Viols, agressions sexuels, harcèlement et tous faits sexuels commis sur des adultes

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Le procès de Dominique et de ses 50 co-accusés se tiendra en septembre prochain à Avignon.

Ca peut aller jusqu'aux meurtres de masse ... une bande de tarés frustrés qui s'en prennent aux femmes.

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80e anniversaire du Débarquement : Le tabou brisé des viols de Françaises par des « GI » américains
LE CÔTÉ SOMBRE DE L’HISTOIRE•A l’heure où l’on célèbre les 80 ans du Débarquement des troupes alliées sur les côtes normandes, des histoires bien plus tristes refont surface. Celles des Françaises violées par des « GI » américains dans leur toute-puissance

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« Toi sale PD, t’es un trans. » Le jeune homme de 19 ans est ensuite frappé à l’arcade gauche par un coup de poing. Des violences physiques confirmées par un témoin et des images de vidéosurveillance. Immédiatement après cette agression, les quatre militants de l’ultra-droite prennent la fuite dans les rues de Paris.
...
La victime téléphone rapidement à la police...Les quatre militants d’extrême droite interpellés ont été placés en garde à vue après quelques heures en cellule de dégrisement. La victime des coups a déposé plainte.

« L’attitude des personnes en garde à vue a consisté en des revendications paramilitaires et d’affiliation au GUD et au Rassemblement national », souligne le parquet de Paris. Les quatre suspects sont jugés ce mercredi en comparution immédiate. Deux d’entre eux pour des « violences commises en raison de l’orientation sexuelle ». Les deux autres, dont Gabriel Loustau, sont prévenus de « non-assistance à personne en danger ».
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Ces individus ne sont pas uniquement préoccupés par les problèmes d'immigration.

Londres: Condamné à 4 ans de prison pour avoir retiré son préservatif sans le consentement de sa partenaire.
Cette pratique, appelée “stealthing” est considérée comme un viol. Le “stealthing” est condamnable en Californie, en Suisse, au Canada et au Royaume-Uni. En Belgique, il entre également “dans le champ d’application de l’infraction de viol”.
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Rugby : cinq joueurs du Top 14 jugés aux Assises pour le viol en réunion d’une étudiante

Cinq rugbymen, anciens joueurs de Grenoble, comparaissent devant les assises à partir de lundi à Bordeaux pour une affaire de viol en réunion sur une étudiante lors d’un après-match de Top 14 très alcoolisé en 2017.
17/06/24
Le procès aux assises de cinq rugbymen, anciens joueurs de Grenoble jugés à Bordeaux dans une affaire de viol en réunion sur une étudiante, a été renvoyé lundi en l’absence d’un des accusés blessé dans un accident. La cour a fait droit à la demande de la défense de l’Irlandais Denis Coulson, victime d’un accident de la circulation le 12 juin et dans l’incapacité de voyager.
Dans cette affaire sordide, trois hommes sont jugés pour viol en réunion, deux autres pour non-empêchement de crime. Les mis en cause plaident le «consentement» de la victime, alors âgée de 20 ans. La cour d’assises de la Gironde doit se pencher sur les faits survenus en mars 2017 dans un hôtel de Mérignac, dans la banlieue bordelaise, après un match entre l’Union Bordeaux-Bègles et le FC Grenoble. Lors d’une «troisième mi-temps» festive, des joueurs grenoblois avaient croisé la route de plusieurs jeunes femmes avant de revenir à l’hôtel avec la plaignante, V., elle-même très alcoolisée.

Quelques heures plus tard, cette dernière disait reprendre ses esprits nue sur un lit, avec une béquille dans le vagin, entourée de deux hommes nus et d’autres habillés. En larmes, elle avait aussitôt dit avoir été victime d’une agression. «Ce n’est pas le procès de rugbymen violeurs, c’est le procès de l’alcool. Tous ces jeunes qui picolent à s’en mettre dans des états pas possibles, voilà la problématique de ce dossier», veut croire Me Corinne Dreyfus-Schmidt, avocate de l’Irlandais Denis Coulson.
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Qu’est-il arrivé à cette jeune touriste anglaise pendant la nuit de la fête de la musique ? Samedi 22 juin, vers 7h, une jeune femme a été retrouvée en larmes dans le quartier de Châtelet-les-Halles (Paris 1er) au niveau d’une rue piétonne, a appris Le Figaro de source policière. Alcoolisée, elle tenait sa culotte à la main.

Selon nos informations, la jeune femme qui était sortie à l’occasion de la fête de la musique a expliqué avoir été violée par plusieurs individus et s’être fait voler son téléphone portable. Très choquée, elle a été prise en charge par les sapeurs-pompiers puis transportée à l’hôpital Cochin. Le 1er district de police judiciaire (1er DPJ) est chargé des investigations.

En 2023, la préfecture de police de Paris avait enregistré 93 viols commis sur la voie publique et lieux assimilés (bois, jardins publics, etc...) dans la capitale, contre 92 en 2022.
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Encore une belle publicité pour notre "belle" ville de Paris, à un mois de l'ouverture des Jeux Olympiques.  

Paris la nuit c'est quelque chose après 23 heures... avec son lot de camers, de marginaux qui battent le pavé, de pickpockets, de pervers.

La cour des miracles.

Le journal Britannique, DailyMail, a pondu un papier sur le viol de sa ressortissante anglaise en France.
Les enquêteurs craignent que les violeurs aient filmé leur sale besogne. Glauque au possible.

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Il y a eu un viol collectif similaire lors de la Fête de la Musique en 2021, lorsqu'une femme a été encerclée dans une rue proche des Champs Élysées.

Paris ville lumière, à ce qu'il paraît.

Hauts-de-Seine : un homme sous OQTF séquestre une secrétaire médicale avec des ciseaux, et tente de la violer
L’individu, de nationalité algérienne, a déshabillé la jeune femme qui serait née en 2000. La victime présentait une plaie à la gorge, selon nos informations.
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Que fait cet individu encore en France ?
À quoi bon mettre des OQTF, si celle-ci ne sont pas appliquées rigoureusement ? Encore un drame qui aurait pu être évité, comme avec Lola Daviet.

Encore une fois, une justice aux abonnés absents sur les sujets sécuritaires.
Peu importe qui sera le futur Premier ministre, il aura du pain sur la planche pour remettre de l'ordre dans ce pays qui se tiers-mondise.

234916ŦTristanduvar a écrit:

Que fait cet individu encore en France ?
À quoi bon mettre des OQTF, si celle-ci ne sont pas appliquées rigoureusement ?

Tout à fait d’accord Tristan!!!

Suspicion de viol d’une mineure ukrainienne à Meaux, par un migrant algérien sous OQTF, déjà connu pour des faits similaires. Voici le communiqué du parquet de Meaux:

"Des informations ayant été portées à la connaissance de certains médias de manière inopportunément prématuré, le procureur de la République près le tribunal judiciaire de Meaux confirme l’ouverture d’une enquête en flagrance du chef de viol confiée au service interdépartemental de police judiciaire de Seine-et-Marne.

Ladite enquête est diligentée à raison de la plainte déposée par une jeune fille née en Ukraine en 2009 qui déclare avoir été, au cours de la journée du 27 juin 2024, emmenée de force dans son logement par un homme rencontré dans les rues et avoir été victime d’un viol. Elle indique être parvenue à quitter les lieux tandis que son agresseur se douchait.

Ce dernier, déjà condamné notamment pour des faits d’agression sexuelle et frappé d’une O.Q.T.F, a été interpellé et se trouve actuellement en garde à vue.

Il sera déféré demain au parquet de Meaux en vue de l’ouverture d’une information judiciaire du chef de viol. Le parquet requerra son placement en détention provisoire."

Amaury Bucco journaliste Cnews.

235118ŦDiane a écrit:
[..]
Ladite enquête est diligentée à raison de la plainte déposée par une jeune fille née en Ukraine en 2009 qui déclare avoir été, au cours de la journée du 27 juin 2024, emmenée de force dans son logement par un homme rencontré dans les rues et avoir été victime d’un viol. Elle indique être parvenue à quitter les lieux tandis que son agresseur se douchait.
[..]
Il sera déféré demain au parquet de Meaux en vue de l’ouverture d’une information judiciaire du chef de viol. Le parquet requerra son placement en détention provisoire."

Amaury Bucco journaliste Cnews.

Bonsoir à tou(te)s

À 14 ans, on n’est pas une adulte, ce post est- il dans le bon topic? ( je dis cela, je dis rien, juste une question)

Les faits se seraient passés hier donc, sur une jeune fille de 14 ans et déjà demain samedi au parquet!

Une telle célérité est bien rare… tant mieux pour cette jf mais tant pis pour les autres qui doivent parfois attendre plusieurs mois

Ps: un lien vers l’article serait le bienvenu

Deux joueurs du XV de France accusés d’agression sexuelle et arrêtés en Argentine.

Cette histoire intervient au lendemain de l’affaire Melvyn Jaminet, écarté du groupe après des propos racistes tenus dans une vidéo publiée dimanche et dont il s’est dit « honteux ». « Ma daronne qui me demande si j’ai fait la fête [il souffle]. Je te jure le premier Arabe que je croise sur la route je lui mets un coup de casque », déclare, visiblement énervé, le joueur (25 ans, vingt sélections), qui se filme lui-même dans cette courte vidéo non datée, postée sur Instagram et depuis supprimée.

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XV de France : le parquet évoque des « lésions compatibles » avec le récit de la victime présumée
Alors que la défense des deux joueurs du XV de France Oscar Jegou et Hugo Auradou s’organise, des précisions sont apportées par le ministère public sur les examens pratiqués sur la jeune fille qui les accuse d’abus sexuel aggravé.

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« Des traces de coups, de morsure, de griffures », dénonce l’avocate de la victime présumée des rugbymen français
L’avocate de la femme ayant porté plainte contre les deux Français Oscar Jegou et Hugo Auradou donne des détails sur le calvaire vécu par sa cliente, victime présumée d’une agression sexuelle aggravée, dans la nuit de samedi à dimanche.

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« Un niveau d’alcool anormalement élevé » : des témoins racontent la nuit du XV de France à Mendoza
La révélation de l’arrestation d’Oscar Jegou et Hugo Auradou dans une affaire de viol présumé a causé la stupeur dans cette ville de l’ouest de l’Argentine. Récit d’une soirée d’après-match qui a tourné au fait divers.

Que s’est-il passé dans la nuit de samedi à dimanche dernier dans le huis clos de cette chambre de l’hôtel Diplomatic de Mendoza que partageaient Oscar Jegou (21 ans) et Hugo Auradou (20 ans) ? La justice le déterminera et c’est tout l’enjeu des prochains jours, des prochaines semaines voire des prochains mois, alors que les deux jeunes joueurs du XV de France sont attendus ce jeudi soir dans cette paisible et charmante ville d’Argentine, située à un millier de kilomètres de la capitale Buenos Aires. Leur transfert prévu ce mercredi a en effet été retardé pour des raisons logistiques.

Mardi, au pied de la cordillère des Andes, sous un ciel bleu et huit petits degrés, la présence récente des joueurs de rugby français n’était déjà plus le sujet de discussion numéro 1 de la population locale, affairée à profiter du jour férié en l’honneur de l’indépendance du pays, célébrée chaque 9 juillet, et dans l’attente de la demi-finale de la Copa América. La victoire de la bande à Lionel Messi dans la soirée face au Canada (2-0) a d’ailleurs fait résonner les klaxons jusque tard dans la nuit.

Pourtant, aux alentours du Diplomatic, cette tour de luxe cinq étoiles où était hébergée la délégation tricolore, les visages trahissent la stupeur et l’effroi à l’écoute des faits particulièrement graves reprochés au deuxième ligne de Pau Hugo Auradou et au troisième ligne de La Rochelle Oscar Jegou, visés par une plainte déposée par une femme pour « abus sexuel aggravé ».

Contactée, la direction de l’établissement n’a pas donné suite à nos sollicitations. Le personnel est lui aussi resté muet, manifestement embarrassé par l’afflux soudain de journalistes dans le hall froid et majestueux de l’immeuble.

Le staff dans un resto de viandes, les joueurs dans un bar
Arrêtés lundi à Buenos Aires, où ils ont passé deux nuits en détention, les deux internationaux français ― que leur avocat dit « très inquiets et effrayés, ce n’est pas simple d’être détenu dans une prison en Argentine sans parler espagnol » ― ont effectué un long transfert par voie terrestre ce mercredi. Plus de dix heures de route pendant lesquelles ils auront eu tout le temps de reconstituer le fil d’une nuit tragique.

Direction le paseo Arístides, la très longue « rue de la soif » menant jusqu’au sublime parc San Martin. Après la victoire contre les Pumas (28-13), pendant laquelle Auradou et Jegou ont fêté leur première sélection, staff et joueurs investissent ce quartier festif. Pendant que les joueurs descendent leurs premiers verres, le staff de Fabien Galthié déguste de délicieuses grillades accompagnées de malbec (vin rouge) à « La Rosadita ». Le personnel de cette fameuse parrilla (restaurant de viandes) repart avec quelques photos souvenirs ― en compagnie notamment de William Servat et Patrick Arlettaz ― et deux tee-shirts siglés FFR. L’encadrement technique des Bleus ne se doute pas encore de ce qui l’attend le lendemain.

Les joueurs du XV de France, dont les gabarits ne passent pas inaperçus, se retrouvent eux dans la petite cour intérieure du « Beerlin », un bar populaire où la succession de tables en bois et les branches tombant du plafond donnent à l’endroit des airs de jardin.

« Ils sont arrivés vers 23 heures et sont partis vers 1h-1h30 du matin », affirme Guadalupe Torres, la serveuse des rugbymen ce soir-là, qui a accepté de témoigner en dévoilant son nom. La jeune employée, originaire de Buenos Aires, est catégorique : « Il n’y avait aucune femme avec eux quand ils sont tous repartis. Mais ils avaient un niveau d’alcool anormalement élevé. On n’est pas habitués à ça ici, où il peut y avoir des jeunes comme des familles. C’est plutôt tranquille en général. »

Jegou « la bouche en sang », Jaminet seul au bar
Alors que ses collègues confirment la présence des Français, elle décrit des joueurs « debout sur les bancs pour danser » au rythme des musiques jouées par le DJ, « beaucoup d’alcool fort » en plus des bières, avec « du Fernet (un cocktail à base de Fernet-Branca, un apéritif européen du XIXe), des gin Tonics, des Cuba libre, du whisky ». Elle ne risque pas non plus d’oublier ce joueur sorti des toilettes « en vomissant sur le sol » mais souligne qu’il n’y a eu « aucune parole ni aucun geste irrespectueux envers les membres du personnel » du bar.

Elle regarde les photos des joueurs du XV de France, car elle assure « toujours (se) souvenir de chaque client », et pointe le doigt sur le visage d’Oscar Jegou. « Lui, il a fini la bouche en sang car il a cassé un verre et a continué à boire dedans, poursuit la jeune femme, formelle. J’ai dit au groupe que ce n’était pas possible de faire ça car c’était dangereux et ils sont donc partis. »

Tous sauf Melvyn Jaminet, resté boire seul, selon elle. Est-ce sur le chemin du retour que le joueur de Toulon se filme avec son téléphone portable, dans un état manifestement second, tenant des propos racistes ? Une vidéo diffusée ensuite sur les réseaux sociaux qui, si elle a été vite supprimée, a placé le XV de France dans une première tourmente et conduit au renvoi en France de l’arrière international.

« Ils se sont connus dans une boîte de nuit vers 4h30-5h »
Où est allé le reste du groupe ? C’est une question à cette heure-ci sans réponse. Les éléments indiquant le lieu où plusieurs joueurs ont poursuivi la fête « ne figurent pas encore au dossier judiciaire », a fait savoir le porte-parole du parquet de Mendoza, Martín Ahumada. L’avocat argentin des deux joueurs accusés, Rafael Cuneo Libarona, n’en sait pas plus sur l’état d’ébriété avancé de ses clients lors de cette soirée. « Je n’ai pas cette information », nous a-t-il confié ce mercredi matin, avant de prendre un vol pour Mendoza.

« Hugo (Auradou) est rentré le premier à l’hôtel avec cette femme qu’il a rencontrée dans une boîte de nuit où il était parti danser », précise l’avocat, qui évoque la présence d’un autre joueur (qui n’est pas Jegou) lui aussi en compagnie d’une femme. À ce stade déjà avancé de la soirée, puisqu’il est bientôt 5 heures du matin, cette version diffère de celle de Natacha Romano, l’avocate de la plaignante qui assure que celle-ci est rentrée avec Jegou. « Ils se sont connus dans une boîte de nuit vers 4h30-5 heures du matin puis sont retournés ensemble dans un hôtel du centre-ville de Mendoza », explique-t-elle à ce propos.

L’avocat des joueurs évoque, de son côté, « une relation sexuelle consentie » entre Auradou et la plaignante avant le retour dans la chambre d’hôtel de Jegou. « Oscar est rentré plus tard et est allé dormir dans le second lit. Il n’a pas participé à l’acte sexuel avec eux. Ensuite, j’ignore pourquoi, elle a pris la décision de changer de lit. Mais je ne sais pas encore bien s’il y a eu également une relation sexuelle avec Oscar. Je ne peux pas le confirmer », affirme Rafael Cuneo Libarona.

« Des traces de coups, de morsure, de griffures »
Natacha Romano, elle, livre le récit d’un calvaire vécu par sa cliente, une trentenaire de nationalité argentine issue d’une famille d’avocats. Au site du journal argentin Clarin, elle explique que sa cliente a tenté à cinq reprises de s’enfuir de la chambre, à chaque fois empêchée par un joueur français. « Les faits se sont passés dimanche entre 5 heures et 8h30 du matin, raconte l’avocate au Parisien-Aujourd’hui en France. Le jour même, ma cliente a porté plainte aux alentours de 19h50. »

« Immédiatement, elle a été transférée vers un médecin légiste afin de constater les blessures physiques. Elle a passé de nombreux tests, qui se sont terminés vers 1 heure du matin, avant d’être transférée à l’hôpital Luis Lagomaggiore à Mendoza. Sur la base de ces preuves, le parquet a ordonné l’arrestation des deux joueurs », poursuit-elle.

Natacha Romano révèle que sa cliente est « dévastée psychologiquement » et marquée dans sa chair. « Physiquement, elle aura besoin de plusieurs jours pour s’en remettre. La chose la plus grave qui a été constatée est un hématome au niveau de l’œil, la conséquence d’un coup de poing, dit-elle. Il y a aussi des traces de coups au visage, au menton, sur la poitrine, les fesses, le dos, des traces de morsure, de griffures, des coups au niveau des jambes. Plus de huit prélèvements ont été effectués pour déterminer s’il y a eu un abus sexuel par pénétration. On attend les résultats. »

Quelles suites désormais pour Jegou et Auradou ?
Ceux-ci, conjugués à l’expertise médico-légale avec prélèvements d’ADN auxquels seront soumis les deux joueurs à Mendoza, permettront sans doute à la justice d’y voir plus clair.

« Selon les éléments recueillis, ils seront soit remis en liberté soit placés en détention provisoire le temps de l’enquête, jusqu’à la tenue d’un éventuel procès, indique-t-on au ministère public de la cité andine. Ils ne pourront donc pas quitter le pays. Si les résultats correspondent au récit de la victime présumée, ils seront alors inculpés de délit sexuel avec pénétration, ce qu’on appelle en langage courant un viol. Il s’agirait d’un délit aggravé car réalisé en réunion, par deux personnes. » S’ils sont avérés, les faits sont passibles d’une peine de huit à vingt ans de prison.

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Joueurs du XV de France accusés de violences sexuelles : les dernières révélations de l’avocate de la victime
Dans un entretien à l’AFP, Me Natacha Romano apporte des précisions sur le déroulé des faits présumés. Elle explique que c’est bien Hugo Auradou, et non Oscar Jegou comme évoqué dans un premier temps, qui serait rentré en premier à l’hôtel avec la plaignante.

L’avocat des deux rugbymen, Me Rafael Cuneo Libarona, nie les accusations et affirme que ces relations sexuelles étaient « consenties ». La plaignante « prétend avoir été battue, les caméras (de surveillance de l’hôtel) disent qu’elle ne l’a pas été », a-t-il aussi déclaré. Voici les réponses de Me Natacha Romano aux questions de l’AFP.

Comment se sont déroulés les faits présumés ?
Tout a commencé vers 04h30 du matin dans une boîte de nuit de Mendoza.
La suite ici ... horrible!

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Joueurs du XV de France accusés de violences sexuelles:

La victime présumée de 39 ans souffre « d’une décompensation générale du corps suite à tout ce qui s’est passé et est hospitalisée »
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Mis en examen pour viol aggravé et maintenus en détention, Jégou et Auradou face à la justice argentine
Les deux rugbymen français ont été mis en examen pour viol aggravé, ce vendredi, à Mendoza (Argentine), au cours d’une nouvelle journée de grande cacophonie. Ils sont maintenus en détention provisoire. Place à l’enquête, avant un éventuel procès dans plusieurs mois.

Au moment où l’avocate va prendre la parole, le parquet local publie un bref communiqué : à la suite d’une audience tenue dans la matinée, les deux joueurs sont formellement inculpés pour « abus sexuel avec pénétration, aggravé par la participation de deux personnes ». Le texte précise qu’ils « restent en détention » à Mendoza pendant l’étude de la demande de placement en résidence surveillée déposée par la défense.

« Nous avons demandé à ce qu’ils restent en détention provisoire », insiste Natacha Romano, l’avocate de la plaignante. Les deux internationaux ne sont pas près de revenir en France, et la famille de l’un des deux joueurs doit d’ailleurs arriver ce samedi en Argentine. « Un éventuel procès, après enquête, débuterait d’ici à six mois ou un an », explique une source judiciaire.

Après plusieurs jours scandés par des révélations médiatiques incessantes, cette mise en examen marque le vrai début du processus judiciaire. Elle permet aux avocats de la défense un accès complet au dossier, auquel de nouveaux éléments seront apportés ces prochains jours. Les faits, s’ils sont reconnus, sont passibles de huit à vingt ans de prison. Hugo Auradou « aurait eu une participation plus active » dans ces viols présumés, selon Mauricio Cardello, l’un des avocats de la plaignante. « Mais les peines encourues sont les mêmes », précise une source judiciaire.

Les deux Français, accompagnés d’un traducteur durant l’audience, ont refusé de prendre la parole mais le feront « sûrement au cours de la semaine prochaine » d’après German Hnatow, l’un de leurs avocats. « Ils sont tranquilles car ils se savent innocents, mais préoccupés par la situation », ajoute-t-il. Ces derniers jours, Natacha Romano avait livré un récit terrifiant des violences présumées subies par sa cliente lors de cette sinistre soirée, évoquant « un hématome au niveau de l’œil, des traces de coups au visage, au menton, sur la poitrine, les fesses, le dos, des traces de morsure, de griffures, de coups au niveau des jambes ».

L’accusation pointe « un manque d’empathie »
Une version remise en cause par Rafael Cúneo Libarona ces derniers jours. Ce vendredi matin, l’avocat des Français n’a pas participé à l’audience car « il a dû voyager en urgence à Buenos Aires et sera de retour à Mendoza ces prochains jours pour continuer à collaborer avec la défense », fait savoir German Hnatow.

L’accusation pointe « un manque d’empathie » à la suite de la conférence de presse tenue la veille par Me Cúneo Libarona, qui avait remis en cause de manière agressive la version de la plaignante. « S’il y a eu des coups, des viols, des habits déchirés, est-ce que les voisins de chambre n’auraient pas entendu quelque chose ? » avait-il notamment interrogé. Natacha Romano s’émeut d’une « perspective de genre archaïque » et se dit « interpellée par la tranquillité avec laquelle les joueurs ont écouté les faits qui leur sont reprochés » durant l’audience.

La victime présumée, hospitalisée depuis jeudi en raison d’une « décompensation générale du corps » à la suite des événements qui se seraient déroulés à Mendoza, est toujours en observation, « sous médicaments », et bénéficie d’une assistance psychologique. Elle pourrait sortir ce samedi. « La mise en examen lui a apporté un peu de tranquillité », assure Natacha Romano.
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« Il aime la lumière » : qui est Rafael Cuneo Libarona, l’avocat des rugbymen Oscar Jegou et Hugo Auradou ?
Ancien joueur de rugby et fan de sport, l’avocat des deux joueurs du XV de France mis en examen pour viol aggravé en Argentine, est connu pour son goût des caméras. Il est aussi le frère de l’actuel ministre de la Justice du gouvernement d’extrême droite et masculiniste de Javier Milei.

Les quelques journalistes présents dans le hall du ministère public de Mendoza (Argentine) ont assisté à un étonnant show, ce jeudi. Après s’être entretenu avec deux employés du parquet, Rafael Cúneo Libarona s’est exprimé pendant quarante minutes devant des médias qui n’en espéraient pas tant, alors qu’il avait déjà pris la parole à de nombreuses reprises ces derniers jours et n’avait pas encore eu accès au dossier judiciaire. Ce vendredi, il n’a pas assisté à l’audience. German Hnatow, l’un des avocats de la défense, qui a pris la parole en son absence : « Me Libanora était avec nous jusqu’à ce (vendredi) matin pour les attendre (les joueurs). Ce (vendredi) matin, il a dû voyager en urgence à Buenos Aires et sera de retour à Mendoza ces prochains jours pour continuer à collaborer avec la défense. »

« Il aime la lumière et les caméras, c’est un charmeur », observe un ténor des tribunaux argentins. L’avocat de 56 ans représente les rugbymen français Oscar Jégou et Hugo Auradou, mis en examen pour viol aggravé par une femme argentine de 39 ans. Les faits qui les visent se seraient déroulés dans la nuit de samedi à dimanche, après une sortie en boîte de nuit consécutive à la victoire du XV de France contre les Pumas (28-13) dans la ville du Centre-Ouest de l’Argentine.

« C’est la première fois que je m’occupe d’une affaire de sexe », a reconnu l’avocat. Une expression pas choisie au hasard puisqu’il considère la relation sexuelle entre Auradou et la plaignante comme « consentie » et nie « tout acte de violence » de la part de ses deux clients. Une version qui contredit totalement celle de la plaignante. L’avocate de cette dernière, Natacha Romano, a livré un récit effroyable, évoquant plusieurs viols, ainsi que « des coups au visage, au menton, sur la poitrine, les fesses, le dos, des traces de morsure, de griffures, des coups au niveau des jambes ». Ce jeudi, l’AFP a appris que la victime présumée avait été hospitalisée en raison « d’une décompensation générale du corps » à la suite des agressions dont elle aurait été victime. Elle devrait « rester en observation entre 24 et 48 heures ».

« Je suis fan du XV de France et c’est un honneur de le représenter »
D’après les informations de RMC, Rafael Cúneo Libarona aurait été mis en contact avec les deux internationaux tricolores par l’intermédiaire d’Agustín Pichot. L’avocat refuse de confirmer mais admet « une relation d’amitié » avec l’ancien capitaine des Pumas et du Stade français. « On se connaît, on a joué l’un contre l’autre », ajoute-t-il. Ancien ailier « de bon niveau » selon ses propres mots, Rafael Cúneo Libarona a évolué pendant quinze ans au Club Universitario de Buenos Aires, une équipe de la première division argentine. « Le sport, c’est toute ma vie », dit-il, à tel point qu’il a profité de la dernière Coupe du monde de rugby pour voyager dans toute la France en camping-car avec son fils.

« Je suis fan du XV de France et c’est un honneur de le représenter », explique l’avocat, « admirateur d’Antoine Dupont, Serge Blanco, Jean-Pierre Rives et Philippe Sella ». Ce jeudi, dans un style parfois théâtral, il a d’ailleurs utilisé plusieurs références sportives devant les journalistes, qu’il aime flatter pour leurs « très bonnes questions ». « Quand vous parlez de l’équipe de France de rugby, c’est comme si vous parliez de l’équipe de football d’Argentine ou du Brésil », a-t-il notamment déclaré, comparant Florian Grill, le président de la Fédération française de rugby présent à Mendoza, à Claudio Tapia, le patron du foot argentin.

En plus de son métier d’avocat, Rafael Cúneo Libarona exerce des responsabilités au service juridique de l’Association de polo argentine, une discipline qu’il pratique lui-même. A-t-il accepté de représenter Oscar Jégou et Hugo Auradou en raison de son amour du sport et de son goût pour la lumière ? « J’ai accepté parce que je les crois, justifie-t-il. J’ai beaucoup parlé avec eux. Je suis un ancien joueur de rugby, donc je sais ce qu’il se passe en tournée, le bien comme le mal. »

Mais, visiblement, il ne connaissait pas parfaitement le profil de ses clients puisqu’il a appris jeudi, de la bouche d’un journaliste argentin, qu’Oscar Jégou avait été contrôlé positif à la cocaïne en début de saison. « Une décision personnelle qui n’a rien à voir avec l’affaire », estime-t-il.

Le frère du ministre de la Justice
Le choix des accusés d’être représentés par cet avocat peut aussi interroger. En effet, Rafael Cúneo Libarona est le frère de l’actuel ministre de la Justice argentine, Mariano Cúneo Libarona, membre du gouvernement d’extrême droite de Javier Milei. « J’ai l’honneur d’être le frère du ministre de la Justice, assume-t-il. C’est le meilleur ministre que puisse avoir ce pays. Je suis fier de lui. Il a une intelligence différente. Je suis une personne indépendante. Je ne prendrais pas l’affaire s’il y avait une incompatibilité manifeste entre sa charge et la mienne. En avril, dans un procès compliqué (un scandale de corruption présumée dans lequel était notamment accusé l’ancien président de la République Alberto Fernández), j’ai quitté mes fonctions. Mais j’ai le droit de travailler. »

Un seul message figure sur le site Internet du cabinet d’avocat, détenu par les quatre frères Cúneo Libarona : il indique que le ministre de la Justice « ne fait actuellement pas partie du cabinet juridique Cúneo Libarona ».

Toujours est-il que le ministre appartient à un gouvernement aux positions ouvertement masculinistes. Un autre sujet de crispation dans le cadre d’une affaire judiciaire portant sur des faits présumés de viol aggravé. « Nous avons licencié 85 % des employés de l’ex-ministère de la Femme, se félicitait par exemple le responsable politique sur X (ex-Twitter), le 30 juin. Les autres occuperont des postes au sein de la Direction de protection à la famille, et assisteront TOUS les Argentins qui traversent une situation de violence et de risque. »

Un contexte social défavorable aux femmes
Un message qui ne surprend pas l’avocate Ana Correa, l’une des fondatrices du collectif Ni Una Menos (« Pas une de moins »), le principal mouvement féministe d’Argentine. « Il n’y a aucun doute sur le fait que le gouvernement actuel est antiféministe, déplore l’activiste. Milei attaque ouvertement toutes les politiques de prévention de violences contre les femmes, les personnes LGBT et la jeunesse. Cela se constate dans ses déclarations, ses alliances internationales et les mesures qu’il porte depuis son arrivée au pouvoir. »

En conséquence, la militante considère que « le système judiciaire est habilité à juger sur des critères patriarcaux ». Faut-il craindre que l’affaire de Mendoza puisse être influencée d’une manière ou d’une autre ? « Je n’ai pas d’indice pour le dire, mais il y a un contexte social défavorable », souligne-t-elle.

Autre figure du mouvement féministe argentin, la sociologue Lucí Cavallero approuve : « Ce gouvernement développe une politique de stigmatisation et de criminalisation du mouvement féministe mais aussi des minorités sexuelles, des syndicats et des associations. Il a éliminé beaucoup de politiques publiques de prévention d’abus et de la violence, il a supprimé le ministère des Femmes, des Genres et de la Diversité. C’est un moment très difficile pour nous, empiré par la crise. »

Selon nos informations, plusieurs associations argentines contre les violences faites aux femmes, alarmées par la proximité entre l’avocat de la défense et le ministre de la justice, ont proposé leur aide à l’avocate de la victime, Natacha Romero. Son associé, Mauricio Cardello, n’attise pas la polémique : « De l’inquiétude ? Non. Pas du tout. Je fais totalement confiance aux représentants du ministère public impliqués dans l’affaire judiciaire. »
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Affaire Jegou-Auradou : « Je n’ai rien vu, je ne me souviens pas », témoigne le chauffeur de taxi qui a ramené la victime
INFO LE PARISIEN. Rafael Cuneo Libarona, l’avocat des deux rugbymen français mis en examen pour viol aggravé à Mendoza (Argentine), dit « récolter des preuves toujours plus concluantes ». De son côté, la victime présumée, hospitalisée depuis jeudi pour « une décompensation générale », va mieux selon son avocate.

Aujourd’hui (ce mardi) à 10 heures (15 heures en France), nous avons l’audience du chauffeur de Cabify (application de taxis) qui a ramené la plaignante de l’hôtel (le Diplomatic, où se seraient produits les faits à Mendoza dans la nuit du samedi 6 au dimanche 7 juillet) jusqu’à sa maison. Il va parler avec le parquet. »

« Si elle avait des coups ? Non, je n’ai rien vu. C’était un voyage normal »
À sa sortie du parquet, le chauffeur de taxi s’est exprimé au micro de plusieurs médias argentins : « Je ne me souviens pas de tous les voyages que je fais. Je n’ai rien vu. Si elle avait des coups ? Non, je n’ai rien vu. C’était un voyage normal. Des fois, les clients montent derrière, des fois devant. Est-ce qu’elle est montée derrière. Oui. Si j’ai vu quelque chose de bizarre ? Non, rien. Si elle m’a parlé ? Je ne me souviens pas. Je parle avec presque tous ceux qui montent dans ma voiture. C’était le matin, à 8h30. »

L’avocat révèle également avoir « programmé une expertise psychologique des parents d’Hugo (Auradou) ce mardi pour évaluer s’ils pourraient être ses tuteurs à Mendoza » dans le cadre de la demande de placement en résidence surveillée déposée par la défense. La tante d’Oscar Jegou s’est également rendue à Mendoza.

Dans des cellules individuelles de 6m2
Rafael Cuneo Libarona « ne confirme pas » en revanche que les joueurs effectueront une déclaration dans le courant de la semaine. Ce vendredi, ils ne s’étaient pas exprimés lors de leur inculpation. Le deuxième-ligne de Pau (20 ans) et le troisième-ligne de La Rochelle (21 ans) clament leur innocence, évoquant une relation sexuelle consentie.
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Propositions répétées et contacts non sollicités… que dit le rapport qui accuse l’abbé Pierre d’agressions sexuelles ?
Un rapport d’enquête mandaté par Emmaüs rapporte qu’au moins sept femmes auraient été victimes d’agressions ou de harcèlement sexuel par l’abbé Pierre. L’association invite les autres victimes potentielles à se manifester.
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236163ŦKassandra88 a écrit:Propositions répétées et contacts non sollicités… que dit le rapport qui accuse l’abbé Pierre d’agressions sexuelles ?
Un rapport d’enquête mandaté par Emmaüs rapporte qu’au moins sept femmes auraient été victimes d’agressions ou de harcèlement sexuel par l’abbé Pierre. L’association invite les autres victimes potentielles à se manifester.
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Bonsoir Kass,

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Il y a le rapport d'enquête téléchargeable.

236167ŦSortcière a écrit:

236163ŦKassandra88 a écrit:Propositions répétées et contacts non sollicités… que dit le rapport qui accuse l’abbé Pierre d’agressions sexuelles ?
Un rapport d’enquête mandaté par Emmaüs rapporte qu’au moins sept femmes auraient été victimes d’agressions ou de harcèlement sexuel par l’abbé Pierre. L’association invite les autres victimes potentielles à se manifester.
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Bonsoir Kass,

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Il y a le rapport d'enquête téléchargeable.

Et quand bien même : on serait à la recherche de parfaits ?
Ces femmes qui se plaignent des décennies plus tard , pour moi, c'est louche.
Qui va nous dire en plus sur leurs profils ?
C'est trop facile en 2024 d'accuser sans preuves .

Il n'y a rien de louche, il faut parfois des années pour oser parler. Elles sont courageuses ces femmes. Faut il un 'profil de victime" en particulier @Lisetoct ?