Cold cases résolus

L'affaire du meurtre de Hinterkaifeck

Il y a 100 ans, six personnes, dont deux enfants, ont été assassinées dans une ferme près de Schrobenhausen. L'affaire est restée inexpliquée jusqu'à aujourd'hui.
...

Enquête avec des méthodes d'investigation modernes

Pour un travail d'étude, 15 élèves policiers de Fürstenfeldbruck de la Fachhochschule für öffentliche Verwaltung und Rechtspflege ont réexaminé l'affaire en 2007. Pour cela, ils ont réexaminé les documents. Ils montrent à quel point l'enquête a été bâclée à l'époque. Même les empreintes digitales n'ont pas été relevées, alors que c'était une pratique courante en 1922. Le rapport de l'enquête des étudiants est certes accessible au public, mais il ne désigne pas d'assassin.

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Il y a toujours des gens qui discutent cette affaire sur des forums, même aujourd'hui ...

235871ŦKassandra88 a écrit:Les vieilles affaires continuent pourtant à intéresser les descendants.
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Bonjour à tou(te)s
Bonjour Kassandra,

L’affaire Seznec n’est pas vraiment une recherche d’un ancien cold case. Il s’agit avant tout d’une demande de révision pour réhabiliter la mémoire d’un nom de famille qui avait été sali…

Il me semble qu’il ne s’agit pas de cela lorsque Fleur demande la résolution d’anciens cold case centenaires.

Penses-tu toi aussi que ces recherches ne coûtent quasi rien?
Je suppose que tu es d’accord avec moi: le budget alloué à la justice pour les recherches d’anciens cold case est bien trop faible pour qu’on s’y attarde jusqu’aux cent ans révolus et que la priorité n’est pas la ?

Mon commentaire était-il «  cupide » et désobligeant envers Fleur?
Qui s’est mise à critiquer l’autre, franchement!

235833ŦManor a écrit:

235346ŦKassandra88 a écrit:Pas-de-Calais : un squelette découvert dans un chantier, les ossements pourraient appartenir à une femme disparue en 1967
La police judiciaire a été saisie à la suite de la découverte « d’ossements » le 20 juin à Bully-Les-Mines. Les enquêteurs ont fait le rapprochement avec la disparition d’une femme il y a 57 ans.

Les enquêteurs cherchent à établir si un rapprochement est possible avec la disparition d’une femme, vue vivante pour la dernière fois en juillet 1967 à Bully-les-Mines, ajoute cette source. D’après nos confrères de RTL, il s’agirait de Fatima Abdesselam-Tani, une aide-infirmière aperçue pour la dernière fois le 4 juillet de cette année vers 19h30, alors qu’elle quittait le domicile de sa mère, situé à quelques kilomètres du chantier.

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Bonjour,
Il y a un très bon article papier paru en 2018 sur cette affaire dans un des volumes hors-série de La Voix du Nord sur les affaires non élucidées de la région. C'est disponible en achat sur leur site pour les personnes intéressées.
L'OCRVP a été saisi, je suis curieux de voir ce qu'ils vont en faire !

Disparue du Pas-de-Calais : la découverte d’un squelette féminin réveille le souvenir de Fatima
La jeune femme de 25 ans s’était mystérieusement volatilisée un soir de juillet 1967 à Grenay. Seule sa voiture avait été retrouvée. Depuis la découverte d’ossements humains sur la commune limitrophe, sa famille espère en savoir plus.

Par Déborah Roques, envoyée spéciale dans le Pas-de-Calais
Le 11 juillet 2024 à 19h09

Le terrain est désert. Plus aucune trace de la grue. Juste un peu de terre retournée. C’est ici, dans ce champ de Bully-les-Mines où la municipalité projette de construire une piscine, qu’ont été retrouvés lors de fouilles archéologiques il y a quinze jours, des ossements humains correspondant au squelette d’une femme de 18 à 25 ans.

Depuis, les spéculations vont bon train. Sont-ils ceux de Fatima Abdesselam-Tani, disparue il y a 57 ans ? De cette jolie brune de 25 ans, seule la voiture avait été retrouvée au lendemain de sa volatilisation le 4 juillet 1967 sur la commune limitrophe de Grenay. La Voix du Nord écrivait alors : « Une portière était ouverte, les clefs de contact se trouvaient sur le tableau de bord et son sac à main sur le siège : il contenait un peu d’argent et ses papiers d’identité ».L’enquête préliminaire ouverte par le parquet de Béthune a désormais la charge de faire réaliser les expertises qui diront si cette macabre découverte a un lien avec Fatima. « Identifier le corps, comprendre la cause de la mort et la raison pour laquelle le corps a été retrouvé à cet endroit-là » seront les premières tâches des investigateurs, précise le procureur Étienne Thieffry.

Analysés d’abord au laboratoire de police scientifique de Lille, les restes humains seront ensuite transmis à une équipe de Marseille, dédiée aux ossements anciens. « Cela peut prendre trois semaines », explique Alain Stevanovitch, expert en empreintes génétiques et spécialiste de recherche d’identités de soldats de la Première et Seconde Guerre mondiale.

« Je ne veux pas me réjouir trop vite »
Fredera, 69 ans, attend de ces résultats la fin de sa longue bataille : « Les policiers m’ont appelé pour m’annoncer la nouvelle, mais il faut patienter, je ne veux pas me réjouir trop vite. » L’espoir est là cependant : « J’avais peur de partir et de laisser ma sœur dans un terrain vague ». Elle avait 12 ans lorsque son aînée a disparu. Elle s’est battue depuis sans répit pour tenter de comprendre ce qui était arrivé à sa « seconde maman », un mystère douloureux jamais élucidé.

Un fardeau qui s’est transmis à sa fille Leïla, hantée par le fantôme d’une tante qu’elle n’a jamais connue. « Une souffrance que j’ai eue par héritage, dit cette dernière âgée de 48 ans. Il m’arrivait le week-end de voir ma mère prendre une pelle et tenter de retrouver Fatima, elle n’a jamais voulu croire à une fugue et n’a jamais rien lâché ».

Du récit familial, on comprend que Fatima était une « avant-gardiste », une jeune femme libre qui se voulait indépendante dans cette France des années 60 où elle était arrivée avec ses parents quand elle avait 10 ans. Aide-soignante à l’hôpital psychiatrique de Saint-Venant, elle avait pour ambition de devenir infirmière et elle s’était offert une Simca 1 000 blanche avec laquelle elle sillonnait la région à partir de la maison de ses parents de Sains-en-Gohelle où elle résidait toujours, à 8 km à peine du lieu où sa voiture a été retrouvée.

La disparition de Fatima avait chamboulé les villages tranquilles du Pas-de-Calais. Philippe Egu, 70 ans, un féru d’histoire locale le confirme. Cet habitant de Grenay se souvient : « Il y avait beaucoup de policiers, de gendarmes, tout le monde en parlait ». La piste d’un féminicide — on disait alors crime passionnel — avait été un temps évoquée. Deux témoignages intéressants avaient été rapportés dans la presse. Un ingénieur et son épouse, résidant à côté du lieu où le véhicule de Fatima a été retrouvé, avaient entendu les éclats d’une dispute sortant de l’habitacle.

Un riverain, aujourd’hui âgé de 90 ans, habitant non loin de chez Fatima à Sains-en-Gohelle, se souvient avoir entendu la jeune aide-soignante, une quinzaine de jours avant qu’elle ne donne plus trace de vie, hurler au bout de la rue : « Elle criait : tu me laisses, elle était accroupie et les gars disaient on va te retrouver. Mais quand avec un voisin ils se sont approchés, les hommes se sont barrés ».

Les investigations n’avaient pourtant pas prospéré. Pour l’avocat de Fredera, Me Joachim Bokobsa, le dossier a fini par être classé en 2017. Mais selon le parquet de Béthune, des éléments d’enquête ont encore été réalisés en 2019 lorsque des os, déjà, avaient été retrouvés… Ils étaient en fait ceux d’animaux.

« Elle pourrait avoir une sépulture décente »
Pour Fredera, les pistes du féminicide ou de la fugue n’ont jamais été les bonnes hypothèses. Pour elle, il s’agit d’un « guet-apens ». « Quelques semaines avant sa disparition, Fatima n’était pas bien, elle avait peur », dit-elle. Elle est convaincue que sa sœur craignait pour sa vie, qu’elle savait des choses qui ont pu la mettre en danger.

À Bully-les-Mines, tout le monde connaît le visage de Fatima. Fredera colle régulièrement des affiches à l’effigie de sa sœur, notamment près de la gare, en face de Chez Johnny, un des restaurants les plus fréquentés du bourg. Delphine la serveuse n’était pas encore née lors de la disparition de la jeune femme, mais elle a toujours vu l’affiche. « Ça serait un dénouement, un soulagement pour la famille », dit-elle les larmes aux yeux, évoquant la découverte des ossements. « Elle pourrait avoir une sépulture décente ». Où Fredera et Leïla se recueilleraient enfin, avant de connaître peut-être un jour, les circonstances qui ont mené Fatima dans la tombe.

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« C’est le combat d’une vie, je ne voulais pas partir et laisser le corps de ma soeur perdu dans la nature » : 57 ans plus tard, le mystère autour de la disparition d’une jeune femme va-t-il être résolu ?

Un squelette retrouvé et l’espoir renaît, 57 ans après, dans une famille du Pas-de-Calais


Rien ne prouve encore que ces ossements, retrouvés le 20 juin par des archéologues sur le chantier de la future piscine municipale de Bully-les-Mines lors d’un « diagnostic archéologique », sont ceux de la jeune femme.

Mais selon une source policière peu après la découverte, ce squelette « pourrait être celui d’une femme de 18 à 25 ans, dont le corps se trouvait à cet endroit depuis au moins 50 ans ».

Le parquet de Béthune indique pour sa part que des analyses sont en cours pour vérifier s’il correspond bien au corps de Fatima. Elles devraient être connues dans les prochaines semaines.

d’une vie, je ne voulais pas partir et laisser le corps de ma soeur perdu dans la nature »
Sa petite soeur Fredera, 69 ans, qui a enquêté toute sa vie sur cette disparition, veut croire à un « miracle ». « C’est le combat d’une vie, je ne voulais pas partir et laisser le corps de ma soeur perdu dans la nature », raconte à l’AFP la retraitée, qui veut « la vérité, un procès et un pardon ».

« Pas de bêtises ! »
Fatima, élève infirmière à l’hôpital psychiatrique de Saint-Venant, était l’aînée d’une famille de huit enfants.

Elle n’a plus donné signe de vie depuis le mardi 4 juillet 1967, à son départ vers 19H30 du domicile familial de Sains-en-Gohelle.

Dès le lendemain, l’AFP titre : « Mystérieuse disparition d’une élève infirmière dans le Pas-de-Calais ». Quelques jours plus tard, L’Aurore écrit : « L’infirmière trop coquette a disparu le 4 juillet. Sans doute un crime sans cadavre. »

Son véhicule, une Simca 1.000 blanche, est retrouvé abandonné dans une impasse à Grenay. Une portière est ouverte : à l’intérieur se trouvent, selon l’AFP à l’époque, son sac à main et une lettre de rupture. Près du véhicule, des sous-vêtements lui appartenant.

Les gendarmes affirment alors que des témoins ont entendu la nuit de sa disparition une querelle venant de cette impasse. Ils n’écartent pas l’hypothèse d’un enlèvement.

Après avoir recueilli des centaines de témoignages, la soeur de Fatima assure avoir identifié plusieurs participants à un « guet-apens » dont elle aurait été victime

La suite ici:

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Même si il retrouve le criminel (si il est encore vivant), il aura la prescription, donc il n'ira pas en prison...

De toute façon le meurtrier présumé est décédé.

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Meurtre sauvage d’une prostituée à Limoges : « Il hurlait au loup les soirs de pleine lune »
Le suspect du meurtre d’une prostituée commis il y a vingt-deux ans et interpellé récemment à Limoges était connu, dans son quartier d’Ambazac, où il vivait depuis des années, en raison de son comportement étrange et dérangeant.

Dans cette cité HLM d’Ambazac, en Haute-Vienne, à une vingtaine de kilomètres au nord-est de Limoges, les habitants ne le croisaient que très peu en journée. Sébastien B, suspect du meurtre sauvage d’une prostituée commis il y a vingt-deux ans à Limoges, était plutôt connu pour son activité nocturne particulièrement bruyante. « Dans la nuit, il nous est arrivé de l’entendre hurler au loup », témoigne Corinne, une habitante de la cité des Rivailles. « Mes voisines l’appelaient le loup-garou. Il criait quand il y avait des pleines lunes, tapait dans sa véranda. C’était l’enfer. »
Et cette femme blonde, figure du quartier, de se remémorer un événement survenu il y a deux ans. « C’était la canicule, nous étions cinq amies, tranquillement installées au parc, quand il a débarqué à vélo. Il était dans un état second, nous a jeté sur la table une boîte à pizza et a planté un immense couteau dedans. Servez-vous, il en reste, a-t-il lancé. La lame devait faire 20 cm. Il n’a pas été agressif, ni méchant. Mais il était alcoolisé et nous avons eu peur. Il avait l’habitude d’insulter une retraitée quand elle promenait son chien. Il disait à notre voisine Simone : La vieille, elle n’est bonne qu’à sortir son chien pour l’emmener pisser. Il était quand même sacrément bizarre. »
« Quand j’ai appris qu’il avait tué quelqu’un, ça m’a fait drôle »
« Quand j’ai appris qu’il avait tué quelqu’un, ça m’a fait drôle. Je suis tombée sur les fesses. Je n’étais même pas née à l’époque ! » lance Manon, une voisine de 22 ans. « Il traitait les gens de cassoce, de noms d’oiseaux de toutes sortes. C’est vrai qu’on l’entendait le soir venu. Quand on voulait dormir, c’était dérangeant. Mais avec moi, il était plutôt gentil, paraissait cultivé. Pendant le Covid, il est même arrivé de nous balader ensemble et il avait joué avec mon frère au basket », continue la jeune femme.
Sébastien B., 46 ans, est aujourd’hui soupçonné d’avoir sauvagement tué une prostituée, il y a vingt-deux ans, à Limoges. Le 10 février 2002, le corps sans vie d’Hannah Tabi, originaire du Ghana, avait été retrouvé dans le centre-ville, rue Beyrand, non loin du Champ de juillet, le quartier des prostituées. Elle avait reçu un coup fatal à l’aorte. Des coups de poignard au niveau du pubis et de l’anus avaient également été portés sur la victime, post mortem. Un acharnement laissant penser à l’œuvre d’un sociopathe, voire d’un tueur en série. Des pistes en ce sens avaient d’ailleurs été explorées. En 2003, un quadragénaire affirmant avoir tué plusieurs prostituées à travers la France, avait été interpellé dans la Drôme mais rapidement mis hors de cause.

Durant vingt-deux ans, Sébastien B., père de famille vivant seul de petits boulots, consommateur régulier d’alcool et de cannabis, avait réussi à passer sous les radars de la police pour ce meurtre. Cet homme décrit comme intelligent, passionné de philosophie chinoise, n’était connu que pour des conduites en état d’ivresse et avait même effectué un court séjour en prison. Les gendarmes étaient intervenus dans la cité des Rivailles pour tapage nocturne. Mais son destin a basculé, il y a quelques mois.
Avant l’été, les gendarmes l’arrêtent de nouveau pour une infraction routière et conduite sous l’emprise des stupéfiants. Ils décident de prélever son ADN. Quand les résultats tombent, la police judiciaire de Limoges n’en croit pas ses yeux. L’ADN correspond à l’échantillon de sperme prélevé dans un préservatif abandonné sur le lieu du meurtre d’Hannah Tabi. L’espoir de résoudre l’un des plus célèbres cold cases de Limoges renaît.
« Une sorte de transfert » après une violente altercation
Encore faut-il que le suspect passe aux aveux. C’est alors la crainte des enquêteurs : qu’il nie le crime, assurant n’être qu’un simple client pour justifier la découverte du préservatif sur place. Pourtant, dès le début de la garde à vue, Sébastien B. passe à table, comme « soulagé d’avouer », selon une source.
L’auteur présumé a indiqué connaître la victime dont il était un client régulier. Le soir du meurtre, il était allé voir son ex pour discuter et avait eu une altercation violente avec le nouveau compagnon de cette dernière. « Il était alcoolisé, sous stupéfiants, très en colère et a fait une sorte de transfert. Il a pris un couteau et a tué cette prostituée », note une source.
À l’époque, la PJ passe même à deux doigts de l’arrêter. « Une enquêtrice a eu l’idée d’interroger tous les marginaux et toutes les personnes sorties d’hôpital psychiatrique quelques jours avant les faits », se rappelle un enquêteur aujourd’hui retraité ayant travaillé sur l’affaire. Or, le père de Sébastien B. vient de sortir du centre psychiatrique d’Esquirol, à Limoges. Quand les policiers se présentent à son domicile pour l’interroger, c’est son fils, l’auteur présumé, qui ouvre la porte. « Il a dû transpirer, pensant que la police venait pour lui », dit encore une personne proche du dossier.
Mais au final, les policiers vont demander à parler à son père… qui sera mis hors de cause. Sébastien B. a été mis en examen pour « assassinat » et « actes de torture et de barbarie » puis placé en détention. L’enquête autour de ce père de famille continue pour savoir si on peut lui imputer d’autres crimes irrésolus.

Pas-de-Calais : le squelette féminin découvert sur un chantier n’est pas celui de Fatima, disparue en 1967
Des ossements retrouvés sur le chantier de la future piscine municipale de Bully-les-Mines avaient relancé l’espoir de retrouver la trace de Fatima Abdesselam-Tani, disparue depuis le 4 juillet 1967.

« Le rapport d’analyse génétique vient d’être transmis, il conclut que le squelette découvert n’est pas celui de Fatima Abdesselam-Tani » par « comparaison par ADN mitochondrial avec l’ADN de membre de la famille », a indiqué le procureur Étienne Thieffry dans un communiqué. L’ADN nucléaire est transmis par les deux parents mais l’ADN mitochondrial (ADNmt) n’est hérité que de la mère.

« La recherche d’ADN nucléaire est vaine : l’exploitation des ossements n’a pas permis de prélever de l’ADN » nucléaire « susceptible de dresser le profil génétique de la personne défunte », a-t-il ajouté.
...

L’enquête se poursuit pour déterminer à qui appartient ce squelette, a précisé le parquet.


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Tous ces enfants enlevés et séquestrés ou élevés par une autre famille mais retrouvés vivants:
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235882ŦSourisverte a écrit:

235871ŦKassandra88 a écrit:Les vieilles affaires continuent pourtant à intéresser les descendants.
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Bonjour à tou(te)s
Bonjour Kassandra,

L’affaire Seznec n’est pas vraiment une recherche d’un ancien cold case. Il s’agit avant tout d’une demande de révision pour réhabiliter la mémoire d’un nom de famille qui avait été sali…

Il me semble qu’il ne s’agit pas de cela lorsque Fleur demande la résolution d’anciens cold case centenaires.

Penses-tu toi aussi que ces recherches ne coûtent quasi rien?
Je suppose  que tu es d’accord avec moi: le budget alloué à la justice pour les recherches d’anciens cold case est bien trop faible pour qu’on s’y attarde jusqu’aux cent ans révolus et que la priorité n’est pas la ?

Mon commentaire était-il «  cupide » et désobligeant envers Fleur?
Qui s’est mise à critiquer l’autre, franchement!

Bonjour,

Si bien sûr. Elle est intrigante cette histoire, Kassandra. Je vais m’y intéresser, merci.

Bien cordialement

245784ŦMartin.Duois a écrit:Voyeur, fétichiste, obsédé par sa voisine : dans la tête du tueur des époux Muller
INFO LE PARISIEN. L’expertise psychiatrique du tueur présumé de Jean-Claude et Sylviane Muller révèle une personnalité sans affect, incapable d’éprouver de la culpabilité et traversée par de profonds troubles sexuels. Sa dangerosité, en cas de libération, est jugée « très importante ».
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Bienvenue Martin sur le forum.

246162ŦMartin.Duois a écrit:
Ensuite, si j'ai envie de mentir sur l'âge, ma localisation, il est où le blème ? Vous allez faire quoi ? Je vous dois quelque chose ?

Modifier son âge et sa localisation (réels ou pas) d'un pseudo à l'autre, cela ne fait pas très sérieux!
On ne sait pas qui se cache derrière un écran, alors avoue que pour ceux qui ne te "connaissent" pas depuis longtemps, il y a de quoi se poser des questions.

Une affaire de disparition d’une jeune fille de 19 ans résolue 34 ans après
Le 13 juillet 1990, Angelique Hendrix, une Néerlandaise de 19 ans, disparaissait après avoir quitté le domicile de ses parents à Stein, aux Pays-Bas. Dix mois après, un crâne avait été retrouvé en Belgique.

Un cold case de moins. Une récente modification de la législation belge, qui permet désormais de communiquer les données ADN nationales à la base de données I-Familia d’Interpol, a permis aux enquêteurs de résoudre une affaire de disparition vieille de trente-quatre ans.

Le 13 juillet 1990, Angelique Hendrix, une Néerlandaise de 19 ans, disparaissait après avoir quitté le domicile de ses parents à Stein, aux Pays-Bas. Les premières recherches ne donnent rien. Dix mois après sa disparition, un crâne avait été retrouvé en Belgique, de l’autre côté de la frontière entre les deux pays, au niveau de la commune de Maasmechelen.

Problème : la législation alors en vigueur ne permet pas de confondre l’ADN prélevé sur le crâne, trouvé en Belgique, et celles de la famille d’Angelique Hendrix, transmises aux autorités néerlandaises. Les proches de la jeune fille étaient donc toujours, depuis sa disparition, dans l’inconnue.

« Rassembler les différentes pièces du puzzle »
La modification de la loi belge, survenue en mars dernier, a permis de débloquer la situation. L’ADN du crâne a été transmis à Interpol. L’organisation internationale a, de son côté, récupéré celles transmises par les proches d’Angelina Hendrix à I-Familia. Cette base regroupe les données génétiques communiquées volontairement par les membres des familles des personnes disparues.

Sous la houlette d’Interpol, les deux ADN ont été confondues. Le crâne retrouvé à Maasmechelen en mai 1991 est bien celui de la jeune fille disparue un peu moins d’un an auparavant.

« L’avancée majeure dans l’identification d’Angélique a été réalisée grâce aux efforts des services chargés de l’application de la loi belges et néerlandais et au rôle crucial d’I-Familia, qui apporte des réponses aux familles des personnes disparues », s’est réjouie l’organisation dans un communiqué. « Dans les affaires de disparition, la coopération internationale joue un rôle essentiel en permettant aux enquêteurs de rassembler les différentes pièces du puzzle entourant la disparition d’une personne. »

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209242ŦHercule-Poirot a écrit:

Hercule-Poirot a écrit:

Après "Aktenzeichen XY... non résolu": Cold Case Jutta Hoffmann résolu après 37 ans

Hesse du Sud - Qui a assassiné Jutta Hoffmann il y a 37 ans ? La police du sud de la Hesse a traité cette question à plusieurs reprises ces dernières années. L'élève alors âgeé de 15 ans a disparu sans laisser de trace le 29 juin 1986 - jour de la finale de la Coupe du monde de football au Mexique entre l'Allemagne et l'Argentine - après avoir visité une piscine extérieure à Lindenfels dans le district de Bergstrasse et a ensuite été tuée. . Son corps squeletté n'a été retrouvé que plus d'un an et demi plus tard, le 10 février 1988, dans une zone boisée à Lindenfels.

...

Affaire de meurtre Jutta Hoffmann: Un homme, 61 ans, identifié comme suspect

Tôt le jeudi 30 mars 2023, le parquet, le LKA Hessen et le quartier général de la police du sud de la Hesse ont pu signaler une enquête réussie : à la demande du parquet, un juge d'instruction du tribunal de district de Darmstadt a émis un mandat d'arrêt contre un homme de 61 ans originaire de Bensheim sur de fortes suspicions de meurtre.

...

Les soupçons contre l'accusé sont apparus après que d'anciens scellés ont été à nouveau analysés et que son ADN a été retrouvé. Au cours d'enquêtes approfondies et complexes, les soupçons ont finalement été "étayés à un point tel qu'un mandat d'arrêt contre l'accusé a pu être obtenu", selon des témoins, a déclaré le procureur Robert Hartmann, porte-parole du parquet de Darmstadt.

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Ce qui est étonnant c'est que la police a toujours cherché deux hommes, vu et décrit par une témoin, avec des portraits robots. On les a jamais trouvés. Apparemment ils n'ont rien à faire avec ce meurtre.

Près de 40 ans après le meurtre d'une adolescente de 15 ans à Lindenfels, dans le sud de la Hesse, un homme aujourd'hui âgé de 62 ans a été condamné à perpétuité. Le tribunal régional de Darmstadt a ordonné vendredi que l'accusé continue de séjourner dans un hôpital psychiatrique où il est interné depuis 2012.
Le tribunal a considéré qu'il était prouvé que l'Allemand avait poussé la jeune fille dans la forêt en juin 1986, près de la maison de ses parents, l'avait menacée avec un couteau, violée et ensuite poignardée. L'adolescente de 15 ans revenait d'une piscine en plein air et se rendait chez ses parents. Elle a été portée disparue pendant un peu plus d'un an et demi avant qu'un promeneur ne retrouve son corps squelettique dans la forêt en février 1988.
Le crime, non élucidé depuis des décennies, avait été confié à des unités dites de "cold case" de l'Office national de la police criminelle et de la police, qui examinent les cas de meurtres non résolus à la recherche de nouveaux indices et les étudient à l'aide de nouvelles techniques criminelles. Lors d'un nouvel examen de traces génétiques sur d'anciennes pièces à conviction, l'ADN de l'accusé avait été découvert. Selon des informations antérieures des enquêteurs, l'homme de 62 ans a été condamné à plusieurs reprises pour des délits sexuels et d'autres infractions.

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La police avait utilisé un agent infiltré pour prouver que l’accusé savait des détails du meurtre qui n’étaient pas communiqués au public.

Jugement pour le meurtre d'une jeune fille de 15 ans en 1986 à Lindenfels est définitif

Décision du 8 octobre 2024 - 2 StR 241/24

Le tribunal régional a condamné l'accusé pour meurtre à une peine d'emprisonnement totale à perpétuité en incluant une peine d'emprisonnement prononcée antérieurement et a maintenu l'internement dans un hôpital psychiatrique ordonné antérieurement.

Selon les constatations du tribunal régional, l'accusé, âgé entre-temps de 63 ans, a tué la victime de 15 ans le 29 juin 1986 dans une forêt à Lindenfels, dans le sud de la Hesse, après avoir commis des actes sexuels sur elle contre sa volonté, afin d'empêcher la découverte du délit sexuel et son identification par la victime.

Par décision, la Cour fédérale de justice a rejeté le pourvoi en cassation de l'accusé comme non fondé, le réexamen du jugement n'ayant révélé aucune erreur de droit à son détriment. Le jugement est donc entré en vigueur.

Instance précédente :

LG Darmstadt - jugement du 22 décembre 2023 - 11 Ks 400 Js 7185/21 (7/23)

Karlsruhe, le 16 octobre 2024

Service de presse de la Cour fédérale de justice

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246320ŦKassandra88 a écrit:Une affaire de disparition d’une jeune fille de 19 ans résolue 34 ans après

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Le 13 juillet 1990, Angelique Hendrix, une Néerlandaise de 19 ans, disparaissait après avoir quitté le domicile de ses parents à Stein, aux Pays-Bas. Dix mois après, un crâne avait été retrouvé en Belgique.

Un cold case de moins. Une récente modification de la législation belge, qui permet désormais de communiquer les données ADN nationales à la base de données I-Familia d’Interpol, a permis aux enquêteurs de résoudre une affaire de disparition vieille de trente-quatre ans.

Le 13 juillet 1990, Angelique Hendrix, une Néerlandaise de 19 ans, disparaissait après avoir quitté le domicile de ses parents à Stein, aux Pays-Bas. Les premières recherches ne donnent rien. Dix mois après sa disparition, un crâne avait été retrouvé en Belgique, de l’autre côté de la frontière entre les deux pays, au niveau de la commune de Maasmechelen.

Problème : la législation alors en vigueur ne permet pas de confondre l’ADN prélevé sur le crâne, trouvé en Belgique, et celles de la famille d’Angelique Hendrix, transmises aux autorités néerlandaises. Les proches de la jeune fille étaient donc toujours, depuis sa disparition, dans l’inconnue.

« Rassembler les différentes pièces du puzzle »
La modification de la loi belge, survenue en mars dernier, a permis de débloquer la situation. L’ADN du crâne a été transmis à Interpol. L’organisation internationale a, de son côté, récupéré celles transmises par les proches d’Angelina Hendrix à I-Familia. Cette base regroupe les données génétiques communiquées volontairement par les membres des familles des personnes disparues.

Sous la houlette d’Interpol, les deux ADN ont été confondues. Le crâne retrouvé à Maasmechelen en mai 1991 est bien celui de la jeune fille disparue un peu moins d’un an auparavant.

« L’avancée majeure dans l’identification d’Angélique a été réalisée grâce aux efforts des services chargés de l’application de la loi belges et néerlandais et au rôle crucial d’I-Familia, qui apporte des réponses aux familles des personnes disparues », s’est réjouie l’organisation dans un communiqué. « Dans les affaires de disparition, la coopération internationale joue un rôle essentiel en permettant aux enquêteurs de rassembler les différentes pièces du puzzle entourant la disparition d’une personne. »

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Vaste opération de recherche à Maasmechelen en lien avec la disparition d’une jeune fille de 18 ans en 1990

Une vingtaine de véhicules de la protection civile et de la cellule des personnes disparues de la police étaient déployés mercredi matin le long du Zuid-Willemsvaart à Malines-sur-Meuse (Mechelen-aan-de-Maas), une entité de Maasmechelen (province du Limbourg). Un bateau de la police fédérale a été mis à l’eau. Des chiens pisteurs et des plongeurs se trouvaient également sur place.

Des policiers et des membres de la protection civile inspectaient le chemin de halage, tandis que des tronçonneuses se faisaient entendre dans la zone naturelle de Maaswinkel, à proximité.
Une vingtaine de véhicules de la protection civile et de la cellule des personnes disparues de la police étaient déployés mercredi matin le long du Zuid-Willemsvaart à Malines-sur-Meuse (Mechelen-aan-de-Maas), une entité de Maasmechelen (province du Limbourg). Un bateau de la police fédérale a été mis à l’eau. Des chiens pisteurs et des plongeurs se trouvaient également sur place.

L’opération durera plusieurs jours. Les policiers recherchent d’éventuelles traces et des objets ayant appartenu à Angélique Hendrix.

Les autorités belges ont déjà fouillé la zone en question en 1991. Aucun autre reste humain n’avait alors été découvert. La zone fait cependant à nouveau l’objet de recherches approfondies plus de 30 ans plus tard, à la suite d’une demande d’entraide judiciaire des Pays-Bas, a indiqué mercredi matin la police du Limbourg néerlandais.

La police belge est responsable des recherches, qui se déroulent sur le territoire belge, conformément aux lignes directrices et aux procédures de notre pays. Des agents de la police du Limbourg néerlandais assistent néanmoins à l’opération menée à Malines-sur-Meuse. Les proches d’Angélique Hendrix ont par ailleurs été informés de cette vaste opération de recherche.

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Une affaire étrange tout de même. Comment cet homme de plus de 80 ans a t-il pu accéder à l'espace sous les combles par une trappe quasi inaccessible et très peu visible et sans échelle retrouvée au sol à proximité ou même remontée dans la soupente ...

De plus les combles perdus ne permettent pas souvent de se tenir debout et n'ont pas souvent de plancher. Bref ! La corde présentait elle une boucle et un noeud ?

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249442ŦSortcière a écrit:Une affaire étrange tout de même. Comment cet homme de plus de 80 ans a t-il pu accéder à l'espace sous les combles par une trappe quasi inaccessible et très peu visible et sans échelle retrouvée au sol à proximité ou même remontée dans la soupente ...

De plus les combles perdus ne permettent pas souvent de se tenir debout et n'ont pas souvent de plancher. Bref ! La corde présentait elle une boucle et un noeud ?

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Bonjour Sortcière,
Je me suis posée les mêmes questions en lisant l'article du Parisien ce matin:
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En plus de cela, il y a l'odeur...
Malgré tout, ils parlent quand même de dépendance attenante à la maison principale

La dernière phrase de l'article:
La brigade de recherche de Forbach est chargée de l’enquête sur la recherche des causes de la mort.
Vu que le pauvre homme est réduit à l'état squelettique, je ne suis pas sûr que le légiste parviendra à déterminer les causes de la mort.

La disparition d’un petit garçon de 7 ans résolue 65 ans plus tard, un squelette découvert dans le Wisconsin « a parlé »
Le squelette du petit garçon avait été découvert dans un fossé du Wisconsin en 1959. Grâce à des recherches ADN, les autorités peuvent désormais affirmer qu’il a été battu à mort par sa famille adoptive.
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