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Re: qui est il? V
Comment arrêter un serial killer?
ENQUÊTE – Le procureur de la République de Grenoble, Jean-Yves Coquillat (en charge de l'affaire Maëlys) a proposé mercredi des mesures pour aider la justice à mieux faire face aux serial killers. Martine Monteil, ex-patronne de la Brigade criminelle et de la Direction centrale de la police judiciaire notamment, et qui a notamment été au cœur de l’affaire Guy Georges, livre son point de vue à LCI.
ENQUÊTE – Le procureur de la République de Grenoble, Jean-Yves Coquillat (en charge de l'affaire Maëlys) a proposé mercredi des mesures pour aider la justice à mieux faire face aux serial killers. Martine Monteil, ex-patronne de la Brigade criminelle et de la Direction centrale de la police judiciaire notamment, et qui a notamment été au cœur de l’affaire Guy Georges, livre son point de vue à LCI.
Mercredi, le procureur de la République de Grenoble, Jean-Yves Coquillat – très médiatisé depuis fin août avec l’affaire Maëlys - a longuement parlé de la façon dont la justice française devrait faire face au phénomène des tueurs en série. Première femme à la tête de la Brigade de répression du proxénétisme (BRP), de la Brigade de la Répression et du Banditisme, de la Crim’, puis de la Police judiciaire avant de devenir préfète, Martine Monteil, aujourd’hui retraitée, revient sur certaines affaires qu’elle a pu traiter au cours de sa carrière et donne son point de vue sur la gestion des affaires du tueurs en série en France.
LCI : Jean-Yves Coquillat a évoqué mercredi les difficultés d’identifier un serial killer, quelles sont-elles selon vous ?
Martine Monteil : Dès lors qu'une première affaire n'a pas été élucidée, c'est déjà un échec. A partir de deux homicides, cela interpelle, à partir de trois, ça devient clairement le fait d’un tueur en série. En général, ces criminels agissent selon un même modus operandi, sur des victimes qui présentent le même profil et sur une zone géographique définie.
LCI : Pouvez-vous revenir sur les dossiers de tueurs en série sur lesquels vous avez travaillé ?
Martine Monteil : Ma première affaire de tueur en série alors que j’étais commissaire stagiaire a été celle de "l’étrangleur des parkings" à la fin des années 70 dans le 10e arrondissement de Paris. Cet homme suivait les femmes quand celles-ci rentraient dans leur parking. Ensuite, il les menaçait, puis, sous la contrainte, il les violait, avant de les étrangler et de voler quelques bricoles.
Ma deuxième affaire de tueurs en série a été celle de Mamadou Traoré, surnommé le "tueur aux mains nues". Ce criminel multirécidiviste a agressé six femmes dont deux mortellement en 1996. Il les tapait et les défigurait. Deux d’entre elles ont été violées. On a réussi à avoir de l’ADN sur deux scènes de crime, dont un crachat sur un ascenseur du 13e arrondissement. Puis, un jour nous avons eu une affaire qui n’avait rien à voir du côté de Neuilly. La plupart des victimes de Mamadou Traoré étaient jeunes et jolies. Là, nous nous sommes retrouvés sur l’affaire d’une femme beaucoup plus âgée et qui était défigurée. Le modus operandi était le même apparemment, mais le profil de la victime était très différent. On a tout de suite écarté Traoré qui sévissait à Paris vers les 13e et 12e. C’est l’ADN retrouvé sur une bouteille de Coca-Cola près de la scène de crime qui a permis de faire le rapprochement avec les autres affaires.
Enfin, il y a l’affaire Guy Georges. Dès la deuxième victime, les enquêteurs se sont inquiétés. Ils trouvaient qu’il y avait des similitudes dans l’exécution criminelle : le deuxième corps présentait des traces identiques à celui du premier. Pour preuve, ont été présentées aux jurés deux photos de victimes presque identiques, et que l'on aurait même pu superposer tant les ressemblances étaient flagrantes: les corps étaient positionnés sur le lit de la même façon, avec les mêmes blessures –gorge tranchée, corps vrillé… -. Pour celui qui deviendra le tueur de l’est parisien, il n’y avait qu’à regarder le cadavre, on savait que c’était lui. C’est une mécanique criminelle, les actes sont présentés de même façon.
LCI : Quelle difficulté avez-vous rencontré dans le dossier Guy Georges ?
Martine Monteil : On a tellement ratissé dans chaque affaire. Mais il n’y avait rien, à l’exception des corps qui constituent un atout en matière d’investigation à l’opposé des affaires de disparition. On dit dans notre langage policier d’ailleurs que l’on fait "parler le cadavre". Pour le reste, pour l’identification, c’était extrêmement dur, même après qu’on ait eu un témoin, une psychomotricienne. Le 16 juin 1995, cette jeune femme âgée de 23 ans, avait été suivie par Guy Georges dans son appartement de la rue des Tournelles (3e). Menacée au couteau, attachée à son lit, elle est parvenue à s'échapper. Elle a fait un portrait-robot de son agresseur. Elle avait la conviction qu’il était maghrébin… On est parti là-dessus. Mais Guy Georges n’était pas du tout maghrébin. Un peu plus tard, Guy Georges, coupable d’autres choses, sera amené à la Crim'. Une confrontation aura lieu avec cette psychomotricienne mais elle ne le reconnaîtra pas. La peur, la sidération l’ont sans doute induite en erreur, nous ne pouvions évidemment pas en vouloir à cette jeune femme… Après l’affaire, j’ai dit aux enquêteurs qu’il fallait se méfier des témoins, fussent-ils aussi merveilleux que cette jeune femme, ils peuvent se tromper, comme tout le monde.
L’opinion publique le condamne, mais il n’y a ni aveu, ni corps. Nordahl Lelandais reste présumé innocentMartine Monteil
LCI : Avez-vous eu des affaires dans lesquelles le corps de la victime n’a pas été retrouvé ?
Martine Monteil : Quand j’étais directeur centrale de la police judiciaire, je me suis fort intéressée à l’affaire d’Estelle Mouzin. Le père de cette enfant m’émeut beaucoup, j’ai tellement voulu l’aider. J’ai fait reprendre des tas de choses aux enquêteurs, j’ai fait creuser sous un restaurant…. Il y a eu un travail gigantesque, des milliers de procès-verbaux ont été établis, il y a eu des gardes à vue. Mais ni l’auteur des faits, ni le corps de la fillette n’ont été retrouvés. Et malheureusement, je pense qu’Estelle n’est plus en vie.
LCI : Depuis plusieurs mois, Jean-Yves Coquillat, procureur de la République de Grenoble, travaille sur l’affaire Maëlys. Si la fillette de 9 ans n’a pas été retrouvée, un homme, Nordahl Lelandais, a été mis en examen pour meurtre et enlèvement dans ce dossier. Quel regard portez-vous sur cette affaire ?
Martine Monteil : Je n’aime pas commenter les affaires sur lesquelles je n’ai pas travaillé mais de ce que j’ai vu à la télévision, il y a quand même un faisceau de présomption de culpabilité sur cet individu : la voiture, le bornage téléphonique, l’ADN retrouvé sur le commutateur, cette photo sur laquelle la mère de Maëlys est convaincue de reconnaître sa fille… L’opinion publique le condamne, mais il n’y a ni aveu, ni corps. Nordahl Lelandais reste présumé innocent.
LCI : Nordahl Lelandais a été mis en examen pour assassinat cette fois dans l’affaire Arthur Noyer, caporal dont le crâne a été retrouvé en septembre 2017, cinq mois après sa disparition…
Martine Monteil : Le profil des deux victimes est radicalement opposé. Les enquêteurs se penchent maintenant sur d’autres disparitions. Nordahl Lelandais pourrait effectivement être un tueur en série… Ou pas.
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ENQUÊTE – Le procureur de la République de Grenoble, Jean-Yves Coquillat (en charge de l'affaire Maëlys) a proposé mercredi des mesures pour aider la justice à mieux faire face aux serial killers. Martine Monteil, ex-patronne de la Brigade criminelle et de la Direction centrale de la police judiciaire notamment, et qui a notamment été au cœur de l’affaire Guy Georges, livre son point de vue à LCI.
ENQUÊTE – Le procureur de la République de Grenoble, Jean-Yves Coquillat (en charge de l'affaire Maëlys) a proposé mercredi des mesures pour aider la justice à mieux faire face aux serial killers. Martine Monteil, ex-patronne de la Brigade criminelle et de la Direction centrale de la police judiciaire notamment, et qui a notamment été au cœur de l’affaire Guy Georges, livre son point de vue à LCI.
Mercredi, le procureur de la République de Grenoble, Jean-Yves Coquillat – très médiatisé depuis fin août avec l’affaire Maëlys - a longuement parlé de la façon dont la justice française devrait faire face au phénomène des tueurs en série. Première femme à la tête de la Brigade de répression du proxénétisme (BRP), de la Brigade de la Répression et du Banditisme, de la Crim’, puis de la Police judiciaire avant de devenir préfète, Martine Monteil, aujourd’hui retraitée, revient sur certaines affaires qu’elle a pu traiter au cours de sa carrière et donne son point de vue sur la gestion des affaires du tueurs en série en France.
LCI : Jean-Yves Coquillat a évoqué mercredi les difficultés d’identifier un serial killer, quelles sont-elles selon vous ?
Martine Monteil : Dès lors qu'une première affaire n'a pas été élucidée, c'est déjà un échec. A partir de deux homicides, cela interpelle, à partir de trois, ça devient clairement le fait d’un tueur en série. En général, ces criminels agissent selon un même modus operandi, sur des victimes qui présentent le même profil et sur une zone géographique définie.
LCI : Pouvez-vous revenir sur les dossiers de tueurs en série sur lesquels vous avez travaillé ?
Martine Monteil : Ma première affaire de tueur en série alors que j’étais commissaire stagiaire a été celle de "l’étrangleur des parkings" à la fin des années 70 dans le 10e arrondissement de Paris. Cet homme suivait les femmes quand celles-ci rentraient dans leur parking. Ensuite, il les menaçait, puis, sous la contrainte, il les violait, avant de les étrangler et de voler quelques bricoles.
Ma deuxième affaire de tueurs en série a été celle de Mamadou Traoré, surnommé le "tueur aux mains nues". Ce criminel multirécidiviste a agressé six femmes dont deux mortellement en 1996. Il les tapait et les défigurait. Deux d’entre elles ont été violées. On a réussi à avoir de l’ADN sur deux scènes de crime, dont un crachat sur un ascenseur du 13e arrondissement. Puis, un jour nous avons eu une affaire qui n’avait rien à voir du côté de Neuilly. La plupart des victimes de Mamadou Traoré étaient jeunes et jolies. Là, nous nous sommes retrouvés sur l’affaire d’une femme beaucoup plus âgée et qui était défigurée. Le modus operandi était le même apparemment, mais le profil de la victime était très différent. On a tout de suite écarté Traoré qui sévissait à Paris vers les 13e et 12e. C’est l’ADN retrouvé sur une bouteille de Coca-Cola près de la scène de crime qui a permis de faire le rapprochement avec les autres affaires.
Enfin, il y a l’affaire Guy Georges. Dès la deuxième victime, les enquêteurs se sont inquiétés. Ils trouvaient qu’il y avait des similitudes dans l’exécution criminelle : le deuxième corps présentait des traces identiques à celui du premier. Pour preuve, ont été présentées aux jurés deux photos de victimes presque identiques, et que l'on aurait même pu superposer tant les ressemblances étaient flagrantes: les corps étaient positionnés sur le lit de la même façon, avec les mêmes blessures –gorge tranchée, corps vrillé… -. Pour celui qui deviendra le tueur de l’est parisien, il n’y avait qu’à regarder le cadavre, on savait que c’était lui. C’est une mécanique criminelle, les actes sont présentés de même façon.
LCI : Quelle difficulté avez-vous rencontré dans le dossier Guy Georges ?
Martine Monteil : On a tellement ratissé dans chaque affaire. Mais il n’y avait rien, à l’exception des corps qui constituent un atout en matière d’investigation à l’opposé des affaires de disparition. On dit dans notre langage policier d’ailleurs que l’on fait "parler le cadavre". Pour le reste, pour l’identification, c’était extrêmement dur, même après qu’on ait eu un témoin, une psychomotricienne. Le 16 juin 1995, cette jeune femme âgée de 23 ans, avait été suivie par Guy Georges dans son appartement de la rue des Tournelles (3e). Menacée au couteau, attachée à son lit, elle est parvenue à s'échapper. Elle a fait un portrait-robot de son agresseur. Elle avait la conviction qu’il était maghrébin… On est parti là-dessus. Mais Guy Georges n’était pas du tout maghrébin. Un peu plus tard, Guy Georges, coupable d’autres choses, sera amené à la Crim'. Une confrontation aura lieu avec cette psychomotricienne mais elle ne le reconnaîtra pas. La peur, la sidération l’ont sans doute induite en erreur, nous ne pouvions évidemment pas en vouloir à cette jeune femme… Après l’affaire, j’ai dit aux enquêteurs qu’il fallait se méfier des témoins, fussent-ils aussi merveilleux que cette jeune femme, ils peuvent se tromper, comme tout le monde.
L’opinion publique le condamne, mais il n’y a ni aveu, ni corps. Nordahl Lelandais reste présumé innocentMartine Monteil
LCI : Avez-vous eu des affaires dans lesquelles le corps de la victime n’a pas été retrouvé ?
Martine Monteil : Quand j’étais directeur centrale de la police judiciaire, je me suis fort intéressée à l’affaire d’Estelle Mouzin. Le père de cette enfant m’émeut beaucoup, j’ai tellement voulu l’aider. J’ai fait reprendre des tas de choses aux enquêteurs, j’ai fait creuser sous un restaurant…. Il y a eu un travail gigantesque, des milliers de procès-verbaux ont été établis, il y a eu des gardes à vue. Mais ni l’auteur des faits, ni le corps de la fillette n’ont été retrouvés. Et malheureusement, je pense qu’Estelle n’est plus en vie.
LCI : Depuis plusieurs mois, Jean-Yves Coquillat, procureur de la République de Grenoble, travaille sur l’affaire Maëlys. Si la fillette de 9 ans n’a pas été retrouvée, un homme, Nordahl Lelandais, a été mis en examen pour meurtre et enlèvement dans ce dossier. Quel regard portez-vous sur cette affaire ?
Martine Monteil : Je n’aime pas commenter les affaires sur lesquelles je n’ai pas travaillé mais de ce que j’ai vu à la télévision, il y a quand même un faisceau de présomption de culpabilité sur cet individu : la voiture, le bornage téléphonique, l’ADN retrouvé sur le commutateur, cette photo sur laquelle la mère de Maëlys est convaincue de reconnaître sa fille… L’opinion publique le condamne, mais il n’y a ni aveu, ni corps. Nordahl Lelandais reste présumé innocent.
LCI : Nordahl Lelandais a été mis en examen pour assassinat cette fois dans l’affaire Arthur Noyer, caporal dont le crâne a été retrouvé en septembre 2017, cinq mois après sa disparition…
Martine Monteil : Le profil des deux victimes est radicalement opposé. Les enquêteurs se penchent maintenant sur d’autres disparitions. Nordahl Lelandais pourrait effectivement être un tueur en série… Ou pas.
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Re: qui est il? V
Invité a écrit:
Je me suis mal exprimé; je mettais un terme à la journée.
J'ai regardé la vidéo avec Carine H...
cette affaire est "obsédante".... y a un truc qui cloche... un paramètre "évident" a été écarté.... l'aspect grêlé, les appareils photo, sont des trompe l'oeil... un truc me dit que c'est bien plus simple... un paramètre "bête comme chou"... ça m'énerve.
Ah Ok! Seriez vous en train d'attraper le virus?
Dernière édition par Kassandra88 le Lun 19 Fév 2018 - 8:57, édité 1 fois
Re: qui est il? V
Kassandra88 a écrit:Invité a écrit:Car si le G avait les clés de chez elle, on peut présumer qu'elle ne les lui as pas confiées d'emblée.
Je ne suis pas sure qu'elle lui ait passé les clés de gaité de coeur.
c'est à dire?
Invité- Invité
Re: qui est il? V
Invité a écrit:Question : y a t il une base documentaire, un fichier zip, un tableau, reprenant les adresses exactes des faits?
Si ce n'est que le noms ont été changés, il y a de nombreux renseignements sur les lieux des agressions dans le livre de Carine.
Dernière édition par Kassandra88 le Lun 19 Fév 2018 - 8:58, édité 1 fois
Re: qui est il? V
Invité a écrit:Kassandra88 a écrit:Invité a écrit:Car si le G avait les clés de chez elle, on peut présumer qu'elle ne les lui as pas confiées d'emblée.
Je ne suis pas sure qu'elle lui ait passé les clés de gaité de coeur.
c'est à dire?
On les avait vu +/_ se disputer la veille.
Lors de son retour en Allemagne, Irm. Mull. avait dit à sa mère et à sa soeur qu'elle voulait se débarrasser de cet Elie, garçon étrange et impuissant. Carine P82
Dernière édition par Kassandra88 le Lun 19 Fév 2018 - 8:59, édité 3 fois
fréquences de la police
bonjour,
lors de l'une de ses agressions le grêlé possédait un talkie walkie (viol du 14ème)
il suffit d'être un peu bricoleur pour se brancher sur les ondes policières
cela expliquerait peut-être pourquoi le grêlé avait toujours une longueur d'avance sur les policiers !
lors de l'une de ses agressions le grêlé possédait un talkie walkie (viol du 14ème)
il suffit d'être un peu bricoleur pour se brancher sur les ondes policières
cela expliquerait peut-être pourquoi le grêlé avait toujours une longueur d'avance sur les policiers !
mimi
Re: qui est il? V
Kassandra88 a écrit:TOM3468 a écrit:Bonsoir,
Quelqu'un pourrait-il me rappeler les hypothèses émises pour expliquer l'utilisation du nom de Elie Louringe ou Elie Lauringe ?
Cordialement
TOM3468
Bonsoir Tom,
Il n'est pas toujours simple de retrouver une info dans un fil aussi long et il est aussi regrettable que France2 se soit débarrassé de son forum NE.
Il faut savoir que si "Elie Lauringe" semble être le grêlé parce qu'il est le seul de la liste d'I.M à ne pas avoir été identifié, tout le monde n'adhère pas à cette hypothèse.
Par contre, si on considère qu'il est bien Elie Lauringe, et qu'on admet qu'il est l'auteur des lettres envoyées à Marie et Sophie, alors son faux nom est peut avoir été inspiré du livre Oblomov de Gontcharov qu'il évoque dans sa correspondance.
Le personnage principal du roman s'appelle Elie (Oblomov)
La signature de Gontcharov ressemble très fort à Lauringe
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Tu retrouveras quelques détails ici:
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Perso, c'est l'hypothèse à laquelle j’adhère.
Il y a eu pas mal d'autres hypothèses sur le prénom Elie (origine juive???)
Et en 2010, un internaute avait remarqué qu'il existait un monsieur appelé Marcel Aimé Elie Laurenge né le 23 décembre 1853 à Lille. Son petit neveu a tenu à lui rendre hommage à travers ce blog
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l'idée que quelqu'un aurait pu connaitre son histoire ..... et s'en inspirer de se créer un faux nom a été suggérée.
Ajout:
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En rappelant que R.M.M s'attribue le résultat des recherches des internautes du forum de France2
Re: qui est il? V
Invité a écrit:Une question rapide en passant : a quelles dates ont été envoyées les lettres, sait on à quelle adresse et depuis où? (rue, ou arrondissement). Merci.
Marie et Sophie ont reçu des lettres anonymes postées le 7/12/1987, rue de Sèvres Paris 6 à 18H. Ont aussi reçu des lettres AVANT le 26/11/1987.
Marie et Sophie habitaient rue Jacob (Paris 6)
Elles ont été interpellées de façon abusive le jeudi 26 novembre 1987 par un faux policier (le G) porteur d'une fausse carte de police à 12H30 pour l'une 12H35 pour l'autre. Le faux policier était-il en pause midi? Travaillait-il ce jour là?
Une maman aura l'occasion de parler à ce faux policier. Elle le reconnaitra dans le PR établi par Marianne N.
Dernière édition par Kassandra88 le Lun 19 Fév 2018 - 9:01, édité 2 fois
Re: qui est il? V
Invité a écrit:
« Les parcs » expliquent, allument beaucoup de « feux verts », dans l’affaire :
Le profil ; baraqué, mains de bucherons, tenue vestimentaire, et…. L’odeur !
Ça explique, ça matche, pour le repérage de ses cibles.
Ça matche pour la saisonnalité : on ne tond pas la pelouse en décembre. Par contre, dans les parcs à la saison des faits de 86, on fait que ça (j’ai eu une maison avec 1500 m2 vers Lille et au printemps, c’était coupe tous les 15 jours : ça pousse à une vitesse folle). Et la pelouse, les travaux de jardinage laissent une odeur caractéristique sur les fringues pour 1500 m2. Donc pour un type qui ne fait que ça : il est imprégné (la veste).
Ça matche car le WE, dans les parcs, on ne fait pas tourner les tondeuses…(Le G est chez lui, il n’a pas de pulsions puisque pas de victimes potentielles sous les yeux). Et les cibles sont en famille ou au parc, donc inaccessibles matériellement (et bien trop de témoins dans les domiciles ; c’est juste logique).
Ça matche avec la notion de surveillance (talkie walkie) / pourquoi pas contrat de travail de type gardien/homme d’entretien : l’hiver c’est la sécurité, au printemps la pelouse.
Ça explique le côté débrouillard, bricoleur…très terre à terre, très pragmatique (L’allumette pour bloquer un ascenseur, le paquet de clopes pour une porte).
Ça colle avec la faculté de constituer des liens (taille d’arbres, savoir faire des fagots, les nouer).
Ça colle avec l’usage du tisonnier chez G Politi (désolé d’être aussi morbide, mais c’est l’action d’un type qui sait se servir de ses mains… qui a pu être amené à intervenir sur des clotûres, improviser par conséquent des systèmes de tension. Ce qui enlève beaucoup de la « mystique » mais explique très logiquement et matériellement l’horreur de la scène.)
Ça colle avec un niveau de vie moyen. (capacité financière à se payer des Marlboro, sa marque de clopes, des Nike ou Adidas –à l’époque ces marques, surtout Nike, c’était pas donné). Ce qui ne l’empêche pas de faire main basse sur des objets que LUI considère de valeur.
Ça colle avec le fait que Irmgard –jolie jeune femme courtisée- n’aurait sans doute pas entretenu une relation avec un mec sdf qui manquait d’hygiène.
Ça colle avec l’environnement des faits de 94.
--
Mais en retenant cette hypothèse pour les seuls faits de 86 et en les raccordant directement à 94, il serait un agent d’entretien d’espaces verts, homme à tout faire polyvalent, avec une mission de sécurité en période hivernale… et/ou changements d’employeurs.
--
ça n’explique pas les lettres, ni Elie Louringe, ni le 13 rue Rubens.
Ça explique la « grossièreté » des actions (l’insolente prise de risque sous la gouverne de la pulsion).
Ça explique la connaissance du « terrain » des faits de 94 ; je parle de Saclay. Pour lesquels il a changé d’employeur.
C'est très cohérent tout ça. Ça peut aussi expliquer sa manière de parler qui a été relevée (parfois en contact avec le public sur un poste perçu comme dévalorisant socialement) et ses facultés à faire des nœuds (pour transporter les déchets verts). Pour le 13 rue Rubens, il y a le parc Le Gall à côté, non ? Ou même la Pitié Salpêtrière (était-il suivi là bas ?).
Pour les lettres et le nom, m'est avis qu'il peut tout à fait avoir pris ça dans un bouquin acheté / trouvé dans le but de se donner de l'inspiration et de jouer à l'homme cultivé.
Invité- Invité
Re: qui est il? V
Bonjour,
Pour un agent espace vert , les employé communaux espace vert établisse pour sûr certaine mission :
L’entretien pelouse - haie : pour l’odeur ( mais si pas convaincu par cette odeur perçu )
L’elagage Qui nécessite des notions d’escalades et de noeux ( pour grimper et faire descendre les branches)
Les mains rugueuses : travaux manuel
Le talkie walkie , ils en ont besoin lors d’élagage dans Paris notamment pour éviter de ne pas trop gêner la circulation.
Il peut être de mission surveillance , en tant qu’agent de sécurité. ( sur un ami bosse en tant qu’employés communaux)
Saclay à côté de la ferme c’est des jardins
Faudrait connaître le les horaires de postes dés agent communaux sur paris ou bien dés sociétés s’occupant des entretiens espace vert sur paris.
Pour un agent espace vert , les employé communaux espace vert établisse pour sûr certaine mission :
L’entretien pelouse - haie : pour l’odeur ( mais si pas convaincu par cette odeur perçu )
L’elagage Qui nécessite des notions d’escalades et de noeux ( pour grimper et faire descendre les branches)
Les mains rugueuses : travaux manuel
Le talkie walkie , ils en ont besoin lors d’élagage dans Paris notamment pour éviter de ne pas trop gêner la circulation.
Il peut être de mission surveillance , en tant qu’agent de sécurité. ( sur un ami bosse en tant qu’employés communaux)
Saclay à côté de la ferme c’est des jardins
Faudrait connaître le les horaires de postes dés agent communaux sur paris ou bien dés sociétés s’occupant des entretiens espace vert sur paris.
ca-gere
Re: qui est il? V
En ce qui concerne les employés des espaces verts municipaux, il n’y a pas que les Parcs, ils peuvent être partout. La rue Rubens, c’est à 15 minutes à pied du Parc Montsouris, mais à quelques centaines de mètres, à peine, il y a par exemple l’école Estienne, avec de grandes pelouses et des jardiniers de la mairie qui y bossent (c’est une école municipale), et il y a sans doute beaucoup d’autres endroits du même type aux alentours.
(je repasse plus tard pour donnr des précisions sur les polaroïds)
(je repasse plus tard pour donnr des précisions sur les polaroïds)
Volk
le bûcheron meurtrier / france-soir 02/06/87
Dernière édition par mimi le Lun 22 Jan 2018 - 22:09, édité 1 fois
mimi
Re: qui est il? V
Je vous réponds entre les lignes si je peux.
Invité a écrit:
Merci. C'est donc au centre de son "rayon" d'action. C'est à l'heure du déjeuner et concentré sur une heure pour 4 tentatives; c'est énormissime. Si il est l'auteur des lettres, il a repéré (antériorité des lettres), mais n'a pas cédé à la pulsion dans l'urgence d'avoir à la satisfaire (il est pas "totalement con" non plus : il a commis un meurtre à 3 kms de là 6 mois auparavant (IM et GP) : changement de process) et c'est peut être pas l'objectif recherché; il veut frapper un grand coup pour le vol (j'y crois pas trop...). On est au coeur de Paris, dans les quartiers chics. Il bosse et doit reprendre le taf (il est discipliné dans le travail, peut-être soumis au pointage)...
A ce propos, voilà comment Mme G (la mère de Sophie) le décrit:
Il portait un blouson marron voire kaki, portait des tennis avec des scrathes. Il avait une allure propre, nette, une apparence physique qui peut mettre en confiance ....mais un comportement bizarre. Elle ne mentionne pas une odeur particulière. Je trouve que cette description ne colle pas tellement avec un jardinier en pose de midi.
Les lettres peuvent être une stratégie d'approche : créer la menace pour arriver en flic sauveur au moment opportun. (pareil : j'y crois pas trop non plus...).
Stratégie d'approche, je le pense aussi: sauveur, je ne le pense pas
Et j'imagine que les immeubles du quartier ne sont pas les "passoires" des grands ensembles sur lesquels il a opéré en 86; il faut donc se faire ouvrir pour un motif "légitime". Il utilise donc la ruse, de façon plus subtile et élaborée qu'au "début de sa carrière" (86 jusque mai 87). Mais il a repéré AVANT, et ciblé de façon extrêmement précise ces adresses puisque répétition dans les lettres, avant de se résoudre à passer à l'acte.
Il suffit de se tenir très près d'une personne qui entre dans un immeuble pour s'y faufiler aussi avant que la porte ne se referme
Et on a des parcs à 800 mètres de là; encore une fois, rien de tel pour cibler!
La mobilité/furtivité (terme tout à fait discutables compte tenu de la grossièreté des actions) : je pense qu'en maitrisant la géographie des lieux, les lignes RER etc... en 15 minutes max il a regagné son lieu de travail, s'il en a un... (je pense que oui : comme "ca gere"; agent d'entretien d'espaces verts, communal ou pour une boite sous traitante, dans un périmètre très proche).
Mariane, 14 ème, 13 h, c'est à 3 kms de là...un mois auparavant.
Tentatives avortées le 26/11, après avoir élaboré le plan "des lettres", c'est un échec cuisant et il repart faire "son marché" dans le 19 pour des tentatives concentrées sur une heure, 4 jours plus tard. Pour ne revenir que 6 jours plus tard dans le secteur du 6 pour une seule tentative, la seule fois un dimanche en fin d'aprem (6 décembre, 17h30, il fait sombre, donc il tente quand même le coup).
Il a peur, il a sa tronche dans les journaux, est recherché, il ne peut pas l'ignorer, mettre cet aspect de côté... mais il lui faut "sa came", donc le stratagème du chasseur posté dans l'ascenseur comme en 86 (affaire Cécile), il ne peut plus se permettre de le réitérer, c'est bien trop risqué : il faut agir vite et disparaitre.
Les lettres : J'ai parcouru "en diagonale" (vraiment en diagonale) Oblomov... ça ressemble à un huis clos sur le thème de l'oisiveté etc... ponctué de dialogues ... Rien de très langoureux ou triste qui ferait "pleurer" (il dit qu'il a "pleuré" en le lisant, perso j'ai failli m'endormir)... Franchement, y a pas de quoi séduire en citant des passages de cet ouvrage...
Je suis du même avis. (J'ai lui la version tronquée en pdf disponible sur le net). Je pense que c'est une manoeuvre pour émouvoir.
Je pense comme pour le plagiat de Diderot, qu'il s'agit de livres sur lesquels il a bâti ce qui lui permet de donner l'illusion qu'il est très cultivé. ça peut avoir deux objectifs très différents : brouiller les pistes (envoyer les flics sur la piste d'un intello alors qu'il tond les pelouses dans les parcs et ramasse les poubelles), ou enrober de poésies, de littérature "savante", ses lettres, car il n'a pas les "moyens intellectuels" de les écrire lui même, sans pour autant être analphabète bien au contraire. J'opte pour la seconde hypothèse : ça permet de donner l'illusion d'un niveau social et intellectuel... qu'il croise tous les jours (j'y tiens à ma "théorie des parcs", du "bucheron").
Il faut quand même savoir qu'avant de m'intéresser à cette affaire, j'ignorais qui était Gontcharov et j'ai réalisé que j'étais loin d'être la seule. Alors, venir parler de cet auteur inconnu de la plupart, fallait quand même le faire. C'est à souligner. Mais peut-être faites vous exception et connaissiez vous cet auteur russe. Travailleur manuel peut-être mais avec un certain bagage intellectuel quand même
Donc, il a eu "accidentellement" accès à des ouvrages classiques, et pourquoi pas à ces deux seuls (vieille bibliothèque pourrie, immeuble désaffecté, etc... les hypothèses sont innombrables).
Il n'est pas un adepte de la littérature classique, loin s'en faut, mais il s'appuie sur "Oblomov" pour créer son "jeu de pistes".
Il n'est donc pas un adepte des librairies, n'a aucune "psychologie" envers les enfants (il n'attire pas, il contraint par une autorité -la police, rien de tel- pour opérer, croit-il... alors qu'il suffit de dire à un enfant "police, ta maman est à l'hopital, suis moi" et quasiment tous les enfants suivront).
Il va donc d'ABORD se renseigner si "Oblomov" est dispo à la librairie de St Germain (il a donc vu l'escalier "tout de blanc maquillé" qui mène au sous sol) et échafaude ENSUITE son plan grotesque des lettres. La mère n'y prête pas attention, jusqu'au jour où il est question de viol et alerte les flics. La question dans cette hypothèse est de reconstituer la chronologie lettres/agression et là je sèche. Mais le concept est simple si l'on part du postulat que le but du jeu était pour lui de créer un climat de confiance en espérant recevoir une réponse à ses lettres, puis ne l'ayant pas, il a subitement décidé de passer à l'acte un midi (frustration du piège qui n'a pas fonctionné alors qu'il a ses cibles en vue depuis des semaines). Etant identifié visuellement, il était évidemment dès lors hors de question de remettre un pied dans cette librairie (il est taré, mais pas con).
Elie Lourages : l'exemplaire qu'il avait portait la signature manuscrite de Gontcharov.
D'après les échanges entre internautes, la signature de l'auteur ne figurait pas sur le livre (édition folio). C'est le bémol de l'hypothèse Elie Lauringe... ou alors, le G est plus cultivé qu'on peut le penser et connait vraiment cet auteur (origine russe?). Cette signature, un internaute l'a découverte sur WIKIPEDIA ... mais il n'y avait pas internet à l'époque.
Il a fait un mix entre le personnage Elie, et la signature de l'auteur Lourages. Il détient ce livre depuis quelques temps... Et se dit que Elie Lourages, ça sonne pas mal; "ça pète" comme on dirait de nos jours...il en avait donc fait son identité envers Irmgard, tout bêtement.
Irmgard : il a passé la nuit avec elle. Dispute la veille, elle a un mauvais feeling.
Pendant les vacances de Pâques, elle était retournée dans sa famille en Allemagne et avait parlé à sa soeur et à sa mère d'un certain Elie, pas net dont elle voulait se débarrasser. Elle ne le sentait pas et cela ne datait pas d'hier
Il la convainc par des arguments "amoureux", car dans sa vie de plouc elle représente ce qu'il n'a jamais pu avoir, ni sexuellement, ni socialement... mais ayant la PJ au cul il avait donné cette identité car ça sonne bien, et n'en change pas (ne révèle pas sa véritable identité, sinon il la perd ; son univers de mensonges s'écroulerait en résumé) + c'est un rempart pour être "remonté" (il élimine les risques). Elle, gentille fille, finit par accepter de le laisser passer la nuit, ou c'est lui qui s'impose (il a les clés de chez elle)... Ils ont un rapport (ADN). Elle conserve à l'esprit qu'il y a "un malaise" avec ce mec (s'il s'est imposé, ça colle parfaitement).
Je pense qu'il s'est imposé et qu'elle n'a pas osé dire non.
Avant de partir bosser chez GP, elle découvre que son identité est bidon (en 3 secondes elle a ouvert son portefeuille et comprend qu'il a menti). Sous une forme ou sous une autre (un mot laissé avant de partir) elle lui demande de se barrer et de ne plus revenir (les scénarios sont multiples; il peut s'être aperçu qu'elle sait sans qu'il n'y ait de mot de sa part à elle; elle peut très bien le lui avoir dit à l'interphone, d'où la durée de la négociation ce matin là). Il est donc "grillé". S'ensuit la scène chez GP après une négociation durable à l'interphone; il lui faut absolument entrer : et il élimine mécaniquement le risque. Mais il faut d'abord qu'il sache ce que "eux" savent. Donc il les fait parler. on est en 87, pas de téléphone mobile, pas d'appareils photos numériques, etc... et il embarque les appareils photos sans prendre soin d'embarquer le sac d'irmgard.
Dernière édition par Kassandra88 le Lun 19 Fév 2018 - 9:03, édité 1 fois
Re: qui est il? V
mimi a écrit:le grêlé a disparu des écrans radar de la police depuis le 29/04/87 jusqu'au 29/06/94
pendant 7 ans..................................où était-il ?
en prison en province ?
Pour moi, il est libre, et toujours en Ile de France.
Je pense l'avoir croisé entre 1989 et 1991 dans les Hauts de Seine, donc en plein milieu de la période.
mat
Re: qui est il? V
Pour le coter cultiver c’est peut être aussi son environnement familiale , si il a grandit dans une famille ou la culture est importante , même non intéressé il y aura des restes.
Musique classiques ( là dessus j’y tiens lol ), littérature plagié ok mais fallait connaître, si parent littéraire pourquoi pas le oblomov dans la bibliothèque qu il a eu le temps de feuillté à multiple reprise.
Si tel était le cas on recherche pas trop un paume social, mais plutôt quelque l’un de bonne famille ( jardinier-élagueur-ou agent de sécu peu importe ) Donc qui aurait pu grandir dans des villes plus huppées autour de paris. ( faudrait demander au parisien et habitant d’ile De France les beaux endroits)
Avec deux agression le matin , une au sud est et une autre au nord est , y a bien une ligne/ gare qui permet d’etre Très tôt le matin et rejoindre rapidement c’est deux lieu.
Musique classiques ( là dessus j’y tiens lol ), littérature plagié ok mais fallait connaître, si parent littéraire pourquoi pas le oblomov dans la bibliothèque qu il a eu le temps de feuillté à multiple reprise.
Si tel était le cas on recherche pas trop un paume social, mais plutôt quelque l’un de bonne famille ( jardinier-élagueur-ou agent de sécu peu importe ) Donc qui aurait pu grandir dans des villes plus huppées autour de paris. ( faudrait demander au parisien et habitant d’ile De France les beaux endroits)
Avec deux agression le matin , une au sud est et une autre au nord est , y a bien une ligne/ gare qui permet d’etre Très tôt le matin et rejoindre rapidement c’est deux lieu.
ca-gere
Re: qui est il? V
mat a écrit:mimi a écrit:le grêlé a disparu des écrans radar de la police depuis le 29/04/87 jusqu'au 29/06/94
pendant 7 ans..................................où était-il ?
en prison en province ?
Pour moi, il est libre, et toujours en Ile de France.
Je pense l'avoir croisé entre 1989 et 1991 dans les Hauts de Seine, donc en plein milieu de la période.
Bonjour,
Très possible s'il est aussi l'auteur de l'agression de Malika O ( viol le 30/01/1991).
(source: les docs de JP Bloch)
Re: qui est il? V
NON: voir tableau des agressions
: la dernière (reprise sur ce tableau) a lieu le 6 décembre 1987
Le bucheron cité dans l'article ne peut pas être le grêlé.
le bûcheron et le meurtre de l'ambulancière
bonjour,
article france-soir du 02/06/87
homme arrêté début juin 1987 pour un meurtre du 22/08/86
le grêlé ne s'est pas manifesté entre le 05/05/86 et le 05/03/87
ce profil pourrait correspondre au grêlé pour cette période là !
article france-soir du 02/06/87
homme arrêté début juin 1987 pour un meurtre du 22/08/86
le grêlé ne s'est pas manifesté entre le 05/05/86 et le 05/03/87
ce profil pourrait correspondre au grêlé pour cette période là !
mimi
Re: qui est il? V
mimi a écrit:bonjour,
article france-soir du 02/06/87
homme arrêté début juin 1987 pour un meurtre du 22/08/86
le grêlé ne s'est pas manifesté entre le 05/05/86 et le 05/03/87
ce profil pourrait correspondre au grêlé pour cette période là !
Donc, arrêté début juin 87 pour meurtre, il est déjà dehors pour agresser Sylvia P le 2 septembre 87. Elle est belle la justice alors!!!
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