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Tueur en série : le grêlé. :: AFFAIRES EN COURS :: AVIS DE RECHERCHE-APPELS À TÉMOINS
LIGONNÈS, NARUMI, LEA,TIPHAINE ...
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Besançon disparition mystérieuse de Narumi
Qu'est ce qu'on attend?????
Selon les médias japonais, l'ex-petit ami chilien et suspect numéro 1 dans la disparition en décembre dernier à Besançon de Narumi, une étudiante japonaise de 21 ans, s'est réfugié chez ses parents au Chili.
Les médias japonais ont retrouvé la trace de l'ex-petit ami chilien de Narumi Kurosaki, la jeune japonaise de 21 ans de Besançon portée disparue dans la nuit du 4 au 5 décembre dernier.
Selon l'envoyé spécial du magazine nippon Shukan Shincho, cité par nos confrères de l'Est Républicain, Nicolas Zepeda Contreras est rentré dans son pays, au Chili. Les autorités chiliennes ont confirmé cette information.
L'assistant-professeur de l’université de Santiago, âgé de 26 ans, se trouve à La Serena, une ville de 250 000 habitants à 400 km au nord de la capitale Santiago.
Un journaliste l'a aperçu derrière une fenêtre
Le journaliste de Shukan Shincho a expliqué avoir vu le jeune enseignant derrière une fenêtre de l’appartement loué par ses parents, où vivent aussi ses sœurs jumelles.
Toujours d'après le journaliste, une des sœurs est sortie du domicile avec un chien, vêtue d'un t-shirt "Fuck you" ("Allez vous faire voir"). Elle a refusé de répondre aux questions des médias japonais.
Le père du suspect est l’un des dirigeants de Movistar, marque de l’opérateur de téléphonie mobile espagnol Telefonica, rapporte encore L'Est Républicain.
L'enseignant reste le principal suspect dans cette affaire
Nicolas Zepeda Contreras avait précipitamment quitté la France le 7 décembre dernier, après un court séjour à Besançon les 4 et 5 décembre, au cours duquel il est sorti avec Narumi Kurosaki.
Il nie toute implication dans la disparition de l'étudiante, qui est toujours introuvable.
L'enseignant chilien reste le suspect n° 1 dans cette affaire. Un mandat d’arrêt international a été émis contre lui.
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Selon les médias japonais, l'ex-petit ami chilien et suspect numéro 1 dans la disparition en décembre dernier à Besançon de Narumi, une étudiante japonaise de 21 ans, s'est réfugié chez ses parents au Chili.
Les médias japonais ont retrouvé la trace de l'ex-petit ami chilien de Narumi Kurosaki, la jeune japonaise de 21 ans de Besançon portée disparue dans la nuit du 4 au 5 décembre dernier.
Selon l'envoyé spécial du magazine nippon Shukan Shincho, cité par nos confrères de l'Est Républicain, Nicolas Zepeda Contreras est rentré dans son pays, au Chili. Les autorités chiliennes ont confirmé cette information.
L'assistant-professeur de l’université de Santiago, âgé de 26 ans, se trouve à La Serena, une ville de 250 000 habitants à 400 km au nord de la capitale Santiago.
Un journaliste l'a aperçu derrière une fenêtre
Le journaliste de Shukan Shincho a expliqué avoir vu le jeune enseignant derrière une fenêtre de l’appartement loué par ses parents, où vivent aussi ses sœurs jumelles.
Toujours d'après le journaliste, une des sœurs est sortie du domicile avec un chien, vêtue d'un t-shirt "Fuck you" ("Allez vous faire voir"). Elle a refusé de répondre aux questions des médias japonais.
Le père du suspect est l’un des dirigeants de Movistar, marque de l’opérateur de téléphonie mobile espagnol Telefonica, rapporte encore L'Est Républicain.
L'enseignant reste le principal suspect dans cette affaire
Nicolas Zepeda Contreras avait précipitamment quitté la France le 7 décembre dernier, après un court séjour à Besançon les 4 et 5 décembre, au cours duquel il est sorti avec Narumi Kurosaki.
Il nie toute implication dans la disparition de l'étudiante, qui est toujours introuvable.
L'enseignant chilien reste le suspect n° 1 dans cette affaire. Un mandat d’arrêt international a été émis contre lui.
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Besançon disparition mystérieuse de Narumi
Réserve t'on le colis à François Hollande?? "L’enseignant suspecté appartient à une famille influente. Son père est l’un des dirigeants de Movistar, marque de l’opérateur de téléphonie mobile espagnol Telefonica présent en maints pays et dont le siège pour l’Amérique latine est à Santiago.
Hollande au Chili samedi
Par ailleurs, le ministre japonais des affaires étrangères s’est entretenu de l’affaire, dimanche dernier, en marge de la conférence sur le Moyen-Orient, avec les autorités françaises. Le lendemain lundi 12 janvier, il s’est envolé pour le Chili pour y rencontrer son homologue ; il a mentionné que le haut procureur Chilien aurait promis de remettre aux autorités françaises le jeune professeur. À noter que François Hollande sera en visite officielle, samedi 21 et dimanche 22 janvier, au Chili. Nul doute que la disparition de Narumi sera évoquée."
Yves ANDRIKIAN http://www.estrepublicain.fr/edition-de-besancon/2017/01/18/narumi-les-medias-japonais-ont-retrouve-le-suspect-chilien
Hollande au Chili samedi
Par ailleurs, le ministre japonais des affaires étrangères s’est entretenu de l’affaire, dimanche dernier, en marge de la conférence sur le Moyen-Orient, avec les autorités françaises. Le lendemain lundi 12 janvier, il s’est envolé pour le Chili pour y rencontrer son homologue ; il a mentionné que le haut procureur Chilien aurait promis de remettre aux autorités françaises le jeune professeur. À noter que François Hollande sera en visite officielle, samedi 21 et dimanche 22 janvier, au Chili. Nul doute que la disparition de Narumi sera évoquée."
Yves ANDRIKIAN http://www.estrepublicain.fr/edition-de-besancon/2017/01/18/narumi-les-medias-japonais-ont-retrouve-le-suspect-chilien
meurtre d'une joggeuse Allemagne
Kassandra88 a écrit:Le corps de Carolin Gruber, 27 ans et originaire de Endingen, dans le Kaiserstuhl, la joggeuse disparue le dimanche 6 novembre a été quelques jours plus tard:
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Les premières constatations effectuées sur le corps ont aussi permis d'affirmer que la jeune femme avait été agressée sexuellement.
La police fait aussi un lien avec le meurtre d'une autre femme à Fribourg, Maria L., une étudiante en médecine de 19 ans, dont le corps avait été découvert le 16 octobre au matin. La victime avait été violée avant d'être tuée par noyade.
L'auteur des faits pourrait être un TES
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Les enquêteurs s'intéressent également à une BMW blanche, qui aurait suivi une jeune femme de 18 ans le 14 octobre dernier à travers Oberrotweil et jusqu'à Bickensohn.
La police Bade-Wurtemberg a été chargée des deux enquêtes.
Meurtre d'une étudiante française en Autriche : l'assassin serait le même que celui de la joggeuse d’Endingen
Lucile Klobut (droite), une étudiante française de 20 ans, avait été retrouvée morte le 12 janvier 2014 à Kufstein, en Autriche.
La veille, vers 23h45, alors qu'elle se dirigeait vers le pont de l'Inn, en discutant au téléphone avec l'amie qu'elle rejoignait, la conversation s'est interrompu brusquement.
Son corps sera découvert le lendemain matin sur une berge de la rivière l'Inn. La victime avait succombé à des coups violents à la tête portés par un tuyau de fer repêché par des plongeurs dans la rivière.
Selon les enquêteurs, ce crime présente de fortes similitudes avec le meurtre et le viol de la joggeuse d’Endingen commis en novembre dernier en Allemagne.
Carolin Gruber (gauche), 27 ans, avait disparu le 6 novembre dernier après avoir quitté son domicile de Bahlingen pour faire un petit footing d'une heure.
Son cadavre sera retrouvé le 10 novembre dans une cabane de vigne, entre Endingen et Bahlingen. La jeune femme a été violée et tuée.
Pour la police, il existe une grande probabilité que l’auteur du meurtre de Caroline Gruber soit le même que celui qui a tué Lucile.
Les policiers ont relevé des similitudes dans les indices recueillis sur les deux scènes de crime ainsi que dans le mode opératoire, notamment l’utilisation d’un objet contondant.
L'enquête suit son cours.
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meurtre d'une étudiante française en Autriche
Française tuée en Autriche : une piste mène en Allemagne.
Lucile Klobut, 20 ans, originaire de Saint-Bernard, dans le Val-de-Saône, était étudiante dans une école de commerce à Lyon.
Le même tueur? Les policiers enquêtant sur le meurtre de Lucile Klobut, une étudiante française tuée en Autriche en janvier 2014, ont annoncé ce jeudi avoir relevé de fortes similitudes avec un crime commis en novembre dernier en Allemagne.
Lucile Klobut, 20 ans, était étudiante en école de commerce à Lyon lorsqu'elle était partie à Kufstein, en Autriche, dans le cadre d’un échange Erasmus, relate Le Progrès.
Le 12 janvier 2014, quatre mois après son arrivée, la jeune fille avait été retrouvée morte le 12 janvier 2014 au matin sur les bords de la rivière Inn, victime de plusieurs violents coups à la tête.
Elle avait été agressée la veille au soir alors qu'elle se rendait à une soirée à quelques centaines de mètres de son appartement. Le portrait-robot d’un suspect avait été diffusé mais sans permettre d’arrestation.
L'affaire de la joggeuse
Selon la police en charge de l’enquête au Tyrol autrichien, il existe une «grande probabilité» que l’auteur du meurtre de Caroline Gruber, une joggeuse de 27 ans à Endingen près de Fribourg (sud-est de l’Allemagne), soit le même que celui qui a tué Lucile.
Les enquêteurs ont indiqué avoir relevé des similitudes dans les indices recueillis sur les deux scènes de crime en Autriche et en Allemagne, ainsi que dans le mode opératoire, notamment l’utilisation d’un objet contondant. Selon la police, Lucile avait été tuée à l’aide d’un tuyau de fer, retrouvé par la suite dans l’Inn.
Le corps de Caroline Gruber avait été découvert le jeudi 10 novembre dans un petit bois près du Kaiserstuhl. Elle avait disparu le dimanche précédent alors qu'elle était partie courir. Elle avait été victime d'une agression sexuelle avant d'être tuée.
A l'époque, la police indiquait qu'elle ne pouvait s'empêcher de faire le lien avec un autre meurtre, celui de Maria L., une étudiante en médecine de 19 ans, dont le corps avait été repêché dans la Dreisam le 16 octobre à Fribourg. La victime avait été violée avant d'être jetée dans l'eau. Finalement, l'interpellation d'un suspect n'avait pas permis de faire de lien entre ses deux dernières affaires.
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Lucile Klobut, 20 ans, originaire de Saint-Bernard, dans le Val-de-Saône, était étudiante dans une école de commerce à Lyon.
Le même tueur? Les policiers enquêtant sur le meurtre de Lucile Klobut, une étudiante française tuée en Autriche en janvier 2014, ont annoncé ce jeudi avoir relevé de fortes similitudes avec un crime commis en novembre dernier en Allemagne.
Lucile Klobut, 20 ans, était étudiante en école de commerce à Lyon lorsqu'elle était partie à Kufstein, en Autriche, dans le cadre d’un échange Erasmus, relate Le Progrès.
Le 12 janvier 2014, quatre mois après son arrivée, la jeune fille avait été retrouvée morte le 12 janvier 2014 au matin sur les bords de la rivière Inn, victime de plusieurs violents coups à la tête.
Elle avait été agressée la veille au soir alors qu'elle se rendait à une soirée à quelques centaines de mètres de son appartement. Le portrait-robot d’un suspect avait été diffusé mais sans permettre d’arrestation.
L'affaire de la joggeuse
Selon la police en charge de l’enquête au Tyrol autrichien, il existe une «grande probabilité» que l’auteur du meurtre de Caroline Gruber, une joggeuse de 27 ans à Endingen près de Fribourg (sud-est de l’Allemagne), soit le même que celui qui a tué Lucile.
Les enquêteurs ont indiqué avoir relevé des similitudes dans les indices recueillis sur les deux scènes de crime en Autriche et en Allemagne, ainsi que dans le mode opératoire, notamment l’utilisation d’un objet contondant. Selon la police, Lucile avait été tuée à l’aide d’un tuyau de fer, retrouvé par la suite dans l’Inn.
Le corps de Caroline Gruber avait été découvert le jeudi 10 novembre dans un petit bois près du Kaiserstuhl. Elle avait disparu le dimanche précédent alors qu'elle était partie courir. Elle avait été victime d'une agression sexuelle avant d'être tuée.
A l'époque, la police indiquait qu'elle ne pouvait s'empêcher de faire le lien avec un autre meurtre, celui de Maria L., une étudiante en médecine de 19 ans, dont le corps avait été repêché dans la Dreisam le 16 octobre à Fribourg. La victime avait été violée avant d'être jetée dans l'eau. Finalement, l'interpellation d'un suspect n'avait pas permis de faire de lien entre ses deux dernières affaires.
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meurtre d'une étudiante française en Autriche
Kassandra88 a écrit:Française tuée en Autriche : une piste mène en Allemagne.
Lucile Klobut, 20 ans, originaire de Saint-Bernard, dans le Val-de-Saône, était étudiante dans une école de commerce à Lyon.
Le même tueur? Les policiers enquêtant sur le meurtre de Lucile Klobut, une étudiante française tuée en Autriche en janvier 2014, ont annoncé ce jeudi avoir relevé de fortes similitudes avec un crime commis en novembre dernier en Allemagne.
Plus de 500 Kms relient les villes d'Allemagne et d'Autriche, pourtant, les enquêteurs pensent qu'il s'agit d'un même tueur.
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meurtre d'une étudiante française en Autriche
Kassandra88 a écrit:Kassandra88 a écrit:Française tuée en Autriche : une piste mène en Allemagne.
Lucile Klobut, 20 ans, originaire de Saint-Bernard, dans le Val-de-Saône, était étudiante dans une école de commerce à Lyon.
Le même tueur? Les policiers enquêtant sur le meurtre de Lucile Klobut, une étudiante française tuée en Autriche en janvier 2014, ont annoncé ce jeudi avoir relevé de fortes similitudes avec un crime commis en novembre dernier en Allemagne.
Plus de 500 Kms relient les villes d'Allemagne et d'Autriche, pourtant, les enquêteurs pensent qu'il s'agit d'un même tueur.
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Il ne fait plus aucun doute pour les enquêteurs qu'il s'agit du même homme:
Les analyses de traces d’ADN relevées sur les deux scènes de crime «ne laissent aucune place au doute» quant au fait que les deux jeunes femmes ont été tuées par un même homme, a déclaré Hansjörg Mayr, un porte-parole du parquet autrichien
Outre l’ADN, les enquêteurs ont relevé des similitudes dans le mode opératoire mis en oeuvre pour les deux crimes, notamment l’utilisation d’un objet contondant. Selon la police, Lucile avait été tuée à l’aide d’un tuyau de fer, retrouvé par la suite dans l’Inn.
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Besançon disparition mystérieuse de Narumi
Cavale tranquille pour le meurtrier présumé de Narumi
Le Chili attend des preuves pour agir contre le suspect n° 1 dans l'affaire de l'étudiante japonaise du Doubs.
Il y a deux semaines, c'est sa sœur qui sortait de l'appartement familial, arborant un tee-shirt estampillé « fuck you ! ». Le lendemain, c'est sa mère qui en portait un, barré dans le dos d'un ironique « c'est une belle journée ». A la Serena (400 km au nord de la capitale du Chili, Santiago) une véritable guerre d'usure oppose désormais les médias, notamment japonais, à la famille de Nicolas Zepeda Contreras.
Le meurtrier présumé de Narumi Kurosaki, disparue le 4 décembre à Besançon (Doubs), où elle faisait ses études, est toujours en liberté. S'il fanfaronne moins que ses proches, sa « cavale » semble assez placide. Il aurait ainsi été aperçu mi-janvier par un journaliste, se dissimulant derrière la baie vitrée de l'appartement. Alors même qu'un mandat d'arrêt international a été émis à son encontre par la France, et que la procureur de Besançon le disait « aussi recherché que quelqu'un peut l'être », tout indique que les autorités chiliennes ne se pressent guère pour l'appréhender.
Certes, Jorge Abbott, le haut procureur du Chili, a assuré ses homologues français et japonais de l'entière collaboration de ses services, ainsi que d'un avis favorable à une éventuelle extradition. Mais dans les faits, rien ne bouge. L'ambassade du Chili en France ne souhaite pas s'exprimer, et il semble qu'à Santiago on attende des éléments de preuve complémentaires avant d'agir. « Si Zepeda se cache, c'est des médias, pas de la police », dit Enrique Bàez, un journaliste local.
On ignore si le dossier a été évoqué lors de la récente visite de François Hollande, l'Elysée s'abstenant de le confirmer. « Le temps judiciaire n'est pas le temps médiatique », avait tancé début janvier le parquet de Besançon, agacé par les révélations de la presse sur le dossier. La formule sonne aussi comme une allusion à l'interpellation avortée du Chilien. Dans les trois jours suivant son retour au Chili depuis la France, le 12 décembre, le jeune homme s'était présenté à la police de son pays. Etonnamment, il a été laissé en liberté. Il est vrai que le mandat d'arrêt le concernant n'a été notifié par Interpol que le 15.
Au Chili, les médias se sont aussi interrogés sur la protection dont Nicolas pourrait bénéficier du fait de la profession de son père, Humberto Zepeda. Cadre pour l'opérateur de téléphonie Movistar, ce dernier est un notable suffisamment aisé pour loger ses trois enfants (Nicolas et ses deux sœurs) dans un appartement de 100 m 2 de Las Condes, quartier huppé de Santiago. L'assassin présumé, âgé de 26 ans, y a séjourné en décembre.
Enfant, il a vécu et a grandi à Temuco, au sud du pays, où il a fait ses études au collège. « Un étudiant calme et très bon élève », relevait le journal local. « Un garçon extrêmement intelligent », notaient en écho les enquêteurs bisontins. Il s'est en tout cas employé avec brio à brouiller les pistes, laissant croire par des envois de message que Narumi était encore vivante début décembre, ce que la justice française juge improbable. Dans les jours précédant la disparition de la Japonaise, le Chilien avait acheté du matériel de bricolage, des sacs-poubelles, du détergent et du carburant au détail dans un centre commercial de Dijon.
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Le Chili attend des preuves pour agir contre le suspect n° 1 dans l'affaire de l'étudiante japonaise du Doubs.
Il y a deux semaines, c'est sa sœur qui sortait de l'appartement familial, arborant un tee-shirt estampillé « fuck you ! ». Le lendemain, c'est sa mère qui en portait un, barré dans le dos d'un ironique « c'est une belle journée ». A la Serena (400 km au nord de la capitale du Chili, Santiago) une véritable guerre d'usure oppose désormais les médias, notamment japonais, à la famille de Nicolas Zepeda Contreras.
Le meurtrier présumé de Narumi Kurosaki, disparue le 4 décembre à Besançon (Doubs), où elle faisait ses études, est toujours en liberté. S'il fanfaronne moins que ses proches, sa « cavale » semble assez placide. Il aurait ainsi été aperçu mi-janvier par un journaliste, se dissimulant derrière la baie vitrée de l'appartement. Alors même qu'un mandat d'arrêt international a été émis à son encontre par la France, et que la procureur de Besançon le disait « aussi recherché que quelqu'un peut l'être », tout indique que les autorités chiliennes ne se pressent guère pour l'appréhender.
Certes, Jorge Abbott, le haut procureur du Chili, a assuré ses homologues français et japonais de l'entière collaboration de ses services, ainsi que d'un avis favorable à une éventuelle extradition. Mais dans les faits, rien ne bouge. L'ambassade du Chili en France ne souhaite pas s'exprimer, et il semble qu'à Santiago on attende des éléments de preuve complémentaires avant d'agir. « Si Zepeda se cache, c'est des médias, pas de la police », dit Enrique Bàez, un journaliste local.
On ignore si le dossier a été évoqué lors de la récente visite de François Hollande, l'Elysée s'abstenant de le confirmer. « Le temps judiciaire n'est pas le temps médiatique », avait tancé début janvier le parquet de Besançon, agacé par les révélations de la presse sur le dossier. La formule sonne aussi comme une allusion à l'interpellation avortée du Chilien. Dans les trois jours suivant son retour au Chili depuis la France, le 12 décembre, le jeune homme s'était présenté à la police de son pays. Etonnamment, il a été laissé en liberté. Il est vrai que le mandat d'arrêt le concernant n'a été notifié par Interpol que le 15.
Au Chili, les médias se sont aussi interrogés sur la protection dont Nicolas pourrait bénéficier du fait de la profession de son père, Humberto Zepeda. Cadre pour l'opérateur de téléphonie Movistar, ce dernier est un notable suffisamment aisé pour loger ses trois enfants (Nicolas et ses deux sœurs) dans un appartement de 100 m 2 de Las Condes, quartier huppé de Santiago. L'assassin présumé, âgé de 26 ans, y a séjourné en décembre.
Enfant, il a vécu et a grandi à Temuco, au sud du pays, où il a fait ses études au collège. « Un étudiant calme et très bon élève », relevait le journal local. « Un garçon extrêmement intelligent », notaient en écho les enquêteurs bisontins. Il s'est en tout cas employé avec brio à brouiller les pistes, laissant croire par des envois de message que Narumi était encore vivante début décembre, ce que la justice française juge improbable. Dans les jours précédant la disparition de la Japonaise, le Chilien avait acheté du matériel de bricolage, des sacs-poubelles, du détergent et du carburant au détail dans un centre commercial de Dijon.
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disparition de Mouhamed Kamara
Nantes : dix jours après la disparition de Mouhamed Kamara le mystère reste entier.
Mouhamed Kamara, un jeune étudiant de 18 ans, qui habite à Nueil-les-Aubiers dans les Deux-Sèvres, n'a plus donné signe de vie depuis la nuit du jeudi 19 au vendredi 20 janvier.
Une dizaine d'enquêteurs du commissariat de Nantes travaillent sur cette affaire rapporte France 3 Poitou-Charentes. Malheureusement, les policiers n'auraient aucune piste pour le moment pour expliquer la disparition du jeune homme. Jeudi dernier les plongeurs ont de nouveau effectué des recherches dans les eaux de la Loire près du lieu où Mouhamed Kamara a été aperçu pour la dernière fois.
Les personnes qui peuvent communiquer des informations sur ce jeune homme peuvent contacter la communauté de brigades de Cerizay au 05.49.80.50.07. ou les enquêteurs du commissariat de Nantes au 02.53.46.70.00.
leparisien.fr
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Mouhamed Kamara, un jeune étudiant de 18 ans, qui habite à Nueil-les-Aubiers dans les Deux-Sèvres, n'a plus donné signe de vie depuis la nuit du jeudi 19 au vendredi 20 janvier.
Une dizaine d'enquêteurs du commissariat de Nantes travaillent sur cette affaire rapporte France 3 Poitou-Charentes. Malheureusement, les policiers n'auraient aucune piste pour le moment pour expliquer la disparition du jeune homme. Jeudi dernier les plongeurs ont de nouveau effectué des recherches dans les eaux de la Loire près du lieu où Mouhamed Kamara a été aperçu pour la dernière fois.
Les personnes qui peuvent communiquer des informations sur ce jeune homme peuvent contacter la communauté de brigades de Cerizay au 05.49.80.50.07. ou les enquêteurs du commissariat de Nantes au 02.53.46.70.00.
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Besançon disparition mystérieuse de Narumi
Une demande d'extradition envoyée au Chili Une demande officielle d'arrestation provisoire et d'extradition d'un Chilien suspecté d'avoir assassiné en décembre une Japonaise étudiant à Besançon, dont le corps reste introuvable, a été validée par la Chancellerie et envoyée au Chili mercredi.
Début janvier, elle avait assuré qu'elle ne s'exprimerait plus sur ce dossier. Mais face à l'imbroglio politico-judiciaire crée par l'affaire Narumi - cette étudiante japonaise disparue le 4 décembre -, la procureur de Besançon est finalement sortie de son silence.
Ce lundi, Edwige Roux-Morizot a assuré à l'AFP qu'une demande d'extradition visant Nicolas Zepeda Contreras avait été validée par la chancellerie, et envoyée mercredi dernier au Chili. «La Cour suprême du Chili appréciera ensuite si elle décide de l'extrader ou non», décrypte-t-elle, ajoutant que cette même cour a «50 jours à partir de l'interpellation pour se prononcer».
Le jeune suspect toujours libre au Chili
Pour l'instant justement, en dépit d'un mandat international lancé mi-décembre, les autorités chiliennes n'ont toujours pas pu, ou voulu, mettre la main sur le jeune homme. Selon les médias japonais qui enquêtent sur place, ce dernier serait pourtant actuellement hébergé dans l'appartement que sa famille possède à La Serena, à 400 km au Nord de la capitale Santiago.
Pour les enquêteurs français, un faisceau d'indices concordants indique qu'il est à l'origine de la disparition de Narumi. Si le corps de la jeune fille n'a toujours pas été retrouvé, c'est bien dans le cadre d'un «assassinat» qu'enquêtent les deux juges d'instructions en charge du dossier à Besançon. Zepeda Contreras, qui avait entretenu au Japon une relation de plusieurs mois avec Narumi, aurait voulu se venger de leur séparation.
Officieusement, au Chili, on indiquait récemment que le dossier n'était pas complet. Mais désormais, la justice française veut croire que tous les feux sont au vert pour une interpellation. «Toutes les pièces nécessaires vont être transmises au Chili», a ainsi précisé la procureur de Besançon. Début janvier, Jorge Abbott, le haut procureur du Chili, avait assuré ses homologues français et japonais de l'entière collaboration de ses services, ainsi que d'un avis favorable, à terme, à une éventuelle extradition.
leparisien.fr
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Début janvier, elle avait assuré qu'elle ne s'exprimerait plus sur ce dossier. Mais face à l'imbroglio politico-judiciaire crée par l'affaire Narumi - cette étudiante japonaise disparue le 4 décembre -, la procureur de Besançon est finalement sortie de son silence.
Ce lundi, Edwige Roux-Morizot a assuré à l'AFP qu'une demande d'extradition visant Nicolas Zepeda Contreras avait été validée par la chancellerie, et envoyée mercredi dernier au Chili. «La Cour suprême du Chili appréciera ensuite si elle décide de l'extrader ou non», décrypte-t-elle, ajoutant que cette même cour a «50 jours à partir de l'interpellation pour se prononcer».
Le jeune suspect toujours libre au Chili
Pour l'instant justement, en dépit d'un mandat international lancé mi-décembre, les autorités chiliennes n'ont toujours pas pu, ou voulu, mettre la main sur le jeune homme. Selon les médias japonais qui enquêtent sur place, ce dernier serait pourtant actuellement hébergé dans l'appartement que sa famille possède à La Serena, à 400 km au Nord de la capitale Santiago.
Pour les enquêteurs français, un faisceau d'indices concordants indique qu'il est à l'origine de la disparition de Narumi. Si le corps de la jeune fille n'a toujours pas été retrouvé, c'est bien dans le cadre d'un «assassinat» qu'enquêtent les deux juges d'instructions en charge du dossier à Besançon. Zepeda Contreras, qui avait entretenu au Japon une relation de plusieurs mois avec Narumi, aurait voulu se venger de leur séparation.
Officieusement, au Chili, on indiquait récemment que le dossier n'était pas complet. Mais désormais, la justice française veut croire que tous les feux sont au vert pour une interpellation. «Toutes les pièces nécessaires vont être transmises au Chili», a ainsi précisé la procureur de Besançon. Début janvier, Jorge Abbott, le haut procureur du Chili, avait assuré ses homologues français et japonais de l'entière collaboration de ses services, ainsi que d'un avis favorable, à terme, à une éventuelle extradition.
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Disparition de Camille Chauvet
Une nouvelle piste dans l'affaire du rapt parental de Camille, disparue il y a 6ans
La petite Camille a disparu il y a six ans à Carqueiranne. Le leader d'une communauté « conspirationniste » pourrait être impliqué dans l'interminable cavale de la mère et l'enfant.
Y a-t-il un lien entre la disparition de la petite Camille Chauvet, en 2011 à Carqueiranne, et cet autoproclamé justicier, un temps surnommé « le Zorro blanc » ? Des vidéos circulant dans les cercles « conspirationnistes » sur Internet font émerger une piste qui n'aurait jamais été explorée par la justice.
Depuis plusieurs années, cet ancien militaire prêche sa vision très personnelle du monde à travers de longues vidéos postées sur le web. Face à la caméra, le ton est grave, le regard est dur. « J'essaie de vous réveiller à la réalité », assène Christian M. dans son dernier message. Le quadragénaire à l'allure sportive entend dénoncer les « manipulations » ourdies par « les satanistes qui nous gouvernent ».
Adepte des théories du complot
Ainsi, ces « agents de l'organisation État Illuminati » (sic) - une sorte de société secrète mondiale qui tirerait...
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Disparition de Mouhamed Kamara Nantes
Kassandra88 a écrit:Nantes : dix jours après la disparition de Mouhamed Kamara le mystère reste entier.
Mouhamed Kamara, un jeune étudiant de 18 ans, qui habite à Nueil-les-Aubiers dans les Deux-Sèvres, n'a plus donné signe de vie depuis la nuit du jeudi 19 au vendredi 20 janvier.
Une dizaine d'enquêteurs du commissariat de Nantes travaillent sur cette affaire rapporte France 3 Poitou-Charentes. Malheureusement, les policiers n'auraient aucune piste pour le moment pour expliquer la disparition du jeune homme. Jeudi dernier les plongeurs ont de nouveau effectué des recherches dans les eaux de la Loire près du lieu où Mouhamed Kamara a été aperçu pour la dernière fois.
Les personnes qui peuvent communiquer des informations sur ce jeune homme peuvent contacter la communauté de brigades de Cerizay au 05.49.80.50.07. ou les enquêteurs du commissariat de Nantes au 02.53.46.70.00.
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Les recherches s'intensifient à Nantes après la disparition de Mouhamed, 18 ans
Selon le quotidien régional, les enquêteurs privilégient désormais la piste d'une chute accidentelle du jeune homme dans la Loire, aux abords de la discothèque Le Floride à Nantes où le jeune homme a été vu pour la dernière fois dans la nuit du jeudi 19 au vendredi 20 janvier. Des plongeurs ont ainsi inspecté mardi en début d'après-midi les berges le long du quai Wilson, sur l'île de Nantes. Un avion de la police aux frontières a également opéré une reconnaissance aérienne en amont et en aval du lieu de la disparition.
Ces nouvelles recherchent interviennent car de nouveaux éléments, notamment des images de viédosurveillance, accréditent la thèse d'une possible chute dans la Loire.
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Disparition d'Amandine Estrabaud
les gendarmes fouillent dans un bois
De source sûre, les gendarmes de la section de recherche sont actuellement dans un bois situé à Roquecourbe pour retrouver le corps d’Amandine Estrabaud, disparue depuis le 18 juin 2013, dans le village du Sidobre.
Cela fait suite aux déclarations du principal suspect Guerric Jehanno, mis en examen pour « enlèvement, séquestration, viol et meurtre » qui aurait décrit à son co-détenu l’endroit exact où se trouverait le corps de la Castraise.
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De source sûre, les gendarmes de la section de recherche sont actuellement dans un bois situé à Roquecourbe pour retrouver le corps d’Amandine Estrabaud, disparue depuis le 18 juin 2013, dans le village du Sidobre.
Cela fait suite aux déclarations du principal suspect Guerric Jehanno, mis en examen pour « enlèvement, séquestration, viol et meurtre » qui aurait décrit à son co-détenu l’endroit exact où se trouverait le corps de la Castraise.
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Disparition d'Amandine Estrabaud
Kassandra88 a écrit:les gendarmes fouillent dans un bois
De source sûre, les gendarmes de la section de recherche sont actuellement dans un bois situé à Roquecourbe pour retrouver le corps d’Amandine Estrabaud, disparue depuis le 18 juin 2013, dans le village du Sidobre.
Cela fait suite aux déclarations du principal suspect Guerric Jehanno, mis en examen pour « enlèvement, séquestration, viol et meurtre » qui aurait décrit à son co-détenu l’endroit exact où se trouverait le corps de la Castraise.
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Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 1
Kassandra88 a écrit:Kassandra88 a écrit:les gendarmes fouillent dans un bois
De source sûre, les gendarmes de la section de recherche sont actuellement dans un bois situé à Roquecourbe pour retrouver le corps d’Amandine Estrabaud, disparue depuis le 18 juin 2013, dans le village du Sidobre.
Cela fait suite aux déclarations du principal suspect Guerric Jehanno, mis en examen pour « enlèvement, séquestration, viol et meurtre » qui aurait décrit à son co-détenu l’endroit exact où se trouverait le corps de la Castraise.
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Recherches vaines pour le moment
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robert21
Besançon disparition mystérieuse de Narumi
le Chili refuse d’arrêter le suspect, pour le parquet de Besançon, c’est la douche froide.
Au Chili, les médias s’interrogent ... sur la protection dont peut éventuellement bénéficier le suspect, fils d’un cadre haut placé de l’opérateur téléphonique Movistar.
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Au Chili, les médias s’interrogent ... sur la protection dont peut éventuellement bénéficier le suspect, fils d’un cadre haut placé de l’opérateur téléphonique Movistar.
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Besançon disparition mystérieuse de Narumi
Kassandra88 a écrit:le Chili refuse d’arrêter le suspect, pour le parquet de Besançon, c’est la douche froide.
Au Chili, les médias s’interrogent ... sur la protection dont peut éventuellement bénéficier le suspect, fils d’un cadre haut placé de l’opérateur téléphonique Movistar.
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Narumi : les analyses des "tâches rouges" sur le campus de Besançon ne sont pas probantes.
Les tâches "supposées" de sang retrouvées à l'arrière du bâtiment Théodore-Rousseau où logeait l'étudiant japonaise sur le campus de Besançon ne correspondent pas à l'ADN de Narumi ni à celui du jeune chilien.
Questionnée sur la présence de gouttes de sang retrouvées à l'arrière du bâtiment, la procureure a précisé que les résultats n'avaient rien pu donner. "Nous venons de recevoir les analyses et les enquêteurs n'ont pas pu récolter assez de matière sur cette très petite tâche rouge. On ne sait pas si c'est du sang, mais ce qui est sûr c'est qu'il ne correspond ni à l'ADN de Narumi ni à celui du suspect…", a indiqué Edwige-Roux Morizot lors de la conférence de presse donnée en fin de journée ce lundi 6 février 2017 au palais de justice de Besançon.
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Besançon disparition mystérieuse de Narumi
La justice française garde bon espoir d'aboutir dans l'affaire Narumi Kurosaki. Le Chili a refusé d'arrêter celui que les enquêteurs considèrent comme le suspect numéro 1, l'ex petit ami chilien de l'étudiante qui s'est réfugié dans son pays natal.
La procureure de la République Edwige Roux Morizot a donné son explication à ce refus du Chili d'arrêter le suspect n°1. Elle explique, lundi, dans une conférence de presse, que dans la demande d'arrestation le magistrat français n'avait pas la possibilité d'expliquer en plus de 1000 caractères, le pourquoi de sa demande, c'est peu pour des juges. Pour autant, l'ex petit ami de Narumi a l'interdiction de quitter le Chili.
Le dossier complet sera transmis au Chili dans une semaine
Mais ce que tient à préciser la procureur c'est que Nicolas Zepeda Contreras, et elle donne le nom pour la première fois, a été localisé, on ne sait pas si il a pu être entendu par des enquêteurs dans son pays. Et surtout cette première décision de la justice chilienne ne préjuge en rien d'une éventuelle extradition. La traduction en espagnol de toutes les pièces du dossier devrait être achevée d'ici une semaine, et ensuite le Chili tranchera. Si la demande d'extradition n'aboutit pas, le suspect pourrait être jugé par contumace par une cour d'assises française.
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La procureure de la République Edwige Roux Morizot a donné son explication à ce refus du Chili d'arrêter le suspect n°1. Elle explique, lundi, dans une conférence de presse, que dans la demande d'arrestation le magistrat français n'avait pas la possibilité d'expliquer en plus de 1000 caractères, le pourquoi de sa demande, c'est peu pour des juges. Pour autant, l'ex petit ami de Narumi a l'interdiction de quitter le Chili.
Le dossier complet sera transmis au Chili dans une semaine
Mais ce que tient à préciser la procureur c'est que Nicolas Zepeda Contreras, et elle donne le nom pour la première fois, a été localisé, on ne sait pas si il a pu être entendu par des enquêteurs dans son pays. Et surtout cette première décision de la justice chilienne ne préjuge en rien d'une éventuelle extradition. La traduction en espagnol de toutes les pièces du dossier devrait être achevée d'ici une semaine, et ensuite le Chili tranchera. Si la demande d'extradition n'aboutit pas, le suspect pourrait être jugé par contumace par une cour d'assises française.
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Besançon disparition mystérieuse de Narumi
Narumi : le suspect enfin convoqué par la justice chilienne
La Cour Suprême du Chili convoque Nicolas Zepeda Contreras le 14 février prochain. La procédure avance à petits pas.
........ Après avoir refusé, vendredi dernier, la demande d'arrestation provisoire formulée par le parquet de Besançon à l'encontre de Nicolas Zepeda Contreras, la Cour Suprême du Chili a finalement avancé un pion, ce mercredi.
La plus haute institution du pays a convoqué le suspect numéro 1 de l'assassinat présumé de Narumi Kurosaki. Rendez-vous est pris le 14 février. Il lui sera alors notifié les charges retenues contre lui par la justice française.
Rappelons au passage que l'ex-petit ami de l'étudiante nippone fait l'objet, depuis ce vendredi, d'une interdiction de sortie du territoire chilien de deux mois. Lors de cette convocation imminente, devra-t-il, pourra-t-il donner sa version des faits, qu'il semble nier de A à Z ? Des enquêteurs chiliens seront-ils présents ? Rien n'est moins sûr. Dans ce dossier criminel hors normes, il y a un temps pour tout. Et le temps judiciaire, étalé sur deux continents, tourne au ralenti.
Le Chili attend en effet de recevoir l'ensemble des pièces de la procédure, en cours de traduction selon la procureur de la République de Besançon, Edwige Roux-Morizot, qui s'est exprimée à ce sujet ce lundi. Alors seulement, la Cour Suprême se prononcera sur la demande d'extradition formulée par la France, qui plus que jamais envisage de mettre en examen Nicolas Zepeda Contreras pour assassinat. Et ce, alors que les recherches pour retrouver le corps de Narumi Kurosaki demeurent toujours vaines.
Willy GRAFF
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La Cour Suprême du Chili convoque Nicolas Zepeda Contreras le 14 février prochain. La procédure avance à petits pas.
........ Après avoir refusé, vendredi dernier, la demande d'arrestation provisoire formulée par le parquet de Besançon à l'encontre de Nicolas Zepeda Contreras, la Cour Suprême du Chili a finalement avancé un pion, ce mercredi.
La plus haute institution du pays a convoqué le suspect numéro 1 de l'assassinat présumé de Narumi Kurosaki. Rendez-vous est pris le 14 février. Il lui sera alors notifié les charges retenues contre lui par la justice française.
Rappelons au passage que l'ex-petit ami de l'étudiante nippone fait l'objet, depuis ce vendredi, d'une interdiction de sortie du territoire chilien de deux mois. Lors de cette convocation imminente, devra-t-il, pourra-t-il donner sa version des faits, qu'il semble nier de A à Z ? Des enquêteurs chiliens seront-ils présents ? Rien n'est moins sûr. Dans ce dossier criminel hors normes, il y a un temps pour tout. Et le temps judiciaire, étalé sur deux continents, tourne au ralenti.
Le Chili attend en effet de recevoir l'ensemble des pièces de la procédure, en cours de traduction selon la procureur de la République de Besançon, Edwige Roux-Morizot, qui s'est exprimée à ce sujet ce lundi. Alors seulement, la Cour Suprême se prononcera sur la demande d'extradition formulée par la France, qui plus que jamais envisage de mettre en examen Nicolas Zepeda Contreras pour assassinat. Et ce, alors que les recherches pour retrouver le corps de Narumi Kurosaki demeurent toujours vaines.
Willy GRAFF
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Disparition de Vanessa Melet
Disparition de Vanessa Melet, 37 ans
Elle est conseillère bancaire d’Hérouville Saint-Clair, près de Caen, et a disparu depuis le 6 décembre 2016
Une information judiciaire vient d'être ouvert ouverte.
Les enquêteurs suspectent l'intervention d’un tiers dans sa disparition.
Plus de deux mois que sa famille est sans nouvelles d’elle, depuis qu’elle a quitté le domicile de ses parents, à Langrune-sur-mer, au nord de Caen (Calvados), ce jour-là. Depuis, personne ne l’a vue.
Deux mois que les gendarmes mènent de nombreuses investigations
Les thèses de la disparition volontaire et du suicide ont été écartées. C’est désormais la piste de « l’intervention d’un tiers » qui est privilégiée. En clair, Vanessa aurait pu être enlevée, séquestrée, voire tuée. La procureur de la République a décidé d’ouvrir une information judiciaire contre X et de saisir un juge d’instruction. Elle précise :Cela va permettre de renforcer encore les moyens d’investigation. Le but, c’est de faire avancer l’enquête.
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Elle est conseillère bancaire d’Hérouville Saint-Clair, près de Caen, et a disparu depuis le 6 décembre 2016
Une information judiciaire vient d'être ouvert ouverte.
Les enquêteurs suspectent l'intervention d’un tiers dans sa disparition.
Plus de deux mois que sa famille est sans nouvelles d’elle, depuis qu’elle a quitté le domicile de ses parents, à Langrune-sur-mer, au nord de Caen (Calvados), ce jour-là. Depuis, personne ne l’a vue.
Deux mois que les gendarmes mènent de nombreuses investigations
Les thèses de la disparition volontaire et du suicide ont été écartées. C’est désormais la piste de « l’intervention d’un tiers » qui est privilégiée. En clair, Vanessa aurait pu être enlevée, séquestrée, voire tuée. La procureur de la République a décidé d’ouvrir une information judiciaire contre X et de saisir un juge d’instruction. Elle précise :Cela va permettre de renforcer encore les moyens d’investigation. Le but, c’est de faire avancer l’enquête.
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