Désormais on sait qui il était clap 9
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Re: Désormais on sait qui il était clap 9
Bonjour A tous/tes.
Cette semaine, j'étais hospitalisée à Montpellier dans l'Hérault et dès ma sortie , accompagnée de mon meilleur ami, nous avons pris la direction de la Grande Motte .
Nous nous sommes arrêtés presqu'une demie heure placette des Goélands et j'ai pu prendre une bonne trentaine de photo de la maison de cette ordure de Vérove.
Je pense que la maison est relouée car tout semblait banal concernant cette maison (noms sur la boIte autre que Vérove) .
Quelqu'un a t-il des infos sur la dernière demeure de Vérove?
j'ai pu faire une trentaine de photos de cette maudite maison...
Mais bon , ce fut une drôle de sensation de se retrouver aussi près de la demeure de ce
grand tueur en série qui a fait tant de dégâts humains.
J'ai imaginé qu'il avait marché à l'endroit ou j'étais garé, ou qu'il était en train de jardiner tranquillement pendant que toute la France le cherchait.
Cette semaine, j'étais hospitalisée à Montpellier dans l'Hérault et dès ma sortie , accompagnée de mon meilleur ami, nous avons pris la direction de la Grande Motte .
Nous nous sommes arrêtés presqu'une demie heure placette des Goélands et j'ai pu prendre une bonne trentaine de photo de la maison de cette ordure de Vérove.
Je pense que la maison est relouée car tout semblait banal concernant cette maison (noms sur la boIte autre que Vérove) .
Quelqu'un a t-il des infos sur la dernière demeure de Vérove?
j'ai pu faire une trentaine de photos de cette maudite maison...
Mais bon , ce fut une drôle de sensation de se retrouver aussi près de la demeure de ce
grand tueur en série qui a fait tant de dégâts humains.
J'ai imaginé qu'il avait marché à l'endroit ou j'étais garé, ou qu'il était en train de jardiner tranquillement pendant que toute la France le cherchait.
natacha37000
Re: Désormais on sait qui il était clap 9
Bonjour Natacha,
Bonjour à tous,
Lorsque l'affaire Dutroux a éclaté, toute la Belgique a découvert ce triste personnage. En ce qui concerne le grêlé, peu de personnes, y compris des Parisiens, connaissaient son existence. Son identification a du faire un certain remous dans la région, mais seuls, les gens comme nous qui nous intéressions à son parcours depuis plusieurs années, ont vraiment cherché à en savoir plus.
Je ne suis donc pas plus étonnée que cela d'apprendre que la maison a retrouvé rapidement un certain anonymat (vendue? louée?) et n'est même plus sous scellés... Et puis, il ne faut pas faire fuir les investisseurs.
J'espère qu'elle a été fouillée de fond en comble avant d'être remise sur le marché. Je pense notamment que les faux plafonds peuvent être des lieux où certains cachent des trophées.
J'espère que ta convalescence se passe bien et que le fait de te retrouver face à cette maison n'a pas été trop traumatisant.
Bonjour à tous,
Lorsque l'affaire Dutroux a éclaté, toute la Belgique a découvert ce triste personnage. En ce qui concerne le grêlé, peu de personnes, y compris des Parisiens, connaissaient son existence. Son identification a du faire un certain remous dans la région, mais seuls, les gens comme nous qui nous intéressions à son parcours depuis plusieurs années, ont vraiment cherché à en savoir plus.
Je ne suis donc pas plus étonnée que cela d'apprendre que la maison a retrouvé rapidement un certain anonymat (vendue? louée?) et n'est même plus sous scellés... Et puis, il ne faut pas faire fuir les investisseurs.
J'espère qu'elle a été fouillée de fond en comble avant d'être remise sur le marché. Je pense notamment que les faux plafonds peuvent être des lieux où certains cachent des trophées.
J'espère que ta convalescence se passe bien et que le fait de te retrouver face à cette maison n'a pas été trop traumatisant.
Re: Désormais on sait qui il était clap 9
Kassandra88 a écrit:Bonjour Natacha,
Bonjour à tous,
Lorsque l'affaire Dutroux a éclaté, toute la Belgique a découvert ce triste personnage. En ce qui concerne le grêlé, peu de personnes, y compris des Parisiens, connaissaient son existence. Son identification a du faire un certain remous dans la région, mais seuls, les gens comme nous qui nous intéressions à son parcours depuis plusieurs années, ont vraiment cherché à en savoir plus.
Je ne suis donc pas plus étonnée que cela d'apprendre que la maison a retrouvé rapidement un certain anonymat (vendue? louée?) et n'est même plus sous scellés... Et puis, il ne faut pas faire fuir les investisseurs.
J'espère qu'elle a été fouillée de fond en comble avant d'être remise sur le marché. Je pense notamment que les faux plafonds peuvent être des lieux où certains cachent des trophées.
J'espère que ta convalescence se passe bien et que le fait de te retrouver face à cette maison n'a pas été trop traumatisant.
Merci Kass, ma convalescence se passe bien, j'ai un rdv e contrôle lundi prochain avec mon chirurgien et c'est reparti pour Montpellier..
La maison est située dans une petite voie sans issue et toute proche du centre commercial qui regroupe plein de commerces , la zone s'appelle " Les Goélands".
Avec mon ami, nous avons fait des courses au Super U le plus proche et j'imaginais Vérove à côté de moi en train de faire le bon Monsieur tout le monde avec un grand sourire pour berner tous les gens du coin.
Les volets de la maison étaient fermés, il n'avait personne dehors dans le jardin; Toutefois, deux voitures étaient garées dans la cour et une autre devant le portail..
j'ai pris les photos des voitures..
natacha37000
Re: Désormais on sait qui il était clap 9
Je viens de faire quelques recherches rapides sur societe.com. On ne retrouve même plus les traces de son ancien siret, que ce soit sous le nom d'Isabelle Vérove ou de son nom de jeune fille. Or normalement quand on ferme un siège ou un établissement principal cela apparait avec la date de fermeture.
Elle a fait effacer ses traces ?
Elle a fait effacer ses traces ?
Sortcière
Re: Désormais on sait qui il était clap 9
j'ai fait de même lors de mes vacances dans le gard l'été dernier c'est comme meme une très belle demeure pour un monstre pareilnatacha37000 a écrit:Bonjour A tous/tes.
Cette semaine, j'étais hospitalisée à Montpellier dans l'Hérault et dès ma sortie , accompagnée de mon meilleur ami, nous avons pris la direction de la Grande Motte .
Nous nous sommes arrêtés presqu'une demie heure placette des Goélands et j'ai pu prendre une bonne trentaine de photo de la maison de cette ordure de Vérove.
Je pense que la maison est relouée car tout semblait banal concernant cette maison (noms sur la boIte autre que Vérove) .
Quelqu'un a t-il des infos sur la dernière demeure de Vérove?
j'ai pu faire une trentaine de photos de cette maudite maison...
Mais bon , ce fut une drôle de sensation de se retrouver aussi près de la demeure de ce
grand tueur en série qui a fait tant de dégâts humains.
J'ai imaginé qu'il avait marché à l'endroit ou j'étais garé, ou qu'il était en train de jardiner tranquillement pendant que toute la France le cherchait.
Inspecteur Laffolasse
Re: Désormais on sait qui il était clap 9
Inspecteur Laffolasse a écrit:j'ai fait de même lors de mes vacances dans le gard l'été dernier c'est comme meme une très belle demeure pour un monstre pareilnatacha37000 a écrit:Bonjour A tous/tes.
Cette semaine, j'étais hospitalisée à Montpellier dans l'Hérault et dès ma sortie , accompagnée de mon meilleur ami, nous avons pris la direction de la Grande Motte .
Nous nous sommes arrêtés presqu'une demie heure placette des Goélands et j'ai pu prendre une bonne trentaine de photo de la maison de cette ordure de Vérove.
Je pense que la maison est relouée car tout semblait banal concernant cette maison (noms sur la boIte autre que Vérove) .
Quelqu'un a t-il des infos sur la dernière demeure de Vérove?
j'ai pu faire une trentaine de photos de cette maudite maison...
Mais bon , ce fut une drôle de sensation de se retrouver aussi près de la demeure de ce
grand tueur en série qui a fait tant de dégâts humains.
J'ai imaginé qu'il avait marché à l'endroit ou j'étais garé, ou qu'il était en train de jardiner tranquillement pendant que toute la France le cherchait.
Bonjour Inspecteur,
Avez-vous pu photographier la villa? et les noms sur la boite au lettres?
Est ce qu'il y avait des voitures garées devant et dans la propriété?
En ce qui concerne la maison, ça me paraît pas si grandiose que ça, ça reste une maison courante dans le style d'habitat de la région et avec un très petit jardin.
natacha37000
Il n’est plus acceptable d’envoyer à la poubelle des pièces à conviction
« Il n’est plus acceptable d’envoyer à la poubelle des pièces à conviction »
Le système pénal continue à détruire les scellés dans les affaires de crimes irrésolus. Le pôle « cold cases » de Nanterre doit remédier à ce scandale.
C’est une pratique des procureurs français stupéfiante pour le néophyte, révoltante absurdité administrative et comptable, preuve pour les associations de victimes d’une froide indifférence à leurs souffrances. Si un homicide reste irrésolu et que le dossier d’enquête, faute de piste, commence à prendre la poussière dans un cabinet d’instruction, ou s’il a fait l’objet d’un non-lieu faute de résultats et se trouve donc dans une zone grise juridique, il arrive qu’on détruise tout simplement les preuves, les pièces à conviction, appelées « scellés » en jargon judiciaire. « Scellé » car l’objet, enfermé dans un contenant refermé par un cachet de cire, est officiellement saisi par l’autorité judiciaire, devenant une pièce du dossier. Le plus souvent, leur destruction est un acte de pure gestion matérielle et financière. L’administration d’un tribunal, en la personne du greffier en chef, propose régulièrement au procureur de détruire une série de ces pièces, présentées sans référence particulière au statut des affaires qu’elles concernent. Cet acte peut donc mélanger les armes utilisées pour un homicide non résolu et les vêtements de la victime avec les pipes à crack saisies au domicile d’un trafiquant de drogue définitivement condamné, une moto accidentée qui a heurté un piéton dans un dossier réglé ou encore les bouteilles utilisées dans une bagarre d’ivrognes au bistrot. Une signature du procureur et tout part à la décharge ou à l’incinérateur, dans des services spécialisés. L’espoir de retrouver un jour un assassin finit donc en compost ou en fumée.
Jusque dans les années 1980, cette habitude ancienne était déjà très préjudiciable, puisque même si les crimes impunis sombraient dans les oubliettes plus encore qu’aujourd’hui, il pouvait toujours surgir un témoignage ou un élément nouveau conduisant à un suspect et à la réouverture du dossier. Depuis la première résolution d’un crime au Royaume-Uni par le recours à la technique de l’empreinte génétique en 1987 et surtout la création du Fichier français des empreintes génétiques (Fnaeg) en 1998, cette procédure relève de l’absurdité, voire de la forfaiture. Aucun magistrat ne peut ignorer qu’on peut désormais, grâce aux progrès de la science, isoler une empreinte, même sur un scellé vieux de plusieurs décennies, même avec une matière en quantité infinitésimale.
Le pôle de Nanterre a mis au jour une impressionnante série d’affaires où ont été passées au pilon des pièces cruciales, même à l’ère de l’ADN
Néanmoins, le pôle « cold cases » de Nanterre ainsi que l’exhumation ponctuelle de vieux dossiers dans les juridictions territoriales ont mis au jour une impressionnante série d’affaires où ont été passées au pilon, même à l’ère de l’ADN, des pièces cruciales, qui auraient peut-être permis une élucidation automatique. Les criminels de jadis ne mettaient ni gants ni préservatifs et les chances augmentent chaque jour de retrouver leur empreinte parmi les millions de traces du Fnaeg, d’autant qu’on développe désormais la recherche par parentèle, qui passe par les parents même éloignés. Pourtant, il ne sera peut-être plus possible de retrouver le meurtrier de Danièle Bernard en 1989 à Auxerre (lire l’épisode 3, « Le dernier fantôme d’Auxerre »), puisque le parquet a ordonné la destruction du tisonnier et du tournevis qui ont servi à la tuer, un non-lieu ayant été rendu dans le dossier avant sa réouverture et son arrivée au pôle de Nanterre. Curieusement, cette décision a épargné d’autres scellés moins essentiels et d’autres expertises seront donc possibles.
Destruction de scellés
Des centaines d’armes provenant des scellés du tribunal de grande instance de Poitiers partent à la destruction, le 9 septembre 2011 — Photo Vincent Beche/La Nouvelle République/MaxPPP.
En Saône-et-Loire, le couteau qui avait servi à tuer Christelle Maillery, dont le corps a été retrouvé le 18 décembre 1986 au Creusot, a été détruit, avec tous les autres scellés. L’auteur, Jean-Pierre Mura, n’a été identifié qu’en 2011 – et condamné en 2015 – par d’autres biais. Dans l’affaire Céline Giboire, une adolescente retrouvée morte en 2012 à Saint-Malo, en Ille-et-Vilaine, la thèse initiale du suicide avait fait place à des interrogations sur un possible meurtre. Mais les expertises toxicologiques sur les cheveux de la jeune fille, cruciales pour orienter l’enquête, ont été rendues impossibles par la destruction des scellés en 2018. Dans le dossier concernant Bénédicte Belair, une jeune femme retrouvée morte chez elle à Pont-Sainte-Maxence, dans l’Oise, en 2017, les prélèvements biologiques ont été détruits sur ordre du parquet en 2021. Les soupçons sur son concubin sont donc difficiles à étayer. L’État a été condamné à verser des réparations à la famille de la victime pour ces faits.
Patrick Dils n’a longtemps pas pu être innocenté d’un double meurtre parce que les armes du crime, des pierres, n’avaient pas été conservées
Dans le dossier du meurtre à Paris en 1991 de Sophie Narme, agente immobilière – la première affaire où le pôle de Nanterre a mis en cause un suspect (lire l’épisode 7, « ADN : les “cold cases” rouvrent les failles du passé ») –, il est apparu que les scellés avaient été perdus… et non détruits, officiellement, puisque l’affaire était restée ouverte. Les traces étaient pourtant très nombreuses et sans doute potentiellement fructueuses, puisque l’auteur avait violé la victime après l’avoir ligotée et anesthésiée avec de l’éther. Le principal suspect, un retraité du Vaucluse, ne peut donc être confondu par son empreinte génétique. La juge Nathalie Turquey ne fonde sa mise en cause que sur la « connexité » supposée avec une autre affaire de 1999, dans laquelle l’ADN du suspect a cette fois été identifié. Ce sujet est bien connu des habitués des procès criminels. Le tueur en série d’appelés du contingent dans les années 1980, le militaire Pierre Chanal, n’a longtemps pas pu être confondu et il a fini par se suicider avant un procès tardif en 2003, en raison notamment d’un problème de conservation de scellés (lire l’épisode 1, « Le terminus des tueurs cachés »). L’affaire du meurtre de deux enfants à Montigny-lès-Metz, en Moselle, en 1986, initialement imputé à un adolescent pourtant innocent, Patrick Dils, ne s’est dénouée qu’en 2017 avec la condamnation du tueur en série Francis Heaulme, parce que les armes du crime, des pierres, n’avaient pas été conservées. Toutes ces affaires et bien d’autres encore révèlent un problème d’organisation et, plus généralement, un état d’esprit mal adapté au crime.
Notoirement sous-dimensionné et sous-financé, le système pénal français se débat avec un demi-million de nouveaux scellés chaque année, qui ont mécaniquement tendance à venir chasser les anciens dans les réserves. Les fonctionnaires chargés, juridiction par juridiction, de ce bric-à-brac, ne sont pas des magistrats et ils s’arrachent les cheveux sur fond de restrictions budgétaires. Ils n’ont souvent d’autre choix que de faire de la place à coups de balai. L’administration de ces pièces à conviction et leur régime juridique sont de toute façon d’un grand flou. Deux rapports d’inspection rendus en 2007 et en 2009 avaient déjà souligné de nombreux dysfonctionnements : dispersion des acteurs, multiplicité des textes légaux, problèmes financiers et matériels de la mission, soucis de bonne conservation et de sécurité dans des locaux parfois improbables… Dans les sous-sols des juridictions, les rats et l’humidité peuvent mieux faire le travail encore que des procureurs désinvoltes…
Scellé dans l’affaire Pierre Chanal
Trois sangles appartenant aux scellés de l’affaire Pierre Chanal, le 15 mai 2000 — Photo Marc Chaumeil/Divergence.
Il faut aussi compter avec les conséquences de comportements procéduraux absurdes. Les parquets peuvent en effet ordonner la restitution ou la destruction des scellés au bout de six mois dans les affaires qui aboutissent à des non-lieux, à des classements sans suite, des acquittements ou des relaxes. Le problème est que – autre non-sens méthodologique – les juges d’instruction rendent fréquemment un non-lieu en l’absence de piste ou de suspect, ce qui a « l’avantage » administratif pour eux de cocher une case « réglée » sur leur tableau et de se débarrasser d’une affaire… qui ne se referme évidemment pas pour autant. Elle est susceptible d’être rouverte dans un délai de dix ans – et même davantage, sous diverses conditions juridiques. La Cour de cassation s’est donc alarmée dès 2006 – et l’Assemblée nationale s’en est fait l’écho – des « purges » abusives des scellés. En 2011, une circulaire du ministère de la Justice a demandé au parquet d’allonger les délais de conservation dans ces cas de figure, mais de manière alambiquée et sans vraies stipulations détaillées. Même si la pratique tend à devenir plus raisonnable, la destruction est donc toujours possible aujourd’hui. Début mars, lors d’une conférence de presse, plusieurs associations de victimes ont par conséquent demandé une clarification définitive de ce point, en faisant inscrire dans le Code de procédure pénale le texte suivant : « Dans le cadre d’affaires criminelles non résolues […], la destruction de scellés est prohibée et ce jusqu’à l’expiration d’un délai de dix années révolues à compter de l’acquisition de la prescription. » La mesure pourrait s’insérer dans un projet de loi général que le Parlement doit examiner prochainement.
Il n’est plus acceptable qu’on rende une décision de non-lieu, comme si les faits n’avaient pas eu lieu.
Didier Seban, avocat spécialisé en « cold cases »
Coauteur de cette suggestion et conseil de ces associations, l’avocat Didier Seban a passé deux décennies à faire la chasse aux scellés dans tous les tribunaux, les gendarmeries et les commissariats de France. Il a fini par s’énerver. « Il n’est plus acceptable qu’on envoie à la poubelle les pièces à conviction d’un crime dont on n’a pas trouvé encore l’auteur, comme il n’est plus acceptable qu’on rende une décision de non-lieu, comme si les faits n’avaient pas eu lieu », dit-il aux Jours. Si son idée passe dans la loi, il restera encore à régler le problème principal : la gestion du stock ainsi grossi de pièces indestructibles.
C’est là que le problème se corse réellement, car la conservation et la gestion des scellés relève toujours de la pétaudière, dix ans après les rapports d’inspection. Le magistrat Jacques Dallest, qui a conduit le groupe de travail ayant conduit à la création du pôle de Nanterre, a évoqué dans un livre ces endroits, « véritables cavernes d’Ali Baba et qui peuvent se transformer en un véritable capharnaüm s’ils sont mal gérés ». Il poursuit : « Des objets de valeur voisinent avec des armes et des échantillons de produits stupéfiants, mais un banal papier ou une simple bouteille peut avoir plus d’intérêt pour l’enquête qu’un tableau de maître volé. » C’est bien là tout le problème : les scellés sont conservés le plus souvent sans suivi numérique et surtout indistinctement, sans qu’on différencie les pièces à conviction d’un meurtre non élucidé de pièces liées à des délits anodins. Il n’existe pas de service national de gestion de ces pièces. Ne faudrait-il pas réserver un sort particulier aux pièces les plus importantes des scellés de meurtres non élucidés, avec un classement à part au niveau régional mais faciles à retrouver nationalement, par exemple au moyen d’un QR Code ? Cela supposerait une forme de révolution culturelle avec une sanctuarisation de ces homicides, qui pourraient par ailleurs être recensés numériquement dans chaque parquet, a proposé Jacques Dallest. Aussi incroyable que cela puisse paraître, un procureur arrivant en poste ne dispose pas d’un tel état de « ses » crimes. Les associations de victimes souscrivent aussi à ces propositions.
Scellés dans un procès à Colmar
Scellés présentés pendant le procès d’une tentative de meurtre raciste à Colmar, dans le Haut-Rhin, le 10 mars 2009 — Photo Pascal Bastien/Divergence.
Car c’est avec des scellés bien conservés qu’on a confondu le Grêlé, tueur et violeur des années 1980 et 1990 devenu le cauchemar du 36 quai des Orfèvres. C’est grâce à un matelas qu’on a finalement imputé l’enlèvement et le meurtre d’Estelle Mouzin à Michel Fourniret. C’est avec une nouvelle analyse de vêtements conservés correctement qu’on a arrêté en 2014 Pascal Jardin pour le meurtre de Christelle Blétry en 1996. Et il en est de même aujourd’hui pour des centaines d’affaires. Dans les caves des tribunaux dorment sans doute, faute de recensement et de travail systématique, la solution de nombre de crimes, la clé de l’arrestation de prédateurs en activité.
Le pôle promettait une salle dédiée aux scellés pour janvier, avec des conditions optimales de conservation. Les travaux ne sont pas finis
Le pôle de Nanterre, saisi au terme de sa première année d’activité de 67 informations judiciaires et dix enquêtes préliminaires, a de ce fait récupéré ce sujet encombrant, où il se faisait fort de montrer l’exemple, annonçant même la création pour janvier 2023 d’une salle dédiée de 175 m2, avec des équipements garantissant températures et conditions optimales de conservation. Une visite de ces locaux sollicitée par Les Jours a cependant été refusée courant février par les autorités du pôle, qui ont invoqué des raisons de procédure et de confidentialité. En réalité, les travaux et même la mise au jour dans les tribunaux concernés des scellés des 77 dossiers affectés aux trois juges d’instruction et à la magistrate du parquet du pôle n’étaient toujours pas achevés en mars 2023.
Et pendant ce travail d’archéologie un peu piteux, les dossiers vont continuer d’affluer à Nanterre, les associations de victimes sollicitant même une réforme des procédures de dessaisissement dans les tribunaux régionaux. Soupçonnant manifestement qu’on cherche à limiter le champ du pôle, elles souhaitent pouvoir faire appel d’éventuels refus. Leurs propositions n’ont pour le moment pas été reprises par le ministère mais si elles étaient inscrites dans le projet de loi examiné prochainement, cela ouvrirait les vannes sur ce sujet du crime oublié, qu’on découvre chaque jour plus massif et plus caché. Éric Mouzin, le père d’Estelle, a résumé la situation par une formule début mars, lors de la conférence de presse des associations de victimes : « Le pôle est au pied d’une montagne criminelle dont il ne connaît pas encore la hauteur. »
ti
Le système pénal continue à détruire les scellés dans les affaires de crimes irrésolus. Le pôle « cold cases » de Nanterre doit remédier à ce scandale.
C’est une pratique des procureurs français stupéfiante pour le néophyte, révoltante absurdité administrative et comptable, preuve pour les associations de victimes d’une froide indifférence à leurs souffrances. Si un homicide reste irrésolu et que le dossier d’enquête, faute de piste, commence à prendre la poussière dans un cabinet d’instruction, ou s’il a fait l’objet d’un non-lieu faute de résultats et se trouve donc dans une zone grise juridique, il arrive qu’on détruise tout simplement les preuves, les pièces à conviction, appelées « scellés » en jargon judiciaire. « Scellé » car l’objet, enfermé dans un contenant refermé par un cachet de cire, est officiellement saisi par l’autorité judiciaire, devenant une pièce du dossier. Le plus souvent, leur destruction est un acte de pure gestion matérielle et financière. L’administration d’un tribunal, en la personne du greffier en chef, propose régulièrement au procureur de détruire une série de ces pièces, présentées sans référence particulière au statut des affaires qu’elles concernent. Cet acte peut donc mélanger les armes utilisées pour un homicide non résolu et les vêtements de la victime avec les pipes à crack saisies au domicile d’un trafiquant de drogue définitivement condamné, une moto accidentée qui a heurté un piéton dans un dossier réglé ou encore les bouteilles utilisées dans une bagarre d’ivrognes au bistrot. Une signature du procureur et tout part à la décharge ou à l’incinérateur, dans des services spécialisés. L’espoir de retrouver un jour un assassin finit donc en compost ou en fumée.
Jusque dans les années 1980, cette habitude ancienne était déjà très préjudiciable, puisque même si les crimes impunis sombraient dans les oubliettes plus encore qu’aujourd’hui, il pouvait toujours surgir un témoignage ou un élément nouveau conduisant à un suspect et à la réouverture du dossier. Depuis la première résolution d’un crime au Royaume-Uni par le recours à la technique de l’empreinte génétique en 1987 et surtout la création du Fichier français des empreintes génétiques (Fnaeg) en 1998, cette procédure relève de l’absurdité, voire de la forfaiture. Aucun magistrat ne peut ignorer qu’on peut désormais, grâce aux progrès de la science, isoler une empreinte, même sur un scellé vieux de plusieurs décennies, même avec une matière en quantité infinitésimale.
Le pôle de Nanterre a mis au jour une impressionnante série d’affaires où ont été passées au pilon des pièces cruciales, même à l’ère de l’ADN
Néanmoins, le pôle « cold cases » de Nanterre ainsi que l’exhumation ponctuelle de vieux dossiers dans les juridictions territoriales ont mis au jour une impressionnante série d’affaires où ont été passées au pilon, même à l’ère de l’ADN, des pièces cruciales, qui auraient peut-être permis une élucidation automatique. Les criminels de jadis ne mettaient ni gants ni préservatifs et les chances augmentent chaque jour de retrouver leur empreinte parmi les millions de traces du Fnaeg, d’autant qu’on développe désormais la recherche par parentèle, qui passe par les parents même éloignés. Pourtant, il ne sera peut-être plus possible de retrouver le meurtrier de Danièle Bernard en 1989 à Auxerre (lire l’épisode 3, « Le dernier fantôme d’Auxerre »), puisque le parquet a ordonné la destruction du tisonnier et du tournevis qui ont servi à la tuer, un non-lieu ayant été rendu dans le dossier avant sa réouverture et son arrivée au pôle de Nanterre. Curieusement, cette décision a épargné d’autres scellés moins essentiels et d’autres expertises seront donc possibles.
Destruction de scellés
Des centaines d’armes provenant des scellés du tribunal de grande instance de Poitiers partent à la destruction, le 9 septembre 2011 — Photo Vincent Beche/La Nouvelle République/MaxPPP.
En Saône-et-Loire, le couteau qui avait servi à tuer Christelle Maillery, dont le corps a été retrouvé le 18 décembre 1986 au Creusot, a été détruit, avec tous les autres scellés. L’auteur, Jean-Pierre Mura, n’a été identifié qu’en 2011 – et condamné en 2015 – par d’autres biais. Dans l’affaire Céline Giboire, une adolescente retrouvée morte en 2012 à Saint-Malo, en Ille-et-Vilaine, la thèse initiale du suicide avait fait place à des interrogations sur un possible meurtre. Mais les expertises toxicologiques sur les cheveux de la jeune fille, cruciales pour orienter l’enquête, ont été rendues impossibles par la destruction des scellés en 2018. Dans le dossier concernant Bénédicte Belair, une jeune femme retrouvée morte chez elle à Pont-Sainte-Maxence, dans l’Oise, en 2017, les prélèvements biologiques ont été détruits sur ordre du parquet en 2021. Les soupçons sur son concubin sont donc difficiles à étayer. L’État a été condamné à verser des réparations à la famille de la victime pour ces faits.
Patrick Dils n’a longtemps pas pu être innocenté d’un double meurtre parce que les armes du crime, des pierres, n’avaient pas été conservées
Dans le dossier du meurtre à Paris en 1991 de Sophie Narme, agente immobilière – la première affaire où le pôle de Nanterre a mis en cause un suspect (lire l’épisode 7, « ADN : les “cold cases” rouvrent les failles du passé ») –, il est apparu que les scellés avaient été perdus… et non détruits, officiellement, puisque l’affaire était restée ouverte. Les traces étaient pourtant très nombreuses et sans doute potentiellement fructueuses, puisque l’auteur avait violé la victime après l’avoir ligotée et anesthésiée avec de l’éther. Le principal suspect, un retraité du Vaucluse, ne peut donc être confondu par son empreinte génétique. La juge Nathalie Turquey ne fonde sa mise en cause que sur la « connexité » supposée avec une autre affaire de 1999, dans laquelle l’ADN du suspect a cette fois été identifié. Ce sujet est bien connu des habitués des procès criminels. Le tueur en série d’appelés du contingent dans les années 1980, le militaire Pierre Chanal, n’a longtemps pas pu être confondu et il a fini par se suicider avant un procès tardif en 2003, en raison notamment d’un problème de conservation de scellés (lire l’épisode 1, « Le terminus des tueurs cachés »). L’affaire du meurtre de deux enfants à Montigny-lès-Metz, en Moselle, en 1986, initialement imputé à un adolescent pourtant innocent, Patrick Dils, ne s’est dénouée qu’en 2017 avec la condamnation du tueur en série Francis Heaulme, parce que les armes du crime, des pierres, n’avaient pas été conservées. Toutes ces affaires et bien d’autres encore révèlent un problème d’organisation et, plus généralement, un état d’esprit mal adapté au crime.
Notoirement sous-dimensionné et sous-financé, le système pénal français se débat avec un demi-million de nouveaux scellés chaque année, qui ont mécaniquement tendance à venir chasser les anciens dans les réserves. Les fonctionnaires chargés, juridiction par juridiction, de ce bric-à-brac, ne sont pas des magistrats et ils s’arrachent les cheveux sur fond de restrictions budgétaires. Ils n’ont souvent d’autre choix que de faire de la place à coups de balai. L’administration de ces pièces à conviction et leur régime juridique sont de toute façon d’un grand flou. Deux rapports d’inspection rendus en 2007 et en 2009 avaient déjà souligné de nombreux dysfonctionnements : dispersion des acteurs, multiplicité des textes légaux, problèmes financiers et matériels de la mission, soucis de bonne conservation et de sécurité dans des locaux parfois improbables… Dans les sous-sols des juridictions, les rats et l’humidité peuvent mieux faire le travail encore que des procureurs désinvoltes…
Scellé dans l’affaire Pierre Chanal
Trois sangles appartenant aux scellés de l’affaire Pierre Chanal, le 15 mai 2000 — Photo Marc Chaumeil/Divergence.
Il faut aussi compter avec les conséquences de comportements procéduraux absurdes. Les parquets peuvent en effet ordonner la restitution ou la destruction des scellés au bout de six mois dans les affaires qui aboutissent à des non-lieux, à des classements sans suite, des acquittements ou des relaxes. Le problème est que – autre non-sens méthodologique – les juges d’instruction rendent fréquemment un non-lieu en l’absence de piste ou de suspect, ce qui a « l’avantage » administratif pour eux de cocher une case « réglée » sur leur tableau et de se débarrasser d’une affaire… qui ne se referme évidemment pas pour autant. Elle est susceptible d’être rouverte dans un délai de dix ans – et même davantage, sous diverses conditions juridiques. La Cour de cassation s’est donc alarmée dès 2006 – et l’Assemblée nationale s’en est fait l’écho – des « purges » abusives des scellés. En 2011, une circulaire du ministère de la Justice a demandé au parquet d’allonger les délais de conservation dans ces cas de figure, mais de manière alambiquée et sans vraies stipulations détaillées. Même si la pratique tend à devenir plus raisonnable, la destruction est donc toujours possible aujourd’hui. Début mars, lors d’une conférence de presse, plusieurs associations de victimes ont par conséquent demandé une clarification définitive de ce point, en faisant inscrire dans le Code de procédure pénale le texte suivant : « Dans le cadre d’affaires criminelles non résolues […], la destruction de scellés est prohibée et ce jusqu’à l’expiration d’un délai de dix années révolues à compter de l’acquisition de la prescription. » La mesure pourrait s’insérer dans un projet de loi général que le Parlement doit examiner prochainement.
Il n’est plus acceptable qu’on rende une décision de non-lieu, comme si les faits n’avaient pas eu lieu.
Didier Seban, avocat spécialisé en « cold cases »
Coauteur de cette suggestion et conseil de ces associations, l’avocat Didier Seban a passé deux décennies à faire la chasse aux scellés dans tous les tribunaux, les gendarmeries et les commissariats de France. Il a fini par s’énerver. « Il n’est plus acceptable qu’on envoie à la poubelle les pièces à conviction d’un crime dont on n’a pas trouvé encore l’auteur, comme il n’est plus acceptable qu’on rende une décision de non-lieu, comme si les faits n’avaient pas eu lieu », dit-il aux Jours. Si son idée passe dans la loi, il restera encore à régler le problème principal : la gestion du stock ainsi grossi de pièces indestructibles.
C’est là que le problème se corse réellement, car la conservation et la gestion des scellés relève toujours de la pétaudière, dix ans après les rapports d’inspection. Le magistrat Jacques Dallest, qui a conduit le groupe de travail ayant conduit à la création du pôle de Nanterre, a évoqué dans un livre ces endroits, « véritables cavernes d’Ali Baba et qui peuvent se transformer en un véritable capharnaüm s’ils sont mal gérés ». Il poursuit : « Des objets de valeur voisinent avec des armes et des échantillons de produits stupéfiants, mais un banal papier ou une simple bouteille peut avoir plus d’intérêt pour l’enquête qu’un tableau de maître volé. » C’est bien là tout le problème : les scellés sont conservés le plus souvent sans suivi numérique et surtout indistinctement, sans qu’on différencie les pièces à conviction d’un meurtre non élucidé de pièces liées à des délits anodins. Il n’existe pas de service national de gestion de ces pièces. Ne faudrait-il pas réserver un sort particulier aux pièces les plus importantes des scellés de meurtres non élucidés, avec un classement à part au niveau régional mais faciles à retrouver nationalement, par exemple au moyen d’un QR Code ? Cela supposerait une forme de révolution culturelle avec une sanctuarisation de ces homicides, qui pourraient par ailleurs être recensés numériquement dans chaque parquet, a proposé Jacques Dallest. Aussi incroyable que cela puisse paraître, un procureur arrivant en poste ne dispose pas d’un tel état de « ses » crimes. Les associations de victimes souscrivent aussi à ces propositions.
Scellés dans un procès à Colmar
Scellés présentés pendant le procès d’une tentative de meurtre raciste à Colmar, dans le Haut-Rhin, le 10 mars 2009 — Photo Pascal Bastien/Divergence.
Car c’est avec des scellés bien conservés qu’on a confondu le Grêlé, tueur et violeur des années 1980 et 1990 devenu le cauchemar du 36 quai des Orfèvres. C’est grâce à un matelas qu’on a finalement imputé l’enlèvement et le meurtre d’Estelle Mouzin à Michel Fourniret. C’est avec une nouvelle analyse de vêtements conservés correctement qu’on a arrêté en 2014 Pascal Jardin pour le meurtre de Christelle Blétry en 1996. Et il en est de même aujourd’hui pour des centaines d’affaires. Dans les caves des tribunaux dorment sans doute, faute de recensement et de travail systématique, la solution de nombre de crimes, la clé de l’arrestation de prédateurs en activité.
Le pôle promettait une salle dédiée aux scellés pour janvier, avec des conditions optimales de conservation. Les travaux ne sont pas finis
Le pôle de Nanterre, saisi au terme de sa première année d’activité de 67 informations judiciaires et dix enquêtes préliminaires, a de ce fait récupéré ce sujet encombrant, où il se faisait fort de montrer l’exemple, annonçant même la création pour janvier 2023 d’une salle dédiée de 175 m2, avec des équipements garantissant températures et conditions optimales de conservation. Une visite de ces locaux sollicitée par Les Jours a cependant été refusée courant février par les autorités du pôle, qui ont invoqué des raisons de procédure et de confidentialité. En réalité, les travaux et même la mise au jour dans les tribunaux concernés des scellés des 77 dossiers affectés aux trois juges d’instruction et à la magistrate du parquet du pôle n’étaient toujours pas achevés en mars 2023.
Et pendant ce travail d’archéologie un peu piteux, les dossiers vont continuer d’affluer à Nanterre, les associations de victimes sollicitant même une réforme des procédures de dessaisissement dans les tribunaux régionaux. Soupçonnant manifestement qu’on cherche à limiter le champ du pôle, elles souhaitent pouvoir faire appel d’éventuels refus. Leurs propositions n’ont pour le moment pas été reprises par le ministère mais si elles étaient inscrites dans le projet de loi examiné prochainement, cela ouvrirait les vannes sur ce sujet du crime oublié, qu’on découvre chaque jour plus massif et plus caché. Éric Mouzin, le père d’Estelle, a résumé la situation par une formule début mars, lors de la conférence de presse des associations de victimes : « Le pôle est au pied d’une montagne criminelle dont il ne connaît pas encore la hauteur. »
ti
mimi
Re: Désormais on sait qui il était clap 9
Alors du coup j'ai pas trop oser oser de peur de me faire voir par contre j'ai photographié son lieux posthume au grau du roinatacha37000 a écrit:Inspecteur Laffolasse a écrit:j'ai fait de même lors de mes vacances dans le gard l'été dernier c'est comme meme une très belle demeure pour un monstre pareilnatacha37000 a écrit:Bonjour A tous/tes.
Cette semaine, j'étais hospitalisée à Montpellier dans l'Hérault et dès ma sortie , accompagnée de mon meilleur ami, nous avons pris la direction de la Grande Motte .
Nous nous sommes arrêtés presqu'une demie heure placette des Goélands et j'ai pu prendre une bonne trentaine de photo de la maison de cette ordure de Vérove.
Je pense que la maison est relouée car tout semblait banal concernant cette maison (noms sur la boIte autre que Vérove) .
Quelqu'un a t-il des infos sur la dernière demeure de Vérove?
j'ai pu faire une trentaine de photos de cette maudite maison...
Mais bon , ce fut une drôle de sensation de se retrouver aussi près de la demeure de ce
grand tueur en série qui a fait tant de dégâts humains.
J'ai imaginé qu'il avait marché à l'endroit ou j'étais garé, ou qu'il était en train de jardiner tranquillement pendant que toute la France le cherchait.
Bonjour Inspecteur,
Avez-vous pu photographier la villa? et les noms sur la boite au lettres?
Est ce qu'il y avait des voitures garées devant et dans la propriété?
En ce qui concerne la maison, ça me paraît pas si grandiose que ça, ça reste une maison courante dans le style d'habitat de la région et avec un très petit jardin.
Inspecteur Laffolasse
Re: Désormais on sait qui il était clap 9
pour les voitures il me semble que non c'était début septembre 2022 je pense qu'il y'avais déjà de nouveaux propriétairesnatacha37000 a écrit:Inspecteur Laffolasse a écrit:j'ai fait de même lors de mes vacances dans le gard l'été dernier c'est comme meme une très belle demeure pour un monstre pareilnatacha37000 a écrit:Bonjour A tous/tes.
Cette semaine, j'étais hospitalisée à Montpellier dans l'Hérault et dès ma sortie , accompagnée de mon meilleur ami, nous avons pris la direction de la Grande Motte .
Nous nous sommes arrêtés presqu'une demie heure placette des Goélands et j'ai pu prendre une bonne trentaine de photo de la maison de cette ordure de Vérove.
Je pense que la maison est relouée car tout semblait banal concernant cette maison (noms sur la boIte autre que Vérove) .
Quelqu'un a t-il des infos sur la dernière demeure de Vérove?
j'ai pu faire une trentaine de photos de cette maudite maison...
Mais bon , ce fut une drôle de sensation de se retrouver aussi près de la demeure de ce
grand tueur en série qui a fait tant de dégâts humains.
J'ai imaginé qu'il avait marché à l'endroit ou j'étais garé, ou qu'il était en train de jardiner tranquillement pendant que toute la France le cherchait.
Bonjour Inspecteur,
Avez-vous pu photographier la villa? et les noms sur la boite au lettres?
Est ce qu'il y avait des voitures garées devant et dans la propriété?
En ce qui concerne la maison, ça me paraît pas si grandiose que ça, ça reste une maison courante dans le style d'habitat de la région et avec un très petit jardin.
Inspecteur Laffolasse
Re: Désormais on sait qui il était clap 9
Inspecteur Laffolasse a écrit:Alors du coup j'ai pas trop oser oser de peur de me faire voir par contre j'ai photographié son lieux posthume au grau du roinatacha37000 a écrit:Inspecteur Laffolasse a écrit:j'ai fait de même lors de mes vacances dans le gard l'été dernier c'est comme meme une très belle demeure pour un monstre pareilnatacha37000 a écrit:Bonjour A tous/tes.
Cette semaine, j'étais hospitalisée à Montpellier dans l'Hérault et dès ma sortie , accompagnée de mon meilleur ami, nous avons pris la direction de la Grande Motte .
Nous nous sommes arrêtés presqu'une demie heure placette des Goélands et j'ai pu prendre une bonne trentaine de photo de la maison de cette ordure de Vérove.
Je pense que la maison est relouée car tout semblait banal concernant cette maison (noms sur la boIte autre que Vérove) .
Quelqu'un a t-il des infos sur la dernière demeure de Vérove?
j'ai pu faire une trentaine de photos de cette maudite maison...
Mais bon , ce fut une drôle de sensation de se retrouver aussi près de la demeure de ce
grand tueur en série qui a fait tant de dégâts humains.
J'ai imaginé qu'il avait marché à l'endroit ou j'étais garé, ou qu'il était en train de jardiner tranquillement pendant que toute la France le cherchait.
Bonjour Inspecteur,
Avez-vous pu photographier la villa? et les noms sur la boite au lettres?
Est ce qu'il y avait des voitures garées devant et dans la propriété?
En ce qui concerne la maison, ça me paraît pas si grandiose que ça, ça reste une maison courante dans le style d'habitat de la région et avec un très petit jardin.
Ah, très bien, inspecteur.
Je ne suis pas allée au Grau du roi car je n'avais pas l'adresse de son airbrb sur moi , et avec mon ami, nous avons loué un autre airbnb dans un village voisin, je ne voulais surtout pas me retrouver dans celui de Vérove , on ne sait jamais!
En ce qui concerne sa Casa, j'ai fait une trentaine de photos , en passant même l'appareil par dessus le mur pour photographier dedans.. ça ne se fait pas , mais n'étant pas là tous les jours, j'en ai vraiment profité à fond..je m'en excuse encore auprès des nouveaux locataires/proprio.
Sur la boîte aux lettres, j'ai relevé un nom à consonnance Espagnole ou Portugaise et un nom Français.
Toutefois, pas de Vérove!
ILs ont vendu ou loué la demeure?
Les noms des enfants donnés par Kass hors antenne ne correspondent pas à ceux de la boite aux lettres.
J'ai relevé aussi les noms des boites à lettres des voisins à Vérove, au cas ou..
Quelqu'un m'a repéré durant ma prise de photos, et cette personne se retournait tout le temps, peut-être voulait-elle me parler?
Elle ne m'a pas abordée , c 'est dommage.
Je pense qu'elle connaissait le lieu et ce qui s'était passé.
A toute
Nata
natacha37000
Re: Désormais on sait qui il était clap 9
Désolée, mais c'est quand même une forme de voyeurisme très malaisant.
En quoi les habitants de cette maison ou ceux du quartier sont-ils responsables des abominations de FV ?
Et si ça avait été encore Madame ou ses enfants, qu'est-ce que cela aurait apporté au schmilblick ?
Cette dame a bien fait de partir et de mettre ses infos en privé. Elle a pu prendre un peu de distance avec les voyeurs.
Les habitants du quartier n'ont pas cette possibilité.
En quoi les habitants de cette maison ou ceux du quartier sont-ils responsables des abominations de FV ?
Et si ça avait été encore Madame ou ses enfants, qu'est-ce que cela aurait apporté au schmilblick ?
Cette dame a bien fait de partir et de mettre ses infos en privé. Elle a pu prendre un peu de distance avec les voyeurs.
Les habitants du quartier n'ont pas cette possibilité.
est une volupté de fin gourmet." -
G. COURTELINE
ruth
Re: Désormais on sait qui il était clap 9
ruth a écrit:Désolée, mais c'est quand même une forme de voyeurisme très malaisant.
En quoi les habitants de cette maison ou ceux du quartier sont-ils responsables des abominations de FV ?
Et si ça avait été encore Madame ou ses enfants, qu'est-ce que cela aurait apporté au schmilblick ?
Cette dame a bien fait de partir et de mettre ses infos en privé. Elle a pu prendre un peu de distance avec les voyeurs.
Les habitants du quartier n'ont pas cette possibilité.
Bonjour,
Effectivement, c'est probablement dérangeant le comportement que j'ai eu et je m'en excuse encore.
J'ai passé tellement d'heures à réfléchir sur cette affaire et déjà sur le forum France 2 en 2009, que de me retrouver là devant sa demeure , je ne pouvais pas m'empêcher de garder des traces..
Avec mon ami, nous nous sommes garés au loin de la place et devant aucune habitation...Nous sommes restés en gros 15 mns sur place.
Pour les photos prises de l'arrière de la maison, j'étais au loin sur un sentier public d'un terrain vague, le téléphone tourné vers moi comme pour prendre un selfie , j'ai agrandi en zoomant et voilà.
Je n'ai pas dérangé les occupants à ce moment-là.
En ce qui concerne les contours de la maison, j'étais dans une allée sans vis-à-vis (murs de 2 mètres) , je me suis approchée de la boite à lettre et de la voiture stationnée dehors comme pour faire un selfie, et comme si j'allais distribuer un prospectus dans la boîte.
ça a duré deux secondes.
Et pour les photos du jardins, tous les volets étaient fermés et aucun occupants n'étaient à l'extérieur , j'ai monté le portable au dessus du mur et oui, j'ai photographié.
Trois photos du jardin.
Désolée pour ceux que ça choque.
C'est quelque chose que je ne fais jamais en temps normal, sauf dans mon travail mais les gens sont prévenus à l'avance.
J'avais envie de voir l'intérieur du jardin et la configuration des lieux autour de la maison, la forme de la piscine , si les plantations étaient récentes etc..
Je ne vais donc pas publier de photos ici, je vais les garder pour pour moi personnellement.
Nata
natacha37000
Re: Désormais on sait qui il était clap 9
Inspecteur Laffolasse a écrit:voyeur ?? Vous êtes sur un forum consacré à un tueur en série ?ruth a écrit:Désolée, mais c'est quand même une forme de voyeurisme très malaisant.
En quoi les habitants de cette maison ou ceux du quartier sont-ils responsables des abominations de FV ?
Et si ça avait été encore Madame ou ses enfants, qu'est-ce que cela aurait apporté au schmilblick ?
Cette dame a bien fait de partir et de mettre ses infos en privé. Elle a pu prendre un peu de distance avec les voyeurs.
Les habitants du quartier n'ont pas cette possibilité.
Ils disent cela par rapport à Mme V. et ses enfants qui ne sont pas responsables des actes du grêlé.
Je comprends cette empathie envers les voisins de V, Mme V. , ses enfants, etc.. mais cette empathie ne pourrait-elle pas se diriger en tout premier lieu envers les victimes ( Cécile Bloch, Irmie etc..)?
C'est peut-être plus eux qu'il faudrait plaindre et mettre en avant dans nos derniers post, non?
Moi, je voulais voir si des fouilles avaient été faites dans le jardin , et j'ai vu une zone ou la terre a été retournée il y a plusieurs mois je dirais.
Il y a une toute petite herbe repoussée dessus et pas une herbe ancienne et épaisse comme celle qui jouxte l'autre partie du jardin.
natacha37000
Re: Désormais on sait qui il était clap 9
Nat à écrit :
Avec mon ami, nous nous sommes garés au loin de la place et devant aucune habitation...Nous sommes restés en gros 15 mns sur place.
Pour les photos prises de l'arrière de la maison, j'étais au loin sur un sentier public d'un terrain vague, le téléphone tourné vers moi comme pour prendre un selfie , j'ai agrandi en zoomant et voilà.
Je n'ai pas dérangé les occupants à ce moment-là.
En ce qui concerne les contours de la maison, j'étais dans une allée sans vis-à-vis (murs de 2 mètres) , je me suis approchée de la boite à lettre et de la voiture stationnée dehors comme pour faire un selfie, et comme si j'allais distribuer un prospectus dans la boîte.
ça a duré deux secondes.
Et pour les photos du jardins, tous les volets étaient fermés et aucun occupants n'étaient à l'extérieur , j'ai monté le portable au dessus du mur et oui, j'ai photographié.
Trois photos du jardin.
Salut Nat,
tu as fait ca proprement, discrètement, du grand art! . . .Et ceci dit sérieusement : Les services secrets Belges, bien souvent, n'ont pas autant de professionnalisme que toi LOL!
Cordialement,
JM
Re: Désormais on sait qui il était clap 9
Bonsoir Natacha,
J'espère juste que ceux qui vivent dans cette maison en connaissent l'histoire et donc assument les éventuelles ... curiosités. Vous n'avez pas à vous justifier.
Pour ma part et bien que je sois plutôt rationnelle (enfin j'espère), je trouve que si il est vrai que Vérove l'a achetée aux enchères après le suicide de son précédent occupant, et vu comment il a fini lui-même, y vivre ne me tenterait pas du tout ... ni même la visiter
J'espère juste que ceux qui vivent dans cette maison en connaissent l'histoire et donc assument les éventuelles ... curiosités. Vous n'avez pas à vous justifier.
Pour ma part et bien que je sois plutôt rationnelle (enfin j'espère), je trouve que si il est vrai que Vérove l'a achetée aux enchères après le suicide de son précédent occupant, et vu comment il a fini lui-même, y vivre ne me tenterait pas du tout ... ni même la visiter
Sortcière
Re: Désormais on sait qui il était clap 9
JM a écrit:Nat à écrit :
Avec mon ami, nous nous sommes garés au loin de la place et devant aucune habitation...Nous sommes restés en gros 15 mns sur place.
Pour les photos prises de l'arrière de la maison, j'étais au loin sur un sentier public d'un terrain vague, le téléphone tourné vers moi comme pour prendre un selfie , j'ai agrandi en zoomant et voilà.
Je n'ai pas dérangé les occupants à ce moment-là.
En ce qui concerne les contours de la maison, j'étais dans une allée sans vis-à-vis (murs de 2 mètres) , je me suis approchée de la boite à lettre et de la voiture stationnée dehors comme pour faire un selfie, et comme si j'allais distribuer un prospectus dans la boîte.
ça a duré deux secondes.
Et pour les photos du jardins, tous les volets étaient fermés et aucun occupants n'étaient à l'extérieur , j'ai monté le portable au dessus du mur et oui, j'ai photographié.
Trois photos du jardin.
Salut Nat,
tu as fait ca proprement, discrètement, du grand art! . . .Et ceci dit sérieusement : Les services secrets Belges, bien souvent, n'ont pas autant de professionnalisme que toi LOL!
Cordialement,
C'est gentil à toi de dire ça JM, tu es un excellent enquêteur aussi !
Et un grand expert sur la tuerie du Brabant que je ne connais pas bien.
Mais bon, le grêlé, c'est mon affaire depuis des années.. Beaucoup même me disaient, faut laisser tomber c 'est fini, le mec est mort et enterré, on le retrouvera jamais..
Et comme quoi, il faut toujours y croire!
natacha37000
Re: Désormais on sait qui il était clap 9
Sortcière a écrit:Bonsoir Natacha,
J'espère juste que ceux qui vivent dans cette maison en connaissent l'histoire et donc assument les éventuelles ... curiosités. Vous n'avez pas à vous justifier.
Pour ma part et bien que je sois plutôt rationnelle (enfin j'espère), je trouve que si il est vrai que Vérove l'a achetée aux enchères après le suicide de son précédent occupant, et vu comment il a fini lui-même, y vivre ne me tenterait pas du tout ... ni même la visiter
Bonsoir à vous,
Bonsoir Sortcière,
Je vous rejoins, je n'aimerais pas y vivre non plus.
Cette maison est maudite!
Je n'aimerais pas non plus la visiter , en plus, je la trouve vraiment banale.
Par contre, je trouve que c 'est la seule du quartier qui a deux accès.
On peut y venir par la placette et se garer devant , comme doivent faire bon nombre des habitants de la rue.
Toutefois, dans l'angle droit de la maison , il y a une petite allée avec des murs de deux mètres.
Cette allée contourne la maison de V. et permet de s'en aller vers l'arrière de la maison qui donne sur un grand terrain communal ombragé .
Su ce terrain passe un sentier qui mène vers le centre et les routes principales.
Ce terrain est peu éclairé.
Dans l'allée, se trouve une porte donnant sur la maison V. et permettant de sortir discrètement et de rejoindre soit la place ou de partir par le terrain.
Est-ce que V. a été séduit par cette sortie discrète lors de l'achat de la maison? ou c 'est un pur hasard?
Il pouvait par cette sortie facilement partir sans passer devant les habitations de son quartier et rentrer incognito dans sa propriété sans accéder par la placette qui doit être éclairée le soir.
Si V. partait en chasse le soir, je suis persuadée qu'il passait par cette porte et cette allée, c 'est l'idéal pour ne pas éveiller les soupçons.
Quelqu'un qui veut se garer loin et veut s'échapper discrètement le soir n'aurait pas pu trouver mieux comme configuration de lieu.
natacha37000
Re: Désormais on sait qui il était clap 9
Je pense qu'il n'a pas fait que surélever la maison. Il s'est occupé de la clôture pour la mettre à l'abri des regards aussi. Il a beaucoup bossé sur cette maison malgré sa patte folle.
Sortcière
Re: Désormais on sait qui il était clap 9
Un dernier mot à ce sujet :
Se cacher derrière les victimes de FV pour justifier son voyeurisme, c'est juste hallucinant et dégoûtant !
Et personne ici n'est enquêteur.
Là encore, c'est un costume bien maladroit pour un comportement malsain.
J'en reste là.
Se cacher derrière les victimes de FV pour justifier son voyeurisme, c'est juste hallucinant et dégoûtant !
Et personne ici n'est enquêteur.
Là encore, c'est un costume bien maladroit pour un comportement malsain.
J'en reste là.
est une volupté de fin gourmet." -
G. COURTELINE
ruth
Re: Désormais on sait qui il était clap 9
ruth a écrit:Un dernier mot à ce sujet :
Se cacher derrière les victimes de FV pour justifier son voyeurisme, c'est juste hallucinant et dégoûtant !
Et personne ici n'est enquêteur.
Là encore, c'est un costume bien maladroit pour un comportement malsain.
J'en reste là.
Bonjour,
Non personne n'est enquêteur, c'est une façon de parler ..Vous le savez bien d'ailleurs.
Apparemment, vous savez mieux que moi ce qui m'anime dans cette affaire, vous êtes donc à ma place.
Restons- en là,
Cordialement
Nata
natacha37000
Re: Désormais on sait qui il était clap 9
Sortcière a écrit:Je pense qu'il n'a pas fait que surélever la maison. Il s'est occupé de la clôture pour la mettre à l'abri des regards aussi. Il a beaucoup bossé sur cette maison malgré sa patte folle.
Bonjour,
Je ne savais pas qu'il avait surélevé sa maison, dans quel but?
Je n'ai pas vu de clôture, mais un grand mur de deux mètres tout du long.. Est-ce que la clôture était là au départ et remplacé par un mur par la suite?
natacha37000
Re: Désormais on sait qui il était clap 9
bonjour vous êtes sur un forum consacré à un tueur en série vous avez sans doute regarder des photos prises par des journalistes, comme tout le monde vous faite des théorie sur des meurtres brutaux sans méchanceté ni irrespect je trouve votre remarque déplacé et hypocrite.ruth a écrit:Un dernier mot à ce sujet :
Se cacher derrière les victimes de FV pour justifier son voyeurisme, c'est juste hallucinant et dégoûtant !
Et personne ici n'est enquêteur.
Là encore, c'est un costume bien maladroit pour un comportement malsain.
J'en reste là.
Inspecteur Laffolasse
Re: Désormais on sait qui il était clap 9
ruth a écrit:Un dernier mot à ce sujet :
Se cacher derrière les victimes de FV pour justifier son voyeurisme, c'est juste hallucinant et dégoûtant !
Et personne ici n'est enquêteur.
Là encore, c'est un costume bien maladroit pour un comportement malsain.
J'en reste là.
Bonjour Ruth,
Je connais suffisamment Natacha pour savoir que se n'est pas son style de se cacher derrière les victimes pour justifier du voyeurisme.
J'aurais très bien pu faire la même chose qu'elle même si je reconnais qu'on peut s'interroger sur cette façon de faire.
Je pense que devant cette bicoque, je pourrais très bien me dire "t'es enfin hors circuit sale b., tu ne feras plus de mal à personne" et la prendre en photo ... en souvenir.
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