Cold cases résolus
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Tueur en série : le grêlé. :: AFFAIRES EN COURS :: AFFAIRES RÉSOLUES .... ou presque
affaires TROADEC, DAVAL, Anaïs G, WISSEM, Lucas T., Sophie Narme
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violeur à la mobylette
Violées dans une forêt, 36 femmes voient enfin leur agresseur derrière les barreaux
Anne, Valérie, Chantale... Elles sont trente-six, agressées sexuellement ou violées dans une forêt de la région parisienne, à avoir attendu l'arrestation de leur agresseur pendant plus de vingt ans. Confondu fin décembre par son ADN, celui qui a peut-être été l'un des plus grands prédateurs sexuels de France avait refait sa vie dans le nord et était devenu père de famille...
La vidéo ici:
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Anne, Valérie, Chantale... Elles sont trente-six, agressées sexuellement ou violées dans une forêt de la région parisienne, à avoir attendu l'arrestation de leur agresseur pendant plus de vingt ans. Confondu fin décembre par son ADN, celui qui a peut-être été l'un des plus grands prédateurs sexuels de France avait refait sa vie dans le nord et était devenu père de famille...
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meurtre de Stéphane Dieterich
NE avait parlé de cette affaire
et plus récemment, l'émission "crime en direct" de JM Morandini (plus disponible sur YT). Ces 2 émissions, ainsi que la distribution de flyers par Sylvain, le frère de Stéphane, ont permis d'obtenir les aveux du meurtrier.
Les disparus de l'isère
Dès mercredi, Georges Pouille comparaitra pour les meurtres de Sarah et Saïda:
Confondu par son ADN, un homme jugé vingt ans après pour le meurtre d'une fillette
Une expertise confiée en 2013 à un laboratoire de Bordeaux, a permis d'identifier son ADN sur les manches du sweat ayant servi à étrangler Saïda Berch, 10 ans
Confondu par son ADN 20 ans après les faits, un homme de 40 ans comparaît à partir de mercredi devant les assises de l'Isère pour le meurtre d'une fillette. Le verdict est attendu vendredi.
Le 26 novembre 1996, le corps de Saïda Berch, 10 ans, est retrouvé dans un canal à Voreppe (Isère). Elle a été étranglée avec son pull, mais l'autopsie ne révèle pas de sévices sexuels. Faute de pouvoir identifier le jeune homme en VTT qui l'accompagnait avant sa disparition, l'instruction aboutit à un non-lieu le 28 septembre 1999.
Un autre meurtre d'enfant
En avril 2006, le dossier est rouvert à la faveur d'un rapprochement avec une autre affaire : le meurtre de Sarah Syad, six ans, le 16 avril 1991, dans la même commune. Elle est retrouvée dans un bois, étranglée, avec du sperme sur sa chemise. Plusieurs analyses génétiques se révèlent infructueuses.
Jusqu'à une expertise confiée en 2013 à un laboratoire de Bordeaux, qui permet d'identifier un profil ADN de sexe masculin sur les manches du sweat ayant servi à étrangler Saïda Berch.
Pour les deux fillettes, il s'agit du même homme : Georges P. Vivant en concubinage, père d'un jeune enfant, il habitait toujours dans le même quartier, fréquentant les frères et sœurs des victimes, et confiant même son fils aux soins de la mère de Sarah Syad.
Entendu par les gendarmes en 1996, il n'avait pas été inquiété faute d'éléments à charge.
Atteint de la maladie de Steinert
Placé en garde à vue en juillet 2013, il reconnait en partie les faits, disant que "le diable était entré en lui". Avant de se rétracter. "C'est un garçon qui se recroqueville sur sa maladie, la peur de parler", raconte Me Denis Dreyfus, un de ses avocats.
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Confondu par son ADN, un homme jugé vingt ans après pour le meurtre d'une fillette
Une expertise confiée en 2013 à un laboratoire de Bordeaux, a permis d'identifier son ADN sur les manches du sweat ayant servi à étrangler Saïda Berch, 10 ans
Confondu par son ADN 20 ans après les faits, un homme de 40 ans comparaît à partir de mercredi devant les assises de l'Isère pour le meurtre d'une fillette. Le verdict est attendu vendredi.
Le 26 novembre 1996, le corps de Saïda Berch, 10 ans, est retrouvé dans un canal à Voreppe (Isère). Elle a été étranglée avec son pull, mais l'autopsie ne révèle pas de sévices sexuels. Faute de pouvoir identifier le jeune homme en VTT qui l'accompagnait avant sa disparition, l'instruction aboutit à un non-lieu le 28 septembre 1999.
Un autre meurtre d'enfant
En avril 2006, le dossier est rouvert à la faveur d'un rapprochement avec une autre affaire : le meurtre de Sarah Syad, six ans, le 16 avril 1991, dans la même commune. Elle est retrouvée dans un bois, étranglée, avec du sperme sur sa chemise. Plusieurs analyses génétiques se révèlent infructueuses.
Jusqu'à une expertise confiée en 2013 à un laboratoire de Bordeaux, qui permet d'identifier un profil ADN de sexe masculin sur les manches du sweat ayant servi à étrangler Saïda Berch.
Pour les deux fillettes, il s'agit du même homme : Georges P. Vivant en concubinage, père d'un jeune enfant, il habitait toujours dans le même quartier, fréquentant les frères et sœurs des victimes, et confiant même son fils aux soins de la mère de Sarah Syad.
Entendu par les gendarmes en 1996, il n'avait pas été inquiété faute d'éléments à charge.
Atteint de la maladie de Steinert
Placé en garde à vue en juillet 2013, il reconnait en partie les faits, disant que "le diable était entré en lui". Avant de se rétracter. "C'est un garçon qui se recroqueville sur sa maladie, la peur de parler", raconte Me Denis Dreyfus, un de ses avocats.
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Re: Cold cases résolus
Accusé d'être "l'étrangleur de la Robertsau" qui terrifiait Strasbourg au milieu des années 1980, Nicolas Charbonnier est jugé à partir de ce jeudi devant la cour d'assises du Bas-Rhin. Il doit répondre de deux crimes à caractère sexuel, l'un sur une fillette violée, l'autre sur une étudiante tuée.
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georges Pouille/ Isère
Kassandra88 a écrit:Dès mercredi, Georges Pouille comparaitra pour les meurtres de Sarah et Saïda:
Confondu par son ADN, un homme jugé vingt ans après pour le meurtre d'une fillette
Une expertise confiée en 2013 à un laboratoire de Bordeaux, a permis d'identifier son ADN sur les manches du sweat ayant servi à étrangler Saïda Berch, 10 ans
Confondu par son ADN 20 ans après les faits, un homme de 40 ans comparaît à partir de mercredi devant les assises de l'Isère pour le meurtre d'une fillette. Le verdict est attendu vendredi.
Le 26 novembre 1996, le corps de Saïda Berch, 10 ans, est retrouvé dans un canal à Voreppe (Isère). Elle a été étranglée avec son pull, mais l'autopsie ne révèle pas de sévices sexuels. Faute de pouvoir identifier le jeune homme en VTT qui l'accompagnait avant sa disparition, l'instruction aboutit à un non-lieu le 28 septembre 1999.
Un autre meurtre d'enfant
En avril 2006, le dossier est rouvert à la faveur d'un rapprochement avec une autre affaire : le meurtre de Sarah Syad, six ans, le 16 avril 1991, dans la même commune. Elle est retrouvée dans un bois, étranglée, avec du sperme sur sa chemise. Plusieurs analyses génétiques se révèlent infructueuses.
Jusqu'à une expertise confiée en 2013 à un laboratoire de Bordeaux, qui permet d'identifier un profil ADN de sexe masculin sur les manches du sweat ayant servi à étrangler Saïda Berch.
Pour les deux fillettes, il s'agit du même homme : Georges P. Vivant en concubinage, père d'un jeune enfant, il habitait toujours dans le même quartier, fréquentant les frères et sœurs des victimes, et confiant même son fils aux soins de la mère de Sarah Syad.
Entendu par les gendarmes en 1996, il n'avait pas été inquiété faute d'éléments à charge.
Atteint de la maladie de Steinert
Placé en garde à vue en juillet 2013, il reconnait en partie les faits, disant que "le diable était entré en lui". Avant de se rétracter. "C'est un garçon qui se recroqueville sur sa maladie, la peur de parler", raconte Me Denis Dreyfus, un de ses avocats.
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Il a été condamné à 30 en de réclusion.
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l'étrangleur de la Robertsau
Didier a écrit:Accusé d'être "l'étrangleur de la Robertsau" qui terrifiait Strasbourg au milieu des années 1980, Nicolas Charbonnier est jugé à partir de ce jeudi devant la cour d'assises du Bas-Rhin. Il doit répondre de deux crimes à caractère sexuel, l'un sur une fillette violée, l'autre sur une étudiante tuée.
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Article payant malheureusement :pale:
Re: Cold cases résolus
Kassandra88 a écrit:Didier a écrit:Accusé d'être "l'étrangleur de la Robertsau" qui terrifiait Strasbourg au milieu des années 1980, Nicolas Charbonnier est jugé à partir de ce jeudi devant la cour d'assises du Bas-Rhin. Il doit répondre de deux crimes à caractère sexuel, l'un sur une fillette violée, l'autre sur une étudiante tuée.
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il joue le Caliméro maintenant!
l'étrangleur de la Robertsau
Didier a écrit:Accusé d'être "l'étrangleur de la Robertsau" qui terrifiait Strasbourg au milieu des années 1980, Nicolas Charbonnier est jugé à partir de ce jeudi devant la cour d'assises du Bas-Rhin. Il doit répondre de deux crimes à caractère sexuel, l'un sur une fillette violée, l'autre sur une étudiante tuée.
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Re: Cold cases résolus
Perpétuité avec 15 ans de sureté pour ce monstre.
Combien de victimes entre 1986 et 2016?
Combien de victimes entre 1986 et 2016?
Re: Cold cases résolus
Il a sévi pendant une longue période dans Paris, un peu comme le grêlé, mais son ADN a fini par le rattraper.
Giovanni Costa est accusé d’avoir violé et abusé sexuellement 27 fillettes entre 1990 et 2003 dans les quartiers de l’ouest parisien en se faisant passer pour un faux électricien. Son procès s’ouvre jeudi 31 mars devant la cour d’assises de Paris.
Metronews revient sur cette affaire hors norme, restée mystérieuse pendant plus de vingt ans, avant qu’un ADN, un jour, parle.
Des agressions au mode opératoire sensiblement similaire. A chaque fois, l’homme s’introduisait dans les cours d’immeubles des beaux quartiers déguisé en électricien. Il abordait ses petites victimes et les entraînait dans la cave par les escaliers de service sous prétexte d’obtenir leur aide pour réparer une ampoule ou un compteur électrique situés en hauteur. C’est alors qu’il les soulevait et en profitait pour baisser leurs vêtements. Avant de les pénétrer avec ses doigts et parfois son pénis.
Confondu par son ADN
Pendant de nombreuses années, la brigade de protection des mineurs (BPM) collecte les plaintes de fillettes désignant ce même mode opératoire. Sans jamais retrouver la trace de l’individu décrit comme un petit homme, bedonnant, un peu chauve avec un accent étranger, sans doute latin. En tout, trois informations judiciaires sont successivement ouvertes pour rechercher cet individu. A chaque fois, refermées. Une commandante de police à la retraite, chargée de ré-examiner des dossiers non élucidés, a la bonne idée au milieu des années 2000 de rentrer les traces ADN de cet homme dans le fichier national automatisé des empreintes génétiques (FNAEG).
En avril 2012, l’enquête bascule au gré d’une banale altercation entre voisins, rue Lesueur (16e). L’agresseur, Giovanni Costa, un Italien de 74 ans, est placé en garde à vue. Son ADN est prélevé et envoyé au FNAEG. Bingo, le voisin violent est en fait celui que les enquêteurs de la police judiciaire surnomment "l’électricien".
Un homme "narcissique"
Au total, les enquêteurs ont recensé une soixantaine de plaintes pouvant correspondre à son mode opératoire. Mais devant la cour d’assises de Paris, Giovanni Costa devra répondre de "seulement" 9 viols et tentatives ainsi que 18 agressions sexuelles sur des fillettes âgées à l’époque de 7 à 13 ans. A notre connaissance, moins d’une dizaine de victimes se sont constituées parties civiles. "Ça va être très difficile pour elles de revenir 20 ans après les faits témoigner de cette agression, entourée encore aujourd’hui d’un sentiment de honte", explique à metronews Beryl Brown, l’avocate de deux victimes.
De son côté, Giovanni Costa, qui se présente comme catholique pratiquant, a toujours clamé son innocence. Les expertises psychiatriques n’ont pas conclu à l’altération de son discernement, ce qui explique son renvoi devant une cour d’assises. Pour autant, l’homme présente "des troubles de la personnalité", nous explique une source proche du dossier. Une experte qui l’a examiné en janvier 2013 observe un homme "défensif, méfiant, avec une grande complaisance narcissique" et conclut à une "organisation paranoïaque".
Victime d’un "complot" de "dealers noirs" ?
Giovanni Costa reconnaît s’être déguisé à plusieurs reprises comme électricien. Mais c’était pour cambrioler des appartements, affirme-t-il. Des viols ? Des agressions sexuelles ? "Je n’ai jamais violé", jure-t-il lors de sa garde à vue en octobre 2012, ajoutant : "J’ai de l’éducation et je ne suis pas un fou". Face aux évidences de l’ADN de son sperme retrouvé sur les culottes de certaines fillettes, il s’emporte : "Ce n’est pas le mien, c’est celui du père ou du grand-père [de la victime], c’est statistique !".
Pour sa défense, il assure être victime d’un "complot" de "dealers noirs", expliquant être un homme, un vrai, "baiser les putes françaises" mais n’avoir jamais eu de compagnes car les Françaises seraient, selon lui, trop "paresseuses" et "bonnes à rien". Un discours décousu qui le conduit à tenir des propos racistes, homophobes et à faire l’éloge de Mussolini. "Il n’y a manifestement aucun élément dans le dossier qui accrédite sa thèse du complot, reconnaît auprès de metronews Clémence Cottineau, son avocate. En revanche, on lui reproche près d’une trentaine de faits. La cour va devoir déterminer si pour toutes ces victimes il s’agit bien de M. Costa. Or, dans certains des cas, on n’a pas retrouvé d’ADN."
Aujourd’hui détenu à Fleury-Mérogis (Essonne), Giovanni Costa risque 20 ans de prison. Ses derniers mots au juge d’instruction remontent à fin 2014. Il déclarait alors : "Je ne dirais plus un mot, on verra ça au tribunal." Les parties civiles attendent avec impatience ses explications au cours du procès qui doit durer jusqu’au 11 avril.
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Giovanni Costa est accusé d’avoir violé et abusé sexuellement 27 fillettes entre 1990 et 2003 dans les quartiers de l’ouest parisien en se faisant passer pour un faux électricien. Son procès s’ouvre jeudi 31 mars devant la cour d’assises de Paris.
Metronews revient sur cette affaire hors norme, restée mystérieuse pendant plus de vingt ans, avant qu’un ADN, un jour, parle.
Des agressions au mode opératoire sensiblement similaire. A chaque fois, l’homme s’introduisait dans les cours d’immeubles des beaux quartiers déguisé en électricien. Il abordait ses petites victimes et les entraînait dans la cave par les escaliers de service sous prétexte d’obtenir leur aide pour réparer une ampoule ou un compteur électrique situés en hauteur. C’est alors qu’il les soulevait et en profitait pour baisser leurs vêtements. Avant de les pénétrer avec ses doigts et parfois son pénis.
Confondu par son ADN
Pendant de nombreuses années, la brigade de protection des mineurs (BPM) collecte les plaintes de fillettes désignant ce même mode opératoire. Sans jamais retrouver la trace de l’individu décrit comme un petit homme, bedonnant, un peu chauve avec un accent étranger, sans doute latin. En tout, trois informations judiciaires sont successivement ouvertes pour rechercher cet individu. A chaque fois, refermées. Une commandante de police à la retraite, chargée de ré-examiner des dossiers non élucidés, a la bonne idée au milieu des années 2000 de rentrer les traces ADN de cet homme dans le fichier national automatisé des empreintes génétiques (FNAEG).
En avril 2012, l’enquête bascule au gré d’une banale altercation entre voisins, rue Lesueur (16e). L’agresseur, Giovanni Costa, un Italien de 74 ans, est placé en garde à vue. Son ADN est prélevé et envoyé au FNAEG. Bingo, le voisin violent est en fait celui que les enquêteurs de la police judiciaire surnomment "l’électricien".
Un homme "narcissique"
Au total, les enquêteurs ont recensé une soixantaine de plaintes pouvant correspondre à son mode opératoire. Mais devant la cour d’assises de Paris, Giovanni Costa devra répondre de "seulement" 9 viols et tentatives ainsi que 18 agressions sexuelles sur des fillettes âgées à l’époque de 7 à 13 ans. A notre connaissance, moins d’une dizaine de victimes se sont constituées parties civiles. "Ça va être très difficile pour elles de revenir 20 ans après les faits témoigner de cette agression, entourée encore aujourd’hui d’un sentiment de honte", explique à metronews Beryl Brown, l’avocate de deux victimes.
De son côté, Giovanni Costa, qui se présente comme catholique pratiquant, a toujours clamé son innocence. Les expertises psychiatriques n’ont pas conclu à l’altération de son discernement, ce qui explique son renvoi devant une cour d’assises. Pour autant, l’homme présente "des troubles de la personnalité", nous explique une source proche du dossier. Une experte qui l’a examiné en janvier 2013 observe un homme "défensif, méfiant, avec une grande complaisance narcissique" et conclut à une "organisation paranoïaque".
Victime d’un "complot" de "dealers noirs" ?
Giovanni Costa reconnaît s’être déguisé à plusieurs reprises comme électricien. Mais c’était pour cambrioler des appartements, affirme-t-il. Des viols ? Des agressions sexuelles ? "Je n’ai jamais violé", jure-t-il lors de sa garde à vue en octobre 2012, ajoutant : "J’ai de l’éducation et je ne suis pas un fou". Face aux évidences de l’ADN de son sperme retrouvé sur les culottes de certaines fillettes, il s’emporte : "Ce n’est pas le mien, c’est celui du père ou du grand-père [de la victime], c’est statistique !".
Pour sa défense, il assure être victime d’un "complot" de "dealers noirs", expliquant être un homme, un vrai, "baiser les putes françaises" mais n’avoir jamais eu de compagnes car les Françaises seraient, selon lui, trop "paresseuses" et "bonnes à rien". Un discours décousu qui le conduit à tenir des propos racistes, homophobes et à faire l’éloge de Mussolini. "Il n’y a manifestement aucun élément dans le dossier qui accrédite sa thèse du complot, reconnaît auprès de metronews Clémence Cottineau, son avocate. En revanche, on lui reproche près d’une trentaine de faits. La cour va devoir déterminer si pour toutes ces victimes il s’agit bien de M. Costa. Or, dans certains des cas, on n’a pas retrouvé d’ADN."
Aujourd’hui détenu à Fleury-Mérogis (Essonne), Giovanni Costa risque 20 ans de prison. Ses derniers mots au juge d’instruction remontent à fin 2014. Il déclarait alors : "Je ne dirais plus un mot, on verra ça au tribunal." Les parties civiles attendent avec impatience ses explications au cours du procès qui doit durer jusqu’au 11 avril.
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Alexandre Junca
Je ne savais où mettre le lien, vu que l'affaire n'a pas fait l'objet d'une enquête extrêmement longue:
Alexandre Junca, le supplicié de Pau
Le meurtrier de ce garçon de 13 ans, tué à coups de marteau puis dépecé en 2011, sera jugé en juin aux assises avec ses complices. Une affaire à retrouver sur RTL dans « l’Heure du crime ».
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L'heure du crime: ici
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Alexandre Junca, le supplicié de Pau
Le meurtrier de ce garçon de 13 ans, tué à coups de marteau puis dépecé en 2011, sera jugé en juin aux assises avec ses complices. Une affaire à retrouver sur RTL dans « l’Heure du crime ».
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L'heure du crime: ici
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Re: Cold cases résolus
En ce moment à Paris, procès de "l'électricien", Giovanni Costa ... un "petit bonhomme bedonnant". Ses secteurs de "prédilection" : les 7e, 16e, et 17e arrondissements de Paris. Il a agit entre entre 1990 et 2003 !
"Une commandante de police à la retraite, chargée de ré-examiner des dossiers non élucidés, a la bonne idée au milieu des années 2000 de rentrer les traces ADN de cet homme dans le fichier national automatisé des empreintes génétiques (FNAEG)." Dès que les décrets d'application sont sortis.
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verdict le 11 avril
"Une commandante de police à la retraite, chargée de ré-examiner des dossiers non élucidés, a la bonne idée au milieu des années 2000 de rentrer les traces ADN de cet homme dans le fichier national automatisé des empreintes génétiques (FNAEG)." Dès que les décrets d'application sont sortis.
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verdict le 11 avril
george-white
Re: Cold cases résolus
Visiblement, rien n'a été fait pour l'empêcher de recommencer. cf "kit anti suicide" .... à priori inefficace. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
"C’est à l’occasion de la dernière ronde de nuit, très tôt ce matin à la prison de Corbas, que le suicide de Romain Farina a été constaté. La macabre découverte date très précisément de 5h40.
L’ex directeur d’école de Villefontaine s’est pendu avec ses draps à la fenêtre de sa cellule. Une autopsie a été ordonnée par le parquet de Lyon, afin de déterminer très précisément l’heure du décès. Une précision qui pourrait s’avérer capitale car, selon nos informations, la ronde de 1 heure du matin aurait été supprimée dans cet établissement pour une question de moyens.
« Ne pouvait-on pas empêcher ce suicide en sachant que M. Farina a déjà tenté de mettre fin à ses jours en août 2015 ? », s’interrogent aujourd’hui les parents des victimes. « Malgré tous les moyens, les formations du personnel, on ne peut empêcher un détenu déterminé à se suicider » , estime une source pénitentiaire."
La famille de l'instituteur et les parents des victimes vont ils porter plainte contre la direction de la prison, comme ce fût le cas ici ?
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"Moustapha B., condamné à quatre ans d’emprisonnement par le tribunal de grande instance d’Arras en décembre 2009, pour trafic de cannabis, devait comparaître devant la cour d’appel de Douai le 1er avril 2010. Il se pend quelques jours avant, et meurt à au CHR de Lille, des suites de son geste. Pour sa famille, défendue par Me Giuseppina Marras, la mort de Moustapha était évitable, et surtout, plaide l’avocate, elle résulte d’une « série de fautes » de l’administration pénitentiaire.
D’abord, s’énerve Me Marras, Moustapha, depuis douze jours à la maison d’arrêt de Douai, « n’avait pas de kit anti-suicide », c’est-à-dire que ses draps étaient déchirables : il s’est pendu avec. Par ailleurs, il était seul en cellule, suite à un conflit avec son codétenu. Ce qui est normalement contraire au comportement prescrit en cas de tendance au suicide signalée chez un prisonnier."
L'Etat avait été reconnu responsable.
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'le tribunal administratif de Lille a condamné l’État, à payer 6 000 € à la mère de la victime, au titre du préjudice moral, et 3 000 € à chacun des membres du reste de la famille proche, ainsi que la somme globale de 1 200 €, à répartir entre tous. Soit une somme totale de 28 200 €. « Ces défauts de suivi et de surveillance constituent des fautes »".
Le point positif, c'est qu'il ne risque plus de récidiver.
george-white
Elodie Kulik
Le parquet d’Amiens demande le renvoi de Willy Bardon devant les assises
Mais....l’un des avocats de Willy Bardon, Me Stéphane Daquo, a jusqu’au 3 mai pour formuler des observations sur ces réquisitions. Ensuite, les juges décideront soit le renvoi aux assises, soit un non-lieu. « La partie adverse fera sans doute appel en cas de renvoi aux assises », avance Me Didier Robiquet, avocat de Jacky Kulik. Qui ajoute : « La qualification (séquestration suivie de la mort) est la plus adaptée, car la moins contestable ».
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Mais....l’un des avocats de Willy Bardon, Me Stéphane Daquo, a jusqu’au 3 mai pour formuler des observations sur ces réquisitions. Ensuite, les juges décideront soit le renvoi aux assises, soit un non-lieu. « La partie adverse fera sans doute appel en cas de renvoi aux assises », avance Me Didier Robiquet, avocat de Jacky Kulik. Qui ajoute : « La qualification (séquestration suivie de la mort) est la plus adaptée, car la moins contestable ».
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