qui est il? XVI

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

voir milieu de page !

1-110 et 112 rue Manin

2-114 et 116 rue Manin

J 'ai une question
Les immeubles communiquent -t -ils , d 'etage á etage , sans descendre et passer par les ascenceurs ou escaliers..

Gwelvan a écrit:J 'ai une question
Les immeubles communiquent -t -ils , d 'etage á etage , sans descendre et passer par les ascenceurs ou escaliers..

Non ils communiquent pas entre étages sauf par les étages souterrains des parking

Slavabogu77 a écrit:@juju mais je crois que d’apres les temoignages il etait pas circoncis..
Moi j’avais remarqué que le G n’avait jamais agit les jour de shabbat et pendant les fetes juives

Bonjour,
D’accord, je veux bien mais le grèlé n’a jamais opéré à Noël, à l’épiphanie, durant la Pâque et la Toussaint non plus. ‍�

Aussi il ne frappe jamais
- le week-end ( sauf une fois un dimanche )
- les jours fériés
- pendant les grandes vacances d'été ( juillet-août.)
- jamais de nuit, toujours aux heures de bureau ( 8h-17h30.)
Il est fort probable qu'il ait une vie de famille quand même.

Tristan a écrit:Aussi il ne frappe jamais
- le week-end ( sauf une fois un dimanche )
- les jours fériés
- pendant les grandes vacances d'été ( juillet-août.)
- jamais de nuit, toujours aux heures de bureau ( 8h-17h30.)
Il est fort probable qu'il ait une vie de famille quand même.

Une vie de famille j’en suis persuadé.

Mais il frappé en plein mois de juin en 1994.

Juju du 75 a écrit:

Gwelvan a écrit:J 'ai une question
Les immeubles communiquent -t -ils , d 'etage á etage , sans descendre et passer par les ascenceurs ou escaliers..

Non ils communiquent pas entre étages sauf par les étages souterrains des parking

Bonjour.

Le plan de sous-sol est le bon.

L'erreur provient de la numérotation reprise sur le plan que j'avais fait.

En effet, le 110 se termine à l'angle gauche, c'est à dire au niveau du décrochage du bâtiment vers l'avant (le Franprix). Le dentiste évoqué est en effet au 110 (vérif google). Par conséquent les entrées se décomposent comme suit : 110, puis 112 & 114 sont deux entrées accolées, puis le 116. Le tout de la gauche vers la droite. c'est vérifiable via google en mode streetview.

Cela ne change rien au plan de sous-sol.

En ce qui concerne la circulation depuis le 3eme sous-sol : pour remonter vers les parties privatives (les logements), des portes censées être sécurisées y donnent accès. Depuis le -3, un escalier mène au -2, niveau auquel les résidents empruntent les ascenseurs pour remonter.

Si les sous-sols sont ouverts, c'est évidemment pour permettre aux véhicules de circuler...

Dans les étages supérieurs, là où se trouvent les logements, il n'y a évidemment pas de communication palière permettant de se rendre indifféremment aux 110, 112, 114 et 116 sans avoir à ressortir du bâtiment.

Raison pour laquelle l'article de @mimi est explicite : un gardien gérait les 112 et 110, le second les 114 et 116.

Cela signifie concrètement que l'auteur a opéré dans l'ascenseur du 116 (le seul en service du fait de la neutralisation du second), capturé Cécile, est descendu avec elle au -2, a descendu les escaliers pour aller au -3, puis parcouru la distance le séparant du local avec Cécile en otage.

La blessure sous le sein gauche porte à croire qu'il a pu la blesser à l'occasion de cette manoeuvre, puisque dans le cas Ingrid on sait qu'il l'a transportée sans la moindre difficulté sur quelques 300 mètres.

Or, dans le cas Cécile, du fait du confinement des lieux, il lui fallait opérer 'à couvert', d'où, hypothèse, la blessure constatée sur elle.

Les témoignages recueillis n'indiquent aucun autre ascenseur que le 116. De plus, le témoignage de sa sortie des lieux est clair : il est remonté par le même ascenseur et a quitté la résidence par l'entrée du 116 et nulle autre.

Enfin, selon ces plans de sous-sol (plans de sécu incendie pris en photo sur site par Mimi en 2018), le local, dont sait que face à celui-ci se trouvait la 'salle de repos' des gardiens, ne peut pas se situer ailleurs que là où je l'ai signalé sur le plan.

Sauf à considérer que ce plan est inexact. Ce qui relève de l'impossible, s'agissant d'une obligation d'affichage qui se doit d'être conforme à la réalité des lieux.

S'il ne l'est pas (inexact), alors il a parcouru la distance indiquée en jaune, pour la simple raison que ces deux locaux ne peuvent se situer ailleurs au niveau -3.

En dernier lieu : la reconnaissance préalable de ce local est une évidence. De la même manière que la neutralisation de l'ascenseur #2 par l'usage d'un bois d'allumette indique à l'évidence une phase antérieure au crime à proprement parler. Phase de préparation qui, par ailleurs et selon moi, révèle une opération tactique parfaitement calculée.

@kassandra
oui .....rue petit 75019 PARIS

C'est un article de Détective de 1986  que j'ai envoyé sur le forum

entrer au 116 rue petit était moins risqué pour le grêlé que l'entrée du 114

en effet les gardiens sont en face la porte d'entrée, donc, un individu suspect aurait pu être vite repéré !

mimi a écrit:@kassandra
oui .....rue petit 75019 PARIS

C'est un article de Détective de 1986  que j'ai envoyé sur le forum

entrer au 116 rue petit était moins risqué pour le grêlé que l'entrée du 114

en effet les gardiens sont en face la porte d'entrée, donc, un individu suspect aurait pu être vite repéré !

--

Pertinente remarque.

Voici le plan du -3 d'origine.

Pour comparer avec le réel : google en vue satellite. Et on voit bien la distinction entre partie ouest et partie est.

l'avancée, le décrochage au niveau du Franprix est à la limite EST/OUEST.

par conséquent le plan que j'ai fait en 2018 est bon, numérotation incluse, contrairement à ce que j'ai publié ce matin.


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Et si Cécile promenait son chien à l'heure du repas de 13h environ, elle aura pu rencontrer le grele sortant du Franprix si il existait en 1986 (supposition.
Le grele trainant dans les magasins ou aux abords pour repérer les gosses seuls et choisir ensuite de les suivre pour savoir où ils habitaient. Puisqu'après Sarah, il avait encore fait le choix d'agresser ou plus, dans les sous-sols, et sans arme à feu ! seulement par la force physique et couteau !!!

D'ailleurs qu'est-ce qui l'a décidé d'utiliser une carte tri et une arme factice ou pas ? ensuite ?

Kassandra88 a écrit:

milkart a écrit:Et si Cécile promenait son chien à l'heure du repas de 13h environ, elle aura pu rencontrer le grele sortant du Franprix si il existait en 1986 (supposition.
De mémoire oui. Juju confirmera ou infirmera.
Le grele trainant dans les magasins ou aux abords pour repérer les gosses seuls et choisir ensuite de les suivre pour savoir où ils habitaient. Puisqu'après Sarah, il avait encore fait le choix d'agresser ou plus, dans les sous-sols, et sans arme à feu ! seulement par la force physique et couteau !!!
Oui, un peu moins d'un mois avant de s'en prendre à Cécile, il avait fait des propositions à Nathalie avant de tenter de l'agresser.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

D'ailleurs qu'est-ce qui l'a décidé d'utiliser une carte tri et une arme factice ou pas ? ensuite ?
Peut-être n'avait-il pas la possibilité de s'en procurer en 86.
Ceci dit, la fausse carte est une excellente tactique pour aborder un enfant et faire en sorte qu'il soit docile.

Je confirme le franprix à l'époque était déjà présent à ce même emplacement. Totalement sur.

@Mesrine

Dans un des documentaires, Bernard Pasqualini montre que le local est juste à droite de deux ascenseurs. Ça m'étonnerait fortement qu'il n'ait pas montré le bon local. Je n'arrive pas à les dinstinguer sur ton plan, est-ce que c'est compatible avec ta géographie des lieux ?

La preuve que le grêlé est un caméléon au vue des trois portrait robot mis sur le forum qui date de 86 et 87.

FALCO.

Metsec a écrit:@Mesrine

Dans un des documentaires, Bernard Pasqualini montre que le local est juste à droite de deux ascenseurs. Ça m'étonnerait fortement qu'il n'ait pas montré le bon local. Je n'arrive pas à les dinstinguer sur ton plan, est-ce que c'est compatible avec ta géographie des lieux ?

Il faut zoomer sur le plan que j'ai posté. Au dessus de la lettre K, il y a des symboles. Les rectangles à demi noircis en diagonale sont des passages de gaines techniques, c'est une convention sur des plans d'archi, encore en usage aujourd'hui.

Le symbole rond avec une forme circulaire et un quartier (comme sur un jeu de trivial poursuit), ou encore forme de 'pacman', classiquement est celui d'un escalier. On retrouve le même symbole juste à droite du 'moteur C', dans la zone C. Côté 116.

Sachant que ces lettres correspondent à des zones, des volumes théoriques, s'agissant de plans incendie. Ainsi, les traits noirs en gras ne sont pas des séparations physiques, mais les limites volumiques de chacune de ces zones. Sinon, s'il s'agissait de murs en béton, il est évident que pas une voiture ne pourrait sortir... ni entrer d'ailleurs...

A toutes fins utiles, sur la configuration des lieux, selon moi la meilleure référence de comparaison se trouve dans le film "qui a tué Cécile Bloch?", dans lequel le gardien WL accompagne CH vers les sous sols. (vers les 4 ou 5 premières minutes de mémoire).

Lors de leur arrivée dans cette zone, le gardien va ouvrir une série de portes (deux de mémoire) en enfilade, et la dernière débouche sur une aire de l'ordre de 1 ou 1,5 m2, plongée dans l'obscurité d'ailleurs. C'est à cette dernière porte, donc une fois sur cette aire de 1 ou 1,5 m2, que le local se situe à gauche.

Dans une autre vidéo (dont je n'ai plus la référence), CH va expliquer à son interlocuteur que le local est, je cite, "derrière cette porte". Or, elle se trouve dans les pk en sous sol... Il s'agit donc de la porte séparative entre la zone des PK, et cette enfilade de cavettes qui se situe au dessus de la lettre K.

Cela est d'autant plus cohérent avec les plans que, dans le film "qui a tué Cécile Bloch", l'interview du gardien débute dans sa loge située au 114. Et j'ai le souvenir précis que la question se pose quant à l'utilisation ou non des ascenseurs pour rejoindre ce local... (autant que je me souvienne, ils y renoncent et empruntent les escaliers).

Par ailleurs, une place de PK fait 5x2,5 m. Ce qui donne 12,5 m2 de surface. Dans une vidéo (encore une dont je n'ai plus la référence), B Pasqualini + un autre flic de la crime (Jl Huesca je crois), sont dans ce local et se déplacent. Ce local semble faire environ 10 m2, surface semblable à celle d'une place de PK...

Ce qui signifie que sur le plan, il ne peut s'agir des cavettes (les carrés en séries dans cette zone).

Et on sait qu'en face il y avait la 'fameuse' salle de repos des gardiens.

Dès lors, et en l'absence de toute autre représentation de surface identique à l'axe du 116, alors le seul endroit où sont susceptibles de se situer et le local dans lequel a été retrouvée Cécile, et la salle de repos des gardiens, est à l'endroit indiqué sur le plan que j'ai réalisé (sur la base du plan de sécu incendie) en 2018.

--

Si j'ai raison, cela signifie que la distance qui sépare le point de sortie du -3 à l'axe du 116 pour rejoindre ce local est = à 80 mètres +ou -.

Mais aussi, cela signifierait que la reconnaissance préalable des lieux de la commission du crime (le local) nécessitait de franchir les portes séparatives du sous-sol des parties privatives, pour 1/accéder à ce local et 2/en repartir.

Traduit en 'psycho de base', qu'est ce que ça signifie? Ça signifie que l'auteur a inévitablement dû repérer le local d'abord (ou le connaître, au choix).

Comment l'affirmer? Tout simplement car il est reparti par là où il était entré.

Par conséquent, sa chronologie propre ce matin-la a été la suivante : il savait que ce local existait, et peu importe comment il le savait;
Qu'il en avait connaissance dans un 'avant' issu de ce matin du 7 mai 86, ou qu'il l'ait découvert ce matin même; peu importe.

Ce qui compte, me semble-t-il, c'est de s'interroger sur la chronologie étroitement liée aux lieux dans ce seul acte et sur ce qui est apparu aux yeux de 'tous' comme étant l'oeuvre ou l'accomplissement d'une 'pulsion'.

Je dis qu'il n'en est rien, de la pulsion.

Car il lui a fallu d'abord s'assurer de l'endroit où il pourrait 'opérer', à savoir ce local. Puis jouer son rôle de conviction à l'égard des résidents après avoir neutralisé un ascenseur sur les deux en fonction.

Ce qui implique chronologiquement, chronologie étroitement liée à la configuration des lieux, sa détermination.

--

La question qui me chatouille à l'instant 't', compte tenu de la distance entre le 116 (lieu de prélèvement de sa proie -Cécile-) et le local dans lequel elle sera retrouvée, est de savoir comment il a pu prendre autant de risques en aussi peu de temps... et franchir autant de portes.

Quand les tests ADN "récréatifs" font exploser les secrets de famille
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Et dire qu'avec cette méthode, ils peuvent potentiellement savoir l'identité du grêlée..

Tristan
Est-il possible de descendre depuis le troiseme étage jusqu'au troiseme sous sol par cet escalier?
Car selon  moi, le tueur est passé par l'escalier avec Cecile.
Ce que je dis depuis le début...

Bonjour les amies et amis , salut JuJu , encore des questions
1, est ce que tu sais ou est situé le local poubelle ?
2, est ce que tu as une idée ou se trouve le local ou il a été dit que les jeunes entreposent leurs motos ?
Merci de donner ton temps , pour ces questions un peu saugrenues , je te remercie de tes dernières réponses , je te formulerais d 'autres questions par la suite !
Bonne journée .

Bonjour.
Voici le plan du sous sol -2 envoyé par @mimi à l'époque (en 2018).

On constate qu'il s'agit en effet d'un empilage en comparaison du niveau -3. ce qui est logique, étant entendu que pour élever un bâtiment, mieux vaut qu'il soit vertical...

On peut retrouver sur ce plan les symboles des escaliers, comme les rectangles et carrés noircis en diagonale qui représentent les passages de gaines techniques.

C'est donc en gros un copier/coller du -3, à l'exception de la série de cavettes qui, sur ce niveau -2 est plus étendue vers la partie EST.

La configuration générale d'un immeuble verticale, encore aujourd'hui, impose, pour des raisons de sécurité, de créer en effet des escaliers qui jouxtent les colonnes d'ascenseurs.

L'idée est simple : en cas d'incendie et de panne d'ascenseurs, il faut que les résidents dans les étages puissent évacuer...

par conséquent, à la question posée de pouvoir descendre de l'étage 'x' au -3, la réponse est oui, bien sûr.

Cela étant, compte tenu de la présence de l'auteur dans l'ascenseur à partir de 7h50 le matin des faits, on comprend bien qu'il a capturé Cécile dans l'ascenseur, alors qu'elle est partie vraisemblablement vers les 8h40/45.

La question des portes séparatives entre sous-sol et accès à l'escalier remontant au niveau -2, niveau auquel l'auteur avait neutralisé un ascenseur sur deux, est cruciale.

On sait, sans l'ombre d'un doute, qu'il est reparti par là où il était entré, c'est à dire en empruntant l'ascenseur situé côté 116. Cette cage d'escalier et ces ascenseurs sont représentés par un rectangle situé juste sous le mot 'moteur' (pour le moteur A), et juste à côté de la rampe d'accès véhicule située la plus à l'EST (puisque n°116), sur ce plan-ci. Et on voit bien l'empilement (ou par 'calque) que c'est à la verticale du -3 (voir plan du -3 posté hier).

La même question se pose quant au franchissement de la porte séparative sous-sol -3 vers la zone de cavettes, qui elle même (cette zone) possède un escalier qui permet de remonter vers les ascenseurs situés à l'axe du n°114.

Si on prend en compte l'aspect chronologique de la préparation du local, alors la méthode est très simple;

1/ il est arrivé par l'entrée du 116 puis descendu faire un repérage dans les sous-sols.
2/ Soit il avait de quoi ouvrir les portes séparatives sous-sol/accès aux escaliers, soit il lui suffisait d'attendre qu'un résident se dirige vers sa voiture, ce qui implique d'ouvrir cette porte séparative. Auquel cas, il lui suffisait de jouer le rôle (et on sait qu'il fait ça très bien) de celui qui vient de se garer, pour pénétrer dans cette zone conduisant à escalier/ascenseurs sous le n°114, zone dans laquelle Cécile sera retrouvée.
3/ Il opère une reconnaissance des lieux (si ce n'était pas déjà fait avant, on l'ignore) et définit comme lieu d'accomplissement du crime ce local. Local qui est, somme toute, le lieu le plus propice puisque confiné, à l'abri des regards, au point le plus bas, ce qui confère statistiquement le plus bas niveau de risque. (C'est d'ailleurs du carbon copy Sarah, un mois auparavant).
4/ Il part 'à la chasse'. Sauf que, ainsi que l'a très justement relevé @mimi, la loge des gardiens est située au 114. Il y va donc au 116 et non au 114, à supposer qu'il n'y a pas de ciblage antérieur de Cécile, ce que tout le monde ignore.
5/ Il neutralise un ascenseur sur 2 pour être bien certain 'd'optimiser' son filtrage de cible : il est ainsi certain que tout le monde passera 'entre ses mains'.

Et la suite est connue.

Cependant, la question du franchissement de la porte séparative sous-sol/vers le local à l'axe du 114 mérite d'être posée. L'avait-il neutralisée? Cette info est une inconnue majeure dans l'affaire.

Par ailleurs, la littérature (et les films et vidéos) sur le sujet ont systématiquement mis en avant la "folie" consistant à avoir agi à visage découvert, avoir croisé des résidents, etc...

Or, si 'folie' il devait y avoir eu dans une telle prise de risque, selon moi elle ne se manifeste pas dans la séquence de sa présence dans l'ascenseur alors qu'il joue le rôle d'un résident saluant avec force amabilité le monde qu'il croise.

Au contraire ; ce n'est que lorsqu'il va capturer Cécile, amener l'ascenseur au -2, puis descendre l'escalier qui mène au -3, puis traverser environ 70/80 mètres de parkings pour rejoindre le local qu'il avait préalablement repéré, que cette 'folle prise de risque' se manifeste le plus. Car dans cet intervalle de temps, la séquestration de Cécile signe ses intentions s'il croise quiconque.

Si les plans de sous-sol sont les bons et si le local est en effet sous le 114, alors ce grêlé n'est ni un sdf (ce que l'on savait déjà depuis le temps), ni un type qui s'est levé un beau matin et a déclenché une quelconque improvisation pour satisfaire son fantasme...

Bien au contraire, il est un parfait limier de chasse, un fin technicien aux redoutables capacités d'adaptation.

Capacités qui se retrouvent à l'évidence dans toute la suite de son parcours.

La question du 'secret des portes' pour accéder depuis le parking -3 à la zone dans laquelle se trouve le local, demeure posée.




[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]