Cold cases résolus
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Tueur en série : le grêlé. :: AFFAIRES EN COURS :: AFFAIRES RÉSOLUES .... ou presque
affaires TROADEC, DAVAL, Anaïs G, WISSEM, Lucas T., Sophie Narme
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Re: Cold cases résolus
En 1995, le corps démembré de Corinne Di Dio, 37 ans, est retrouvé. En 2023, Marie-Thérèse Garcia, une grand-mère de 77 ans, est soupçonnée d'être impliquée dans ce meurtre. Sa sombre réputation suffit-elle à en faire une tueuse? A 14h30 sur RTL
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#épisodeinédit.
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#épisodeinédit.
« À aucun moment, vous n’avez envisagé que cette viande dans le frigo... soit votre mère ? »
Tristanduvar
Re: Cold cases résolus
Comment un logiciel d’IA a permis à la police de retrouver l’une des plus grandes fugitives d’Europe.
La police allemande a arrêté Daniela Klette, présumée terroriste recherchée depuis trente ans, après que des journalistes ont retrouvé sa trace grâce à un simple logiciel de reconnaissance faciale.
...
« L’intelligence artificielle est forte, mais elle ne peut pas accomplir des miracles. S’il n’y a pas de photos de gens sur Internet, alors elle ne peut rien trouver », ajoute-t-il.
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La police allemande a arrêté Daniela Klette, présumée terroriste recherchée depuis trente ans, après que des journalistes ont retrouvé sa trace grâce à un simple logiciel de reconnaissance faciale.
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« L’intelligence artificielle est forte, mais elle ne peut pas accomplir des miracles. S’il n’y a pas de photos de gens sur Internet, alors elle ne peut rien trouver », ajoute-t-il.
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Re: Cold cases résolus
215413ŦKassandra88 a écrit:Comment un logiciel d’IA a permis à la police de retrouver l’une des plus grandes fugitives d’Europe.
La police allemande a arrêté Daniela Klette, présumée terroriste recherchée depuis trente ans, après que des journalistes ont retrouvé sa trace grâce à un simple logiciel de reconnaissance faciale.
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« L’intelligence artificielle est forte, mais elle ne peut pas accomplir des miracles. S’il n’y a pas de photos de gens sur Internet, alors elle ne peut rien trouver », ajoute-t-il.
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le titre est à la gloire de la police…
C’est effectivement la police qui l’a arrêtée mais c’est un journaliste qui l’avait retrouvée.
Avec un logiciel, disons assez bas de gamme et à la portée de la plupart.
Quand on sait qu’en France on enterre encore énormément de personnes sous X , on peut se demander si en France on utilise ce logiciel, je ne pense pas. Si le visage de la personne n’est pas trop abîmé cette recherche ne prend que quelques minutes. Plus la personne est âgée, plus vite les résultats tombent!
De même pour Lina, je crois qu’ils n’utilisent pas ce logiciel: pour preuve, la demande aux élèves de leur communiquer leur pseudos sur Snap…
Certaines polices, hors de France utilisent encore un logiciel plus performant que celui-ci!
Sourisverte
Re: Cold cases résolus
Un chausson aux pommes acheté avec un faux billet de 20 euros… La présidente des comparutions immédiates, Delphine Jabeur, en convient, elle a « un peu levé les yeux au ciel » en voyant cette affaire au rôle de ce lundi, au tribunal judiciaire de Paris. Détention de fausse monnaie, escroquerie… « Pas l’affaire du siècle ! », résume-t-elle.
Vu le casier du prévenu, le parquet n’a pas hésité longtemps : le quinqua brun au visage émacié qui apparaît dans le box, avec sa longue silhouette dans une doudoune un peu large, a autant de mentions que son âge, 54. « On fait quoi, maintenant ? À un moment, la justice est coincée… » lui dit la présidente. « Je vous le promets, mettez-moi un gros sursis », suggère Charles, avec une pointe d’accent du sud peu habituelle dans ce box parisien.
« J’ai passé ma vie en prison, j’ai rien connu »
Sauf que le sursis n’est pas possible. Le sudiste est en récidive, déjà épinglé avec des faux billets, qu’il aurait obtenus en échange de la vente de son téléphone. Il pleure : « J’ai passé ma vie en prison, j’ai rien connu. » Trente ans de toxicomanie, héroïne, cocaïne en intraveineuse. La présidente parcourt son casier, « trois ans, quatre ans… ». « Quatre ans pour 200 g de shit, c’était au moment de Sarkozy (et des peines planchers), justifie-t-il. J’ai réussi à m’en sortir. Je me fais suivre pour ça. »
Une vie de galère, « c’est de l’autodestruction », dit-il avant d’aborder un parcours aux allures de descente aux enfers. Élevé par sa grand-mère, la drogue depuis l’adolescence, sa mère « assassinée », un cold case pour la justice pendant près de deux décennies. Le tribunal est en apnée. « Ma mère a été assassinée, elle était partie sur Valence pour trouver du travail, elle a loupé la correspondance de son train, elle est tombée sur un sale mec… J’ai perdu toute ma famille après, mon oncle est mort un an après, j’entends encore son cri de douleur. »
Charles est le fils de Chantal de Chillou, retrouvée morte le 2 août 2001 dans la Drôme, violée, tuée à Chatuzange-le-Goubet, un cold case pendant dix-neuf ans. Jusqu’à ce que les progrès de la science permettent de relier un nom à ce mégot de cigarette abandonné près du corps. Le frère de Chantal a « souffert jusqu’à sa mort d’avoir dû identifier le corps de sa sœur », indiquait au Parisien le neveu, évoquant aussi le fils de Chantal, qui « a aussi beaucoup vrillé après tout ça ».
Il est là, ce fils, dans le box de la 23e chambre. « J’ai perdu toute ma famille après, je me suis autodétruit » résume Charles. « Il a cru pendant vingt ans que sa mère avait été assassinée à cause de lui », insiste son avocate, Me Ingrid Souchard. En quête de vérité pendant toutes ces années, la famille s’est demandé si la mort de Chantal pouvait être liée au « fils qui avait déjà fait des bêtises ».
Interdit de Paris pendant trois ans
Le fumeur du mégot,Romain (Raymond) T., a été condamné à la perpétuité mais il a fait appel. Un nouveau procès s’annonce. On comprend que depuis la résolution du cold case, Charles a réussi à remonter doucement la pente. Il a eu son bac en prison, plusieurs CAP et vient de décrocher un logement, en Normandie. Une formation en informatique l’attend, il doit la terminer en mai. « En juin-juillet, il peut travailler, défend son avocate. Il finit par voir la lumière, le bout du tunnel. »
S’il est venu à Paris, dit-elle, c’était pour « acheter des vêtements pour sa formation ». Mais 120 euros pour une chemise et un pantalon n’auraient pas suffi. À Barbès (XVIIIe), on lui aurait proposé ces faux billets de 20 euros, « si pourris que tout le monde s’en aperçoit » dit la présidente. Il en avait plus d’une quinzaine sur lui au moment de son arrestation, près du Panthéon (Ve), après le fameux chausson aux pommes…
Une « situation désolante », tous les magistrats en conviennent. La procureure requiert six mois de prison, il pourra purger sa peine avec bracelet électronique. Le tribunal se retire quelques minutes et prononce une peine de quatre mois de prison, sans mandat de dépôt, et une interdiction de Paris pendant trois ans. Un juge de l’application des peines avisera pour les modalités. « Merci beaucoup, je vous promets que je ne bougerai plus de chez moi », répond Charles, en larmes, avant de reprendre le chemin de la Normandie.
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Vu le casier du prévenu, le parquet n’a pas hésité longtemps : le quinqua brun au visage émacié qui apparaît dans le box, avec sa longue silhouette dans une doudoune un peu large, a autant de mentions que son âge, 54. « On fait quoi, maintenant ? À un moment, la justice est coincée… » lui dit la présidente. « Je vous le promets, mettez-moi un gros sursis », suggère Charles, avec une pointe d’accent du sud peu habituelle dans ce box parisien.
« J’ai passé ma vie en prison, j’ai rien connu »
Sauf que le sursis n’est pas possible. Le sudiste est en récidive, déjà épinglé avec des faux billets, qu’il aurait obtenus en échange de la vente de son téléphone. Il pleure : « J’ai passé ma vie en prison, j’ai rien connu. » Trente ans de toxicomanie, héroïne, cocaïne en intraveineuse. La présidente parcourt son casier, « trois ans, quatre ans… ». « Quatre ans pour 200 g de shit, c’était au moment de Sarkozy (et des peines planchers), justifie-t-il. J’ai réussi à m’en sortir. Je me fais suivre pour ça. »
Une vie de galère, « c’est de l’autodestruction », dit-il avant d’aborder un parcours aux allures de descente aux enfers. Élevé par sa grand-mère, la drogue depuis l’adolescence, sa mère « assassinée », un cold case pour la justice pendant près de deux décennies. Le tribunal est en apnée. « Ma mère a été assassinée, elle était partie sur Valence pour trouver du travail, elle a loupé la correspondance de son train, elle est tombée sur un sale mec… J’ai perdu toute ma famille après, mon oncle est mort un an après, j’entends encore son cri de douleur. »
Charles est le fils de Chantal de Chillou, retrouvée morte le 2 août 2001 dans la Drôme, violée, tuée à Chatuzange-le-Goubet, un cold case pendant dix-neuf ans. Jusqu’à ce que les progrès de la science permettent de relier un nom à ce mégot de cigarette abandonné près du corps. Le frère de Chantal a « souffert jusqu’à sa mort d’avoir dû identifier le corps de sa sœur », indiquait au Parisien le neveu, évoquant aussi le fils de Chantal, qui « a aussi beaucoup vrillé après tout ça ».
Il est là, ce fils, dans le box de la 23e chambre. « J’ai perdu toute ma famille après, je me suis autodétruit » résume Charles. « Il a cru pendant vingt ans que sa mère avait été assassinée à cause de lui », insiste son avocate, Me Ingrid Souchard. En quête de vérité pendant toutes ces années, la famille s’est demandé si la mort de Chantal pouvait être liée au « fils qui avait déjà fait des bêtises ».
Interdit de Paris pendant trois ans
Le fumeur du mégot,
S’il est venu à Paris, dit-elle, c’était pour « acheter des vêtements pour sa formation ». Mais 120 euros pour une chemise et un pantalon n’auraient pas suffi. À Barbès (XVIIIe), on lui aurait proposé ces faux billets de 20 euros, « si pourris que tout le monde s’en aperçoit » dit la présidente. Il en avait plus d’une quinzaine sur lui au moment de son arrestation, près du Panthéon (Ve), après le fameux chausson aux pommes…
Une « situation désolante », tous les magistrats en conviennent. La procureure requiert six mois de prison, il pourra purger sa peine avec bracelet électronique. Le tribunal se retire quelques minutes et prononce une peine de quatre mois de prison, sans mandat de dépôt, et une interdiction de Paris pendant trois ans. Un juge de l’application des peines avisera pour les modalités. « Merci beaucoup, je vous promets que je ne bougerai plus de chez moi », répond Charles, en larmes, avant de reprendre le chemin de la Normandie.
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« À aucun moment, vous n’avez envisagé que cette viande dans le frigo... soit votre mère ? »
Tristanduvar
Re: Cold cases résolus
@ Tristan "Chantal de Chillou avait été retrouvée morte le 2 août 2001 à Chatuzange-le-Goubet, dans la Drôme." Le même patelin que celui cité dans l'affaire Eric Foray ?
Lisetoct
Re: Cold cases résolus
Absolument oui, dans le département de la Drôme (26), en région Auvergne-Rhône-Alpes.217034ŦLisetoct a écrit:@ Tristan "Chantal de Chillou avait été retrouvée morte le 2 août 2001 à Chatuzange-le-Goubet, dans la Drôme." Le même patelin que celui cité dans l'affaire Eric Foray ?
Je connais bien le coin, c'est un très beau département, notamment pour les balades dans la nature, il y a aussi des coins à morilles.
Tristanduvar
Re: Cold cases résolus
217035ŦTristanduvar a écrit:Absolument oui, dans le département de la Drôme (26), en région Auvergne-Rhône-Alpes.217034ŦLisetoct a écrit:@ Tristan "Chantal de Chillou avait été retrouvée morte le 2 août 2001 à Chatuzange-le-Goubet, dans la Drôme." Le même patelin que celui cité dans l'affaire Eric Foray ?
Je connais bien le coin, c'est un très beau département, notamment pour les balades dans la nature, il y a aussi des coins à morilles.
Merci Tristan . Je ne mets pas en doute la beauté de ce département que je ne connais pas . N'empêche que ça ne me semble pas être très sûr.
Sûrement le couloir rhodanien ? Pas loin de Romans-sur-Isère .
Lisetoct
Re: Cold cases résolus
Il se dénonce 13 ans après avoir tué son voisin près de Toulouse et encourt 30 ans de réclusion criminelle
Plaisance-du-Touch
De Pascale Danyel
Lundi 25 mars 2024 à 4:17
Par France Bleu Occitanie
Un "cold case" peu commun est jugé du 28 au 29 mars devant les assises de Haute-Garonne : un homme est accusé d'avoir tué son voisin de plusieurs coups de couteau à Plaisance-du-Touch en mai 2007. L'affaire classée sans suite en 2009 a rebondi en 2020 quand le meurtrier s'est constitué prisonnier.
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Plaisance-du-Touch
De Pascale Danyel
Lundi 25 mars 2024 à 4:17
Par France Bleu Occitanie
Un "cold case" peu commun est jugé du 28 au 29 mars devant les assises de Haute-Garonne : un homme est accusé d'avoir tué son voisin de plusieurs coups de couteau à Plaisance-du-Touch en mai 2007. L'affaire classée sans suite en 2009 a rebondi en 2020 quand le meurtrier s'est constitué prisonnier.
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Lisetoct
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