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Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
Cela fait penser à Lucas L. avec quelques années en plus. En tous cas, rien de rassurant pour cette fille... S'il avait l'habitude de conduire bourré, la thèse de l'accident peut s'expliquer.
Si cette municipalité était moins optue sur le sujet des caméras, ce pseudo accident aurait pû être filmé ; le croisement étant un carrefour important. Mais non, il faut se contenter des caméras des lieux privés et du réseau de transport pour faire avancer les multiples (contrairement à ce que disait un message précédent) problèmes qui gangrainent cette ville
oliv12
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
Sortcière
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
Merci d'avoir corrigé le lien et désolée pour le "couac". Je ne sais pas ce qu'il s'est passé. o(
Isild
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
Isild a écrit:Merci d'avoir corrigé le lien et désolée pour le "couac". Je ne sais pas ce qu'il s'est passé. o(
Pas de souci
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
[size=39]« Les filles, il ne pensait qu’à ça » : qui est Sylvain L., le principal suspect dans la disparition d’Héléna ? [/size]
Arnaud Morvan avec Didier Déniel le 07 février 2023 à 15h59[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Avant de travailler à La Base, le suspect a fait parler de lui dans d’autres établissements. (Photo de profil Facebook)
« Je l’ai viré ! Son comportement avec mes serveuses, ses vols à répétition, les embrouilles qu’il générait au sein de mon établissement, tout ça, ça n’était plus possible ! » Sous le choc en apprenant que son ancien cuisinier est soupçonné d’être impliqué dans la disparition d’Héléna Cluyou, l’étudiante infirmière dont on est sans nouvelle depuis dimanche 29 janvier 2023, cet ex-restaurateur brestois n’est pas long à dresser le portrait d’un Janus aux deux visages.
Sylvain L., 36 ans, hospitalisé entre la vie et la mort après deux tentatives de suicide, a travaillé pour lui quelques mois, à partir de janvier 2020. « Sur le plan de la cuisine, il n’y avait rien à redire. Il savait tout faire. Mais pour le reste… Sulli, comme il se faisait appeler, il était capable d’être sympa, courtois, avenant, mais aussi capable de vous embobiner en un rien de temps ! Il s’inventait des vies. Il a mis la zizanie parmi mes salariés », assène le patron. « Son truc, c’était les filles. Il ne pensait qu’à ça. Il est sorti avec une de mes serveuses. Ça s’est mal fini : il avait pris des photos intimes d’elle sans qu’elle le sache… »
Selon son ancien employeur, le cuisinier né à Toulon « allait faire son « marché » du côté des étudiantes des Beaux-Arts et de l’École de musique. Il traînait aussi pas mal dans le quartier de Saint-Martin, où il s’est plusieurs fois fait casser la figure : quand il était ivre, il était sans limite, très porté sur les jeunes femmes. Limite prédateur ».
À lire sur le sujetÀ Brest, le sentiment d’insécurité en fin de soirée reprend de l’épaisseur
Viré « pour faute grave », ledit Sulli, qui drainait « une drôle de faune au restaurant », selon son ancien patron, viendra « encore chercher une fois des noises » à son comptoir. « Je ne l’ai pas servi. La dernière fois que j’ai entendu parler de lui, c’était via un confrère de Bergerac. Sulli était parti faire la saison là-bas et, manifestement, cela se passait mal aussi… »
Avant de se retrouver en cuisine à La Base, sur le port de Brest, où il n’avait pas fait parler de lui ces derniers mois, le jeune homme qui avait multiplié les contrats dans les restaurants brestois, avait laissé à un de ses anciens collègues le souvenir d’un homme adepte des conduites à risques. « Il s’était installé à Brest il y a une dizaine d’années. Il était souriant, et il sortait pas mal. C’était ce qu’on appelle un fêtard qui buvait en soirée, mais qui consommait aussi des substances non autorisées. Il avait une vie sentimentale très décousue. Son physique faisait qu’il plaisait pas mal aux filles. Il en jouait, c’était un charmeur. Mais je ne l’imagine pas un seul instant manquer de respect ou faire du mal à quelqu’un. Dans le fond, je pense que c’est quelqu’un de sensible et de fragile. Il prenait parfois des produits qui le rendaient triste, comme dépressif ».
Cet autre collègue qui l’a bien connu, se souvient également d’un jour où son employeur était à deux doigts de mettre à la porte le jeune cuisinier. « Il était arrivé plusieurs fois en retard, parce qu’il avait fait la fête et qu’il ne s’était pas réveillé. J’ai réussi à rattraper le coup. Et il s’est bien comporté par la suite. Quand j’ai appris qu’il était soupçonné dans cette affaire, j’ai été sonné ».
Au final, Sulli est « bien connu dans le monde de la nuit », comme l’explique un salarié d’un bar brestois. « Je l’ai croisé le vendredi 20 janvier. On a passé une heure et demie ensemble à discuter et boire un coup. C’est quelqu’un de très sociable. Le profil du bon pote. Mais il a un sacré penchant pour les produits illicites qu’il consommait quotidiennement je pense. Il m’est arrivé de le réprimander là-dessus. Il pouvait aller très loin avec tout cela et l’alcool. Pas pour faire la fête, je le pense, mais pour s’extirper du monde dans lequel il vivait. Derrière son grand sourire, on sentait un mal-être ».
Arnaud Morvan avec Didier Déniel le 07 février 2023 à 15h59[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Avant de travailler à La Base, le suspect a fait parler de lui dans d’autres établissements. (Photo de profil Facebook)
« Le bon pote » ou « le prédateur » ? Le pro aux cuisines ou le très gros fêtard ? Le portrait aux deux visages de Sylvain L., alias « Sulli », soupçonné d’être impliqué dans la disparition d’Héléna Cluyou, à Brest, inquiète.
« Je l’ai viré ! Son comportement avec mes serveuses, ses vols à répétition, les embrouilles qu’il générait au sein de mon établissement, tout ça, ça n’était plus possible ! » Sous le choc en apprenant que son ancien cuisinier est soupçonné d’être impliqué dans la disparition d’Héléna Cluyou, l’étudiante infirmière dont on est sans nouvelle depuis dimanche 29 janvier 2023, cet ex-restaurateur brestois n’est pas long à dresser le portrait d’un Janus aux deux visages.
Son truc, c’était les filles. Il ne pensait qu’à ça. Il est sorti avec une de mes serveuses. Ça s’est mal fini : il avait pris des photos intimes d’elle sans qu’elle le sache…
« Quand il était ivre, il était sans limite »
Sylvain L., 36 ans, hospitalisé entre la vie et la mort après deux tentatives de suicide, a travaillé pour lui quelques mois, à partir de janvier 2020. « Sur le plan de la cuisine, il n’y avait rien à redire. Il savait tout faire. Mais pour le reste… Sulli, comme il se faisait appeler, il était capable d’être sympa, courtois, avenant, mais aussi capable de vous embobiner en un rien de temps ! Il s’inventait des vies. Il a mis la zizanie parmi mes salariés », assène le patron. « Son truc, c’était les filles. Il ne pensait qu’à ça. Il est sorti avec une de mes serveuses. Ça s’est mal fini : il avait pris des photos intimes d’elle sans qu’elle le sache… »
Selon son ancien employeur, le cuisinier né à Toulon « allait faire son « marché » du côté des étudiantes des Beaux-Arts et de l’École de musique. Il traînait aussi pas mal dans le quartier de Saint-Martin, où il s’est plusieurs fois fait casser la figure : quand il était ivre, il était sans limite, très porté sur les jeunes femmes. Limite prédateur ».
À lire sur le sujetÀ Brest, le sentiment d’insécurité en fin de soirée reprend de l’épaisseur
Viré pour faute grave
Viré « pour faute grave », ledit Sulli, qui drainait « une drôle de faune au restaurant », selon son ancien patron, viendra « encore chercher une fois des noises » à son comptoir. « Je ne l’ai pas servi. La dernière fois que j’ai entendu parler de lui, c’était via un confrère de Bergerac. Sulli était parti faire la saison là-bas et, manifestement, cela se passait mal aussi… »
Il avait une vie sentimentale très décousue. Son physique faisait qu’il plaisait pas mal aux filles. Il en jouait, c’était un charmeur.
Avant de se retrouver en cuisine à La Base, sur le port de Brest, où il n’avait pas fait parler de lui ces derniers mois, le jeune homme qui avait multiplié les contrats dans les restaurants brestois, avait laissé à un de ses anciens collègues le souvenir d’un homme adepte des conduites à risques. « Il s’était installé à Brest il y a une dizaine d’années. Il était souriant, et il sortait pas mal. C’était ce qu’on appelle un fêtard qui buvait en soirée, mais qui consommait aussi des substances non autorisées. Il avait une vie sentimentale très décousue. Son physique faisait qu’il plaisait pas mal aux filles. Il en jouait, c’était un charmeur. Mais je ne l’imagine pas un seul instant manquer de respect ou faire du mal à quelqu’un. Dans le fond, je pense que c’est quelqu’un de sensible et de fragile. Il prenait parfois des produits qui le rendaient triste, comme dépressif ».
« J’ai été sonné »
Cet autre collègue qui l’a bien connu, se souvient également d’un jour où son employeur était à deux doigts de mettre à la porte le jeune cuisinier. « Il était arrivé plusieurs fois en retard, parce qu’il avait fait la fête et qu’il ne s’était pas réveillé. J’ai réussi à rattraper le coup. Et il s’est bien comporté par la suite. Quand j’ai appris qu’il était soupçonné dans cette affaire, j’ai été sonné ».
Il a un sacré penchant pour les produits illicites qu’il consommait quotidiennement je le pense. Il m’est arrivé de le réprimander là-dessus. Il pouvait aller très loin avec tout cela et l’alcool.
Au final, Sulli est « bien connu dans le monde de la nuit », comme l’explique un salarié d’un bar brestois. « Je l’ai croisé le vendredi 20 janvier. On a passé une heure et demie ensemble à discuter et boire un coup. C’est quelqu’un de très sociable. Le profil du bon pote. Mais il a un sacré penchant pour les produits illicites qu’il consommait quotidiennement je pense. Il m’est arrivé de le réprimander là-dessus. Il pouvait aller très loin avec tout cela et l’alcool. Pas pour faire la fête, je le pense, mais pour s’extirper du monde dans lequel il vivait. Derrière son grand sourire, on sentait un mal-être ».
Merakbeta
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
« À aucun moment, vous n’avez envisagé que cette viande dans le frigo... soit votre mère ? »
Tristanduvar
Héléna Cluyou
Disparition d’Héléna à Brest : une nouvelle perquisition au domicile du suspect.
Alors que Sylvain L. est toujours entre la vie et la mort, son appartement a été à nouveau perquisitionné ce mardi. Les enquêteurs tentent de reconstituer son emploi du temps et ses déplacements dans les jours suivant la disparition de la jeune femme, le 29 janvier.
..... Simple coïncidence peut-être, Sylvain L. travaillait comme cuisinier dans un restaurant qui jouxte le One Club, la boîte de nuit fréquentée ce soir-là par Héléna et plusieurs de ses amies. En congés ce weekend du 28-29 janvier, il aurait fait « la tournée des grands ducs » le samedi soir sans passer toutefois par le One Club. « Notre équipe de sécurité le connaissait et il était persona non grata chez nous », assure Max Pellois, le gérant de l’établissement avant d’ajouter, un peu énigmatique : « c’est un personnage très bizarre »
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Alors que Sylvain L. est toujours entre la vie et la mort, son appartement a été à nouveau perquisitionné ce mardi. Les enquêteurs tentent de reconstituer son emploi du temps et ses déplacements dans les jours suivant la disparition de la jeune femme, le 29 janvier.
..... Simple coïncidence peut-être, Sylvain L. travaillait comme cuisinier dans un restaurant qui jouxte le One Club, la boîte de nuit fréquentée ce soir-là par Héléna et plusieurs de ses amies. En congés ce weekend du 28-29 janvier, il aurait fait « la tournée des grands ducs » le samedi soir sans passer toutefois par le One Club. « Notre équipe de sécurité le connaissait et il était persona non grata chez nous », assure Max Pellois, le gérant de l’établissement avant d’ajouter, un peu énigmatique : « c’est un personnage très bizarre »
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Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
De ce que j'ai lu il aurait pu inviter Héléna à la raccompagner...Kassandra88 a écrit:Merci pour l'article.
Aucune trace d'accident.
Y a t'il vraiment eu accident?
Fut un temps je rentrais facilement en stop même à ces heures là.
Je me souviens d'un jeune qui s'était arrêté pour nous conduire et j'avais discuté avec lui. Il disait qu'il aimait bien ramener les jeunes chez eux. Que c'était sa façon de passer ses samedi soir...
Une fois j'ai eu un peu peur, avec un homme d'une cinquantaine d'années.
J'avais mon laguiole dans la poche et je l'ai mentionné ( non non je n'ai pas peur j'ai mon couteau de toute façon) et c'est la dernière fois que je suis rentrée en stop.
Mais Brest, c'est quand même une ville portuaire où l'on fait beaucoup la fête jusqu'à l'excès et c'est très banal. Enfin il y a 20 ans c'était plutôt bon enfant.
Il reste encore de cet esprit campagnard ( cf les goristes, groupe brestois historique, avec son patois local) mais la ville a beaucoup changée...
Merakbeta
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
La ville a toujours été très violente même si ça n'excuse rien.
Pour l'instant le portrait qu'il lui est fait n'a rien de particulier, c'est même assez classique chez les fêtards brestois.
Mais les propos du patron du One sont très suggestifs, c'est une boîte très sérieuse niveau prévention et sécurité donc ils auront des choses à dire vu qu'ils ont l'air de bien connaître l'individu.
Le One draine toute la ville de Brest et pour avoir bossé de façon ponctuelle dans la Marina c'est courant que les employés passent la nuit dans cette boîte.
Prat Ledan est l'endroit idoine pour faire un accident mais aussi pour agresser quelqu'un (même s'il y a beaucoup de vis-à-vis).
Pour l'instant le portrait qu'il lui est fait n'a rien de particulier, c'est même assez classique chez les fêtards brestois.
Mais les propos du patron du One sont très suggestifs, c'est une boîte très sérieuse niveau prévention et sécurité donc ils auront des choses à dire vu qu'ils ont l'air de bien connaître l'individu.
Le One draine toute la ville de Brest et pour avoir bossé de façon ponctuelle dans la Marina c'est courant que les employés passent la nuit dans cette boîte.
Prat Ledan est l'endroit idoine pour faire un accident mais aussi pour agresser quelqu'un (même s'il y a beaucoup de vis-à-vis).
Association d'Aide aux Victimes des Affaires Non Élucidées
Carte des affaires non élucidées francophones
Manor
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
Kassandra88 a écrit:Merci pour l'article.
Aucune trace d'accident.
Y a t'il vraiment eu accident?
Bonjour Kass,
Pour le moment je n'interprète pas le terme "accident" comme un accident de voiture ...
Surtout sur un carrefour à près de 7h du matin ! Et bien qu'incendiée la carrosserie de sa voiture en porterait les traces de même que la chaussée. Ca prend du temps de mettre un corps inanimé dans le coffre ou même sur le siège passager. Ca se remarque en pleine ville. Il faut ramasser le sac et probablement des effets personnels de la victime. Il y a probablement un moment de sidération où on se demande quoi faire et le délit de fuite est beaucoup plus réactionnel.
Cet individu est en WE et ne bosse plus sur Brest apparemment. Son ex petite amie n'est plus chez lui même si il s'arrange ensuite pour la faire revenir rapidement. Il n'a pas envie de terminer sa virée seul au petit matin. Il cherche un lit garni ou une proie à ramener chez lui.
Je pressens plutôt un accident d'un autre style ...
Sortcière
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
Lisetoct
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
Ancien légionnaire, possède du viagra à son âge, ça reste troublant.
Manor
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
La conférence du Proc sur l'affaire Héléna :
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Le suspect n'aurait pas parlé de voiture apparemment.
Il n'aurait apporté aucune précision ni sur ce qu'était la "bêtise" ni sur ce qu'était "l'accident".
Héléna n'avait plus de batterie sur son tél si l'on en croit le garçon avec qui elle a échangé sur un banc au sortir de la boite de nuit.
Elle semble chercher un moyen de se faire raccompagner chez elle ... Il est probable qu'elle n'aura pas refusé si le suspect le lui a proposé, hélas.
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Le suspect n'aurait pas parlé de voiture apparemment.
Il n'aurait apporté aucune précision ni sur ce qu'était la "bêtise" ni sur ce qu'était "l'accident".
Héléna n'avait plus de batterie sur son tél si l'on en croit le garçon avec qui elle a échangé sur un banc au sortir de la boite de nuit.
Elle semble chercher un moyen de se faire raccompagner chez elle ... Il est probable qu'elle n'aura pas refusé si le suspect le lui a proposé, hélas.
Sortcière
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
Loin de moi l'idée de vouloir reprocher quoi que ce soit à cette malheureuse, mais en en 2023 en ville on peut appeler un Uber pour rentrer chez sois (moins cher qu'un taxi). Étrange de rentrer à pieds en pleine nuit sur une telle distance. Qui plus est en plein hiver.
Tivier
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
Tivier , elle était jeune : comment aurait-elle pu imaginer le pire?Tivier a écrit:Loin de moi l'idée de vouloir reprocher quoi que ce soit à cette malheureuse, mais en en 2023 en ville on peut appeler un Uber pour rentrer chez sois (moins cher qu'un taxi). Étrange de rentrer à pieds en pleine nuit sur une telle distance. Qui plus est en plein hiver.
Voici l'article du Nouveau Détective :
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Lisetoct
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
Tivier a écrit:Loin de moi l'idée de vouloir reprocher quoi que ce soit à cette malheureuse, mais en en 2023 en ville on peut appeler un Uber pour rentrer chez sois (moins cher qu'un taxi). Étrange de rentrer à pieds en pleine nuit sur une telle distance. Qui plus est en plein hiver.
On peut aussi tomber sur un faux taxi:
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Souviens toi aussi de Bruno Cholet.
Et puis Héléna n'avait plus de batterie.
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
Merci Kassandra.Kassandra88 a écrit:Tivier a écrit:Loin de moi l'idée de vouloir reprocher quoi que ce soit à cette malheureuse, mais en en 2023 en ville on peut appeler un Uber pour rentrer chez sois (moins cher qu'un taxi). Étrange de rentrer à pieds en pleine nuit sur une telle distance. Qui plus est en plein hiver.
On peut aussi tomber sur un faux taxi:
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Souviens toi aussi de Bruno Cholet.
Et puis Héléna n'avait plus de batterie.
Lisetoct
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
Kassandra88 a écrit:Tivier a écrit:Loin de moi l'idée de vouloir reprocher quoi que ce soit à cette malheureuse, mais en en 2023 en ville on peut appeler un Uber pour rentrer chez sois (moins cher qu'un taxi). Étrange de rentrer à pieds en pleine nuit sur une telle distance. Qui plus est en plein hiver.
On peut aussi tomber sur un faux taxi:
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Souviens toi aussi de Bruno Cholet.
Et puis Héléna n'avait plus de batterie.
Bonjour Kassandra,
Mais elle n'était pas seule en boite, elle aurait pu demander à son amie d'en commander un pour elle. Effectivement des faux taxis ça existe, suffit d'aller dans n'importe quel aéroport pour s'en rendre compte.
Bonjour Lisetoct,
Elle avait 21 ans si je ne m'abuse. Évidemment que personne n'imagine qu'un drame pareil puisse vous arriver. D'un autre côté nous avons tous des réflexes de bon sens en principe. Réflexes qui peuvent éviter des drames.
Comme je le disais loin de moi l'idée de lui reprocher quoi que ce soit naturellement, juste une interrogation.
Tivier
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
On constate quand même que le jeune homme avec qui Héléna échange sur un banc au sortir de la boite de nuit attend que sa mère passe le chercher. Les deux amies d'Héléna sont récupérées par la mère de l'une d'elle 1h avant la fermeture et il était prévu qu'elle soit récupérée et raccompagnée en même temps. On lui a proposé la navette escortée par deux clients ai-je lu (elle était retournée dans la boite de nuit après en être sortie une première fois pour tenter de recharger son tél).
Ca craint quand même ... les gens semblent prendre des précautions. Mauvais concours de circonstances ce tél déchargé ... Pas de cafés ouverts dans le coin où elle aurait pu se poser au chaud le temps de recharger suffisamment son tél et joindre une personne de confiance pour expliquer sa situation ?
Je me suis demandée pourquoi elle a pris le risque de perdre le moyen de retour mis en place avec la mère d'une de ses amies ? Pour 1h de plus à faire la fête ? Parce qu'elle espérait la venue de quelqu'un ? Parce qu'un garçon toujours présent lui avait tapé dans l'oeil ? Quel drame cette histoire ! L'insécurité n'est plus un sentiment mais une réalité ...
Ca craint quand même ... les gens semblent prendre des précautions. Mauvais concours de circonstances ce tél déchargé ... Pas de cafés ouverts dans le coin où elle aurait pu se poser au chaud le temps de recharger suffisamment son tél et joindre une personne de confiance pour expliquer sa situation ?
Je me suis demandée pourquoi elle a pris le risque de perdre le moyen de retour mis en place avec la mère d'une de ses amies ? Pour 1h de plus à faire la fête ? Parce qu'elle espérait la venue de quelqu'un ? Parce qu'un garçon toujours présent lui avait tapé dans l'oeil ? Quel drame cette histoire ! L'insécurité n'est plus un sentiment mais une réalité ...
Sortcière
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
Bonsoir Tivier,
En bref, on ne peut accuser pas les victimes, des femmes d'avoir été trop naïves . Cela c'est dû au fait d'être une femme : on est différentes des hommes. Et on est trop souvent leurs victimes .
En bref, on ne peut accuser pas les victimes, des femmes d'avoir été trop naïves . Cela c'est dû au fait d'être une femme : on est différentes des hommes. Et on est trop souvent leurs victimes .
Lisetoct
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
Faut voir la municipalité de Brest qui refuse les caméras, qui refuse d'assurer la sécurité de ses citoyens .Sortcière a écrit:On constate quand même que le jeune homme avec qui Héléna échange sur un banc au sortir de la boite de nuit attend que sa mère passe le chercher. Les deux amies d'Héléna sont récupérées par la mère de l'une d'elle 1h avant la fermeture et il était prévu qu'elle soit récupérée et raccompagnée en même temps. On lui a proposé la navette escortée par deux clients ai-je lu (elle était retournée dans la boite de nuit après en être sortie une première fois pour tenter de recharger son tél).
Ca craint quand même ... les gens semblent prendre des précautions. Mauvais concours de circonstances ce tél déchargé ... Pas de cafés ouverts dans le coin où elle aurait pu se poser au chaud le temps de recharger suffisamment son tél et joindre une personne de confiance pour expliquer sa situation ?
Je me suis demandée pourquoi elle a pris le risque de perdre le moyen de retour mis en place avec la mère d'une de ses amies ? Pour 1h de plus à faire la fête ? Parce qu'elle espérait la venue de quelqu'un ? Parce qu'un garçon toujours présent lui avait tapé dans l'oeil ? Quel drame cette histoire ! L'insécurité n'est plus un sentiment mais une réalité ...
A Tonneins , même si le meurtre de Vanesa n'a pu être empêché, grâce aux caméras on a pu identifier le tueur en quelques heures et
le mettre hors d'état de nuire une fois de plus.
Dernière édition par Lisetoct le Mer 8 Fév - 20:10, édité 1 fois
Lisetoct
Re: Disparitions récentes ou plus anciennes. 2
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Tivier a écrit:Loin de moi l'idée de vouloir reprocher quoi que ce soit à cette malheureuse, mais en en 2023 en ville on peut appeler un Uber pour rentrer chez sois (moins cher qu'un taxi). Étrange de rentrer à pieds en pleine nuit sur une telle distance. Qui plus est en plein hiver.
Merakbeta
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