autres documents, semble-t-il.
Puis, à 6 km, les ballerines.
Je crois avoir lu que la carte d'identité n'a jamais été retrouvée.
Cela ressemble fort à une fuite plus discrète qu'un départ via l'entrée du parc.

[quote="svampito"]

Adelante a écrit:

Mais ce n'est pas un parc qui s'offre à la vue du premier "étranger" venu, c'est un endroit mal desservi par les transports en commun, peu animé... bref il me semble qu'on y arrive pas par hasard.

Ça conforte l'idée d'un rendez-vous.
Mais à la tombée de la nuit ?
A quelle heure Cél. était sensée rentrer chez elle en temps normal ?

« Pusher83 a écrit:
Le témoignage de la femme âgée, qui dit avoir vu un jeune homme “bizarre” chercher sa carte bancaire dans les rochers. C'est très intéressant, mais la malheureuse est décédée.. Y'a quand même des gaillards pas net dans cette enquête..
Alice Beuzelin a disparu le 21 janvier 2012, à peine un mois avant qu'on découvre le cadavre de Cécile Giboire, cette fois on n'a pas de corps, il y a sûrement des chances que c'est deux affaires n'ont rien à voir, mais elles se ressemblent assez “physiquement”, la proximité géographique aussi, elles étaient jeunes 16 et 21 ans.. Un tueur en série une hypothèse.. »


Bien au contraire, ces deux affaires ont probablement un lien.

Voilà deux jeunes étudiantes qui étudient l’une à Rennes et l’autre au Havre et qui vont se « suicider » à plusieurs dizaines de kilomètres de l’endroit où elles étudient.

Pour Alice, Le Havre offre toute une panoplie de falaises impressionnantes qui se trouvent à quelques centaines de mètres de son IUT. Pour rejoindre Etretat, à plus de 20kms, elle ne pouvait le faire qu’après avoir été prise en stop car elle n’était pas véhiculée.

Ses affaires ont été retrouvées très tôt le même après-midi et rien, aucun corps au pied des falaises. Il faudrait vérifier si la mer était haute à Etretat ce jour là.

Quant à Céline, elle aurait parcouru plusieurs dizaines de kilomètres pour aller se « suicider » dans un endroit qu’elle ne connaissait absolument pas.

Non mais sérieusement?

Florian Varin
Toulouse : accusé de six viols et une tentative de meurtre, Florian Varin reste en détention et sera jugé en octobre

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La bonne question : Pourquoi Céline allait-elle à St Malo ? Tous les témoignages prouvent que c'est là qu'elle voulait aller.
Soit elle a décidé d'aller se promener cet après midi, un peu d'aventure et de visiter cette ville dont elle avait entendu parler puis de revenir le soir, dans ce cas elle aurait plutôt été attirée par la vieille ville et pas par le parc de Corbières.

Soit elle connaissait quelqu'un qui lui avait dit : "Je travaille à tel endroit jusqu'à telle heure, près du parc des Corbières, vient me voir quand tu veux. Quand on la dépose près de cet endroit, il est trop tard la personne n'est plus là, ou la personne travaille dans un magasin fermé le lundi, elle ne sait que faire et va se promener dans le parc des Corbières, s'assoit sur un banc, fume des cigarettes... Elle appelle sa copine Audrey...

Pour le couple qui l'a vu, le fait qu'ils se sont présentés d'eux même ne les disculpe pas, habitant juste à côté, l'enquête de voisinage aurait certainement conduit les enquêteurs à s'intéresser à eux.

Oui, c'est aussi selon moi la question à résoudre. D'ailleurs, depuis Rennes, il me semble étrange qu'elle n'ait pas choisi d'aller à St Malo en train, ce qui est bien plus rapide, et peu coûteux pour les jeunes, ou de faire du stop directement depuis Rennes... Bien sûr quand on est lycéen, on n'a pas les mêmes moyens. Tout ca pour dire que sans voiture et sans train, St Malo est difficile à rejoindre (contrairement à d'autres villes, comme Dinard, que l'on peut rejoindre directement en car). Donc elle a surement choisi cette ville car elle pensait y retrouver qn, sinon elle serait aller dans un autre endroit si elle cherchait juste à se changer les idées. Même réflexion pour le parc.
Beaucoup de rennais ont un pied à terre à Saint-Malo, c'est un peu "la plage" de Rennes. Il se pourrait bien que la rencontre se soit faite à Rennes, et que le rdv ait été programmé pour St Malo.

Si l'on prend comme hypothèse un rendez-vous, c'est soit par oral soit par téléphone par quelqu'un dont le numéro est habituel sur son portable (copain). Si le rendez-vous a été manqué il est fort probable que cette personne n'y est pour rien.

J'ai lu qu'elle avait mangé des lentilles, plat rare pour une ado qui mange seule dehors, elle aurait plutôt pris un hamburger, un kebab ou encore quelque chose chez un boulanger.

Elle aurait mangé chez quelqu'un ?

C'est ce que je pense aussi, elle a dû manger chez qqn, d'autant que du Spasfon a été retrouvé dans son bol gastrique également, sans qu'on retrouve sur elle quelque médication que ce soit. Elle avait effectivement tout le loisir de se nourrir sur le pouce sur le chemin, de manger qc de plus simple que des lentilles, mais ne l'a pas fait. Mon avis, qui n'engage que moi, est que la journée est scindée en deux, d'un côté un rendez-vous à rennes vers midi, et, de l'autre, découlant de ce premier rdv, un autre rendez-vous à Saint Malo aux Corbières dans l'après midi. Je pense que aussi que tout s'est programmé de vive voix, car sinon, je pense que des traces d'appels auraient été retrouvées sur le téléphone.

Bonjour à tous,

Celui qui l'a déposé aux Corbillères peut également être celui avec qui elle a mangé un peu plus tôt ? Si mes souvenirs sont bons, le conducteur ne s'est jamais fait connaître.

︎J'ai bien peur que le conducteur soit Florian Varin, il travaillait non loin ce jour-là, et son alibi n'est pas irréfutable de plus.
︎Un journaliste qui suit l'affaire Giboire, a assisté au procès de Florian Varin, lui aussi a été "troublé" par l'attitude de l'accusé. Moi je dis il il n’y a pas de fumée sans feu.

︎Maintenant qu'ils ont un suspect intéressant ( F.Varin ) j'ose espérer qu'ils ont récupéré les bornages téléphoniques de celui-ci.
︎Et dans l'hypothèse où il aurait pris C.Giboire en stop, ils auraient pu activer les mêmes antennes-relais en simultané lors du chemin jusqu'au Parc des Corbière. Si cela se confirme, difficile pour F.Varin de nier qu'il ne l'a pas prise en stop.

Je n'ai pas suivi cette affaire mais vu le reportage... En fait une chose est sûre on ne va pas par hasard à ce parc. Elle le connaissait pas car elle ne connaissait pas la ville. Donc quelqu'un l'a emmenée la bas ? En stop...
Faut vraiment pas avoir peur pour aller à ce parc. Un posteur le connaît bien ce parc et il le dit lui meme

La discrète a écrit:Je n'ai pas suivi cette affaire mais vu le reportage... En fait une chose est sûre on ne va pas par hasard à ce parc. Elle le connaissait pas car elle ne connaissait pas la ville. Donc quelqu'un l'a emmenée la bas ? En stop...
Faut vraiment pas avoir peur pour aller à ce parc. Un posteur le connaît bien ce parc et il le dit lui meme

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Oui ils disent la même chose dans Non Élucidé, comme je suis curieux j'ai aussi fait des recherches sur les avis de ce parc des corbières, et globalement il est décrit comme calme agréable pour les balades en famille en journée, et aussi pas mal de commentaires fait état de rencontre homosexuelles furtive, et des transactions "louche" une fois la nuit tombée. Ce n'est pas l'endroit idéal pour une adolescente de 16 ans c'est certain.

Une chose est sûre : C.Giboire ne sait pas suicider, car d'après le premier report du médecin légiste elle avait que le poignet en état de fonction après la chute, parcourir 32 mètres exactement avec la seule force de ce poignet pour aller se suicider dans l'eau c'est de la science-fiction.

Il est plus probable qu'après avoir été violée (?) et pousser dans le vide par le tueur, elle a été traînée par les bras et noyé volontairement dans l'eau, car toujours d'après le médecin légiste elle n'est pas morte des suites de la chute ( 16 mètres ou un immeublede 5 étages approximativement.. )

Survivre après une telle chute sur des rochers tranchants comme des lames de rasoir c'est miraculeux.. Malheureusement elle n'a pas survécu à l'estocade finale : la noyade.

Patrick Giboire, le papa de Céline, dans Le Parisien du 30 janvier 2020 :

Vous avez également en tête un homme condamné en appel en 2018 à 30 ans de prison pour une série de six viols commis entre 2011 et 2012 entre Rennes et Toulouse.

Il s'agit de Florian Varin. Lors de son procès aux assises de Toulouse en 2015, l'avocat de mes enfants, Me Franck Berton, qui défendait l'une de ses victimes, lui a parlé de ma fille. À la question « Connaissez-vous Céline Giboire ? », l'accusé répondait rapidement qu'il en avait entendu parler et qu'on avait retrouvé sa carte à proximité du parc de Corbières. Et en effet, une dame décédée aujourd'hui avait témoigné spontanément en disant qu'elle avait rencontré, le jour de la découverte du corps de ma fille, un jeune homme qui cherchait son portefeuille dans le parc. Florian Varin a un alibi pour ce soir-là, mais je pense que les gendarmes devraient creuser cette piste.

La justice a commis une faute impardonnable c'est-à-dire : détruire :"un petit sachet en plastique contenant quelques mèches de cheveux bruns."
Par mégarde paraît-il.
Il ne faut pas s'étonner si des dossiers prennent la poussière avec les années si des scellés sont détruits, involontairement/volontairement peu importe.

Parfois cela ne sait pas, et ils laissent espérer les familles pour rien.

Des nouvelles de l'autre fdp de Varin...

«Ma cliente souffre de devoir raconter encore son histoire» : le «routard du viol» rejugé
Pour la troisième fois, elles vont devoir revivre l’horreur d’un viol, revenir sur leur rencontre avec Florian Varin et raconter en détail la nuit qui a fait basculer leur vie. Condamné à deux reprises, en 2015 puis en 2018, à trente ans de prison pour six viols et une tentative de meurtre, leur bourreau a en effet obtenu en septembre 2019 l’annulation de sa condamnation en appel en raison d’un vice de procédure. Aujourd’hui âgé de 30 ans, Florian Varin, surnommé « le routard du viol », est donc rejugé à Montauban (Tarn-et-Garonne) cette semaine. « C’est forcément difficile pour les victimes, souligne Me Guy Debuisson, qui défend une femme violée en octobre 2012. Elles doivent revivre une scène qu’elles voudraient oublier, cela freine évidemment leur reconstruction. »

En moins d’un an, entre décembre 2011 et novembre 2012, de la Bretagne à Toulouse en passant par la Charente-Maritime ou les Deux-Sèvres, Florian Varin est accusé d’avoir violé six fois. Toutes ses victimes « relatent des faits présentant de grandes similitudes entre eux : rencontre aux abords de patinoire ou de discothèque, demande de câlin, fait de tirer les cheveux, pression cervicale et strangulation, masturbation, caresses digitales, pratique de la sodomie, fait de demander aux victimes de gémir, enregistrement du rapport sexuel, pleurs après la commission des viols… » souligne l’ordonnance de mise en accusation pour mettre en avant le caractère sériel des actes de Varin.

Marie, laissée pour morte dans un conteneur à poubelles
Pour retracer le parcours de Florian Varin, il faut commencer par sa chute, en novembre 2012, à Toulouse (Haute-Garonne). Au petit matin du 4 novembre, une jeune femme reprend conscience dans un conteneur à poubelle. Marie a été étranglée, frappée à coups de poing, projetée contre un mur par un homme qui a pénétré dans son hall d’immeuble après qu’elle a passé la soirée en boîte de nuit. Âgée de 25 ans, Marie explique aux policiers que son agresseur lui a demandé un « câlin » avant de la frapper et de la violer. Quelques jours après cette scène d’horreur, Florian Varin est interpellé. Il a laissé son ADN sur la poignée de la porte du local poubelles et est formellement identifié par Marie. En garde à vue, il assure ne se souvenir de rien… puis reconnaît le viol. La « croyant morte », il a décidé de la déposer dans un conteneur à poubelles… « Il conteste toutefois l’intention homicide », soulignent Mes Alexandre Martin et Emmanuelle Franck, ses avocats.

Personnalité inquiétante, marqué selon les experts par une « dimension sociopathique » et la résurgence de « pulsions sexuelles agressives », Florian Varin est placé en détention provisoire en novembre 2012. Son profil pousse les enquêteurs à se plonger dans son passé. Le logiciel Salvac, conçu pour rapprocher les crimes selon leur mode opératoire, et des analyses génétiques font ressurgir des agressions longtemps occultées. Début 2012, une jeune femme avait ainsi déposé plainte contre Varin et accusait le jeune homme de l’avoir violée en décembre 2011 après une rencontre à la patinoire de Rennes (Ille-et-Vilaine).

Des ratés judiciaires à répétition
Plus troublant encore : les policiers toulousains découvrent que l’ADN qui leur a permis d’identifier Varin est connu depuis avril 2012. Il avait été prélevé dans le cadre d’une plainte pour viol déposée dans le Morbihan par Claire, 17 ans. Placé en garde à vue, Varin avait plaidé la relation consentie et convaincu les enquêteurs grâce à une vidéo sur laquelle il forçait la jeune femme à simuler le plaisir. « Tu fais ce que je veux parce que tu n’as pas le choix », lançait-il pourtant à sa victime sur cette vidéo. « Voilà pourquoi c’est un viol, parce que je n’ai pas le choix », lui répondait la jeune femme. La plainte avait été classée. Quatre mois plus tard, Varin agressait une nouvelle femme à La Rochelle.

Cet ADN, la justice avait rechigné à l’analyser après le viol de Pauline, 24 ans, le 16 septembre 2012 à la sortie d’une discothèque de Rennes. « Ce raté de la justice est un traumatisme pour ma cliente, souligne son avocat, Me Frank Berton. Elle souffre de devoir raconter encore son histoire, de voir une nouvelle fois que des viols auraient pu être évités. » De fait, les traces génétiques récoltées sur le corps de Pauline au soir de son agression ne seront analysées et reliées à Varin - dont l’ADN était connu depuis l’agression de Claire six mois plus tôt - qu’après le viol de Marie à Toulouse, en novembre 2012.

Ses avocats assurent qu’il a « évolué »
Entre-temps, les 14 et 25 octobre 2012, Varin a violé deux autres femmes, en Charente-Maritime et à Niort (Deux-Sèvres). Des victimes abordées, là aussi, après des soirées en boîte de nuit ou à la sortie de la patinoire… Malgré ce mode opératoire spécifique, jamais ces affaires n’avaient été reliées avant l’arrestation de Varin. Après avoir longtemps évoqué des relations consenties, le jeune homme a reconnu tous les viols lors de ses deux procès. Il devrait faire de même cette semaine.

« Il explique, verbalise désormais les choses, soulignent ses avocats. La question de ce procès concerne surtout la peine. Trente ans de prison, est-ce toujours adapté à cet homme, qui a évolué et a fait un important travail sur lui-même depuis son incarcération ? »

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2022

Tristann a écrit:fait de tirer les cheveux, pression cervicale et strangulation, masturbation, caresses digitales, pratique de la sodomie, fait de demander aux victimes de gémir, enregistrement du rapport sexuel, pleurs après la commission des viols…

cf sévices constatés sur Céline.

Kassandra88 a écrit:[color=#000000]Le violeur en série Florian Varin condamné à 28 ans de réclusion.

Aucune photo du visage de cette raclure après une recherche Google, contrairement à Vergniaud ou Ramault...

Gorloge à écrit :

Aucune photo du visage de cette raclure après une recherche Google, contrairement à Vergniaud ou Ramault...

Bonjour Gorloge,


en voici une :

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Il ne ressemblera plus à ca quand il sortira.



Cordialement,

Bonjour,
Voici une mini vidéo où il y a d'autres photos de lui :
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Avec sa gueule de beau gosse, à la rate, lui il doit faire le café et les pipes.