Michel Fourniret 1

Kassandra88 a écrit:

Nordine a écrit:

Hagnesta Hill a écrit:

Nordine a écrit:Un mort ne parle pas.

Exactement..

J

Bonjour,

Est-ce que je suis la seule à avoir noté que la mort de Fourniret intervient précisément au moment où Karl Zéro, qui met souvent les pieds dans le plat, publie dans sa revue une enquête sur ses crimes et ses possibles liens avec d'autres ?
Une coïncidence, peut-être...

Bonjour Nordine,
Bonjour à tous.

D'abord je suis impatiente de lire ce que KZ raconte dans sa revue, commandée mais toujours pas reçue.
Ensuite, cela fait un moment qu'on savait que sa mémoire lui échappait. Ses problèmes cardiaques en plus, son décès n'est pas vraiment une surprise.
Vivant, il n'a jamais parlé que lorsqu'il était mis devant des éléments irréfutables ou pour confirmer des éléments donnés par M.O. Alors, il ne fallait pas compter sur des aveux tardifs.
Michel Fourniret , lorsque son fils le visita en prison , se mit à mimer des spasmes et s 'esclaffa de rire ensuite , lorsque son fils fit mention de son alzheimer... Michel Fourniret a avoué par lui même deux victime , Parrish et Domece et puis Boulin qui selon la presse mainstream et tout les perroquets serait un aveu farfelu , pourtant cet aveu est une mention trouvée dans ses lettres privées ...
Maintenant, pour en savoir plus sur d'autres disparitions, on ne peut plus compter que sur des scellés qui pourraient être reconnus, l'ADN et M.O

JM a écrit:

Kassandra à écrit :  

D'abord je suis impatiente de lire ce que KZ raconte dans sa revue, commandée mais toujours pas reçue.

Bonjour Kassandra,


je crois qu'on ne doit pas s'attendre à de grandes révélations, vers 13'27'':

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La journaliste de Sud radio feuilletant la revue en question:

'' En revanche sur Fourniret j'ai pas été totalement convaincue par la démonstration du fait qu'il était relié à un groupe de francs maçons. C'est pas parce qu'il habite dans le château d'un type qui était franc mac que lui même était franc mac.''

Sauf que la démonstration n 'est pas là.... D' ailleurs c 'est indéniable qu' il était proche et très intéressé par la Franc-Maçonnerie... D' abord il n ' a pas habité dans le château du Sautou , il y faisait des travaux et logé ailleurs...Toutefois il lui arrivé de loger dans la maison du gardien avec sa famille parfois...Sinon il vivait dans une caravane et une vieille barraque à côté selon la période... D' après lui l' achat du château était un investissement en vue d 'une plus value , ceci dit il est intéressant de noter que la personne qui a fait construire ce château est ancien Grand Maître du GODF , politique et tenant le principal journal des Ardennes...Pour l' anecdote la parcelle de terrain à l' intérieur du bois est de forme pyramidale ... Je ne crois pas un seul instant que Fourniret ignoré l' historique de ce Château ayant longtemps vécu à coté...

A la mort de ce monsieur , le château devint propriété de sa femme , puis elle s 'en servit vers les années 55+ pour accueillir des colonies de vacance.. Ce qui est aussi un élément à noter vu que Fourniret fait mention d 'évènements marquant dans sa vie lors d 'une colonie de vacance... Quand au lien Fourniret /Fm il se fait via son "ami philosophe" , c 'est ainsi que Fourniret le nomme , PL Deshamps qui (est) était un vénérable maître de la loge des frères unis inséparable , ce vénérable maître dit lui même que Fourniret a candidater pour être Franc Maçon dans sa loge , ce que le GODF ne dément pas ...Soit disant sa candidature n' aurait pas été retenue.... Mais avant tout Fourniret était une relation professionnel à ce monsieur  , michel Fourniret conçevait des machines spéciale .... A noter que PLD dit lui même qu' ils ont proposés de l' aide financière à son ex-femme des Yvelines lors de son incarcération dans les années 80....elle a refusée.. Puis Fourniret avait reçu une aide de 40 000  francs pour fabriquer son prototype d 'une machine à cordonnier , cet argent venait du rotary club du coin..... Fourniret fait souvent mention à la franc maçonnerie dans ses lettres privée , il se vanter d 'en être .... Alors encore une fois dans cette affaire il y aura ceux qui croient , ceux qui ne croient pas , personnellement je doute. Pour l' anecdote PLD fait ensuite carrière dans l' armée (marine)  , actuellement bien placé dans le domaine de la surveillance pour le ministère des armées...    

Lorsqu'on entends Oli Porri Santorro s'exprimant sur Lelandais vers 9'26''
'' C'est in soldat, un soldat ca reçoit des ordres. Qui les donne ?, je le trouve amusant. LOL!

J' ai trouvé cette phrase de trop aussi ,  le problème du direct je pense ...

Maintenant KZ et OPS ont des preuves. . .Wait and sée. . .Mais généralement les gens qui annoncent des révélations à venir n'ont jamais rien à dire le moment venu. Dommage.



Cordialement,

Fauvette a écrit:

Kassandra88 a écrit:Mince ...
«Une enquête a été ouverte pour 'recherches des causes de la mort', confiée au troisième district de police judiciaire», a précisé le procureur. Dans le cadre de cette enquête, une autopsie sera réalisée.
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Je ne comprends pas ... Qu'est-ce qui peut bien justifier cette autopsie ?
Il y a vraiment des initiatives aussi tordues que ceux qui les prennent ...

lily a écrit:

Kassandra88 a écrit:"MICHEL FOURNIRET M'A TIRÉ DESSUS AVEC UN FUSIL"
DIVERS
Le 21/04/2021

Sydney Cissou est un vrai miraculé. À l’époque, ce commerçant sans histoire tenait une boutique de bijoux fantaisie dans l’Yonne. Essentiellement de l’artisanat indien et africain. Une vie ordinaire, heureuse. Jusqu’à ce qu’il croise, début 1988, la route de Fourniret… L’ogre des Ardennes a alors 46 ans. Tout juste libéré de prison pour une série d’agressions sexuelles, il vient d’assassiner sa première adolescente avec l’aide de Monique Olivier. Mais le couple ne travaille pas et manque cruellement d’argent. Pour en gagner, Fourniret a un plan simple : braquer le premier venu avec sa « canardière », un vieux fusil à canon scié calibre 12… Ce sera Sydney Cissou.

J’ai rencontré ce miraculé dans sa belle villa de Rosoy (Yonne). Il m’a accueilli dans sa véranda fleurie, ornée de toiles peintes par son fils.

— Cela vous dérange si je fume ? me demande-t-il d’une voix douce, en prenant place face à moi dans un fauteuil en osier.

Sydney Cissou allume sa cigarette, avale une gorgée de café. Ses yeux fixent un temps les prairies vallonnées qui s’entremêlent devant nous, l’air pensif. A 78 ans, il n’a rien oublié de cette nuit d’horreur…

LND : Racontez-moi ce soir où votre vie a basculé.

Sydney Cissou : C’était le 20 janvier 1988, deux jours avant mon anniversaire. J’avais 45 ans. J’étais allé en région parisienne acheter des bijoux indiens pour ma boutique. Il s’agissait d’un gros fournisseur, donc j’avais mis un costard-cravate. Ce soir-là, je prends donc la route pour rentrer chez moi dans l’Yonne. Vers 20 heures, je suis pris d’une envie pressante. Je m’arrête donc sur une aire de repos de l’autoroute A6, au niveau de Nemours, en Seine-et-Marne.

Pour l' anecdote , le beau père à Fourniret avait une maison dans l' yonne à cet époque... Et sydney cissou est né à Oran mais a aussi vécu en Seine et Marne...

Rien d’inquiétant en vue sur cette aire de repos ?

C’est l’hiver, il fait déjà nuit. A part un poids lourd garé dans le fond, le parking est désert. Mais il n’y a aucun danger particulier. Je descends, je ferme ma voiture à clé et j’entre dans les toilettes.

Mais en ressortant des toilettes…

Je tombe sur un type armé ! Un fusil à canon scié dépasse de son imperméable. Il me dit : « Donne-moi ton portefeuille, ta carte bancaire et la clé de ta voiture ! » Je veux répondre, mais il ne m’en laisse pas le temps. Il m’ordonne de reculer vers un buisson plongé dans l’ombre… Je sens que c’est un psychotique, je suis terrorisé. Je vois dans son regard qu’il a l’intention de me tuer.

Que se passe-t-il ensuite ?

Il réclame à nouveau mes affaires : « Donne-moi ta veste ! ». C’est un modèle en velours avec les poches plaquées, non fermées par un rabat. Je retire donc ma veste… et je la lui lance d’un coup à la figure ! C’est un geste instinctif, parce que je suis sûr qu’il va tirer.

Et effectivement, il vous tire dessus !

La décharge m’atteint sur le haut de la cuisse droite (Sydney Cissou se touche la jambe, à l’endroit où se sont logés les plombs). Je pense que le canon de son fusil a dévié, à cause de la veste que je lui ai lancée. Heureusement…

Que fait l’agresseur après vous avoir tiré dessus ?

Je ne vois pas ce qu’il fait. Moi, je crie « Au secours » et je me mets à courir. Je suis tellement focalisé sur l’idée de me sauver que je cours sans même sentir la douleur ! J’arrive à passer la rambarde de sécurité au bord de l’autoroute et je me mets sur la bande d’arrêt d’urgence. C’est là que je me rends compte que je saigne énormément.

Vous avez alors un réflexe incroyable…

J’enlève ma cravate, je l’enroule autour de ma cuisse juste au-dessus de la blessure et je me fais un garrot avec ! C’est fou, d’habitude je ne mets jamais de cravate... sauf ce jour-là, à cause du rendez-vous avec mon fournisseur.

Vous êtes néanmoins très grièvement blessé, il vous faut de l’aide.

Je fais des signes aux véhicules qui passent, en m’appuyant sur la glissière de sécurité. Au départ, j’arrive à rester debout mais je perds beaucoup de sang, je suis de plus en plus faible… Je finis à moitié couché par terre, mais toujours conscient.

Et votre agresseur ?

Je pense qu’il est toujours là, en train de chercher ma clé de voiture. Elle a dû tomber de la poche de ma veste au moment où je l’ai lancée sur lui. Depuis la bande d’arrêt d’urgence, j’aperçois d’ailleurs les phares d’une voiture, qui entre sur l’aire de repos. Mais je la vois reculer brusquement et reprendre l’autoroute. L’agresseur a dû le menacer avec son fusil, avant de quitter lui-même les lieux.

Finalement, un poids lourd finit par s’arrêter.

Oui. Je dis au chauffeur : « On m’a tiré dessus ! ». Je vois qu’il remonte dans son camion, alors je le supplie : « Ne partez pas ! ». Mais il s’en va quand même !

Attendez, ce camionneur repart en vous laissant agoniser ?

Il doit penser que le tireur est toujours là et prendre peur. En fait il part, mais il alerte d’autres chauffeurs avec sa CB (une petite radio prisée à l’époque par les routiers pour s’échanger des informations et s’entraider pendant les trajets, ndlr). Ceux-ci ont prévenu les pompiers, qui arrivent sur place peu après.

J’imagine que vous êtes un peu soulagé…

Oui, d’ailleurs je leur lance : « Je suis content de vous voir ! ». Puis, je perds connaissance. Je ne me souviens pas de la suite.

Vous êtes en fait inconscient, au bloc opératoire, dans un état critique…

Je risque d’y passer, car mon artère fémorale est touchée. Le trou dans ma jambe est si gros que le chirurgien pourrait entrer son poing dedans ! C’est ce qu’il me dira plus tard… Ensuite, je subis cinq opérations, avec cinq anesthésies générales.

Vous restez hospitalisé longtemps ?

Je reprends en fait assez vite le travail à la boutique, mais ma femme doit m’aider car j’ai perdu beaucoup de muscles. Je dois me déplacer avec des béquilles pendant plusieurs mois, faire de la rééducation, de la kiné…

Et l’enquête n’a rien donné ?

Non. Durant cette période, je deviens parano. Je me demande : « Et s’il vient me trouver quand je rentre chez moi ? », même si le tueur ne sait pas qui je suis, puisqu’on a retrouvé ma voiture intacte sur l’aire de repos, fermée à clé telle que je l’avais laissée, avec mes papiers d’identité à l’intérieur.

A l’évidence, vous avez été ciblé au hasard.

Je le sais aujourd’hui. Mais à l’époque, j’ai une peur irrationnelle, je me demande si quelqu’un m’en veut. J’éprouve aussi une culpabilité étrange, à me dire que mon agression n’est pas un hasard. Je crois au karma, je me demande pourquoi ça m’arrive à moi. Ça m’a longtemps travaillé…

Comment apprenez-vous qu’il s’agissait en fait de Michel Fourniret ?

En 2004, seize ans plus tard, un gendarme belge téléphone à ma boutique. Il s’assure que je m’appelle bien Sydney Cissou et me demande : « Est-ce que vous avez été agressé sur une aire d’autoroute de l’A6 ? ». Je confirme. Le gendarme m’explique alors que Fourniret a avoué les faits.

En effet, le 30 juin 2004, Michel Fourniret confesse plusieurs assassinats face aux enquêteurs belges. Spontanément, il avoue aussi avoir tiré et laissé pour mort « un représentant de commerce ». Il se rappelle avoir fouillé sa veste et que celle-ci contenait « une carte de téléphone, un paquet de cigarettes et des chewing-gums ». Michel Fourniret évoque une aire de repos de l’autoroute A6 et en dessine un plan. Comme le révèle Jean-Pierre Vergès dans son livre, Les Fourniret – Meurtres à quatre mains, les enquêteurs se rendent alors sur toutes les aires de repos de l’A6, sans exception, pour les comparer au croquis ! Cinq jours de travail acharné, mais vains. Ce sont les souvenirs d’un ex-gendarme du peloton autoroutier qui permettront de remonter à la plainte de Sydney Cissou.

Pour résumer, on vous apprend alors que c’est un tueur en série qui vous a tiré dessus. Comment vous réagissez ?

Je ne sais pas… (Sydney Cissou prend une grande inspiration et tourne son regard vers la vallée. Il reste de longues secondes plongé dans ses pensées). D’une certaine manière, ça m’a soulagé, car je n’ai pas été ciblé personnellement. Je me suis juste trouvé au mauvais endroit, au mauvais moment.

En 2008, vous êtes convoqué comme témoin au procès du couple Fourniret, jugé pour sept assassinats, aux assises de Charleville-­Mézières.

Oui. C’était un procès gigantesque, avec beaucoup de monde. Pour entrer dans la salle d’audience, il fallait montrer patte blanche. Ils m’ont isolé dans la salle des témoins. L’attente a été longue, très longue… Puis on m’a appelé. J’ai aperçu Fourniret dans une cage en verre, mais je ne l’ai pas spécialement regardé. J’ai raconté mon histoire à la barre. Et j’ai dit aux magistrats que je trouvais injuste de ne pas avoir pu me constituer partie civile.

Les raisons sont uniquement juridiques. A l’époque, la prescription pour un crime était fixée à dix ans. Or, Fourniret n’a été confondu que seize ans après la tentative de meurtre. Le délai était largement dépassé.

On ne vous a jamais reconnu comme victime, à cause de cette prescription.

A croire qu’il faut être mort pour avoir de la valeur. Et puis vous savez, pour venir témoigner au procès, j’ai dû fermer ma boutique, payer l’essence et les péages jusqu’à Charleville-Mézières, payer aussi le restaurant le midi et le soir. L’Etat ne m’a dédommagé que d’une centaine d’euros…

Vous êtes en quelque sorte une victime oubliée de l’affaire Fourniret ?

J’ai en tout cas le sentiment de ne pas avoir été pris en compte.

Comment va votre jambe aujourd’hui ?

J’ai mis plusieurs années pour tout récupérer mais maintenant, je marche normalement. Je peux même faire de longues balades.

Vous évitez désormais les aires de repos sur l’autoroute ?

En pleine journée, ça va, il y a du monde. Mais la nuit, une aire déserte, c’est impossible pour moi d’y mettre les pieds…

Une enquête de Sophie Noachovitc

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J'ai longtemps pris avec mon conjoint cette sortie d'aire de Nemours (péage) pour aller voir mes parents en Essonne..!
j'y ai habité un village non loin de là de la même année!!!

Pantaphobe à écrit :

Pour l' anecdote la parcelle de terrain à l' intérieur du bois est de forme pyramidale ..

JM a écrit:

Pantaphobe à écrit :

Pour l' anecdote la parcelle de terrain à l' intérieur du bois est de forme pyramidale ..

Bonsoir Pantaphobe,

le journaliste n'aurait il pas un peu gonflé la forme triangulaire du terrain ?

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Cordialement,

JM a écrit:Bonsoir Pantophobe,

j'y vois une forme triangulaire et non pyramidale comme celle représentée ci dessous:

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]


C'est comme ca que je le comprend

Je pense que vous avez très bien compris ce que je voulais dire .... certes je me suis trompé de mot si c 'est ce qui est important pour vous



Cordialement,

JM a écrit:Bonsoir Pantophobe,

loin de moi l'idée de vous chicaner, je mettais l'accent sur la différence entre le triangle et la Pyramide pour la symbolique que représente cette dernière dans les sociétés secrètes dont il est question dans l'enquête de OPS et KZ. Ce n'est apparemment donc pas le cas ici puisqu'il s'agit d'un triangle.
L' hypothèse que la forme triangle d' une partie de la parcelle soit un clin d 'oeil au fait que Corneau ( grand maitre du godf ) a construit ce château est tout à fait envisageable, et également le fait que Fourniret le sache de son vivant.

Le triangle et la triangulation sont important en Franc-maçonnerie ...
Je vais rajouter un élément qui m' a interpellé , Annette Rennesson sa première femme est selon la presse une fille de bonne famille ...Elle est originaire de carignan tout comme George Benoni Rennesson qui devient par la suite d' un changement à l' Etat civil Georges Bernard Rennesson , Maire de Carignan .Je suppose tout simplement que l' ancien Maire de Carignan soit l' ex beau-père de Michel Fourniret ... Cette hypothèse me paraît très probable après avoir éplucher les archives disponible en ligne à ce sujet. A savoir que George Rennesson était membre du Parti radical gauche tout comme Corneau pour l' anecdote....

Si j'ai relevé cette phrase, c'est parce que je vous lis


Cordialement,

JM a écrit:En gros, KZ et OPS n'ont strictement rien que des soupçons.

Le rôle du journaliste n 'est pas de faire le travail des enquêteurs et de la justice...
Le niveau de reflexion d'OPS et KZ, c'est '' Ils ont de l'argent. . .donc ils font ca avec des gosses. . .donc Fourniret leur fournissait des victimes''
Ce n 'est pas ce qu' ils ont dit exactement ,ils disent en gros qu' a chaque fois on nous présente des mecs comme si c 'était des loups solitaire , des types sans aucune relations douteuse... bref suffit de se souvenir de dutroux , allègre , farina etc...A vous lire le doute n' est pas permis...Des infos il y en a plein d 'autres non officielle , des documents aussi , mais avec des gens comme vous on a l' impression que douter est anormal ...alors à quoi bon ...Bonne soirée
. . .Ils tentent de travestir la réalité au travers du prisme de leurs fantasmes et révèlent ainsi leur coté dégoutant.

Ces zéros ne font qu'accuser, ils sont incapables de journalisme.


Cordialement,