Re: Désormais on sait qui il était clap 6

par Invité Ven 11 Mar - 13:50

Bonjour à tous,

Je viens le terminer le Kemmet-Sellami (et ai d'ailleurs été arnaqué par la librairie en ligne, ayant reçu un exemplaire "Epreuves non corrigées", vais réclamer !)

Comme plusieurs ci dessus, le livre m'a paru intéressant et factuel.
Même avec des procédés faciles, comme la ficelle faisant de Mme Turquey un fil rouge, dans les méandres labyrinthiques du dossier.

A signaler, le chapitre "Les carnets rouges". Qui donne des détails inédits sur la disposition des pages. Ou des mentions d'activités / de prénoms qui éclairent pour nous le quotidien de ces mois parisiens pour Irmgard Mûller.
Surtout, quelques dates essentielles: mention d'un appel d' "Elie" le 1er décembre 86, d'un rapport sexuel avec lui le surlendemain. Jusque là, on n'avait que des approximations dans les sources.

Par contre, on reste toujours autant dans le flou sur les points de chute de Vérove GR: l'article du Parisien de novembre établissait formellement que FV était à la caserne Napoléon au printemps 87 ("Les enquêteurs ont dû s'arracher les cheveux d'apprendre qu'il vivait à 300 m de l'immeuble du double crime").
Le Kemmet-Sellami évoque un -long- séjour à la caserne des Célestins, puis fin 87 un départ à la caserne Babylone, sans aucune mention de Napoléon entre temps.
Et l'article de P.Tourancheau posté ici il y a quelques jours fournissait encore des données différentes...
Pourtant, son CV de garde années 80 est désormais bien connu: ces incohérences n'ont pas lieu d'ëtre.

par Kassandra88 Ven 11 Mar - 14:13

Et les pistes à creuser ne cessent de se multiplier. En plus des soupçons qui pesaient déjà sur certaines victimes de meurtres comme Karine Leroy, de nombreuses personnes se manifestent auprès du cabinet de Corrinne Herrmann. Toutes disent se reconnaître dans le mode opératoire du Grêlé et le soupçonnent d'avoir été l'auteur d'agressions subies dans leur enfance ou leur adolescence. "C'est un puzzle immense à reconstituer pour essayer de répondre à certaines victimes. Vous dire qu'il y en a 20, 30, 40, 50. Je ne le sais pas", précise Me Corrinne Herrmann.

Il raconte également avoir commis des crimes jusqu'en 1997, année où il aurait commencé une psychothérapie. "Si la psychothérapie peut permettre à un tueur de ce type-là d'arrêter ses actes vite, vite, vite, il faut mettre tout ça en œuvre dans les prisons !" ironise Me Herrmann.

L'avocate ne croit "absolument pas" que cette thérapie ait suffi à arrêter le tueur en série. Elle appelle d'ailleurs les enquêteurs à ne pas se fier à ses dires. "En tout cas, on n'est pas tenu de le croire et je peux vous dire que l'enquête ne va pas le croire. Elle va vérifier", conclut-elle.

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par Claire Ven 11 Mar - 19:27

Kassandra88 a écrit:Et les pistes à creuser ne cessent de se multiplier. En plus des soupçons qui pesaient déjà sur certaines victimes de meurtres comme Karine Leroy, de nombreuses personnes se manifestent auprès du cabinet de Corrinne Herrmann. Toutes disent se reconnaître dans le mode opératoire du Grêlé et le soupçonnent d'avoir été l'auteur d'agressions subies dans leur enfance ou leur adolescence. "C'est un puzzle immense à reconstituer pour essayer de répondre à certaines victimes. Vous dire qu'il y en a 20, 30, 40, 50. Je ne le sais pas", précise Me Corrinne Herrmann.

Il raconte également avoir commis des crimes jusqu'en 1997, année où il aurait commencé une psychothérapie. "Si la psychothérapie peut permettre à un tueur de ce type-là d'arrêter ses actes vite, vite, vite, il faut mettre tout ça en œuvre dans les prisons !" ironise Me Herrmann.

L'avocate ne croit "absolument pas" que cette thérapie ait suffi à arrêter le tueur en série. Elle appelle d'ailleurs les enquêteurs à ne pas se fier à ses dires. "En tout cas, on n'est pas tenu de le croire et je peux vous dire que l'enquête ne va pas le croire. Elle va vérifier", conclut-elle.

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Bonsoir Kassandra,
la toute petite Claire n'est pas convaincue par une partie de l'argumentation de PT.
A partir de 1994, Vérove a appris que la Police disposerait de la technique ADN, outil fondamental qui non seulement permettrait de l'identifier par simple comparaison mais en plus permettrait d'identifier un ADN commun aux crimes qu'il a commis de sorte que les enquêteurs pourraient rassembler de nombreuses informations issues de diverses affaires.
Donc, comme le suggérait Alain Vasquez, le G a probablement arrêté en 1994 par peur de se faire prendre tout en ayant encore quelques envies de tuer. Et je déduirais de sa lettre que c'est à partir de 1997 qu'il a cessé d'avoir envie de tuer..
What do you think ?
Claire
PS: je suppose que Chris regardera Fr2 à partir de 21H..

par Invité Ven 11 Mar - 21:04

Je suis curieux de savoir ce que les enquêteurs ont trouvé dans l'historique internet de notre triste sire, je ne pense pas qu'il était un lecteur assidu de forum, article, émission tv à son sujet.

par Kassandra88 Sam 12 Mar - 1:03

Tristann a écrit:Je suis curieux de savoir ce que les enquêteurs ont trouvé dans l'historique internet de notre triste sire, je ne pense pas qu'il était un lecteur assidu de forum, article, émission tv à son sujet.

Savait-il déjà qu'on le surnommait le grêlé?
Si oui, il devait se sentir à l'aise s'il n'a jamais vraiment eu de problème de peau.

par mimi Sam 12 Mar - 8:52

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si j'ai bien compris FRANCOIS VEROVE était le premier des 750 gendarmes convoqués à la PJ

donc la personne dans le collimateur de la juge depuis un certain temps !

beaucoup de temps gagné et d'argent économisé sur des prélèvements ADN pour les autres gendarmes !

par Claire Sam 12 Mar - 9:01

mimi a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

si j'ai bien compris FRANCOIS VEROVE était le premier des 750 gendarmes convoqués à la PJ

donc la personne dans le collimateur de la juge depuis un certain temps !

beaucoup de temps gagné et d'argent économisé sur des prélèvements ADN pour les autres gendarmes !

Justement, si c'était l'un des premiers (alors que la première lettre de son nom est loin du A) c'est que probablement il était dans le collimateur.
Dans ces conditions, on peut s'étonner que les services de Police lui aient annoncé 5 jours à l'avance qu'on voulait prélever son ADN pour une affaire datant des années 80. Il aurait dû être évident qu'il ne serait pas venu..

par Invité Sam 12 Mar - 9:31

mimi a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

si j'ai bien compris FRANCOIS VEROVE était le premier des 750 gendarmes convoqués à la PJ

donc la personne dans le collimateur de la juge depuis un certain temps !

beaucoup de temps gagné et d'argent économisé sur des prélèvements ADN pour les autres gendarmes !

Attention aux simplifications destinées à faire du buzz, chez certains médias.
Les vérifications concernant ces 750 suspects potentiels ont débuté au printemps 2021.

par Claire Sam 12 Mar - 10:01

Kassandra88 a écrit:
Tristann a écrit:Je suis curieux de savoir ce que les enquêteurs ont trouvé dans l'historique internet de notre triste sire, je ne pense pas qu'il était un lecteur assidu de forum, article, émission tv à son sujet.

Savait-il déjà qu'on le surnommait le grêlé?
Si oui, il devait se sentir à l'aise s'il n'a jamais vraiment eu de problème de peau.

Salut Kassandra,
Savait-il déjà qu'on le surnommait le grêlé?
je suis surprise qu'une Star se pose cette question dans la mesure où la presse a abondamment parlé du grêlé et qu'en tant que policier

il a forcément dû en entendre parler.

par Sortcière Sam 12 Mar - 12:23

Bonjour à tous,

A mon avis il a toujours su qu'il avait été surnommé "le grêlé", ce qui ne devait pas le déranger le moins du monde tant ce terme s'est avéré excessif et tant il y a des hommes ayant une peau plus ou moins cicatricielle sans que cela n'affecte réellement leur apparence surtout avec le temps ou la mode du look mal rasé.

Vérove (et d'autres) sont de la même engeance que Lelandais dont les experts ont dit :

"Ce qui le rend si particulier, c'est son «étonnante capacité à s'adapter». Sa «capacité à retomber sur ses pattes». Cette «capacité extraordinaire à cacher ses émotions en temps réel que seule la psychopathie à un niveau extrême permet».
ou encore :
«cet homme ne dit rien que ce que l'interlocuteur demande à entendre»

Ce genre d'individu ne fait que mimer les émotions quand c'est nécessaire d'en montrer aux autres. Il ne les ressent pas.

Et comme le dit le docteur Bensussan : «Le psychopathe, dans les yeux du public, c'est un malade mental. Mais ce n'est pas une maladie mentale. C'est un trouble de la personnalité, qui présente une forme très sévère chez monsieur Lelandais.» Il n'y a ni remède, ni guérison: «Le psychopathe ne change pas.»

Il ne faut pas imaginer que Vérove a pu changer. Tout au plus s'est il mis en veille quand c'était nécessaire ou opportun. Il a organisé le risque autrement. Il n'a plus laissé trainer son adn à partir de 97. Il s'est déployé dans d'autres activités criminelles et rémunératrices peut-être bien. Les psychopathes ne sont pas tous des criminels de sang, ils excellent aussi dans d'autres modes de destruction de l'autre comme pousser au suicide par exemple. Et être flic offre bien des possibilités.

Je ne pense pas qu'il y aura une réelle volonté d'en savoir trop sur cet individu, en dehors de réouvrir quelques vieux cold case ou de maintenir quelques vieux dossier à l'abri de la prescription. Et c'est déjà bien.

Et si il avait pu y avoir des procès, je ne suis pas convaincue qu'on aurait pu en apprendre plus non plus. L'essentiel pour les victimes connues et leurs familles reste de savoir qu'il a été contraint de se priver de la fin de vie et de la retraite dorée qu'il s'était concocté. Et qu'il ne nuira plus à personne.

Sans doute a t-il fait d'autres victimes ... mais puisqu'il a préféré se suicider c'est sans doute qu'il ne les aurait ni avouées ni reconnues.

Ca doit être tout de même tragique aussi d'être un être humain sans aucune empathie, une sorte de baudruche vide toujours en fausse représentation et vivre une solitude qui ne permet que d'observer ce qui fait vibrer les autres et dont on est privé, non ? Comment changer cela ?

par Lisetoct Sam 12 Mar - 17:14

Sortcière a écrit:Bonjour à tous,

A mon avis il a toujours su qu'il avait été surnommé "le grêlé", ce qui ne devait pas le déranger le moins du monde tant ce terme s'est avéré excessif et tant il y a des hommes ayant une peau plus ou moins cicatricielle sans que cela n'affecte réellement leur apparence surtout avec le temps ou la mode du look mal rasé. Je suis d'accord avec toi.

Vérove (et d'autres) sont de la même engeance que Lelandais dont les experts ont dit :

"Ce qui le rend si particulier, c'est son «étonnante capacité à s'adapter». Sa «capacité à retomber sur ses pattes». Cette «capacité extraordinaire à cacher ses émotions en temps réel que seule la psychopathie à un niveau extrême permet».
ou encore :
«cet homme ne dit rien que ce que l'interlocuteur demande à entendre»

Ce genre d'individu ne fait que mimer les émotions quand c'est nécessaire d'en montrer aux autres. Il ne les ressent pas.

Et comme le dit le docteur Bensussan : «Le psychopathe, dans les yeux du public, c'est un malade mental. Mais ce n'est pas une maladie mentale. C'est un trouble de la personnalité, qui présente une forme très sévère chez monsieur Lelandais.» Il n'y a ni remède, ni guérison: «Le psychopathe ne change pas.»

Il ne faut pas imaginer que Vérove a pu changer. Tout au plus s'est il mis en veille quand c'était nécessaire ou opportun. Il a organisé le risque autrement. Il n'a plus laissé trainer son adn à partir de 97. Il s'est déployé dans d'autres activités criminelles et rémunératrices peut-être bien. Les psychopathes ne sont pas tous des criminels de sang, ils excellent aussi dans d'autres modes de destruction de l'autre comme pousser au suicide par exemple. Et être flic offre bien des possibilités. Encore OK.

Je ne pense pas qu'il y aura une réelle volonté d'en savoir trop sur cet individu, en dehors de réouvrir quelques vieux cold case ou de maintenir quelques vieux dossier à l'abri de la prescription. Et c'est déjà bien.

Et si il avait pu y avoir des procès, je ne suis pas convaincue qu'on aurait pu en apprendre plus non plus. L'essentiel pour les victimes connues et leurs familles reste de savoir qu'il a été contraint de se priver de la fin de vie et de la retraite dorée qu'il s'était concocté. Et qu'il ne nuira plus à personne. Là , pas d'accord . Je reviens sur sa famille à lui : on aurait apprécié leur témoignage .

Sans doute a t-il fait d'autres victimes ... mais puisqu'il a préféré se suicider c'est sans doute qu'il ne les aurait ni avouées ni reconnues.

Ca doit être tout de même tragique aussi d'être un être humain sans aucune empathie, une sorte de baudruche vide toujours en fausse représentation et vivre une solitude qui ne permet que d'observer ce qui fait vibrer les autres et dont on est privé, non ? Comment changer cela ?

Je pense qu'avec le temps les enfants de FV parleront . Il faut juste leur laisser du temps. Comme l 'a fait la fille de BTK quand elle a évoqué la fureur de son père contre son fils/ frère .

par Claire Sam 12 Mar - 20:22

Bonsoir à tous,

je suis tombée sur cet article qui date de 2015: l'hypothèse que le G puisse être un policier
y était explicitement envisagée..
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Je pense que Vérove devait être au courant de cela.. Si oui, il s'était alors mentalement préparé au fait qu'il pouvait, d'un moment à l'autre, être convoqué pour un test ADN..

Claire

par Maison Dim 13 Mar - 9:09

Kassandra88 a écrit:Et les pistes à creuser ne cessent de se multiplier. En plus des soupçons qui pesaient déjà sur certaines victimes de meurtres comme Karine Leroy, de nombreuses personnes se manifestent auprès du cabinet de Corrinne Herrmann. Toutes disent se reconnaître dans le mode opératoire du Grêlé et le soupçonnent d'avoir été l'auteur d'agressions subies dans leur enfance ou leur adolescence. "C'est un puzzle immense à reconstituer pour essayer de répondre à certaines victimes. Vous dire qu'il y en a 20, 30, 40, 50. Je ne le sais pas", précise Me Corrinne Herrmann.

Il raconte également avoir commis des crimes jusqu'en 1997, année où il aurait commencé une psychothérapie. "Si la psychothérapie peut permettre à un tueur de ce type-là d'arrêter ses actes vite, vite, vite, il faut mettre tout ça en œuvre dans les prisons !" ironise Me Herrmann.

L'avocate ne croit "absolument pas" que cette thérapie ait suffi à arrêter le tueur en série. Elle appelle d'ailleurs les enquêteurs à ne pas se fier à ses dires. "En tout cas, on n'est pas tenu de le croire et je peux vous dire que l'enquête ne va pas le croire. Elle va vérifier", conclut-elle.

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Bonjour à tous,
Propos clairs et clairvoyants de Me HERRMANN bom

Perso et je ne suis pas spécialiste, j'adhère !
Mais çà fait encore plus froid dans le dos.

par Invité Mar 15 Mar - 22:37

Bonsoir, on a beaucoup spéculé sur l'anagramme ayant généré "Elie Lauringe", de Guerlain à Gravelines et on en passe.

Comme d'autres, j'avais pensé de longue date que, le jour de la première rencontre (le 30 /11/86 à la piscine ?) il a pu donner un pseudo neutre style "Laurent Gély".
Lequel elle aurait orthographié "Laurenge Elie" (=ce qu'elle a noté sur le bout de carton retrouvé au fond du sac à main, cf. bouquin de Kemmet & Sellami).
Mais cette hypothèse a dû être fouillée de longue date par la BC, non ?

Quoique, si erreur initiale de la part d'IM, il s'est bien gardé de la détromper quand il l'a appelée le lendemain...
Du genre:
- "Allo, Irmgard, c'est Laurent Gély
- Salut, Elie"
Etc etc...
(Mouais, ça ne le fait pas trop... Même si, d'après les points d'exclamation sur le carnet la veille, elle avait dû flasher sur lui et ne s'attardait sans doute pas aux détails)

Par ailleurs, est ce bien son écriture à elle, sur le bout de carton en question ?

par ruth Mar 15 Mar - 22:46

Bonsoir à tous,

L'hypothèse Gravelines est séduisante, mais ce mystère ne sera sans doute jamais résolu.
Et rien ne nous dit que FV se serait expliqué là-dessus (et sur le reste) s'il avait été pris vivant.

par Invité Mar 15 Mar - 23:00

Claire a écrit:Bonsoir à tous,

je suis tombée sur cet article qui date de 2015: l'hypothèse que le G puisse être un policier
y était explicitement envisagée..
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Je pense que Vérove devait être au courant de cela.. Si oui, il s'était alors mentalement préparé au fait qu'il pouvait, d'un moment à l'autre, être convoqué pour un test ADN..

Claire

Salut Claire,

Oui, autant c'est le prédateur pédophile qui reconnait les lieux puis agit bestialement en 86, et le cambrioleur-violeur parfois erratique de 87...
Autant, notable héraultais années 2010, il avait pris du recul.
On aurait sans doute eu droit au numéro du "grand muet", pendant un procès.

Sinon, dans le lien que tu cites, on constate une fois de plus le côté obtus des premiers juges vis à vis de l'ADN.
On comprend mieux que, confrontée à cette hostilité latente, la famille Bloch ne se soit pas portée partie civile.
Cela conjugué au dogme des enquêteurs, qui ont vite escamoté la piste "membre des FdO", que de retards à l'embrayage...

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