ses victimes mineures
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Sanjon
Kassandra88
6 participants
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ses victimes mineures
2017
Bonjour,
Suite à la demande de Sanjon, j'ouvre ce fil dans lequel on pourra répertorier les victimes mineures. De nombreuses infos sont présentes dans le livre de Carine Hutsebaut
Bonjour,
Suite à la demande de Sanjon, j'ouvre ce fil dans lequel on pourra répertorier les victimes mineures. De nombreuses infos sont présentes dans le livre de Carine Hutsebaut
Dernière édition par Kassandra88 le Jeu 2 Jan 2020 - 12:41, édité 1 fois
Re: ses victimes mineures
La principale tranche d'âge des victimes mineures du G se situe, que l'on sache" dans ce créneau du "primaire", au début du secondaire (8-11 ans) !
Ces enfants sont une cible "privilégiée" des détraqués. La disparition de la petite Maëlys nous le rappelle douloureusement.
Pour la plupart de ces petites victimes, le même type de profil physique prédomine.
Cependant l'exception confirme la règle et au delà de l'apparence, c'est le "potentiel" de faiblesse et de soumission qui est recherché.
Tous ces enfants sont réglés par un "saucissonnage" organisationnel qui gravite autour de la scolarité, des activités périscolaires et extra scolaires.
Une certaine "régularité" est facile à identifier, ce qui les rend "prévisibles".
Avec un minimum de "repérage", le G peut tendre sa toile et agir à sa guise.
Cependant, le fait qu'il ne soit pas identifié par des éléments probants ne peut pour autant laisser supposer qu'il n'ait pas continué ses agissements.
Pour ce qu'il en est des "tranches horaires" de ses crimes, nous tentons de les expliquer par ses activités propres alors qu'il s'agit peut être de celles des enfants qui au delà d'un temps sont directement inaccessibles car sous la surveillance de leur famille...
S.
Ces enfants sont une cible "privilégiée" des détraqués. La disparition de la petite Maëlys nous le rappelle douloureusement.
Pour la plupart de ces petites victimes, le même type de profil physique prédomine.
Cependant l'exception confirme la règle et au delà de l'apparence, c'est le "potentiel" de faiblesse et de soumission qui est recherché.
Tous ces enfants sont réglés par un "saucissonnage" organisationnel qui gravite autour de la scolarité, des activités périscolaires et extra scolaires.
Une certaine "régularité" est facile à identifier, ce qui les rend "prévisibles".
Avec un minimum de "repérage", le G peut tendre sa toile et agir à sa guise.
Cependant, le fait qu'il ne soit pas identifié par des éléments probants ne peut pour autant laisser supposer qu'il n'ait pas continué ses agissements.
Pour ce qu'il en est des "tranches horaires" de ses crimes, nous tentons de les expliquer par ses activités propres alors qu'il s'agit peut être de celles des enfants qui au delà d'un temps sont directement inaccessibles car sous la surveillance de leur famille...
S.
Sanjon
Nathalie 10/04/1986
2018
Puisque le fil principal est revenu sur l'agression de Nathalie, je vais remettre ici quelques échanges
Les articles de presse qu'avait posté mimi.
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Nathalie (7ans) attendait sa maman devant le supermarché.
Le G l’a alors abordée.
Elle l’avait déjà repéré plusieurs fois à la sortie de l’école. Il lui avait proposé de l’argent pour acheter des jouets. Elle a eu peur et a voulu rentrer sans attendre sa maman. Il l’a suivie. Est entré en même temps qu' elle dans l’ascenseur. L’a bloqué au 3ème et l’a obligé à l'enfant descendre.
Il y a quelques divergences avec ce que disait Carine dans son livre. Le détail ici:
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Puisque le fil principal est revenu sur l'agression de Nathalie, je vais remettre ici quelques échanges
Les articles de presse qu'avait posté mimi.
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Nathalie (7ans) attendait sa maman devant le supermarché.
Le G l’a alors abordée.
Elle l’avait déjà repéré plusieurs fois à la sortie de l’école. Il lui avait proposé de l’argent pour acheter des jouets. Elle a eu peur et a voulu rentrer sans attendre sa maman. Il l’a suivie. Est entré en même temps qu' elle dans l’ascenseur. L’a bloqué au 3ème et l’a obligé à l'enfant descendre.
Il y a quelques divergences avec ce que disait Carine dans son livre. Le détail ici:
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Dernière édition par Kassandra88 le Jeu 2 Jan 2020 - 12:40, édité 2 fois
Aulde Sophie Marie A Ségolène (novembre 1987)
Lieux où le faux policier (FP) les aborde:
mercredi 25 novembre
12H30: Ségolène interpelée dans le hall de son immeuble. Il la suit jusqu'à son appartement où il est reçu par la grand mère.
jeudi 26 novembre
1. Aulde (19 ans) est abordée dans le hall de son immeuble. (vers 12H15)
2. Sophie: le FP l'aborde à l'extérieur et rentre avec elle dans l'immeuble. Il la suit jusqu'à son appartement où il est reçu par la mère de Sophie.
3. Marie A: il est déjà dans l'immeuble et l'aborde dans le hall. ( En quittant Sophie, il croise Marie dans le hall de l’immeuble vers 12H30.)
Marie A et Sophie habitent le même immeuble, fréquentent la même école et sont amies.
mercredi 25 novembre
12H30: Ségolène interpelée dans le hall de son immeuble. Il la suit jusqu'à son appartement où il est reçu par la grand mère.
jeudi 26 novembre
1. Aulde (19 ans) est abordée dans le hall de son immeuble. (vers 12H15)
2. Sophie: le FP l'aborde à l'extérieur et rentre avec elle dans l'immeuble. Il la suit jusqu'à son appartement où il est reçu par la mère de Sophie.
3. Marie A: il est déjà dans l'immeuble et l'aborde dans le hall. ( En quittant Sophie, il croise Marie dans le hall de l’immeuble vers 12H30.)
Marie A et Sophie habitent le même immeuble, fréquentent la même école et sont amies.
Nathalie
2019
Bonjour,
Pour une meilleure visibilité, je copie/colle ici un extrait de posts du forum général concernant l'agression de Nathalie:
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Clemal 2011 2 juillet 2018
- Agression de Nathalie :
--> Selon un article d'époque, Nathalie indique qu'elle a déjà vu son agresseur : il l'a déjà abordé à la sortie de l'école, lui proposant de l'argent pour acheter des jouets.
--> Il profite qu'elle attend sa mère devant un magasin pour l'aborder de nouveau, elle prend peur veut rentrer chez elle. Il la suite jusque dans l'ascenseur la fait sortir au 3ème étage de force et la mène dans la cage d'escalier. Elle ne doit son salut qu'à des bruits de pas dans l'escalier qui mette le G en fuite
Sur cette agression il a donc choisi et repéré sa victime. Je t'accorde que le passage à l'acte est lui certainement une opportunité et qu'il ne connaissait pas les lieux.
Si quelqu'un remet rapidement la main sur l'article, je le colle aussi ici.
Oups: il suffit de remonter un tout petit peu la page (mon post du 19 juin)
Bonjour,
Pour une meilleure visibilité, je copie/colle ici un extrait de posts du forum général concernant l'agression de Nathalie:
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Clemal 2011 2 juillet 2018
- Agression de Nathalie :
--> Selon un article d'époque, Nathalie indique qu'elle a déjà vu son agresseur : il l'a déjà abordé à la sortie de l'école, lui proposant de l'argent pour acheter des jouets.
--> Il profite qu'elle attend sa mère devant un magasin pour l'aborder de nouveau, elle prend peur veut rentrer chez elle. Il la suite jusque dans l'ascenseur la fait sortir au 3ème étage de force et la mène dans la cage d'escalier. Elle ne doit son salut qu'à des bruits de pas dans l'escalier qui mette le G en fuite
Sur cette agression il a donc choisi et repéré sa victime. Je t'accorde que le passage à l'acte est lui certainement une opportunité et qu'il ne connaissait pas les lieux.
Si quelqu'un remet rapidement la main sur l'article, je le colle aussi ici.
Oups: il suffit de remonter un tout petit peu la page (mon post du 19 juin)
Sarah A.
2020
Le lundi 7 avril 1986, à 8 h 12, Sarah, 8 ans, prend l’ascenseur pour aller à l’école ; il y a déjà un homme qu’elle ne connaît pas à l’intérieur
C’est Jean-Louis Huesca qui va entendre Sarah, 8 ans, et sa famille. Elle lui raconte ce qui s’est passé ce jour là.
Elle habite au premier étage du 7 place de Vénétie, dans le XIIIe.
À 8 h 12, elle prend l’ascenseur pour aller à l’école, seule, sans sa soeur. Il y a déjà un homme qu’elle ne connaît pas à l’intérieur. Il est « bien habillé, en jean et en blouson de cuir noir avec des bandes vertes ». Il est « très grand ».
Au rez-de-chaussée, « ce monsieur qui a l’air relax » lui dit : « Zut, il descend encore ! »
Au quatrième sous-sol, Sarah se sent poussée dans le dos et entraînée dans un couloir, projetée sur un matelas à même le sol. La petite ne se laisse pas faire, hurle de toutes ses forces mais reçoit « deux gros coups de poing dans le ventre » qui lui coupent le souffle.
Dans la pénombre, le type lui attache les mains avec des cordelettes et la déshabille en bas : « J’ai seulement vu qu’il avait un foulard noir et un chiffon sale et jaune, comme ceux pour essuyer les meubles », décrit la fillette. Il le lui enfonce dans la gorge pour l’empêcher de crier : « Tais-toi, tais-toi ! » Il enroule le foulard noir autour de son cou puis l’étrangle : « Je ne pouvais plus respirer, je me suis évanouie. Après, je me souviens de rien. » Le médecin établit le viol : « Pénétration vaginale légère. Pas de défloration.
Prélèvement de sperme. »
L’inspecteur Huesca note les similitudes avec le meurtre de Cécile : « Il l’a laissée pour morte en bas sur ce matelas qu’il avait apporté exprès, comme il avait préparé la moquette dans le sous-sol pour la petite Bloch. C’est un prédateur organisé. » Là encore, l’inconnu a utilisé des liens qu’il a noués autour des poignets de l’enfant, sans trop les serrer. Lorsque Sarah a repris conscience, elle a pu libérer ses mains tout de suite, a cherché l’interrupteur à tâtons dans le couloir plongé dans le noir, puis a emprunté l’escalier de secours pour monter chez elle. Sa mère lui a ouvert à 8 h 35 et a appelé la police. La brigade de protection des mineurs de la PJ fournit à la crim’ tous les éléments
en sa possession. Sur « trois Kleenex blancs, le matelas et le slip de la victime », des traces de sperme. Elles révèlent le groupe sanguin du violeur : A. Comme celui du Grêlé !
Questionnée sur le visage de cet homme, Sarah dit qu’il ne « porte pas de barbe, ni de moustache, ni de lunettes, mais ses joues ne sont pas lisses ». L’inspecteur Huesca lui montre le portrait-robot du Grêlé la survivante le reconnaît. Même lieu de capture de l’enfant, un ascenseur.
Même sous-sol obscur pour commettre ses crimes : étranglement et viol. Objets utilisés similaires (à l’exception du couteau) : cordelettes, foulard et bâillon. « Et ça se passe encore un lundi matin vers 8 heures », souligne l’inspecteur Pasqualini à son équipe.
« C’est le même individu, mais pas dans le même quartier. »
Source: les Jours Patricia Tourancheau.
Le lundi 7 avril 1986, à 8 h 12, Sarah, 8 ans, prend l’ascenseur pour aller à l’école ; il y a déjà un homme qu’elle ne connaît pas à l’intérieur
C’est Jean-Louis Huesca qui va entendre Sarah, 8 ans, et sa famille. Elle lui raconte ce qui s’est passé ce jour là.
Elle habite au premier étage du 7 place de Vénétie, dans le XIIIe.
À 8 h 12, elle prend l’ascenseur pour aller à l’école, seule, sans sa soeur. Il y a déjà un homme qu’elle ne connaît pas à l’intérieur. Il est « bien habillé, en jean et en blouson de cuir noir avec des bandes vertes ». Il est « très grand ».
Au rez-de-chaussée, « ce monsieur qui a l’air relax » lui dit : « Zut, il descend encore ! »
Au quatrième sous-sol, Sarah se sent poussée dans le dos et entraînée dans un couloir, projetée sur un matelas à même le sol. La petite ne se laisse pas faire, hurle de toutes ses forces mais reçoit « deux gros coups de poing dans le ventre » qui lui coupent le souffle.
Dans la pénombre, le type lui attache les mains avec des cordelettes et la déshabille en bas : « J’ai seulement vu qu’il avait un foulard noir et un chiffon sale et jaune, comme ceux pour essuyer les meubles », décrit la fillette. Il le lui enfonce dans la gorge pour l’empêcher de crier : « Tais-toi, tais-toi ! » Il enroule le foulard noir autour de son cou puis l’étrangle : « Je ne pouvais plus respirer, je me suis évanouie. Après, je me souviens de rien. » Le médecin établit le viol : « Pénétration vaginale légère. Pas de défloration.
Prélèvement de sperme. »
L’inspecteur Huesca note les similitudes avec le meurtre de Cécile : « Il l’a laissée pour morte en bas sur ce matelas qu’il avait apporté exprès, comme il avait préparé la moquette dans le sous-sol pour la petite Bloch. C’est un prédateur organisé. » Là encore, l’inconnu a utilisé des liens qu’il a noués autour des poignets de l’enfant, sans trop les serrer. Lorsque Sarah a repris conscience, elle a pu libérer ses mains tout de suite, a cherché l’interrupteur à tâtons dans le couloir plongé dans le noir, puis a emprunté l’escalier de secours pour monter chez elle. Sa mère lui a ouvert à 8 h 35 et a appelé la police. La brigade de protection des mineurs de la PJ fournit à la crim’ tous les éléments
en sa possession. Sur « trois Kleenex blancs, le matelas et le slip de la victime », des traces de sperme. Elles révèlent le groupe sanguin du violeur : A. Comme celui du Grêlé !
Questionnée sur le visage de cet homme, Sarah dit qu’il ne « porte pas de barbe, ni de moustache, ni de lunettes, mais ses joues ne sont pas lisses ». L’inspecteur Huesca lui montre le portrait-robot du Grêlé la survivante le reconnaît. Même lieu de capture de l’enfant, un ascenseur.
Même sous-sol obscur pour commettre ses crimes : étranglement et viol. Objets utilisés similaires (à l’exception du couteau) : cordelettes, foulard et bâillon. « Et ça se passe encore un lundi matin vers 8 heures », souligne l’inspecteur Pasqualini à son équipe.
« C’est le même individu, mais pas dans le même quartier. »
Source: les Jours Patricia Tourancheau.
Armelle
On la désigne sous le pseudo Elise dans le livre de Carine (P73).
Elle a subi un viol le 05/03/87
Elle était mineure au moment des faits. (mais aucune précision sur son âge).
Pas d'information sur le lieu où le viol s'est déroulé.
Elle n'est pas reprise dans le tableau du Parisien.
Elle a subi un viol le 05/03/87
Elle était mineure au moment des faits. (mais aucune précision sur son âge).
Pas d'information sur le lieu où le viol s'est déroulé.
Elle n'est pas reprise dans le tableau du Parisien.
Cécile Bloch
2021
Lundi 5 mai 1986:
7H50: un résident constate que les 2 ascenseurs fonctionnent. Il constate également que la porte menant du -2 au -3 est bloquée.
8H10: Les parents de Cécile partent au travail. Ils empruntent le seul ascenseur qui fonctionne. L’autre a été neutralisé à l’aide d’un bois d’allumettes coincé dans le bouton d’appel.
8H15: C’est Luc qui quitte l’appartement (3ème étage).
Pas de lumière sur le palier. Il entre dans le seul ascenseur qui fonctionne. Le bouton -2 est activé.
8H20: L’individu est dans l’ascenseur. La porte (-2->- 3) est fermée.
8H35: Un témoin constate que la porte (-2->- 3) est bloquée par par un paquet de cigarettes Malboro vide.
vers 8H40: Cécile appelle l’ascenseur. Vers 15H, on retrouvera son corps au 3ème sous sol enroulée dans un morceau de moquette.
Cécile a été étranglée (présence de cordelettes) et violée. Elle a reçu un coup de couteau sous le coeur. Sa colonne vertébrale est brisée. On ne retrouvera pas le couteau.
Luc se souvient avoir croisé dans l’ascenseur un homme d’environ 1,85m (plus grand que lui qui fait 1,75 m) qui l’a salué d’une façon particulière. 'J'espère que vous passerez une excellente journée'
Les parents de Cécile se souviennent alors avoir aussi croisé cet individu dans l’ascenseur. A cela, s’ajouteront d’autres témoignages.
C’est vers 9H20 que le dernier témoin décrira avoir vu l’individu quitter l’ascenseur.
Cela permet de situer l’agression de Cécile entre 8H40 et 9H20
Très peu de résidents connaissaient l’existence de ce 3ème sous sol.
La cave où le corps de Cécile est retrouvé est un local sans lumière (voir post de Sortcière) à côté se trouvent d’autres locaux propres et éclairés.
L’ascenseur ne permet pas d’accéder au -3. Il ne va que jusqu’au -2. Seul un escalier permet d’y accéder. Mais pour remonter du -3 au -2, il faut un pass. Ce jour là, la porte est bloquée par un paquet de cigarettes Malboro.
Source principalement Carine.
Lundi 5 mai 1986:
7H50: un résident constate que les 2 ascenseurs fonctionnent. Il constate également que la porte menant du -2 au -3 est bloquée.
8H10: Les parents de Cécile partent au travail. Ils empruntent le seul ascenseur qui fonctionne. L’autre a été neutralisé à l’aide d’un bois d’allumettes coincé dans le bouton d’appel.
8H15: C’est Luc qui quitte l’appartement (3ème étage).
Pas de lumière sur le palier. Il entre dans le seul ascenseur qui fonctionne. Le bouton -2 est activé.
8H20: L’individu est dans l’ascenseur. La porte (-2->- 3) est fermée.
8H35: Un témoin constate que la porte (-2->- 3) est bloquée par par un paquet de cigarettes Malboro vide.
vers 8H40: Cécile appelle l’ascenseur. Vers 15H, on retrouvera son corps au 3ème sous sol enroulée dans un morceau de moquette.
Cécile a été étranglée (présence de cordelettes) et violée. Elle a reçu un coup de couteau sous le coeur. Sa colonne vertébrale est brisée. On ne retrouvera pas le couteau.
Luc se souvient avoir croisé dans l’ascenseur un homme d’environ 1,85m (plus grand que lui qui fait 1,75 m) qui l’a salué d’une façon particulière. 'J'espère que vous passerez une excellente journée'
Les parents de Cécile se souviennent alors avoir aussi croisé cet individu dans l’ascenseur. A cela, s’ajouteront d’autres témoignages.
C’est vers 9H20 que le dernier témoin décrira avoir vu l’individu quitter l’ascenseur.
Cela permet de situer l’agression de Cécile entre 8H40 et 9H20
Très peu de résidents connaissaient l’existence de ce 3ème sous sol.
La cave où le corps de Cécile est retrouvé est un local sans lumière (voir post de Sortcière) à côté se trouvent d’autres locaux propres et éclairés.
L’ascenseur ne permet pas d’accéder au -3. Il ne va que jusqu’au -2. Seul un escalier permet d’y accéder. Mais pour remonter du -3 au -2, il faut un pass. Ce jour là, la porte est bloquée par un paquet de cigarettes Malboro.
Source principalement Carine.
les noms des tours paris 11
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Isaac Albéniz
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Johannes Brahms
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mimi
Re: ses victimes mineures
Kassandra88 a écrit:2021
Lundi 5 mai 1986:
7H50: un résident constate que les 2 ascenseurs fonctionnent. Il constate également que la porte menant du -2 au -3 est bloquée.
8H10: Les parents de Cécile partent au travail. Ils empruntent le seul ascenseur qui fonctionne. L’autre a été neutralisé à l’aide d’un bois d’allumettes coincé dans le bouton d’appel.
8H15: C’est Luc qui quitte l’appartement (3ème étage).
Pas de lumière sur le palier. Il entre dans le seul ascenseur qui fonctionne. Le bouton -2 est activé.
8H20: L’individu est dans l’ascenseur. La porte (-2->- 3) est fermée.
8H35: Un témoin constate que la porte (-2->- 3) est bloquée par par un paquet de cigarettes Malboro vide.
vers 8H40: Cécile appelle l’ascenseur. Vers 15H, on retrouvera son corps au 3ème sous sol enroulée dans un morceau de moquette.
Cécile a été étranglée (présence de cordelettes) et violée. Elle a reçu un coup de couteau sous le coeur. Sa colonne vertébrale est brisée. On ne retrouvera pas le couteau.
Luc se souvient avoir croisé dans l’ascenseur un homme d’environ 1,85m (plus grand que lui qui fait 1,75 m) qui l’a salué d’une façon particulière. 'J'espère que vous passerez une excellente journée'
Les parents de Cécile se souviennent alors avoir aussi croisé cet individu dans l’ascenseur. A cela, s’ajouteront d’autres témoignages.
C’est vers 9H20 que le dernier témoin décrira avoir vu l’individu quitter l’ascenseur.
Cela permet de situer l’agression de Cécile entre 8H40 et 9H20
Très peu de résidents connaissaient l’existence de ce 3ème sous sol.
La cave où le corps de Cécile est retrouvé est un local sans lumière (voir post de Sortcière) à côté se trouvent d’autres locaux propres et éclairés.
L’ascenseur ne permet pas d’accéder au -3. Il ne va que jusqu’au -2. Seul un escalier permet d’y accéder. Mais pour remonter du -3 au -2, il faut un pass. Ce jour là, la porte est bloquée par un paquet de cigarettes Malboro.
Source principalement Carine.
2022
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Armelle P
Kassandra88 a écrit:On la désigne sous le pseudo Elise dans le livre de Carine (P73).
Elle a subi un viol le 05/03/87
Elle était mineure au moment des faits. (mais aucune précision sur son âge).
Pas d'information sur le lieu où le viol s'est déroulé.
Elle n'est pas reprise dans le tableau du Parisien.
On découvre qu'elle n'était pas mineure au moment des faits. Elle avait 37 ans.
« Armelle P., 37 ans, infirmière, qui avait mis une annonce dans la même supérette Félix Potin, pour vendre un lit et un matelas, est violée chez elle au 52 rue Merlin à Paris XIe par un prétendu acheteur sous la menace d’un couteau genre Opinel, les mains liées, et bâillonnée. Vol d’appareils photos, de bijoux et d’argent. La 4e division de police judiciaire a diffusé le portrait-robot établi par la victime et le signalement, vaines recherches. La Crim imputera ce viol au Grêlé en 2021.
»
Extrait de: Patricia Tourancheau. « Le Grêlé - Le tueur était un flic. » iBooks.
A noter que c'est exactement le même Félix Potin que celui où Sylvia P avait déposé son annonce.
Dernière édition par Kassandra88 le Mar 19 Juil 2022 - 12:12, édité 1 fois
Cyril D.
Intéressant que le portrait robot désigné par Cyril comme étant celui se rapprochant le plus de son agresseur, est effectivement celui qui ressemble le plus à Vérove (qui n'avait pas encore été identifié au moment de l'interview).
Contrairement aux conclusions de l'article qui supposent que le fait de s'être présenté comme gendarme dans un appartement parisien est une erreur imputable au fait que l'homme serait un provincial, il est au contraire clair que ce n'est pas une erreur et que FV a supposé à juste titre que ses victimes ne se poseraient pas la question (pareil dans les autres affaires ou il dégaine sa carte). L'effet de sidération, le respect des forces de l'ordre au sens large chez des ado impressionnable...Bon après sur l'agression de Cyril ça semble évident que FV a agit par opportunité selon un mode opératoire qu'il avait déjà utilisé dans ses grandes lignes. On retrouve beaucoup de points commun avec d'autres victime de FV : ses états de colère mais aussi ses changements d'humeurs, son habitude de cambrioler en plus de violer. Sa prédisposition pour les ligotages, bien que là visiblement il ne s'y soit pas bien pris. Mais contrairement aux jeunes filles violées ou à Politi, je pense qu'il n'a jamais eu l'intention de tuer Cyril, il voulait juste le neutraliser le temps de s'occuper de sa copine. D’où peut être le fait de l'avoir entravé à la va vite.
Tivier
Armelle P
Kassandra88 a écrit:Kassandra88 a écrit:On la désigne sous le pseudo Elise dans le livre de Carine (P73).
Elle a subi un viol le 05/03/87
Elle était mineure au moment des faits. (mais aucune précision sur son âge).
Pas d'information sur le lieu où le viol s'est déroulé.
Elle n'est pas reprise dans le tableau du Parisien.
On découvre qu'elle n'était pas mineure au moment des faits. Elle avait 37 ans.
« Armelle P., 37 ans, infirmière, qui avait mis une annonce dans la même supérette Félix Potin, pour vendre un lit et un matelas, est violée chez elle au 52 rue Merlin à Paris XIe par un prétendu acheteur sous la menace d’un couteau genre Opinel, les mains liées, et bâillonnée. Vol d’appareils photos, de bijoux et d’argent. La 4e division de police judiciaire a diffusé le portrait-robot établi par la victime et le signalement, vaines recherches. La Crim imputera ce viol au Grêlé en 2021.
»
Extrait de: Patricia Tourancheau. « Le Grêlé - Le tueur était un flic. » iBooks.
A noter que c'est exactement le même Félix Potin que celui où Sylvia P avait déposé son annonce.
... Et c'est le même arrondissement central que pour Cyril.
Ce n'est vraiment pas très loin.
est une volupté de fin gourmet." -
G. COURTELINE
ruth
Marlène K.
C'est une victime dont je n'avais jamais entendu parler avant la publication du livre de P.T
Elle aurait eu lieu l'été 86
Marlène K., 8 ans, croise un homme dans l’ascenseur de son immeuble 70 avenue d’Ivry à Paris XIIIe, qui lui montre le panneau « Interdit aux enfants non accompagnés » et lui inflige une « punition ». Il lui enlève sa culotte, tente de la pénétrer et lui impose une fellation : « Fais comme si c’était une glace. » La plainte de ses parents est restée introuvable, mais cette victime sera reliée aux autres en octobre 2021.
Extrait de: Patricia Tourancheau. « Le Grêlé - Le tueur était un flic. » iBooks.
Elle aurait eu lieu l'été 86
Marlène K., 8 ans, croise un homme dans l’ascenseur de son immeuble 70 avenue d’Ivry à Paris XIIIe, qui lui montre le panneau « Interdit aux enfants non accompagnés » et lui inflige une « punition ». Il lui enlève sa culotte, tente de la pénétrer et lui impose une fellation : « Fais comme si c’était une glace. » La plainte de ses parents est restée introuvable, mais cette victime sera reliée aux autres en octobre 2021.
Extrait de: Patricia Tourancheau. « Le Grêlé - Le tueur était un flic. » iBooks.
Re: ses victimes mineures
Le 70 avenue d’Ivry je connais bien (j'habite pas loin), c'est une des entrée de la cité des Olympiades. Donc cette affaire s'est déroulée dans une énorme tour remplie de familles. Meilleur endroit pour un type comme FV s'il voulait marauder avec une forte probabilité de rencontrer une gamine. Et cerise sur le gâteau toutes ces tours sont bâties au dessus d'un immense souterrain avec des caves, des issues et des entrepôts de partout, des escaliers jamais empruntés, des issues de secours obscures, une vraie fourmilière mais aussi un vrai labyrinthe. Autant de possibilités qui en auraient fait un lieu idéal pour FV.
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Tivier
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