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Tueur en série : le grêlé. :: AFFAIRES EN COURS :: AVIS DE RECHERCHE-APPELS À TÉMOINS
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Arian
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Un agriculteur a trouvé le corps d'Arian (pour l'instant identifié par son t-shirt jaune) sur un champ non loin du village de Behrste. Et le public se pose les mêmes question comme dans la disparition d'Émile. Pourquoi est-ce qu'on a pas trouvé l'enfant pendant les battues? La police est très prudente en ce moment, il y a l'idée que l'enfant soit mort après les recherches et qu'il s'est caché quelque part au chaud pendant les premiers jours. Fin avril les nuits étaient glaciales. Arian habitait à Elm.
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Un agriculteur a trouvé le corps d'Arian (pour l'instant identifié par son t-shirt jaune) sur un champ non loin du village de Behrste. Et le public se pose les mêmes question comme dans la disparition d'Émile. Pourquoi est-ce qu'on a pas trouvé l'enfant pendant les battues? La police est très prudente en ce moment, il y a l'idée que l'enfant soit mort après les recherches et qu'il s'est caché quelque part au chaud pendant les premiers jours. Fin avril les nuits étaient glaciales. Arian habitait à Elm.
Hercule-Poirot
Re: Appel à témoins 2
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Les investigations en cours pour déterminer son identité
L'homme est tombé sur le corps d'un enfant dans la commune d'Estorf qui se situe à seulement 14 kilomètres du lieu où Arian avait été vu avant qu'il ne disparaisse. Celui-ci l'a découvert alors qu'il travaillait dans son champ qu'il venait de faucher et qu'il s'apprêtait à retourner. Nul doute qu'il ne s'attendait pas à faire cette rencontre... augurant le pire. Pour autant, il n'est actuellement pas possible de dire avec certitude qui est l'enfant retrouvé. "Le corps a été transféré dans un institut de médecine légale", ont aussitôt fait savoir les policiers en charge de l'affaire dans un communiqué relayé par la presse allemande, pour une recherche ADN qui doit permettre de certifier son identité. Il va falloir patienter quelques jours avant que les analyses ne révèlent leur verdict.
Les investigations en cours pour déterminer son identité
L'homme est tombé sur le corps d'un enfant dans la commune d'Estorf qui se situe à seulement 14 kilomètres du lieu où Arian avait été vu avant qu'il ne disparaisse. Celui-ci l'a découvert alors qu'il travaillait dans son champ qu'il venait de faucher et qu'il s'apprêtait à retourner. Nul doute qu'il ne s'attendait pas à faire cette rencontre... augurant le pire. Pour autant, il n'est actuellement pas possible de dire avec certitude qui est l'enfant retrouvé. "Le corps a été transféré dans un institut de médecine légale", ont aussitôt fait savoir les policiers en charge de l'affaire dans un communiqué relayé par la presse allemande, pour une recherche ADN qui doit permettre de certifier son identité. Il va falloir patienter quelques jours avant que les analyses ne révèlent leur verdict.
“Le hasard aime à servir celui qui suit toujours une même pensée.”
J. Michelet
checkerboard
Arian
234907Ŧcheckerboard a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Les investigations en cours pour déterminer son identité
L'homme est tombé sur le corps d'un enfant dans la commune d'Estorf qui se situe à seulement 14 kilomètres du lieu où Arian avait été vu avant qu'il ne disparaisse. Celui-ci l'a découvert alors qu'il travaillait dans son champ qu'il venait de faucher et qu'il s'apprêtait à retourner. Nul doute qu'il ne s'attendait pas à faire cette rencontre... augurant le pire. Pour autant, il n'est actuellement pas possible de dire avec certitude qui est l'enfant retrouvé. "Le corps a été transféré dans un institut de médecine légale", ont aussitôt fait savoir les policiers en charge de l'affaire dans un communiqué relayé par la presse allemande, pour une recherche ADN qui doit permettre de certifier son identité. Il va falloir patienter quelques jours avant que les analyses ne révèlent leur verdict.
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La distance entre sa maison et le lieu ou il a été trouvé n'est que 1,5 kilomètres. D'après l'autopsie il n'y avait pas de violence contre l'enfant. Le champ a été fouillé 4 ou 5 fois ...
Hercule-Poirot
Re: Appel à témoins 2
Bonsoir Hercule Poirot,
Oui il semble que le corps a été retrouvé pas très loin du lieu de la disparition (maison des parents d'Arian).
Selon les articles les distances vont de 3,5/4 km à plus de 35/40 km, c'est dire le peu de sérieux de certains ...
Le problème quand un enfant en bas âge part à l'aventure et se perd c'est qu'il reste en mouvement et donc peut se trouver là où on a cherché quelques instants plus tôt, tourner en rond, faire des aller-retours puis repartir tout droit et surtout se cacher si il a peur en entendant du bruit ou du monde près de là où il se trouve ...
Après deux mois, il va falloir déterminer approximativement la date du décès mais je doute que l'état du corps puisse apprendre grand chose d'autre que pas de violences par arme a feu, arme blanche, coups ayant entrainé des fractures, étranglement, bref comme d'habitude quand on parle d'absence de violences.
L'enfant, si il a survécu quelques temps, a pu se cacher, trouver de l'eau. Quelle tristesse ces fins tragiques ...
Oui il semble que le corps a été retrouvé pas très loin du lieu de la disparition (maison des parents d'Arian).
Selon les articles les distances vont de 3,5/4 km à plus de 35/40 km, c'est dire le peu de sérieux de certains ...
Le problème quand un enfant en bas âge part à l'aventure et se perd c'est qu'il reste en mouvement et donc peut se trouver là où on a cherché quelques instants plus tôt, tourner en rond, faire des aller-retours puis repartir tout droit et surtout se cacher si il a peur en entendant du bruit ou du monde près de là où il se trouve ...
Après deux mois, il va falloir déterminer approximativement la date du décès mais je doute que l'état du corps puisse apprendre grand chose d'autre que pas de violences par arme a feu, arme blanche, coups ayant entrainé des fractures, étranglement, bref comme d'habitude quand on parle d'absence de violences.
L'enfant, si il a survécu quelques temps, a pu se cacher, trouver de l'eau. Quelle tristesse ces fins tragiques ...
Sortcière
Re: Appel à témoins 2
La longue descente aux enfers d’une ado agressée sexuellement puis harcelée : « Elle avait 14 ans… »
La vie d’une jeune fille de Compiègne (Oise) a basculé en août 2021. Agressée sexuellement, puis harcelée, elle a depuis perdu pied. En échec scolaire, elle a fugué de son domicile il y a quinze jours et est recherchée par la police. Désemparée, inquiète, sa mère crie sa colère contre la justice qui n’a toujours pas entendu le principal suspect.
La vie de toute une famille a basculé le 20 août 2021. « Depuis, j’ai l’impression que la descente aux enfers n’en finit pas », soupire Isabelle (le prénom a été changé), la quarantaine. Cette habitante de Compiègne se bat depuis bientôt trois ans pour que l’agresseur sexuel de sa fille, Océane (le prénom a été changé) soit enfin entendu par la police.
« Elle avait 14 ans à l’époque. Depuis, j’ai appris que deux autres plaintes contre lui ont été déposées. Combien de victimes a-t-il faites ? Combien de familles a-t-il détruites ? » Isabelle se bat depuis trois ans — appels au commissariat, courrier au procureur… — assistant impuissante à la lenteur de la justice, mais aussi à la déchéance de sa fille, qui n’a plus le goût de vivre et s’autodétruit, selon sa mère.
Avec l’aide de l’association France Victimes, Isabelle prend des rendez-vous chez le psychologue, en vain. Elle se résout même à faire hospitaliser Océane après une publication désespérée sur les réseaux sociaux où sa fille, également harcelée, disait vouloir « se buter ».
« Des camarades l’ont insultée sur les réseaux sociaux »
Mais l’adolescente ne supporte plus cette douleur lancinante qui s’éternise et qu’elle tait. Jusque-là bonne élève, elle flirte désormais avec la délinquance, seule solution qu’elle a trouvée pour crier son mal-être. Océane, aujourd’hui âgée de 17 ans, a quitté le domicile familial, il y a quinze jours. Sa mère imagine désormais le pire.
C’est le 20 août 2021 que tout a basculé. Océane demande à sa maman si elle peut aller dormir chez une amie, d’un an plus âgée qu’elle. « J’avais l’adresse, le numéro de téléphone, ce n’était pas loin. Pour moi, c’était une soirée pyjama », se souvient Isabelle. Mais le lendemain, Océane revient à fleur de peau, anxieuse.
« Elle ne m’a rien dit. Plus les jours passent, plus elle va mal, relate sa maman. C’est finalement son petit copain qui m’en a parlé quand des camarades de son collège l’ont insultée sur les réseaux sociaux. » Elle apprend que le soir des faits, le petit ami majeur de son hôte avait été présent, proposant un plan à trois. « Océane a refusé, a giflé le garçon, poursuit la maman. Mais il l’a agressée sexuellement. »
Les résultats scolaires d’Océane chutent spectaculairement. Elle passe de 16 à 4 de moyenne. Finalement, aucun lycée de Compiègne ne veut la prendre. « Je pensais que c’était un mal pour un bien et qu’on pourrait ainsi l’extraire de ses relations nocives, soupire Isabelle. Mais elle s’est mise à voler, à avoir de mauvaises fréquentations. On a dû mettre des cadenas à nos chambres car, en notre absence, elle faisait rentrer des jeunes malintentionnés chez nous. »
Océane atterrit alors dans un lycée professionnel en internat, à quelques kilomètres de chez elle. Mais elle fugue, se fait arrêter par la police pour détention de drogue, traîne dans un quartier réputé pour son trafic… « On a alors démarré des cours par correspondance pour l’avoir avec nous, enchaîne la maman. On lui a posé un cadre strict à la maison mais ça n’a tenu que quelques mois. Elle a recommencé à mentir, à voler. »
Deux autres plaines déposées contre le même homme
« Je suis dépassée et en colère contre la police qui n’a rien fait depuis trois ans, tremble-t-elle. Celui qui suivait le dossier de ma fille a été muté, puis j’ai été reçue par un officier qui me disait qu’ils étaient tous débordés. C’est moi qui leur ai donné l’identité de son agresseur. Ils savent de qui il s’agit, mais il n’a toujours pas été entendu. Quand j’appelle, on me dit que ma fille n’est plus en danger immédiat. »
Mais en mars dernier, elle tombe des nues. « Quand j’ai vu un agent, j’ai appris que deux autres plaintes ont été déposées contre la même personne, affirme Isabelle. Et il m’a demandé une photo de ma fille car, je cite : Quand ce monsieur sera auditionné, il risque de ne plus se rappeler de qui on parle. » La maman est sous le choc : « C’est d’une violence innommable. »
« Nous sommes débordés »
Depuis le début de la semaine, la police nationale a réenclenché les investigations et a inscrit Océane au fichier des personnes mineures recherchées. « Cet homme va être recherché, nous allons faire une demande au parquet pour qu’on ait les moyens d’agir », promet-on à la Direction interdépartementale de la police nationale (DIPN) dans l’Oise.
« Nous sommes navrés de ne pas avoir été aussi diligents que nous aurions dû mais, c’est une réalité, nous sommes débordés, poursuivent les autorités. Nous avons entre 40 et 50 violences intrafamiliales à traiter chaque mois, avec des coups portés, des menaces de mort. Ce qui n’est pas le cas dans cette affaire. Mais la hiérarchie aurait dû recevoir la mère, ce sera fait. »
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La vie d’une jeune fille de Compiègne (Oise) a basculé en août 2021. Agressée sexuellement, puis harcelée, elle a depuis perdu pied. En échec scolaire, elle a fugué de son domicile il y a quinze jours et est recherchée par la police. Désemparée, inquiète, sa mère crie sa colère contre la justice qui n’a toujours pas entendu le principal suspect.
La vie de toute une famille a basculé le 20 août 2021. « Depuis, j’ai l’impression que la descente aux enfers n’en finit pas », soupire Isabelle (le prénom a été changé), la quarantaine. Cette habitante de Compiègne se bat depuis bientôt trois ans pour que l’agresseur sexuel de sa fille, Océane (le prénom a été changé) soit enfin entendu par la police.
« Elle avait 14 ans à l’époque. Depuis, j’ai appris que deux autres plaintes contre lui ont été déposées. Combien de victimes a-t-il faites ? Combien de familles a-t-il détruites ? » Isabelle se bat depuis trois ans — appels au commissariat, courrier au procureur… — assistant impuissante à la lenteur de la justice, mais aussi à la déchéance de sa fille, qui n’a plus le goût de vivre et s’autodétruit, selon sa mère.
Avec l’aide de l’association France Victimes, Isabelle prend des rendez-vous chez le psychologue, en vain. Elle se résout même à faire hospitaliser Océane après une publication désespérée sur les réseaux sociaux où sa fille, également harcelée, disait vouloir « se buter ».
« Des camarades l’ont insultée sur les réseaux sociaux »
Mais l’adolescente ne supporte plus cette douleur lancinante qui s’éternise et qu’elle tait. Jusque-là bonne élève, elle flirte désormais avec la délinquance, seule solution qu’elle a trouvée pour crier son mal-être. Océane, aujourd’hui âgée de 17 ans, a quitté le domicile familial, il y a quinze jours. Sa mère imagine désormais le pire.
C’est le 20 août 2021 que tout a basculé. Océane demande à sa maman si elle peut aller dormir chez une amie, d’un an plus âgée qu’elle. « J’avais l’adresse, le numéro de téléphone, ce n’était pas loin. Pour moi, c’était une soirée pyjama », se souvient Isabelle. Mais le lendemain, Océane revient à fleur de peau, anxieuse.
« Elle ne m’a rien dit. Plus les jours passent, plus elle va mal, relate sa maman. C’est finalement son petit copain qui m’en a parlé quand des camarades de son collège l’ont insultée sur les réseaux sociaux. » Elle apprend que le soir des faits, le petit ami majeur de son hôte avait été présent, proposant un plan à trois. « Océane a refusé, a giflé le garçon, poursuit la maman. Mais il l’a agressée sexuellement. »
Les résultats scolaires d’Océane chutent spectaculairement. Elle passe de 16 à 4 de moyenne. Finalement, aucun lycée de Compiègne ne veut la prendre. « Je pensais que c’était un mal pour un bien et qu’on pourrait ainsi l’extraire de ses relations nocives, soupire Isabelle. Mais elle s’est mise à voler, à avoir de mauvaises fréquentations. On a dû mettre des cadenas à nos chambres car, en notre absence, elle faisait rentrer des jeunes malintentionnés chez nous. »
Océane atterrit alors dans un lycée professionnel en internat, à quelques kilomètres de chez elle. Mais elle fugue, se fait arrêter par la police pour détention de drogue, traîne dans un quartier réputé pour son trafic… « On a alors démarré des cours par correspondance pour l’avoir avec nous, enchaîne la maman. On lui a posé un cadre strict à la maison mais ça n’a tenu que quelques mois. Elle a recommencé à mentir, à voler. »
Deux autres plaines déposées contre le même homme
« Je suis dépassée et en colère contre la police qui n’a rien fait depuis trois ans, tremble-t-elle. Celui qui suivait le dossier de ma fille a été muté, puis j’ai été reçue par un officier qui me disait qu’ils étaient tous débordés. C’est moi qui leur ai donné l’identité de son agresseur. Ils savent de qui il s’agit, mais il n’a toujours pas été entendu. Quand j’appelle, on me dit que ma fille n’est plus en danger immédiat. »
Mais en mars dernier, elle tombe des nues. « Quand j’ai vu un agent, j’ai appris que deux autres plaintes ont été déposées contre la même personne, affirme Isabelle. Et il m’a demandé une photo de ma fille car, je cite : Quand ce monsieur sera auditionné, il risque de ne plus se rappeler de qui on parle. » La maman est sous le choc : « C’est d’une violence innommable. »
« Nous sommes débordés »
Depuis le début de la semaine, la police nationale a réenclenché les investigations et a inscrit Océane au fichier des personnes mineures recherchées. « Cet homme va être recherché, nous allons faire une demande au parquet pour qu’on ait les moyens d’agir », promet-on à la Direction interdépartementale de la police nationale (DIPN) dans l’Oise.
« Nous sommes navrés de ne pas avoir été aussi diligents que nous aurions dû mais, c’est une réalité, nous sommes débordés, poursuivent les autorités. Nous avons entre 40 et 50 violences intrafamiliales à traiter chaque mois, avec des coups portés, des menaces de mort. Ce qui n’est pas le cas dans cette affaire. Mais la hiérarchie aurait dû recevoir la mère, ce sera fait. »
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Re: Appel à témoins 2
Disparition d'une mère de famille : armes de guerre, mari survivaliste, mise en scène....
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Laure Zacchello, 43 ans est portée disparue depuis le 21 juin. Son mari, dont elle était en train de se séparer, a été mis en examen pour homicide volontaire sur conjoint. La justice le soupçonne d'avoir mis en scène une agression et d'avoir tué sa femme, mère de trois jeunes enfants.
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Laure Zacchello, 43 ans est portée disparue depuis le 21 juin. Son mari, dont elle était en train de se séparer, a été mis en examen pour homicide volontaire sur conjoint. La justice le soupçonne d'avoir mis en scène une agression et d'avoir tué sa femme, mère de trois jeunes enfants.
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Pondyness
ossements retrouvés à Fréjus
INFO BFM TOULON VAR. FRÉJUS: DES OSSEMENTS ET UN CRÂNE HUMAIN DÉCOUVERTS AU BORD D'UNE VOIE FERRÉE.
Des ossements humains ont été retrouvés il y a trois semaines à Fréjus à proximité d'une route et de la voix ferrée. Des documents d'identité ont été retrouvés et des analyses sont en cours.
À qui appartiennent les os humains découverts le 14 juin?
Des documents d'identité ont été découverts sur la dépouille et pourraient orienter la piste vers une personne disparue il y a plusieurs années. Autre question à laquelle la police doit répondre: la cause de la mort, encore inconnue à ce stade.
Une enquête pour "recherche des causes de la mort" est actuellement diligentée par le commissariat de Fréjus.
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Des ossements humains ont été retrouvés il y a trois semaines à Fréjus à proximité d'une route et de la voix ferrée. Des documents d'identité ont été retrouvés et des analyses sont en cours.
À qui appartiennent les os humains découverts le 14 juin?
Des documents d'identité ont été découverts sur la dépouille et pourraient orienter la piste vers une personne disparue il y a plusieurs années. Autre question à laquelle la police doit répondre: la cause de la mort, encore inconnue à ce stade.
Une enquête pour "recherche des causes de la mort" est actuellement diligentée par le commissariat de Fréjus.
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Re: Appel à témoins 2
Association d'Aide aux Victimes des Affaires Non Élucidées
Carte des affaires non élucidées francophones
Manor
Re: Appel à témoins 2
Tout ce que nous entendons est une opinion et non un fait;
Tout ce que nous voyons est une perspective et non la vérité.
Marc-Aurèle
Tout ce que nous voyons est une perspective et non la vérité.
Marc-Aurèle
Casta- Administrateur du forum
Re: Appel à témoins 2
Aubervilliers : le mystère de la « suppliciée de la poussette », abandonnée aux urgences par ses bourreaux
Un agent de la polyclinique d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis) l’a découverte il y a deux semaines. Depuis, la jeune femme a succombé à ses blessures. Les enquêteurs ont pu lui donner un nom : Laura Daniela Rubiano Gonzalez. Mais son meurtrier court toujours.
Par Denis Courtine
Le 10 juillet 2024 à 05h40
Sa seule identité, c’était sa douleur. Des marques de coups de couteau sur tout le corps avec deux énormes balafres, l’une barrant l’œil et l’autre ses lèvres. Un pli de souffrance si marqué au niveau des paupières qu’il choquera les premiers témoins.
Et puis, il y a les conditions pathétiques dans lesquelles cette jeune femme a été emmenée à la polyclinique d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis) le 20 juin. Posée comme une poupée trop grande dans une poussette et abandonnée dans le hall d‘accueil des urgences. Sa vie ne tenait alors qu’à un fil.
Il a fini par rompre la semaine dernière. La « suppliciée de la poussette » ne souffrira plus. Les médecins qui se sont pourtant battus pour la sauver ont déclaré son décès. « Ils ont tenté une opération de la dernière chance, mais son état de santé était désespéré », croit savoir un agent de la polyclinique. La jeune femme souffrait, entre autres blessures, d’une hémorragie cérébrale. Dès sa prise en charge en réanimation, elle avait été placée dans un coma artificiel.
Mercredi 3 juillet, un médecin légiste a pu l’examiner à l’Institut médico-légal de Paris (XIIIe). Il a confirmé la présence d’un œdème cérébral majeur. Lié à quoi ? Difficile à dire. Ce qui est sûr, en revanche, c’est que la jeune femme a été poignardée à neuf reprises. Une enquête pour homicide volontaire a été ouverte par le parquet de Bobigny qui l’a confiée au service départemental de la police judiciaire. Pour l’heure, selon nos informations, personne n’a été interpellé.
« La première chose qu’il a vue ce sont les deux pieds de la femme »
Il est 11h30 ce jeudi 20 juin quand un agent de sécurité, qui surveille l’accès aux urgences situé rue des Cités, demande machinalement à ces visiteurs ce qu’ils viennent faire ici. À ce moment précis, impossible de savoir qu’il y a le corps d’une femme dans la poussette. Une couette la dissimule. Que répondent les deux hommes ? Il y a deux versions de l’histoire.
« Ils n’ont rien répondu du tout, nous confie sur place un vigile. Ils ont laissé la poussette là, juste à côté de la porte, et ils sont partis en courant en descendant la rue des Cités. » D’après une source policière, l’un des hommes a prétexté des maux de ventre. Et il est entré avec l’autre individu et la poussette dans l’établissement. « Du reste, personne n’a trop vérifié ce qu’il y avait à l’intérieur, peste un enquêteur. Cela aurait pu être une arme. »
Que cela se passe dans le hall d’accueil ou devant la porte d’entrée des urgences, l’agent de sécurité décide en tout cas de soulever la couette qui recouvre la poussette. « La première chose qu’il a vue ce sont les deux pieds de la femme, écarquille des yeux son collègue. Il était choqué. Comment pouvait-il s’attendre à une chose pareille ? Il a aussitôt appelé le PC sécurité. »
Des traces de sang dans l’appartement
Il a fallu trois jours pour identifier la victime. « Il n’y avait quasiment rien pour la reconnaître, soupire une source proche de l’enquête. Pas de papiers et pas de téléphone portable. Et son visage était méconnaissable. » L’affaire rebondit le 23 juin. Une dame vient d’appeler le commissariat d’Aubervilliers. Elle est sans nouvelles de sa cousine. La jeune femme était, apparemment, en vacances depuis un mois. Elle habitait un appartement de la ville, avenue du Président-Roosevelt. Un rapprochement est fait aussitôt avec la victime de la poussette.
C’est elle. Elle est Colombienne. Son nom ? Laura Daniela Rubiano Gonzalez. Elle avait 25 ans. Qui l’a tuée ? On ne sait pas. Mais on sait où elle a été suppliciée. C’est dans l’appartement d’Aubervilliers. À l’arrivée des policiers, il était vide. Pas de quoi pour autant faire disparaître tous les indices. Le travail des experts de l’identité judiciaire aurait permis de relever des traces de sang un peu partout dans l’habitation. Vivait-elle seule dans cet appartement ? On l’ignore.
Dans le même temps, les enquêteurs ont essayé de retrouver les deux hommes de la poussette. En vain. « Ils avaient un accent des pays de l’Est, avance un employé de la polyclinique. Des Roumains. Apparemment, ils étaient payés pour déposer la fille à l’hôpital. » « Il n’y a rien qui accrédite cette thèse, tempère une source proche de l’enquête. Au contraire, on ne sait pas qui étaient ces deux hommes et on aimerait bien le savoir. » Les investigations se poursuivent.
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Un agent de la polyclinique d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis) l’a découverte il y a deux semaines. Depuis, la jeune femme a succombé à ses blessures. Les enquêteurs ont pu lui donner un nom : Laura Daniela Rubiano Gonzalez. Mais son meurtrier court toujours.
Par Denis Courtine
Le 10 juillet 2024 à 05h40
Sa seule identité, c’était sa douleur. Des marques de coups de couteau sur tout le corps avec deux énormes balafres, l’une barrant l’œil et l’autre ses lèvres. Un pli de souffrance si marqué au niveau des paupières qu’il choquera les premiers témoins.
Et puis, il y a les conditions pathétiques dans lesquelles cette jeune femme a été emmenée à la polyclinique d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis) le 20 juin. Posée comme une poupée trop grande dans une poussette et abandonnée dans le hall d‘accueil des urgences. Sa vie ne tenait alors qu’à un fil.
Il a fini par rompre la semaine dernière. La « suppliciée de la poussette » ne souffrira plus. Les médecins qui se sont pourtant battus pour la sauver ont déclaré son décès. « Ils ont tenté une opération de la dernière chance, mais son état de santé était désespéré », croit savoir un agent de la polyclinique. La jeune femme souffrait, entre autres blessures, d’une hémorragie cérébrale. Dès sa prise en charge en réanimation, elle avait été placée dans un coma artificiel.
Mercredi 3 juillet, un médecin légiste a pu l’examiner à l’Institut médico-légal de Paris (XIIIe). Il a confirmé la présence d’un œdème cérébral majeur. Lié à quoi ? Difficile à dire. Ce qui est sûr, en revanche, c’est que la jeune femme a été poignardée à neuf reprises. Une enquête pour homicide volontaire a été ouverte par le parquet de Bobigny qui l’a confiée au service départemental de la police judiciaire. Pour l’heure, selon nos informations, personne n’a été interpellé.
« La première chose qu’il a vue ce sont les deux pieds de la femme »
Il est 11h30 ce jeudi 20 juin quand un agent de sécurité, qui surveille l’accès aux urgences situé rue des Cités, demande machinalement à ces visiteurs ce qu’ils viennent faire ici. À ce moment précis, impossible de savoir qu’il y a le corps d’une femme dans la poussette. Une couette la dissimule. Que répondent les deux hommes ? Il y a deux versions de l’histoire.
« Ils n’ont rien répondu du tout, nous confie sur place un vigile. Ils ont laissé la poussette là, juste à côté de la porte, et ils sont partis en courant en descendant la rue des Cités. » D’après une source policière, l’un des hommes a prétexté des maux de ventre. Et il est entré avec l’autre individu et la poussette dans l’établissement. « Du reste, personne n’a trop vérifié ce qu’il y avait à l’intérieur, peste un enquêteur. Cela aurait pu être une arme. »
Que cela se passe dans le hall d’accueil ou devant la porte d’entrée des urgences, l’agent de sécurité décide en tout cas de soulever la couette qui recouvre la poussette. « La première chose qu’il a vue ce sont les deux pieds de la femme, écarquille des yeux son collègue. Il était choqué. Comment pouvait-il s’attendre à une chose pareille ? Il a aussitôt appelé le PC sécurité. »
Des traces de sang dans l’appartement
Il a fallu trois jours pour identifier la victime. « Il n’y avait quasiment rien pour la reconnaître, soupire une source proche de l’enquête. Pas de papiers et pas de téléphone portable. Et son visage était méconnaissable. » L’affaire rebondit le 23 juin. Une dame vient d’appeler le commissariat d’Aubervilliers. Elle est sans nouvelles de sa cousine. La jeune femme était, apparemment, en vacances depuis un mois. Elle habitait un appartement de la ville, avenue du Président-Roosevelt. Un rapprochement est fait aussitôt avec la victime de la poussette.
C’est elle. Elle est Colombienne. Son nom ? Laura Daniela Rubiano Gonzalez. Elle avait 25 ans. Qui l’a tuée ? On ne sait pas. Mais on sait où elle a été suppliciée. C’est dans l’appartement d’Aubervilliers. À l’arrivée des policiers, il était vide. Pas de quoi pour autant faire disparaître tous les indices. Le travail des experts de l’identité judiciaire aurait permis de relever des traces de sang un peu partout dans l’habitation. Vivait-elle seule dans cet appartement ? On l’ignore.
Dans le même temps, les enquêteurs ont essayé de retrouver les deux hommes de la poussette. En vain. « Ils avaient un accent des pays de l’Est, avance un employé de la polyclinique. Des Roumains. Apparemment, ils étaient payés pour déposer la fille à l’hôpital. » « Il n’y a rien qui accrédite cette thèse, tempère une source proche de l’enquête. Au contraire, on ne sait pas qui étaient ces deux hommes et on aimerait bien le savoir. » Les investigations se poursuivent.
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Re: Appel à témoins 2
Affaire Mohamed Amra : la police judiciaire lance un appel à témoins
Les forces de l’ordre exhortent toute personne ayant été témoin « d’évènements suspects ou inhabituels » le 14 mai près d’Évreux, date de l’évasion du délinquant, à partager leurs informations. Elles cherchent surtout à identifier avec quel véhicule le commando a pris la fuite.
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Les forces de l’ordre exhortent toute personne ayant été témoin « d’évènements suspects ou inhabituels » le 14 mai près d’Évreux, date de l’évasion du délinquant, à partager leurs informations. Elles cherchent surtout à identifier avec quel véhicule le commando a pris la fuite.
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Re: Appel à témoins 2
"Une fillette de 6 ans portée disparue en Seine-Maritime, le plan alerte enlèvement déclenché - Le Parisien" [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
ALERTE ENLÈVEMENT
La petite Ceylia, 6 ans, a disparu en Seine-Maritime.
Elle est susceptible d'avoir été enlevée par le compagon de sa mère. Il circule dansune Golf bleu marine.
(Détails dans l'article)
EDIT : Photo du ravisseur potentiel
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ALERTE ENLÈVEMENT
La petite Ceylia, 6 ans, a disparu en Seine-Maritime.
Elle est susceptible d'avoir été enlevée par le compagon de sa mère. Il circule dansune Golf bleu marine.
(Détails dans l'article)
EDIT : Photo du ravisseur potentiel
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est une volupté de fin gourmet." -
G. COURTELINE
ruth
Re: Appel à témoins 2
Terrible nouvelle :
"
Merci à tous pour votre aide."
(Tweet du ministère de la Justice)
"
Le corps sans vie de Célya a été retrouvé. Sur décision du parquet de Rouen, il est mis fin à l'alerte enlèvement.
Merci à tous pour votre aide."
(Tweet du ministère de la Justice)
est une volupté de fin gourmet." -
G. COURTELINE
ruth
Re: Appel à témoins 2
Le "beau-père" est toujours recherché.
Il avait auparavant poignardé qui avait pu appeler les gendarmes.
Il souffrirait de "troubles du comportement".
(BFM)
Il avait auparavant poignardé qui avait pu appeler les gendarmes.
Il souffrirait de "troubles du comportement".
(BFM)
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G. COURTELINE
ruth
Re: Appel à témoins 2
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ruth
Re: Appel à témoins 2
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G. COURTELINE
ruth
Nayla B.
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Les faits
La police et les proches sont à la recherche de Nayla B., 14 ans. L'adolescente a disparu depuis le 18 mars, mais a maintenu jusqu'à présent un contact sporadique avec ses proches et le service de l'aide sociale à l'enfance. Entre-temps, le contact a complètement cessé et son lieu de séjour est inconnu. L'adolescente a des liens avec Kehl, Lahr, Offenburg, Achern et Strasbourg.
Une situation d'impuissance ne peut pas être exclue.
Nayla B. mesure 1,64 mètre, est mince, d'apparence afro-américaine et porte de longues et fines tresses.
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Une disparition à l'autre côté de la frontière, près de Strasbourg ...
Les faits
La police et les proches sont à la recherche de Nayla B., 14 ans. L'adolescente a disparu depuis le 18 mars, mais a maintenu jusqu'à présent un contact sporadique avec ses proches et le service de l'aide sociale à l'enfance. Entre-temps, le contact a complètement cessé et son lieu de séjour est inconnu. L'adolescente a des liens avec Kehl, Lahr, Offenburg, Achern et Strasbourg.
Une situation d'impuissance ne peut pas être exclue.
Nayla B. mesure 1,64 mètre, est mince, d'apparence afro-américaine et porte de longues et fines tresses.
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Une disparition à l'autre côté de la frontière, près de Strasbourg ...
Hercule-Poirot
Célia
Mort de Célya, 6 ans : « extrême violence », « coup de folie »… ce qu’il faut retenir des déclarations du procureur
Selon les premiers éléments de l’enquête, la petite fille a reçu un coup « majeur » à l’arrière « du crâne » qui a « très probablement causé son décès ».
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Selon les premiers éléments de l’enquête, la petite fille a reçu un coup « majeur » à l’arrière « du crâne » qui a « très probablement causé son décès ».
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Re: Appel à témoins 2
Alerte enlèvement : après la mort de Vanille en 2020, Célya est la deuxième fillette tuée malgré le dispositif
Sur les 33 enfants, pour lesquels le dispositif alerte enlèvement lancé en 2006 a été déclenché, deux ont été retrouvés morts : Vanille, un bébé d’un an, en 2020 et Célya, âgée de 6 ans, ce vendredi 12 juillet.
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Sur les 33 enfants, pour lesquels le dispositif alerte enlèvement lancé en 2006 a été déclenché, deux ont été retrouvés morts : Vanille, un bébé d’un an, en 2020 et Célya, âgée de 6 ans, ce vendredi 12 juillet.
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Célya
est une volupté de fin gourmet." -
G. COURTELINE
ruth
Re: Appel à témoins 2
En 1969, Ghislaine Debeve a 21 ans. Elle habite à Nantes (Loire-Atlantique), et sa relation avec sa mère est tendue. A tel point qu’elle décide de fuguer. Elle part, se cache dans un premier temps chez une amie, puis décide de partir en stop en Allemagne.
Pendant trois ans, Ghislaine ne donne pas de nouvelles. Et puis elle décide de rentrer en France, et reprend contact avec sa famille. Quelques années plus tard, elle découvre le travail de l’ARPD, l’association Assistance et recherche de personnes disparues, qui aide des familles de personnes disparues à retrouver leurs proches. En 2017, alors qu’elle est à la retraite depuis quelques années, Ghislaine rejoint l’association et devient enquêtrice bénévole.
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Pendant trois ans, Ghislaine ne donne pas de nouvelles. Et puis elle décide de rentrer en France, et reprend contact avec sa famille. Quelques années plus tard, elle découvre le travail de l’ARPD, l’association Assistance et recherche de personnes disparues, qui aide des familles de personnes disparues à retrouver leurs proches. En 2017, alors qu’elle est à la retraite depuis quelques années, Ghislaine rejoint l’association et devient enquêtrice bénévole.
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Tueur en série : le grêlé. :: AFFAIRES EN COURS :: AVIS DE RECHERCHE-APPELS À TÉMOINS
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