Re: Désormais on sait qui il était clap 6

par Kassandra88 Ven 4 Mar - 11:18

Bonjour,
La seule personne qui pourrait confirmer ou infirmer les informations contenues dans les carnets, c'est Bernhard Müller qui les a récupérés.

par Kassandra88 Ven 4 Mar - 11:19

Brendan Kemmet
@bkemmet
·
21h
La Traque du Grêlé sort aujourd’hui en librairie !
Vous y découvrirez, notamment, l’inquiétant parcours de François Vérove, sa jeunesse dans le Nord.
Et cette soirée où il entraîne sa demi-sœur, encore ado, dans un club libertin.
@StephSemillant

@robert_laffont

par Sortcière Ven 4 Mar - 12:07

chris0706 a écrit:
mimi a écrit:la piste menant à un policier ou gendarme

trousseau de clés

il enlève une partie des menottes à ses victimes mais laisse suspendre l'autre partie

sa façon de parler et de rassurer ses proies

son sang-froid - sa détermination- il prend tout son temps- sa préparation- son organisation-

ses techniques de neutralisation de ses victimes

sa carte professionnelle de gendarme présentée plusieurs fois à ses victimes avec sa photo
les gendarmes sont en général en province

Avec le recul, ça peut sembler une évidence.
Et c'est facile de jeter la pierre aux enquêteurs.
Mais ils ont été victimes de ce qui semblait une autre évidence: comment un membre des FdO, dont le casier judiciaire a été dûment examiné à l'origine, peut-il se muer en monstre, violeur pédophile / tueur ?
Ce tabou là est un pêché originel du dossier, un arbre qui aura occulté la forêt si longtemps.

Suivant ce cas depuis des années, j'ai tjrs pensé que ce solide gaillard avait fait l'armée, d'où sa facilité à maitriser une victime... Devait graviter dans un cercle familial ayant des liens avec police / armée, d'où qu'insoupçonnable -avec sans doute "omerta familiale" au cas très improbable où un parent avait eu des soupçons... Avait sans doute eu une éduc réprimée, expliquant en partie sa sournoiserie; ainsi que sa sexualité déviante (bondage), d'ailleurs pratiquée de façon consensuelle dans divers clubs de l'époque, + magazines dispos en kiosques et K7 en sex shops...
Bref, pour être objectif j'ai eu faux sur l'essentiel, sauf sans doute sur son psychisme.
Par contre (même si facile à dire en 2022), la piste Gontcharov / Oblomov sonnait incongrue dès le début. Le Grêlé années 80 n'a rien d'un intello fan de jeux de piste basés sur des textes à clé: là, c'était une vue de l'esprit, même si tous les fils possibles méritaient d'être tirés.

En conclusion: évitons le travers de ces économistes, très souvent à l'aise pour expliquer / analyser une crise après coup, alors qu'ils ont ramé pendant

Bonjour,

Je suis d'accord aussi bien avec mimi qu'avec chris. J'ai même pensé à un passage par la légion. Mais je ne suis pas allée jusqu'à un gendarme ou un flic en activité, même si je me suis posé la question aussi, peut-être à cause de son emploi du temps un peu erratique et la coupure apparente entre 88 et 94. Je pensais aussi que gendarmerie et police avaient un peu mieux regardé et investigué au sein de leur cheptel respectif sur Paris et en région Parisienne, alors qu'ils se sont plutôt contenté d'attendre de nouveaux passages à l'acte sans réelle coordination un peu efficace entre eux à l'époque.

par Invité Ven 4 Mar - 12:12

chris0706 a écrit:
Salut, tu sais si les deux auteurs ont eu accès à des soures fiables, style enquêteurs / PV d'audition ?
C'est sans doute le cas.
Mais on a été tellement échaudés depuis qques mois, d'apprendre que des points semblant vérités établies se sont révélées branches pourries: rien que sur le dossier IMGP, la première rencontre fin 86 pas confirmée dans le carnet, pas plus que les fameuses "évaluations sexuelles"... L'altercation au square la veille du double meurtre, qui remonterait en fait à des semaines... L'adresse rue Rubens qui n'était pas la bonne (6/13)...

-
Salut Chris,

Du peu que j'ai pu lire du livre de Kemmet, il y a des détails qui ne peuvent provenir que d'enquêteurs, de collègues, familles, supérieurs hiérarchiques, psys, qui étaient aux plus près de lui.

Je garde le meilleur pour la fin avec le livre de P.Tourancheau.

par Invité Ven 4 Mar - 12:33

[quote="Sortcière"][quote="chris0706"]

mimi a écrit:la piste menant à un policier ou gendarme

Bonjour,

Je suis d'accord aussi bien avec mimi qu'avec chris. J'ai même pensé à un passage par la légion. Mais je ne suis pas allée jusqu'à un gendarme ou un flic en activité, même si je me suis posé la question aussi, peut-être à cause de son emploi du temps un peu erratique et la coupure apparente entre 88 et 94. Je pensais aussi que gendarmerie et police avaient un peu mieux regardé et investigué au sein de leur cheptel respectif sur Paris et en région Parisienne, alors qu'ils se sont plutôt contenté d'attendre de nouveaux passages à l'acte sans réelle coordination un peu efficace entre eux à l'époque.

Oui c'est vrai, il y aura eu aussi, au moins à la marge, un côté "Guerre des Polices".
Qui explique sans doute que lorsque la PJ a pris la suite des gendarmes en 96, il n'y a pas vraiment eu de continuité (semble-t-il) pour recenser les quelque 10 000 Volvos dont il a souvent été question...

par Invité Ven 4 Mar - 12:39

Tristann a écrit:
chris0706 a écrit:
Salut, tu sais si les deux auteurs ont eu accès à des soures fiables, style enquêteurs / PV d'audition ?
C'est sans doute le cas.
Mais on a été tellement échaudés depuis qques mois, d'apprendre que des points semblant vérités établies se sont révélées branches pourries: rien que sur le dossier IMGP, la première rencontre fin 86 pas confirmée dans le carnet, pas plus que les fameuses "évaluations sexuelles"... L'altercation au square la veille du double meurtre, qui remonterait en fait à des semaines... L'adresse rue Rubens qui n'était pas la bonne (6/13)...
-
Salut Chris,

Du peu que j'ai pu lire du livre de Kemmet, il y a des détails qui ne peuvent provenir que d'enquêteurs, de collègues, familles, supérieurs hiérarchiques, psys, qui étaient aux plus près de lui.

Je garde le meilleur pour la fin avec le livre de P.Tourancheau.

OK. Je vais aussi faire l'acquisition du couple de bouquins, qui enrichiront des étagères assez dégarnies sur le dossier (Hutsebaut 2004, Tourancheau 2017).

Au passage, on est curieux de connaitre le planning de FV employé au mess à Kellermann en 86 (qui, à l'époque, était censé être estafette pour ce que l'on en savait)
Le viol de la petite Sarah a eu lieu vers 8h du matin: ce qui n'est pas trop compatible avec un tel service...

Par ailleurs, si Mr a commencé à chicaner sur son emploi du temps (à quelle période ?), ça en dit aussi long sur ce que fut son rapport au corps de la GR: où la discipline doit être encore plus stricte qu'ailleurs...
Et le fait qu'il n'ait pas donné satisfaction, au point de devoir se barrer en 88.

par Invité Ven 4 Mar - 12:50

Mon libraire m’a dit que c'est un bouquin qui va partir comme des petits pains, énormément de réservation via internet.

par Invité Ven 4 Mar - 12:59

Tristann a écrit:Mon libraire m’a dit que c'est un bouquin qui va partir comme des petits pains, énormément de réservation via internet.

Bah oui, ce créneau là sera tjrs vendeur dans nos sociétés, de + en + fascinées par le fait divers.

Ce n'est pas notre ange déchu préféré, Bourgoin Ier, qui dira le contraire -)))

par ruth Ven 4 Mar - 13:25

par ruth Aujourd'hui à 13:23

L'Heure du Crime (@LHeureDuCrime) Tweeted:
"Le Grêlé, le tueur était un flic". En exclusivité @Patourancheau viendra présenter son nouveau livre à 14h30 sur @RTLFrance.

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À 14h30, sur RTL

par Invité Ven 4 Mar - 14:24

MERCI P.Tourancheau.
C'est toujours un plaisir à lire.

--
Épisode n° 3
Texte Patricia Tourancheau, Illustration Simon Lambert/« Les Jours » d’après une photo de Pierre Morel,Édité par François Meurisse
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par mimi Ven 4 Mar - 14:57

Edit : merci de ne pas publier d'extraits de livres

par dummhet Ven 4 Mar - 15:22

mimi a écrit:

Rien sur Sophie Narme, rien sur Edith Martinet (qui est rapprochée avec le dossier Politi-Müller). Piecko c'est peu probable, Verove n'avait pas le permis, il était dans la Haute-Marne à ce moment pour sa formation sous-off et sur le point d'avoir sa nomination (une semaine après les faits). Les autres fillettes...mystère même si je vois plutôt le duo Guardo/le "Renaud" de Sabine Dumont derrière ces crimes.

par mimi Ven 4 Mar - 15:26

marie anne laurent tuée à paris en 1983 n 'est pas dans la liste

par Invité Ven 4 Mar - 16:12

Bonjour les amis ! Vous vous rendez compte le nombre d " endroit ou il est passé et les victimes inconnues de ce Vérove ! Plus que l ' on ne pouvait le penser sur ce forum , il faut regarder toute la France et pas seulement Paris ! TOUTE LA FRANCE !

par Sortcière Ven 4 Mar - 16:13

Merci Tristan.

Bah oui ce sale type a manipulé tout le temps et tout le monde. Sa rage folle, c'est surtout sa frustration quand il n'obtient pas ce qu'il veut. Il ne sert que ses seuls intérêts du moment et utilise les autres. Par certains cotés : la paresse, les arrêts maladie de complaisance, il me fait penser à Lelandais.

par Kassandra88 Ven 4 Mar - 17:11

mimi a écrit:

Grosse erreur.
Sabine Dumont n'est pas une victime de Vérove. L'ADN le prouve.
8: c'est Aulde.

par ruth Ven 4 Mar - 17:51

ruth a écrit:par ruth Aujourd'hui à 13:23

L'Heure du Crime (@LHeureDuCrime) Tweeted:
"Le Grêlé, le tueur était un flic". En exclusivité @Patourancheau viendra présenter son nouveau livre à 14h30 sur @RTLFrance. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

À 14h30, sur RTL

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Le replay
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Très bonne émission, avec beaucoup d'infos
Notamment :

- FV a eu beaucoup d'arrêts-maladie et de nombreux faits ont été commis pendant ces périodes.
Ex : la boum de Cyril et l'enlèvement, le lendemain
FV était censé être en "permission convalescence" pour sciatique.
Personne ne l'a vu boîter et il a fui en courant en Seine et Marne.
Arrêt-maladie aussi pour le double meurtre du Marais
Ça explique, en bonne partie, tout le temps dont il dispoait pour ses méfaits.

- Sa femme ne lui connaît qu'une sorte de redingote et des chaussures Palladium.
Elle n'a jamais vu les blousons et les baskets.
Elle ne savait pas qu'il fumait.
Elle n'a jamais vu les objets volés.
Une (ou plusieurs) vies parallèle vertigineuse, avec forcément une organisation matérielle et peut-être une conjointe choisie pour sa cécité psychique.

par Invité Ven 4 Mar - 18:28

Merci ruth !

par ruth Ven 4 Mar - 18:38

peri a écrit:Merci ruth !

Avec plaisir

par Invité Ven 4 Mar - 19:58

ruth a écrit:par ruth Aujourd'hui à 13:23

L'Heure du Crime (@LHeureDuCrime) Tweeted:
"Le Grêlé, le tueur était un flic". En exclusivité @Patourancheau viendra présenter son nouveau livre à 14h30 sur @RTLFrance. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

À 14h30, sur RTL

Merci pour le tuyau, Ruth.
J'ai pu me connecter peu avant 15h, et suivre la dernière 1/2 heure.
Bonne surprise, PT nous a appris diverses choses (par contre, l'animateur est tombé dans les banalités ou inexactitudes flagrantes, style "On a aperçu la Volvo sur plusieurs lieux de crimes !")
Sinon, parmi les points nouveaux:
- FV a été assez vite catégorisé comme un tire-au-flanc à la caserne
- En 86, a entamé un cycle d'arrêts-maladie, avec une hernie discale à l'automne, qui lui valu de passer 10 jours à Bégin, en nov/ déc.
- Au début du printemps 87, il a bénéficié d'un mois d'arrêt-maladie en continu. Ce qui correspond, entre autres, à la période où il a relancé plusieurs fois I.Müller, jusqu'au drame qu'on sait. Sa présence près d'elle, en particulier au retour de Bavière, avait intrigué sur ce forum: si en congé-maladie (officiellement), on comprend mieux la disponibilité du personnage.
- Sa femme n'a jamais vu "dans leur studio" (au sein de quelle caserne ?) ni objets volumineux du butin, ni attirail de faux-flic (holster, colt python, talkie-walkie). Il avait donc une planque. L'an passé j'avais pensé à un casier de gare: mais peut-être avait-il un garage privatif...
- Le 2 avril 87, il a braqué la jeune fille près d'Orly en la menaçant d'une arme de poing. Ce qui peut aller dans le sens de ceux qui le croient impliqué pour K.Leroy en avril 94.
- Il n'a décroché son permis B qu'en 86: ce qui, du coup, semble l'exonérer d'être le beau mec encravaté, roulant en DS, qui s'en est pris à "Françoise" vers 1980-82
- PT n'avance pas d'hypothèse quand au pseudo "Lauringe"
- Pour elle, c'est la lâcheté qui a poussé Vérove à se suicider, en aucun cas la volonté de préserver sa famille d'un procès très médiatisé.
- Et pour terminer, elle pense que FV s'est effectivement arrêté fin 90s.

Voilà... Ces quelques points de mémoire, je n'ai pu prendre de notes, pendant cette émission prise en cours de route.

par Sortcière Ven 4 Mar - 20:06

Je veux bien qu'il ait un vestiaire, mais là il faut envisager un grand dressing voire un local de stockage ! lol
Quelqu'un aurait-il pu lui prêter ou lui louer au noir un vieux garage inutilisable pour une voiture ou autre lieu de stockage dans Paris ? Je le vois mal entreposer son butin à la caserne ou chez lui.

par ruth Ven 4 Mar - 20:20

Vu son audace, tout est possible !

Il lui suffisait de revendre (ou éventuellement de se débarrasser) très vite des objets volés qui tenaient dans un sac ou même de les laisser un jour ou deux dans son coffre.
Mme V. semble tellement "non-curieuse" qu'elle n'aurait jamais regardé.

À l'époque, les Puces de Saint-Ouen étaient réputées pour avoir une part de marchandises très douteuses et quelques brocanteurs/antiquaires qui se retrouvaient parfois derrière les barreaux pour recel...

par Sortcière Ven 4 Mar - 20:45

Bonsoir chris,

"- En 86, a entamé un cycle d'arrêts-maladie, avec une hernie discale à l'automne, qui lui valu de passer 10 jours à Bégin, en nov/ déc."

Si c'est la même hernie discale que Lelandais ...

On opère pas la plupart des petites hernies discales qui se résorbent toute seule le plus souvent. Vérove a t-il pris des anti inflammatoires dès cette époque ? Est il devenu accro aux anti inflammatoires ? Ce n'est pas impossible. Est il en manque le jour où il est vu pâle, tremblant et souffrant ? Ce n'est pas impossible non plus.

par Invité Ven 4 Mar - 21:04

@Tristan

Merci bcp pour ce nouvel article de P.Tourancheau.
Il apporte du grain à moudre, pour aider à reconstituer le puzzle biographique.
Même si certaines choses écrites là ne collent pas avec ce qu'on savait / croyait savoir: par exemple, d'après Les Jours, l'énigmatique "incident de moeurs" qui lui a valu 10 jours d'arrêts de rigueur serait de courant 86. Alors qu'un autre article du Parisien, cet automne, le datait de fin 83, au bout d'un semestre à la caserne des Célestins, qu'il aurait alors dû quitter.
D'autres points de détail sur son parcours, qui ne coïncident pas avec ce qu'on a appris ailleurs...

Le cheval n'était pas sa tasse de thé, de l'avis général des collègues ou chefs.
Mais il avait fait son trou dans l'infanterie / moto: quelle raison a-t-il donné à sa femme en 88, pour expliquer ce départ à la fin du contrat quinquennal ?
D'après une page postée par Mimi (de Kemmmet-Sellami ?), il a résidé à la caserne Babylone de l'automne 87 à son départ de la GR, l'été suivant. Il était donc à proximité lors des "contrôles" de fin novembre: mais l'aurait été tout autant si resté à la caserne Napoléon.

Compte tenu des incohérences entre ce qu'on savait déjà (Le Parisien), et ce qu'on vient d'apprendre, il est difficile de résumer le parcours de cinq ans que Vérove aura passé dans la GR...
Ou même d'en faire une esquisse: dans les grandes lignes, il aurait débuté aux Célestins en 83 (4ème arrdt, m° Sully morland), où sa femme l'aurait rejoint en 85 (?). Après un court passage dans une "annexe" voisine rue de Schomberg, le couple se serait installé (quand précisément ?) à la caserne Napoléon (4ème, m° Hôtel de Ville). Vérove aurait vers 85-86 effectué du service au mess de Kellermann (13ème, sans y loger sans doute). Et à l'automne 87, le couple quitte la caserne Napoléon pour aller à Babylone (7ème).

Ca va certainement se décanter, mais pour l'instant, quel embrouillamini...

EDIT: oh là là, vérification faite: l'article des Jours dit explicitement qu'en septembre 87 le couple quitte Les Célestins (4ème) pour s'installer à la caserne voisine rue de Schomberg.
Alors que d'après Kemmet-Sellami c'est cet automne là qu'ils débarquent à Babylone (7ème)...
Faut-il en conclure que Schomberg n'aura été qu'une parenthèse de quelques semaines ?
Et quid de la caserne Napoléon, où il semblait acquis depuis cet automne qu'il logeait lors de sa période criminelle la plus active ?

par Invité Ven 4 Mar - 21:29

Sortcière a écrit:Bonsoir chris,

"- En 86, a entamé un cycle d'arrêts-maladie, avec une hernie discale à l'automne, qui lui valu de passer 10 jours à Bégin, en nov/ déc."

Si c'est la même hernie discale que Lelandais ...

On opère pas la plupart des petites hernies discales qui se résorbent toute seule le plus souvent. Vérove a t-il pris des anti inflammatoires dès cette époque ? Est il devenu accro aux anti inflammatoires ? Ce n'est pas impossible. Est il en manque le jour où il est vu pâle, tremblant et souffrant ? Ce n'est pas impossible non plus.

C'est possible.
Perso j'ai envisagé qu'il ait pu suivre de lui-même un premier traitement psy de quelques mois, vers l'été 87. Ce qui, conjugué à sa future paternité et à son changement professionnel, l'avait stabilisé dans les années 88/89/90 (ce que P.Tourancheau admet d'ailleurs dans l'émissions de RTL cet aprèm).

On dit qu'abondance de biens ne nuit pas.
Et c'était stimulant de savoir qu'outre les articles factuels de Les Jours, deux bouquins sortaient cette semaine.
Mais on perçoit déjà des incohérences difficiles à concilier, concernant ses points de chute dans les diverses casernes.
Et quand au dossier médical, on peut douter que les journalistes et nous bénéficieront des mêmes précisions que les enquêteurs...

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