Ses crimes?
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Re: Ses crimes?
Seinnheiser a écrit:Bonjour, le double meurtre du Marais à eut lieu mercredi 29 avril 1987 , l'individu à pénétré dans l' appartement aux alentours de 10h, 10h30,il a probablement quitté l'immeuble entre midi . Kassandra sait parfaitement cette date, elle à fait une erreur de manip, certainement .
Oui Seinn, merci, je vais directement rectifier!
Voilà, c'est fait!
Re: Ses crimes?
[size=12]Tueur en série. Trahi par son ADN, le «grêlé» reste introuvable (Stéphane Albouy, Le Parisien, 16/03/2005)
[/size]SON PREMIER CRIME remonte au mois de mai 1986. La dernière affaire dans laquelle sa trace a été relevée date de 1994. Enlèvements d'enfants, viols, assassinats de mineures et d'adultes : son parcours criminel est aussi sinueux qu'énigmatique.
«Les dossiers dans lesquels un homme s'attaque à des enfants, mais est aussi capable de tuer des adultes sont très rares», commente un policier.
L'ombre de ce suspect plane sur Paris et sa banlieue depuis bientôt vingt ans. Deux décennies de recherches infructueuses qui n'ont pas découragé les enquêteurs de la brigade criminelle. Pour retrouver la trace de ce tueur en série, la PJ dispose de plusieurs portraits-robots et surtout d'une empreinte ADN abandonnée sur des scènes de crimes. Sur la base de ces éléments, ainsi que des lieux et dates de ses passages à l'acte, les policiers mènent actuellement une vaste opération de recherche. Au total, 250 hommes pouvant correspondre au profil ont été identifiés. «Un travail énorme, indique un cadre de la PJ. Les antécédents judiciaires, les lieux de résidence, les passages en prison, tout cela entre en ligne de compte.» Selon «le Figaro», 115 d'entre eux ont déjà été écartés, les 135 restants devraient être soumis à des tests ADN et interrogés sur leur emploi du temps de l'époque, d'ici à la fin du mois d'avril. D'après différents témoignages, le meurtrier serait assez grand, environ 1,85 m, et aurait un visage plutôt fin malgré une peau marquée par ce qui ressemble à des traces d'acné. Une particularité qui lui a valu le surnom de «grêlé».
Un faux policier
La première de ses victimes était une petite fille de 11 ans. Le corps de Cécile Bloch avait été retrouvé le 5 mai 1986 au sous-sol de son immeuble à Paris. L'enfant a été violée, étranglée, poignardée. A l'époque, les policiers avaient fait le rapprochement avec une autre affaire survenue un mois plus tôt également à Paris : Sarah, 8 ans, avait été violée et laissée pour morte. L'année suivante, en octobre 1987, une adolescente de 14 ans est violentée à son domicile du XIVe. Puis en avril 1994, Ingrid, 11 ans, est kidnappée à Mitry-Mory (Seine-et-Marne). Violée, elle sera finalement retrouvée vivante. Les policiers avaient établi que dans ces affaires, l'agresseur avait abordé ses victimes en se faisant passer pour un policier. Un rapprochement formellement confirmé en 1996 grâce aux comparaisons ADN entre les traces relevées sur les victimes. La technique de l'ADN permettra également à la PJ d'établir la présence du même suspect sur les lieux d'un double homicide, en avril 1987, dans le quartier du Marais. Le «grêlé» n'a pas fait parler de lui entre 1987 et 1994, avant de disparaître. Mais les enquêteurs sont persuadés que ce criminel ne s'est jamais arrêté. «Entre 1987 et 1994, il était peut-être en prison ou à l'étranger, avance l'un d'entre eux. A moins qu'il ne soit mort entre-temps, il est difficile d'imaginer qu'un type de ce genre soit parvenu à refréner ses pulsions du jour au lendemain.»
Un serial killer recherché par son ADN.
Lundi, la traque infernale continue pour la brigade criminelle, l'enquête est relancée. Celle d'un présumé meurtrier en série, pour des faits remontant à plus de 20 ans? Plus d'une centaine de "profils de potentiels suspects" ont été ciblés, susceptibles d'avoir commis ces meurtres à Paris. Trois crimes au total lui sont imputés suspect grâce à des traces ADN qui ont "parlé" en 2001 seulement, soit quinze années après les faits. Il s'agit de celui d'une fillette de 11 ans, Cécile Bloch, tuée en 1986 dans le XIXe arrondissement et du double meurtre d'un couple retrouvé étranglé dans le quartier du Marais en 1987. On ne sait bien sur pas si ce sont les seuls. Un portrait robot a été réalisé au moment des faits mais n'a rien donné. On attend donc les auditions des suspects et la pratique des tests ADN.
Grâce aux prélèvements d'ADN, l'élite des enquêteurs a reconstruit le parcours d'un pervers. La police criminelle lance une traque nationale contre un tueur en série (Christophe Cornevin, Le Figaro, 14/03/2005)
En toute discrétion, la police judiciaire vient de lancer à travers le pays une traque d'une ampleur sans précédent afin d'identifier un tueur en série pisté depuis dix-neuf années par la Brigade criminelle. Considéré comme un redoutable criminel, ce psychopathe a laissé depuis 1986 sa signature génétique ? traces de sperme, salive ou poils... ? sur plusieurs scènes de crimes barbares commis contre des fillettes et des adultes. Ce n'est qu'en 2001, grâce aux progrès de la police scientifique, que les affaires ont été reliées les unes aux autres : un seul et même ADN apparaissait dans les scellés. Mais, pour l'heure, son profil ne correspond à aucune des 32 000 empreintes enregistrées dans le Fichier national des empreintes génétiques (Fnaeg). Ce dernier n'a commencé à être vraiment opérationnel qu'en 2002, soit huit ans après la dernière trace laissée par ce criminel pervers, lorsqu'il avait enlevé et violé Ingrid, une fillette de onze ans, le 29 juin 1994 à Saclay (Essonne).
Agissant dans la cadre d'une commission rogatoire du juge parisien Gérard Caddéo, la Brigade criminelle a accompli un travail de bénédictin pour sélectionner 250 suspects pouvant coller au profil. A l'occasion d'un premier tri sur dossiers, 115 d'entre eux ont été écartés car décédés, en prison ou encore à l'étranger au moment des faits. Depuis une dizaine de jours et jusqu'à la fin du mois prochain, les 135 hommes restant vont tour à tour devoir se plier à des tests ADN et être interrogés sur leur emploi du temps. Tous les services territoriaux de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) sont mobilisés sur une cinquantaine de cas, laissant les 80 vérifications restantes à la Brigade criminelle qui, fait rarissime, a mobilisé l'intégralité de ses groupes sur l'affaire.
Les suspects devront avoir bonne mémoire car, pour les enquêteurs, l'insaisissable tueur est avant tout attaché au nom de la première des victimes : Cécile Bloch, violée, étranglée et poignardée dans le cœur au troisième sous-sol d'un immeuble du XIXe arrondissement. C'était le lundi 5 mai 1986, elle avait onze ans et se rendait au collège.
Il y a quatre ans, trois rapprochements ADN sont effectués : le 7 avril 1986, un mois avant le meurtre de Cécile, Sarah, 8 ans, est laissée pour morte après avoir été violée dans les sous-sols d'un immeuble parisien. Le 26 octobre 1987, Marianne, 14 ans, est agressée à son tour dans son immeuble du XIVe. Par miracle, elle s'en sort. Six mois auparavant, le 29 avril 1987, le même tueur est impliqué dans le double assassinat d'une fille au pair allemande de vingt ans et d'un mécanicien d'Air France de 38 ans dans un appartement du Marais, à Paris : étranglés avec une cordelette, les deux cadavres seront retrouvés nus, bâillonnés. Ils présentaient des brûlures de cigarettes. La jeune fille avait les bras en croix, comme dans une parodie de crucifixion.
Le bourreau disparaîtra de la circulation jusqu'à la découverte du corps d'Ingrid. «Depuis onze ans, c'est le flou, concède un enquêteur qui mise beaucoup sur le vaste ratissage initié au début du mois. Nous savons juste qu'il s'est fait passer pour un policier à plusieurs reprises et qu'il s'est servi de cordelettes avant de violer et de tuer en cas de résistance.» Un portrait-robot établi à la fin des années 80 lui donnait 20-25 ans. Mince et mesurant 1,85 mètre environ, les cheveux châtain foncé, coiffé sur le côté, une mèche sur l’œil gauche, il avait le visage grêlé. Mais, depuis lors, par l'effet du temps ou de la chirurgie esthétique, l'homme, s'il est encore en vie comme le croient les policiers, doit avoir beaucoup changé.
Re: Ses crimes?
La disparition de M.Wagon pourrait fort bien être imputé au g. évidemment si elle avait eut lieu en région parisienne
le questionnement serait plus pertinent, en faisant abstraction de cet obstacle géographique,ils s'y trouvent
avec l'affaire Mouzin , bien que l'implication de l'individu à Guermantes n'est pas établit , des similitudes pour le moins
troublantes . Hormis le fait anecdotique que cela se déroule un jeudi , cette affaire intervient une semaine après
les vacances scolaires d'octobre, la victime à un profil quasi identique et principalement cette furtivité dans cette
prise de risque d'opéré entre midi, alors qu'en cette période la nuit tombe très tôt,. De ce fait il est probable que
l'individu doit connaitre les lieux mais de manière sommaire et qu'il y soit de passage . Pour conforté cette thèse,
j'avais déjà évoqué la possibilité que l'individu est une quelconque attache dans la région, je reviendrai sur les
arguments qui mènent à cette conclusion. Il se pourrait dans cette option, être possible que l'individu à séjourné
dans le secteur peu de temps avant cet événement ,particulièrement à l'occasion des vacances scolaires . Il serait
intéressant de savoir si les parents ont rencontré ce cas de figure, s'ils se souviennent de gens ,d'une famille
qui seraient venus dans les environs proches ou plus lointaine à l'occasion de la trêve scolaire . 700 km séparent Agen
de Paris, étant donné qu'il parait inconcevable l'absence d'un véhicule dans ce cas, l'individu aurait entrepris le
déplacement en automobile ? il regagne la capitale en emmenant sa victime ?ou es cet qu'il aurait effectué le trajet
en avion , un aérodrome se situant en périphérie de la ville, ce qui n'est pas anodin pour une petite agglomération.
Des vols Orly Agen y sont prévus quotidiennement .la vérification est aisée de savoir s'il en était programmé ce jour .
le questionnement serait plus pertinent, en faisant abstraction de cet obstacle géographique,ils s'y trouvent
avec l'affaire Mouzin , bien que l'implication de l'individu à Guermantes n'est pas établit , des similitudes pour le moins
troublantes . Hormis le fait anecdotique que cela se déroule un jeudi , cette affaire intervient une semaine après
les vacances scolaires d'octobre, la victime à un profil quasi identique et principalement cette furtivité dans cette
prise de risque d'opéré entre midi, alors qu'en cette période la nuit tombe très tôt,. De ce fait il est probable que
l'individu doit connaitre les lieux mais de manière sommaire et qu'il y soit de passage . Pour conforté cette thèse,
j'avais déjà évoqué la possibilité que l'individu est une quelconque attache dans la région, je reviendrai sur les
arguments qui mènent à cette conclusion. Il se pourrait dans cette option, être possible que l'individu à séjourné
dans le secteur peu de temps avant cet événement ,particulièrement à l'occasion des vacances scolaires . Il serait
intéressant de savoir si les parents ont rencontré ce cas de figure, s'ils se souviennent de gens ,d'une famille
qui seraient venus dans les environs proches ou plus lointaine à l'occasion de la trêve scolaire . 700 km séparent Agen
de Paris, étant donné qu'il parait inconcevable l'absence d'un véhicule dans ce cas, l'individu aurait entrepris le
déplacement en automobile ? il regagne la capitale en emmenant sa victime ?ou es cet qu'il aurait effectué le trajet
en avion , un aérodrome se situant en périphérie de la ville, ce qui n'est pas anodin pour une petite agglomération.
Des vols Orly Agen y sont prévus quotidiennement .la vérification est aisée de savoir s'il en était programmé ce jour .
Seinnheiser
Re: Ses crimes?
Il ne s'agit pas de refourgué à l'individu toutes les disparitions irrésolu à ce jour . Il se trouve au moins trois
critères à considérés , la période , le profil de la victime , le procédé qui s'apparente à une véritable évaporation
de la victime . Un individu de cet acabit est capable éventuellement de délocalisé ses actes , pour peu qu'il
se trouve dans un secteur ou il dispose d'un minimum de repères et ce peut être un lieu ,ou il se rends
ponctuellement ,pour diverses raisons, déplacements, vacances, visites familiale .
critères à considérés , la période , le profil de la victime , le procédé qui s'apparente à une véritable évaporation
de la victime . Un individu de cet acabit est capable éventuellement de délocalisé ses actes , pour peu qu'il
se trouve dans un secteur ou il dispose d'un minimum de repères et ce peut être un lieu ,ou il se rends
ponctuellement ,pour diverses raisons, déplacements, vacances, visites familiale .
Seinnheiser
Re: Ses crimes?
Pour mémoire :
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L'usage des CB des victimes : pour brouiller les pistes ?
3 policiers mutés en marge de cette affaire pour avoir fréquenté la discothèque et les 3 jeunes filles. Mutés à Paris et Nancy en janvier 1984.
Le grêlé aurait il pu faire un passage par Epinal ?
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L'usage des CB des victimes : pour brouiller les pistes ?
3 policiers mutés en marge de cette affaire pour avoir fréquenté la discothèque et les 3 jeunes filles. Mutés à Paris et Nancy en janvier 1984.
Le grêlé aurait il pu faire un passage par Epinal ?
george-white
Re: Ses crimes?
merci pour ce résumé, il faut changer un peu l'âge..car c'est vu dans une situation soit de choc, soit d' indifférence, un quidam, et la volonté du grélé de tricher un tant soit peu, si on le juge, "pas fiable du tout " ? et TRICHEUR à tout point de vue; un malin, pas cool, pas de sang-froid avec les enfants, fut-il abusé lui aussi, on s'en fout...??Didier a écrit:[size=12]Tueur en série. Trahi par son ADN, le «grêlé» reste introuvable (Stéphane Albouy, Le Parisien, 16/03/2005)[/size]
SON PREMIER CRIME remonte au mois de mai 1986. La dernière affaire dans laquelle sa trace a été relevée date de 1994. Enlèvements d'enfants, viols, assassinats de mineures et d'adultes : son parcours criminel est aussi sinueux qu'énigmatique.
«Les dossiers dans lesquels un homme s'attaque à des enfants, mais est aussi capable de tuer des adultes sont très rares», commente un policier.
L'ombre de ce suspect plane sur Paris et sa banlieue depuis bientôt vingt ans. Deux décennies de recherches infructueuses qui n'ont pas découragé les enquêteurs de la brigade criminelle. Pour retrouver la trace de ce tueur en série, la PJ dispose de plusieurs portraits-robots et surtout d'une empreinte ADN abandonnée sur des scènes de crimes. Sur la base de ces éléments, ainsi que des lieux et dates de ses passages à l'acte, les policiers mènent actuellement une vaste opération de recherche. Au total, 250 hommes pouvant correspondre au profil ont été identifiés. «Un travail énorme, indique un cadre de la PJ. Les antécédents judiciaires, les lieux de résidence, les passages en prison, tout cela entre en ligne de compte.» Selon «le Figaro», 115 d'entre eux ont déjà été écartés, les 135 restants devraient être soumis à des tests ADN et interrogés sur leur emploi du temps de l'époque, d'ici à la fin du mois d'avril. D'après différents témoignages, le meurtrier serait assez grand, environ 1,85 m, et aurait un visage plutôt fin malgré une peau marquée par ce qui ressemble à des traces d'acné. Une particularité qui lui a valu le surnom de «grêlé».
Un faux policier
La première de ses victimes était une petite fille de 11 ans. Le corps de Cécile Bloch avait été retrouvé le 5 mai 1986 au sous-sol de son immeuble à Paris. L'enfant a été violée, étranglée, poignardée. A l'époque, les policiers avaient fait le rapprochement avec une autre affaire survenue un mois plus tôt également à Paris : Sarah, 8 ans, avait été violée et laissée pour morte. L'année suivante, en octobre 1987, une adolescente de 14 ans est violentée à son domicile du XIVe. Puis en avril 1994, Ingrid, 11 ans, est kidnappée à Mitry-Mory (Seine-et-Marne). Violée, elle sera finalement retrouvée vivante. Les policiers avaient établi que dans ces affaires, l'agresseur avait abordé ses victimes en se faisant passer pour un policier. Un rapprochement formellement confirmé en 1996 grâce aux comparaisons ADN entre les traces relevées sur les victimes. La technique de l'ADN permettra également à la PJ d'établir la présence du même suspect sur les lieux d'un double homicide, en avril 1987, dans le quartier du Marais. Le «grêlé» n'a pas fait parler de lui entre 1987 et 1994, avant de disparaître. Mais les enquêteurs sont persuadés que ce criminel ne s'est jamais arrêté. «Entre 1987 et 1994, il était peut-être en prison ou à l'étranger, avance l'un d'entre eux. A moins qu'il ne soit mort entre-temps, il est difficile d'imaginer qu'un type de ce genre soit parvenu à refréner ses pulsions du jour au lendemain.»
Un serial killer recherché par son ADN.
Lundi, la traque infernale continue pour la brigade criminelle, l'enquête est relancée. Celle d'un présumé meurtrier en série, pour des faits remontant à plus de 20 ans? Plus d'une centaine de "profils de potentiels suspects" ont été ciblés, susceptibles d'avoir commis ces meurtres à Paris. Trois crimes au total lui sont imputés suspect grâce à des traces ADN qui ont "parlé" en 2001 seulement, soit quinze années après les faits. Il s'agit de celui d'une fillette de 11 ans, Cécile Bloch, tuée en 1986 dans le XIXe arrondissement et du double meurtre d'un couple retrouvé étranglé dans le quartier du Marais en 1987. On ne sait bien sur pas si ce sont les seuls. Un portrait robot a été réalisé au moment des faits mais n'a rien donné. On attend donc les auditions des suspects et la pratique des tests ADN.
Grâce aux prélèvements d'ADN, l'élite des enquêteurs a reconstruit le parcours d'un pervers. La police criminelle lance une traque nationale contre un tueur en série (Christophe Cornevin, Le Figaro, 14/03/2005)
En toute discrétion, la police judiciaire vient de lancer à travers le pays une traque d'une ampleur sans précédent afin d'identifier un tueur en série pisté depuis dix-neuf années par la Brigade criminelle. Considéré comme un redoutable criminel, ce psychopathe a laissé depuis 1986 sa signature génétique ? traces de sperme, salive ou poils... ? sur plusieurs scènes de crimes barbares commis contre des fillettes et des adultes. Ce n'est qu'en 2001, grâce aux progrès de la police scientifique, que les affaires ont été reliées les unes aux autres : un seul et même ADN apparaissait dans les scellés. Mais, pour l'heure, son profil ne correspond à aucune des 32 000 empreintes enregistrées dans le Fichier national des empreintes génétiques (Fnaeg). Ce dernier n'a commencé à être vraiment opérationnel qu'en 2002, soit huit ans après la dernière trace laissée par ce criminel pervers, lorsqu'il avait enlevé et violé Ingrid, une fillette de onze ans, le 29 juin 1994 à Saclay (Essonne).
Agissant dans la cadre d'une commission rogatoire du juge parisien Gérard Caddéo, la Brigade criminelle a accompli un travail de bénédictin pour sélectionner 250 suspects pouvant coller au profil. A l'occasion d'un premier tri sur dossiers, 115 d'entre eux ont été écartés car décédés, en prison ou encore à l'étranger au moment des faits. Depuis une dizaine de jours et jusqu'à la fin du mois prochain, les 135 hommes restant vont tour à tour devoir se plier à des tests ADN et être interrogés sur leur emploi du temps. Tous les services territoriaux de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) sont mobilisés sur une cinquantaine de cas, laissant les 80 vérifications restantes à la Brigade criminelle qui, fait rarissime, a mobilisé l'intégralité de ses groupes sur l'affaire.
Les suspects devront avoir bonne mémoire car, pour les enquêteurs, l'insaisissable tueur est avant tout attaché au nom de la première des victimes : Cécile Bloch, violée, étranglée et poignardée dans le cœur au troisième sous-sol d'un immeuble du XIXe arrondissement. C'était le lundi 5 mai 1986, elle avait onze ans et se rendait au collège.
Il y a quatre ans, trois rapprochements ADN sont effectués : le 7 avril 1986, un mois avant le meurtre de Cécile, Sarah, 8 ans, est laissée pour morte après avoir été violée dans les sous-sols d'un immeuble parisien. Le 26 octobre 1987, Marianne, 14 ans, est agressée à son tour dans son immeuble du XIVe. Par miracle, elle s'en sort. Six mois auparavant, le 29 avril 1987, le même tueur est impliqué dans le double assassinat d'une fille au pair allemande de vingt ans et d'un mécanicien d'Air France de 38 ans dans un appartement du Marais, à Paris : étranglés avec une cordelette, les deux cadavres seront retrouvés nus, bâillonnés. Ils présentaient des brûlures de cigarettes. La jeune fille avait les bras en croix, comme dans une parodie de crucifixion.
Le bourreau disparaîtra de la circulation jusqu'à la découverte du corps d'Ingrid. «Depuis onze ans, c'est le flou, concède un enquêteur qui mise beaucoup sur le vaste ratissage initié au début du mois. Nous savons juste qu'il s'est fait passer pour un policier à plusieurs reprises et qu'il s'est servi de cordelettes avant de violer et de tuer en cas de résistance.» Un portrait-robot établi à la fin des années 80 lui donnait 20-25 ans. Mince et mesurant 1,85 mètre environ, les cheveux châtain foncé, coiffé sur le côté, une mèche sur l’œil gauche, il avait le visage grêlé. Mais, depuis lors, par l'effet du temps ou de la chirurgie esthétique, l'homme, s'il est encore en vie comme le croient les policiers, doit avoir beaucoup changé.
il est possible de le retrouver avec les PR quand même
Dcdend13
Karine Leroy
On pensait lui attribuer aussi ce meurtre:
Mais les recherches ADN sur les scellés n'ont pas permis de conclure
Mais les recherches ADN sur les scellés n'ont pas permis de conclure
Re: Ses crimes?
Kassandra88 a écrit:On pensait lui attribuer aussi ce meurtre:
Mais les recherches ADN sur les scellés n'ont pas permis de conclure
Ou étaient imprimés les prospectus que Karine distribuait !?
Maison
Re: Ses crimes?
Bonjour Kassandra,
Cette mascarade a commencé pendant le mois de juin et s'est perpétrée sur Juillet...
N'agit pas sur Paris durant les mois d'été, le G. !!!!???
Essonne ? Pourquoi ?
Dernière édition par Maison le Sam 20 Aoû 2016 - 21:04, édité 1 fois
Maison
Re: Ses crimes?
L' appât est tourné en 1994... Les faits se déroulent en 1984...
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Carnet d'adresses bien rempli pour Valérie S.
1ere victime : avocat qui avait de la famille en Essonne.
Un des assassin habite St Mandé.
Victimes, pieds et poings liés.
Le G. ne se serait-il pas inspiré de cette affaire des plus minables...?
Irmie = clef qui aurait permi l'accès chez les Politi ?
A+
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Carnet d'adresses bien rempli pour Valérie S.
1ere victime : avocat qui avait de la famille en Essonne.
Un des assassin habite St Mandé.
Victimes, pieds et poings liés.
Le G. ne se serait-il pas inspiré de cette affaire des plus minables...?
Irmie = clef qui aurait permi l'accès chez les Politi ?
A+
Maison
Re: Ses crimes?
Bsr à tous
La police a recherché des clochards ou des SDF, mais a-t-elle investigué parmi les voyous (bandes) qui trainaient du côté de le Villette... Plutôt blancs, voire néo-nazis !
De plus, non loin de l'entrée du 116 rue Petit, devait se situer un squat d'artistes...
Une autre idée...
Il est question de chiens dans le reportage de Karine...
Cécile avait un chien qui n'a à priori, pas aboyé. Les gardiens avaient eux aussi de très beaux chien-loups (photos)
Avec des personnes du forum qui disaient connaitre le propriétaire d'Elie Loup... Ca fait beaucoup!!!
Il n'aurait pas été un peu "dresseur canin", ce G.?
Dernière édition par Maison le Dim 28 Aoû 2016 - 13:27, édité 1 fois
Maison
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