Le meurtre de Ghislaine Marchal
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Re: Le meurtre de Ghislaine Marchal
Gédéon a écrit:Gédéon a écrit:Sennheiser2 a écrit:Ce qui m'interpelle c'est cette écriture sur la porte,comment une personne de cet age à l'agonie en état de choc intense peut dans un premier temps penser écrire cette phrase puis la transcrire aussi nettement sans tremblements en plaçant l'apostrophe de surcroît il ne manquait que les détails des faits.Aurait elle accepté la mort ? et l’instinct de survie ? de plus je trouve la phrase perché assez haut sur la porte,hormis cela elle est immaculée,pas de trace de main ou de doigts ensanglanté .
Je me demande même si s'était réalisable pas de déplacer le lit car il était sur roulette mais de placer le chevron de bois de coincer cette barre sous la porte et de faire basculer le lit , est ce que le poids du lit 12KG à pu plier la barre de fer ? tout ça par une femme à l agonie
Il faudrait faire un essai pour voir si un lit de 12 KG peut plier la barre ( acier ? ) placée sur le chevron .
En plus Mme Marchal d après certains experts ne pouvait à la rigueur se déplacer qu'à genoux , faire basculer le lit pour qu'il soit contre la porte et pas à 5cm de celle ci sans déplacer son système quand le lit a basculé ça me parait mission impossible
même bien coincer une barre rigide sous la porte pour ne pas qu'elle puisse bouger puis la soulever pour la placer sur le chevron de 10CM ,je ne sais pas si c'est réalisable
Gédéon
Re: Le meurtre de Ghislaine Marchal
Gédéon a écrit:Gédéon a écrit:Gédéon a écrit:Sennheiser2 a écrit:Ce qui m'interpelle c'est cette écriture sur la porte,comment une personne de cet age à l'agonie en état de choc intense peut dans un premier temps penser écrire cette phrase puis la transcrire aussi nettement sans tremblements en plaçant l'apostrophe de surcroît il ne manquait que les détails des faits.Aurait elle accepté la mort ? et l’instinct de survie ? de plus je trouve la phrase perché assez haut sur la porte,hormis cela elle est immaculée,pas de trace de main ou de doigts ensanglanté .
Je me demande même si s'était réalisable pas de déplacer le lit car il était sur roulette mais de placer le chevron de bois de coincer cette barre sous la porte et de faire basculer le lit , est ce que le poids du lit 12KG à pu plier la barre de fer ? tout ça par une femme à l agonie
Il faudrait faire un essai pour voir si un lit de 12 KG peut plier la barre ( acier ? ) placée sur le chevron .
En plus Mme Marchal d après certains experts ne pouvait à la rigueur se déplacer qu'à genoux , faire basculer le lit pour qu'il soit contre la porte et pas à 5cm de celle ci sans déplacer son système quand le lit a basculé ça me parait mission impossible
même bien coincer une barre rigide sous la porte pour ne pas qu'elle puisse bouger puis la soulever pour la placer sur le chevron de 10CM ,je ne sais pas si c'est réalisable
Ce dispositif n'a pas pu être réalisé de l'extérieur - C'est rigoureusement impossible , et ça été démontré -
Concluez vous même...Mme Marchal a dû puiser au fond d'elle même tout ce qui lui restait d'énergie , de vie , pour désigner son meurtrier -
Certaines circonstances exceptionnelles , votre volonté ultime , peuvent décupler vos forces - Et n'oubliez pas
que tout le Monde s'accorde à dire que Mme Marchal avait un caractère énergique et bien trempé.
Invité- Invité
Re: Le meurtre de Ghislaine Marchal
d après un site pro cenci il aurait fallu une prise de température pour dater l heure de la mort , mais en aucun cas les médecins légistes ne pouvaient affirmer que l heure de la mort
remontée à 30 heures (seul créneau horaire pour Omar ) . En revanche on sait mais c'est moins fiable qu'il faut a peut près 6 heures pour opacifier les yeux . Hors pour faire 30 heures il faut multiplier par 5 ça commence à faire beaucoup mais bon c'était le seul créneau possible !
remontée à 30 heures (seul créneau horaire pour Omar ) . En revanche on sait mais c'est moins fiable qu'il faut a peut près 6 heures pour opacifier les yeux . Hors pour faire 30 heures il faut multiplier par 5 ça commence à faire beaucoup mais bon c'était le seul créneau possible !
Gédéon
Re: Le meurtre de Ghislaine Marchal
Mike68 a écrit:Gédéon a écrit:Gédéon a écrit:Gédéon a écrit:Sennheiser2 a écrit:Ce qui m'interpelle c'est cette écriture sur la porte,comment une personne de cet age à l'agonie en état de choc intense peut dans un premier temps penser écrire cette phrase puis la transcrire aussi nettement sans tremblements en plaçant l'apostrophe de surcroît il ne manquait que les détails des faits.Aurait elle accepté la mort ? et l’instinct de survie ? de plus je trouve la phrase perché assez haut sur la porte,hormis cela elle est immaculée,pas de trace de main ou de doigts ensanglanté .
Je me demande même si s'était réalisable pas de déplacer le lit car il était sur roulette mais de placer le chevron de bois de coincer cette barre sous la porte et de faire basculer le lit , est ce que le poids du lit 12KG à pu plier la barre de fer ? tout ça par une femme à l agonie
Il faudrait faire un essai pour voir si un lit de 12 KG peut plier la barre ( acier ? ) placée sur le chevron .
En plus Mme Marchal d après certains experts ne pouvait à la rigueur se déplacer qu'à genoux , faire basculer le lit pour qu'il soit contre la porte et pas à 5cm de celle ci sans déplacer son système quand le lit a basculé ça me parait mission impossible
même bien coincer une barre rigide sous la porte pour ne pas qu'elle puisse bouger puis la soulever pour la placer sur le chevron de 10CM ,je ne sais pas si c'est réalisable
Ce dispositif n'a pas pu être réalisé de l'extérieur - C'est rigoureusement impossible , et ça été démontré -
Concluez vous même...Mme Marchal a dû puiser au fond d'elle même tout ce qui lui restait d'énergie , de vie , pour désigner son meurtrier -
Certaines circonstances exceptionnelles , votre volonté ultime , peuvent décupler vos forces - Et n'oubliez pas
que tout le Monde s'accorde à dire que Mme Marchal avait un caractère énergique et bien trempé.
Je n en doute pas mais j aurais qu en même vérifié qu une personne en bonne santé puisse réaliser ce blocage
Gédéon
Re: Le meurtre de Ghislaine Marchal
Gédéon a écrit:d après un site pro cenci il aurait fallu une prise de température pour dater l heure de la mort , mais en aucun cas les médecins légistes ne pouvaient affirmer que l heure de la mort
remontée à 30 heures (seul créneau horaire pour Omar ) . En revanche on sait mais c'est moins fiable qu'il faut a peut près 6 heures pour opacifier les yeux . Hors pour faire 30 heures il faut multiplier par 5 ça commence à faire beaucoup mais bon c'était le seul créneau possible !
Pour l'opacification des yeux , les experts ont expliqué qu'elle avait le visage tourné contre le sol , et que ça avait de ce fait protégé ses iris - Le temps d'opacification dépend également
du degré d'humidité , de la température - Bref , dans le cas présent , on ne pouvait pas s'en servir pour dater l'heure de la mort précisément.
Il y a eu une estimation de celle-ci et elle va - dans tous les cas - dans le sens de la culpabilité d'Omar (elle n'est pas incompatible)
Invité- Invité
Re: Le meurtre de Ghislaine Marchal
La chambre d’accusation d'Aix-en-Provence rendait le 14 avril 1993 un arrêt de renvoi devant la cour d’assises des Alpes-Maritimes à Nice. Dans son exposé, l’arrêt reprenait le rapport de synthèse de Mr Cenci et le réquisitoire définitif du procureur de la République de Grasse.
Il était ainsi motivé sur le fond :
« Le dossier de la procédure a établi à l’encontre d’Omar Raddad de lourdes présomptions d’homicide volontaire sur la personne de Mme Marchal. Ces présomptions ressortent principalement de sa dénonciation écrite par la victime, à l’aide de son sang, de son absence d’alibi et des besoins financiers de l’intéressé. Deux expertises ont confirmé que l’auteur des deux inscriptions était bien Mme Marchal dont les capacités physiques étaient suffisantes pour identifier son agresseur et lui permettre de se barricader dans le sous-sol. Les dépositions de nombreux témoins contredisent l’emploi du temps tel qu’il est développé par Raddad. L’absence d’empreintes digitales sur le sac à main, élément négatif, n’est pas de nature à exclure toute participation, alors qu’aucune autre empreinte même appartenant à la victime n’a été décelée. Les affirmations médico-légales de la défense ne correspondent pas avec les précisions données par les experts qui ont estimé que l’agonie de la victime a duré de 15 à 20 minutes, qu’il n’y a pas eu de projections de sang importantes ni d’hémorragie interne importante au niveau du crâne, du thorax et de l’abdomen et qu’il n’y a aucun doute du jour du décès, l’erreur sur le jour étant une erreur matérielle de dactylographie. Les difficultés financières, les avances sollicitées à son employeur et la fréquentation des prostituées résultent des propres déclarations d’Omar Raddad.
La procédure est complète, aucune nouvelle mesure d’investigation n’est nécessaire, elle est également régulière et il en résulte charges suffisantes contre Omar Raddad d’avoir à Mougins, le 23 juin 1991, en tout cas dans le département des Alpes-Maritimes et depuis moins de dix ans volontairement donné la mort à Ghislaine de Renty veuve Marchal. Crime prévu et puni par les articles 295 et 304 du Code pénal. »
Il était ainsi motivé sur le fond :
« Le dossier de la procédure a établi à l’encontre d’Omar Raddad de lourdes présomptions d’homicide volontaire sur la personne de Mme Marchal. Ces présomptions ressortent principalement de sa dénonciation écrite par la victime, à l’aide de son sang, de son absence d’alibi et des besoins financiers de l’intéressé. Deux expertises ont confirmé que l’auteur des deux inscriptions était bien Mme Marchal dont les capacités physiques étaient suffisantes pour identifier son agresseur et lui permettre de se barricader dans le sous-sol. Les dépositions de nombreux témoins contredisent l’emploi du temps tel qu’il est développé par Raddad. L’absence d’empreintes digitales sur le sac à main, élément négatif, n’est pas de nature à exclure toute participation, alors qu’aucune autre empreinte même appartenant à la victime n’a été décelée. Les affirmations médico-légales de la défense ne correspondent pas avec les précisions données par les experts qui ont estimé que l’agonie de la victime a duré de 15 à 20 minutes, qu’il n’y a pas eu de projections de sang importantes ni d’hémorragie interne importante au niveau du crâne, du thorax et de l’abdomen et qu’il n’y a aucun doute du jour du décès, l’erreur sur le jour étant une erreur matérielle de dactylographie. Les difficultés financières, les avances sollicitées à son employeur et la fréquentation des prostituées résultent des propres déclarations d’Omar Raddad.
La procédure est complète, aucune nouvelle mesure d’investigation n’est nécessaire, elle est également régulière et il en résulte charges suffisantes contre Omar Raddad d’avoir à Mougins, le 23 juin 1991, en tout cas dans le département des Alpes-Maritimes et depuis moins de dix ans volontairement donné la mort à Ghislaine de Renty veuve Marchal. Crime prévu et puni par les articles 295 et 304 du Code pénal. »
Invité- Invité
Re: Le meurtre de Ghislaine Marchal
Mike68 a écrit:Gédéon a écrit:d après un site pro cenci il aurait fallu une prise de température pour dater l heure de la mort , mais en aucun cas les médecins légistes ne pouvaient affirmer que l heure de la mort
remontée à 30 heures (seul créneau horaire pour Omar ) . En revanche on sait mais c'est moins fiable qu'il faut a peut près 6 heures pour opacifier les yeux . Hors pour faire 30 heures il faut multiplier par 5 ça commence à faire beaucoup mais bon c'était le seul créneau possible !
Pour l'opacification des yeux , les experts ont expliqué qu'elle avait le visage tourné contre le sol , et que ça avait de ce fait protégé ses iris - Le temps d'opacification dépend également
du degré d'humidité , de la température - Bref , dans le cas présent , on ne pouvait pas s'en servir pour dater l'heure de la mort précisément.
Il y a eu une estimation de celle-ci et elle va - dans tous les cas - dans le sens de la culpabilité d'Omar (elle n'est pas incompatible)
oui mais on n a jamais vu un mort avec les yeux clairs 30 heures après sauf Mme Marchal
Gédéon
Re: Le meurtre de Ghislaine Marchal
Mike68 a écrit:La chambre d’accusation d'Aix-en-Provence rendait le 14 avril 1993 un arrêt de renvoi devant la cour d’assises des Alpes-Maritimes à Nice. Dans son exposé, l’arrêt reprenait le rapport de synthèse de Mr Cenci et le réquisitoire définitif du procureur de la République de Grasse.
Il était ainsi motivé sur le fond :
« Le dossier de la procédure a établi à l’encontre d’Omar Raddad de lourdes présomptions d’homicide volontaire sur la personne de Mme Marchal. Ces présomptions ressortent principalement de sa dénonciation écrite par la victime, à l’aide de son sang, de son absence d’alibi et des besoins financiers de l’intéressé. Deux expertises ont confirmé que l’auteur des deux inscriptions était bien Mme Marchal dont les capacités physiques étaient suffisantes pour identifier son agresseur et lui permettre de se barricader dans le sous-sol. Les dépositions de nombreux témoins contredisent l’emploi du temps tel qu’il est développé par Raddad. L’absence d’empreintes digitales sur le sac à main, élément négatif, n’est pas de nature à exclure toute participation, alors qu’aucune autre empreinte même appartenant à la victime n’a été décelée. Les affirmations médico-légales de la défense ne correspondent pas avec les précisions données par les experts qui ont estimé que l’agonie de la victime a duré de 15 à 20 minutes, qu’il n’y a pas eu de projections de sang importantes ni d’hémorragie interne importante au niveau du crâne, du thorax et de l’abdomen et qu’il n’y a aucun doute du jour du décès, l’erreur sur le jour étant une erreur matérielle de dactylographie. Les difficultés financières, les avances sollicitées à son employeur et la fréquentation des prostituées résultent des propres déclarations d’Omar Raddad.
La procédure est complète, aucune nouvelle mesure d’investigation n’est nécessaire, elle est également régulière et il en résulte charges suffisantes contre Omar Raddad d’avoir à Mougins, le 23 juin 1991, en tout cas dans le département des Alpes-Maritimes et depuis moins de dix ans volontairement donné la mort à Ghislaine de Renty veuve Marchal. Crime prévu et puni par les articles 295 et 304 du Code pénal. »
Elle n a eu que 15 à 20 MIN pour réaliser tous cela c 'est peu
Gédéon
Re: Le meurtre de Ghislaine Marchal
Gédéon a écrit:Mike68 a écrit:Gédéon a écrit:d après un site pro cenci il aurait fallu une prise de température pour dater l heure de la mort , mais en aucun cas les médecins légistes ne pouvaient affirmer que l heure de la mort
remontée à 30 heures (seul créneau horaire pour Omar ) . En revanche on sait mais c'est moins fiable qu'il faut a peut près 6 heures pour opacifier les yeux . Hors pour faire 30 heures il faut multiplier par 5 ça commence à faire beaucoup mais bon c'était le seul créneau possible !
Pour l'opacification des yeux , les experts ont expliqué qu'elle avait le visage tourné contre le sol , et que ça avait de ce fait protégé ses iris - Le temps d'opacification dépend également
du degré d'humidité , de la température - Bref , dans le cas présent , on ne pouvait pas s'en servir pour dater l'heure de la mort précisément.
Il y a eu une estimation de celle-ci et elle va - dans tous les cas - dans le sens de la culpabilité d'Omar (elle n'est pas incompatible)
oui mais on n a jamais vu un mort avec les yeux clairs 30 heures après sauf Mme Marchal
FAUX - Les experts ont bien précisé qu'il n'existait pas de statistiques précises là dessus , car trop de paramètres rentrent en compte -
Les yeux peuvent - dans certains cas - rester clairs 30 heures après (en l'occurrence , Mme Marchal est restée dans l'obscurité ,
les yeux tournés vers le sol , comme je vous l'ai expliqué , ce qui a retardé l'opacification) - Rien d'anormal ni d'étrange
là dedans.
Invité- Invité
Re: Le meurtre de Ghislaine Marchal
Mike68 a écrit:Gédéon a écrit:Mike68 a écrit:Gédéon a écrit:d après un site pro cenci il aurait fallu une prise de température pour dater l heure de la mort , mais en aucun cas les médecins légistes ne pouvaient affirmer que l heure de la mort
remontée à 30 heures (seul créneau horaire pour Omar ) . En revanche on sait mais c'est moins fiable qu'il faut a peut près 6 heures pour opacifier les yeux . Hors pour faire 30 heures il faut multiplier par 5 ça commence à faire beaucoup mais bon c'était le seul créneau possible !
Pour l'opacification des yeux , les experts ont expliqué qu'elle avait le visage tourné contre le sol , et que ça avait de ce fait protégé ses iris - Le temps d'opacification dépend également
du degré d'humidité , de la température - Bref , dans le cas présent , on ne pouvait pas s'en servir pour dater l'heure de la mort précisément.
Il y a eu une estimation de celle-ci et elle va - dans tous les cas - dans le sens de la culpabilité d'Omar (elle n'est pas incompatible)
oui mais on n a jamais vu un mort avec les yeux clairs 30 heures après sauf Mme Marchal
FAUX - Les experts ont bien précisé qu'il n'existait pas de statistiques précises là dessus , car trop de paramètres rentrent en compte -
Les yeux peuvent - dans certains cas - rester clairs 30 heures après (en l'occurrence , Mme Marchal est restée dans l'obscurité ,
les yeux tournés vers le sol , comme je vous l'ai expliqué , ce qui a retardé l'opacification) - Rien d'anormal ni d'étrange
là dedans.
J ai cherché une durée supérieur à 6h pas trouvé sauf dans l eau ,hors la plupart des morts (naturel ou pas ) peuvent se retrouver dans le noir bon si vous trouvez à part Mme Marchal une autre référence . Pour vous faire plaisir je mets juste que 30 h c est très loin de 6h
Gédéon
Re: Le meurtre de Ghislaine Marchal
à part ça ce matin j ai essayé de pousser un lit pliant à genoux sur 3 mètre et de le basculé contre une porte .Résultat pour pousser pas de problème c est léger mais on a mal aux genoux quant à le faire basculer on est obligé de le toucher un peu partout donc j espère qu ils ont trouvé
du sang un peu partout sur le lit .
du sang un peu partout sur le lit .
Gédéon
Re: Le meurtre de Ghislaine Marchal
Gédéon a écrit:à part ça ce matin j ai essayé de pousser un lit pliant à genoux sur 3 mètre et de le basculer contre une porte .Résultat pour pousser pas de problème c est léger mais on a mal aux genoux quant à le faire basculer on est obligé de le toucher un peu partout donc j espère qu ils ont trouvé
du sang un peu partout sur le lit
Mike vous savez ou se trouve l interrupteur pour éteindre la lumière ? est ce qu elle pouvait l éteindre à genoux ?
Gédéon
Re: Le meurtre de Ghislaine Marchal
Avec les photos de votre site référence est ce que vous pouvez nous expliquer par rapport à la trace de sang mélangée aux cheveux comment était Mme Marchal pour écrire Omar
Gédéon
Re: Le meurtre de Ghislaine Marchal
Que de questions ce matin mais ce sera la dernière j ai pas bien compris pour la barre c 'est les gendarmes en ouvrant qu ils l ont pliée : si oui ça pose un problème de se servir de cette barre déjà pliée pour la reconstitution
Gédéon
Re: Le meurtre de Ghislaine Marchal
Gédéon a écrit:Gédéon a écrit:à part ça ce matin j ai essayé de pousser un lit pliant à genoux sur 3 mètre et de le basculer contre une porte .Résultat pour pousser pas de problème c est léger mais on a mal aux genoux quant à le faire basculer on est obligé de le toucher un peu partout donc j espère qu ils ont trouvé
du sang un peu partout sur le lit
Mike vous savez ou se trouve l interrupteur pour éteindre la lumière ? est ce qu elle pouvait l éteindre à genoux ?
Il y avait un système de minuterie - La lumière s'est éteinte d'elle même au bout d'un moment -
Invité- Invité
Re: Le meurtre de Ghislaine Marchal
Gédéon a écrit:Avec les photos de votre site référence est ce que vous pouvez nous expliquer par rapport à la trace de sang mélangée aux cheveux comment était Mme Marchal pour écrire Omar
L'inscription la + nette est juste au dessus de la poignée , à 1 m du sol environ , elle s'est relevée et s'est mise à genoux - Ca été parfaitement corroboré scientifiquement (par rapport à sa taille et le fait que ses
blessures ne l'empêchaient pas d'écrire dans cette position) - La 2ème inscription est + basse et beaucoup moins lisible , ce qui est logique , et démontre l'affaiblissement progressif de Mme
Marchal - Il a été prouvé que les inscriptions ont bien été faites avec le sang de Mme Marchal - Imaginez ne serait-ce qu'un instant ce qu'il aurait fallu faire pour.... "faire croire" que c'est Ghislaine
Marchal qui écrivait : lui tenir la main , imiter l'écriture d'une mourante (pour la 2ème inscription) - On est en pleine science-fiction - Une seule conclusion s'impose : c'est bien Mme Marchal
qui a écrit ces inscriptions avec son sang , pour désigner son meurtrier (car elle savait très certainement qu'elle allait succomber : 5 coups de chevrons et 11 plaies faites à l'aide d'une arme
blanche , dont une au cou , pas besoin d'être médecin pour savoir que c'est terminé.....)
Invité- Invité
Re: Le meurtre de Ghislaine Marchal
J'espère que ceci mettra fin aux..."doutes" qu'ont encore certains par rapport à la culpabilité d'Omar Raddad , C'est Mr Denis Bigot ,
ancien directeur de la prison de Grasse , où il était incarcéré , qui parle :
"Ce 15 novembre, autour de 11 h, appel du gradé d'étage. Le père de Raddad, arrivé en retard ne peut bénéficier du parloir avec son fils. Cela survient plusieurs fois par mois. Dans ce cas, nous programmons un nouveau parloir, soit pour l'après-midi si possible, soit à défaut, pour le lendemain, accordant le cas échéant le double du temps règlementaire (45 minutes), soit une heure et demie sans discontinuer.
À cette annonce, le détenu, m'indique-t-on, devient fou furieux. Il détruit la totalité de sa cellule individuelle, un luxe à l'époque ! Cette furie, observée à travers l'œilleton n'a aucun équivalent pour un tel motif : il casse tout avec méthode, hurle, pulvérise le lit, le téléviseur, le mobilier, et même le lavabo et le sanitaire. Il était parvenu, par torsions, à se munir d'un pied du lit et, ainsi armé d'une barre métallique, fracassait tout. Nouvel appel du chef de détention cette fois, qui sollicite des consignes. J'indique : « Pas d'intervention contre le forcené dans un tel état. La crise passée, prenez l'effectif nécessaire au sein de l'équipe d'intervention et placez-le, à titre préventif en cellule de punition. Dites-lui que, sitôt calmé, j'irai le voir au quartier disciplinaire ».
Calmé, Raddad fut prestement maîtrisé, escorté sans difficulté jusqu'au quartier disciplinaire et placé en cellule. Averti, je me déplaçai, comme prévu et le reçus, seul, dans une des deux salles d'attente servant, à l'occasion, de bureau d'audience. Il avait, en partie, retrouvé ce visage impassible si impressionnant. Mais il avait peur. Peur des forces déployées dans le quartier disciplinaire. Un autre incident ayant éclaté en détention, d'autres placements plus rugueux agitaient les lieux, obligeant les agents à faire usage de la force pour ramener l'ordre.
Amené, il se présente et salue. Je l'invite à s'asseoir. De suite, je remarque les battements accélérés de sa veine jugulaire. Il est mal à l'aise, déstabilisé. Oui, déstabilisé d'avoir jusqu'ici bien caché et d'un coup dévoilé ce côté très sombre de sa personnalité, un comportement de dément sitôt qu'on lui oppose un refus.
Denis Bigot - Vous pouvez m'expliquer ce qui vous a pris ?
Omar Raddad - C'est à cause du parloir avec mon père. On me l'a refusé ! Le surveillant m'a dit qu'il était en retard, il venait du Maroc pour me voir. Le surveillant est cruel !
DB - Quand vous essuyez un refus vous cassez la cellule ?
OR - C'est plus fort que moi, je n'ai pas pu me retenir !
DB - C'est ainsi que vous avez tué madame Marchal ?
OR - Elle m'a insulté !
DB - Pour quelle raison ?
OR - ...
DB - Et vous l'avez tuée !
OR - Je l'ai frappée...
DB - Frappée ! Vous l'avez bien tuée, oui !
OR - Je l'ai bien tuée... mais je ne voulais pas !
Et il haussait le ton ! La tension montait. Je voyais les agents se rapprocher bruyamment derrière la vitre de la salle d'attente, craignant une nouvelle explosion d'agressivité. Mais Raddad, d'un coup mutique, savait ce qui l'attendait s'il ne parvenait pas à se maîtriser"
ancien directeur de la prison de Grasse , où il était incarcéré , qui parle :
"Ce 15 novembre, autour de 11 h, appel du gradé d'étage. Le père de Raddad, arrivé en retard ne peut bénéficier du parloir avec son fils. Cela survient plusieurs fois par mois. Dans ce cas, nous programmons un nouveau parloir, soit pour l'après-midi si possible, soit à défaut, pour le lendemain, accordant le cas échéant le double du temps règlementaire (45 minutes), soit une heure et demie sans discontinuer.
À cette annonce, le détenu, m'indique-t-on, devient fou furieux. Il détruit la totalité de sa cellule individuelle, un luxe à l'époque ! Cette furie, observée à travers l'œilleton n'a aucun équivalent pour un tel motif : il casse tout avec méthode, hurle, pulvérise le lit, le téléviseur, le mobilier, et même le lavabo et le sanitaire. Il était parvenu, par torsions, à se munir d'un pied du lit et, ainsi armé d'une barre métallique, fracassait tout. Nouvel appel du chef de détention cette fois, qui sollicite des consignes. J'indique : « Pas d'intervention contre le forcené dans un tel état. La crise passée, prenez l'effectif nécessaire au sein de l'équipe d'intervention et placez-le, à titre préventif en cellule de punition. Dites-lui que, sitôt calmé, j'irai le voir au quartier disciplinaire ».
Calmé, Raddad fut prestement maîtrisé, escorté sans difficulté jusqu'au quartier disciplinaire et placé en cellule. Averti, je me déplaçai, comme prévu et le reçus, seul, dans une des deux salles d'attente servant, à l'occasion, de bureau d'audience. Il avait, en partie, retrouvé ce visage impassible si impressionnant. Mais il avait peur. Peur des forces déployées dans le quartier disciplinaire. Un autre incident ayant éclaté en détention, d'autres placements plus rugueux agitaient les lieux, obligeant les agents à faire usage de la force pour ramener l'ordre.
Amené, il se présente et salue. Je l'invite à s'asseoir. De suite, je remarque les battements accélérés de sa veine jugulaire. Il est mal à l'aise, déstabilisé. Oui, déstabilisé d'avoir jusqu'ici bien caché et d'un coup dévoilé ce côté très sombre de sa personnalité, un comportement de dément sitôt qu'on lui oppose un refus.
Denis Bigot - Vous pouvez m'expliquer ce qui vous a pris ?
Omar Raddad - C'est à cause du parloir avec mon père. On me l'a refusé ! Le surveillant m'a dit qu'il était en retard, il venait du Maroc pour me voir. Le surveillant est cruel !
DB - Quand vous essuyez un refus vous cassez la cellule ?
OR - C'est plus fort que moi, je n'ai pas pu me retenir !
DB - C'est ainsi que vous avez tué madame Marchal ?
OR - Elle m'a insulté !
DB - Pour quelle raison ?
OR - ...
DB - Et vous l'avez tuée !
OR - Je l'ai frappée...
DB - Frappée ! Vous l'avez bien tuée, oui !
OR - Je l'ai bien tuée... mais je ne voulais pas !
Et il haussait le ton ! La tension montait. Je voyais les agents se rapprocher bruyamment derrière la vitre de la salle d'attente, craignant une nouvelle explosion d'agressivité. Mais Raddad, d'un coup mutique, savait ce qui l'attendait s'il ne parvenait pas à se maîtriser"
Invité- Invité
Re: Le meurtre de Ghislaine Marchal
A force de débat sur le fond on en occulte la forme .la réalité c'est que Raddad est condamné sur un faisceau de présomption établit sur des indices.Aucune preuve tangible ne le relie au crime,même l'éventuel mobile évoqué paraît dérisoire.On ne devrait pas pouvoir envoyer en prison un individu sur des suppositions.Je n'affirme pas qu'il est innocent, la preuve de sa culpabilité n'a put être démontré, la sentence en est l'illustration. Meurtre avec circonstances atténuantes,on croit rêver.
Sennheiser2
Re: Le meurtre de Ghislaine Marchal
Sennheiser2 a écrit:A force de débat sur le fond on en occulte la forme .la réalité c'est que Raddad est condamné sur un faisceau de présomption établit sur des indices.Aucune preuve tangible ne le relie au crime,même l'éventuel mobile évoqué paraît dérisoire.On ne devrait pas pouvoir envoyer en prison un individu sur des suppositions.Je n'affirme pas qu'il est innocent, la preuve de sa culpabilité n'a put être démontré, la sentence en est l'illustration. Meurtre avec circonstances atténuantes,on croit rêver.
Bonjour Sennheiser2 , c'est + qu'un... "faisceau de présomptions" mon ami - Voici quelques éléments , et il y en beaucoup d'autres :
- S'il s'agit d'un complot, comment le "vrai meurtrier" (ou plusieurs) a fait pour savoir qu'Omar Raddad travaillerait sur les lieux du crime un Dimanche , de façon inhabituelle ,
alors que seuls la voisine et Raddad étaient au courant?
- M. Omar Raddad dit être rentré chez lui pour manger et il revient plus tôt que prévu chez son client (de plus, c'est inhabituel qu'il rentre chez lui alors que sa femme est à Toulon).
Pourtant, le voisin le trouvant un peu pale, lui offre un sandwich et une glace qu'il accepte. Pourquoi déjeune t-il 2 fois?
- Quand les gendarmes partent inspecter la chaufferie, ils constatent que la porte est fermée à double tour de l'extérieur, mais aussi qu'elle est fermée de l'intérieur avec une barre métallique surélevée par un chevron de bois, ainsi qu'un lit pliant (sur roulette donc) servant de renfort secondaire. Ils mettent grosso modo 20 min à venir à bout du système. Bref, comment le "vrai coupable" a t-il fait pour mettre en place tout le système de manière efficace sachant que la défense n'a jamais réussi à le reproduire de l'extérieur?
- S'il existe un moyen ingénieux de reproduire le dispositif de fermeture de Mme Marchal de l'extérieur (jamais démontré), c'est donc que le meurtre a été minutieusement calculé par une tierce personne. Pourtant, il est reproché à la scène de crime de manquer de sang pour être crédible (!). Comment le vrai coupable a t-il pu monter un dispositif de fermeture non reproductible, tout en "bâclant" la scène de crime, risquant ainsi de compromettre l'hypothétique supercherie?
- Toujours par rapport au dispositif qui aurait été installée de l'extérieur (thèse de la défense) - si ça avait été le cas , on aurait retrouvé du sang sur la poignée de la porte de la cave à l'extérieur et des traces
(mêmes microscopique) de sang derrière la porte , à l'extérieur , or il n'y en avait aucune - Les assassins étaient sur un tapis volant ?
- Au contraire, si c'est bien Mme Marchal qui s'est barricadée elle-même dans la chaufferie, pourquoi aurait-elle désigné un innocent comme son agresseur?
- Pourquoi devrait-on retrouver l'ADN d'Omar Raddad sur les traces de sang de la porte sachant que, quelle que soit le scénario de la défense ou de l'accusation, ce n'est pas Omar Raddad qui a écrit les mots?
- Pourquoi aucun témoin ne se souvient avoir croisé Omar Raddad sur son soit disant chemin du retour ? Aucun témoin n'a d'ailleurs confirmé le moindre alibi d'Omar - AUCUN....
- Pourquoi Omar Raddad (ni sa femme) ne se souviennent s'être téléphoné à 12h51 dans une cabine téléphonique, lors de ses premières auditions? Il finira par l'indiquer par écrit une semaine plus tard.
D'autre part , et c'est un des éléments les + forts selon moi :
10 ng (c'est infinitésimal) d'ADN ont été extraits du blouson que portait Raddad au moment des faits. A l"époque, les experts n'avaient pas pu les codifier. Ce serait possible aujourd'hui avec les progrès de la science en la matière. La justice s'est prononcée au plus haut niveau ainsi que la Cour Européenne des Droits de l'Homme.
Les éléments à charge sont suffisamment nombreux et ont démontré la culpabilité pleine et entière de ce meurtrier.
Pourquoi la défense ne demande-t-elle pas cette expertise , se cantonnant de rabâcher - inutilement - les ADN pouvant se trouver sur la ou les portes et le chevron qui ne pourront jamais être datés comme la cour de révision des condamnations pénales l'a précisé ? Trop dangereux pour elle : l'expertise risquerait de démontrer qu'il s'agit de l'ADN féminin... de Ghislaine Marchal !
Invité- Invité
Re: Le meurtre de Ghislaine Marchal
Ce qui serait intéressant c est de faire d autres prélèvements ADN en dehors du Sang de Mme Marchal sur les Portes ,pour voir si d autres traces ADN ont pu être déposées .
Mike ce serait bien que vous mettiez des liens pour justifier vos propos .Si de telles traces ADN existent sur les vêtements ,je m étonne que la justice ne les fasse pas analyser alors que dans le même temps pour les portes elle a demandé son ADN . A ce sujet quelle conclusion aurait t elle tiré si des traces ADN d OMAR se retrouvaient sur le chevron ainsi que sur les portes
Mike ce serait bien que vous mettiez des liens pour justifier vos propos .Si de telles traces ADN existent sur les vêtements ,je m étonne que la justice ne les fasse pas analyser alors que dans le même temps pour les portes elle a demandé son ADN . A ce sujet quelle conclusion aurait t elle tiré si des traces ADN d OMAR se retrouvaient sur le chevron ainsi que sur les portes
Gédéon
Re: Le meurtre de Ghislaine Marchal
Mike68 a écrit:Bonjour Sennheiser2 , c'est + qu'un... "faisceau de présomptions" mon ami - Voici quelques éléments , et il y en beaucoup d'autres :Sennheiser2 a écrit:A force de débat sur le fond on en occulte la forme .la réalité c'est que Raddad est condamné sur un faisceau de présomption établit sur des indices.Aucune preuve tangible ne le relie au crime,même l'éventuel mobile évoqué paraît dérisoire.On ne devrait pas pouvoir envoyer en prison un individu sur des suppositions.Je n'affirme pas qu'il est innocent, la preuve de sa culpabilité n'a put être démontré, la sentence en est l'illustration. Meurtre avec circonstances atténuantes,on croit rêver.
- Toujours par rapport au dispositif qui aurait été installée de l'extérieur (thèse de la défense) - si ça avait été le cas , on aurait retrouvé du sang sur la poignée de la porte de la cave à l'extérieur et des traces
(mêmes microscopique) de sang derrière la porte , à l'extérieur , or il n'y en avait aucune - Les assassins étaient sur un tapis volant ?
C est avec de tels arguments que vous défendez la culpabilité d Omar ,il est vrai qu Omar n a pas fermé la porte en partant . Par contre est ce qu il y avait des traces de sang sur l interrupteur ? Vous me parlez d une minuterie pour l éclairage mais pas de ces traces de sang sur l interrupteur .
Gédéon
Re: Le meurtre de Ghislaine Marchal
Gédéon a écrit:Avec les photos de votre site référence est ce que vous pouvez nous expliquer par rapport à la trace de sang mélangée aux cheveux comment était Mme Marchal pour écrire Omar
par rapport à cette trace de sang mélangé à des cheveux ce serait une trace d appuie de son front ,elle était à genoux avec le front à se niveau pas de problème sauf que pour écrire Omar elle a dû tendre son bras . Elle était bien droitière ?
Gédéon
Re: Le meurtre de Ghislaine Marchal
Gédéon a écrit:Ce qui serait intéressant c est de faire d autres prélèvements ADN en dehors du Sang de Mme Marchal sur les Portes ,pour voir si d autres traces ADN ont pu être déposées .
Mike ce serait bien que vous mettiez des liens pour justifier vos propos .Si de telles traces ADN existent sur les vêtements ,je m étonne que la justice ne les fasse pas analyser alors que dans le même temps pour les portes elle a demandé son ADN . A ce sujet quelle conclusion aurait t elle tiré si des traces ADN d OMAR se retrouvaient sur le chevron ainsi que sur les portes
Bonsoir Gédéon , mais justement , ce n'est pas..."La Justice" qui a demandé ces dernières expertises ADN , mais l'avocate d"Omar Raddad... -
Les expertises sur le blousons ne pouvaient pas être faites à l'époque parce qu'il y avait trop peu de matière à analyser - Mais ces micro gouttes de sang
pourraient amener à une identification maintenant , grâce aux progrès très important accomplis dans cette matière : le défense se garde bien de demander ces expertises , vous saisissez ?
Des liens pour justifier mes propos ? ce sont les dires de Mr Cenci , qui était Directeur d'enquête à l'époque , et qui est la personne
qui connaît le mieux le Dossier - évidemment.
Invité- Invité
Re: Le meurtre de Ghislaine Marchal
Gédéon a écrit:Gédéon a écrit:Avec les photos de votre site référence est ce que vous pouvez nous expliquer par rapport à la trace de sang mélangée aux cheveux comment était Mme Marchal pour écrire Omar
par rapport à cette trace de sang mélangé à des cheveux ce serait une trace d appuie de son front ,elle était à genoux avec le front à se niveau pas de problème sauf que pour écrire Omar elle a dû tendre son bras . Elle était bien droitière ?
Vous continuez à croire que ce n'est pas elle qui a écrit , alors qu'il a été démontré que c'était bien son écriture , et que c'est bien elle qui a tracé ces mots ???? -
J'avoue que je ne vous suis pas... - Ce que je comprends en revanche , c'est votre forte envie de voir Omar Raddad innocent , ça n'est pas le cas malheureusement.
Invité- Invité
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