Meurtre de Sophie Narme
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Tueur en série : le grêlé. :: AFFAIRES EN COURS :: AFFAIRES RÉSOLUES .... ou presque
affaires TROADEC, DAVAL, Anaïs G, WISSEM, Lucas T., Sophie Narme
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Meurtre de Sophie Narme
FEVRIER 2019
Le jeudi 5 décembre 1991, Sophie Narme, une employée qui travaillait pour une agence immobilière, a été retrouvée morte dans l’appartement qu’elle avait fait visiter . Elle a été violée et tuée
L’auteur présumé du meurtre avait pris rendez vous auprès de l’agence.
Le client avait donné rendez-vous par téléphone, sans doute a l aide d une fausse identité, afin de visiter un appartement. Selon les habitudes de la plupart des agences immobilères, le rendez-vous avait été fixé au bas de l immeuble.
Les articles de presse (source AFP)
PARIS 5 dec - Une parisienne a ete violée puis tuée, mercredi 4 décembre après-midi, en faisant visiter un appartement a Paris, a-t-on appris de source policiere.
Inquiet de ne pas avoir de nouvelles de son employee, Sophie Narme, 23 ans, le directeur de cette agence, située dans le 16eme arrondissement, s est rendu dans l appartement qu elle devait faire visiter, rue Manin (19eme arrondissement). Il y a découvert son corps, roué de coups et a demi-dévetu.
La Brigade criminelle a été saisie de l enquête.
PARIS 5 dec - L employée d une agence immobilière parisienne a ete violée puis tuée, mercredi après-midi, en faisant visiter un appartement, apprend-on de source policière.
Les enquêteurs de la brigade criminelle n excluaient jeudi aucune hypothèse. Ils recherchaient toutefois, indique-t-on, d éventuelles agressions similaires dont la " rareté " est soulignée.
Selon les premières indications de l enquête, Melle Sophie Marne, une jeune et jolie employée d une agence immobilière de 23 ans, a ete tuée par un " client " qui lui avait donne rendez-vous téléphoniquement, sans doute a l aide d une fausse identité, afin de visiter un appartement. Selon les habitudes de la plupart des agences immobilières, le rendez-vous avait ete fixe au bas de l immeuble.
Mercredi après-midi, au siège de l agence CICP, 22, rue Lauriston (16eme), un client demande a visiter un appartement que l agence a mis en vente 22, rue Manin (19eme). La jeune femme s y rend et le rendez-vous tourne au cauchemar. Melle Marne est frappée, violée, subit des sévices sexuels, puis est étranglee a l aide d une ceinture.
Inquiet de ne pas avoir de nouvelles, le directeur de l agence, M. D., recherche les rendez-vous de sa négociatrice et découvre, peu avant 22h00, le corps, avenue Manin, a demi dévêtu.
La police, aussitôt prévenue découvre que la jeune femme a été tuée à l'arme blanche et porte une blessure au niveau de la poitrine. Sans doute a-t-elle été menacée ou a-t-elle résisté a son agresseur, précise-t-on, selon les premiers éléments de l enquête. La police cherchait aussi a déterminer jeudi si des effets personnels lui avaient été dérobés.
Les spécialistes de la police judiciaire soulignent que ce genre d agressions " n est pas une nouveauté " . Ils font référence à des affaires de rendez-vous qui tournent mal, mais plus souvent dans le cadre de relations établies par minitel (telle la série récente de meurtres d homosexuels en région parisienne, par l'intermédiaire d une messagerie rose). D autres professions, tels les médecins, " sont aussi parfois exposées " , précise-t-on encore.
Cette affaire semble toutefois, en l etat actuel de l enquete, quasiment une première.
Le président de la FNAIM (Fédération nationale des Agences immobilières), M. Jacques Longuet, qui répresente le plus important regroupement d agences a Paris, s'est déclaré " consterné " par cet assassinat. Interrogé par l AFP, il a assure que c'était à sa connaissance, " la première affaire de ce genre touchant une négociatrice " . " Il faudrait étudier les moyens de protéger les négociateurs, par exemple en les dotant de bombes paralysantes " , a- t-il ajoute.
Le jeudi 5 décembre 1991, Sophie Narme, une employée qui travaillait pour une agence immobilière, a été retrouvée morte dans l’appartement qu’elle avait fait visiter . Elle a été violée et tuée
L’auteur présumé du meurtre avait pris rendez vous auprès de l’agence.
Le client avait donné rendez-vous par téléphone, sans doute a l aide d une fausse identité, afin de visiter un appartement. Selon les habitudes de la plupart des agences immobilères, le rendez-vous avait été fixé au bas de l immeuble.
Les articles de presse (source AFP)
PARIS 5 dec - Une parisienne a ete violée puis tuée, mercredi 4 décembre après-midi, en faisant visiter un appartement a Paris, a-t-on appris de source policiere.
Inquiet de ne pas avoir de nouvelles de son employee, Sophie Narme, 23 ans, le directeur de cette agence, située dans le 16eme arrondissement, s est rendu dans l appartement qu elle devait faire visiter, rue Manin (19eme arrondissement). Il y a découvert son corps, roué de coups et a demi-dévetu.
La Brigade criminelle a été saisie de l enquête.
PARIS 5 dec - L employée d une agence immobilière parisienne a ete violée puis tuée, mercredi après-midi, en faisant visiter un appartement, apprend-on de source policière.
Les enquêteurs de la brigade criminelle n excluaient jeudi aucune hypothèse. Ils recherchaient toutefois, indique-t-on, d éventuelles agressions similaires dont la " rareté " est soulignée.
Selon les premières indications de l enquête, Melle Sophie Marne, une jeune et jolie employée d une agence immobilière de 23 ans, a ete tuée par un " client " qui lui avait donne rendez-vous téléphoniquement, sans doute a l aide d une fausse identité, afin de visiter un appartement. Selon les habitudes de la plupart des agences immobilières, le rendez-vous avait ete fixe au bas de l immeuble.
Mercredi après-midi, au siège de l agence CICP, 22, rue Lauriston (16eme), un client demande a visiter un appartement que l agence a mis en vente 22, rue Manin (19eme). La jeune femme s y rend et le rendez-vous tourne au cauchemar. Melle Marne est frappée, violée, subit des sévices sexuels, puis est étranglee a l aide d une ceinture.
Inquiet de ne pas avoir de nouvelles, le directeur de l agence, M. D., recherche les rendez-vous de sa négociatrice et découvre, peu avant 22h00, le corps, avenue Manin, a demi dévêtu.
La police, aussitôt prévenue découvre que la jeune femme a été tuée à l'arme blanche et porte une blessure au niveau de la poitrine. Sans doute a-t-elle été menacée ou a-t-elle résisté a son agresseur, précise-t-on, selon les premiers éléments de l enquête. La police cherchait aussi a déterminer jeudi si des effets personnels lui avaient été dérobés.
Les spécialistes de la police judiciaire soulignent que ce genre d agressions " n est pas une nouveauté " . Ils font référence à des affaires de rendez-vous qui tournent mal, mais plus souvent dans le cadre de relations établies par minitel (telle la série récente de meurtres d homosexuels en région parisienne, par l'intermédiaire d une messagerie rose). D autres professions, tels les médecins, " sont aussi parfois exposées " , précise-t-on encore.
Cette affaire semble toutefois, en l etat actuel de l enquete, quasiment une première.
Le président de la FNAIM (Fédération nationale des Agences immobilières), M. Jacques Longuet, qui répresente le plus important regroupement d agences a Paris, s'est déclaré " consterné " par cet assassinat. Interrogé par l AFP, il a assure que c'était à sa connaissance, " la première affaire de ce genre touchant une négociatrice " . " Il faudrait étudier les moyens de protéger les négociateurs, par exemple en les dotant de bombes paralysantes " , a- t-il ajoute.
Dernière édition par Kassandra88 le Jeu 7 Mar 2019 - 13:41, édité 1 fois
Re: Meurtre de Sophie Narme
Nous avons pensé que le grêlé pouvait être l'auteur de ce meurtre qui à ce jour, à notre connaissance, n'est toujours pas élucidé.
Tout qui se souviendrait de quelque chose qui permettrait de faire avancer l'enquête, peut contacter la brigade criminelle de Paris.
Tout qui se souviendrait de quelque chose qui permettrait de faire avancer l'enquête, peut contacter la brigade criminelle de Paris.
Re: Meurtre de Sophie Narme
En 2015, nous avons pensé à Sophie en découvrant cet article:
Paris : il violait ses victimes lors de visites d'appartements
Une fois que l'agente immobilière se retrouvait seule en visite avec son prédateur, le piège se refermait. Il menaçait sa victime avec un couteau, l'attachait avec des cordes qu'il emmenait avec lui, la bâillonnait avec du ruban adhésif puis la violait. En partant, il la dépouillait de ses biens, carte bancaire, téléphone, bijoux...
Les enquêteurs du 1er district de police judiciaire (DPJ) viennent donc de mettre fin à une série d'agressions qui aurait pu se poursuivre. L'homme, âgé de 59 ans, inconnu des services de police jusqu'ici, est soupçonné de trois viols. Mis en examen, il a été écroué à la maison d'arrêt de Fresnes (Val-de-Marne).
«Ces femmes sont dans l'angoisse totale à l'idée de reprendre le travail»
Selon les premiers rapprochements des enquêteurs, ce quinquagénaire au chômage est suspecté de s'en être pris à sa première victime au mois de juillet 2014 dans le XIIIe arrondissement. Le dernier fait qui lui a été imputé remonte au 29 mai, rue Emile-Level, dans le XVIIe arrondissement. Sa troisième victime tenait une petite agence, située avenue de Clichy. « Il semble s'être concentré, en partie, dans un petit périmètre du XVIIe arrondissement, longeant le boulevard Bessières, révèle un proche de l'affaire. De nombreuses investigations sont en cours notamment dans le XIIIe arrondissement où il habitait. Nous ne sommes pas sûrs d'avoir identifié toutes les victimes de ce prédateur. » De longues heures de visionnage d'enregistrement de caméras de vidéoprotection disposées autour des lieux des faits ont permis de le cibler. Les policiers du 1er DPJ ont ensuite planqué pendant près de deux semaines autour des lieux qu'il avait l'habitude de fréquenter avant de l'interpeller.
Le 12 juin, vers 9 heures, boulevard de l'hôpital (XIIIe), Il est arrêté non loin de son domicile, alors qu'il se rendait à une nouvelle visite d'appartement... Il était porteur d'un couteau à cran d'arrêt et d'un rouleau de ruban adhésif.
Lors de sa garde à vue, il a été présenté, derrière une glace sans tain, à ses trois victimes et à d'autres femmes qu'il a approchées. Elles l'ont formellement reconnu. L'homme a fini par passer aux aveux. Parmi ses proies, deux avaient entre 25 et 30 ans tandis que la troisième approchait la soixantaine. « Ces femmes sont dans l'angoisse totale à l'idée de reprendre le travail, de se retrouver seule dans leur petite agence et de faire visiter des appartements, confie une source policière. L'une d'elle a d'ailleurs jeté l'éponge. Elle se cherche désormais un autre métier. »
« Un air de Monsieur Tout-le-Monde »
« Un homme qui avait l'air plutôt cool pour son âge ». C'est ainsi que Gabrielle* décrit celui qui aurait pu l'agresser. Cette jeune femme a rencontré le violeur en série présumé des agentes immobilières mais heureusement elle a échappé au fatal rendez-vous.
Gabrielle est très précise dans son souvenir. Elle décrit un homme de 59 ans, « très grand, plus de 1,80m, barbu, grisonnant, vêtu d'une veste militaire, d'un jean et de chaussures en cuir ». Pour elle, le suspect n'est « ni chic ni négligé ». Il arbore plutôt un look « décontracté ». Gabrielle a noté que l'homme « s'exprimait bien ». En fait, le violeur avait « un air de Monsieur Tout-le-Monde » très loin de quelqu'un de dangereux qui pouvait inspirer des craintes.
* Le prénom a été changé.
C.C.
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Paris : il violait ses victimes lors de visites d'appartements
La police vient d'interpeller un homme suspecté de trois viols à Paris. Il repérait des agentes immobilières qu'il agressait et violait lors de rendez-vous pour des visites de logements.
C'est un violeur au profil particulièrement inquiétant qui vient d'être interpellé à Paris. Son mode opératoire était toujours le même. Il repérait des petites agences immobilières parisiennes dans les XIIIe et XVIIe arrondissements, tenues de préférence par une femme seule. Il s'y présentait à visage découvert. Prétendait vouloir prendre rendez-vous pour visiter un appartement, « insistant sur l'obligation de lui proposer un bien avec une grande surface et plusieurs pièces », glisse une source proche du dossier. « Il soutenait s'être fait voler son téléphone portable à une terrasse de café pour ne pas laisser son numéro », poursuit la même source.Une fois que l'agente immobilière se retrouvait seule en visite avec son prédateur, le piège se refermait. Il menaçait sa victime avec un couteau, l'attachait avec des cordes qu'il emmenait avec lui, la bâillonnait avec du ruban adhésif puis la violait. En partant, il la dépouillait de ses biens, carte bancaire, téléphone, bijoux...
Les enquêteurs du 1er district de police judiciaire (DPJ) viennent donc de mettre fin à une série d'agressions qui aurait pu se poursuivre. L'homme, âgé de 59 ans, inconnu des services de police jusqu'ici, est soupçonné de trois viols. Mis en examen, il a été écroué à la maison d'arrêt de Fresnes (Val-de-Marne).
«Ces femmes sont dans l'angoisse totale à l'idée de reprendre le travail»
Selon les premiers rapprochements des enquêteurs, ce quinquagénaire au chômage est suspecté de s'en être pris à sa première victime au mois de juillet 2014 dans le XIIIe arrondissement. Le dernier fait qui lui a été imputé remonte au 29 mai, rue Emile-Level, dans le XVIIe arrondissement. Sa troisième victime tenait une petite agence, située avenue de Clichy. « Il semble s'être concentré, en partie, dans un petit périmètre du XVIIe arrondissement, longeant le boulevard Bessières, révèle un proche de l'affaire. De nombreuses investigations sont en cours notamment dans le XIIIe arrondissement où il habitait. Nous ne sommes pas sûrs d'avoir identifié toutes les victimes de ce prédateur. » De longues heures de visionnage d'enregistrement de caméras de vidéoprotection disposées autour des lieux des faits ont permis de le cibler. Les policiers du 1er DPJ ont ensuite planqué pendant près de deux semaines autour des lieux qu'il avait l'habitude de fréquenter avant de l'interpeller.
Le 12 juin, vers 9 heures, boulevard de l'hôpital (XIIIe), Il est arrêté non loin de son domicile, alors qu'il se rendait à une nouvelle visite d'appartement... Il était porteur d'un couteau à cran d'arrêt et d'un rouleau de ruban adhésif.
Lors de sa garde à vue, il a été présenté, derrière une glace sans tain, à ses trois victimes et à d'autres femmes qu'il a approchées. Elles l'ont formellement reconnu. L'homme a fini par passer aux aveux. Parmi ses proies, deux avaient entre 25 et 30 ans tandis que la troisième approchait la soixantaine. « Ces femmes sont dans l'angoisse totale à l'idée de reprendre le travail, de se retrouver seule dans leur petite agence et de faire visiter des appartements, confie une source policière. L'une d'elle a d'ailleurs jeté l'éponge. Elle se cherche désormais un autre métier. »
« Un air de Monsieur Tout-le-Monde »
« Un homme qui avait l'air plutôt cool pour son âge ». C'est ainsi que Gabrielle* décrit celui qui aurait pu l'agresser. Cette jeune femme a rencontré le violeur en série présumé des agentes immobilières mais heureusement elle a échappé au fatal rendez-vous.
Gabrielle est très précise dans son souvenir. Elle décrit un homme de 59 ans, « très grand, plus de 1,80m, barbu, grisonnant, vêtu d'une veste militaire, d'un jean et de chaussures en cuir ». Pour elle, le suspect n'est « ni chic ni négligé ». Il arbore plutôt un look « décontracté ». Gabrielle a noté que l'homme « s'exprimait bien ». En fait, le violeur avait « un air de Monsieur Tout-le-Monde » très loin de quelqu'un de dangereux qui pouvait inspirer des craintes.
* Le prénom a été changé.
C.C.
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Re: Meurtre de Sophie Narme
Grâce aux progrès scientifiques notamment en matière de recherche ADN sur des scellés, de nombreuses enquêtes sont relancées. Récemment l'affaire Anaïs Marcelli qui date de la même époque:
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Alors, pourquoi pas demander de nouveaux devoir d'enquête?
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Alors, pourquoi pas demander de nouveaux devoir d'enquête?
Re: Meurtre de Sophie Narme
Bonjour et merci pour le rappel des faits et les articles.
Rien dans les dépêches AFP n'indiquent que le tueur a été retrouvé et condamné. Mais peut-être qu'on est passé à côté de certains articles.
Rien dans les dépêches AFP n'indiquent que le tueur a été retrouvé et condamné. Mais peut-être qu'on est passé à côté de certains articles.
Re: Meurtre de Sophie Narme
Oui le grêlé ferait un bon client pour cet horrible meurtre. Encore faudrait-il que des diligences pour vérifier l'adn des scellés aient été effectués et que les scellés aient été sauvegardés. Ce qui est très loin d'être une évidence vu la manière dont travaillent certains services sur certains dossiers quand ils n'ont pas des Avocats et la presse dans le dos.
Sortcière
Re: Meurtre de Sophie Narme
Bonjour à tous,
Dans le 7ème podcast de Patricia Tourancheau consacré au grêlé:
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On apprend que le grêlé pourrait être l'auteur du meurtre de Sophie. (rapprochement effectué par le Salvac)
L'auteur du crime a utilisé de l'éther pour neutraliser sa victime.(ruse) Elle a été retrouvée dans une position de soumission. Ligotée, bâillonnée. (comme d'autres victimes) Fait interpellant: il va ranger ses escarpins. Ranger des chaussures à talons fait apparaitre un maniaque sexuel ou un fétichiste.
Il a volé des objets appartement à Sophie. Trophées? Objets à revendre?
Il a aussi donné un faux nom et laissé un n° de tel. Le nom correspond à un nom de travaux (Dubost) et le n° de tel est un fait un n° de fax. (Comme le G l'a fait avec Irmgard Muller). On avait des spermatozoïdes vivants ... et le matériel biologique a disparu
mais des pièces ne sont pas encore exploitées. (Escarpins ...). Espérons. Jusqu'à présent, rien n'a été trouvé.
Grâce au Salvac, le dossier de Sophie a été rouvert en 2015, il est traité à part mais par le même JI. Mais pas d'ADN cependant.
A suivre.
Dans le 7ème podcast de Patricia Tourancheau consacré au grêlé:
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On apprend que le grêlé pourrait être l'auteur du meurtre de Sophie. (rapprochement effectué par le Salvac)
L'auteur du crime a utilisé de l'éther pour neutraliser sa victime.(ruse) Elle a été retrouvée dans une position de soumission. Ligotée, bâillonnée. (comme d'autres victimes) Fait interpellant: il va ranger ses escarpins. Ranger des chaussures à talons fait apparaitre un maniaque sexuel ou un fétichiste.
Il a volé des objets appartement à Sophie. Trophées? Objets à revendre?
Il a aussi donné un faux nom et laissé un n° de tel. Le nom correspond à un nom de travaux (Dubost) et le n° de tel est un fait un n° de fax. (Comme le G l'a fait avec Irmgard Muller). On avait des spermatozoïdes vivants ... et le matériel biologique a disparu
![affraid](/users/3514/23/32/12/smiles/4046143424.gif)
Grâce au Salvac, le dossier de Sophie a été rouvert en 2015, il est traité à part mais par le même JI. Mais pas d'ADN cependant.
A suivre.
Re: Meurtre de Sophie Narme
Bonjour,
Rapprochement fait par le Salvac et pas nous aussi en fait. Je retrouve des recherches qu'on avait faites en 2014 Kassandra !
C'est en faisant des recherches sur l'AFP sur une jeune fille américaine tuée dans un ascenseur à l'aéroport de Roissy que j'étais tombée sur ce crime rue Manin.
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Je retranscris parce qu'on ne lit pas bien l'article sur l'image ci-dessus :
AFP Général - Jeudi 5 Décembre 1991 - 16:17 - Heure Paris (461 mots)
Divers meurtre, lead Une jeune femme violee et tuee en faisant visiter un appartement
PARIS 5 dec - L employee d une agence immobiliere parisienne a ete violee puis tuee, mercredi apres-midi, en faisant visiter un appartement, apprend-on de source policiere.
Les enqueteurs de la brigade criminelle n excluaient jeudi aucune hypothese. Ils recherchaient toutefois, indique-t-on, d eventuelles agressions similaires dont la " rarete " est soulignee.
Selon les premieres indications de l enquete, Melle Sophie Marne, une jeune et jolie employee d une agence immobiliere de 23 ans, a ete tuee par un " client " qui lui avait donne rendez-vous telephoniquement, sans doute a l aide d une fausse identite, afin de visiter un appartement. Selon les habitudes de la plupart des agences immobileres, le rendez-vous avait ete fixe au bas de l immeuble.
Mercredi apres-midi, au siege de l agence CICP, 22, rue Lauriston (16eme), un client demande a visiter un appartement que l agence a mis en vente 22, rue Manin (19eme). La jeune femme s y rend et le rendez-vous tourne au cauchemar. Melle Marne est frappee, violee, subit des sevices sexuels, puis est etranglee a l aide d une ceinture.
Inquiet de ne pas avoir de nouvelles, le directeur de l agence, M. D., recherche les rendez-vous de sa negociatrice et decouvre, peu avant 22h00, le corps, avenue Manin, a demi devetu.
La police, aussitot prevenue decouvre que la jeune femme a ete tuee a l arme blanche et porte une blessure au niveau de la poitrine. Sans doute a-t-elle ete menacee ou a-t-elle resiste a son agresseur, precise-t-on, selon les premiers elements de l enquete. La police cherchait aussi a determiner jeudi si des effets personnels lui avaient ete derobes.
Les specialistes de la police judiciaire soulignent que ce genre d agressions " n est pas une nouveaute " . Ils font reference a des affaires de rendez-vous qui tournent mal, mais plus souvent dans le cadre de relations etablies par minitel (telle la serie recente de meurtres d homosexuels en region parisienne, par l intermediaire d une messagerie rose). D autres professions, tels les medecins, " sont aussi parfois exposees " , precise-t-on encore.
Cette affaire semble toutefois, en l etat actuel de l enquete, quasiment une premiere.
Le president de la FNAIM (Federation nationale des Agences immobilieres), M. Jacques Longuet, qui represente le plus important regroupement d agences a Paris, s est declare " consterne " par cet assassinat. Interroge par l AFP, il a assure que c etait a sa connaissance, " la premiere affaire de ce genre touchant une negociatrice " . " Il faudrait etudier les moyens de proteger les negociateurs, par exemple en les dotant de bombes paralysantes " , a- t-il ajoute.
rb/cgd/bn.
Quelques réflexions à l'époque :
Cette affaire de la négociatrice immobilière a tous les ingrédients d'un crime du grêlé en tout cas:
Un guet-apens, une fausse identité, un viol, des sévices dont on ignore l'étendue, elle a semble-t-il résisté, est-ce cela qui a conduit au meurtre à l'aide d'une ceinture?
Grêlé ou pas, elle a été repérée. L'auteur devait savoir que l'appartement à vendre était vide (ce n'est pas forcément le cas, les proprios sont parfois présents au moment des visites!), il savait aussi qu'elle se rendrait seule au rendez-vous et qu'il serait lui aussi le seul à se présenter! Ca fait beaucoup de paramètres à prendre en compte avant de mettre en place ce piège.
Je suppose qu'elle n'est pas la seule négociatrice dans cette agence! Il fallait tomber sur elle et savoir que c'était elle qui était en charge des visites de cet appart...
Les visites qui ont pour but la location se font par groupe dans des villes comme Paris!
Là pour une vente c'est différent, les cliens potentiels sont forcément moins nombreux... Visites individuelles, j'ai regardé l'immeuble situé au 22 rue Manin, il a du cachet.
>
> Moi, ça me fait aussi penser à l'agression de Françoise face à un individu qui savait que l'appartement untel était vide.
Gros trousseau de clés: volé à une personne qui fait visiter des apparts???
Je serais curieuse de connaître le faux nom qu'il a donné pour prendre le RV.
Supposons un instant que ce soit lui qui ait tué la femme agent
immobilier, cela veut dire qu'il a une bonne connaissance non seulement
des squats, mais aussi des appartements momentanément vides. Soit il
exerce un métier qui lui permet d'avoir ce genre d'infos, soit il est
tout le temps en alerte et passe son temps à rechercher ces lieux!
On a le nom qu'il a donné maintenant dans le podcast !
Rapprochement fait par le Salvac et pas nous aussi en fait. Je retrouve des recherches qu'on avait faites en 2014 Kassandra !
C'est en faisant des recherches sur l'AFP sur une jeune fille américaine tuée dans un ascenseur à l'aéroport de Roissy que j'étais tombée sur ce crime rue Manin.
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Je retranscris parce qu'on ne lit pas bien l'article sur l'image ci-dessus :
AFP Général - Jeudi 5 Décembre 1991 - 16:17 - Heure Paris (461 mots)
Divers meurtre, lead Une jeune femme violee et tuee en faisant visiter un appartement
PARIS 5 dec - L employee d une agence immobiliere parisienne a ete violee puis tuee, mercredi apres-midi, en faisant visiter un appartement, apprend-on de source policiere.
Les enqueteurs de la brigade criminelle n excluaient jeudi aucune hypothese. Ils recherchaient toutefois, indique-t-on, d eventuelles agressions similaires dont la " rarete " est soulignee.
Selon les premieres indications de l enquete, Melle Sophie Marne, une jeune et jolie employee d une agence immobiliere de 23 ans, a ete tuee par un " client " qui lui avait donne rendez-vous telephoniquement, sans doute a l aide d une fausse identite, afin de visiter un appartement. Selon les habitudes de la plupart des agences immobileres, le rendez-vous avait ete fixe au bas de l immeuble.
Mercredi apres-midi, au siege de l agence CICP, 22, rue Lauriston (16eme), un client demande a visiter un appartement que l agence a mis en vente 22, rue Manin (19eme). La jeune femme s y rend et le rendez-vous tourne au cauchemar. Melle Marne est frappee, violee, subit des sevices sexuels, puis est etranglee a l aide d une ceinture.
Inquiet de ne pas avoir de nouvelles, le directeur de l agence, M. D., recherche les rendez-vous de sa negociatrice et decouvre, peu avant 22h00, le corps, avenue Manin, a demi devetu.
La police, aussitot prevenue decouvre que la jeune femme a ete tuee a l arme blanche et porte une blessure au niveau de la poitrine. Sans doute a-t-elle ete menacee ou a-t-elle resiste a son agresseur, precise-t-on, selon les premiers elements de l enquete. La police cherchait aussi a determiner jeudi si des effets personnels lui avaient ete derobes.
Les specialistes de la police judiciaire soulignent que ce genre d agressions " n est pas une nouveaute " . Ils font reference a des affaires de rendez-vous qui tournent mal, mais plus souvent dans le cadre de relations etablies par minitel (telle la serie recente de meurtres d homosexuels en region parisienne, par l intermediaire d une messagerie rose). D autres professions, tels les medecins, " sont aussi parfois exposees " , precise-t-on encore.
Cette affaire semble toutefois, en l etat actuel de l enquete, quasiment une premiere.
Le president de la FNAIM (Federation nationale des Agences immobilieres), M. Jacques Longuet, qui represente le plus important regroupement d agences a Paris, s est declare " consterne " par cet assassinat. Interroge par l AFP, il a assure que c etait a sa connaissance, " la premiere affaire de ce genre touchant une negociatrice " . " Il faudrait etudier les moyens de proteger les negociateurs, par exemple en les dotant de bombes paralysantes " , a- t-il ajoute.
rb/cgd/bn.
Quelques réflexions à l'époque :
Cette affaire de la négociatrice immobilière a tous les ingrédients d'un crime du grêlé en tout cas:
Un guet-apens, une fausse identité, un viol, des sévices dont on ignore l'étendue, elle a semble-t-il résisté, est-ce cela qui a conduit au meurtre à l'aide d'une ceinture?
Grêlé ou pas, elle a été repérée. L'auteur devait savoir que l'appartement à vendre était vide (ce n'est pas forcément le cas, les proprios sont parfois présents au moment des visites!), il savait aussi qu'elle se rendrait seule au rendez-vous et qu'il serait lui aussi le seul à se présenter! Ca fait beaucoup de paramètres à prendre en compte avant de mettre en place ce piège.
Je suppose qu'elle n'est pas la seule négociatrice dans cette agence! Il fallait tomber sur elle et savoir que c'était elle qui était en charge des visites de cet appart...
Les visites qui ont pour but la location se font par groupe dans des villes comme Paris!
Là pour une vente c'est différent, les cliens potentiels sont forcément moins nombreux... Visites individuelles, j'ai regardé l'immeuble situé au 22 rue Manin, il a du cachet.
>
> Moi, ça me fait aussi penser à l'agression de Françoise face à un individu qui savait que l'appartement untel était vide.
Gros trousseau de clés: volé à une personne qui fait visiter des apparts???
Je serais curieuse de connaître le faux nom qu'il a donné pour prendre le RV.
Supposons un instant que ce soit lui qui ait tué la femme agent
immobilier, cela veut dire qu'il a une bonne connaissance non seulement
des squats, mais aussi des appartements momentanément vides. Soit il
exerce un métier qui lui permet d'avoir ce genre d'infos, soit il est
tout le temps en alerte et passe son temps à rechercher ces lieux!
On a le nom qu'il a donné maintenant dans le podcast !
Re: Meurtre de Sophie Narme
weltgeist a écrit:Bonjour,
Rapprochement fait par le Salvac et pas nous aussi en fait. Je retrouve des recherches qu'on avait faites en 2014 Kassandra !
......
On a le nom qu'il a donné maintenant dans le podcast !
Oui, Weltgeist, je me souviens bien. On n'a pas attendu Salvac
![Very Happy](/users/3514/23/32/12/smiles/2728579900.gif)
Le nom donné n'est pas n'importe lequel: l'entreprise Jean Dubost est une entreprise qui fabrique des couteaux, et pas n'importe lesquels: le fameux "Laguiole". Maintenant, ce n'est peut-être qu'un hasard.
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Mais, au vu d'infos plus récentes que celles dont nous disposions à l'époque, a t'on vraiment éliminé celui qui a été interpellé en 2015 et qui s'est suicidé peu de temps après? (voir plus haut):
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] suicidé
Et peut-on vraiment exclure Reiser qui a procédé de la même façon pour enlever et tuer Sophie Le Tan?
Re: Meurtre de Sophie Narme
Le crime de Sophie était quand même bien particulier (baillons, liens) et il y avait aussi une position de soumission.
Il faudrait voir si ce sont des choses que l'on retrouve chez le violeur qui s'est suicidé.
Le numéro de tel (ou de fax plutôt) était celui qui menait vers cette entreprise de couteaux ?
Il faudrait voir si ce sont des choses que l'on retrouve chez le violeur qui s'est suicidé.
Le numéro de tel (ou de fax plutôt) était celui qui menait vers cette entreprise de couteaux ?
Re: Meurtre de Sophie Narme
weltgeist a écrit:
Le numéro de tel (ou de fax plutôt) était celui qui menait vers cette entreprise de couteaux ?
Non, le faux nom donné pour prendre le RV auprès de Sophie était Dubost. Dans le podcast, on dit que l'auteur aurait pu lire cela sur une camionnette... En fait, on ne sait pas de quoi il s'est inspiré, pas plus qu'on sait d'où vient "Elie Lauringe". C'est en googelant que j'ai trouvé ce fabriquant de couteaux, mais cela n'a peut-être aucun rapport.
Re: Meurtre de Sophie Narme
Kassandra88 a écrit:weltgeist a écrit:
Le numéro de tel (ou de fax plutôt) était celui qui menait vers cette entreprise de couteaux ?
Non, le faux nom donné pour prendre le RV auprès de Sophie était Dubost. Dans le podcast, on dit que l'auteur aurait pu lire cela sur une camionnette... En fait, on ne sait pas de quoi il s'est inspiré, pas plus qu'on sait d'où vient "Elie Lauringe". C'est en googelant que j'ai trouvé ce fabriquant de couteaux, mais cela n'a peut-être aucun rapport.
Ok merci ça commence à devenir plus clair.
Par contre le numéro donné même si c'est un fax ne semblait ne pas être dû au hasard...
Re: Meurtre de Sophie Narme
Intéressant le profil de l'homme de 59 ans arrêté en 2015 pour les agressions lors des visites d'appartements.
Peu d'informations à son sujet (nom, photo).
Peu d'informations à son sujet (nom, photo).
Sherlock
Re: Meurtre de Sophie Narme
Sherlock a écrit:Intéressant le profil de l'homme de 59 ans arrêté en 2015 pour les agressions lors des visites d'appartements.
Peu d'informations à son sujet (nom, photo).
Aucune hélas! On ne sait même pas si un prélèvement ADN a été effectué. C'est frustrant! Aucun nom, aucune photo.
Re: Meurtre de Sophie Narme
Il y a un truc qui m'échappe : comment savent-ils que le tueur a donné le nom d'une entreprise "au hasard" et non pas un vrai nom de qqun tout simplement ?
Ce ne serait pas juste une supposition ? Pourquoi en parler si c'est une idée comme ça qui a germé ds la tête des enquêteurs ?
Le plus simple pour se faire une fausse identité c'est qd même de prendre un nom qu'on connaît, de qqun qu'on a fréquenté, un ancien prof ou ancien camarade peu importe.
À moins que l'entreprise Dubost faisait à l'époque des travaux rue Manin, là je m'incline. [smiley][Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Ce ne serait pas juste une supposition ? Pourquoi en parler si c'est une idée comme ça qui a germé ds la tête des enquêteurs ?
Le plus simple pour se faire une fausse identité c'est qd même de prendre un nom qu'on connaît, de qqun qu'on a fréquenté, un ancien prof ou ancien camarade peu importe.
À moins que l'entreprise Dubost faisait à l'époque des travaux rue Manin, là je m'incline. [smiley][Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Re: Meurtre de Sophie Narme
Bonjour,
Pouvait-on trouver facilement un n° de fax sur un annuaire téléphonique?
Pouvait-on trouver facilement un n° de fax sur un annuaire téléphonique?
Re: Meurtre de Sophie Narme
Kassandra88 a écrit:Bonjour,
Pouvait-on trouver facilement un n° de fax sur un annuaire téléphonique?
bonjour , oui le n° de fax suivait le n° vocal dans l'annuaire
Il y aussi une boucherie Dubost rue du Rocher dans le 8ème , créée en 1980 , donnée pour 6 à 9 salariés
Invité- Invité
Re: Meurtre de Sophie Narme
telarn a écrit:Kassandra88 a écrit:Bonjour,
Pouvait-on trouver facilement un n° de fax sur un annuaire téléphonique?
bonjour , oui le n° de fax suivait le n° vocal dans l'annuaire
Il y aussi une boucherie Dubost rue du Rocher dans le 8ème , créée en 1980 , donnée pour 6 à 9 salariés
En fait, il s'agit de l'entreprise de Travaux Dubost qui intervenait dans l'immeuble à l'époque. C'est ce que précise l'Avocate de Sophie N. (dans le podcast7 à 12'7'') Merci à Sortcière.
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