qui est il? XVI
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Re: qui est il? XVI
Kassandra88 a écrit:
En entendant leur fils, les parents Bloch sursautent. Ils ont croisé le même homme dans le monte-charge, 20 minutes plus tôt. Six autres voisins, interrogés au porte-à‑porte par l’inspecteur Huesca, l’ont vu entre 7 h 55 et 8 h 45. Un technicien découvre que l’ascenseur principal a été bloqué avec un morceau d’allumette. Un scénario s’impose. L’homme au visage grêlé a utilisé le monte-charge comme une nasse. Dès le petit matin, il s’est installé là, prêt à entraîner dans les caves la première fillette qui monterait seule. Le destin lui a livré Cécile.
Pourquoi bloquer l'ascenseur et pas le monte-charges qui à priori permet d'accueillir plus de personnes à la fois?
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un monte-charges pour le boîtier de commande !
Un boîtier de commande se trouve à l’intérieur de la cabine pour permettre à l’accompagnateur d’effectuer les manœuvres.
le monte-charges pouvait descendre peut-être jusqu'aux parkings pour les encombrants et les charges lourdes !
et non l'ascenseur qui s'arrête au -2
le monte-charges pouvait descendre peut-être jusqu'aux parkings pour les encombrants et les charges lourdes !
et non l'ascenseur qui s'arrête au -2
mimi
un métier exigeant
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les ascensoristes réparent les ascenseurs, bien souvent ils sont là mais on ne fait pas attention à eux
ils font partie du décor, ils sont en définitive invisibles mais pourtant essentiels à la bonne marche des ascenseurs
le travail manuel a mauvaise presse !
les ascensoristes réparent les ascenseurs, bien souvent ils sont là mais on ne fait pas attention à eux
ils font partie du décor, ils sont en définitive invisibles mais pourtant essentiels à la bonne marche des ascenseurs
le travail manuel a mauvaise presse !
mimi
Re: qui est il? XVI
mesrine116 a écrit:LUC a vu le bouton du -2 allumé quand il est entré dans l'ascenseur (cf son témoignage dans une video).
C'était donc un ascenseur.
La stratégie consiste à utiliser cet ascenseur comme moyen de "filtrage".
-2 allumé = c'est la destination "prévisionnelle".
ça permet de checker à chaque parcours que le second ascenseur (ou autre) reste bien neutralisé au -2, puisqu'il n'a pas séquestré tout le monde...
Quand la cible était OK = la question qui se pose est comment annuler la commande au RDC.
-> cas Sarah : "le monsieur a fait semblant de jouer avec les boutons de l'ascenseur".
-> ce mec est un technicien/ouvrier/agent qui comprend, maîtrise parfaitement ce sujet.
-> cf cas Ingrid (trousseau de clés)
Bonjour,
Et dans un autre cas, il fait semblant de chercher quelque chose dans une boite aux lettres...
Pour se donner une contenance !? ou faisait-il vraiment les BAL ?
En tout cas, un poste de concierge lui conviendrait tout à fait
a+
Maison
Re: qui est il? XVI
Maison a écrit:
En tout cas, un poste de concierge lui conviendrait tout à fait
Cf. Jean-Luc Cayez...
Gorloge
Re: qui est il? XVI
mimi a écrit:Un boîtier de commande se trouve à l’intérieur de la cabine pour permettre à l’accompagnateur d’effectuer les manœuvres.
le monte-charges pouvait descendre peut-être jusqu'aux parkings pour les encombrants et les charges lourdes !
et non l'ascenseur qui s'arrête au -2
C'est probablement ce boitier qui permettait de rendre prioritaire certains arrêts, sinon, les deux ascenseurs n'allaient que jusqu'ai -2.
Re: qui est il? XVI
Kassandra88 a écrit:Cogiteur75 a écrit:T’oublie pas une personne C ? Ils étaient pas trois ? Les 2 gardiens et le beau-frère de l’un d’eux qui était flic.
Bonjour,
A ce propos, je remets l'article du Nouveau Détective sorti en aout 2020
LE GRÊLÉ : LE VISAGE QUI HANTE LA PJ
COLD CASE
Le 05/08/2020
Partager cette enquête :
Dans cette immense résidence du 19e arrondissement de Paris, c’est la pièce la plus sombre, la plus inaccessible. Pour la trouver, il faut quitter l’ascenseur au second sous-sol, descendre un escalier en colimaçon, atteindre l’étage des parkings, emprunter ces couloirs labyrinthiques des “grands ensembles” des années 1970. Dans la lumière d’une ampoule jaune, on découvre alors ce que le plan désigne comme un débarras, mais qu’on pourrait aussi bien appeler oubliette, ou caveau. Les concierges y jettent ce qu’aucun ouvrier n’a pris la peine d’évacuer, gravats, ferrailles. Ce 5 mai 1986, on y a jeté le corps d’une enfant de 11 ans. Jean-Pierre Bloch, locataire au 116, rue Petit, cherchait depuis deux heures sa fille Cécile quand le gardien de l’immeuble est monté le prévenir :
— Elle est en bas…
Il n’a pas osé en dire plus. Jean-Pierre Bloch a dévalé les étages en haletant, a franchi le seuil du réduit, deviné au sol un cartable éventré, des cahiers d’école éparpillés, un sweat-shirt taché de sang… Et dans le faisceau d’une torche, une chute de moquette dont dépassait une main tendue. A la manche de son survêtement rose, il a reconnu la main de sa fille. Il a crié :
— Quelqu’un a appelé les urgences ?
— Ce n’est plus la peine, a répondu un policier.
Le soir-même, l’enquête est confiée à une équipe chevronnée, celle de l’inspecteur Bernard Pasqualini, indicatif radio “Cristal 16”, et de son adjoint, Jean-Louis Huesca. Des hommes qui cumulent une longue expérience de terrain : vêtus de costumes trois pièces, par respect pour le deuil des familles, ils pratiquent l’investigation à l’ancienne. Les crimes, ils les solutionnent à force d’écoute, d’interrogatoires, de recoupements patients. Or, dans cette affaire, les indices ne manquent pas et les faits sont clairs. Si bien que le coupable paraît à portée de mains. Déjà, l’on sait presque tout sur les dernières heures de la victime : Cécile Bloch était une enfant responsable, d’une grande maturité. A 11 ans, elle préparait le conservatoire, en classe de violon.
Les techniciens de la police relèvent des traces sans équivoque
Chaque matin, elle se rendait seule au collège Georges-Rouault, de l’autre côté du périphérique. Elle rentrait à midi pour déjeuner d’une salade qu’on a retrouvée intacte, preuve que son agresseur l’a interceptée dès le matin.
Quand sa mère a essayé de l’appeler, à l’heure du déjeuner, elle a très vite compris que le silence de Cécile était anormal et elle a alerté son père, avec lequel elle a fait le tour de cette résidence de 800 logements. Le gardien, Bernard, et son beau-frère William se sont joints à eux, aidés d’un beau-frère policier dont les réflexes ont préservé la scène de crime. L’inspecteur Jean-Marie Zahra a pu photographier les lieux et, à défaut de saisir l’arme, placer sous scellés la moquette et les vêtements. Sur la fillette elle-même, les techniciens ont relevé des traces sans équivoque : deux tours de ficelle autour du cou, une blessure par lame sous le cœur, du sable sur le visage, des écorchures aux genoux, des marques de griffures et de coups… Surtout, et c’est le plus décisif, les policiers disposent d’un excellent témoignage, un de ces témoignages si précis qu’ils font immédiatement penser : « On va l’avoir ! ». Luc Richard-Bloch, 24 ans, est le demi-frère de Cécile. Il raconte à l’inspecteur Pasqualini que le matin même, à 8 h 20, quand il a appelé l’ascenseur, c’est le monte-charge descendant aux caves qui s’est ouvert :
— A l’intérieur, il y avait un jeune homme qui avait déjà appuyé sur le bouton du second sous-sol. Il m’a salué et je l’ai observé de profil, le temps de descendre. Il avait 25 à 30 ans, des cheveux châtains courts, une mèche à droite du front. Il devait mesurer environ 1,85 m, car il était plus grand que moi. Il portait une tenue décontractée : un jean délavé, une veste claire et des Adidas à rayures bleues ou noires, fatiguées. J’ai remarqué qu’il avait une peau irrégulière, avec des marques d’acné ou de variole. Je l’ai trouvé négligé, l’allure d’un routard, et son comportement m’a étonné parce qu’il a été très poli, obséquieux même. Quand je suis sorti, il m’a dit : « J’espère que vous passerez une bonne journée… »
En entendant leur fils, les parents Bloch sursautent. Ils ont croisé le même homme dans le monte-charge, 20 minutes plus tôt. Six autres voisins, interrogés au porte-à‑porte par l’inspecteur Huesca, l’ont vu entre 7 h 55 et 8 h 45. Un technicien découvre que l’ascenseur principal a été bloqué avec un morceau d’allumette. Un scénario s’impose. L’homme au visage grêlé a utilisé le monte-charge comme une nasse. Dès le petit matin, il s’est installé là, prêt à entraîner dans les caves la première fillette qui monterait seule. Le destin lui a livré Cécile.
Ils disposent
d’un seul instrument “scientifique” :
le portrait-robot
A quel moment une enquête déraille-t-elle ? Peut-être les enquêteurs sont-ils déjà passés à côté d’un détail qui leur aurait permis de coffrer l’assassin en moins de 24 heures ? Pour l’instant, ils partent sur la piste d’un marginal crasseux, aux joues criblées de cicatrices que, faute de mieux, ils surnomment “le Grêlé”. Ils le traquent dans le foyer social voisin. Puis dans les stations de la ligne 5, où ils interrogent méthodiquement les clochards, pour savoir si aucun d’eux n’a jamais dormi dans les caves du 116, rue Petit… Détail qui étonne aujourd’hui, ils ne disposent pas d’empreintes digitales. Pourtant, le frère de Cécile a vu le suspect appuyer ses mains, de grosses mains carrées, sur la rampe du monte-charge ! Hélas, les flics de l’identité judiciaire…
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Est-on sûr à 100% que cet homme n'avait plus du tout de cicatrices cad 0 cicatrice en 1994 ?
je dis bien aucune OU le contraire une peau grêlée suite à (par ex) de l'acné (peu importe la cause!)
merci de votre réponse
Invité- Invité
Re: qui est il? XVI
Bonsoir.
Je rebondis sur cette article , ou le journaliste a eu l’information que le local ou a été retrouvé Cécile servait de dépotoir à gravats ou matériaux non récupéré par ses ouvriers , il cite que les concierges se serve de se débarras comme dépôtoire .
« Dans la lumière d’une ampoule jaune, on découvre alors ce que le plan désigne comme un débarras, mais qu’on pourrait aussi bien appeler oubliette, ou caveau. Les concierges y jettent ce qu’aucun ouvrier n’a pris la peine d’évacuer, gravats, ferrailles« , ils ont donc l’habitude d’y aller déposer des trucs là bas les concierges , ce local n’était pas si inconnu ou si peu utilisé que ça par eux.
En plus si la salle de Ping pong a été refaite , ils ont du y déposer des gravats ou autre reste de reste de chantier .
En tous cas je reste sur l’avis de mesrine , ces concierges y’a un truc qui colle pas.... des souvenirs flou , un temps de recherche minime pour un bloc comme ça et pas du tout stratégique pour des recherche minutieuse .... sans parler de cet interview ( celle de Christine il me semble ) ou il est pas à l’aise le concierge interrogé.
Je rebondis sur cette article , ou le journaliste a eu l’information que le local ou a été retrouvé Cécile servait de dépotoir à gravats ou matériaux non récupéré par ses ouvriers , il cite que les concierges se serve de se débarras comme dépôtoire .
« Dans la lumière d’une ampoule jaune, on découvre alors ce que le plan désigne comme un débarras, mais qu’on pourrait aussi bien appeler oubliette, ou caveau. Les concierges y jettent ce qu’aucun ouvrier n’a pris la peine d’évacuer, gravats, ferrailles« , ils ont donc l’habitude d’y aller déposer des trucs là bas les concierges , ce local n’était pas si inconnu ou si peu utilisé que ça par eux.
En plus si la salle de Ping pong a été refaite , ils ont du y déposer des gravats ou autre reste de reste de chantier .
En tous cas je reste sur l’avis de mesrine , ces concierges y’a un truc qui colle pas.... des souvenirs flou , un temps de recherche minime pour un bloc comme ça et pas du tout stratégique pour des recherche minutieuse .... sans parler de cet interview ( celle de Christine il me semble ) ou il est pas à l’aise le concierge interrogé.
ca-gere
Re: qui est il? XVI
milkart a écrit:
Est-on sûr à 100% que cet homme n'avait plus du tout de cicatrices cad 0 cicatrice en 1994 ?
je dis bien aucune OU le contraire une peau grêlée suite à (par ex) de l'acné (peu importe la cause!)
merci de votre réponse
Déjà en 1987, Marianne N ne parle pas d'un homme ayant la peau abimée. Or, c'est le même homme, l'ADN le prouve.
Re: qui est il? XVI
Bonsoir les amis , salut mesrine , mimi , mimi tes photos sont pleines de détails qui amènent à certaines questions , des réponses et aussi des questions !
Les photos des deux gardiens me rappellent ma jeunesse et les coiffures de l 'époque que j 'avais complétement oubliée !
Le chien , un berger belge ne me semble pas être un chien à mémé mais plutôt un bon chien de garde !
La photo du local nous montre que celui-ci dispose d 'une porte , que le chambranle de celle-ci ne semble pas abimé , que ce local dispose d 'un éclairage , que le sol ne montre pas de décrochement montrant une différence de matériaux , que l 'on remarque appuyée sur le mur du fond une porte dans son chambranle ,sur le sol quelques objets mal définis , mais on peu citer ce que nous disent les policiers du sable sur le sol , un rouleau de moquette !
Local situé au moins trois , local attenant à la salle de repos des gardiens , moins trois accessible uniquement en passant une porte sur le pallier de l 'ascenseur du moins deux et en descendant un escalier .
Local accessible à partir de la zone de parcage en franchissant une nouvelle porte , et en progressant dans un dédale de portes fermant d'autres locaux !
Salle de repos ou les gardiens , ou du moins un concierge nous dit jouer au tennis de table , moi-même je joue au ping-pong et je sais que pour pratiquer ce sport il faut être plusieurs et que nul doute les jeunes de l 'immeuble devaient venir faires d 'interminables parties le soir , je pense le soir puisque le fait que la salle de ping-pong ne dispose pas d 'ouverture vers l 'extérieur et est de ce faite éclairée par un éclairage artificielle la catalogue comme hors du temps !
Donc après avoir commenté les documents de mimi passons aux questions ?
Qui a amené cette porte , cette moquette, se sable , les autres objets ? les habitants , ça semble pas très réaliste , l 'immeuble est neuf , et le troisième sous-sol semble ne pas être pratiqué par les habitants de l 'immeuble , il faut ajouter qu ' il semble que si une personne avait voulu se débarrasser de quoi que se soit il est plus facile de mettre ses objets dans le local poubelle situé au rez de chaussée ou au moins un ( juju va nous le dire ).
DE même il faudrait être gonflée d amener ses déchets dans ce couloir fréquenté activement par le concierge et rintintin le chien .
Donc nous pouvons facilement déduire que ces matériaux chambranle avec sa porte , sable et autres viennent de travaux réalisés dans ce même couloir .
De même en voyant les portraits de nos amis concierges et leur sympathique coiffure je réalise à qu'elle point le grélé est anachronique avec sa coiffure de premier de la classe .
Je me pose la question comment ce type a bien pu avoir l ' idée de venir dans cette citée très surveillée puisque nous pouvons compter un concierge pour deux cages d ' escalier , donc une estimation de quatre gardiens pour cette ensemble immobilier dont un gardien possédant un chien !
Pourtant les endroits pour agresser les gens ne manquent pas citons le grands parc des buttes chaumont et ses nombreux escaliers , grottes, bosquets , les endroits glauques des différents passages sous le périphérique et ses abords .
De même il est incomprehensible comment ce type qui est rusé , son parcours nous le montre , peu échafauder un plan aussi foireux , montrant son visage à tout les habitants de la cage d 'escalier de Cécile , alors qu ' il lui fut plus facile de se cacher dans la cage d 'escalier pour attendre , ni vue , ni connue .
DE même il est incompréhensible que la victime fut amenée en passant par la cage d 'escalier ou se situe la loge des gardiens et de rintintin endroit ou également se situe le local à poubelle .
De même il est incompréhensible que la victime fut amenée juste a l ' endroit ou les concierges ont leur salle de repos , endroit ne possédant qu ' un accès .
De même il est incompréhensible que l 'on puisse cataloguer se type comme clochard , clochard ayant passé la nuit à deux encablures de la salle de repos des concierges et de rintintin , alors que pas d 'indice ne fut remarqué de se passage rien , ni fesse ou odeur d ' urine !
De même est ce que l'on a posé l ' hypothèse que ce gars soit fasse le pied de grue pour attendre un autre habitant de cette cage et que la petite fille fut une opportunité et non le but premier ?
De même est ce que l 'on a posé l 'hypothèse que le gars puisse avoir un différend avec la famille de la petite fille ?
De même a ton remarqué que ce jour la la petite fille ne part pas à l ' école a l 'heure , ce qui est peu courant , ce qui fait qu 'en théorie le type aurait du cesser de guetter puisque l ' heure de rentrée est passée , donc il n' y avait plus d' enfant logiquement dans l 'immeuble !
Pourquoi avoir cherché uniquement dans les milieux des SDF !
Les photos des deux gardiens me rappellent ma jeunesse et les coiffures de l 'époque que j 'avais complétement oubliée !
Le chien , un berger belge ne me semble pas être un chien à mémé mais plutôt un bon chien de garde !
La photo du local nous montre que celui-ci dispose d 'une porte , que le chambranle de celle-ci ne semble pas abimé , que ce local dispose d 'un éclairage , que le sol ne montre pas de décrochement montrant une différence de matériaux , que l 'on remarque appuyée sur le mur du fond une porte dans son chambranle ,sur le sol quelques objets mal définis , mais on peu citer ce que nous disent les policiers du sable sur le sol , un rouleau de moquette !
Local situé au moins trois , local attenant à la salle de repos des gardiens , moins trois accessible uniquement en passant une porte sur le pallier de l 'ascenseur du moins deux et en descendant un escalier .
Local accessible à partir de la zone de parcage en franchissant une nouvelle porte , et en progressant dans un dédale de portes fermant d'autres locaux !
Salle de repos ou les gardiens , ou du moins un concierge nous dit jouer au tennis de table , moi-même je joue au ping-pong et je sais que pour pratiquer ce sport il faut être plusieurs et que nul doute les jeunes de l 'immeuble devaient venir faires d 'interminables parties le soir , je pense le soir puisque le fait que la salle de ping-pong ne dispose pas d 'ouverture vers l 'extérieur et est de ce faite éclairée par un éclairage artificielle la catalogue comme hors du temps !
Donc après avoir commenté les documents de mimi passons aux questions ?
Qui a amené cette porte , cette moquette, se sable , les autres objets ? les habitants , ça semble pas très réaliste , l 'immeuble est neuf , et le troisième sous-sol semble ne pas être pratiqué par les habitants de l 'immeuble , il faut ajouter qu ' il semble que si une personne avait voulu se débarrasser de quoi que se soit il est plus facile de mettre ses objets dans le local poubelle situé au rez de chaussée ou au moins un ( juju va nous le dire ).
DE même il faudrait être gonflée d amener ses déchets dans ce couloir fréquenté activement par le concierge et rintintin le chien .
Donc nous pouvons facilement déduire que ces matériaux chambranle avec sa porte , sable et autres viennent de travaux réalisés dans ce même couloir .
De même en voyant les portraits de nos amis concierges et leur sympathique coiffure je réalise à qu'elle point le grélé est anachronique avec sa coiffure de premier de la classe .
Je me pose la question comment ce type a bien pu avoir l ' idée de venir dans cette citée très surveillée puisque nous pouvons compter un concierge pour deux cages d ' escalier , donc une estimation de quatre gardiens pour cette ensemble immobilier dont un gardien possédant un chien !
Pourtant les endroits pour agresser les gens ne manquent pas citons le grands parc des buttes chaumont et ses nombreux escaliers , grottes, bosquets , les endroits glauques des différents passages sous le périphérique et ses abords .
De même il est incomprehensible comment ce type qui est rusé , son parcours nous le montre , peu échafauder un plan aussi foireux , montrant son visage à tout les habitants de la cage d 'escalier de Cécile , alors qu ' il lui fut plus facile de se cacher dans la cage d 'escalier pour attendre , ni vue , ni connue .
DE même il est incompréhensible que la victime fut amenée en passant par la cage d 'escalier ou se situe la loge des gardiens et de rintintin endroit ou également se situe le local à poubelle .
De même il est incompréhensible que la victime fut amenée juste a l ' endroit ou les concierges ont leur salle de repos , endroit ne possédant qu ' un accès .
De même il est incompréhensible que l 'on puisse cataloguer se type comme clochard , clochard ayant passé la nuit à deux encablures de la salle de repos des concierges et de rintintin , alors que pas d 'indice ne fut remarqué de se passage rien , ni fesse ou odeur d ' urine !
De même est ce que l'on a posé l ' hypothèse que ce gars soit fasse le pied de grue pour attendre un autre habitant de cette cage et que la petite fille fut une opportunité et non le but premier ?
De même est ce que l 'on a posé l 'hypothèse que le gars puisse avoir un différend avec la famille de la petite fille ?
De même a ton remarqué que ce jour la la petite fille ne part pas à l ' école a l 'heure , ce qui est peu courant , ce qui fait qu 'en théorie le type aurait du cesser de guetter puisque l ' heure de rentrée est passée , donc il n' y avait plus d' enfant logiquement dans l 'immeuble !
Pourquoi avoir cherché uniquement dans les milieux des SDF !
Invité- Invité
Re: qui est il? XVI
Sur la profession du grêlé, il y'a plein d'hypothèses. Connaissances poussées des ascenseurs (ça fait large mais en même temps c'est pas tout le monde qui sait mettre en panne l'ascenseur 1 jour avant le meurtre).
Ensuite il a l'air familliers des parkings sous terrain, des lotissements...
Ca fait encore large. Ca peut indiquer plein de profession autour (electricien, plombier, salarié de chantier, gardien, agent de sécurité...). Cela fait une personne banale.
De part son mode de vie, il n'a pas l'air publique, donc il ne rencontre pas beaucoup de monde. Ceci est conforme avec un mec qui travaille en chantier, ou bien un mec qui vit en caserne (gendarmerie, militaire...) ou un mec qui bouge souvent (pas de lieu de travail fixe...). Ca peut être aussi un mec qui vit en zone rurale et va sur paris à la chasse.
Ensuite, sur le mode opératoire "garrot espagnol", à voir ou est qu'il est possible d'apprendre cette position car même les enquêteurs ignoraient le nom.
Ensuite il a l'air familliers des parkings sous terrain, des lotissements...
Ca fait encore large. Ca peut indiquer plein de profession autour (electricien, plombier, salarié de chantier, gardien, agent de sécurité...). Cela fait une personne banale.
De part son mode de vie, il n'a pas l'air publique, donc il ne rencontre pas beaucoup de monde. Ceci est conforme avec un mec qui travaille en chantier, ou bien un mec qui vit en caserne (gendarmerie, militaire...) ou un mec qui bouge souvent (pas de lieu de travail fixe...). Ca peut être aussi un mec qui vit en zone rurale et va sur paris à la chasse.
Ensuite, sur le mode opératoire "garrot espagnol", à voir ou est qu'il est possible d'apprendre cette position car même les enquêteurs ignoraient le nom.
utilisateur
Re: qui est il? XVI
Bonjour à tous,
J’ai fait une petite recherche sur le garrot espagnol. Je suis sûr que cette piste a déja été explorée par vous mais ce mode d’exécution des condamnés à mort était d’usage dans l’Espagne franquiste. Bon ici rien de surprenant. Cependant, dans le sous article de Wikipedia, on cite un criminel français ayant utilisé le garrot espagnol ou lacet étrangleur. Il s’agit de Pierre Chenal qui a sévit en Champagne-Ardenne entre 1975 et 1988. Il fût l’un des principaux suspects dans l’affaire des disparus de Mourmelon. Mon point n’est pas que Chenal soit le G. mais le fait que Chenal ait été sergent instructeur dans l’armée. Le G. aurait-il pu être un élève de ce sergent-instructeur dans les années 80 duquel il aurait appris les rudiments du garrot espagnol? Est-ce que quelqu’un a déjà exploré cette piste ?
J’ai fait une petite recherche sur le garrot espagnol. Je suis sûr que cette piste a déja été explorée par vous mais ce mode d’exécution des condamnés à mort était d’usage dans l’Espagne franquiste. Bon ici rien de surprenant. Cependant, dans le sous article de Wikipedia, on cite un criminel français ayant utilisé le garrot espagnol ou lacet étrangleur. Il s’agit de Pierre Chenal qui a sévit en Champagne-Ardenne entre 1975 et 1988. Il fût l’un des principaux suspects dans l’affaire des disparus de Mourmelon. Mon point n’est pas que Chenal soit le G. mais le fait que Chenal ait été sergent instructeur dans l’armée. Le G. aurait-il pu être un élève de ce sergent-instructeur dans les années 80 duquel il aurait appris les rudiments du garrot espagnol? Est-ce que quelqu’un a déjà exploré cette piste ?
Baron693
Re: qui est il? XVI
Baron693 a écrit:Bonjour à tous,
J’ai fait une petite recherche sur le garrot espagnol. Je suis sûr que cette piste a déja été explorée par vous mais ce mode d’exécution des condamnés à mort était d’usage dans l’Espagne franquiste. Bon ici rien de surprenant. Cependant, dans le sous article de Wikipedia, on cite un criminel français ayant utilisé le garrot espagnol ou lacet étrangleur. Il s’agit de Pierre Chenal qui a sévit en Champagne-Ardenne entre 1975 et 1988. Il fût l’un des principaux suspects dans l’affaire des disparus de Mourmelon. Mon point n’est pas que Chenal soit le G. mais le fait que Chenal ait été sergent instructeur dans l’armée. Le G. aurait-il pu être un élève de ce sergent-instructeur dans les années 80 duquel il aurait appris les rudiments du garrot espagnol? Est-ce que quelqu’un a déjà exploré cette piste ?
Bonsoir,
Le grêlé aurait pu faire son service militaire à cette époque. Qu'il ait croisé Chanal n'est pas impossible. Il n'est pas impossible non plus qu'il ait subi des sévices sexuels au sein de l'armée, derrière un agresseur sexuel se cache la plupart du temps un agressé.
Le "garrot espagnol" en tant que technique de neutralisation peut s'apprendre à l'armée... mais on la retrouve aussi dans les pratiques SM (hogtie)
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Le garot(te) ou lacet étrangleur, ça c'est une technique de de mise à mort.
Re: qui est il? XVI
Oui mais a partir du moment où l’on se sert du garrot espagnol pour neutraliser, dans l’esprit d’un pervers sadique il est concevable que l’on se serve de cette technique comme mise à mort également. Fait intéressant: la FINUL était en partie constituée de militaires français ET Espagnols notamment. Est-ce qu’il y aurait pu avoir échange de « techniques » entre les deux armées? La dernière personne exécutée au garrot en Espagne est...en 1974. Les mémoires devaient être encore fraîches a cet époque. Un militaire démobilisé?
Baron693
Re: qui est il? XVI
Bonjour à tous,
Tout comme Mesrine, sans certitude, que le G ait pu avoir un lien ou faire partie de la FINUL est aussi je trouve une idée intéressante. Pour de nombreuses raisons qu'il a exposé.
J'irai même encore un peu plus loin : et si le G avait pu débuter son parcours criminel en opex ? Je ne suis pas un familier de l'armée, donc ma question est cela est-il possible ? S'il avait déjà agressé des jeunes-filles, des femmes sur le terrain d'opération ? Sous couvert d'opération spéciale ? Dans ce cas, cette théorie de la "zone de confort" qu'on la partage ou non, elle ne se situe ni dans le 13ème arrondissement de Paris, ni ailleurs dans la capitale ou sa région... Mais très loin d'ici... A un endroit où à priori, il n'est jamais retourné...
Tout cela pour dire qu'une fois démobilisé, pourquoi pas vers 80/81 dans son cas, on le retrouve à Paris pour une raison que lui seul connaît, lâché dans cette grande ville remplie de "proies" potentielle. Avec son esprit tordu, et ses compétences acquises à l'armée.
Il devient donc ce "chasseur", qui se monte des "opérations" pour agresser. Avec à chaque fois un scénario simple, bien ficelé, qui peut paraître risqué au premier abord, mais en fait un piège presque imparable, avec des risques anticipés et calculés.
Autre hypothèse si on en revient à la FINUL, chacun se fera son idée. Le choix des victimes : à ce qu'on connait du G aujourd'hui, exclusivement des petites brunes. Souvenir des victimes en terrain d'opération ?
Tout comme Mesrine, sans certitude, que le G ait pu avoir un lien ou faire partie de la FINUL est aussi je trouve une idée intéressante. Pour de nombreuses raisons qu'il a exposé.
J'irai même encore un peu plus loin : et si le G avait pu débuter son parcours criminel en opex ? Je ne suis pas un familier de l'armée, donc ma question est cela est-il possible ? S'il avait déjà agressé des jeunes-filles, des femmes sur le terrain d'opération ? Sous couvert d'opération spéciale ? Dans ce cas, cette théorie de la "zone de confort" qu'on la partage ou non, elle ne se situe ni dans le 13ème arrondissement de Paris, ni ailleurs dans la capitale ou sa région... Mais très loin d'ici... A un endroit où à priori, il n'est jamais retourné...
Tout cela pour dire qu'une fois démobilisé, pourquoi pas vers 80/81 dans son cas, on le retrouve à Paris pour une raison que lui seul connaît, lâché dans cette grande ville remplie de "proies" potentielle. Avec son esprit tordu, et ses compétences acquises à l'armée.
Il devient donc ce "chasseur", qui se monte des "opérations" pour agresser. Avec à chaque fois un scénario simple, bien ficelé, qui peut paraître risqué au premier abord, mais en fait un piège presque imparable, avec des risques anticipés et calculés.
Autre hypothèse si on en revient à la FINUL, chacun se fera son idée. Le choix des victimes : à ce qu'on connait du G aujourd'hui, exclusivement des petites brunes. Souvenir des victimes en terrain d'opération ?
Re: qui est il? XVI
Quelqu’un a regardé des photos de copains d’avant du 4e régiment dragon ? Moi oui... J’ai trouvé quelqu’un qui a une tête de G. Vers 1985 et ce dernier se tient pas très loin de qui je pense être Chanal.
Baron693
Re: qui est il? XVI
J’ai une personne au visage grêlé là... en 1987 dans le 4e dragon. Peu de chance que ça soit lui mais quand même.
Baron693
Re: qui est il? XVI
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Et quand on cherche, on trouve, ce n'est qu'une question de persévérance.[/quote]
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WIKITRUC
Si le G était passé par la !?
[i]Décédés en mission
De 1978 au 4 septembre 2009, on compte 279 membres de la FINUL décédés en mission à quoi il faut ajouter des centaines de blessés : 266 soldats, 2 observateurs militaires, 5 membres du personnel civil international, 6 membre du personnel civil local4.
Le bilan en septembre 2006 était de 258 morts : 249 soldats, 2 observateurs militaires, 3 membres du personnel civil international, 4 membres du personnel civil local
De 1978 à 1998, les pertes se répartissaient ainsi :
Accidents : 93
Actes hostiles : 83
Maladies : 42
Autres : 10
Total : 228
La liste de 250 membres de la FINUL décédés lors de la mission est gravée sur une plaque de béton placée face à l'hôtel Rest House de Tyr. [/i]
Et quand on cherche, on trouve, ce n'est qu'une question de persévérance.[/quote]
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WIKITRUC
Si le G était passé par la !?
[i]Décédés en mission
De 1978 au 4 septembre 2009, on compte 279 membres de la FINUL décédés en mission à quoi il faut ajouter des centaines de blessés : 266 soldats, 2 observateurs militaires, 5 membres du personnel civil international, 6 membre du personnel civil local4.
Le bilan en septembre 2006 était de 258 morts : 249 soldats, 2 observateurs militaires, 3 membres du personnel civil international, 4 membres du personnel civil local
De 1978 à 1998, les pertes se répartissaient ainsi :
Accidents : 93
Actes hostiles : 83
Maladies : 42
Autres : 10
Total : 228
La liste de 250 membres de la FINUL décédés lors de la mission est gravée sur une plaque de béton placée face à l'hôtel Rest House de Tyr. [/i]
Maison
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