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disparition de deux Françaises sur l'île de Sikinos en Grèce
par Kassandra88 Ven 19 Juil - 16:41
« Personne ne nous tient au courant » : un mois après la disparition des deux Françaises en Grèce, leurs familles déposent plainte
Les familles de Marie-Pierre Arfel et de Françoise Boutteaux, disparues depuis le 12 juin sur l’île de Sikinos en Grèce, ont déposé plainte pour « enlèvement et séquestration ».
« On a le sentiment d’être abandonné, personne ne nous tient au courant, c’est à nous d’aller chercher les infos. » Cinq semaines après la disparition de sa tante, Marie-Pierre Arfel, en Grèce, Justine Michaux déplore le manque d’informations sur l’avancée des investigations. Cette Française de 63 ans et une autre touriste française rencontrée sur place, Françoise Boutteaux, âgée de 73 ans, n’ont plus donné signe de vie depuis le 12 juin dernier, lors d’une randonnée sur l’île de Sikinos.
Depuis, les familles des deux Françaises sont plongées dans l’angoisse. Mais pire encore, elles doivent faire face au silence des autorités grecques. « Le commissaire grec, responsable de l’enquête sur place, ne me répondait plus depuis le 1er juillet », raconte Justine Michaux au Parisien, ce jeudi 18 juillet. « On a aucune information sur l’avancée des recherches, sur ce qui a été fait sur place », explique-t-elle. « Les seules informations qu’on a, c’est ce qu’on lit dans les médias grecs », déplore la jeune femme.
Silence radio des autorités
Après plusieurs relances, la nièce de Marie-Pierre Arfel a finalement reçu une réponse en début de semaine : « Le commissaire m’a simplement répondu que les recherches étaient toujours en cours, que le bornage des téléphones allait être étudié, sans plus de précisions », relate-t-elle.
Du côté du quai d’Orsay, les retours sont « vagues et minimes, on n’a pas vraiment d’informations. Quand je pose des questions précises, je n’ai pas de réponses précises », ajoute la jeune femme.
Ce 12 juin, les deux Françaises, qui s’étaient rencontrées sur l’île de Sikinos, ont quitté leur hôtel à l’aube pour aller se promener ensemble. Mais peu de temps après, Françoise Boutteaux a tenté de contacter à plusieurs reprises son hôtelier avant qu’il ne lise son message un peu avant 8h30 locales (5h30 GMT).
Ce dernier a raconté ne pas avoir pu comprendre les propos de Françoise. « Puis, elle m’a envoyé une photo d’elle allongée et j’ai compris qu’elle était tombée », a-t-il raconté à la chaîne de télévision grecque Mega. « Je lui ai demandé de m’envoyer sa position GPS mais je n’ai plus eu de réponse ensuite », a ajouté l’hôtelier.
La thèse de la chaleur ou de la chute
Qu’est-il arrivé aux deux femmes ? Ont-elles fait une mauvaise chute sur le parcours ? « Ma tante avait l’habitude de voyager, c’est une grande randonneuse », raconte Justine Michaux, ajoutant que les proches de Françoise Boutteaux lui avaient confié qu’elle aussi partait régulièrement à l’étranger.
Selon les autorités locales, les deux femmes auraient pu s’être fait surprendre par la chaleur étouffante. Cette semaine-là, le mercure a atteint 44 °C par endroits en Grèce. Une hypothèse peu probable pour Justine Michaux : « Elle nous a envoyé un message quelques jours avant en disant qu’elle allait profiter de la plage la journée et grimper à la fraîche. Elle savait très bien qu’elle n’allait pas marcher sous la chaleur », explique-t-elle.
« On en avait discuté avant son départ, elle disait elle-même qu’à 63 ans, elle devait faire plus attention », poursuit la jeune femme. La famille a d’ailleurs retrouvé dans le cloud (un compte Apple qui permet de télécharger et sauvegarder des documents à distance) de Marie-Pierre Arfel une capture d’un message alertant sur la vague de chaleur en Grèce. « Donc, elle le savait », assure sa nièce.
Des fichiers ouverts sur le cloud de Marie-Pierre Arfel
C’est d’ailleurs ce compte Cloud qui est au cœur des préoccupations de Justine Michaux. Selon elle, sa tante a l’habitude de voyager avec deux téléphones. Ce 12 juin, Marie-Pierre Arfel a visiblement laissé un téléphone à l’hôtel, selon la géolocalisation de ce dernier. Son second téléphone, lui, a arrêté d’émettre le 12 juin et « ne borne pas », explique Justine Michaux. « Elle l’a probablement pris avec elle pour la randonnée », ajoute-t-elle.
Sur place, les enquêteurs ont récupéré le premier téléphone de Marie-Pierre Arfel et ses identifiants Apple. Mais ils n’ont pas réussi à se connecter au cloud. « Le commissaire n’arrivait pas à y accéder, je ne comprends pas pourquoi, mais il m’a envoyé les codes », raconte Justine Michaux. La jeune femme se connecte le 19 juin et remarque que « deux documents ont été consultés et un document a été téléchargé le 14 juin », soit deux jours après la disparition des deux touristes françaises.
Le premier document consulté est un fichier « qui s’ouvre mais qui ne s’affiche pas » et le second est une « facture qui date de 2020 ». Le document téléchargé, quant à lui, est un « mandat de prélèvement d’une amie de ma tante qui lui avait demandé de l’imprimer pour elle », explique Justine Michaux.
Une cagnotte pour financer un détective privé
Face à la lenteur des investigations et au manque de réponses, Justine Michaux a décidé de déposer deux plaintes pour « enlèvement et séquestration », l’une auprès du parquet de Draguignan, où vit la sexagénaire, et l’autre auprès de celui de Bordeaux où réside sa famille. Une démarche imitée par la famille de Françoise Boutteaux, qui a déposé plainte pour le même chef auprès du parquet de Reims. Contactés par Le Parisien, les trois parquets n’ont pas répondu à nos sollicitations.
Pour Justine Michaux, « toutes les pistes doivent être étudiées », pas seulement celle de l’accident. « On a déposé une plainte pour enlèvement et séquestration, car c’est une hypothèse probable. C’est une île où il y a de l’immigration et du proxénétisme. Est-ce qu’elles ont fait une mauvaise rencontre ? Est-ce qu’elles ont été enlevées ? Est-ce qu’elles sont tombées sur quelqu’un qui leur a fait du mal ? Est-ce qu’elles ont vu quelque chose qu’elles n’auraient pas dû voir ? » s’interroge la jeune femme.
Parallèlement aux actions judiciaires, la famille de Marie-Pierre Arfel a également lancé une cagnotte en ligne pour financer l’emploi d’un détective privé et de deux avocats, un en France et un en Grèce. Ce vendredi 19 juillet, la cagnotte a récolté plus de 7600 euros.
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Les familles de Marie-Pierre Arfel et de Françoise Boutteaux, disparues depuis le 12 juin sur l’île de Sikinos en Grèce, ont déposé plainte pour « enlèvement et séquestration ».
« On a le sentiment d’être abandonné, personne ne nous tient au courant, c’est à nous d’aller chercher les infos. » Cinq semaines après la disparition de sa tante, Marie-Pierre Arfel, en Grèce, Justine Michaux déplore le manque d’informations sur l’avancée des investigations. Cette Française de 63 ans et une autre touriste française rencontrée sur place, Françoise Boutteaux, âgée de 73 ans, n’ont plus donné signe de vie depuis le 12 juin dernier, lors d’une randonnée sur l’île de Sikinos.
Depuis, les familles des deux Françaises sont plongées dans l’angoisse. Mais pire encore, elles doivent faire face au silence des autorités grecques. « Le commissaire grec, responsable de l’enquête sur place, ne me répondait plus depuis le 1er juillet », raconte Justine Michaux au Parisien, ce jeudi 18 juillet. « On a aucune information sur l’avancée des recherches, sur ce qui a été fait sur place », explique-t-elle. « Les seules informations qu’on a, c’est ce qu’on lit dans les médias grecs », déplore la jeune femme.
Silence radio des autorités
Après plusieurs relances, la nièce de Marie-Pierre Arfel a finalement reçu une réponse en début de semaine : « Le commissaire m’a simplement répondu que les recherches étaient toujours en cours, que le bornage des téléphones allait être étudié, sans plus de précisions », relate-t-elle.
Du côté du quai d’Orsay, les retours sont « vagues et minimes, on n’a pas vraiment d’informations. Quand je pose des questions précises, je n’ai pas de réponses précises », ajoute la jeune femme.
Ce 12 juin, les deux Françaises, qui s’étaient rencontrées sur l’île de Sikinos, ont quitté leur hôtel à l’aube pour aller se promener ensemble. Mais peu de temps après, Françoise Boutteaux a tenté de contacter à plusieurs reprises son hôtelier avant qu’il ne lise son message un peu avant 8h30 locales (5h30 GMT).
Ce dernier a raconté ne pas avoir pu comprendre les propos de Françoise. « Puis, elle m’a envoyé une photo d’elle allongée et j’ai compris qu’elle était tombée », a-t-il raconté à la chaîne de télévision grecque Mega. « Je lui ai demandé de m’envoyer sa position GPS mais je n’ai plus eu de réponse ensuite », a ajouté l’hôtelier.
La thèse de la chaleur ou de la chute
Qu’est-il arrivé aux deux femmes ? Ont-elles fait une mauvaise chute sur le parcours ? « Ma tante avait l’habitude de voyager, c’est une grande randonneuse », raconte Justine Michaux, ajoutant que les proches de Françoise Boutteaux lui avaient confié qu’elle aussi partait régulièrement à l’étranger.
Selon les autorités locales, les deux femmes auraient pu s’être fait surprendre par la chaleur étouffante. Cette semaine-là, le mercure a atteint 44 °C par endroits en Grèce. Une hypothèse peu probable pour Justine Michaux : « Elle nous a envoyé un message quelques jours avant en disant qu’elle allait profiter de la plage la journée et grimper à la fraîche. Elle savait très bien qu’elle n’allait pas marcher sous la chaleur », explique-t-elle.
« On en avait discuté avant son départ, elle disait elle-même qu’à 63 ans, elle devait faire plus attention », poursuit la jeune femme. La famille a d’ailleurs retrouvé dans le cloud (un compte Apple qui permet de télécharger et sauvegarder des documents à distance) de Marie-Pierre Arfel une capture d’un message alertant sur la vague de chaleur en Grèce. « Donc, elle le savait », assure sa nièce.
Des fichiers ouverts sur le cloud de Marie-Pierre Arfel
C’est d’ailleurs ce compte Cloud qui est au cœur des préoccupations de Justine Michaux. Selon elle, sa tante a l’habitude de voyager avec deux téléphones. Ce 12 juin, Marie-Pierre Arfel a visiblement laissé un téléphone à l’hôtel, selon la géolocalisation de ce dernier. Son second téléphone, lui, a arrêté d’émettre le 12 juin et « ne borne pas », explique Justine Michaux. « Elle l’a probablement pris avec elle pour la randonnée », ajoute-t-elle.
Sur place, les enquêteurs ont récupéré le premier téléphone de Marie-Pierre Arfel et ses identifiants Apple. Mais ils n’ont pas réussi à se connecter au cloud. « Le commissaire n’arrivait pas à y accéder, je ne comprends pas pourquoi, mais il m’a envoyé les codes », raconte Justine Michaux. La jeune femme se connecte le 19 juin et remarque que « deux documents ont été consultés et un document a été téléchargé le 14 juin », soit deux jours après la disparition des deux touristes françaises.
Le premier document consulté est un fichier « qui s’ouvre mais qui ne s’affiche pas » et le second est une « facture qui date de 2020 ». Le document téléchargé, quant à lui, est un « mandat de prélèvement d’une amie de ma tante qui lui avait demandé de l’imprimer pour elle », explique Justine Michaux.
Une cagnotte pour financer un détective privé
Face à la lenteur des investigations et au manque de réponses, Justine Michaux a décidé de déposer deux plaintes pour « enlèvement et séquestration », l’une auprès du parquet de Draguignan, où vit la sexagénaire, et l’autre auprès de celui de Bordeaux où réside sa famille. Une démarche imitée par la famille de Françoise Boutteaux, qui a déposé plainte pour le même chef auprès du parquet de Reims. Contactés par Le Parisien, les trois parquets n’ont pas répondu à nos sollicitations.
Pour Justine Michaux, « toutes les pistes doivent être étudiées », pas seulement celle de l’accident. « On a déposé une plainte pour enlèvement et séquestration, car c’est une hypothèse probable. C’est une île où il y a de l’immigration et du proxénétisme. Est-ce qu’elles ont fait une mauvaise rencontre ? Est-ce qu’elles ont été enlevées ? Est-ce qu’elles sont tombées sur quelqu’un qui leur a fait du mal ? Est-ce qu’elles ont vu quelque chose qu’elles n’auraient pas dû voir ? » s’interroge la jeune femme.
Parallèlement aux actions judiciaires, la famille de Marie-Pierre Arfel a également lancé une cagnotte en ligne pour financer l’emploi d’un détective privé et de deux avocats, un en France et un en Grèce. Ce vendredi 19 juillet, la cagnotte a récolté plus de 7600 euros.
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Kassandra88- Administrateur du forum
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Laure Zacchello
par Kassandra88 Jeu 25 Juil - 9:30
Disparition de Laure Zacchello : dans le Pays basque, la vie infernale d'une mère de famille sous l'emprise de son ex-mari survivaliste
RÉCIT - Un mois après la disparition de Laure Zacchello, 43 ans, à Urrugne, ses proches retiennent leur souffle, persuadés qu’elle a été tuée par Alexis J.. Mis en examen pour «meurtre par conjoint», cet adepte du survivalisme sur lequel pèsent des éléments graves ne parvenait pas à se résoudre à leur divorce.
Les enquêteurs du SIPJ de Bayonne suspectent toujours que le corps de la mère de famille se trouve quelque part, enterré par Alexis J.. Lui, le professeur de physique chimie, basque d'origine, a été mis en examen pour «meurtre par conjoint» et placé en détention provisoire à Mont-de-Marsan. «Des éléments graves et concordants» pèsent sur lui, a précisé Jérôme Bourrier, le procureur de Bayonne. Mais celui qui reste présumé innocent se tait.
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Kassandra88- Administrateur du forum
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Re: Appel à témoins 2
par Sortcière Jeu 25 Juil - 14:10
Bonjour Kass,
Bonjour à tous,
C'est aujourd'hui qu'il va être statué sur la garde des enfants dans l'affaire Zacchello.
"Juge aux affaires familiales
Le 25 juillet, une audience aura lieu devant un juge aux affaires familiales de Bayonne pour décider du lieu de résidence des enfants, selon BFMTV. Ils alternent actuellement entre leurs grands-parents maternels et leur grand-mère paternelle. Quant à Alexis Juret, qui présente un profil de survivaliste, il s’est muré dans le silence. Laure Zachello avait déjà signalé une situation de harcèlement aux gendarmes avant sa disparition."
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Cette affaire risque de durer vu que le mari a finalement fait le choix de rester totalement mutique. Encore un meurtre de "propriétaire" qui ne lui épargnera pas les Assises, avec ou sans le corps de sa femme.
Pour le moment il reste déjà à retrouver les caches que l'individu s'est aménagé, ce qui ne va pas être simple ...
Bonjour à tous,
C'est aujourd'hui qu'il va être statué sur la garde des enfants dans l'affaire Zacchello.
"Juge aux affaires familiales
Le 25 juillet, une audience aura lieu devant un juge aux affaires familiales de Bayonne pour décider du lieu de résidence des enfants, selon BFMTV. Ils alternent actuellement entre leurs grands-parents maternels et leur grand-mère paternelle. Quant à Alexis Juret, qui présente un profil de survivaliste, il s’est muré dans le silence. Laure Zachello avait déjà signalé une situation de harcèlement aux gendarmes avant sa disparition."
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Cette affaire risque de durer vu que le mari a finalement fait le choix de rester totalement mutique. Encore un meurtre de "propriétaire" qui ne lui épargnera pas les Assises, avec ou sans le corps de sa femme.
Pour le moment il reste déjà à retrouver les caches que l'individu s'est aménagé, ce qui ne va pas être simple ...
Sortcière
Re: Appel à témoins 2
par Raph_ Jeu 1 Aoû - 0:21
Raph_
Re: Appel à témoins 2
par Sourisverte Lun 5 Aoû - 14:56
Appel à témoins lancé pour tenter d'identifier un homme retrouvé pieds et poings liés dans le canal de Bruxelles
La police fédérale a lancé lundi un appel à témoins pour tenter d'identifier un homme qui avait été repêché dans le canal à Bruxelles le 9 avril dernier. La victime était pieds et poings liés lorsqu'elle a été découverte. Elle est décédée peu après à l'hôpital.
"Un homme a été repêché vivant dans le canal à hauteur du square Jules de Trooz à Bruxelles le 9 avril 2024 vers 09h00. La victime avait les mains et les jambes attachées par des cordes jaunes et un cadenas. Elle est décédée après son transfert à l'hôpital", mentionne l'avis de la police fédérale, diffusé à la demande du parquet de Bruxelles.
"Cette personne mesure 1m83, est de corpulence normale et a des longs cheveux bruns. Au moment de sa découverte, elle portait un pantalon en jean bleu clair de marque F&F, une veste bleue et blanche de marque Sheltersuit et des baskets tricolores (bleu, orange et blanc) de marque Asics. Il pourrait s'agir de Razvan Sebastian Marinica, un homme de nationalité roumaine", détaille la police.
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La police fédérale a lancé lundi un appel à témoins pour tenter d'identifier un homme qui avait été repêché dans le canal à Bruxelles le 9 avril dernier. La victime était pieds et poings liés lorsqu'elle a été découverte. Elle est décédée peu après à l'hôpital.
"Un homme a été repêché vivant dans le canal à hauteur du square Jules de Trooz à Bruxelles le 9 avril 2024 vers 09h00. La victime avait les mains et les jambes attachées par des cordes jaunes et un cadenas. Elle est décédée après son transfert à l'hôpital", mentionne l'avis de la police fédérale, diffusé à la demande du parquet de Bruxelles.
"Cette personne mesure 1m83, est de corpulence normale et a des longs cheveux bruns. Au moment de sa découverte, elle portait un pantalon en jean bleu clair de marque F&F, une veste bleue et blanche de marque Sheltersuit et des baskets tricolores (bleu, orange et blanc) de marque Asics. Il pourrait s'agir de Razvan Sebastian Marinica, un homme de nationalité roumaine", détaille la police.
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Comme ce serait beau un forum où personne n’est dénigré…
Sourisverte
Re: Appel à témoins 2
par Kassandra88 Mar 6 Aoû - 17:00
Un appel à témoins lancé après une « possible tentative d’enlèvement » sur une fillette en Loire-Atlantique
La gendarmerie a diffusé mardi un portrait-robot d’un homme soupçonné d’avoir voulu enlever une fillette de 10 ans, dans un petit village de Loire-Atlantique.
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La gendarmerie a diffusé mardi un portrait-robot d’un homme soupçonné d’avoir voulu enlever une fillette de 10 ans, dans un petit village de Loire-Atlantique.
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Kassandra88- Administrateur du forum
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Re: Appel à témoins 2
par Kassandra88 Dim 11 Aoû - 9:15
Trois attaques en quelques semaines : l’ombre d’un prédateur sexuel plane sur le bois de Vincennes
INFO LE PARISIEN. C’est la psychose autour de la Cartoucherie, dans le bois de Vincennes (Paris XIIe), un site qui héberge une école, des théâtres et un centre équestre. Deux agressions sexuelles et un viol y ont eu lieu en quelques semaines. Le suspect semble être le même à chaque fois.
« Alerte ! Le bois de Vincennes n’est pas sûr. Ne partez jamais seule ! Prenez notre navette, le bus ou demandez un covoiturage. » Ces panneaux jaunes, anxiogènes, ont été installés à la hâte, mi-juin. « À nos frais », indique les responsables des théâtres installés à la Cartoucherie (Paris XIIe).
Et désormais, un gardien surveille également ce site installé au milieu du bois de Vincennes qui accueille cinq théâtres, une école et un centre équestre ...
C’est d’ailleurs en se réfugiant dans la guérite de l’agent de sécurité qu’une femme extérieure au site a sans doute échappé au pire le 17 juillet. Elle aurait pu être la troisième victime d’une agression sexuelle ou d’un viol en quelques semaines.
Deux autres victimes ont été recensées dans ce périmètre restreint. Une éducatrice de l’école d’abord, victime d’exhibition sexuelle. Et une personne qui sortait d’une représentation ensuite. Ce viol, survenu le 28 mai, a été vécu comme un électrochoc. « Depuis, le comportement de chacun a changé ici », reconnaissent la plupart des employés du site. Et c’est là que les panneaux et un service de sécurité ont été mis en place.
« On a dû s’organiser, personne ne sort seul du travail »
« Cela a créé une psychose, car il y a de fortes chances qu’il s’agisse d’une même personne », reprend une employée du Théâtre du Soleil. En effet, à chaque fois le portrait de l’agresseur comporte des similitudes : un masque chirurgical et un sweat-shirt particulièrement reconnaissable. « Certains pensent du coup qu’il s’agit d’un squatteur du bois de Vincennes », indique une source proche de l’enquête.
....
Les deux premiers faits ont eu lieu en début de soirée. Mais la dernière agression du prédateur de la Cartoucherie s’est même déroulée en plein jour. Le 17 juillet, il est 17h30 lorsqu’une femme marchant dans le bois à proximité de la route de la Cartoucherie est abordée et touchée par un homme qui tente de la violer. Elle parvient à s’enfuir et se réfugier auprès de l’agent en faction. Celui-ci prévient la troupe du Théâtre du Soleil. Et les artistes décident de ratisser le bois. Une battue de près d’une heure qui n’a pas permis de retrouver l’agresseur. « On a voulu agir vite, pour le retrouver et mettre fin à ce cauchemar, on est tous tellement choqués », confie une artiste.
Des caméras de vidéoprotection installées à la Cartoucherie
« Depuis fin mai, on demande aux parents de venir chercher leurs enfants à l’intérieur du centre, reprend une cavalière, en charge de stages au centre équestre. Jusque-là, parfois certains prenaient le bus ou attendaient leurs parents au bord de la route. C’est fini tout ça. Franchement ça fait un peu peur. »
De leur côté, dans les théâtres, les responsables espèrent que les pouvoirs publics vont « prendre leurs responsabilités. » « Parce qu’on ne pourra pas renforcer encore davantage la sécurité, financièrement c’est trop compliqué », soupire le responsable d’une de ces compagnies qui viennent d’ajouter ces derniers jours des caméras de vidéoprotection à la Cartoucherie.
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INFO LE PARISIEN. C’est la psychose autour de la Cartoucherie, dans le bois de Vincennes (Paris XIIe), un site qui héberge une école, des théâtres et un centre équestre. Deux agressions sexuelles et un viol y ont eu lieu en quelques semaines. Le suspect semble être le même à chaque fois.
« Alerte ! Le bois de Vincennes n’est pas sûr. Ne partez jamais seule ! Prenez notre navette, le bus ou demandez un covoiturage. » Ces panneaux jaunes, anxiogènes, ont été installés à la hâte, mi-juin. « À nos frais », indique les responsables des théâtres installés à la Cartoucherie (Paris XIIe).
Et désormais, un gardien surveille également ce site installé au milieu du bois de Vincennes qui accueille cinq théâtres, une école et un centre équestre ...
C’est d’ailleurs en se réfugiant dans la guérite de l’agent de sécurité qu’une femme extérieure au site a sans doute échappé au pire le 17 juillet. Elle aurait pu être la troisième victime d’une agression sexuelle ou d’un viol en quelques semaines.
Deux autres victimes ont été recensées dans ce périmètre restreint. Une éducatrice de l’école d’abord, victime d’exhibition sexuelle. Et une personne qui sortait d’une représentation ensuite. Ce viol, survenu le 28 mai, a été vécu comme un électrochoc. « Depuis, le comportement de chacun a changé ici », reconnaissent la plupart des employés du site. Et c’est là que les panneaux et un service de sécurité ont été mis en place.
« On a dû s’organiser, personne ne sort seul du travail »
« Cela a créé une psychose, car il y a de fortes chances qu’il s’agisse d’une même personne », reprend une employée du Théâtre du Soleil. En effet, à chaque fois le portrait de l’agresseur comporte des similitudes : un masque chirurgical et un sweat-shirt particulièrement reconnaissable. « Certains pensent du coup qu’il s’agit d’un squatteur du bois de Vincennes », indique une source proche de l’enquête.
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Les deux premiers faits ont eu lieu en début de soirée. Mais la dernière agression du prédateur de la Cartoucherie s’est même déroulée en plein jour. Le 17 juillet, il est 17h30 lorsqu’une femme marchant dans le bois à proximité de la route de la Cartoucherie est abordée et touchée par un homme qui tente de la violer. Elle parvient à s’enfuir et se réfugier auprès de l’agent en faction. Celui-ci prévient la troupe du Théâtre du Soleil. Et les artistes décident de ratisser le bois. Une battue de près d’une heure qui n’a pas permis de retrouver l’agresseur. « On a voulu agir vite, pour le retrouver et mettre fin à ce cauchemar, on est tous tellement choqués », confie une artiste.
Des caméras de vidéoprotection installées à la Cartoucherie
« Depuis fin mai, on demande aux parents de venir chercher leurs enfants à l’intérieur du centre, reprend une cavalière, en charge de stages au centre équestre. Jusque-là, parfois certains prenaient le bus ou attendaient leurs parents au bord de la route. C’est fini tout ça. Franchement ça fait un peu peur. »
De leur côté, dans les théâtres, les responsables espèrent que les pouvoirs publics vont « prendre leurs responsabilités. » « Parce qu’on ne pourra pas renforcer encore davantage la sécurité, financièrement c’est trop compliqué », soupire le responsable d’une de ces compagnies qui viennent d’ajouter ces derniers jours des caméras de vidéoprotection à la Cartoucherie.
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Kassandra88- Administrateur du forum
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Re: Appel à témoins 2
par Kassandra88 Dim 11 Aoû - 9:55
Finistère : des ossements retrouvés dans le jardin d’une résidence secondaire près de Fouesnant
Ce samedi 10 août matin, à Beg-Meil (Finistère), les gendarmes sont intervenus suite à la découverte d’ossements humains dans le jardin d’une maison, partiellement recouverts de bûches. Les investigations sont en cours pour déterminer l’identité de la victime et les causes du décès.
Des ossements humains ont été découvert dans le jardin d’une résidence secondaire, peu habitée durant l’année. Selon les informations du « Télégramme », c’est le chien de la famille qui a donné l’alerte. Les propriétaires ont alors aperçu des ossements, à proximité d’un cabanon, jouxtant la maison voisine.Ils ont alors de suite alerté les gendarmes de Fouesnant.
...
Déjà, des ossements avaient été retrouvés il y a quelques mois sur l’une des îles de l’archipel des Glénan, rattaché également à la commune de Fouesnant.
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Ce samedi 10 août matin, à Beg-Meil (Finistère), les gendarmes sont intervenus suite à la découverte d’ossements humains dans le jardin d’une maison, partiellement recouverts de bûches. Les investigations sont en cours pour déterminer l’identité de la victime et les causes du décès.
Des ossements humains ont été découvert dans le jardin d’une résidence secondaire, peu habitée durant l’année. Selon les informations du « Télégramme », c’est le chien de la famille qui a donné l’alerte. Les propriétaires ont alors aperçu des ossements, à proximité d’un cabanon, jouxtant la maison voisine.Ils ont alors de suite alerté les gendarmes de Fouesnant.
...
Déjà, des ossements avaient été retrouvés il y a quelques mois sur l’une des îles de l’archipel des Glénan, rattaché également à la commune de Fouesnant.
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Kassandra88- Administrateur du forum
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Re: Appel à témoins 2
par Kassandra88 Lun 12 Aoû - 11:09
Kassandra88- Administrateur du forum
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Re: Appel à témoins 2
par Hercule-Poirot Lun 12 Aoû - 11:28
Il fallait envoyer sa position actuelle.
Activer google maps, afficher sa position actuelle, faire une capture d'écran et envoyer l'image avec le texte 'SOS' à ceux qui peuvent aider.
Activer google maps, afficher sa position actuelle, faire une capture d'écran et envoyer l'image avec le texte 'SOS' à ceux qui peuvent aider.
Hercule-Poirot
Re: Appel à témoins 2
par Pondyness Lun 12 Aoû - 14:23
Visiblement il n'était pas assez bien préparé et il n'était pas un habitué des randonnées dans pareil lieu... Espérons qu'il soit retrouvé malgré tout.
" Un meurtre sans des ciseaux qui brillent est comme des asperges sans sauce hollandaise. Sans goût. "
Alfred Hitchcock
Alfred Hitchcock
Pondyness
Re: Appel à témoins 2
par Casta Lun 12 Aoû - 14:42
238775ŦHercule-Poirot a écrit:Il fallait envoyer sa position actuelle.
Activer google maps, afficher sa position actuelle, faire une capture d'écran et envoyer l'image avec le texte 'SOS' à ceux qui peuvent aider.
Bonjour Hercule
Exact. Il y a plein d'applications gratuites sous Android qui font ça très bien...
"Mes coordonnées GPS", "Ma position GPS", etc.
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Tout ce que nous entendons est une opinion et non un fait;
Tout ce que nous voyons est une perspective et non la vérité.
Marc-Aurèle
Tout ce que nous voyons est une perspective et non la vérité.
Marc-Aurèle
Casta- Administrateur du forum
disparition de deux Françaises sur l'île de Sikinos en Grèce
par Pondyness Dim 25 Aoû - 17:09
Excellente vidéo de Lionel Camy sur la disparition de deux Françaises en Grèce.
Marie-Pierre Arfel et Françoise Boutteaux, deux touristes françaises qui séjournaient à Sikinos en Grèce, ont disparu depuis le 12 juin alors qu'elles étaient parties en randonnée.
À ce jour, leurs familles n’ont plus aucune information sur l’avancée de l’enquête.
C'est vraiment terrible ces disparitions à l'étranger. Les familles ont beaucoup de mal à avoir des réponses.
Dans cette double disparition, j'ai l'impression également qu'il s'agit d'un crime.
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Marie-Pierre Arfel et Françoise Boutteaux, deux touristes françaises qui séjournaient à Sikinos en Grèce, ont disparu depuis le 12 juin alors qu'elles étaient parties en randonnée.
À ce jour, leurs familles n’ont plus aucune information sur l’avancée de l’enquête.
C'est vraiment terrible ces disparitions à l'étranger. Les familles ont beaucoup de mal à avoir des réponses.
Dans cette double disparition, j'ai l'impression également qu'il s'agit d'un crime.
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Pondyness
Re: Appel à témoins 2
par Sourisverte Lun 26 Aoû - 14:22
Par CNEWS Publié le 26/08/2024 à 13:14 - Mis à jour le 26/08/2024 à 13:14
La police de Montélimar (Drôme) a lancé un avis de recherche pour retrouver une jeune fille de 11 ans, portée disparue depuis le vendredi 23 août après vraisemblablement avoir fugué.
Elle avait déjà fugué. Une enfant de 11 ans a disparu depuis vendredi 23 août dans l’après-midi. La police de Montélimar (Drôme) a lancé un avis de recherche pour permettre de la retrouver.
Alicia n’a plus donné signe de vie depuis le vendredi 23 août aux alentours de 16h30, après avoir fugué, selon nos confrères de France Bleu Drôme Ardèche et du Dauphiné Libéré.
LA JEUNE FILLE APERÇUE AVEC UN HOMME
Cette piste est actuellement privilégiée par les enquêteurs, alors que la jeune fille avait déjà fugué à deux reprises l’année dernière. Néanmoins, cette fois-ci, elle n’a pas pris son téléphone avec elle, ce qui avait permis de la retrouver lors de ses précédentes fugues.
C’est la grand-mère d’Alicia qui a signalé sa disparition vendredi. Elle aurait été vue en train de monter, puis descendre d’un bus en courant, avec un homme, a rapporté France Bleu.
Selon l’avis de recherche diffusé par la police de Montélimar, toute personne susceptible d’avoir des informations est priée de contacter le commissariat au 04.75.00.70.70. Alicia portait au moment de sa disparition un pantalon beige, un t-shirt vert, des baskets bleues et blanches et un sac rose.
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Le jeune homme de 31 ans n’a plus été vu depuis lundi, où il s’était réuni avec des amis près de l’étang de la Roche, sur la commune de Marsac-sur-Donc. [
Gendarmerie Nationale
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La police de Montélimar (Drôme) a lancé un avis de recherche pour retrouver une jeune fille de 11 ans, portée disparue depuis le vendredi 23 août après vraisemblablement avoir fugué.
Elle avait déjà fugué. Une enfant de 11 ans a disparu depuis vendredi 23 août dans l’après-midi. La police de Montélimar (Drôme) a lancé un avis de recherche pour permettre de la retrouver.
Alicia n’a plus donné signe de vie depuis le vendredi 23 août aux alentours de 16h30, après avoir fugué, selon nos confrères de France Bleu Drôme Ardèche et du Dauphiné Libéré.
LA JEUNE FILLE APERÇUE AVEC UN HOMME
Cette piste est actuellement privilégiée par les enquêteurs, alors que la jeune fille avait déjà fugué à deux reprises l’année dernière. Néanmoins, cette fois-ci, elle n’a pas pris son téléphone avec elle, ce qui avait permis de la retrouver lors de ses précédentes fugues.
C’est la grand-mère d’Alicia qui a signalé sa disparition vendredi. Elle aurait été vue en train de monter, puis descendre d’un bus en courant, avec un homme, a rapporté France Bleu.
Selon l’avis de recherche diffusé par la police de Montélimar, toute personne susceptible d’avoir des informations est priée de contacter le commissariat au 04.75.00.70.70. Alicia portait au moment de sa disparition un pantalon beige, un t-shirt vert, des baskets bleues et blanches et un sac rose.
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Le jeune homme de 31 ans n’a plus été vu depuis lundi, où il s’était réuni avec des amis près de l’étang de la Roche, sur la commune de Marsac-sur-Donc. [
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Sourisverte
Laure Zacchello
par Kassandra88 Jeu 29 Aoû - 18:00
236473ŦKassandra88 a écrit:
Disparition de Laure Zacchello : dans le Pays basque, la vie infernale d'une mère de famille sous l'emprise de son ex-mari survivaliste
RÉCIT - Un mois après la disparition de Laure Zacchello, 43 ans, à Urrugne, ses proches retiennent leur souffle, persuadés qu’elle a été tuée par Alexis J.. Mis en examen pour «meurtre par conjoint», cet adepte du survivalisme sur lequel pèsent des éléments graves ne parvenait pas à se résoudre à leur divorce.
Les enquêteurs du SIPJ de Bayonne suspectent toujours que le corps de la mère de famille se trouve quelque part, enterré par Alexis J.. Lui, le professeur de physique chimie, basque d'origine, a été mis en examen pour «meurtre par conjoint» et placé en détention provisoire à Mont-de-Marsan. «Des éléments graves et concordants» pèsent sur lui, a précisé Jérôme Bourrier, le procureur de Bayonne. Mais celui qui reste présumé innocent se tait.
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Kassandra88- Administrateur du forum
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Laure Zacchello
par Kassandra88 Jeu 19 Sep - 0:52
236473ŦKassandra88 a écrit:
Disparition de Laure Zacchello : dans le Pays basque, la vie infernale d'une mère de famille sous l'emprise de son ex-mari survivaliste
RÉCIT - Un mois après la disparition de Laure Zacchello, 43 ans, à Urrugne, ses proches retiennent leur souffle, persuadés qu’elle a été tuée par Alexis J.. Mis en examen pour «meurtre par conjoint», cet adepte du survivalisme sur lequel pèsent des éléments graves ne parvenait pas à se résoudre à leur divorce.
Les enquêteurs du SIPJ de Bayonne suspectent toujours que le corps de la mère de famille se trouve quelque part, enterré par Alexis J.. Lui, le professeur de physique chimie, basque d'origine, a été mis en examen pour «meurtre par conjoint» et placé en détention provisoire à Mont-de-Marsan. «Des éléments graves et concordants» pèsent sur lui, a précisé Jérôme Bourrier, le procureur de Bayonne. Mais celui qui reste présumé innocent se tait.
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« Nous voulons notre fille » : le cri de détresse des parents de Laure, disparue depuis trois mois au Pays basque
Laure Zacchello, 43 ans, est introuvable depuis le 21 juin. Son mari, Alexis Juret, mis en examen pour meurtre, est en détention. Selon les parents de Laure, lui seul détient la « clé » qui permettrait de la retrouver.
C’est une attente insupportable. Celle de savoir où se trouve leur fille, Laure. Cette question hante le quotidien de Michel et Anne-Marie Zacchello depuis le 21 juin où elle a disparu à Urrugne (Pyrénées-Atlantiques). Depuis ce jour où leur fille de 43 ans n’a plus donné signe de vie. Deux jours plus tard, son mari, Alexis Juret, 43 ans, a été mis en examen pour « meurtre par conjoint ». Mais il ne parle pas et ce silence ajoute à la torture des parents de Laure.
« C’est lui qui a la clé. On ne peut pas continuer à vivre comme ça. Nous, ce que nous voulons, c’est notre fille. Il faut que les enfants puissent comprendre ce qu’il se passe », disent à l’unisson Anne-Marie, la mère de Laure, et Michel, son père. Assis dans le bureau de leur avocat, Me Frédéric Dutin, ils ont le calme et la dignité de ceux qui n’ont pas d’autre choix que celui d’attendre ; et qui découvrent, bien malgré eux, les ressorts d’une enquête judiciaire.
Depuis début août, le quotidien de Michel et Anne-Marie a été chamboulé. Ils ont obtenu la garde exclusive de leurs petits-enfants. Âgés de 5, 7 et 9 ans, ils viennent de faire leur rentrée dans un nouvel établissement des Landes. Désormais, leur vie s’organise autour d’eux et des responsabilités qui vont avec. C’est certainement ce qui les fait tenir même s’ils doivent affronter les questions et les silences qui en disent long. Comment, après tout, dire l’indicible à ses petits-enfants : papa est soupçonné d’avoir fait disparaître maman…
Répondre aux questions des enfants
Anne-Marie s’interdit de pleurer devant eux. Dans le cabinet de leur avocat, Michel a parfois les yeux qui rougissent, mais se retient de craquer vraiment. On sent sa peine et sa douleur. Sa fille lui manque et les questions de ses petits-enfants sont autant de petites flèches qui le rappellent à cette triste réalité.
Il faut se contenir, ne pas exploser, et répondre de la manière la plus adaptée ce que les psychologues ont conseillé : « Papa est incarcéré. Il se trouve dans un endroit dont il ne peut pas sortir. Maman, on ne sait pas où elle est. » Leur avocat insiste : il ne faut pas hésiter à questionner ces spécialistes.
Le cauchemar de Michel et Anne-Marie a débuté dans la nuit du vendredi 21 au samedi 22 juin par un coup de fil. Au téléphone, une policière demande à Anne-Marie si Laure est chez eux. Elle n’y est pas. Alors la policière poursuit : « Je suis désolée de vous annoncer que votre fille a disparu. » Anne-Marie et Michel partent aussitôt au Pays basque (Pyrénées-Atlantiques), à 1h30 de route.
« Laure ne serait pas partie sans ses affaires »
Dans la maison de leur fille, il y a ses deux téléphones, son sac, son ordinateur et sa voiture dehors. Disparue ? Impossible. « Laure ne serait pas partie sans ses affaires. Encore moins sans ses enfants qu’elle avait voulu protéger coûte que coûte en les laissant inscrits à l’école du village pour ne pas les déraciner », raconte Anne-Marie. Ni même les couper de leur père.
Infirmière de profession, Laure a servi dans l’armée sur des terrains difficiles en Côte d’Ivoire, à Djibouti avant de revenir en France. À l’écoute des autres et bienveillante, elle avait récemment monté un cabinet de psychogénéalogie.
Que s’est-il passé le vendredi 21 juin ? Ce jour-là, Laure dépose ses enfants à l’école d’Urrugne, à 08h30. Son mari devait les récupérer à 16h30, pour sa semaine de garde. Ils les avaient en fait confiés à sa mère, domiciliée, elle aussi, dans le village.
La grand-mère les récupère donc, mais elle n’a pas le sac d’affaires que devait lui déposer son fils. Elle tente de le joindre, en vain. Alors les heures passent et elle s’inquiète. Elle prévient sa fille, Aurélie qui se rend alors à la maison du couple, vers 20h.
Le mari atteint d’« amnésie »
Lorsqu’elle arrive devant la bâtisse basque, son frère, Alexis, gît sur la terrasse, un parpaing à côté de lui. Il est inconscient, une plaie à la tête. Laure n’est pas dans la maison. Alexis Juret est transporté à l’hôpital et puis placé en garde à vue. Devant les enquêteurs, il reste mutique, atteint d’« amnésie », il ne se souvient de rien. Le procureur parle d’un homme « froid », peu « soucieux du sort de son épouse ».
Michel et Anne-Marie seront interrogés brièvement ce jour-là et diront la peur dans laquelle vivait leur fille depuis plusieurs mois. À tel point qu’elle avait acheté une petite caméra qu’elle portait en permanence autour du cou. Ils se souviennent de ce jour de la fête des grands-mères, début mars, quand Laure est venue se reposer chez eux, pour dormir, car elle n’y arrivait plus.
Le fait qu’elle dorme en permanence avec un sac, prête à partir, « au cas où ». Le fait qu’elle place des objets dans la maison au cas où son mari s’approcherait d’elle. Et beaucoup de choses qu’ils ont apprises depuis et qui témoignent de l’angoisse permanente de leur fille. Les parents de Laure ont découvert que leur gendre était un adepte de « survivalisme » et qu’il avait des armes, chez lui. Certaines ont disparu.
« Elle avait l’air désireuse d’aller de l’avant »
Ils ont découvert un autre homme. Loin de ce gendre bien élevé et serviable qu’ils connaissaient depuis dix ans. Mais en début d’année, Laure avait parlé de divorce. Alexis Juret aurait tout fait pour l’empêcher, allant jusqu’à cacher le livret de famille. Laure avait fini par le récupérer. « Elle avait l’air soulagée, désireuse d’aller de l’avant », se souvient sa mère qui l’avait eu au téléphone le 16 juin, jour de ses 43 ans.
Laure avait-elle officiellement engagé la procédure de divorce, « c’est une possibilité », observe Me Dutin qui pointe du doigt la double facette du mari qui « essayait de couper Laure de ses proches en la faisant passer pour ce qu’elle n’était pas ».
Laure a-t-elle convoqué son mari ce 21 juin pour une discussion qui a dégénéré ? Du sang aurait été trouvé sur une armoire, un marteau et dans la voiture du mari. Des analyses devraient permettre de déterminer si c’est celui de Laure. Ses parents attendent de savoir. Et n’espèrent qu’une chose : qu’on la retrouve enfin.
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Kassandra88- Administrateur du forum
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