Appel à témoins 1

Je viens aussi de lire ces doutes mais le doute est aussi permis du côté du public, bien échaudé par l'affaire Dutroux, que certains estiment avoir été "assez mal" traitée par le parquet.

Bonjour Kassandra,

Je ne sais trop où poster ça, alors je le mets ici :

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On attend paraît il les expertises dentaires et ADN dans les prochaines semaines. Il y avait plusieurs objets auprès du squelette, dont une ceinture, je crois, et des lunettes.

Je pense que si ça avait été un squelette d'enfant ça aurait été précisé. Vu la région, j'ai tilté sur l'article, espérant que ça pourrait être la petite Fiona, mais ça ne colle pas.

c'est sur Europol

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Kassandra88 a écrit:Un appel à témoins pour tenter d’identifier un prédateur sexuel dans le Var

La police enquête sur un homme d’une soixantaine d’années dont les agissements ont été notamment signalés à Vidauban, Draguignan, les Arcs.

Le commissariat de police de Draguignan lance un appel à témoins pour tenter d'identifier un homme âgé d'une soixantaine d'années considéré comme un prédateur sexuel dans le département du Var, rapporte le journal Var-Matin.

Plusieurs faits ont été enregistrés ces trois dernières années sur les secteurs de Draguignan, les Arcs et Vidauban, avec comme point central la gare SNCF des Arcs-Draguignan.

L'individu aurait abordé des jeunes femmes, dont des mineures, pour leur proposer de monter dans sa voiture, une Peugeot 308 ou une Peugeot Partner. Il leur proposerait ensuite des relations sexuelles.

Les personnes pouvant apporter des renseignements ou ayant été victimes peuvent contacter le commissariat de police de Draguignan au 04.94.39.44.00.

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Bonjour Kassandra,

Je ne pense pas que proposer des relations sexuelles à des jeunes femmes soit répréhensible, sauf s'il s'agit de prostituées, vu que la loi socialiste de 2016 pénalise les clients de ces professionnelles à hauteur de 1.500 € la première fois et 3.500 € en cas de récidive.

On ne peut pas considérer comme victime une femme à qui on a simplement fait la proposition de monter en voiture et d'avoir des rapports sexuels, même si elle est mineure, vu que les dispositions de la loi dite Schiappa n'a pas fixé d'âge en dessous duquel il est interdit d'avoir ces rapports. Je ne comprends pas pourquoi Var-Matin publie cette info qui n'en est pas une.

Kassandra88 a écrit:@Nordine,
Si on m'avait fait (me faisait) ce genre de proposition, j'irai aussi porter plainte. Les prostituées qui racolent sont très identifiables. La méprise n'est pas permise

L'important, ce n'est pas ce que ressentent les personnes mais ce que dit la loi. Il est évident que compte tenu de l'interdiction faite aux hommes de s'adresser à des prostituées, si ces femmes en avaient été, l'homme ne s'en serait pas approché.
Il m'est souvent arrivé d'être abordée par des hommes assez directs dans leurs propositions, il suffit de leur dire non et de passer son chemin. Jamais je n'aurais l'idée d'aller me donner en spectacle à la gendarmerie pour ça. Porter plainte pour obtenir quoi ? Il est normal et naturel pour un homme d'avoir envie de rapports sexuels normaux avec une femme. Leur interdire, c'est les encourager au viol et, bien entendu, au meurtre ensuite pour éviter les plaintes. On aura tout gagné.

heuuuu
Heureusement que le racolage masculin gratos n'est pas encore entré dans les mœurs ! lol !
Bien sûr que ce genre de proposition existe mais aucune femme n'est tenue de le juger acceptable ou supportable ! Un simple "NON" ne suffit pas toujours et les mecs ne sont pas suffisamment cons pour ignorer que c'est une forme de harcèlement.

Sortcière a écrit:heuuuu
Heureusement que le racolage masculin gratos n'est pas encore entré dans les mœurs ! lol !
Bien sûr que ce genre de proposition existe mais aucune femme n'est tenue de le juger acceptable ou supportable ! Un simple "NON" ne suffit pas toujours et les mecs ne sont pas suffisamment cons pour ignorer que c'est une forme de harcèlement.

"le racolage masculin gratos"?
Qu'entendez-vous par cette formule curieuse ? Que toute approche d'une femme par un homme doit être payante ? Ou bien qu'un homme qui tombe amoureux doit faire une demande en trois exemplaire à un tribunal par le biais d'un avocat pour pouvoir adresser la parole à une personne du sexe opposé ? (Je parle bien entendu des deux seuls sexes prévus par la nature et non de tous ceux inventés par les "progressistes")

Les hommes ne sont effectivement pas cons (je reprend votre expression) et ont bien compris que les féministes ont mis la main sur la "démocratie" (au sens 1984) Les récentes lois contre la bio-éthique n'en sont qu'une énième preuve. Il parait que la fin du monde est pour bientôt, et bien tant mieux car une sérieuse remise à zéro s'impose.

Kassandra88 a écrit:

Kassandra88 a écrit:Avignon-Roquemaure : un mois sans nouvelles de Marie-Pascale Sidolle, disparue sur le parking de l'hôpital.
Le dimanche 14 avril 2019, elle est bien entrée au volant de sa Twingo blanche sur le parking du centre hospitalier, elle en serait ressortie quelques minutes plus tard sur le siège passager. C'est du moins ce qu'indiquent les caméras de surveillance.

Qui se trouvait dans le véhicule avec elle ?
Son téléphone a borné pour la dernière fois dans le secteur des falaises de Pujaut, non loin de la route de son domicile à Roquemaure. Quelques heures plus tard, son véhicule a été retrouvé incendié chemin de l'ancien bac de Ramatuel.

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Toujours aucune nouvelle.
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Bonjour,

A la Réunion.

Quatre élèves échappent à leur ravisseur en six jours

Eric Lainé

Tentatives d'enlèvement à répétition aux abords d'établissements scolaires dans l'ouest et le sud de l'île depuis une semaine. Hier matin, c'est une enfant de 11 ans qui a échappé à son agresseur près du collège de Plateau-Caillou. Les gendarmes lancent un appel à témoin.


Hier grand matin, une collégienne de 11 ans s'apprête à rejoindre le collège de Plateau-Caillou comme chaque jour. Il est environ 7h30 quand elle chemine le long de l'avenue Julius-Bénard. Il lui reste à peu près 500 mètres à parcourir quand un type l'agrippe pour l'entraîner jusqu'à son véhicule stationné à proximité. La gamine ne se laisse pas faire. Par chance, elle parvient à lui faire lâcher prise et à s'enfuir. Terrorisée, elle trouve refuge à grandes enjambées dans l'enceinte de son collège. L'élève, scolarisée en classe de sixième, ne connaissait pas son agresseur. Tout s'est déroulé si vite et elle a eu si peur qu'elle n'est en mesure de livrer suffisamment de détails pour établir un profil précis de l'inconnu. L'homme, qui aurait pris la fuite à bord d'un fourgon blanc, serait de type cafre et âgé de 40 à 50 ans, selon la collégienne. Au moment des faits, l'agresseur était semble-t-il habillé d'un tee-shirt et d'un short. Toujours selon les renseignements recueillis, il était coiffé d'une casquette et porteur d'un sac à dos. Petit détail particulier : la jeune fille a remarqué la présence d'un tatouage dans son cou. Une rose à première vue.

Alertés, les gendarmes de la compagnie de Saint-Paul comme le parquet de Saint-Denis prennent l'affaire très au sérieux. Ils ont d'ailleurs décidé de lancer un appel à témoin dès hier soir. Les personnes susceptibles d'avoir été présentes aux abords du collège au moment des faits ou celles qui auraient des renseignements sur l'inconnu au fourgon blanc sont priées de contacter la gendarmerie de Plateau-Caillou en composant le 02 62 22 71 19. Si ce cas est pour l'heure isolé, il n'en demeure pas moins que d'autres tentatives d'enlèvement de jeunes filles ont été signalées aux abords de plusieurs établissements scolaires, entre Plateau-Caillou donc et Saint-Pierre au cours des six derniers jours. Le 21 novembre dernier, une élève de 13 ans aurait été la cible de faits similaires aux abords du collège des Avirons, en début d'après-midi. Elle décrit un homme âgé d'une cinquantaine d'années au volant d'une fourgonnette blanche. Celui-ci ne serait pas de type cafre mais au contraire d'origine caucasienne.  
L'adolescente raconte qu'il lui a demandé avec insistance de monter à bord de son véhicule. Très apeurée, elle a refusé d'obtempérer et s'est empressée de rentrer dans son établissement pour lui échapper. Les gendarmes de la compagnie de Saint-Pierre ont eux aussi ouvert une enquête pour tenter de retrouver le suspect. Un portrait robot a pu être dressé à partir des indications fournies par l'adolescente. Mais aucune piste ne se dessine pour l'heure. Depuis ce même jeudi 21 novembre, les policiers de Saint-Pierre sont confrontés au même genre d'énigme. Ils prennent au sérieux le récit d'une adolescente de 14 ans, scolarisée au collège Paul-Hermann. Elle se rendait en cours le matin quand un automobiliste circulant à bord d'une Renault Clio noire l'a abordée. L'inconnu est sorti de sa voiture pour la rejoindre et la saisir par le bras aux abords de la rue Marius-et-Ary Leblond. Il aurait tenté de la faire monter de force dans son véhicule. Comme à Plateau-Caillou, elle s'est débattue jusqu'à parvenir à se dégager. Elle a pris ses jambes à son cou avant de donner l'alerte. Sa mère l'a immédiatement conduite au commissariat de police et une plainte a été déposée. Le manque de précision, quant au signalement de l'agresseur, rend les investigations compliquées.

CLIMAT DE PSYCHOSE AUX ÉTABLISSEMENTS

 Un dernier cas a fait l'objet d'une diffusion à tous les services d'enquête. Une fois encore le 21 novembre, une écolière de 10 ans dit avoir été approchée par le chauffeur d'une camionnette blanche à benne, peu avant d'arriver à l'école primaire de Condé-Concession, à Saint-Pierre. Selon son récit, il était aux alentours de 8 heures du matin quand le conducteur aurait ralenti à son niveau pour exiger d'elle qu'elle monte à bord. Effrayée, la gamine est partie en courant pour trouver refuge dans son école. Elle s'est confiée à sa maîtresse qui a donné l'alerte. Selon le signalement diffusé par la police, l'homme serait de type caucasien. Ses cheveux blancs et courts laisse comprendre qu'il est d'âge mûr, comme les autres. Même si tous ces signalements se sont produits dans un espace temps restreint et que certaines similitudes apparaissent, rien ne permet de les relier. Il n'en demeure pas moins que ces tentatives d'enlèvement à répétition aux abords d'établissements scolaires jettent suffisamment le trouble pour créer les conditions d'un climat de psychose. A n'en pas douter, les parents mais aussi le personnel des écoles et des collèges vont redoubler de vigilance dans les jours et les semaines à venir. Idem pour les forces de l'ordre. Car aussi bien les policiers de Saint-Pierre que les gendarmes de l'ouest et du sud sont en alerte, multipliant les patrouilles aux heures de rentrées des classes.

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