Appel à témoins 2
+33
Elly
Enquêteur86
mimi
hd99
Manor
Hitchcockienne
Allié
Oliv
Tivier
ca-gere
lily29
Sourisverte
Lisetoct
bila44
Hercule-Poirot
Yanso75000
nikoko
weltG
ruth
Maison
Slick67
Marla
Ness
Electra
Hagnesta-Hill
Sybil
Sortcière
Casta
Pondyness
Raph_
audoigt
Kassandra88
Dynaroo
37 participants
Tueur en série : le grêlé. :: AFFAIRES EN COURS :: AVIS DE RECHERCHE-APPELS À TÉMOINS
LIGONNÈS, NARUMI, LEA,TIPHAINE ...
Page 18 sur 20
Page 18 sur 20 • 1 ... 10 ... 17, 18, 19, 20
Re: Appel à témoins 2
« On n’attend pas 48 heures » : ces enquêteurs travaillent sur les 4000 disparitions inquiétantes d’adultes en Île-de-France
Le groupe des « dispa » de la police judiciaire de Paris tente de lever le voile chaque année sur près de 4 000 disparitions de personnes majeures en Île-de-France. Enquêteurs, bénévoles, et familles racontent.
Leur nom est toujours au FPR, le fichier des personnes recherchées. Claudine Bazubagira, 44 ans, numéro 7 de l’équipe rwandaise de volley assis. Elle a quitté Courbevoie (Hauts-de-Seine) pour aller dîner le 20 août. Volatilisé, le vice-président du comité érythréen olympique, après sa sortie du village des athlètes à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), le 4 septembre.
Portés disparus, aussi, les para-athlètes Mireille Nganga, 48 ans, championne du lancer de disque et de javelot, Emmanuel Grâce Mouambako, 35 ans, sprinteur non voyant, et son guide, Sharon Victor Loussanga, tous natifs du Congo Brazzaville.
Montés dans un train pour rejoindre un proche ailleurs en Europe ? En quête d’une vie meilleure ? L’hypothèse d’une « défection volontaire » est privilégiée. « Mais tant qu’on n’a pas de preuve de vie formelle, ni l’assurance que la personne va bien et n’est pas retenue contre son gré, le dossier n’est pas fermé », explique une commissaire de la brigade de police judiciaire de répression de la délinquance contre la personne (BRDP).
Des signalements qui remontent des commissariats
La brigade traite près de 4 000 signalements pour disparitions inquiétantes par an. Rien que des majeurs — la brigade des mineurs s’occupe des moins de 18 ans —, portés disparus à Paris, en Seine-Saint-Denis, dans les Hauts-de-Seine ou le Val-de-Marne, un bassin de sept millions d’habitants.
Inutile de sonner à l’accueil du Bastion, le siège de la Direction régionale de la police judiciaire de la préfecture de police de Paris (XVIIe), le groupe « dispa » ne reçoit pas le public. Les signalements arrivent majoritairement par mail des commissariats, comme ce lundi de septembre où seize mails s’affichent sur les d’ordinateurs des huit enquêteurs, pour indiquer… des fugues d’hôpital.
Sur chaque fiche, le nom du disparu et le critère d’inquiétude, avec le numéro d’un contact à l’hôpital. « Aucune information n’est communiquée sur la pathologie de la personne, précise la commissaire. Le but est d’apprécier le danger que représente la personne pour elle-même et pour autrui. »
« On n’attend pas 48 heures pour chercher un majeur »
Il y a des particuliers disparus des urgences avant leur prise en charge, des patients qui ont quitté leur chambre d’hôpital pour prendre l’air ou boire un verre, sans prévenir… « Il peut y avoir une urgence vitale, une hémorragie après une chute, par exemple. Il faut être très vigilant. reprend la commissaire. Presque tout le temps, l’affaire se règle en quelques coups de fil. »
« Les signalements d’hôpitaux, y compris psychiatriques, ont bondi. Nous avons traité 2 800 disparitions ou fugues depuis janvier et cela représente 60 % de ce qui nous parvient. Les levées de doute pourraient être faites par les commissariats. Pour nous, c’est du temps en moins pour traiter les autres signalements et aller sur le terrain », regrette Christophe Hirschmann, commissaire divisionnaire à la tête de la BRDP.
Car ici, le temps est un ennemi. « On préfère chercher pour rien plutôt qu’avoir un train de retard, reprend la commissaire, et on n’attend pas quarante-huit heures pour chercher un majeur. » Les chiens de la brigade cynophile auront plus de difficulté à suivre une trace, les plongeurs de la fluviale devront élargir le périmètre des recherches… Sans compter l’urgence vitale dans laquelle peut se trouver une personne désorientée en manque de soins.
« Il arrive que des familles soient très bien écoutées et d’autres, moins »
« Mais il arrive encore d’entendre qu’il faut attendre quarante-huit heures », déplore Anne Karlsson, vice-présidente de l’antenne francilienne de l’ARPD, l’association Assistance et recherche de personnes disparues, qui regroupe 75 enquêteurs bénévoles dans la région. « La prise de plainte est automatique pour les mineurs, majeurs protégés et personnes vulnérables (atteintes de maladie). Pour les autres, ça dépend de ceux qui reçoivent. Il arrive que des familles soient très bien écoutées et d’autres, moins. »
Pourtant, selon elle, « il n’est pas difficile de faire un procès-verbal pour disparition inquiétante et d’inscrire la personne au fichier des personnes recherchées ». « Cet enregistrement est très important ensuite pour les demandes de recherches envoyées à nos partenaires, associations du secteur social, les instituts médico-légaux… susceptibles de faire des recoupements, poursuit Anne Karlsson. Nous aimerions que tous les gens soient accueillis de la même manière. »
Mais, insiste-t-elle, les choses se corsent quand il s’agit de disparitions de jeunes gens. « Des familles s’entendent dire Votre enfant est majeur, il peut faire ce qu’il veut. Mais un jeune qui ne rentre pas ou ne répond pas au téléphone, ça peut être inquiétant. Deux jeunes sont décédés à la sortie d’une soirée festive, à Paris l’an passé (2023). »
Des signalements de jeunes majeurs disparus, la BRDP en reçoit. Un fils qui ne donne plus de nouvelles après un festival, un étudiant qui ne répond plus aux appels d’un copain de fac… Les enquêteurs sollicitent les opérateurs de téléphonie, la banque… La loi du 21 janvier 1995 les y autorise. Si l’enquête administrative se complique, alors elle passe dans un cadre judiciaire, sous la houlette du parquet. Dix-sept affaires ont ainsi été judiciarisées cette année.
Il arrive aux enquêteurs de la BRDP d’échanger avec leurs collègues de la brigade criminelle : travailler sur le même palier, ça aide. Car une disparition inquiétante peut en effet masquer un crime. Ce fut notamment le cas pour Assia, cette mère de famille de 46 ans qui vivait à Montreuil et dont le corps a été retrouvé démembré aux Buttes-Chaumont en février 2023. Et pour la jeune Mailyss, 18 ans, portée disparue le soir de la Saint-Valentin 2024, dont le corps a été retrouvé dans l’Essonne.
Enterré depuis huit ans
Quelques disparus sont retrouvés décédés (59 personnes en 2024), parfois très longtemps après. Pour Hisham Terrak, l’attente a duré huit ans. Huit années sans sommeil, à sillonner l’Île-de-France, à placarder des appels à témoins partout, à faire des plateaux télé, pour retrouver son père, El Mekki, souffrant de la maladie d’Alzheimer. Jusqu’à ce coup de fil de la police, lui annonçant qu’il était enterré dans le carré des indigents à Romainville (Seine-Saint-Denis), quatre mois après sa disparition. Il avait fourni un béret et un sonotone, l’ADN a parlé.
« Le doute ronge tout le temps », témoigne ce fils, enfin apaisé. Il s’était battu pour ressusciter la RIF, cette « recherche pour l’intérêt des familles » créée pour aider ces proches à se retrouver après la Première Guerre mondiale, et abrogée en 2013, vu l’essor des réseaux sociaux.
« Il faut accompagner les gens dans leurs recherches. Quand j’ai signalé la disparition de mon père au commissariat, on m’a dit C’est bon, il est dans le fichier. Comme pour une voiture volée. On devrait avoir dans les commissariats des affiches pour dire comment faire en cas de disparition inquiétante », estime Hisham Terrak, qui a pour projet de créer un tutoriel sur le sujet.
Que les disparus volontaires soient rassurés : s’ils sont retrouvés, ils ne seront pas ramenés de force dans leur vie d’avant. « Nous, ce qu’on fait, c’est de l’aide à la personne, s’assurer qu’elle va bien, qu’elle est en sécurité et pas contrainte. En France, on a le droit de disparaître », rappelle la commissaire. Dans ce cas, un enquêteur de la BRDP passera un coup de fil à la famille inquiète pour l’assurer que la personne est bien en vie. Mais ne donnera jamais la nouvelle adresse. C’est une règle d’or au groupe « dispa ».
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Le groupe des « dispa » de la police judiciaire de Paris tente de lever le voile chaque année sur près de 4 000 disparitions de personnes majeures en Île-de-France. Enquêteurs, bénévoles, et familles racontent.
Leur nom est toujours au FPR, le fichier des personnes recherchées. Claudine Bazubagira, 44 ans, numéro 7 de l’équipe rwandaise de volley assis. Elle a quitté Courbevoie (Hauts-de-Seine) pour aller dîner le 20 août. Volatilisé, le vice-président du comité érythréen olympique, après sa sortie du village des athlètes à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), le 4 septembre.
Portés disparus, aussi, les para-athlètes Mireille Nganga, 48 ans, championne du lancer de disque et de javelot, Emmanuel Grâce Mouambako, 35 ans, sprinteur non voyant, et son guide, Sharon Victor Loussanga, tous natifs du Congo Brazzaville.
Montés dans un train pour rejoindre un proche ailleurs en Europe ? En quête d’une vie meilleure ? L’hypothèse d’une « défection volontaire » est privilégiée. « Mais tant qu’on n’a pas de preuve de vie formelle, ni l’assurance que la personne va bien et n’est pas retenue contre son gré, le dossier n’est pas fermé », explique une commissaire de la brigade de police judiciaire de répression de la délinquance contre la personne (BRDP).
Des signalements qui remontent des commissariats
La brigade traite près de 4 000 signalements pour disparitions inquiétantes par an. Rien que des majeurs — la brigade des mineurs s’occupe des moins de 18 ans —, portés disparus à Paris, en Seine-Saint-Denis, dans les Hauts-de-Seine ou le Val-de-Marne, un bassin de sept millions d’habitants.
Inutile de sonner à l’accueil du Bastion, le siège de la Direction régionale de la police judiciaire de la préfecture de police de Paris (XVIIe), le groupe « dispa » ne reçoit pas le public. Les signalements arrivent majoritairement par mail des commissariats, comme ce lundi de septembre où seize mails s’affichent sur les d’ordinateurs des huit enquêteurs, pour indiquer… des fugues d’hôpital.
Sur chaque fiche, le nom du disparu et le critère d’inquiétude, avec le numéro d’un contact à l’hôpital. « Aucune information n’est communiquée sur la pathologie de la personne, précise la commissaire. Le but est d’apprécier le danger que représente la personne pour elle-même et pour autrui. »
« On n’attend pas 48 heures pour chercher un majeur »
Il y a des particuliers disparus des urgences avant leur prise en charge, des patients qui ont quitté leur chambre d’hôpital pour prendre l’air ou boire un verre, sans prévenir… « Il peut y avoir une urgence vitale, une hémorragie après une chute, par exemple. Il faut être très vigilant. reprend la commissaire. Presque tout le temps, l’affaire se règle en quelques coups de fil. »
« Les signalements d’hôpitaux, y compris psychiatriques, ont bondi. Nous avons traité 2 800 disparitions ou fugues depuis janvier et cela représente 60 % de ce qui nous parvient. Les levées de doute pourraient être faites par les commissariats. Pour nous, c’est du temps en moins pour traiter les autres signalements et aller sur le terrain », regrette Christophe Hirschmann, commissaire divisionnaire à la tête de la BRDP.
Car ici, le temps est un ennemi. « On préfère chercher pour rien plutôt qu’avoir un train de retard, reprend la commissaire, et on n’attend pas quarante-huit heures pour chercher un majeur. » Les chiens de la brigade cynophile auront plus de difficulté à suivre une trace, les plongeurs de la fluviale devront élargir le périmètre des recherches… Sans compter l’urgence vitale dans laquelle peut se trouver une personne désorientée en manque de soins.
« Il arrive que des familles soient très bien écoutées et d’autres, moins »
« Mais il arrive encore d’entendre qu’il faut attendre quarante-huit heures », déplore Anne Karlsson, vice-présidente de l’antenne francilienne de l’ARPD, l’association Assistance et recherche de personnes disparues, qui regroupe 75 enquêteurs bénévoles dans la région. « La prise de plainte est automatique pour les mineurs, majeurs protégés et personnes vulnérables (atteintes de maladie). Pour les autres, ça dépend de ceux qui reçoivent. Il arrive que des familles soient très bien écoutées et d’autres, moins. »
Pourtant, selon elle, « il n’est pas difficile de faire un procès-verbal pour disparition inquiétante et d’inscrire la personne au fichier des personnes recherchées ». « Cet enregistrement est très important ensuite pour les demandes de recherches envoyées à nos partenaires, associations du secteur social, les instituts médico-légaux… susceptibles de faire des recoupements, poursuit Anne Karlsson. Nous aimerions que tous les gens soient accueillis de la même manière. »
Mais, insiste-t-elle, les choses se corsent quand il s’agit de disparitions de jeunes gens. « Des familles s’entendent dire Votre enfant est majeur, il peut faire ce qu’il veut. Mais un jeune qui ne rentre pas ou ne répond pas au téléphone, ça peut être inquiétant. Deux jeunes sont décédés à la sortie d’une soirée festive, à Paris l’an passé (2023). »
Des signalements de jeunes majeurs disparus, la BRDP en reçoit. Un fils qui ne donne plus de nouvelles après un festival, un étudiant qui ne répond plus aux appels d’un copain de fac… Les enquêteurs sollicitent les opérateurs de téléphonie, la banque… La loi du 21 janvier 1995 les y autorise. Si l’enquête administrative se complique, alors elle passe dans un cadre judiciaire, sous la houlette du parquet. Dix-sept affaires ont ainsi été judiciarisées cette année.
Il arrive aux enquêteurs de la BRDP d’échanger avec leurs collègues de la brigade criminelle : travailler sur le même palier, ça aide. Car une disparition inquiétante peut en effet masquer un crime. Ce fut notamment le cas pour Assia, cette mère de famille de 46 ans qui vivait à Montreuil et dont le corps a été retrouvé démembré aux Buttes-Chaumont en février 2023. Et pour la jeune Mailyss, 18 ans, portée disparue le soir de la Saint-Valentin 2024, dont le corps a été retrouvé dans l’Essonne.
Enterré depuis huit ans
Quelques disparus sont retrouvés décédés (59 personnes en 2024), parfois très longtemps après. Pour Hisham Terrak, l’attente a duré huit ans. Huit années sans sommeil, à sillonner l’Île-de-France, à placarder des appels à témoins partout, à faire des plateaux télé, pour retrouver son père, El Mekki, souffrant de la maladie d’Alzheimer. Jusqu’à ce coup de fil de la police, lui annonçant qu’il était enterré dans le carré des indigents à Romainville (Seine-Saint-Denis), quatre mois après sa disparition. Il avait fourni un béret et un sonotone, l’ADN a parlé.
« Le doute ronge tout le temps », témoigne ce fils, enfin apaisé. Il s’était battu pour ressusciter la RIF, cette « recherche pour l’intérêt des familles » créée pour aider ces proches à se retrouver après la Première Guerre mondiale, et abrogée en 2013, vu l’essor des réseaux sociaux.
« Il faut accompagner les gens dans leurs recherches. Quand j’ai signalé la disparition de mon père au commissariat, on m’a dit C’est bon, il est dans le fichier. Comme pour une voiture volée. On devrait avoir dans les commissariats des affiches pour dire comment faire en cas de disparition inquiétante », estime Hisham Terrak, qui a pour projet de créer un tutoriel sur le sujet.
Que les disparus volontaires soient rassurés : s’ils sont retrouvés, ils ne seront pas ramenés de force dans leur vie d’avant. « Nous, ce qu’on fait, c’est de l’aide à la personne, s’assurer qu’elle va bien, qu’elle est en sécurité et pas contrainte. En France, on a le droit de disparaître », rappelle la commissaire. Dans ce cas, un enquêteur de la BRDP passera un coup de fil à la famille inquiète pour l’assurer que la personne est bien en vie. Mais ne donnera jamais la nouvelle adresse. C’est une règle d’or au groupe « dispa ».
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Re: Appel à témoins 2
Femme inconnue - Liège (belgique)
08.10.2024
à la demande du parquet de Liège
Lieux
Liège
Date Mer 28.07.2010 - 0:00
Le mercredi 28 juillet 2010, le corps sans vie d'une femme a été retrouvé dans la Meuse à proximité du « Quai Godefroid Khurt » à Liège. A ce jour, cette personne n’a pas pu être identifiée.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Elle est âgée entre 60 et 80 ans, mesure 1m53 et est de corpulence normale. Elle a les cheveux gris, les yeux bleus, une cicatrice de 10 cm dans la partie inférieure droite de l'abdomen et 5 dents dans la mâchoire supérieure.
Elle portait une veste courte gris brillant à carreaux noirs de marque « Easy Comfort » (taille 42), un T-shirt vert pomme de marque « L&L » (taille XXS), un top blanc de marque « Triangle d'Or » (taille M), un pantalon 3/4 bleu-gris de marque « Lucky News Famous » (taille M) et des sandales en cuir clair de marque « ARA » (taille 5G).
Elle était en possession d’une canne en bois brun foncé, d’une montre avec un cadran blanc, un bracelet argenté et doré de marque « Rodania », d’une alliance en or, d’une bague en or avec une pierre verte entourée de petites pierres blanches, d’une bague « maille » en argent, d’un bracelet en argent et d’un pendentif argenté représentant une personne asiatique muni d’un cordon vert.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
08.10.2024
à la demande du parquet de Liège
Lieux
Liège
Date Mer 28.07.2010 - 0:00
Le mercredi 28 juillet 2010, le corps sans vie d'une femme a été retrouvé dans la Meuse à proximité du « Quai Godefroid Khurt » à Liège. A ce jour, cette personne n’a pas pu être identifiée.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Elle est âgée entre 60 et 80 ans, mesure 1m53 et est de corpulence normale. Elle a les cheveux gris, les yeux bleus, une cicatrice de 10 cm dans la partie inférieure droite de l'abdomen et 5 dents dans la mâchoire supérieure.
Elle portait une veste courte gris brillant à carreaux noirs de marque « Easy Comfort » (taille 42), un T-shirt vert pomme de marque « L&L » (taille XXS), un top blanc de marque « Triangle d'Or » (taille M), un pantalon 3/4 bleu-gris de marque « Lucky News Famous » (taille M) et des sandales en cuir clair de marque « ARA » (taille 5G).
Elle était en possession d’une canne en bois brun foncé, d’une montre avec un cadran blanc, un bracelet argenté et doré de marque « Rodania », d’une alliance en or, d’une bague en or avec une pierre verte entourée de petites pierres blanches, d’une bague « maille » en argent, d’un bracelet en argent et d’un pendentif argenté représentant une personne asiatique muni d’un cordon vert.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
disparition de Pilar-Monica Arenas
Un nouveau féminicide?
Pilar-Monica Arenas n’a plus donné signe de vie depuis le mercredi 2 octobre
Pilar-Monica Arenas, une mère de famille de 38 ans originaire de Sète, est portée disparue depuis le mercredi 2 octobre 2024. Ce jour-là, elle se rendait à Sénas dans les Bouches-du-Rhône pour rendre visite à ses trois enfants, qui vivent avec son ex-conjoint. Son sac a été retrouvé abandonné dans une gare à Lyon.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Les proches de cette mère de famille ont signalé sa disparition au commissariat d’Agde le samedi 5 octobre. Le jeudi 10 octobre, leur inquiétude est montée d’un cran lorsque le sac de Pilar-Monica Arenas a été retrouvé abandonné à la gare Part Dieu de Lyon. Interrogés par les forces de police, ses proches ont rapporté que les relations étaient tendues entre la disparue et son ex-compagnon. La Sétoise aurait déposé plusieurs plaintes pour violences contre le père de ses enfants avant de les retirer.
Une enquête pour disparition inquiétante a été ouverte par les services de police d’Agde et de Lyon. Toute personne disposant d’informations permettant de localiser Pilar-Monica Arenas est priée de contacter le commissariat d’Agde au 04 67 01 02 00.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Pilar-Monica Arenas n’a plus donné signe de vie depuis le mercredi 2 octobre
Pilar-Monica Arenas, une mère de famille de 38 ans originaire de Sète, est portée disparue depuis le mercredi 2 octobre 2024. Ce jour-là, elle se rendait à Sénas dans les Bouches-du-Rhône pour rendre visite à ses trois enfants, qui vivent avec son ex-conjoint. Son sac a été retrouvé abandonné dans une gare à Lyon.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Les proches de cette mère de famille ont signalé sa disparition au commissariat d’Agde le samedi 5 octobre. Le jeudi 10 octobre, leur inquiétude est montée d’un cran lorsque le sac de Pilar-Monica Arenas a été retrouvé abandonné à la gare Part Dieu de Lyon. Interrogés par les forces de police, ses proches ont rapporté que les relations étaient tendues entre la disparue et son ex-compagnon. La Sétoise aurait déposé plusieurs plaintes pour violences contre le père de ses enfants avant de les retirer.
Une enquête pour disparition inquiétante a été ouverte par les services de police d’Agde et de Lyon. Toute personne disposant d’informations permettant de localiser Pilar-Monica Arenas est priée de contacter le commissariat d’Agde au 04 67 01 02 00.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
disparition de Lola ROUSSEAU
Depuis le 28 septembre 2024, Lola ROUSSEAU, une jeune fille âgée de 16 ans et domiciliée à Quiévrain, ne s’est plus manifestée.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Lola mesure 1m60, est de corpulence mince, a les yeux bleus et de longs cheveux blonds.
Au moment de sa disparition, elle portait un pantalon en jeans, une veste matelassée noire et des baskets gris clair.
Il est demandé à Lola de prendre contact, en toute confiance et sans crainte, avec Child Focus.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Lola mesure 1m60, est de corpulence mince, a les yeux bleus et de longs cheveux blonds.
Au moment de sa disparition, elle portait un pantalon en jeans, une veste matelassée noire et des baskets gris clair.
Il est demandé à Lola de prendre contact, en toute confiance et sans crainte, avec Child Focus.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Re: Appel à témoins 2
INTERPELLATIONS
Plusieurs personnes ont été interpellées en fin de matinée à Livry-Gargan, en Seine-Saint-Denis. Toutes appartiennent à l'entourage des parents du nourrisson. Ils sont actuellement entendus dans le cadre de l'enquête ouverte pour "enlèvement en bande organisée".
L'enfant et ses ravisseurs n'ont toujours pas été localisés, les recherches continuent.
Source, BFM.
J'ai entendu à la radio que Santiago n'avait que... 18 heures d'espérance de vie sans soin à l'hôpital. Ces parents n'aiment pas leurs progéniture pour agir de la sorte.
Vu leurs faciès, je ne serai pas étonné que ce soient des putains de camés.
Plusieurs personnes ont été interpellées en fin de matinée à Livry-Gargan, en Seine-Saint-Denis. Toutes appartiennent à l'entourage des parents du nourrisson. Ils sont actuellement entendus dans le cadre de l'enquête ouverte pour "enlèvement en bande organisée".
L'enfant et ses ravisseurs n'ont toujours pas été localisés, les recherches continuent.
Source, BFM.
J'ai entendu à la radio que Santiago n'avait que... 18 heures d'espérance de vie sans soin à l'hôpital. Ces parents n'aiment pas leurs progéniture pour agir de la sorte.
Vu leurs faciès, je ne serai pas étonné que ce soient des putains de camés.
Invité- Invité
Re: Appel à témoins 2
Ce sont peut-être aussi des parents qui n'ont pas envie que services sociaux les privent de leur bébé. On ne connait pas le contexte.
Re: Appel à témoins 2
Pour enlever son enfant qui a une espérance de vie limité sans soin, faut vraiment avoir un pète au casque. Il faudrait un permis pour avoir la garde de ses enfants, car certains sont complètement irresponsables.
Invité- Invité
Re: Appel à témoins 2
248218ŦMartin.Duois a écrit:Pour enlever son enfant qui a une espérance de vie limité sans soin, faut vraiment avoir un pète au casque. Il faudrait un permis pour avoir la garde de ses enfants, car certains sont complètement irresponsables.
Ou un niveau d'instruction insuffisant pour comprendre la gravité des faits.
Dernière édition par Kassandra88 le Mar 22 Oct 2024, 13:42, édité 1 fois
Disparition Lola
248146ŦKassandra88 a écrit:Depuis le 28 septembre 2024, Lola ROUSSEAU, une jeune fille âgée de 16 ans et domiciliée à Quiévrain, ne s’est plus manifestée.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Lola mesure 1m60, est de corpulence mince, a les yeux bleus et de longs cheveux blonds.
Au moment de sa disparition, elle portait un pantalon en jeans, une veste matelassée noire et des baskets gris clair.
Il est demandé à Lola de prendre contact, en toute confiance et sans crainte, avec Child Focus.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Pourquoi un appel à témoins si tardif?
Parce que les recherches qui se sont déroulées au niveau local n'ont pas abouti.
Lola a déjà fugué.
Le contexte familial est difficile.
Il est demandé à Lola de se manifester.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Re: Appel à témoins 2
Sur décision du parquet de Bobigny, il est mis fin à l'alerte enlèvement. L'enfant n'a pas été retrouvé. Les recherches se poursuivent.
Source, Ministère de la Justice.
Ça sent le roussi, à mon avis la messe est dite, l'enfant a trépassé.
Source, Ministère de la Justice.
Ça sent le roussi, à mon avis la messe est dite, l'enfant a trépassé.
Invité- Invité
Re: Appel à témoins 2
248325ŦMartin.Duois a écrit:La police fédérale belge prend le relais, et lance un avis de recherche national.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Ils se déplacent à bord d’une Audi A4 bleu foncé immatriculée en France avec la plaque GR-956-ZV.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Et Child focus
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Re: Appel à témoins 2
L'étau se resserre.
Bébé enlevé dans une maternité en France: la voiture du couple ravisseur retrouvée à Charleroi
Comme nous vous l'annoncions, le couple suspecté d'avoir enlevé leur bébé prématuré dans une maternité en France pouvait avoir fui en Belgique. Les soupçons étaient bons puisque leur véhicule a été retrouvé ce mercredi matin à Charleroi, peu après 11h30.
D'après nos confrères de SudInfo, il s'agit d'une Audi A4 "retrouvée dans la région de Charleroi". La police locale confirme l'information de la découverte du véhicule mais ne peut indiquer l'endroit précis "sous peine que les suspects prennent la fuite".
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Bébé enlevé dans une maternité en France: la voiture du couple ravisseur retrouvée à Charleroi
Comme nous vous l'annoncions, le couple suspecté d'avoir enlevé leur bébé prématuré dans une maternité en France pouvait avoir fui en Belgique. Les soupçons étaient bons puisque leur véhicule a été retrouvé ce mercredi matin à Charleroi, peu après 11h30.
D'après nos confrères de SudInfo, il s'agit d'une Audi A4 "retrouvée dans la région de Charleroi". La police locale confirme l'information de la découverte du véhicule mais ne peut indiquer l'endroit précis "sous peine que les suspects prennent la fuite".
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Invité- Invité
Page 18 sur 20 • 1 ... 10 ... 17, 18, 19, 20
Tueur en série : le grêlé. :: AFFAIRES EN COURS :: AVIS DE RECHERCHE-APPELS À TÉMOINS
LIGONNÈS, NARUMI, LEA,TIPHAINE ...
Page 18 sur 20
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum