ses victimes majeures
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Sanjon
Kassandra88
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ses victimes majeures
2017
De la même façon, j'ouvre ce fil dans lequel on peut reprendre les infos communiquées dans les médias sur les victimes majeures du G.
De la même façon, j'ouvre ce fil dans lequel on peut reprendre les infos communiquées dans les médias sur les victimes majeures du G.
Dernière édition par Kassandra88 le Mer 28 Avr 2021 - 14:51, édité 1 fois
Re: ses victimes majeures
Peut on distinguer deux sortes de victimes majeures, les unes en relation avec une obsession de domination, avec un caractère "sexuel" et les autres au travers d'une domination exercée par la vengeance" ou une quelconque "justice" médiévale ?
Pour autant le doute plane sur certaines affaires dont le lien avec le G n'a pu être authentifié...
Parce qu'il est plus facile de "maîtriser" de jeunes enfants que des adultes, l'on ne doit pas oublier que ce sont souvent les adultes qui sont les plus faciles à manipuler d'autant qu'ils se croient abrités par la certitude d'une éducation qu'ils croient "supérieure"...
Statistiquement, le G doit être plus souvent en contact avec le monde des adultes qu'avec celui des enfants.
Ceci implique peut être un autre type de prédation ou une soumission forcée qui peut être le carburant de ses dérives...
Kass nous fera peut être un inventaire de toutes les victimes adultes connues !
Bonne journée à toutes et à tous !
S.
Pour autant le doute plane sur certaines affaires dont le lien avec le G n'a pu être authentifié...
Parce qu'il est plus facile de "maîtriser" de jeunes enfants que des adultes, l'on ne doit pas oublier que ce sont souvent les adultes qui sont les plus faciles à manipuler d'autant qu'ils se croient abrités par la certitude d'une éducation qu'ils croient "supérieure"...
Statistiquement, le G doit être plus souvent en contact avec le monde des adultes qu'avec celui des enfants.
Ceci implique peut être un autre type de prédation ou une soumission forcée qui peut être le carburant de ses dérives...
Kass nous fera peut être un inventaire de toutes les victimes adultes connues !
Bonne journée à toutes et à tous !
S.
Sanjon
Re: ses victimes majeures
Sanjon a écrit:
Kass nous fera peut être un inventaire de toutes les victimes adultes connues !
Bonne journée à toutes et à tous !
S.
Bonjour,
Il suffit de reprendre le tableau des agressions, l'âge des victimes y figure. Pour les "détails", il faut reprendre le livre de Carine. Chacun peut s'y coller.
Double meurtre du Marais
Mercredi 29/04/1987 vers 11H (4è arr le Marais)
Double meurtre d'Irmgard Muller (20 ans) et Gilles Politi
Le lien avec le G est incontestable, l'ADN le prouve
Double meurtre d'Irmgard Muller (20 ans) et Gilles Politi
Le lien avec le G est incontestable, l'ADN le prouve
Dernière édition par Kassandra88 le Mer 30 Aoû 2017 - 10:36, édité 1 fois
Re: ses victimes majeures
lundi 11/05/1987 10H30 (14è arr)
Viol d'Andréa 26 ans. Vol
Viol d'Andréa 26 ans. Vol
Dernière édition par Kassandra88 le Mer 30 Aoû 2017 - 10:36, édité 1 fois
Re: ses victimes majeures
20/10/1987 mardi 9 H (4è arr)
Agression de Laurie (34??? ans)
vol.
Je complète un peu: (p115 du livre de Carine)
Elle est rédactrice dans une revue de mode (29 ans selon le Parisien 34 selon Carine)
L'agresseur sonne à sa porte vers 9H du matin et présente sa carte de police.
Laurie n'est pas seule. Il y a une autre femme et une petite fille de 18mois.
Il sort une arme de poing (un pistolet).
Il ne porte pas de gants.
Les 2 femmes seront bâillonnées à l'aide de serviettes découpées sur place et attachées avec du fil de tél. Les liens ne sont pas très serrés (bondage). Elles ne seront pas violées.
Par contre, le G présumé va voler une caméra vidéo, un câble péritel et la carte bancaire de Laurie (avec laquelle il va retirer 800F environ 120€) pas loin du lieu de l'agression.
Il va parler beaucoup, dit qu'il a fait de la prison qu'il est père de famille. Il porte une alliance.
Description: type européen, 1,85m, cheveux châtains raides, une mèche sur le côté.
Blouson cuir fauve (gold) pantalon classique, ceinture à pochettes, arme à feu, allure militaire.
le voilà notamment confronté à deux personnes. J'ai le sentiment que la présence du bébé a joué dans la façon dont les choses se sont déroulées. L'enfant pouvait encore penser qu'il s'agissait d'un jeu tant que l'une des femmes ne criait pas. Si non, je pense qu'il se serait mis à pleurer et que cela aurait déclencher chez l'agresseur un fort accès de colère.
Agression de Laurie (34??? ans)
vol.
Je complète un peu: (p115 du livre de Carine)
Elle est rédactrice dans une revue de mode (29 ans selon le Parisien 34 selon Carine)
L'agresseur sonne à sa porte vers 9H du matin et présente sa carte de police.
Laurie n'est pas seule. Il y a une autre femme et une petite fille de 18mois.
Il sort une arme de poing (un pistolet).
Il ne porte pas de gants.
Les 2 femmes seront bâillonnées à l'aide de serviettes découpées sur place et attachées avec du fil de tél. Les liens ne sont pas très serrés (bondage). Elles ne seront pas violées.
Par contre, le G présumé va voler une caméra vidéo, un câble péritel et la carte bancaire de Laurie (avec laquelle il va retirer 800F environ 120€) pas loin du lieu de l'agression.
Il va parler beaucoup, dit qu'il a fait de la prison qu'il est père de famille. Il porte une alliance.
Description: type européen, 1,85m, cheveux châtains raides, une mèche sur le côté.
Blouson cuir fauve (gold) pantalon classique, ceinture à pochettes, arme à feu, allure militaire.
le voilà notamment confronté à deux personnes. J'ai le sentiment que la présence du bébé a joué dans la façon dont les choses se sont déroulées. L'enfant pouvait encore penser qu'il s'agissait d'un jeu tant que l'une des femmes ne criait pas. Si non, je pense qu'il se serait mis à pleurer et que cela aurait déclencher chez l'agresseur un fort accès de colère.
Dernière édition par Kassandra88 le Ven 1 Déc 2017 - 15:07, édité 2 fois
Re: ses victimes majeures
Interpellation abusive avec une carte de police:
Aulde 19 ans 26/11/1987 jeudi 12H15 (6è arr)
Véronique 25 ans 30/11/1987 lundi 15H15 (19è arr)
Aulde 19 ans 26/11/1987 jeudi 12H15 (6è arr)
Véronique 25 ans 30/11/1987 lundi 15H15 (19è arr)
Dernière édition par Kassandra88 le Jeu 31 Jan 2019 - 12:57, édité 1 fois
Re: ses victimes majeures
Il n'y aurait (je reste prudente) pas d'agression de majeures avant le double meurtre du Marais.
JP Bloch faisait remarquer que Marianne N avait déjà une morphologie d'adulte.
Comme je l'ai déjà dit, le G n'est pas un pédophile au sens stricto sensu.
JP Bloch faisait remarquer que Marianne N avait déjà une morphologie d'adulte.
Comme je l'ai déjà dit, le G n'est pas un pédophile au sens stricto sensu.
Re: ses victimes majeures
Sanjon a écrit:Dans les agressions caractérisées par un vol, y a t'il eu plus ?
S.
Je ne connais que ce qui figure dans le livre de Carine.
Double meurtre du Marais/I.M timing
2019
Je reviens sur ce fil afin d'y déposer une synthèse contenant la chronologie des faits qui se sont déroulés la veille et le matin du double meurtre.
Merci à Clemal2011.
Ce que je peux te dire, d'après ce que je sais :
le mardi 28 avril 1987 :
--> 15H00 : la voisine d'IM aperçoit un jeune homme qui entre seul dans son studio rue de Sévigné
--> La fille des Politi est à l'école, IM doit la récupérer dans l'après midi. On sait que le mercredi, jour du crime, elle était censée la récupérer à 17h30. On peut supposer qu'il en est de même le mardi, que la garderie termine à la même heure. Sinon de mémoire l'école ça devait être 16h30. Aucune précision pour le midi. On sait juste que le mercredi midi elle n'était pas censée la récupérer. La petite devait donc déjeuner à la cantine...
Quoiqu'il en soit on peut estimer qu'elle récupère la petite entre 16h30 et 17h30 max.
--> Ensuite il y a l'épisode du Parc des blancs manteaux ou IM ballade la petite. Donc après l'avoir récupérée à l'école. Et là un jeune homme est vu avec elle par des témoins. Donc nous sommes à priori entre 17h00 et 18h30.
--> Puis IM doit aller raccompagner la petite chez elle. Et partir en cours pour 19h00. Elle suit ses cours à Tolbiac dont doit certainement prendre le métro pour s'y rendre depuis le Marais. Et on sait qu'elle arrive en retard en cours ce soir la. Donc elle a du partir entre 18h30 et 19h00 du Marais. En cours elle était préoccupée, pas comme d'habitude. Et elle est repartie très vite, dès la fin du cours. Mais je ne sais pas à quelle heure le cours s'est terminé.
--> A 20h00, un jeune homme dont le descriptif est le même que celui du parc des blancs manteaux et du lendemain rue SCDB rentre seul dans son studio.
Concernant GP, je ne connais pas son programme de la veille du crime. On sait juste que le mardi 28 avril, il a été dérangé lors de son repos par une ou plusieurs conversations qu'IM a eu à l'interphone (il l'a confié à sa femme). Et qu'il est parti de chez à 22h00 pour aller travailler.
Sa femme a indiqué qu'il n'avait pas l'air préoccupé ou différent de d'habitude.
le mercredi 29 avril 1987 :
--> Oui la petite est déposée à l'école par IM vers 9h00. Elle a quitté le domicile des Politi vers 8h45 et y est revenue vers 9h30.
--> Elle devait récupérer la petite pour 17h30, donc pas le midi
--> Le G accède à l'appartement de la rue SCDB vers 10h30 et on connait tous la suite
L'avant-veille du meurtre, donc le lundi 27 avril 1987 je n'ai aucune info.
Je reviens sur ce fil afin d'y déposer une synthèse contenant la chronologie des faits qui se sont déroulés la veille et le matin du double meurtre.
Merci à Clemal2011.
Ce que je peux te dire, d'après ce que je sais :
le mardi 28 avril 1987 :
--> 15H00 : la voisine d'IM aperçoit un jeune homme qui entre seul dans son studio rue de Sévigné
--> La fille des Politi est à l'école, IM doit la récupérer dans l'après midi. On sait que le mercredi, jour du crime, elle était censée la récupérer à 17h30. On peut supposer qu'il en est de même le mardi, que la garderie termine à la même heure. Sinon de mémoire l'école ça devait être 16h30. Aucune précision pour le midi. On sait juste que le mercredi midi elle n'était pas censée la récupérer. La petite devait donc déjeuner à la cantine...
Quoiqu'il en soit on peut estimer qu'elle récupère la petite entre 16h30 et 17h30 max.
--> Ensuite il y a l'épisode du Parc des blancs manteaux ou IM ballade la petite. Donc après l'avoir récupérée à l'école. Et là un jeune homme est vu avec elle par des témoins. Donc nous sommes à priori entre 17h00 et 18h30.
--> Puis IM doit aller raccompagner la petite chez elle. Et partir en cours pour 19h00. Elle suit ses cours à Tolbiac dont doit certainement prendre le métro pour s'y rendre depuis le Marais. Et on sait qu'elle arrive en retard en cours ce soir la. Donc elle a du partir entre 18h30 et 19h00 du Marais. En cours elle était préoccupée, pas comme d'habitude. Et elle est repartie très vite, dès la fin du cours. Mais je ne sais pas à quelle heure le cours s'est terminé.
--> A 20h00, un jeune homme dont le descriptif est le même que celui du parc des blancs manteaux et du lendemain rue SCDB rentre seul dans son studio.
Concernant GP, je ne connais pas son programme de la veille du crime. On sait juste que le mardi 28 avril, il a été dérangé lors de son repos par une ou plusieurs conversations qu'IM a eu à l'interphone (il l'a confié à sa femme). Et qu'il est parti de chez à 22h00 pour aller travailler.
Sa femme a indiqué qu'il n'avait pas l'air préoccupé ou différent de d'habitude.
le mercredi 29 avril 1987 :
--> Oui la petite est déposée à l'école par IM vers 9h00. Elle a quitté le domicile des Politi vers 8h45 et y est revenue vers 9h30.
--> Elle devait récupérer la petite pour 17h30, donc pas le midi
--> Le G accède à l'appartement de la rue SCDB vers 10h30 et on connait tous la suite
L'avant-veille du meurtre, donc le lundi 27 avril 1987 je n'ai aucune info.
Dernière édition par Kassandra88 le Mer 28 Avr 2021 - 14:52, édité 1 fois
Re: ses victimes majeures
J'ajoute ceci:
Kassandra88 a écrit:
le mardi 28 avril 1987 :
--> 15H00 : la voisine d'IM aperçoit un jeune homme qui entre seul dans son studio rue de Sévigné
--> La fille des Politi est à l'école, IM doit la récupérer dans l'après midi. On sait que le mercredi, jour du crime, elle était censée la récupérer à 17h30. On peut supposer qu'il en est de même le mardi, que la garderie termine à la même heure. Sinon de mémoire l'école ça devait être 16h30. Aucune précision pour le midi. On sait juste que le mercredi midi elle n'était pas censée la récupérer. La petite devait donc déjeuner à la cantine...
Quoiqu'il en soit on peut estimer qu'elle récupère la petite entre 16h30 et 17h30 max.
--> Ensuite il y a l'épisode du Parc des blancs manteaux ou IM ballade la petite. Donc après l'avoir récupérée à l'école. Et là un jeune homme est vu avec elle par des témoins. Donc nous sommes à priori entre 17h00 et 18h30.
--> Puis IM doit aller raccompagner la petite chez elle. Et partir en cours pour 19h00. Elle suit ses cours à Tolbiac dont doit certainement prendre le métro pour s'y rendre depuis le Marais. Et on sait qu'elle arrive en retard en cours ce soir la. Donc elle a du partir entre 18h30 et 19h00 du Marais. En cours elle était préoccupée, pas comme d'habitude. Et elle est repartie très vite, dès la fin du cours. Mais je ne sais pas à quelle heure le cours s'est terminé.
--> A 20h00, un jeune homme dont le descriptif est le même que celui du parc des blancs manteaux et du lendemain rue SCDB rentre seul dans son studio.
Concernant GP, je ne connais pas son programme de la veille du crime. On sait juste que le mardi 28 avril, il a été dérangé lors de son repos par une ou plusieurs conversations qu'IM a eu à l'interphone (il l'a confié à sa femme). Et qu'il est parti de chez à 22h00 pour aller travailler.
Sa femme a indiqué qu'il n'avait pas l'air préoccupé ou différent de d'habitude.
le mercredi 29 avril 1987 :
IM est aperçue vers 7h30 à la boulangerie où elle achète une baguette.
Ensuite, elle est aperçue entre 8h50 et 9h10 à la Rue François Miron où elle amenait la petite Julie à l’école.
--> Oui la petite est déposée à l'école par IM vers 9h00. Elle a quitté le domicile des Politi vers 8h45 et y est revenue vers 9h30.
--> Elle devait récupérer la petite pour 17h30, donc pas le midi
--> Le G accède à l'appartement de la rue SCDB vers 10h30 et on connait tous la suite
--> Les clés du studio d'IM ont été retrouvées par les enquêteurs sur la table de nuit dans la chambre près du corps du GP. Drôle d'endroit pour les déposer si elles ont été mises à cet endroit par IM. Donc possiblement déposées à cet endroit par le G.
L'avant-veille du meurtre, donc le lundi 27 avril 1987 je n'ai aucune info.
Re: ses victimes majeures
2020
si le grélé est rentrée chez elle, (si c'est bien lui) le mardi à 15 h, il avait les clés donc il a vu IM avant,
Kassandra88 a écrit:J'ajoute ceci:Kassandra88 a écrit:
le mardi 28 avril 1987 :
--> 15H00 : la voisine d'IM aperçoit un jeune homme qui entre seul dans son studio rue de Sévigné
--> La fille des Politi est à l'école, IM doit la récupérer dans l'après midi. On sait que le mercredi, jour du crime, elle était censée la récupérer à 17h30. On peut supposer qu'il en est de même le mardi, que la garderie termine à la même heure. Sinon de mémoire l'école ça devait être 16h30. Aucune précision pour le midi. On sait juste que le mercredi midi elle n'était pas censée la récupérer. La petite devait donc déjeuner à la cantine...
Quoiqu'il en soit on peut estimer qu'elle récupère la petite entre 16h30 et 17h30 max.
--> Ensuite il y a l'épisode du Parc des blancs manteaux ou IM ballade la petite. Donc après l'avoir récupérée à l'école. Et là un jeune homme est vu avec elle par des témoins. Donc nous sommes à priori entre 17h00 et 18h30.
--> Puis IM doit aller raccompagner la petite chez elle. Et partir en cours pour 19h00. Elle suit ses cours à Tolbiac dont doit certainement prendre le métro pour s'y rendre depuis le Marais. Et on sait qu'elle arrive en retard en cours ce soir la. Donc elle a du partir entre 18h30 et 19h00 du Marais. En cours elle était préoccupée, pas comme d'habitude. Et elle est repartie très vite, dès la fin du cours. Mais je ne sais pas à quelle heure le cours s'est terminé.
--> A 20h00, un jeune homme dont le descriptif est le même que celui du parc des blancs manteaux et du lendemain rue SCDB rentre seul dans son studio.
Concernant GP, je ne connais pas son programme de la veille du crime. On sait juste que le mardi 28 avril, il a été dérangé lors de son repos par une ou plusieurs conversations qu'IM a eu à l'interphone (il l'a confié à sa femme). Et qu'il est parti de chez à 22h00 pour aller travailler.
Sa femme a indiqué qu'il n'avait pas l'air préoccupé ou différent de d'habitude.
le mercredi 29 avril 1987 :
IM est aperçue vers 7h30 à la boulangerie où elle achète une baguette.
Ensuite, elle est aperçue entre 8h50 et 9h10 à la Rue François Miron où elle amenait la petite Julie à l’école.
--> Oui la petite est déposée à l'école par IM vers 9h00. Elle a quitté le domicile des Politi vers 8h45 et y est revenue vers 9h30.
--> Elle devait récupérer la petite pour 17h30, donc pas le midi
--> Le G accède à l'appartement de la rue SCDB vers 10h30 et on connait tous la suite
--> Les clés du studio d'IM ont été retrouvées par les enquêteurs sur la table de nuit dans la chambre près du corps du GP. Drôle d'endroit pour les déposer si elles ont été mises à cet endroit par IM. Donc possiblement déposées à cet endroit par le G.
L'avant-veille du meurtre, donc le lundi 27 avril 1987 je n'ai aucune info.
si le grélé est rentrée chez elle, (si c'est bien lui) le mardi à 15 h, il avait les clés donc il a vu IM avant,
regis
Re: ses victimes majeures
2021
Bonsoir,
En effet. Et, à moins qu'il n'ait disposé d'un double des clés, il y a eu première rencontre entre eux plus tôt dans la journée.
A-t-il pu passer aussi la nuit du 27 au 28 chez elle ?
Nous ne saurons probablement pas la nature exacte de leurs rapports les semaines précédant les vacances de pâques, depuis qu'il avait renoué avec elle -sans aucun doute de façon délibérée.
(On pourrait s'en faire une idée avec les dates et mentions du carnet: mais on n'a que des miettes d'info, ce qui a pu filtrer via C.Hutsebaut)
Toujours est-il que, dès qu'elle rentre de Bavière, il lui (re)met la pression.
Il y aura des éléments intéressants à glaner dans le planning du sous-off Verove pour ce printemps 87 (sans parler de sa période "flic" d'octobre / novembre). Même si l'informatisation était inexistante à l'époque.
Les enquêteurs de la BC doivent être dessus depuis qques semaines.
Un sous-off avait-il facilement la possibilité de découcher pour une nuit, voire plusieurs de suite, si il logeait à la caserne ?
regis a écrit:2020Kassandra88 a écrit:J'ajoute ceci:Kassandra88 a écrit:
le mardi 28 avril 1987 :
--> 15H00 : la voisine d'IM aperçoit un jeune homme qui entre seul dans son studio rue de Sévigné
--> La fille des Politi est à l'école, IM doit la récupérer dans l'après midi. On sait que le mercredi, jour du crime, elle était censée la récupérer à 17h30. On peut supposer qu'il en est de même le mardi, que la garderie termine à la même heure. Sinon de mémoire l'école ça devait être 16h30. Aucune précision pour le midi. On sait juste que le mercredi midi elle n'était pas censée la récupérer. La petite devait donc déjeuner à la cantine...
Quoiqu'il en soit on peut estimer qu'elle récupère la petite entre 16h30 et 17h30 max.
--> Ensuite il y a l'épisode du Parc des blancs manteaux ou IM ballade la petite. Donc après l'avoir récupérée à l'école. Et là un jeune homme est vu avec elle par des témoins. Donc nous sommes à priori entre 17h00 et 18h30.
--> Puis IM doit aller raccompagner la petite chez elle. Et partir en cours pour 19h00. Elle suit ses cours à Tolbiac dont doit certainement prendre le métro pour s'y rendre depuis le Marais. Et on sait qu'elle arrive en retard en cours ce soir la. Donc elle a du partir entre 18h30 et 19h00 du Marais. En cours elle était préoccupée, pas comme d'habitude. Et elle est repartie très vite, dès la fin du cours. Mais je ne sais pas à quelle heure le cours s'est terminé.
--> A 20h00, un jeune homme dont le descriptif est le même que celui du parc des blancs manteaux et du lendemain rue SCDB rentre seul dans son studio.
Concernant GP, je ne connais pas son programme de la veille du crime. On sait juste que le mardi 28 avril, il a été dérangé lors de son repos par une ou plusieurs conversations qu'IM a eu à l'interphone (il l'a confié à sa femme). Et qu'il est parti de chez à 22h00 pour aller travailler.
Sa femme a indiqué qu'il n'avait pas l'air préoccupé ou différent de d'habitude.
le mercredi 29 avril 1987 :
IM est aperçue vers 7h30 à la boulangerie où elle achète une baguette.
Ensuite, elle est aperçue entre 8h50 et 9h10 à la Rue François Miron où elle amenait la petite Julie à l’école.
--> Oui la petite est déposée à l'école par IM vers 9h00. Elle a quitté le domicile des Politi vers 8h45 et y est revenue vers 9h30.
--> Elle devait récupérer la petite pour 17h30, donc pas le midi
--> Le G accède à l'appartement de la rue SCDB vers 10h30 et on connait tous la suite
--> Les clés du studio d'IM ont été retrouvées par les enquêteurs sur la table de nuit dans la chambre près du corps du GP. Drôle d'endroit pour les déposer si elles ont été mises à cet endroit par IM. Donc possiblement déposées à cet endroit par le G.
L'avant-veille du meurtre, donc le lundi 27 avril 1987 je n'ai aucune info.
si le grélé est rentrée chez elle, (si c'est bien lui) le mardi à 15 h, il avait les clés donc il a vu IM avant,
Bonsoir,
En effet. Et, à moins qu'il n'ait disposé d'un double des clés, il y a eu première rencontre entre eux plus tôt dans la journée.
A-t-il pu passer aussi la nuit du 27 au 28 chez elle ?
Nous ne saurons probablement pas la nature exacte de leurs rapports les semaines précédant les vacances de pâques, depuis qu'il avait renoué avec elle -sans aucun doute de façon délibérée.
(On pourrait s'en faire une idée avec les dates et mentions du carnet: mais on n'a que des miettes d'info, ce qui a pu filtrer via C.Hutsebaut)
Toujours est-il que, dès qu'elle rentre de Bavière, il lui (re)met la pression.
Il y aura des éléments intéressants à glaner dans le planning du sous-off Verove pour ce printemps 87 (sans parler de sa période "flic" d'octobre / novembre). Même si l'informatisation était inexistante à l'époque.
Les enquêteurs de la BC doivent être dessus depuis qques semaines.
Un sous-off avait-il facilement la possibilité de découcher pour une nuit, voire plusieurs de suite, si il logeait à la caserne ?
Invité- Invité
Re: ses victimes majeures
2022
Le lundi 11 mai 1987, vers 10 heures, l’étudiante en architecture fait ses comptes chez elle, au 5 villa Cœur-de-Vey, quand elle entend le grésillement d’un appareil sur le palier et une voix masculine qui interroge : « Mais votre voisine n’est pas là ? » À cet instant, l’homme sonne puis frappe à sa porte. la jeune femme lui ouvre. Il lui tend d’une main une carte de police et tient dans l’autre un talkie-walkie. Ce policier prétend agir à cause de la plainte d’un résident contre Andrea pour « tapage ». Sans douter un instant de sa profession, elle conteste le bruit : « Cela m’étonne car je viens juste de mettre la radio », mais en sourdine. Il rétorque avec aplomb que ce n’est pas la première fois et lui demande à deux reprises s’il y a quelqu’un d’autre chez elle. Elle répond : « Non, je suis seule. » Alors, il la bouscule à l’intérieur et referme la porte. Face à ce geste inattendu et étrange de la part d’un policier, elle prend peur. L’intrus le sent et la rassure, il déverse des flots de paroles. Ce « petit jeu » dure longtemps. Il veut contrôler son identité. Elle lui remet son passeport. Il énonce dans son appareil son nom, son prénom, sa date et son lieu de naissance : Hambourg, en Allemagne. Il fait le tour de sa chambre, voit les carnets de comptes, s’enquiert de ses finances. A-t-elle des problèmes d’argent ? Il bavarde encore cinq minutes. Il commence à composer un numéro sur le cadran du téléphone. Il s’interrompt brutalement. Changement de ton et d’attitude. Il sort un pistolet de sa poche et le pointe sur Andrea. Il lui fait mettre les mains sur la tête, la saisit par l’épaule et la pousse dans la chambre. Il tire les rideaux. Il l’oblige à s’asseoir. Il fouille dans l’armoire, s’empare d’une ceinture et lui attache les poignets dans le dos. Il lui annonce alors : « Je ne suis pas de la police, je suis venu pour l’argent. » Il exige les « objets de valeur ». Elle lui indique les endroits où elle range ses billets et ses bijoux. Il prend 610 deutsche marks, un porte-monnaie de pièces étrangères, sa carte bleue de la BNP, sa montre et ses bagues. Il rafle aussi celle en or blanc avec un cygne à 3 000 francs et le collier en or jaune qu’elle porte. Il s’empare d’un cutter posé sur sa table à dessin et lui extorque son code de carte bancaire.
Source: Les jours Patricia Tourancheau
Kassandra88 a écrit:lundi 11/05/1987 10H30 (14è arr)
Viol d'Andréa 26 ans. Vol
Le lundi 11 mai 1987, vers 10 heures, l’étudiante en architecture fait ses comptes chez elle, au 5 villa Cœur-de-Vey, quand elle entend le grésillement d’un appareil sur le palier et une voix masculine qui interroge : « Mais votre voisine n’est pas là ? » À cet instant, l’homme sonne puis frappe à sa porte. la jeune femme lui ouvre. Il lui tend d’une main une carte de police et tient dans l’autre un talkie-walkie. Ce policier prétend agir à cause de la plainte d’un résident contre Andrea pour « tapage ». Sans douter un instant de sa profession, elle conteste le bruit : « Cela m’étonne car je viens juste de mettre la radio », mais en sourdine. Il rétorque avec aplomb que ce n’est pas la première fois et lui demande à deux reprises s’il y a quelqu’un d’autre chez elle. Elle répond : « Non, je suis seule. » Alors, il la bouscule à l’intérieur et referme la porte. Face à ce geste inattendu et étrange de la part d’un policier, elle prend peur. L’intrus le sent et la rassure, il déverse des flots de paroles. Ce « petit jeu » dure longtemps. Il veut contrôler son identité. Elle lui remet son passeport. Il énonce dans son appareil son nom, son prénom, sa date et son lieu de naissance : Hambourg, en Allemagne. Il fait le tour de sa chambre, voit les carnets de comptes, s’enquiert de ses finances. A-t-elle des problèmes d’argent ? Il bavarde encore cinq minutes. Il commence à composer un numéro sur le cadran du téléphone. Il s’interrompt brutalement. Changement de ton et d’attitude. Il sort un pistolet de sa poche et le pointe sur Andrea. Il lui fait mettre les mains sur la tête, la saisit par l’épaule et la pousse dans la chambre. Il tire les rideaux. Il l’oblige à s’asseoir. Il fouille dans l’armoire, s’empare d’une ceinture et lui attache les poignets dans le dos. Il lui annonce alors : « Je ne suis pas de la police, je suis venu pour l’argent. » Il exige les « objets de valeur ». Elle lui indique les endroits où elle range ses billets et ses bijoux. Il prend 610 deutsche marks, un porte-monnaie de pièces étrangères, sa carte bleue de la BNP, sa montre et ses bagues. Il rafle aussi celle en or blanc avec un cygne à 3 000 francs et le collier en or jaune qu’elle porte. Il s’empare d’un cutter posé sur sa table à dessin et lui extorque son code de carte bancaire.
Source: Les jours Patricia Tourancheau
Sylvia P
« Mercredi 2 septembre 1987 »
« À 11 h 30, Sylvia P., 34 ans, enseignante, est violée chez elle 2 rue Plichon à Paris XIe par un homme porteur d’une arme, d’une carte tricolore et d’une grosse ceinture à pochettes, qui prétexte venir acheter un meuble à la suite de sa petite annonce apposée au magasin Félix Potin et dit sortir de prison. Elle est attachée avec des fils électriques. Vol de 400 francs en espèces et carte bancaire, retrait ultérieur de 1 400 francs. 4e division de police judiciaire. »
Extrait de: Patricia Tourancheau. « Le Grêlé - Le tueur était un flic. » iBooks.
« À 11 h 30, Sylvia P., 34 ans, enseignante, est violée chez elle 2 rue Plichon à Paris XIe par un homme porteur d’une arme, d’une carte tricolore et d’une grosse ceinture à pochettes, qui prétexte venir acheter un meuble à la suite de sa petite annonce apposée au magasin Félix Potin et dit sortir de prison. Elle est attachée avec des fils électriques. Vol de 400 francs en espèces et carte bancaire, retrait ultérieur de 1 400 francs. 4e division de police judiciaire. »
Extrait de: Patricia Tourancheau. « Le Grêlé - Le tueur était un flic. » iBooks.
Armelle P
le 05 mars 87
« À 13 heures, Armelle P., 37 ans, infirmière, qui avait mis une annonce dans la même supérette Félix Potin, pour vendre un lit et un matelas, est violée chez elle au 52 rue Merlin à Paris XIe par un prétendu acheteur sous la menace d’un couteau genre Opinel, les mains liées, et bâillonnée. Vol d’appareils photos, de bijoux et d’argent. La 4e division de police judiciaire a diffusé le portrait-robot établi par la victime et le signalement, vaines recherches. La Crim imputera ce viol au Grêlé en 2021. »
Extrait de: Patricia Tourancheau. « Le Grêlé - Le tueur était un flic. » iBooks.
« À 13 heures, Armelle P., 37 ans, infirmière, qui avait mis une annonce dans la même supérette Félix Potin, pour vendre un lit et un matelas, est violée chez elle au 52 rue Merlin à Paris XIe par un prétendu acheteur sous la menace d’un couteau genre Opinel, les mains liées, et bâillonnée. Vol d’appareils photos, de bijoux et d’argent. La 4e division de police judiciaire a diffusé le portrait-robot établi par la victime et le signalement, vaines recherches. La Crim imputera ce viol au Grêlé en 2021. »
Extrait de: Patricia Tourancheau. « Le Grêlé - Le tueur était un flic. » iBooks.
Lorie C. et Eloïse L.
20 octobre 87
« Lorie C., 34 ans, et la baby-sitter Éloïse L., 23 ans, sont agressées chez elles 8 boulevard de Sébastopol à Paris IVe par un « policier » qui mène une enquête de terrorisme. En présence d’un nourrisson, il les ligote et les bâillonne avec des lambeaux de serviette-éponge qu’il découpe au couteau. Il vole la mini-télé, le téléphone sans fil, la caméra vidéo, et la carte bancaire dont il extorque le code. 3e division de police judiciaire.
Extrait de: Patricia Tourancheau. « Le Grêlé - Le tueur était un flic. » iBooks.
« Lorie C., 34 ans, et la baby-sitter Éloïse L., 23 ans, sont agressées chez elles 8 boulevard de Sébastopol à Paris IVe par un « policier » qui mène une enquête de terrorisme. En présence d’un nourrisson, il les ligote et les bâillonne avec des lambeaux de serviette-éponge qu’il découpe au couteau. Il vole la mini-télé, le téléphone sans fil, la caméra vidéo, et la carte bancaire dont il extorque le code. 3e division de police judiciaire.
Extrait de: Patricia Tourancheau. « Le Grêlé - Le tueur était un flic. » iBooks.
Re: ses victimes majeures
Merci Kass,
Toutes ces agressions ressemblent bien au grêlé et donc à Vérove ...
Il viole éventuellement si la situation le permet en toute sécurité et la victime lui plait mais ce qui l'intéresse surtout c'est le pognon qu'il va pouvoir se faire avec les vols.
Sa carte (gendarmerie probablement) lui permet surtout d'entrer dans l'appartement d'une victime impressionnable ...
Toutes ces agressions ressemblent bien au grêlé et donc à Vérove ...
Il viole éventuellement si la situation le permet en toute sécurité et la victime lui plait mais ce qui l'intéresse surtout c'est le pognon qu'il va pouvoir se faire avec les vols.
Sa carte (gendarmerie probablement) lui permet surtout d'entrer dans l'appartement d'une victime impressionnable ...
Sortcière
Re: ses victimes majeures
Bonjour Sortcière,
Bonjour à tous,
Je ne crois pas.
Le vol et le viol forment 1 séquence complète.
C'est, sur 1 même échelle, s'en prendre à l'intégrité et à l'intimité d'une personne.
Parfois, il y a l'un sans l'autre, mais ça doit relever des circonstances ou si le vol a assouvi seul sa pulsion.
Bien sûr, le profit matériel n'est pas négligeable, mais ce n'est pas l'essentiel.
Bonjour à tous,
Je ne crois pas.
Le vol et le viol forment 1 séquence complète.
C'est, sur 1 même échelle, s'en prendre à l'intégrité et à l'intimité d'une personne.
Parfois, il y a l'un sans l'autre, mais ça doit relever des circonstances ou si le vol a assouvi seul sa pulsion.
Bien sûr, le profit matériel n'est pas négligeable, mais ce n'est pas l'essentiel.
est une volupté de fin gourmet." -
G. COURTELINE
ruth
Edith Martinet
Vendredi 3 avril 1987
« Le corps d’Édith Martinet est découvert chez elle, 57 avenue du Président-Wilson à La Plaine Saint-Denis (93), dénudée sur son lit, les mains attachées dans le dos, le cou enserré par un bas, étranglée, un ciseau planté dans le thorax. La prise du téléphone a été arrachée. Le meurtre «– prescrit – de cette jeune femme VRP, qui démarchait les clients dans les tours à Paris XIIIe et fréquentait les piscines du XIVe et du Ve, sera joint en 2015 aux dossiers Bloch et Müller en raison de similitudes. Deux mégots de Camel fumées par le tueur n’ont pas été analysés. »
Extrait de: Patricia Tourancheau. « Le Grêlé - Le tueur était un flic. » iBooks.
« Le corps d’Édith Martinet est découvert chez elle, 57 avenue du Président-Wilson à La Plaine Saint-Denis (93), dénudée sur son lit, les mains attachées dans le dos, le cou enserré par un bas, étranglée, un ciseau planté dans le thorax. La prise du téléphone a été arrachée. Le meurtre «– prescrit – de cette jeune femme VRP, qui démarchait les clients dans les tours à Paris XIIIe et fréquentait les piscines du XIVe et du Ve, sera joint en 2015 aux dossiers Bloch et Müller en raison de similitudes. Deux mégots de Camel fumées par le tueur n’ont pas été analysés. »
Extrait de: Patricia Tourancheau. « Le Grêlé - Le tueur était un flic. » iBooks.
Re: ses victimes majeures
Salut KassandraKassandra88 a écrit:Vendredi 3 avril 1987
« Le corps d’Édith Martinet est découvert chez elle, 57 avenue du Président-Wilson à La Plaine Saint-Denis (93), dénudée sur son lit, les mains attachées dans le dos, le cou enserré par un bas, étranglée, un ciseau planté dans le thorax. La prise du téléphone a été arrachée. Le meurtre «– prescrit – de cette jeune femme VRP, qui démarchait les clients dans les tours à Paris XIIIe et fréquentait les piscines du XIVe et du Ve, sera joint en 2015 aux dossiers Bloch et Müller en raison de similitudes. Deux mégots de Camel fumées par le tueur n’ont pas été analysés. »
Extrait de: Patricia Tourancheau. « Le Grêlé - Le tueur était un flic. » iBooks.
est il encore possible d'extraire un ADN de ces deux mégots ?
Claire
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