Appel à témoins 2

249133ŦMartin.Duois a écrit:Les coupables ont été retrouvés trois ans après, non pas grâce à l'ADN, mais grâce au numéro de série de l'extincteur qu'ils ont jeté du haut du pont.

Ces deux-là pensaient probablement s'en sortir.

Bonjour,
J'aimerais savoir comment ils ont réussi à remonter jusqu'aux auteurs à partir du numéro de série de l'extincteur.

249141ŦKassandra88 a écrit:

249133ŦMartin.Duois a écrit:Les coupables ont été retrouvés trois ans après, non pas grâce à l'ADN, mais grâce au numéro de série de l'extincteur qu'ils ont jeté du haut du pont.

Ces deux-là pensaient probablement s'en sortir.

Bonjour,
J'aimerais savoir comment ils ont réussi à remonter jusqu'aux auteurs à partir du numéro de série de l'extincteur.

Bonjour,

Simple supposition, vu que ces deux individus étaient des handicapés, ils vivaient probablement dans un foyer pour handicapés. Ils donc ont volé l'extincteur là-bas... ou sur leurs lieux de travail, le plus simplement du monde.

- leurs employeurs/collègues se sont aperçus qu'il manquait un extincteur et ont fait le lien avec l'affaire. Ils ont appelé la police.

- des membres du foyer se sont aperçus qu'il manquait un extincteur et ont fait le lien avec l'affaire. Ils ont appelé la police.

Autres possibilités :

- la police a ratissé large à partir du numéro de série, qu'il a conduit à un endroit bien précis.
Il existe probablement des registres où sont écrits les numéros de série des extincteurs avec les emplacements qui vont avec.

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J'ai deviné juste..

Article du l'époque :

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"Il est environ 4 heures du matin ce 23 juin. David Bouery et Thierry Monot, âgés de 29 ans, reviennent de la fête de fin d'année du centre du Jard à Voisenon à laquelle participent une douzaine d'autres anciens élèves. David qui habite Bagneux (92) et Thierry près d'Orléans (45) ont été scolarisés dans cet institut pour handicapés il y a dix ans. Ils y ont suivi des études d'horlogerie. Ce centre accueille des jeunes de 15 à 25 ans souffrant de handicaps physiques afin de leur proposer une formation professionnelle. Lors de cette soirée, les anciens pensionnaires décident de dérober deux extincteurs. « Un défi, un pari pour impressionner les automobilistes », rapporte le procureur adjoint de Melun."

Les compères s'échappent de la fête et se rendent dans un bâtiment scolaire de l'institut. Les extincteurs ne sont pas protégés par des alarmes et sont facilement accessibles pour des raisons évidentes de sécurité.
Le lendemain du drame, les gendarmes savent où a été dérobé l'extincteur grâce au numéro de série : « Ils ont interrogé tout le monde afin de savoir qui était présent à la fête de samedi soir », se souvient le directeur de l'institut. Une cinquantaine de gendarmes de la section de recherche de Paris, de la brigade de recherche de Melun sont mobilisés. Mardi, les deux hommes sont interpellés et avouent les faits. Lors de leur garde à vue.

Les deux hommes garent leur voiture à proximité du pont afin de pouvoir rapidement prendre la fuite. Ils nettoient consciencieusement l'extincteur avec un chiffon afin de ne pas laisser d'empreintes digitales. « Il a fallu synchroniser le passage de la voiture et le jet de l'extincteur », confie une source proche de l'enquête

248941ŦMartin.Duois a écrit:
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Ils courent toujours, mais je ne serai pas étonné qu'ils n'aient pas pensé à éteindre leur natel, pour ne pas borner sur les lieux.
Un bornage est possiblement un élément incriminant, surtout s'ils disent qu'ils n'étaient pas présents sur ce pont au moment où le bloc de béton a été jeté.

Le travail sur la vidéosurveillance va probablement porter l'estocade : passage de véhicule, plaque d'immatriculation, description physique.
S'ils se sont enfuis dans la panique, ils n'ont probablement pas pris de précautions avec un itinéraire sans vidéosurveillance.

Je suis optimiste quant à une résolution prochaine de l'affaire.

Dans le même genre il y a cette affaire non élucidée méconnue qui date déjà de 22 ans :
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249484ŦManor a écrit:Dans le même genre il y a cette affaire non élucidée méconnue qui date déjà de 22 ans :
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Bonsoir Manor,

A t-on au moins gardé le silex ? rien n'est moins sûr ... pourtant il devait avoir de l'adn dessus.

Seine-Saint-Denis : un appel à témoins lancé pour retrouver les victimes d'un prédateur sexuel en série
Un appel à témoins a été lancé le 23 octobre 2024, afin de retrouver des victimes potentielles d'un prédateur sexuel ayant sévi à Pantin entre 2013 et 2023.

Des jeunes adolescentes visées
Selon le communique de la préfecture de Police, l’individu, interpellé et incarcéré, avait un mode opératoire bien établi. Ce dernier visait de jeunes préadolescentes d’origine asiatique. Il suivait les victimes dans des halls d’immeubles, des cages d’escalier ou des souterrains. Le prédateur accusait alors les adolescentes de vol, avant de leur imposer des palpations et des agressions sexuelles. Selon la préfecture de Police, l’individu filmait ses actes sordides.



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Lola R. a été retrouvée en bonne santé.
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Enlèvement de Santiago : après son extradition, la mère du nourrisson mise en examen
INFO LE PARISIEN. Extradée ce jeudi des Pays-Bas, Christina N. a été présentée en fin d’après-midi à un juge d’instruction du tribunal judiciaire de Bobigny (Seine-Saint-Denis). Elle a été mise en examen à l’issue de son interrogatoire de première comparution. Elle va être présentée dans la soirée à un juge des libertés et de la détention (JLD), en vue de son placement en détention provisoire.
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Quoi de plus logique ? Elle et son conjoint, ont mis la vie de leur progéniture en GRAND danger. Fort heureusement, plus de peur que de mal.

249635ŦMartin.Duois a écrit:

Quoi de plus logique ? Elle et son conjoint, ont mis la vie de leur progéniture en GRAND danger. Fort heureusement, plus de peur que de mal.

Je comprends la décision judiciaire mais je vois aussi des parents qui craignaient qu'on leur prenne leur bébé... et ils avaient vu juste tout compte fait.
J'ai du mal à leur jeter la pierre quand je lis cela;
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Je m'arrête là.

Message edité:

Derrière l’abandon d’un bébé dans une poubelle à Rennes, l’ombre du viol d’une adolescente
Il y a un an, Telma, 16 ans, abandonnait son nouveau-né dans une poubelle à Rennes. Le bébé a survécu. Depuis, les praticiens ont mis à jour « un vécu traumatique » de la jeune femme avec le père de l’enfant, âgé de 24 ans. Contre qui elle a déposé plainte pour viols.
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Enlèvement de Santiago : le parquet fait appel du placement de sa mère sous contrôle judiciaire
De retour en France ce jeudi, la mère du nourrisson qui a fait l’objet d’une Alerte enlèvement le 22 octobre dernier après sa disparition d’un hôpital de Seine-Saint-Denis a été mise en examen pour « enlèvement ». Le parquet annonce avoir fait appel de son placement sous contrôle judiciaire.

Après ce premier entretien avec le magistrat instructeur, un juge des libertés et de la détention a placé la jeune femme sous contrôle judiciaire, contrairement aux réquisitions du ministère public qui avait réclamé son maintien en détention provisoire. « Une décision logique et humaine », avait salué après l’audience son avocat, Me Romuald Sayagh. Le parquet de Bobigny annonce avoir « fait appel ce jour (NDLR : ce vendredi) de la décision de placement sous contrôle judiciaire ».

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"Les recherches des gendarmes du Doubs ont payé. Alice, la jeune femme âgée de 25 ans, étudiante à Lille, a été retrouvée ce lundi 11 novembre à 20h45 à Cussey sur l'Ognon, à 3km de la gare des Auxons, près de Besançon. La jeune femme, étudiante à Lille, a été découverte par une patrouille alors qu'elle marchait en bordure de route."

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Disparition inquiétante : un appel à témoin pour retrouver une femme de 64 ans.

La gendarmerie d'Indre-et-Loire a lancé un appel à témoin ce 11 novembre en début d'après-midi pour retrouver Lilou Fontenille, une femme âgée de 64 ans résidant à Monts.

Où est passée Lilou Fontenille ? Depuis le 30 octobre, la famille de cette femme de 64 ans, domiciliée à Monts en Indre-et-loire, est sans nouvelle. Selon ses proches, elle aurait été vue pour la dernière fois à 15h30 ce jour-là, alors qu'elle circulait entre Monts et Tours.



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250133ŦPondyness a écrit:Disparition inquiétante : un appel à témoin pour retrouver une femme de 64 ans.

La gendarmerie d'Indre-et-Loire a lancé un appel à témoin ce 11 novembre en début d'après-midi pour retrouver Lilou Fontenille, une femme âgée de 64 ans résidant à Monts.

Où est passée Lilou Fontenille ? Depuis le 30 octobre, la famille de cette femme de 64 ans, domiciliée à Monts en Indre-et-loire, est sans nouvelle. Selon ses proches, elle aurait été vue pour la dernière fois à 15h30 ce jour-là, alors qu'elle circulait entre Monts et Tours.



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Bien triste nouvelle:
le corps de la sexagénaire disparue retrouvé sans vie.
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Les forces de l’ordre ont pour l’instant écarté la piste criminelle et l’intervention d’un tiers dans la mort de la femme de 64 ans, privilégiant pour l’instant un malaise ou un accident, précise le quotidien local. Une enquête a été ouverte pour éclaircir les circonstances du drame et les investigations ont été confiées à la communauté de brigades de Montbazon.

La police des Pyrénées-Atlantiques a diffusé un appel à témoins après une possible tentative d'enlèvement sur une collégienne.

Les enquêteurs de la Brigade de Protection de la Famille ont besoin de vous." Dans les Pyrénées-Atlantique, la police a lancé, ce vendredi 15 novembre, un appel à témoins sur les réseaux sociaux après une tentative d'enlèvement de mineure, survenue la veille, entre 8h15 et 8h20.

"Une collégienne a été victime d'une tentative d'enlèvement", rue Sainte-Catherine dans la commune de Lescar, non loin de Pau, détaille la police nationale. "Un automobiliste, témoin des faits, a secouru la jeune victime avant de se lancer à la poursuite d'un fourgon de couleur blanche", est-il ajouté dans l'appel à témoins, diffusé sur les réseaux sociaux de la Police nationale des Pyrénées-Atlantiques.

"Les enquêteurs recherchent toute personne susceptible d'avoir des informations permettant d'identifier ce témoin ou les auteurs des faits", est-il ajouté dans le même communiqué.

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Avait-on eu un appel à témoin ?

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250609ŦSortcière a écrit:Avait-on eu un appel à témoin ?

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Je n'en vois pas dans la presse en tout cas.

250611ŦKassandra88 a écrit:

250609ŦSortcière a écrit:Avait-on eu un appel à témoin ?

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Je n'en vois pas dans la presse en tout cas.

Ca ne me disait rien non plus. Le "pas de vagues" des foyers d'accueil ?
(elle vivait dans un foyer d’accueil et avait fugué depuis plusieurs jours.)

C'est triste quand il n'y a pas des proches pour s'inquiéter et médiatiser ...

250612ŦSortcière a écrit:

250611ŦKassandra88 a écrit:

250609ŦSortcière a écrit:Avait-on eu un appel à témoin ?

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Je n'en vois pas dans la presse en tout cas.

Ca ne me disait rien non plus. Le "pas de vagues" des foyers d'accueil ?
(elle vivait dans un foyer d’accueil et avait fugué depuis plusieurs jours.)

C'est triste quand il n'y a pas des proches pour s'inquiéter et médiatiser ...

Bonjour Sortcière,
Depuis que je m'intéresse aux phénomènes de disparition, je me réjouis presque lorsqu'on évoque le mot "fugue" car la plupart du temps, les fugueur(euse)s sont retrouvé(e)s. Mais j'ai constaté que la plupart des enfants en fugue sont des enfants placés en foyer. Pourquoi y en a t'il tant?

@ Kassandra : Sans doute parce qu'il se passe tout et n'importe quoi dans ces foyers d'accueil et que ça ne va pas en s'arrangeant ...

250619ŦSortcière a écrit:@ Kassandra : Sans doute parce qu'il se passe tout et n'importe quoi dans ces foyers d'accueil et que ça ne va pas en s'arrangeant ...

Ou simplement parce que l'ado n'a pas supporté une mesure d'éloignement de sa famille.

250620ŦKassandra88 a écrit:

250619ŦSortcière a écrit:@ Kassandra : Sans doute parce qu'il se passe tout et n'importe quoi dans ces foyers d'accueil et que ça ne va pas en s'arrangeant ...

Ou simplement parce que l'ado n'a pas supporté une mesure d'éloignement de sa famille.

Ca aussi mais il y a bien d'autres violences :

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Rhône: une femme amnésique disant avoir résidé près de Lyon hospitalisée à Barcelone, un avis de recherche lancé.

La gendarmerie du Rhône tente de contacter les proches d'une femme d'environ 55 ans, amnésique et actuellement hospitalisée à Barcelone (Espagne). S’exprimant en français, elle se souvient avoir résidé dans les environs de Lyon.

La gendarmerie du Rhône a lancé un avis de recherche, ce mercredi 20 novembre dans la soirée, afin de tenter d'en apprendre davantage sur une femme amnésique, actuellement hospitalisée à Barcelone (Espagne).

"S’exprimant en français", la femme se souvient avoir résidé "dans les environs de Lyon", expliquent les gendarmes.

Cette dernière, âgée d'environ 55 ans selon les militaires, s'est présentée le 13 novembre dernier au Consulat général de France dans la capitale catalane.

"Elle semble être de type européen ou méditerranéen. Elle a les cheveux courts bruns, couleur tirant vers le auburn. Il est probable qu’elle soit fumeuse", précisent-ils.

Toute personne pouvant les aider à en apprendre davantage sur la quinquagénaire est appelée à contacter le 17.

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