qui est il? VIII
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Re: qui est il? VIII
Rusty a écrit:
Un gendarme “Jambert” ou des internautes ;-)
Envoyé depuis l'appli Topic'it
Une personne qui préfère la discrétion.
Re: qui est il? VIII
Kassandra88 a écrit:Rusty a écrit:
Un gendarme “Jambert” ou des internautes ;-)
Envoyé depuis l'appli Topic'it
Une personne qui préfère la discrétion.
On sait tous comment il a fini le gendarme Jambert ,c'est pour ça que j'aurais aimé avoir
le sens de le la phrase de Maison .
Invité- Invité
Re: qui est il? VIII
d' Amantine a écrit:
On sait tous comment il a fini le gendarme Jambert ,c'est pour ça que j'aurais aimé avoir
le sens de le la phrase de Maison .
Je ne sais pas s'il y a encore quelqu'un qui croit au suicide du gendarme Jambert. Il était obsédé par Emile Louis qui, après s'être servi au passage, alimentait très certainement un réseau.
Le capitaine L.J poursuit une ombre. Il ne représente une menace pour personne.
Je ne pense pas que le grêlé ait une seconde fois accosté ses victimes. (Autrement dit, il ne les a pas contacté par la suite pour les menacer de représailles si elles parlaient).
Françoise avait revu son agresseur dans le métro quelques temps après son agression, il a détourné le regard, embarrassé. Pas comme Lelandais qui fixait des yeux ma maman de Maëlys pendant la reconstitution.
Face aux questions de la maman de Sophie G, ses mains tremblaient. En fait, c'est un lâche ce G.
Re: qui est il? VIII
Mesrine a écrit:d' Amantine a écrit:Mesrine a écrit:Salut.
Si, c'est possible de sortir ça d'une imagination débordante. La preuve : il l'a fait.
Certains nettoient leur bagnole, d'autres envoient des sms bidon... Lui, il a écrit des lettres.
Mesrine ,je sais que l'on n'est pas sur la même ligne tout les deux pour autant cela ne veut pas dire que j'ai raison ,je donne juste une possibilité ,même si je ne dis pas tout ,
cette possibilité existe bien .
En 1987 il était impossible de relier Vandre ,Lizac Lauringe sans Internet
En 1987 il était impossible de savoir qu'il plagiait Diderot .
C'est comme pour l'ADN il ne pouvait pas anticiper .
Salut. Quelle possibilité existe bien?
C'est un peu sous forme de conclusion ,un peu aussi ce qui m'a motivé à reprendre contact avec ce forum , sous le pseudo d'Amandine j'ai fait pas mal d'allusions sur cette piste depuis ma reprise ici voyant que ce que j'avais écrit aux enquêteurs n'avait pas marché . C'est une piste parmi d'autres bien sûr et elle ne peut fonctionner que si il est intimement lié à lauringe ,Vandre ,Lizac ect ect . Bien sûr je sais aussi qu'Imgard a pu mal orthographié Lauringe ou que Vandre ce soit Vandré ou une autre hypothèse ,mais je n'ai pas voulu en modifier l'orthographe ,d'une part parce que même si on enlève un seul mot mon hypothèse reste valable tant il est difficile de trouver un lien unique entre tous ses mots et d'autre part un mot séparé du reste donnera lien à trop d'interprétations .
Invité- Invité
Re: qui est il? VIII
Salut. Je ne veux pas ruiner ton hypothèse, mais selon moi, si il est l'auteur de ces lettres, il n'aura pas été assez con pour citer des lieux auxquels il est lié (y a résidé ou y résidait à l'époque).
@kassandra : lâche. c'est exactement ça; il suffit de constater le profil de ses cibles. Entre autres éléments.
@kassandra : lâche. c'est exactement ça; il suffit de constater le profil de ses cibles. Entre autres éléments.
Invité- Invité
Re: qui est il? VIII
Salut Mesrine,Mesrine a écrit:Salut. Je ne veux pas ruiner ton hypothèse, mais selon moi, si il est l'auteur de ces lettres, il n'aura pas été assez con pour citer des lieux auxquels il est lié (y a résidé ou y résidait à l'époque).
@kassandra : lâche. c'est exactement ça; il suffit de constater le profil de ses cibles. Entre autres éléments.
C'est également ce que nous sommes quelques uns à penser.
Après mise en lumière du plagiat, une internaute avait mis en ligne la comparaison entre le texte original et le contenu des lettres:
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
et nous avons surtout cogité sur les différences:
Une chose nous a sauté aux yeux: tout ce qui correspondait ou rappelait "Marne" a été systématiquement remplacé....On a pensé qu'il habitait peut-être dans un lieu/département avec "Marne"
A noter: les nombres remis en chiffre: cela ne doit pas être un littéraire
Re: qui est il? VIII
Mesrine a écrit:Salut. Je ne veux pas ruiner ton hypothèse, mais selon moi, si il est l'auteur de ces lettres, il n'aura pas été assez con pour citer des lieux auxquels il est lié (y a résidé ou y résidait à l'époque).
@kassandra : lâche. c'est exactement ça; il suffit de constater le profil de ses cibles. Entre autres éléments.
Qui te parle de lieu ,le seul lieu que je cite c'est une rue et encore une fois sans google
c'est impossible à trouver . De plus je ne dis pas qu'il y a habité Surgères ,en tout les cas pas lui ,ni même travaillé .
Invité- Invité
Re: qui est il? VIII
@d'Amantine,
Les coïncidences sont parfois très troublantes:
Nous nous sommes intéressés il y a quelques années à une personne qui présentait une certaine ressemblance avec le PR de Luc R. Quelqu'un qui n'était pas de Paris mais qui est venu y faire des études (donc il n'y était pas pendant les vacances scolaires).
On trouve sa présence en 84 sur le net mais pas au delà.
Si son nom n'a rien à voir avec Elie Lauringe, cet homme a
-une épouse dont le look peut rappeler sa dernière victime connue.
-des filles dont l'une porte un prénom qui ressemble à Elie et qui est très peu utilisé de nos jours pour un enfant de cet âge, et l'autre porte le même prénom que l'une des victimes du G
-un ami FB portant le même patronyme que l'un des 2 concierges de la rue Petit.
Et pourtant, il n'est pas le G.
Les coïncidences sont parfois très troublantes:
Nous nous sommes intéressés il y a quelques années à une personne qui présentait une certaine ressemblance avec le PR de Luc R. Quelqu'un qui n'était pas de Paris mais qui est venu y faire des études (donc il n'y était pas pendant les vacances scolaires).
On trouve sa présence en 84 sur le net mais pas au delà.
Si son nom n'a rien à voir avec Elie Lauringe, cet homme a
-une épouse dont le look peut rappeler sa dernière victime connue.
-des filles dont l'une porte un prénom qui ressemble à Elie et qui est très peu utilisé de nos jours pour un enfant de cet âge, et l'autre porte le même prénom que l'une des victimes du G
-un ami FB portant le même patronyme que l'un des 2 concierges de la rue Petit.
Et pourtant, il n'est pas le G.
Re: qui est il? VIII
Kassandra88 a écrit:@d'Amantine,
Les coïncidences sont parfois très troublantes:
Nous nous sommes intéressés il y a quelques années à une personne qui présentait une certaine ressemblance avec le PR de Luc R. Quelqu'un qui n'était pas de Paris mais qui est venu y faire des études (donc il n'y était pas pendant les vacances scolaires).
On trouve sa présence en 84 sur le net mais pas au delà.
Si son nom n'a rien à voir avec Elie Lauringe, cet homme a
-une épouse dont le look peut rappeler sa dernière victime connue.
-des filles dont l'une porte un prénom qui ressemble à Elie et qui est très peu utilisé de nos jours pour un enfant de cet âge, et l'autre porte le même prénom que l'une des victimes du G
-un ami FB portant le même patronyme que l'un des 2 concierges de la rue Petit.
Et pourtant, il n'est pas le G.
Bien sûr mais là n'est pas le problème , c'est peut être des coincidences , peut-être qu'il n'a aucun rapport avec les mots qu'il a rajouté ,la seule chose qui m'intéresse c'est de laisser une piste ,peut être que ça parlera à quelqu'un (ou pas ) .
Invité- Invité
Re: qui est il? VIII
Kassandra88 a écrit:Salut Mesrine,Mesrine a écrit:Salut. Je ne veux pas ruiner ton hypothèse, mais selon moi, si il est l'auteur de ces lettres, il n'aura pas été assez con pour citer des lieux auxquels il est lié (y a résidé ou y résidait à l'époque).
@kassandra : lâche. c'est exactement ça; il suffit de constater le profil de ses cibles. Entre autres éléments.
C'est également ce que nous sommes quelques uns à penser.
Après mise en lumière du plagiat, une internaute avait mis en ligne la comparaison entre le texte original et le contenu des lettres:
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et nous avons surtout cogité sur les différences:
Une chose nous a sauté aux yeux: tout ce qui correspondait ou rappelait "Marne" a été systématiquement remplacé....On a pensé qu'il habitait peut-être dans un lieu/département avec "Marne"
A noter: les nombres remis en chiffre: cela ne doit pas être un littéraire
Salut.
Et il y a peut être mille fois plus simple : enlever les lieux originaux pour occulter le plagiat.
@d'amandine : je dois être trop con ou avoir une portion de fromage blanc dans la tronche aujourd'hui car je ne comprends RIEN à tes explications.
Invité- Invité
Re: qui est il? VIII
Mesrine a écrit:Kassandra88 a écrit:Salut Mesrine,Mesrine a écrit:Salut. Je ne veux pas ruiner ton hypothèse, mais selon moi, si il est l'auteur de ces lettres, il n'aura pas été assez con pour citer des lieux auxquels il est lié (y a résidé ou y résidait à l'époque).
@kassandra : lâche. c'est exactement ça; il suffit de constater le profil de ses cibles. Entre autres éléments.
C'est également ce que nous sommes quelques uns à penser.
Après mise en lumière du plagiat, une internaute avait mis en ligne la comparaison entre le texte original et le contenu des lettres:
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
et nous avons surtout cogité sur les différences:
Une chose nous a sauté aux yeux: tout ce qui correspondait ou rappelait "Marne" a été systématiquement remplacé....On a pensé qu'il habitait peut-être dans un lieu/département avec "Marne"
A noter: les nombres remis en chiffre: cela ne doit pas être un littéraire
Salut.
Et il y a peut être mille fois plus simple : enlever les lieux originaux pour occulter le plagiat.
@d'amandine : je dois être trop con ou avoir une portion de fromage blanc dans la tronche aujourd'hui car je ne comprends RIEN à tes explications.
Mesrine on est trop éloigné dans nos hypothèses pour que tu me comprennes ,mais attention je sais que tu démarres au quart de tour ,je n'ai pas dis que tu étais bêtes . Je pense que quelqu'un qui veut comprendre cette piste , peut y arriver ,comme je l'ai écris j'ai truffé mes réponses d'endroits ,de sous entendus.
Invité- Invité
Re: qui est il? VIII
Depuis hier, je ne comprends pas grand-chose, entre le gendarme Jambert, le capitaine qui veut rester discret et des hypothèses cryptées...
@D' Amantine
Quel intérêt de "truffer" ses propos "de sous-entendus", plutôt que d'exposer clairement son hypothèse ?
@D' Amantine
Quel intérêt de "truffer" ses propos "de sous-entendus", plutôt que d'exposer clairement son hypothèse ?
ruth
Re: qui est il? VIII
@Ruth,ruth a écrit:Depuis hier, je ne comprends pas grand-chose, entre le gendarme Jambert, le capitaine qui veut rester discret et des hypothèses cryptées...
@D' Amantine
Quel intérêt de "truffer" ses propos "de sous-entendus", plutôt que d'exposer clairement son hypothèse ?
Le nom du chef d'enquête n'apparait jamais dans la presse.
Dans les reportages, on voit, on entend des personnes qui ont travaillé sur le dossier, mais lui, on ne le voit et on ne l'entend jamais.
Re: qui est il? VIII
OK ! Merci Kassandra.Kassandra88 a écrit:@Ruth,ruth a écrit:Depuis hier, je ne comprends pas grand-chose, entre le gendarme Jambert, le capitaine qui veut rester discret et des hypothèses cryptées...
@D' Amantine
Quel intérêt de "truffer" ses propos "de sous-entendus", plutôt que d'exposer clairement son hypothèse ?
Le nom du chef d'enquête n'apparait jamais dans la presse.
Dans les reportages, on voit, on entend des personnes qui ont travaillé sur le dossier, mais lui, on ne le voit et on ne l'entend jamais.
Voici déjà ce point d'éclairci.
ruth
Re: qui est il? VIII
Bonjour à tous
Aparté:
@D' Amantine
Le Gendarme JAMBERT a fini "trucidé"... Mise en scène d'après les plus récentes infos... Et de plus, il travaillait aussi sur l'affaire BOULIN.
Voilà, rien à dire de plus, il me semble.
Ok, le G. a fait disparaître les villages de la Marne pour ajouter 2 du Sud-Ouest (pas très connus hormis des résistants, des gens du voyage, des cinéphiles, de certains auteurs ou artistes à succès...)
Pourquoi ne pas avoir écrit Toulouse ou Bordeaux ? Celà aurait été davantage vendeur pour de jeunes parisiennes.
Et on sait qu'il dépose des lettres dans une librairie située à 5m d'une antenne de police: Tête brûlée ce type! ou alors idiot?
Dommage qu'il n'y ait qu'une lettre. La lecture de l'ensemble des écrits aurait pu apporter un éclairage complémentaire.
Le choix des textes, les modifications, les images...
Et aussi, pourquoi dire "Je me porte garant" à une jeune fille que l'on ne connait pas ?
Que voulait-il lui faire croire?
On se porte garant pour un parent, un ami, un employé... A part çà, çà parait risqué
Bonne journée à tous.
Aparté:
@D' Amantine
Le Gendarme JAMBERT a fini "trucidé"... Mise en scène d'après les plus récentes infos... Et de plus, il travaillait aussi sur l'affaire BOULIN.
Voilà, rien à dire de plus, il me semble.
Ok, le G. a fait disparaître les villages de la Marne pour ajouter 2 du Sud-Ouest (pas très connus hormis des résistants, des gens du voyage, des cinéphiles, de certains auteurs ou artistes à succès...)
Pourquoi ne pas avoir écrit Toulouse ou Bordeaux ? Celà aurait été davantage vendeur pour de jeunes parisiennes.
Et on sait qu'il dépose des lettres dans une librairie située à 5m d'une antenne de police: Tête brûlée ce type! ou alors idiot?
Dommage qu'il n'y ait qu'une lettre. La lecture de l'ensemble des écrits aurait pu apporter un éclairage complémentaire.
Le choix des textes, les modifications, les images...
Et aussi, pourquoi dire "Je me porte garant" à une jeune fille que l'on ne connait pas ?
Que voulait-il lui faire croire?
On se porte garant pour un parent, un ami, un employé... A part çà, çà parait risqué
Bonne journée à tous.
Dernière édition par Maison le Lun 17 Déc - 1:08, édité 1 fois
Maison
Re: qui est il? VIII
Salut.
Ce serait vraiment le prendre pour le plus grand neuneu que de croire qu'il a fait référence à des lieux dans lesquels il serait traçable.
Le grand problème de ce dossier, selon moi, est qu'il a été entouré de biens grands mystères qui ont été cultivés par les éléments relayés par les médias.
Ça part de la thèse du sdf au 116 rue Petit (c'est exactement ce qui m'avait fait bondir lorsque j'ai vu pour la première fois Non Elucidé à la tv), en passant par celle de Belzébuth pour le double meurtre IM/GP, les faits de Saclay avec le mystère de la boite en carton contenant des photos, quand ce n'est pas la signature de Gontcharov...
A ce rythme, on doit être heureux qu'on ait pas retrouvé de la pâte à crêpes ou de la saucisse de Francfort, sous peine d'aller le chercher de Cherbourg à Strasbourg sous la supposition qu'il est un adorateur de la choucroute ou de la galette...
--
Si on prend un élément de détail de 1994 pour tenter d'expliquer les faits de 86, c'est inverser le temps. Le temps ne se remonte pas, sauf dans les films.
Ou peut être seulement pour une affaire comme celle-ci...certes.
Mais si on veut remonter ce temps, pour l'affaire, il faut le faire en reprenant depuis le début; c'est comme quand on écoute un morceau de musique que l'on adore.
Les gosses font ça très bien; ils sont capables de regarder 100 fois le même dessin animé...
Ou l'ado qui écoute 200 fois par jour le même tube... Ou les adultes qui ont un film culte qu'ils peuvent regarder cent fois sur une période de 30 ans...pour finir par en connaître les moindres détails, la moindre réplique.
Perso, car cette affaire était devenue une véritable obsession, j'ai refait le film des milliers de fois. Et au fil du temps, à force de collecte d'éléments mais aussi à force de contradictions sur ce forum (parfois un peu virulentes...mais c'est pour la bonne cause), le "film" ou la "musique" joués par cet "acteur" se sont mis en place.
Chacun a son point de vue, bien évidemment. Perso c'est une conviction que j'ai acquise.
Je vais me la péter un peu en livrant un proverbe de ma création : le nez collé au rocher, on ne peut pas voir la montagne.
Il faut parfois prendre du recul, ou réduire le "zoom", ou faire dans le simple.
La grande difficulté est de se dépolluer l'esprit des milliers d'informations emmagasinées, mais que nécessairement on est obligé de consulter pour tenter de comprendre l'affaire.
--
Bref, voilà comment perso je vois les choses.
1/ ce mec n'est pas de Paris, ni en 86, ni en 87, ni en 94.
2/ il frappe par deux fois en 86 un lundi matin; 7 avril 86 (reprise de l'école), et 5 mai 86 (après un long WE si le vendredi a été chômé). Deux fois en s'assurant d'être présent sur les lieux aux horaires appropriés en fonction de ses cibles.
3/ L'épicentre est le 13 rue Rubens, car cette adresse constitue un élément tangible de lien entre les faits imputables au même auteur.
4/ sur cette base, en prenant le métro à la station Gobelins, en 10 minutes le trajet est bouclé pour se rendre Place de Vénétie (faits du 7 avril 86). La station d'arrivée se situe à 200 mètres du lieu des faits. (cf google)
5/ sur la même base, en prenant le métro à la station campo formio ou place d'Italie, en 40 minutes le trajet est bouclé jusqu'au 116 rue Petit. La station d'arrivée est à 200 mètre du lieu des faits. (cf google)
6/ Irmgard Muller prenait ses cours au 90 rue de Tolbiac (j’ai vérifié en appelant la Fac). La ligne 7 du métro est la même que celle qui mène du 13 Rubens à Place de Vénétie vers le sud, mais relie aussi Tolbiac à Rue ste Croix de la Bretonnerie directement.
Si on "cartographie" ce périmètre d'action en y appliquant un calque chronologique avec pour épicentre le 13 Rubens; il a :
1/ frappé à 10 minutes de sa base (théorie de la "zone de confort") que constitue le 13 Rubens le 7 avril 86.
2/ frappé à 45 minutes de la même base (s'éloigne pour minimiser le risque, prends des mesures drastiques de garantie de réussite; cf son mode opératoire) le 5 mai 1986 -Cécile. Lors de ce crime, il y a un élément de plus dans son attirail : l’usage d’un couteau.
Deux fois un lundi matin tel que décrit plus haut.
Il est donc logique et prudent.
Son signalement par Luc Richard et les autres témoins n'indiquent en rien une quelconque odeur ou le moindre élément laissant à penser qu'il manque d'hygiène. On a à peine des cheveux un peu en bataille et des pompes "fatiguées" (c'est le terme employé par Luc R). Ce qui s'explique par la préparation des lieux (le local).
Ce mec ne vit donc pas dans une grotte ni à la Tour Eiffel.
Il n'est pas de Paris :
C'est simple; s'il avait été de Paris, il y a bien trop de silences, d'absence de faits postérieurs et antérieurs. (Les silences qui font "la musique").
Et il n'a rien de "pulsionnel"; pour exactement les mêmes raisons. Si la pulsion l'emportait sur sa logique, sa perception parfaitement lucide qu'attestent sa furtivité et la préparation de son attirail de violeur l'aurait conduit à réitérer.
Il en était donc à des coups d’essai, mais avec une certaine mesure, distance, prise de précautions.
Il est donc de passage. Donc hébergé.
Le chiffon jaune (de type ‘chiffon à poussières’) : est exactement le type de chiffon que toute « ménagère qui se respecte » a en stock dans son placard à balais et généralement en plusieurs exemplaires.
Et c'est précisément car il est hébergé qu'il a des comptes à rendre. (ce que j'avais qualifié de "contraintes extérieures" en début d'année dans mon flot d'écrits pour tenter de comprendre, croyant entre autres à la thèse du flic).
Carine H a écrit qu'il avait sans doute une mère qui l'attendait (ou similaire)… ça renforce un peu l’image du loup solitaire (qu’il est en en effet en tant que meurtrier, comme tous ses ‘copains tueurs et/ou violeurs’ dont on finit par découvrir qu’ils sont parfaitement intégrés socialement et parfois même être des hommes charmants…).
Sauf qu’y a une couille dans le potage : lorsqu’il va s’attaquer à Marianne (en 10/87) et on sait que c’est le même gaillard car ADN ; 1/il porte une alliance 2/il déclare à sa victime (après son baratin du flic qui se termine en celui du cambrioleur) qu’il est père de famille.
Partant de ce constat (notamment de l’alliance présente à son doigt) ; sauf à supposer qu’il ait mis une alliance par ruse (ce que je ne crois pas un millionième de seconde) ; il est en effet marié et en effet père de famille.
Si on refait la chronologie en remontant le temps à partir de 10/87, date à laquelle cette information émerge, et sachant qu’ à partir d’avril 87 il va braquer, et sachant que dès décembre 1986 il connaissait Irmgard, on peut considérer qu’il était père et marié dès 1986. (Si évidemment on accepte l’idée qu’il ne s’est pas marié et a eu un ou des enfants en six mois…)
Petite précision au passage : « père de famille ». Donc nombre de moutards inconnu. Mais cette expression laisse à penser 1/ à une antériorité 2/ donc à plus d’un gosse.
Ce qui « s’emboîte parfaitement » avec le calendrier des faits si on applique ce schéma :
Il n’est pas de Paris, est marié, père de famille.
Et c’est la raison précise pour laquelle il n’y a aucun fait similaire en 86 : ce n’est pas sa mère qui le « retient » ou le « contrôle » (thèse de Carine H), mais sa femme et ses gosses… et évidemment le travail qu’il est venu effectuer sur Paris, en semaine, de façon ponctuelle ou durable, peu importe.
Double vie : évidemment ! Mais pour autant, il n’est pas venu à Paris pour prendre des photos de la tour Eiffel (encore elle ! ).
Il était donc hébergé. Et s’il n’a pas frappé la nuit ou le week-end, c’est selon moi car il avait des obligations, des contraintes, etc… qui ne sont pas d’ordre professionnel, mais plutôt d’ordre personnel, précisément le soir, la nuit.
Alors pourquoi ne serait-ce pas sa mère l’attendant au coin du feu avec le bol de soupe ? Ni sa femme qui, si il n’est pas de Paris, ne pouvait pas savoir ce qu’il faisait ?
Car il avait des comptes à rendre, tout simplement.
Car il est très loin d’être l’électron libre ou le loup solitaire.
Un simple exemple : si comme dans la plupart des couples éloignés, sa femme et lui avaient convenu d’un rituel du coup de fil le soir avant de coucher le ou les gosses, il y a deux possibilités (et pas cinquante) en 86/87 : soit t’es obligé d’appeler, soit t’es obligé de décrocher.
Et il est impossible de baratiner sur le lieu où tu te trouves car il s’agit de téléphones fixes (à la différence d’aujourd’hui avec un mobile).
Ça, c’est ma version la plus simple, la version 1a). La version un peu plus complexe, la version 1b) : il est hébergé. Mais pas par n’importe qui : par des personnes ayant une forme d’autorité « naturelle » ou « de fait » sur lui ; à savoir qu’il renvoie l’image du « père de famille » qui est venu bosser sur Paris pour donner à bouffer à ses gosses.
Donc il est hors de question qu’il sorte la nuit faire « youyou » pour aller draguer les gonzesses (pour l’avoir pratiqué perso, depuis le départ c’était une de mes grandes interrogations…), et ainsi laisser libre cours à 1/ ses pulsions (terme pour globaliser concernant les viols) 2/ ses braquages.
J’ajoute que sortir la nuit à Paris, ça coûte une blinde.
Mais si on imagine qu’il est libre comme l’air et qu’il a un minimum de fric, il était simple comme bonjour de sortir en boite et de ressortir accompagné ; pour qui est un minimum rusé ça offre autant de garanties pour voler du fric, des bijoux, etc.
Mais ce n’est pas son « truc ». Ou, et c’est ce que je crois, il ne le peut tout simplement pas.
On peut digresser autant qu’on veut sur la transgression (et cette notion fonctionne parfaitement) ou sur des mécanismes dans sa tronche concernant les enfants (et ça fonctionne encore) ; il était à Paris et n’a strictement jamais agi la nuit.
Il y était donc pour motifs professionnels. Pour gagner du blé. Pour en rapporter à sa baraque et donc à ses gosses.
Mais dans un environnement, chez des gens qui le connaissent très bien.
La-dessus, j’ajoute Irmgard.
Hormis une identité bidon à deux balles reproduite plusieurs fois dans un ou des carnets, il y a zéro trace de sortie commune sous quelque forme que ce soit. (Sinon il est évident que les flics l’auraient serré).
C’est encore un « silence » qui selon moi en dit très long.
Exactement comme pour les appels du soir avec la famille qui n’est pas de Paris, en 86/87, pour prendre rencard, à part les signaux de fumée, il y a le téléphone…
Et ici encore, il y a un « silence », un « blanc » qui en dit très long : il n’y a évidemment pas de numéro de téléphone associé à l’identité figurant dans le ou les carnets de Irmgard Muller.
Pourtant il y a eu plusieurs rencontres. Donc, soit ils se sont vus par l’opération du saint esprit, soit c’est lui qui disposait de son téléphone à elle. Perso je choisis évidemment l’option 2. En clair, c’est lui qui décidait.
D’où le sentiment de pression ressenti par Irmgard et d’avoir affaire à un « garçon étrange » qu’elle avait rencontré maxi 5 mois avant qu’il ne l’élimine comme du bétail, elle comme Gilles Politi. Je redis au passage que les appareils photo n’étaient chez les P. que pour la période des vacances de Pâques 1987. Et étrangement on a une scène de « mise sous pression de IM » la veille, et ce alors qu’elle est en compagnie de la gosse des P.
Pour moi ça en dit long sur une forme d’urgence que je vois comme bien plus explicable si on veut s’approcher de 40 000 balles de matos, que pour reconquérir une nana.
Et ce d’autant que, dans le « rythme » des attaques de 87, il y a déjà du braquage avant IM/GP, début avril.
Donc il était braqueur avant de devenir assassin.
Et il va demeurer braqueur après ce double assassinat.
Mais il va faire évoluer le procédé par l’usage de fausse qualité de flic et arme.
Il a besoin de fric, il a besoin de se renflouer. Et ce dès le début de l’année 87.
Pour autant, il ne choisit pas des cibles difficiles, il agit par opportunisme ; cf Andréa, Sylvia, Marianne…
Ce n’est que fin 87 qu’il affine son approche par des lettres (à supposer que ce soit lui). Ce procédé se justifie par la qualité des cibles : il s’agit d’adresses avec des plaques de professions libérales. Donc dans sa tronche, il y a des valeurs à l’intérieur.
Cette phase est le point culminant de sa « carrière de braqueur » : il ne peut pas aller au-delà.
Raison pour laquelle il disparaît de la circulation : le risque est devenu bien trop important.
--
Il est donc, selon moi, un « gentil comique » qui a créé de toutes pièces le braqueur faux policier. Inspiré par des séries américaines ou par des bandes dessinées…
Il n’est pas un « pro » pour deux sous.
C’est « monsieur tout le monde », marié et père de famille qui ne vit pas à Paris.
Il y a forcément quelqu’un qui sait, à Paris ou ailleurs, qui il est.
Ce serait vraiment le prendre pour le plus grand neuneu que de croire qu'il a fait référence à des lieux dans lesquels il serait traçable.
Le grand problème de ce dossier, selon moi, est qu'il a été entouré de biens grands mystères qui ont été cultivés par les éléments relayés par les médias.
Ça part de la thèse du sdf au 116 rue Petit (c'est exactement ce qui m'avait fait bondir lorsque j'ai vu pour la première fois Non Elucidé à la tv), en passant par celle de Belzébuth pour le double meurtre IM/GP, les faits de Saclay avec le mystère de la boite en carton contenant des photos, quand ce n'est pas la signature de Gontcharov...
A ce rythme, on doit être heureux qu'on ait pas retrouvé de la pâte à crêpes ou de la saucisse de Francfort, sous peine d'aller le chercher de Cherbourg à Strasbourg sous la supposition qu'il est un adorateur de la choucroute ou de la galette...
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Si on prend un élément de détail de 1994 pour tenter d'expliquer les faits de 86, c'est inverser le temps. Le temps ne se remonte pas, sauf dans les films.
Ou peut être seulement pour une affaire comme celle-ci...certes.
Mais si on veut remonter ce temps, pour l'affaire, il faut le faire en reprenant depuis le début; c'est comme quand on écoute un morceau de musique que l'on adore.
Les gosses font ça très bien; ils sont capables de regarder 100 fois le même dessin animé...
Ou l'ado qui écoute 200 fois par jour le même tube... Ou les adultes qui ont un film culte qu'ils peuvent regarder cent fois sur une période de 30 ans...pour finir par en connaître les moindres détails, la moindre réplique.
Perso, car cette affaire était devenue une véritable obsession, j'ai refait le film des milliers de fois. Et au fil du temps, à force de collecte d'éléments mais aussi à force de contradictions sur ce forum (parfois un peu virulentes...mais c'est pour la bonne cause), le "film" ou la "musique" joués par cet "acteur" se sont mis en place.
Chacun a son point de vue, bien évidemment. Perso c'est une conviction que j'ai acquise.
Je vais me la péter un peu en livrant un proverbe de ma création : le nez collé au rocher, on ne peut pas voir la montagne.
Il faut parfois prendre du recul, ou réduire le "zoom", ou faire dans le simple.
La grande difficulté est de se dépolluer l'esprit des milliers d'informations emmagasinées, mais que nécessairement on est obligé de consulter pour tenter de comprendre l'affaire.
--
Bref, voilà comment perso je vois les choses.
1/ ce mec n'est pas de Paris, ni en 86, ni en 87, ni en 94.
2/ il frappe par deux fois en 86 un lundi matin; 7 avril 86 (reprise de l'école), et 5 mai 86 (après un long WE si le vendredi a été chômé). Deux fois en s'assurant d'être présent sur les lieux aux horaires appropriés en fonction de ses cibles.
3/ L'épicentre est le 13 rue Rubens, car cette adresse constitue un élément tangible de lien entre les faits imputables au même auteur.
4/ sur cette base, en prenant le métro à la station Gobelins, en 10 minutes le trajet est bouclé pour se rendre Place de Vénétie (faits du 7 avril 86). La station d'arrivée se situe à 200 mètres du lieu des faits. (cf google)
5/ sur la même base, en prenant le métro à la station campo formio ou place d'Italie, en 40 minutes le trajet est bouclé jusqu'au 116 rue Petit. La station d'arrivée est à 200 mètre du lieu des faits. (cf google)
6/ Irmgard Muller prenait ses cours au 90 rue de Tolbiac (j’ai vérifié en appelant la Fac). La ligne 7 du métro est la même que celle qui mène du 13 Rubens à Place de Vénétie vers le sud, mais relie aussi Tolbiac à Rue ste Croix de la Bretonnerie directement.
Si on "cartographie" ce périmètre d'action en y appliquant un calque chronologique avec pour épicentre le 13 Rubens; il a :
1/ frappé à 10 minutes de sa base (théorie de la "zone de confort") que constitue le 13 Rubens le 7 avril 86.
2/ frappé à 45 minutes de la même base (s'éloigne pour minimiser le risque, prends des mesures drastiques de garantie de réussite; cf son mode opératoire) le 5 mai 1986 -Cécile. Lors de ce crime, il y a un élément de plus dans son attirail : l’usage d’un couteau.
Deux fois un lundi matin tel que décrit plus haut.
Il est donc logique et prudent.
Son signalement par Luc Richard et les autres témoins n'indiquent en rien une quelconque odeur ou le moindre élément laissant à penser qu'il manque d'hygiène. On a à peine des cheveux un peu en bataille et des pompes "fatiguées" (c'est le terme employé par Luc R). Ce qui s'explique par la préparation des lieux (le local).
Ce mec ne vit donc pas dans une grotte ni à la Tour Eiffel.
Il n'est pas de Paris :
C'est simple; s'il avait été de Paris, il y a bien trop de silences, d'absence de faits postérieurs et antérieurs. (Les silences qui font "la musique").
Et il n'a rien de "pulsionnel"; pour exactement les mêmes raisons. Si la pulsion l'emportait sur sa logique, sa perception parfaitement lucide qu'attestent sa furtivité et la préparation de son attirail de violeur l'aurait conduit à réitérer.
Il en était donc à des coups d’essai, mais avec une certaine mesure, distance, prise de précautions.
Il est donc de passage. Donc hébergé.
Le chiffon jaune (de type ‘chiffon à poussières’) : est exactement le type de chiffon que toute « ménagère qui se respecte » a en stock dans son placard à balais et généralement en plusieurs exemplaires.
Et c'est précisément car il est hébergé qu'il a des comptes à rendre. (ce que j'avais qualifié de "contraintes extérieures" en début d'année dans mon flot d'écrits pour tenter de comprendre, croyant entre autres à la thèse du flic).
Carine H a écrit qu'il avait sans doute une mère qui l'attendait (ou similaire)… ça renforce un peu l’image du loup solitaire (qu’il est en en effet en tant que meurtrier, comme tous ses ‘copains tueurs et/ou violeurs’ dont on finit par découvrir qu’ils sont parfaitement intégrés socialement et parfois même être des hommes charmants…).
Sauf qu’y a une couille dans le potage : lorsqu’il va s’attaquer à Marianne (en 10/87) et on sait que c’est le même gaillard car ADN ; 1/il porte une alliance 2/il déclare à sa victime (après son baratin du flic qui se termine en celui du cambrioleur) qu’il est père de famille.
Partant de ce constat (notamment de l’alliance présente à son doigt) ; sauf à supposer qu’il ait mis une alliance par ruse (ce que je ne crois pas un millionième de seconde) ; il est en effet marié et en effet père de famille.
Si on refait la chronologie en remontant le temps à partir de 10/87, date à laquelle cette information émerge, et sachant qu’ à partir d’avril 87 il va braquer, et sachant que dès décembre 1986 il connaissait Irmgard, on peut considérer qu’il était père et marié dès 1986. (Si évidemment on accepte l’idée qu’il ne s’est pas marié et a eu un ou des enfants en six mois…)
Petite précision au passage : « père de famille ». Donc nombre de moutards inconnu. Mais cette expression laisse à penser 1/ à une antériorité 2/ donc à plus d’un gosse.
Ce qui « s’emboîte parfaitement » avec le calendrier des faits si on applique ce schéma :
Il n’est pas de Paris, est marié, père de famille.
Et c’est la raison précise pour laquelle il n’y a aucun fait similaire en 86 : ce n’est pas sa mère qui le « retient » ou le « contrôle » (thèse de Carine H), mais sa femme et ses gosses… et évidemment le travail qu’il est venu effectuer sur Paris, en semaine, de façon ponctuelle ou durable, peu importe.
Double vie : évidemment ! Mais pour autant, il n’est pas venu à Paris pour prendre des photos de la tour Eiffel (encore elle ! ).
Il était donc hébergé. Et s’il n’a pas frappé la nuit ou le week-end, c’est selon moi car il avait des obligations, des contraintes, etc… qui ne sont pas d’ordre professionnel, mais plutôt d’ordre personnel, précisément le soir, la nuit.
Alors pourquoi ne serait-ce pas sa mère l’attendant au coin du feu avec le bol de soupe ? Ni sa femme qui, si il n’est pas de Paris, ne pouvait pas savoir ce qu’il faisait ?
Car il avait des comptes à rendre, tout simplement.
Car il est très loin d’être l’électron libre ou le loup solitaire.
Un simple exemple : si comme dans la plupart des couples éloignés, sa femme et lui avaient convenu d’un rituel du coup de fil le soir avant de coucher le ou les gosses, il y a deux possibilités (et pas cinquante) en 86/87 : soit t’es obligé d’appeler, soit t’es obligé de décrocher.
Et il est impossible de baratiner sur le lieu où tu te trouves car il s’agit de téléphones fixes (à la différence d’aujourd’hui avec un mobile).
Ça, c’est ma version la plus simple, la version 1a). La version un peu plus complexe, la version 1b) : il est hébergé. Mais pas par n’importe qui : par des personnes ayant une forme d’autorité « naturelle » ou « de fait » sur lui ; à savoir qu’il renvoie l’image du « père de famille » qui est venu bosser sur Paris pour donner à bouffer à ses gosses.
Donc il est hors de question qu’il sorte la nuit faire « youyou » pour aller draguer les gonzesses (pour l’avoir pratiqué perso, depuis le départ c’était une de mes grandes interrogations…), et ainsi laisser libre cours à 1/ ses pulsions (terme pour globaliser concernant les viols) 2/ ses braquages.
J’ajoute que sortir la nuit à Paris, ça coûte une blinde.
Mais si on imagine qu’il est libre comme l’air et qu’il a un minimum de fric, il était simple comme bonjour de sortir en boite et de ressortir accompagné ; pour qui est un minimum rusé ça offre autant de garanties pour voler du fric, des bijoux, etc.
Mais ce n’est pas son « truc ». Ou, et c’est ce que je crois, il ne le peut tout simplement pas.
On peut digresser autant qu’on veut sur la transgression (et cette notion fonctionne parfaitement) ou sur des mécanismes dans sa tronche concernant les enfants (et ça fonctionne encore) ; il était à Paris et n’a strictement jamais agi la nuit.
Il y était donc pour motifs professionnels. Pour gagner du blé. Pour en rapporter à sa baraque et donc à ses gosses.
Mais dans un environnement, chez des gens qui le connaissent très bien.
La-dessus, j’ajoute Irmgard.
Hormis une identité bidon à deux balles reproduite plusieurs fois dans un ou des carnets, il y a zéro trace de sortie commune sous quelque forme que ce soit. (Sinon il est évident que les flics l’auraient serré).
C’est encore un « silence » qui selon moi en dit très long.
Exactement comme pour les appels du soir avec la famille qui n’est pas de Paris, en 86/87, pour prendre rencard, à part les signaux de fumée, il y a le téléphone…
Et ici encore, il y a un « silence », un « blanc » qui en dit très long : il n’y a évidemment pas de numéro de téléphone associé à l’identité figurant dans le ou les carnets de Irmgard Muller.
Pourtant il y a eu plusieurs rencontres. Donc, soit ils se sont vus par l’opération du saint esprit, soit c’est lui qui disposait de son téléphone à elle. Perso je choisis évidemment l’option 2. En clair, c’est lui qui décidait.
D’où le sentiment de pression ressenti par Irmgard et d’avoir affaire à un « garçon étrange » qu’elle avait rencontré maxi 5 mois avant qu’il ne l’élimine comme du bétail, elle comme Gilles Politi. Je redis au passage que les appareils photo n’étaient chez les P. que pour la période des vacances de Pâques 1987. Et étrangement on a une scène de « mise sous pression de IM » la veille, et ce alors qu’elle est en compagnie de la gosse des P.
Pour moi ça en dit long sur une forme d’urgence que je vois comme bien plus explicable si on veut s’approcher de 40 000 balles de matos, que pour reconquérir une nana.
Et ce d’autant que, dans le « rythme » des attaques de 87, il y a déjà du braquage avant IM/GP, début avril.
Donc il était braqueur avant de devenir assassin.
Et il va demeurer braqueur après ce double assassinat.
Mais il va faire évoluer le procédé par l’usage de fausse qualité de flic et arme.
Il a besoin de fric, il a besoin de se renflouer. Et ce dès le début de l’année 87.
Pour autant, il ne choisit pas des cibles difficiles, il agit par opportunisme ; cf Andréa, Sylvia, Marianne…
Ce n’est que fin 87 qu’il affine son approche par des lettres (à supposer que ce soit lui). Ce procédé se justifie par la qualité des cibles : il s’agit d’adresses avec des plaques de professions libérales. Donc dans sa tronche, il y a des valeurs à l’intérieur.
Cette phase est le point culminant de sa « carrière de braqueur » : il ne peut pas aller au-delà.
Raison pour laquelle il disparaît de la circulation : le risque est devenu bien trop important.
--
Il est donc, selon moi, un « gentil comique » qui a créé de toutes pièces le braqueur faux policier. Inspiré par des séries américaines ou par des bandes dessinées…
Il n’est pas un « pro » pour deux sous.
C’est « monsieur tout le monde », marié et père de famille qui ne vit pas à Paris.
Il y a forcément quelqu’un qui sait, à Paris ou ailleurs, qui il est.
Invité- Invité
Re: qui est il? VIII
[quote=salut
1/ ce mec n'est pas de Paris, ni en 86, ni en 87, ni en 94.
2/ il frappe par deux fois en 86 un lundi matin; 7 avril 86 (reprise de l'école), et 5 mai 86 (après un long WE si le vendredi a été chômé). Deux fois en s'assurant d'être présent sur les lieux aux horaires appropriés en fonction de ses cibles.
3/ L'épicentre est le 13 rue Rubens, car cette adresse constitue un élément tangible de lien entre les faits imputables au même auteur.
4/ sur cette base, en prenant le métro à la station Gobelins, en 10 minutes le trajet est bouclé pour se rendre Place de Vénétie (faits du 7 avril 86). La station d'arrivée se situe à 200 mètres du lieu des faits. (cf google)
5/ sur la même base, en prenant le métro à la station campo formio ou place d'Italie, en 40 minutes le trajet est bouclé jusqu'au 116 rue Petit. La station d'arrivée est à 200 mètre du lieu des faits. (cf google)
6/ Irmgard Muller prenait ses cours au 90 rue de Tolbiac (j’ai vérifié en appelant la Fac). La ligne 7 du métro est la même que celle qui mène du 13 Rubens à Place de Vénétie vers le sud, mais relie aussi Tolbiac à Rue ste Croix de la Bretonnerie directement.
Si on "cartographie" ce périmètre d'action en y appliquant un calque chronologique avec pour épicentre le 13 Rubens; il a :
1/ frappé à 10 minutes de sa base (théorie de la "zone de confort") que constitue le 13 Rubens le 7 avril 86.
2/ frappé à 45 minutes de la même base (s'éloigne pour minimiser le risque, prends des mesures drastiques de garantie de réussite; cf son mode opératoire) le 5 mai 1986 -Cécile. Lors de ce crime, il y a un élément de plus dans son attirail : l’usage d’un couteau.
Deux fois un lundi matin tel que décrit plus haut.
Il est donc logique et prudent.
Son signalement par Luc Richard et les autres témoins n'indiquent en rien une quelconque odeur ou le moindre élément laissant à penser qu'il manque d'hygiène. On a à peine des cheveux un peu en bataille et des pompes "fatiguées" (c'est le terme employé par Luc R). Ce qui s'explique par la préparation des li
Il est donc de passage. Donc hébergé.
[/quote]
C'est un peu paradoxale si je suis ton raisonnement le Grêlé n'aurait jamais pu donner une adresse et là banquo il donne carrément une adresse .
1/ ce mec n'est pas de Paris, ni en 86, ni en 87, ni en 94.
2/ il frappe par deux fois en 86 un lundi matin; 7 avril 86 (reprise de l'école), et 5 mai 86 (après un long WE si le vendredi a été chômé). Deux fois en s'assurant d'être présent sur les lieux aux horaires appropriés en fonction de ses cibles.
3/ L'épicentre est le 13 rue Rubens, car cette adresse constitue un élément tangible de lien entre les faits imputables au même auteur.
4/ sur cette base, en prenant le métro à la station Gobelins, en 10 minutes le trajet est bouclé pour se rendre Place de Vénétie (faits du 7 avril 86). La station d'arrivée se situe à 200 mètres du lieu des faits. (cf google)
5/ sur la même base, en prenant le métro à la station campo formio ou place d'Italie, en 40 minutes le trajet est bouclé jusqu'au 116 rue Petit. La station d'arrivée est à 200 mètre du lieu des faits. (cf google)
6/ Irmgard Muller prenait ses cours au 90 rue de Tolbiac (j’ai vérifié en appelant la Fac). La ligne 7 du métro est la même que celle qui mène du 13 Rubens à Place de Vénétie vers le sud, mais relie aussi Tolbiac à Rue ste Croix de la Bretonnerie directement.
Si on "cartographie" ce périmètre d'action en y appliquant un calque chronologique avec pour épicentre le 13 Rubens; il a :
1/ frappé à 10 minutes de sa base (théorie de la "zone de confort") que constitue le 13 Rubens le 7 avril 86.
2/ frappé à 45 minutes de la même base (s'éloigne pour minimiser le risque, prends des mesures drastiques de garantie de réussite; cf son mode opératoire) le 5 mai 1986 -Cécile. Lors de ce crime, il y a un élément de plus dans son attirail : l’usage d’un couteau.
Deux fois un lundi matin tel que décrit plus haut.
Il est donc logique et prudent.
Son signalement par Luc Richard et les autres témoins n'indiquent en rien une quelconque odeur ou le moindre élément laissant à penser qu'il manque d'hygiène. On a à peine des cheveux un peu en bataille et des pompes "fatiguées" (c'est le terme employé par Luc R). Ce qui s'explique par la préparation des li
Il est donc de passage. Donc hébergé.
[/quote]
C'est un peu paradoxale si je suis ton raisonnement le Grêlé n'aurait jamais pu donner une adresse et là banquo il donne carrément une adresse .
Invité- Invité
Re: qui est il? VIII
d' Amantine a écrit:[quote=salut
1/ ce mec n'est pas de Paris, ni en 86, ni en 87, ni en 94.
2/ il frappe par deux fois en 86 un lundi matin; 7 avril 86 (reprise de l'école), et 5 mai 86 (après un long WE si le vendredi a été chômé). Deux fois en s'assurant d'être présent sur les lieux aux horaires appropriés en fonction de ses cibles.
3/ L'épicentre est le 13 rue Rubens, car cette adresse constitue un élément tangible de lien entre les faits imputables au même auteur.
4/ sur cette base, en prenant le métro à la station Gobelins, en 10 minutes le trajet est bouclé pour se rendre Place de Vénétie (faits du 7 avril 86). La station d'arrivée se situe à 200 mètres du lieu des faits. (cf google)
5/ sur la même base, en prenant le métro à la station campo formio ou place d'Italie, en 40 minutes le trajet est bouclé jusqu'au 116 rue Petit. La station d'arrivée est à 200 mètre du lieu des faits. (cf google)
6/ Irmgard Muller prenait ses cours au 90 rue de Tolbiac (j’ai vérifié en appelant la Fac). La ligne 7 du métro est la même que celle qui mène du 13 Rubens à Place de Vénétie vers le sud, mais relie aussi Tolbiac à Rue ste Croix de la Bretonnerie directement.
Si on "cartographie" ce périmètre d'action en y appliquant un calque chronologique avec pour épicentre le 13 Rubens; il a :
1/ frappé à 10 minutes de sa base (théorie de la "zone de confort") que constitue le 13 Rubens le 7 avril 86.
2/ frappé à 45 minutes de la même base (s'éloigne pour minimiser le risque, prends des mesures drastiques de garantie de réussite; cf son mode opératoire) le 5 mai 1986 -Cécile. Lors de ce crime, il y a un élément de plus dans son attirail : l’usage d’un couteau.
Deux fois un lundi matin tel que décrit plus haut.
Il est donc logique et prudent.
Son signalement par Luc Richard et les autres témoins n'indiquent en rien une quelconque odeur ou le moindre élément laissant à penser qu'il manque d'hygiène. On a à peine des cheveux un peu en bataille et des pompes "fatiguées" (c'est le terme employé par Luc R). Ce qui s'explique par la préparation des li
Il est donc de passage. Donc hébergé.
C'est un peu paradoxale si je suis ton raisonnement le Grêlé n'aurait jamais pu donner une adresse et là banquo il donne carrément une adresse .[/quote]
Exact. Pour être crédible vis à vis de IM. ça fait partie du processus classique de n'importe quelle rencontre : les 3 questions de base : qui es tu, que fais tu, où vis-tu.
Mais tout étant "bidon" chez lui, l'adresse l'est également 'in fine'.
In fine = signifie = celle que les flics ont découverte.
Mais le jour où il l'a donnée, ainsi que son identité (bidon elle aussi), à savoir en décembre 86, il ne savait pas qu'il allait tuer 5 mois plus tard.
Invité- Invité
Re: qui est il? VIII
Mesrine a écrit:d' Amantine a écrit:[quote=salut
1/ ce mec n'est pas de Paris, ni en 86, ni en 87, ni en 94.
2/ il frappe par deux fois en 86 un lundi matin; 7 avril 86 (reprise de l'école), et 5 mai 86 (après un long WE si le vendredi a été chômé). Deux fois en s'assurant d'être présent sur les lieux aux horaires appropriés en fonction de ses cibles.
3/ L'épicentre est le 13 rue Rubens, car cette adresse constitue un élément tangible de lien entre les faits imputables au même auteur.
4/ sur cette base, en prenant le métro à la station Gobelins, en 10 minutes le trajet est bouclé pour se rendre Place de Vénétie (faits du 7 avril 86). La station d'arrivée se situe à 200 mètres du lieu des faits. (cf google)
5/ sur la même base, en prenant le métro à la station campo formio ou place d'Italie, en 40 minutes le trajet est bouclé jusqu'au 116 rue Petit. La station d'arrivée est à 200 mètre du lieu des faits. (cf google)
6/ Irmgard Muller prenait ses cours au 90 rue de Tolbiac (j’ai vérifié en appelant la Fac). La ligne 7 du métro est la même que celle qui mène du 13 Rubens à Place de Vénétie vers le sud, mais relie aussi Tolbiac à Rue ste Croix de la Bretonnerie directement.
Si on "cartographie" ce périmètre d'action en y appliquant un calque chronologique avec pour épicentre le 13 Rubens; il a :
1/ frappé à 10 minutes de sa base (théorie de la "zone de confort") que constitue le 13 Rubens le 7 avril 86.
2/ frappé à 45 minutes de la même base (s'éloigne pour minimiser le risque, prends des mesures drastiques de garantie de réussite; cf son mode opératoire) le 5 mai 1986 -Cécile. Lors de ce crime, il y a un élément de plus dans son attirail : l’usage d’un couteau.
Deux fois un lundi matin tel que décrit plus haut.
Il est donc logique et prudent.
Son signalement par Luc Richard et les autres témoins n'indiquent en rien une quelconque odeur ou le moindre élément laissant à penser qu'il manque d'hygiène. On a à peine des cheveux un peu en bataille et des pompes "fatiguées" (c'est le terme employé par Luc R). Ce qui s'explique par la préparation des li
Il est donc de passage. Donc hébergé.
C'est un peu paradoxale si je suis ton raisonnement le Grêlé n'aurait jamais pu donner une adresse et là banquo il donne carrément une adresse .
Exact. Pour être crédible vis à vis de IM. ça fait partie du processus classique de n'importe quelle rencontre : les 3 questions de base : qui es tu, que fais tu, où vis-tu.
Mais tout étant "bidon" chez lui, l'adresse l'est également 'in fine'.
In fine = signifie = celle que les flics ont découverte.
Mais le jour où il l'a donnée, ainsi que son identité (bidon elle aussi), à savoir en décembre 86, il ne savait pas qu'il allait tuer 5 mois plus tard.
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Tu me reprochais de dire qu'il connait Surgères parce qu'il cite Vandre et là il donne une adresse ou les enquêteurs ont fait ( je l'espère ) une enquête pour voir si des personnes l'ont croisé . A la vérité il est moins dans le contrôle que tu le supposes : bien sûr qu'il connait la rue pour savoir qu'elle est dans le 13 Arron ,
peut-être même la première fois (je dis peut-être ) qu'il a croisé Imgard c'était dans cette rue , peut être qu'il a donné le nom de cette rue car il savait qu'on pouvait le joindre là bas (mais ça j'y crois moins ),je pense surtout qu'il connait cette rue car il y est passé quelques fois et basta .
Invité- Invité
Re: qui est il? VIII
J'ai une question à vous poser , est ce que vous pensé que le Grêlé c'est déjà fait gauler ?
Invité- Invité
Re: qui est il? VIII
d' Amantine a écrit:
Tu me reprochais de dire qu'il connait Surgères parce qu'il cite Vandre et là il donne une adresse ou les enquêteurs ont fait ( je l'espère ) une enquête pour voir si des personnes l'ont croisé . A la vérité il est moins dans le contrôle que tu le supposes : bien sûr qu'il connait la rue pour savoir qu'elle est dans le 13 Arron ,
peut-être même la première fois (je dis peut-être ) qu'il a croisé Imgard c'était dans cette rue , peut être qu'il a donné le nom de cette rue car il savait qu'on pouvait le joindre là bas (mais ça j'y crois moins ),je pense surtout qu'il connait cette rue car il y est passé quelques fois et basta .
Je ne reproche rien à personne... Je dis tout simplement que s'il a volé un cd de Chopin, ça en fait pas un pianiste pour autant, mais avant toute autre chose un braqueur. (c'est un exemple parmi des millions d'autres...).
Idem pour Vandre et Surgères : j'ai beau chercher, je ne vois pas la relation. (tu peux m'envoyer l'explication en MP, pas de souci).
Invité- Invité
Re: qui est il? VIII
Tout comme Marlowe, je me demande s'il n'a pas eu affaire à la justice dans la mesure où la prise systématique d'ADN suite à un délit ne date que de 2003. (Si je ne me trompe pas).d' Amantine a écrit:J'ai une question à vous poser , est ce que vous pensé que le Grêlé c'est déjà fait gauler ?
Re: qui est il? VIII
Kassandra88 a écrit:Tout comme Marlowe, je me demande s'il n'a pas eu affaire à la justice dans la mesure où la prise systématique d'ADN suite à un délit ne date que de 2003. (Si je ne me trompe pas).d' Amantine a écrit:J'ai une question à vous poser , est ce que vous pensé que le Grêlé c'est déjà fait gauler ?
En fait statistiquement la majorité des tueurs en série avait un casier judiciaire de mémoire je ne vois que celui d' Annemasse ,mais peut être qu'il y en a eu
d'autres .
Je repense à Fourniret qui a agit en Essonnes et pourtant personne n'est venu l'inquiéter pour voir s'il avait un rapport avec les meurtres d'Emma , la petite Vigneron et Dumont à l'époque des faits . On pense que les Enquêteurs exploitent toutes les pistes mais non .
Invité- Invité
Re: qui est il? VIII
d' Amantine a écrit:Kassandra88 a écrit:Tout comme Marlowe, je me demande s'il n'a pas eu affaire à la justice dans la mesure où la prise systématique d'ADN suite à un délit ne date que de 2003. (Si je ne me trompe pas).d' Amantine a écrit:J'ai une question à vous poser , est ce que vous pensé que le Grêlé c'est déjà fait gauler ?
En fait statistiquement la majorité des tueurs en série avait un casier judiciaire de mémoire je ne vois que celui d' Annemasse ,mais peut être qu'il y en a eu
d'autres .
Je repense à Fourniret qui a agit en Essonnes et pourtant personne n'est venu l'inquiéter pour voir s'il avait un rapport avec les meurtres d'Emma , la petite Vigneron et Dumont à l'époque des faits . On pense que les Enquêteurs exploitent toutes les pistes mais non .
Plutôt virginie Delmas pas Sabine Dumont puisqu'ils ont l'ADN ; Mais je viens de vérifier Fourniret était en prison puisqu'il est sorti en 10 /1987 .
Invité- Invité
Re: qui est il? VIII
d' Amantine a écrit:d' Amantine a écrit:Kassandra88 a écrit:Tout comme Marlowe, je me demande s'il n'a pas eu affaire à la justice dans la mesure où la prise systématique d'ADN suite à un délit ne date que de 2003. (Si je ne me trompe pas).d' Amantine a écrit:J'ai une question à vous poser , est ce que vous pensé que le Grêlé c'est déjà fait gauler ?
En fait statistiquement la majorité des tueurs en série avait un casier judiciaire de mémoire je ne vois que celui d' Annemasse ,mais peut être qu'il y en a eu
d'autres .
Je repense à Fourniret qui a agit en Essonnes et pourtant personne n'est venu l'inquiéter pour voir s'il avait un rapport avec les meurtres d'Emma , la petite Vigneron et Dumont à l'époque des faits . On pense que les Enquêteurs exploitent toutes les pistes mais non .
Plutôt virginie Delmas pas Sabine Dumont puisqu'ils ont l'ADN ; Mais je viens de vérifier Fourniret était en prison puisqu'il est sorti en 10 /1987 .
Ce serait pas mal de vérifier avant de l'écrire, sans vouloir être mauvaise langue...
C'est comme prétendre que les enquêteurs n'exploitent pas toutes les pistes; si d'aventure des flics comme Vasquez ou Pasqualini te lisaient, ils auraient bien les glandes les mecs, je crois.
(Mon côté "quart de tour"! )
--
La majorité des tueurs en série peuvent bien être ce qu'ils veulent. "Le grêlé" n'est PAS un tueur en série.
Invité- Invité
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