Désormais on sait qui il était clap 10

Je crains bien que la  série Insoupçonnable co-réalisée par le talentueux Elie soit très centrée sur l'avis de ces spécialistes qui supputent.
Un point qui me fait plaisir: elle sera diffusée sur France2.

Cet Élie se trompe lorsqu'il dit que FV est le seul tueur en série français qui ne soit pas un marginal. On a l'exemple de Marcel Barbeault qui avait une vie sociale normale, une famille, un travail stable.

217829ŦKassandra88 a écrit:Quelle est ta source mimi?

Bonjour,

Papier en date 1.10.21 (au moment de la découverte de son identité..)

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217829ŦKassandra88 a écrit:Quelle est ta source mimi?

D’autres mettent en pause leurs crimes, comme le prétendait Fourniret par exemple. Plus on avance, plus on se rend compte que la période dite blanche n'a pas été si blanche que cela.

Bonsoir Kassandra,

Plus on avance, plus on se rend compte que la période dite blanche n'a pas été si blanche que cela

Euh, en principe rien en 1988, 89, 90. En 1991, peut être une agression à Nanterre. Rien en 92, 93.
A partir de 1995 inclus, plus rien de décelé.

Bonsoir Claire,
J'évoquais la période blanche de Fourniret.

217985ŦKassandra88 a écrit:Bonsoir Claire,
J'évoquais la période blanche de Fourniret.

OUPS désolée Kassandra !!

Merci Kassandra pour cette information sur Françoise, j'ignorais qu'elle était décédée la pauvre. Je vois que tu es d'accord avec Chris. L'agresseur de Françoise n'était donc pas le Grêlé.

Pour ce qui est d'interroger ses anciens psys: bien sûr que la police l'a fait.. on ne va pas leur apprendre leur boulot.

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le grêlé traversaient deux fois par jour les cinquante bornes qui séparent son domicile de son poste
dans les Hauts-de-Seine
il traversait d'est en ouest la région parisienne

alors il connaissait donc parfaitement Mitry Mory et la ferme de VILLERAS, ce n'est pas étonnant !

218159ŦColombo a écrit:
Pour ce qui est d'interroger ses anciens psys: bien sûr que la police l'a fait.. on ne va pas leur apprendre leur boulot.

Merci pour cette info Colombo. J'aimerais beaucoup savoir ce qu'ils ont dit.

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le grêlé ambidextre !

confection de liens avec la main gauche !

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Ce n'est possiblement pas un petit détail qu'il ait pu être ambidextre. Cela pourrait être important dans certaines affaires sans ADN si les légistes ont pu établir que des coups ou usages de couteau ont été fait de la main gauche. Cela dit qu'un militaire soit habile de ses deux mains me semble une qualité assez évidente.

Sur YouTube, la France lance son appel à témoins numéro 1
À la traîne au plan international, le pôle « cold cases » vient de diffuser une vidéo pour tenter d’identifier un violeur en série. Une première encore bancale.
3 avril 2024
Épisode n° 22
Les épisodes
Texte
Thierry Lévêque
Photo
Captures d’écran « Les Jours »
Édité par
François Meurisse
Attention, roulement de tambour, le pôle « cold cases » découvre… internet. Le premier appel à témoins numérique de l’histoire judiciaire française a été présenté ce mardi à Nanterre par un aréopage d’huiles, police, gendarmerie, parquet, porte-paroles des ministères. Concernant une procédure banale depuis belle lurette à l’étranger, cette solennité est le signe que le mouvement est d’importance dans un univers frileux et engoncé dans des contraintes procédurales obsolètes. La vidéo YouTube titrée « En quête d’indices », diffusée sur les sites des ministères de la Justice et de l’Intérieur (et dans une version raccourcie sur les autres réseaux sociaux), concerne trois viols, dont les dossiers ont été regroupés dans une enquête préliminaire rouverte par le parquet du pôle, après des classements sans suite initiaux dans les parquets territoriaux. D’une durée de trois minutes et quarante secondes, le film autoproduit par les ministères présente les lieux et les faits des trois viols imputés avec certitude, du fait d’une correspondance ADN, au même auteur, baptisé le « violeur au couteau ». Les trois femmes ont été agressées en plein jour le 14 décembre 2002 à Melun, en Seine-et-Marne, le 9 décembre 2011 à Gujan-Mestras, en Gironde, et le 19 décembre 2011 à une centaine de kilomètres de là, au lac de Christus, à Saint-Paul-lès-Dax, dans les Landes. La vidéo décrit sommairement la méthode du criminel, présente son portrait-robot ainsi que le signalement donné par les victimes. Une adresse mail est fournie : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. La sérialité criminelle est un des critères de saisine du pôle de Nanterre, qui ne s’occupe pas que des tueurs ni que des affaires très anciennes.

Même une parole rapportée, même un détail qui paraît insignifiant au premier abord peut mener à la solution

« Nous ne sommes pas dans une stratégie de communication, mais sur un acte d’enquête », a pris soin de préciser lors de la conférence de presse le procureur de Nanterre, Pascal Prache. La vidéo sera versée au dossier, ainsi que l’exploitation des renseignements et des messages qu’elle va générer. Il s’agira évidemment de recueillir d’éventuels témoignages complémentaires sur les trois viols ; l’expérience montre que même après une très longue période il est toujours possible qu’ils émergent. Les enquêteurs espèrent aussi que d’autres faits oubliés ou non signalés jusqu’ici puissent remonter à la surface, tant il est difficile d’imaginer que l’auteur des viols se soit interrompu en 2002 avant de recommencer soudainement à deux reprises neuf ans plus tard, en 2011. Franck Dannerolle, patron de l’Office central de répression des violences aux personnes (OCRVP), le service de police spécialisé dans les « cold cases » (lire l’épisode 11, « Flics têtus pour causes perdues »), le martèle : « Tout est important. » Même une parole rapportée, un détail qui paraît insignifiant au premier abord peut mener à la solution. De premières expériences de renseignements recueillis à titre privé l’ont montré. Ainsi, dans le cas de la disparition d’Estelle Mouzin en 2003 en Seine-et-Marne, un témoignage parvenu à l’association créée par son père a permis de localiser le tueur en série Michel Fourniret près des lieux du crime à l’époque des faits… et a contribué à faire condamner Monique Olivier en décembre dernier, vingt ans après (lire l’épisode 19, « Monique Olivier, complicité à perpétuité avec Fourniret »).

Appel à témoins dans l’affaire du « violeur au couteau »
Extrait de la vidéo des ministères de l’Intérieur et de la Justice présentant l’appel à témoins dans le cadre de l’affaire du « violeur au couteau » — Capture d’écran Les Jours.
Bientôt seront diffusées deux nouvelles vidéos sur deux affaires à l’instruction, dont l’une, selon une source proche du dossier, concernera la disparition de Christophe Morin et la mort suspecte d’Ahmed Hamadou, survenues respectivement en 2011 et en 2012, lors du même festival electro du Fort de Tamié, à Mercury, en Savoie. Ces deux dossiers ont été reliés sans certitude aucune à Nordahl Lelandais, déjà condamné à perpétuité pour deux homicides et qui habitait dans la région au moment des faits (lire l’épisode 2, « Nordahl Lelandais, le serial suspect »). Tout reste à faire pour valider cette hypothèse floue, dépourvue d’élément concret. La recherche de témoignages auprès des milliers de festivaliers, particulièrement délicate, semble imposer le recours au numérique. Les procédures initiales très sommaires (conduites dans deux tribunaux distincts) n’ont pas exploré d’emblée l’hypothèse criminelle et ont donc laissé filer les témoins potentiels, la billetterie du festival n’étant pas nominale.

Le FBI reçoit sur une page dédiée tout renseignement susceptible d’intéresser une procédure. La police belge procède de la même manière

À vrai dire, cette méthode relève de l’évidence pour beaucoup de spécialistes de l’enquête pénale, qui s’arrachaient les cheveux depuis longtemps en voyant les autorités hésiter. Pour les plus avisés, la puissance du numérique aurait dû reléguer depuis longtemps aux musées les appels à témoins classiques lancés lors de conférences de presse ou dans les journaux locaux par les procureurs. L’impact n’a évidemment rien de commun avec une vidéo postée sur un réseau social. Interpol le fait régulièrement et a ainsi lancé récemment une campagne pour tenter d’identifier des cadavres anonymes dans toute l’Europe. Le FBI américain a une page internet baptisée « Contact us », où il se livre à une pêche au chalut pour tout renseignement susceptible d’intéresser n’importe quelle procédure. La police belge procède de la même manière, ou presque, sur une série d’affaires certes plus circonscrite mais qui va au-delà des crimes de sang ou en série. La police néerlandaise propose de signaler un crime ou de témoigner en ligne et on sait qu’elle mène des campagnes de collecte de renseignement dans les établissements pénitentiaires, où il tombe sous le sens que les détenus sont susceptibles de savoir beaucoup de choses. En France, les multiples émissions de télévision consacrées aux faits divers ont très souvent montré que le recours au public était déterminant. On sait ainsi que c’est l’émission de Jacques Pradel sur TF1 Perdu de vue, pourtant très décriée dans les années 1990, qui a provoqué l’élucidation de l’affaire des « disparues de l’Yonne » et permis de démasquer le tueur en série Émile Louis, malgré l’inertie des magistrats d’Auxerre, ainsi que l’a raconté une récente série documentaire.

Documents InterpolDocuments Interpol
Documents présentés sur la page « Operation Identify Me » d’Interpol, afin de récolter des indices dans le cadre d’enquêtes sur des meurtres non élucidés — Captures d’écran Les Jours.
Pourquoi la France a-t-elle pris autant de retard sur ce sujet crucial ? C’est d’abord une question culturelle pour un monde judiciaire qui a tendance depuis toujours à voir les médias ou même le public comme des gêneurs plus que comme de potentiels partenaires. L’idée d’appeler le monde extérieur au secours, vécue comme un aveu d’impuissance, hérisse instinctivement les magistrats et les enquêteurs français. Les règles du secret professionnel et du secret de l’instruction qui lient en théorie les mains des acteurs du système – même si le procureur a le droit de communiquer selon le Code de procédure – ont aussi joué un grand rôle dans la frilosité institutionnelle sur ce sujet. Enfin, le système judiciaire et pénal redoute historiquement la déferlante de messages farfelus ou délirants que provoque inévitablement un appel à témoins, phénomène qui sera évidemment décuplé par des vidéos vues par des millions d’internautes.

Cette initiative est une bonne nouvelle. Cette mesure appelle toutefois à faire mieux, un site internet officiel de tous les “cold cases”, avec une adresse dédiée.

Didier Seban, avocat spécialisé en « cold cases »
Et c’est là que le bât blesse dans la nouvelle procédure imaginée par les huiles du pôle de Nanterre. Pour que le système soit pleinement opérationnel, il faudrait créer une véritable page dédiée et un service enquêteur à part entière qui fasse le tri dans les messages et organise ensuite l’exploitation de ceux qui paraissent intéressants. Dans un rapport de 2021 à l’origine de la création du pôle de Nanterre (lire l’épisode 1, « Le terminus des tueurs cachés »), un groupe de travail dirigé par le magistrat Jacques Dallest avait d’ailleurs proposé de « mettre en place un site internet en accès libre recensant les affaires non élucidées et présentant les principaux éléments de faits », dans l’idée bien sûr de susciter des témoignages. Loin de cette idée, le dispositif très sommaire « En quête d’indices » est un premier pas qui n’est pas suffisant, pense l’avocat spécialisé en la matière Didier Seban, en passe de devenir la mouche du coche du pôle de Nanterre. « Cette initiative est une bonne nouvelle. Cette mesure appelle toutefois à faire mieux, un site internet officiel de tous les “cold cases”, avec une adresse dédiée. »

Affaire Perrine VigneronAffaire Perrine Vigneron
À Chelles, en Seine-et -Marne, le 2 mai 2023, près des lieux où a été retrouvé le corps de Perrine Vigneron, 7 ans, en 1987 — Photos Stephane Marcault pour Les Jours.
Cette innovation ne va au contraire concerner que certaines affaires, choisies finalement assez arbitrairement. Pourquoi le « violeur au couteau » ou les disparus du Fort de Tamié et pas le meurtrier des enfants de Grenoble dans les années 1980 (lire l’épisode 9, « Sur la piste des disparus de l’Isère ») ou celui (ceux ?) des petites filles en région parisienne il y a près de quarante ans (lire l’épisode 12, « Meurtres de petites filles en 1987 : le pôle “cold cases” cherche la lumière ») ? Questionné sur ce point, le procureur de Nanterre n’a pas livré de réponse précise.

Par ailleurs, question encore plus cruciale, qui va assurer l’exploitation des messages qui parviendront aux enquêteurs sur le « violeur au couteau » ? Interrogé lors de la conférence de presse, Franck Dannerolle a affirmé qu’un groupe d’enquêteurs serait affecté à cette tâche par roulement, mais sans recrutement nouveau (hormis un technicien). Le travail viendra donc « charger la mule » du service. Côté gendarmerie, la lieutenante-colonelle Marie-Laure Brunel-Dupin, cheffe de Diane (Division des affaires non élucidées), service de fait concurrent de l’OCRVP sur les « cold cases », va devoir assurer le même travail en interne, avec les mêmes problèmes, sur ceux de « ses » dossiers qui feront l’objet de vidéos d’appels à témoins. Et pour les messages qui seront postés sous les vidéos sur les réseaux sociaux de l’Intérieur et de la Justice, comptant plusieurs millions d’abonnés, et qui pourraient aussi contenir de précieuses informations ? Ce seront les services de communication des deux ministères qui liront et renverront éventuellement ceux qui sont intéressants aux enquêteurs, a expliqué à la presse la porte-parole de la place Beauvau, Camille Chaize. On leur souhaite par avance bon courage. Et un peu de jugeote aussi : sur YouTube, les commentaires de la toute première vidéo, celle du « violeur au couteau », sont désactivés, rendant impossible tout témoignage…

Le Grêlé : l'homme idéal était un tueur en série
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l'homme idéal était un tueur en série

il n'y a pas pire aveugle que celui ou celle qui ne veut pas voir

35 ans à croiser chaque jour des collègues policiers ou gendarmes

pourtant ils étaient nombreux durant toutes ces années

à vouloir voir, à chercher même à voir, à confondre ce criminel

ils voulaient voir, mais ils n'ont pas vu

parfois le masque du crime est trop fort

Je pense que ce n'est pas parce-qu'ils ne voyaient pas. C'est plutôt qu'ils voulaient voir un profil particulier. Ils avaient une idée préconçue de ce à quoi un tueur/violeur ressemblait.

217324ŦKassandra88 a écrit:

217322ŦColombo a écrit:

Qui se souvient de Françoise ici? Elle pensait pouvoir être une victime du Grêlé et avait témoigné ici. Ce serait bien sa savoir si, avec le recul, c'était finalement bien lui et si elle l'avait reconnu.

Françoise (son pseudo) est décédée en octobre 2018, avant que Vérove ne soit identifié.

Qu'elle repose en paix cette dame.
Je me rappelle de son histoire et de lui avoir écrit à l'époque.
j ne savais pas son décès, merci pour l'info.

222346Ŧmimi a écrit:l'homme idéal était un tueur en série

il n'y a pas pire aveugle que celui ou celle qui ne veut pas voir

35 ans à croiser chaque jour des collègues policiers ou gendarmes

pourtant ils étaient nombreux durant toutes ces années

à vouloir voir, à chercher même à voir, à confondre ce criminel

ils voulaient voir, mais ils n'ont pas vu

parfois le masque du crime est trop fort

Personne, absolument personne, dans l'univers pro de Vérove ne l'a jamais décrit comme un homme parfait. Au contraire même. Tous les témoignages sont négatifs à son sujet. Ses supérieurs à la gendarmerie le décrivent dans les dossiers comme un subalterne catastrophique. Ses collègues dans la police comme un type avec trop d'égo. Qui pouvait volontiers péter un câble....

Donc je ne comprend pas ton commentaire

Bonjour à tous,

Je reprends un peu mes notes et je lis les diverses informations de ci de là.

Je ne sais pas si vous l'avez réévoqué depuis la découverte de l'identité et du parcours de Vérove, mais je trouve qu'une potentielle disparition mérite d'être soulignée à nouveau. Celle de Jérôme CANTET. Pour rappel, ce garçon de 10 ans disparaît le samedi 14/12/1991, vers 14h30, sur le parvis de la tour Totale de la Coupole (La Défense, Courbevoie, 92), jour de passage de la flamme olympique d'Albertville à Paris et qu'il doit rejoindra sa mère pour 15h. Il ne sera jamais retrouvé, seul son skateboard étant retrouvé dans un parking.

Or, nous savons aujourd'hui qu'à cette date:
- Vérove travaille depuis 1989 comme gardien de la paix à Nanterre (92), qui est ville frontalière de Courbevoie
- Vérove vit à Châtenay-Malabry qui se situe aussi dans ce département des Hauts de Seine (92) à quelques km
- Qu'en tant que gardien de la paix, il a forcément été mobilisé pour assister au passage de flamme olympique, ou tout du moins été au courant que quasi toute la police du Dpt (et de la région) y serait mobilisé ce jour la.

Je trouve que cela, même sans aucune preuve possible puisqu'il n'y a aucun corps, est intéressant. D'autant que cela soulignerait à nouveau la possibilité de se poser la question, pour Vérove, de potentiels corps jamais retrouvés (puisque sillonnant toutes les "campagnes" d'Ile-de-France, et connaissant les techniques et endroits des forces de l'ordre pour la recherche de corps, on peut imaginer qu'il ait pu, aussi, s'en servir).

Cela ne reste que supputations et ne pourra malheureusement plus jamais être ni confirmé ni infirmé!

Intéressant!

222903ŦVas a écrit:Bonjour à tous,

Je reprends un peu mes notes et je lis les diverses informations de ci de là.

Je ne sais pas si vous l'avez réévoqué depuis la découverte de l'identité et du parcours de Vérove, mais je trouve qu'une potentielle disparition mérite d'être soulignée à nouveau. Celle de Jérôme CANTET. Pour rappel, ce garçon de 10 ans disparaît le samedi 14/12/1991, vers 14h30, sur le parvis de la tour Totale de la Coupole (La Défense, Courbevoie, 92), jour de passage de la flamme olympique d'Albertville à Paris et qu'il doit rejoindra sa mère pour 15h. Il ne sera jamais retrouvé, seul son skateboard étant retrouvé dans un parking.

Or, nous savons aujourd'hui qu'à cette date:
- Vérove travaille depuis 1989 comme gardien de la paix à Nanterre (92), qui est ville frontalière de Courbevoie
- Vérove vit à Châtenay-Malabry qui se situe aussi dans ce département des Hauts de Seine (92) à quelques km
- Qu'en tant que gardien de la paix, il a forcément été mobilisé pour assister au passage de flamme olympique, ou tout du moins été au courant que quasi toute la police du Dpt (et de la région) y serait mobilisé ce jour la.

Je trouve que cela, même sans aucune preuve possible puisqu'il n'y a aucun corps, est intéressant. D'autant que cela soulignerait à nouveau la possibilité de se poser la question, pour Vérove, de potentiels corps jamais retrouvés (puisque sillonnant toutes les "campagnes" d'Ile-de-France, et connaissant les techniques et endroits des forces de l'ordre pour la recherche de corps, on peut imaginer qu'il ait pu, aussi, s'en servir).

Cela ne reste que supputations et ne pourra malheureusement plus jamais être ni confirmé ni infirmé

Bonjour Vas,
Oui, déjà lorsqu'on ignorait qui était le grêlé, nous avions pensé à Jérôme. Sachant que Vérove avait travaillé à la garde Républicaine, l'hypothèse a encore pris du poids.
On avait évoqué Jérôme sur le fil "victimes de Vérove"?
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222941Ŧmimi a écrit:Tous les ans, quelque 70 000 personnes sortent des radars, en majorité des mineurs souvent fugueurs. Mais ils seraient 4 000 à 5 000 majeurs à s’évaporer chaque année, disparaissant volontairement sans laisser ni trace, ni adresse. Qui sont-ils ? Et qui les recherchent ? « Les Jours » lancent l’enquête.

....

@mimi,
J'ai transféré ton message ici:
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Quelques échanges:
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Jérôme Cantet pour moi c'est 50/50. Outre le fait que c'est un garçon, ce qui s'oppose à l'hypothèse FV est la difficulté de kidnapper un enfant dans un centre commercial en période de fêtes. Même si FV lui avait fait le coup du faux policier pour qu'il le suive (en l'accusant de voler dans les magasins ?) il ne serait pas passé inaperçu : un gosse qui se fait interpeller en public ça se remarque... Donc je me dis qu'il y a de fortes chances que Jérôme connaissait son agresseur et l'ait suivi volontairement, mais je peux me tromper.

Bonjour à tous,

Message destiné à Chris0706 qui snobe les personnes qui ont digressé sur les lettres qu'ont reçues Marie et Sophie à l'époque où elles ont été abordées par le grêlé (fait formellement établi).
Je l'invite à consulter ce fil de discussion
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qui regroupe tous les échanges que nous avons eus jusqu'à ce qu'on connaisse l'identité de l'auteur. Pour respecter son anonymat, ou plutôt celui de ses proches, car il est décédé brutalement, nous ne l'avons jamais révélée.