meurtre de Karine Leroy
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Tueur en série : le grêlé. :: AFFAIRES EN COURS :: NON ÉLUCIDÉ
Cellule Cold cases, É. Foray, M.Boisseranc, S.Alloard, C.Giboire, K.Leroy, J.Heusèle, S. Viguier...
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meurtre de Karine Leroy
Qui a ôté la vie de Karine?
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Son ex petit ami a été longtemps dans le collimateur de la justice, mais rien n'a finalement été retenu contre lui.
La piste Fourniret reste ouverte ... mais aussi celle du grêlé.
Je remets ici le dernier article du Figaro posté par Welt ce matin:
Meurtre de Karine Leroy en Seine-et-Marne : «la piste du ''grêlé'' n'est pas la seule sur laquelle travaillent les enquêteurs»
Si la piste du «grêlé» dans le meurtre de Karine Leroy est envisageable au regard de nombreux éléments collectés par les enquêteurs, l'avocate de la famille de la jeune femme appelle à la prudence.
Voilà presque deux semaines que les portraits-robots poussiéreux du «grêlé» - surnommé ainsi en raison de supposées cicatrices d'acnés visibles sur sa figure - ont laissé place aux traits de François Vérove, 59 ans. Cet ancien gendarme et policier s'est donné la mort le 29 septembre dans un appartement du Grau du Roi alors qu'il allait être confondu par un test ADN qui devait le relier à plusieurs meurtres attribués au tueur en série des années 80 et 90.
Trois meurtres et six viols avérés, sans doute plus. Dans une lettre d'aveux retrouvée par son épouse, François Vérove a évoqué «des pulsions passées» , reconnaissant « être un grand criminel qui a commis des faits impardonnables jusqu'à la fin des années 1990 ».
Le prélèvement ADN a finalement été réalisé au lendemain de la mort du quinquagénaire et comparé avec celui retrouvé sur plusieurs scènes de crimes, achevant de prouver que ce dernier était bien l'homme recherché depuis 35 ans.
Un mode opératoire similaire
Dès lors, les enquêteurs de la brigade criminelle du 36 quai des Orfèvres se sont attelés à vérifier si le «grêlé» ne pouvait être relié à plusieurs affaires criminelles non résolues. L'affaire Karine Leroy notamment, du nom de cette jeune femme de 20 ans kidnappée sur le chemin du lycée au matin du 9 juin 1994 à Meaux (Val-de-Marne). Son corps avait été découvert un mois plus tard par des promeneurs en lisière de forêt à Montceaux-Lès-Meaux, à une dizaine de kilomètres du lieu de l'enlèvement.
Jusqu'à présent, aucune certitude n'a été établie quant aux causes de la mort de la jeune femme ni sur les violences sexuelles qu'elle aurait pu subir. Les policiers auraient pourtant découvert un cordon électrique autour du cou de la victime. Ce cordon formant un nœud coulant où se trouvait un morceau de bois. Un «garrot espagnol» pour faciliter l'étranglement.
Un procédé rare mais surtout technique et qui était devenu la marque du «grêlé». Deux de ses victimes, Cécile Bloch, 11 ans, et Sarah, 8 ans, avaient toutes deux été étranglées au moyen d'un nœud de cordelette. «Les suppliciés du Marais», Irmgard Müller et Gilles Politi avaient quant à eux été étranglés à mort avec une ceinture. Un tisonnier avait aussi été placé entre les liens fixés au cou et aux chevilles de Gilles Politi. Un autre «garrot espagnol». Quatre crimes commis entre 1984 et 1987 à Paris.
De nouvelles analyses
Le Système d'analyse des liens de la violence associée aux crimes (SALVAC) a par ailleurs récemment permis aux enquêteurs d'établir un potentiel lien avec le «grêlé» entre le double meurtre du Marais et celui Karine Leroy. Le logiciel a détecté le même mode opératoire. Une information confirmée au Figaro ce mardi par une source proche du dossier.
La révélation de l'identité du «grêlé» le 30 septembre a aussi permis aux enquêteurs de comprendre pourquoi ce dernier, qui avait d'abord sévi à Paris, aurait ensuite agi dans le Val-de-Marne. François Vérove, motard dans la police, aurait été muté dans ce département en 1988, selon Le Parisien . Et c'est à Longperrier qu'il aurait vécu pendant 7 ans, de 1993 à 2000. Une petite commune située à trente minutes en voiture de Meaux, où vivait Karine Leroy. Et à 15 minutes de Mitry-Mory où la petite Ingrid, 11 ans, avait été kidnappée et violée le 29 juin 1994. Un autre crime attribué au tueur en série.
Si la piste du «grêlé» dans le meurtre de Karine Leroy est envisageable, l'avocate de la famille de la jeune femme appelle à la prudence. «C'est une piste que l'on suit depuis plusieurs années. Il est inexact de dire que l'enquête est relancée ou que les policiers privilégient la piste du 'grêlé' plus qu'une autre. La piste du 'grêlé' n'est pas la seule sur laquelle travaillent les enquêteurs» , relève Me Corinne Herrmann, qui défend la famille Leroy depuis 2015. «Il faut se méfier des projections. N'oublions pas qu'il y a une famille qui est dans l'attente depuis 27 ans. Ce qui est vrai en revanche, c'est que désormais on a un nouveau suspect sur lequel travailler» , insiste l'avocate.
Pour l'heure donc, le meurtrier de Karine Leroy reste inconnu. Les investigations se poursuivent. Des relevés sur des scellés doivent par exemple être réalisés très prochainement.
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Je vais remettre ici les différents articles consacrés à Karine venant de la page "victimes du grêlé?"
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Son ex petit ami a été longtemps dans le collimateur de la justice, mais rien n'a finalement été retenu contre lui.
La piste Fourniret reste ouverte ... mais aussi celle du grêlé.
Je remets ici le dernier article du Figaro posté par Welt ce matin:
Meurtre de Karine Leroy en Seine-et-Marne : «la piste du ''grêlé'' n'est pas la seule sur laquelle travaillent les enquêteurs»
Si la piste du «grêlé» dans le meurtre de Karine Leroy est envisageable au regard de nombreux éléments collectés par les enquêteurs, l'avocate de la famille de la jeune femme appelle à la prudence.
Voilà presque deux semaines que les portraits-robots poussiéreux du «grêlé» - surnommé ainsi en raison de supposées cicatrices d'acnés visibles sur sa figure - ont laissé place aux traits de François Vérove, 59 ans. Cet ancien gendarme et policier s'est donné la mort le 29 septembre dans un appartement du Grau du Roi alors qu'il allait être confondu par un test ADN qui devait le relier à plusieurs meurtres attribués au tueur en série des années 80 et 90.
Trois meurtres et six viols avérés, sans doute plus. Dans une lettre d'aveux retrouvée par son épouse, François Vérove a évoqué «des pulsions passées» , reconnaissant « être un grand criminel qui a commis des faits impardonnables jusqu'à la fin des années 1990 ».
Le prélèvement ADN a finalement été réalisé au lendemain de la mort du quinquagénaire et comparé avec celui retrouvé sur plusieurs scènes de crimes, achevant de prouver que ce dernier était bien l'homme recherché depuis 35 ans.
Un mode opératoire similaire
Dès lors, les enquêteurs de la brigade criminelle du 36 quai des Orfèvres se sont attelés à vérifier si le «grêlé» ne pouvait être relié à plusieurs affaires criminelles non résolues. L'affaire Karine Leroy notamment, du nom de cette jeune femme de 20 ans kidnappée sur le chemin du lycée au matin du 9 juin 1994 à Meaux (Val-de-Marne). Son corps avait été découvert un mois plus tard par des promeneurs en lisière de forêt à Montceaux-Lès-Meaux, à une dizaine de kilomètres du lieu de l'enlèvement.
Jusqu'à présent, aucune certitude n'a été établie quant aux causes de la mort de la jeune femme ni sur les violences sexuelles qu'elle aurait pu subir. Les policiers auraient pourtant découvert un cordon électrique autour du cou de la victime. Ce cordon formant un nœud coulant où se trouvait un morceau de bois. Un «garrot espagnol» pour faciliter l'étranglement.
Un procédé rare mais surtout technique et qui était devenu la marque du «grêlé». Deux de ses victimes, Cécile Bloch, 11 ans, et Sarah, 8 ans, avaient toutes deux été étranglées au moyen d'un nœud de cordelette. «Les suppliciés du Marais», Irmgard Müller et Gilles Politi avaient quant à eux été étranglés à mort avec une ceinture. Un tisonnier avait aussi été placé entre les liens fixés au cou et aux chevilles de Gilles Politi. Un autre «garrot espagnol». Quatre crimes commis entre 1984 et 1987 à Paris.
De nouvelles analyses
Le Système d'analyse des liens de la violence associée aux crimes (SALVAC) a par ailleurs récemment permis aux enquêteurs d'établir un potentiel lien avec le «grêlé» entre le double meurtre du Marais et celui Karine Leroy. Le logiciel a détecté le même mode opératoire. Une information confirmée au Figaro ce mardi par une source proche du dossier.
La révélation de l'identité du «grêlé» le 30 septembre a aussi permis aux enquêteurs de comprendre pourquoi ce dernier, qui avait d'abord sévi à Paris, aurait ensuite agi dans le Val-de-Marne. François Vérove, motard dans la police, aurait été muté dans ce département en 1988, selon Le Parisien . Et c'est à Longperrier qu'il aurait vécu pendant 7 ans, de 1993 à 2000. Une petite commune située à trente minutes en voiture de Meaux, où vivait Karine Leroy. Et à 15 minutes de Mitry-Mory où la petite Ingrid, 11 ans, avait été kidnappée et violée le 29 juin 1994. Un autre crime attribué au tueur en série.
Si la piste du «grêlé» dans le meurtre de Karine Leroy est envisageable, l'avocate de la famille de la jeune femme appelle à la prudence. «C'est une piste que l'on suit depuis plusieurs années. Il est inexact de dire que l'enquête est relancée ou que les policiers privilégient la piste du 'grêlé' plus qu'une autre. La piste du 'grêlé' n'est pas la seule sur laquelle travaillent les enquêteurs» , relève Me Corinne Herrmann, qui défend la famille Leroy depuis 2015. «Il faut se méfier des projections. N'oublions pas qu'il y a une famille qui est dans l'attente depuis 27 ans. Ce qui est vrai en revanche, c'est que désormais on a un nouveau suspect sur lequel travailler» , insiste l'avocate.
Pour l'heure donc, le meurtrier de Karine Leroy reste inconnu. Les investigations se poursuivent. Des relevés sur des scellés doivent par exemple être réalisés très prochainement.
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Re: meurtre de Karine Leroy
Elle était étudiante avait 19 ans. Son corps avait été retrouvé le 12 juillet 1994 dans un bois de Montceaux-lès-Meaux.
Selon "Le Parisien", les policiers ont pu faire le rapprochement entre le meurtre de Karine Leroy et les autres crimes du "Grêlé", grâce au logiciel "Salvac" qui analyse notamment le mode opératoire du tueur.
Comme pour les meurtres de Gilles Politi et Irmgard Mueller, l'assassin de Karine Leroy a utilisé un garrot espagnol, sorte de nœud coulant posé autour du cou de la victime et actionné à l'aide d'un bâton placé derrière la nuque. Autre point commun, un paquet de cigarettes avait été retrouvé près du corps de Karine Leroy. Autant de similitudes qui avaient permis aux avocats de la famille Leroy d'obtenir la réouverture du dossier au début du mois de mai.
Des expertises seraient en cours pour retrouver la trace biologique du tueur "notamment sur le chemisier et les sous-vêtements" de Karine Leroy, rapporte "Le Parisien". Rien ne permet pour le moment aux enquêteurs de savoir si "le Grêlé" n'est pas mort ou n'a pas quitté le territoire français depuis longtemps. Il aurait aujourd'hui entre 50 et 60 ans. Article de 2015.
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Mais en 2016 on annonçait: pas de preuves génétiques formelles.
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Des articles postés par mimi:
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Selon "Le Parisien", les policiers ont pu faire le rapprochement entre le meurtre de Karine Leroy et les autres crimes du "Grêlé", grâce au logiciel "Salvac" qui analyse notamment le mode opératoire du tueur.
Comme pour les meurtres de Gilles Politi et Irmgard Mueller, l'assassin de Karine Leroy a utilisé un garrot espagnol, sorte de nœud coulant posé autour du cou de la victime et actionné à l'aide d'un bâton placé derrière la nuque. Autre point commun, un paquet de cigarettes avait été retrouvé près du corps de Karine Leroy. Autant de similitudes qui avaient permis aux avocats de la famille Leroy d'obtenir la réouverture du dossier au début du mois de mai.
Des expertises seraient en cours pour retrouver la trace biologique du tueur "notamment sur le chemisier et les sous-vêtements" de Karine Leroy, rapporte "Le Parisien". Rien ne permet pour le moment aux enquêteurs de savoir si "le Grêlé" n'est pas mort ou n'a pas quitté le territoire français depuis longtemps. Il aurait aujourd'hui entre 50 et 60 ans. Article de 2015.
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Mais en 2016 on annonçait: pas de preuves génétiques formelles.
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Des articles postés par mimi:
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Re: meurtre de Karine Leroy
C'est le fait qu'il y ait eu un mouvement de tourniquet qui a suggéré que son meurtrier était peut-être le G.
....mais cela montre aussi une chose, c'est qu'un rapprochement ne peut se faire que sur base de ce qui est encodé. Lorsqu'on me parle de tourniquet espagnol, ce c'est pas à Karine que je pense, mais à Christine:
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Il m'a été dit que ce dossier n'avait jamais été introduit dans Anacrim.
Autrement dit: Anacrim ne peut rapprocher qu'en fonction des données qu'on lui fournit, il faut donc continuer à l'alimenter.
Un autre rapprochement pourrait être fait entre l'agression de Karine et celle d'Ingrid.
C'est le fait qu'on a deux agressions proches dans le temps pour lesquelles la victime n'est pas retrouvée à l'endroit où elle a disparu:
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....mais cela montre aussi une chose, c'est qu'un rapprochement ne peut se faire que sur base de ce qui est encodé. Lorsqu'on me parle de tourniquet espagnol, ce c'est pas à Karine que je pense, mais à Christine:
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Il m'a été dit que ce dossier n'avait jamais été introduit dans Anacrim.
Autrement dit: Anacrim ne peut rapprocher qu'en fonction des données qu'on lui fournit, il faut donc continuer à l'alimenter.
Un autre rapprochement pourrait être fait entre l'agression de Karine et celle d'Ingrid.
C'est le fait qu'on a deux agressions proches dans le temps pour lesquelles la victime n'est pas retrouvée à l'endroit où elle a disparu:
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Re: meurtre de Karine Leroy
Pour rappel: Karine LEROY (19 ans) domiciliée à Beauval le Plessis Placy (77440), a disparu 9 JUIN 1994 son corps a été retrouvé trente-quatre jours plus tard dans le bois de Montceaux les Meaux. Elle a été étranglée le jour même avec un fil électrique de cafetière et des liens servant à empaqueter des publicités.
Quelqu'un a remarqué une chose fort intéressante:
les messageries du livre ont quitté NANTEUIL-LES-MEAUX fin de l'année 1994. NANTEUIL-LES-MEAUX et très proche de Montceaux les Meaux (8 Kms)
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Cela ramène encore l'hypothèse que son meurtrier soit quelqu'un du coin pouvant accéder facilement aux feuillards.
Quelqu'un a remarqué une chose fort intéressante:
les messageries du livre ont quitté NANTEUIL-LES-MEAUX fin de l'année 1994. NANTEUIL-LES-MEAUX et très proche de Montceaux les Meaux (8 Kms)
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Cela ramène encore l'hypothèse que son meurtrier soit quelqu'un du coin pouvant accéder facilement aux feuillards.
Re: meurtre de Karine Leroy
Meaux : 25 ans après le meurtre de Karine Leroy, sa mère cherche toujours.
Samedi 8 juin 2019, une cérémonie aura lieu à Montceaux-lès-Meaux, là où le corps de Karine Leroy a été découvert, il y a 25 ans. Son meurtrier n'a jamais été arrêté.
La mère de Karine Leroy a dû apprendre à combler un vide qu’aucun parent ne souhaite connaître. Le 9 juin 1994, sa fille disparaissait alors qu’elle se rendait au lycée Jean-Vilar de Meaux. Elle avait 19 ans. Son corps a été retrouvé dans les bois de Montceaux-lès-Meaux le 12 juillet de la même année par des promeneurs.
Depuis, malgré plusieurs pistes, et de nouvelles expertises qui ont permis de rouvrir le dossier en 2015, aucun élément nouveau n’a permis de confondre son meurtrier...
Seule certitude, Karine Leroy a été étranglée le jour même de son enlèvement par des liens servant à attacher les prospectus.
Au fil des années, l’enquête s’est enlisée. Les juges d’instruction se sont multipliés sur le dossier, sans parvenir au moindre résultat. Karine s’est volatilisée au pied de la tour Cheverny, sans témoin, sans explication. Aujourd’hui, l’avocate d’Annick Cagnet, Me Corinne Herrmann, aimerait que le dossier soit transféré à Paris et quitte le tribunal de Meaux, pour lui donner un nouveau souffle.
Depuis 2015, la justice suit une nouvelle piste : celle du Grêlé, un tueur en série qui a sévi à Paris et en Ile-de-France dans les années 80 et 90.
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Samedi 8 juin 2019, une cérémonie aura lieu à Montceaux-lès-Meaux, là où le corps de Karine Leroy a été découvert, il y a 25 ans. Son meurtrier n'a jamais été arrêté.
La mère de Karine Leroy a dû apprendre à combler un vide qu’aucun parent ne souhaite connaître. Le 9 juin 1994, sa fille disparaissait alors qu’elle se rendait au lycée Jean-Vilar de Meaux. Elle avait 19 ans. Son corps a été retrouvé dans les bois de Montceaux-lès-Meaux le 12 juillet de la même année par des promeneurs.
Depuis, malgré plusieurs pistes, et de nouvelles expertises qui ont permis de rouvrir le dossier en 2015, aucun élément nouveau n’a permis de confondre son meurtrier...
Seule certitude, Karine Leroy a été étranglée le jour même de son enlèvement par des liens servant à attacher les prospectus.
Au fil des années, l’enquête s’est enlisée. Les juges d’instruction se sont multipliés sur le dossier, sans parvenir au moindre résultat. Karine s’est volatilisée au pied de la tour Cheverny, sans témoin, sans explication. Aujourd’hui, l’avocate d’Annick Cagnet, Me Corinne Herrmann, aimerait que le dossier soit transféré à Paris et quitte le tribunal de Meaux, pour lui donner un nouveau souffle.
Depuis 2015, la justice suit une nouvelle piste : celle du Grêlé, un tueur en série qui a sévi à Paris et en Ile-de-France dans les années 80 et 90.
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Re: meurtre de Karine Leroy
Bonjour,
Les articles du Parisien:
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Près d’un quart de siècle après cette macabre découverte, c’est dans ce même sous-bois que sa mère Annick Cagnet et sa sœur jumelle Nathalie, se sont recueillies devant la stèle érigée par la municipalité.
Entourées de leurs proches, mais aussi du maire Michel Belin (LR) et de leur avocate Me Corinne Hermann, elles ont parcouru les quelques centaines de mètres séparant la mairie de Montceaux-lès-Meaux, du monument dressé sur les lieux où s’est joué le drame.
Une stèle pour faire vivre la mémoire de Karine
L’étroit chemin peinait à contenir les dizaines de proches : famille, amis, ancienne professeur… venus se recueillir devant la stèle ou y déposer une gerbe à côté d’un portrait photo de la défunte.
Un monument pour faire vivre la mémoire Karine et ne pas oublier le calvaire qu’a vécu la jeune femme de 19 ans, dont le meurtre n’a toujours pas été élucidé (voir encadré).
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Les articles du Parisien:
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Près d’un quart de siècle après cette macabre découverte, c’est dans ce même sous-bois que sa mère Annick Cagnet et sa sœur jumelle Nathalie, se sont recueillies devant la stèle érigée par la municipalité.
Entourées de leurs proches, mais aussi du maire Michel Belin (LR) et de leur avocate Me Corinne Hermann, elles ont parcouru les quelques centaines de mètres séparant la mairie de Montceaux-lès-Meaux, du monument dressé sur les lieux où s’est joué le drame.
Une stèle pour faire vivre la mémoire de Karine
L’étroit chemin peinait à contenir les dizaines de proches : famille, amis, ancienne professeur… venus se recueillir devant la stèle ou y déposer une gerbe à côté d’un portrait photo de la défunte.
Un monument pour faire vivre la mémoire Karine et ne pas oublier le calvaire qu’a vécu la jeune femme de 19 ans, dont le meurtre n’a toujours pas été élucidé (voir encadré).
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Re: meurtre de Karine Leroy
Dans cette première partie du reportage, ils parlent de feuillard en plastique:
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Et on peut voir le fil électrique fermé par un noeud coulant qui entourait le cou de Karine. (16 min 10s)
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Re: meurtre de Karine Leroy
Un hors-série sur les grandes affaires criminelles en Seine-et-Marne
La République de Seine-et-Marne revient, dans un hors-série, sur 41 grandes affaires criminelles, anciennes, ou plus récentes, qui ont eu lieu en Seine-et-Marne.
Les disparus de la forêt de Fontainebleau, une soirée mortelle dans un club libertin, la mort d’Yves Bourgade, l’arrestation de Jean-Pierre Treiber, la mort de Marie-Christine Hodeau…
Ces affaires, et bien d’autres, ont fait la « une » de votre hebdomadaire. Certaines, comme l’affaire Estelle Mouzin, font toujours l’actualité avec la mise en examen cette semaine du tueur en série Michel Fourniret.
D’autres gardent encore leur part de mystère comme l’assassinat du Docteur Baud à Nemours ou le meurtre de Karine Leroy à Meaux.
L’équipe de la République de Seine-et-Marne s’est replongée dans ces affaires qui pour la plus ancienne remonte à 1796 !
Les Grandes affaires criminelles en Seine-et-Marne, 86 pages, 5€ en kiosques à partir du 30 novembre et par correspondance (chèque de 8€ à l’ordre de La République de Seine-et-Marne-3 bld Victor Hugo-BP22-77001 Melun cedex)
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La République de Seine-et-Marne revient, dans un hors-série, sur 41 grandes affaires criminelles, anciennes, ou plus récentes, qui ont eu lieu en Seine-et-Marne.
Les disparus de la forêt de Fontainebleau, une soirée mortelle dans un club libertin, la mort d’Yves Bourgade, l’arrestation de Jean-Pierre Treiber, la mort de Marie-Christine Hodeau…
Ces affaires, et bien d’autres, ont fait la « une » de votre hebdomadaire. Certaines, comme l’affaire Estelle Mouzin, font toujours l’actualité avec la mise en examen cette semaine du tueur en série Michel Fourniret.
D’autres gardent encore leur part de mystère comme l’assassinat du Docteur Baud à Nemours ou le meurtre de Karine Leroy à Meaux.
L’équipe de la République de Seine-et-Marne s’est replongée dans ces affaires qui pour la plus ancienne remonte à 1796 !
Les Grandes affaires criminelles en Seine-et-Marne, 86 pages, 5€ en kiosques à partir du 30 novembre et par correspondance (chèque de 8€ à l’ordre de La République de Seine-et-Marne-3 bld Victor Hugo-BP22-77001 Melun cedex)
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Re: meurtre de Karine Leroy
Je reprends également cet échange avec Sortcière:
Je ne sais pas sur quelle base ils ont exclu Guardo qui fréquentait la cité de Beauval.
Quant à l'ex, le fils du beau père de Karine, j'ai repris les éléments interpellant le concernant:
L’ex (fils du second mari de la mère de Karine)
1) n’était pas chez lui ce matin là. Il ne travaillait pas.
2) Il refuse de donner un alibi aux enquêteurs.
3) Il a fait de la distribution de prospectus. Les liens de ses prospectus étaient les mêmes que celui retrouvé sur le cou de Karine.
4) Il possède une berline (405) aux pneus larges pouvant correspondre aux traces laissées près du lieu du crime.
5) Après le meurtre de K, il décide de changer les pneus tout neufs et les jantes alors que c’est une personne qui n’a pas trop d’argent.
6) Avait des comportements sexuels « bizarres » . Aurait pu se venger de Karine s’il avait pris qu’elle avait révélé cela.
7) A tenté d’étrangler la maman de Karine.
Le véhicule du suspect a été analysé, mais l’ADN retrouvé est également celui de Nathalie, sa soeur jumelle.
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Parce qu'à la lumière des infos récentes, si les traces de pneus seraient incompatibles avec ceux due Volvo 340/60, ça pourrait matcher si la Volvo est un modèle 740. voir Echanges avec Mike sur le fil principal.
Moi aussi. Ils ont abandonné la piste, mais l'ont-ils vraiment exclue?Sortcière a écrit:Pour ma part je préfèrerais savoir ce qu'est devenu son ex petit ami, où il se trouve et si son adn correspond ou pas avec celui isolé sur Karine.
Je ne sais pas sur quelle base ils ont exclu Guardo qui fréquentait la cité de Beauval.
Quant à l'ex, le fils du beau père de Karine, j'ai repris les éléments interpellant le concernant:
L’ex (fils du second mari de la mère de Karine)
1) n’était pas chez lui ce matin là. Il ne travaillait pas.
2) Il refuse de donner un alibi aux enquêteurs.
3) Il a fait de la distribution de prospectus. Les liens de ses prospectus étaient les mêmes que celui retrouvé sur le cou de Karine.
4) Il possède une berline (405) aux pneus larges pouvant correspondre aux traces laissées près du lieu du crime.
5) Après le meurtre de K, il décide de changer les pneus tout neufs et les jantes alors que c’est une personne qui n’a pas trop d’argent.
6) Avait des comportements sexuels « bizarres » . Aurait pu se venger de Karine s’il avait pris qu’elle avait révélé cela.
7) A tenté d’étrangler la maman de Karine.
Le véhicule du suspect a été analysé, mais l’ADN retrouvé est également celui de Nathalie, sa soeur jumelle.
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Parce qu'à la lumière des infos récentes, si les traces de pneus seraient incompatibles avec ceux due Volvo 340/60, ça pourrait matcher si la Volvo est un modèle 740. voir Echanges avec Mike sur le fil principal.
Re: meurtre de Karine Leroy
Bonjour à tous.
Merci d'avoir ouvert ce fil consacré à Karine.
J'ai suivi cette affaire depuis le début et j'ai toujours pensé que c'était le grêlé.
Toutefois, on ne peut pas accuser sans preuves.
J'espère que les analyses en cours donneront de bons résultats et qu'on y verra plus clair.
Merci d'avoir ouvert ce fil consacré à Karine.
J'ai suivi cette affaire depuis le début et j'ai toujours pensé que c'était le grêlé.
Toutefois, on ne peut pas accuser sans preuves.
J'espère que les analyses en cours donneront de bons résultats et qu'on y verra plus clair.
natacha37000
Re: meurtre de Karine Leroy
Il serait intéressant de savoir si le grêlé fumait toujours en 94.
A-t-il fumé en présence d'ingrid ?
Karine a pu être remarquée par le grêlé lors de son achat de cigarettes au bureau de tabac un peu avant sa disparition.
Elle a pu être suivie par le grêlé , c 'est ce qu'il a fait avec Marianne, et interpellée par ce dernier dans le parking souterrain avant de rejoindre son lycée.
A-t-il fumé en présence d'ingrid ?
Karine a pu être remarquée par le grêlé lors de son achat de cigarettes au bureau de tabac un peu avant sa disparition.
Elle a pu être suivie par le grêlé , c 'est ce qu'il a fait avec Marianne, et interpellée par ce dernier dans le parking souterrain avant de rejoindre son lycée.
natacha37000
Re: meurtre de Karine Leroy
-natacha37000 a écrit:Il serait intéressant de savoir si le grêlé fumait toujours en 94.
A-t-il fumé en présence d'ingrid ?
Karine a pu être remarquée par le grêlé lors de son achat de cigarettes au bureau de tabac un peu avant sa disparition.
Elle a pu être suivie par le grêlé , c 'est ce qu'il a fait avec Marianne, et interpellée par ce dernier dans le parking souterrain avant de rejoindre son lycée.
Il me semble qu'Ingrid ne l'a pas vu cloper l'après-midi du rapt.
C'est dommage qu'il n'ait pas chopé un cancer cette enflure, il aurait douillé.
Invité- Invité
Re: meurtre de Karine Leroy
natacha37000 a écrit:Il serait intéressant de savoir si le grêlé fumait toujours en 94.
A-t-il fumé en présence d'ingrid ?
Karine a pu être remarquée par le grêlé lors de son achat de cigarettes au bureau de tabac un peu avant sa disparition.
Elle a pu être suivie par le grêlé , c 'est ce qu'il a fait avec Marianne, et interpellée par ce dernier dans le parking souterrain avant de rejoindre son lycée.
Bonsoir Natacha,
Le paquet de cigarettes retrouvé près du corps, c'était celui que Karine avait acheté.
J'ai bien l'impression que c'est dans le sous terrain qu'elle a été enlevée.
Re: meurtre de Karine Leroy
Tristann a écrit:
-
Il me semble qu'Ingrid ne l'a pas vu cloper l'après-midi du rapt.
C'est dommage qu'il n'ait pas chopé un cancer cette enflure, il aurait douillé.
Non elle ne l'a pas vu fumer.
Re: meurtre de Karine Leroy
Bonsoir KassandreKassandra88 a écrit:
Bonsoir Natacha,
Le paquet de cigarettes retrouvé près du corps, c'était celui que Karine avait acheté.
J'ai bien l'impression que c'est dans le sous terrain qu'elle a été enlevée.[/color]
je ne comprends pas. Il me semble que les enquêteurs ont dit que Karine était montée dans une voiture
sur une route (en plein air) qui n'était pas isolée de sorte que des cris auraient été entendus.
Qu'est ce qui te faire dire qu'elle a été enlevée dans un souterrain ??
Claire
Claire
Re: meurtre de Karine Leroy
Bonsoir Claire,
Je ne me souviens pas avoir lu "Karine était montée dans une voiture sur une route (en plein air)..." tu es sure que tu ne confonds pas avec Cécile Vallin?
Pour le sous terrain, ce n'est qu'une hypothèse basée sur le fait qu'elle l'empruntait souvent car c'était un raccourci pour rejoindre son école et que ce jour là, elle risquait d'arriver en retard.
Son emploi du temps:
A 9H10, Karine Leroy quitte l’appartement de la tour Cheverny (Meaux) qui n’existe plus aujourd’hui. Elle est aperçue au bureau de tabac du centre Colbert vers 10H10. Elle achète un paquet de cigarettes (Chesterfield d'après la vidéo).
Le bureau de tabac n'est qu'à 300m de l'école mais Karine ne s'y rend pas directement, elle revient sur ses pas (sa soeur la voit depuis la fenêtre parler avec leur père) car doit rencontrer une amie.
Elle repasse devant la Tour Cheverny puis traverse le terre plein central de l’avenue de l’Appel du 18 juin, longe ensuite le trottoir (voir vidéo 6ème minute)) pour aller (on suppose) rejoindre le parking souterrain de la tour Anjou qui était utilisé à l’époque comme raccourci pour traverser une partie de la cité et rejoindre le lycée Jean Vilar.
Ensuite, on perd sa trace. Son premier cours (elle doit assister à une rencontre sportive entre profs et élèves) démarrait à 10H30.
Maintenant, c'est vrai qu'elle a pu sortir à pied du parking et disparaitre ensuite.
Je ne me souviens pas avoir lu "Karine était montée dans une voiture sur une route (en plein air)..." tu es sure que tu ne confonds pas avec Cécile Vallin?
Pour le sous terrain, ce n'est qu'une hypothèse basée sur le fait qu'elle l'empruntait souvent car c'était un raccourci pour rejoindre son école et que ce jour là, elle risquait d'arriver en retard.
Son emploi du temps:
A 9H10, Karine Leroy quitte l’appartement de la tour Cheverny (Meaux) qui n’existe plus aujourd’hui. Elle est aperçue au bureau de tabac du centre Colbert vers 10H10. Elle achète un paquet de cigarettes (Chesterfield d'après la vidéo).
Le bureau de tabac n'est qu'à 300m de l'école mais Karine ne s'y rend pas directement, elle revient sur ses pas (sa soeur la voit depuis la fenêtre parler avec leur père) car doit rencontrer une amie.
Elle repasse devant la Tour Cheverny puis traverse le terre plein central de l’avenue de l’Appel du 18 juin, longe ensuite le trottoir (voir vidéo 6ème minute)) pour aller (on suppose) rejoindre le parking souterrain de la tour Anjou qui était utilisé à l’époque comme raccourci pour traverser une partie de la cité et rejoindre le lycée Jean Vilar.
Ensuite, on perd sa trace. Son premier cours (elle doit assister à une rencontre sportive entre profs et élèves) démarrait à 10H30.
Maintenant, c'est vrai qu'elle a pu sortir à pied du parking et disparaitre ensuite.
Re: meurtre de Karine Leroy
OK Merci Kassandre. Bon ben là je ne sais pas..Kassandra88 a écrit:Bonsoir Claire,
Je ne me souviens pas avoir lu "Karine était montée dans une voiture sur une route (en plein air)..." tu es sure que tu ne confonds pas avec Cécile Vallin?
Pour le sous terrain, ce n'est qu'une hypothèse basée sur le fait qu'elle l'empruntait souvent car c'était un raccourci pour rejoindre son école et que ce jour là, elle risquait d'arriver en retard.
Son emploi du temps:
A 9H10, Karine Leroy quitte l’appartement de la tour Cheverny (Meaux) qui n’existe plus aujourd’hui. Elle est aperçue au bureau de tabac du centre Colbert vers 10H10. Elle achète un paquet de cigarettes (Chesterfield d'après la vidéo).
Le bureau de tabac n'est qu'à 300m de l'école mais Karine ne s'y rend pas directement, elle revient sur ses pas (sa soeur la voit depuis la fenêtre parler avec leur père) car doit rencontrer une amie.
Elle repasse devant la Tour Cheverny puis traverse le terre plein central de l’avenue de l’Appel du 18 juin, longe ensuite le trottoir (voir vidéo 6ème minute)) pour aller (on suppose) rejoindre le parking souterrain de la tour Anjou qui était utilisé à l’époque comme raccourci pour traverser une partie de la cité et rejoindre le lycée Jean Vilar.
Ensuite, on perd sa trace. Son premier cours (elle doit assister à une rencontre sportive entre profs et élèves) démarrait à 10H30.
Maintenant, c'est vrai qu'elle a pu sortir à pied du parking et disparaitre ensuite.
Compte tenu du fait qu'elle avait un cours 15 minutes plus tard, je la vois mal monter d'elle même dans une voiture.. même pour faire 200 m..
Probablement on l'a menacée ou elle a été neutralisée très vite.
En tout cas, je comprends pourquoi les enquêteurs piétinent sur ce dossier.
Claire
Re: meurtre de Karine Leroy
Kassandra88 a écrit:Bonsoir Claire,
Je ne me souviens pas avoir lu "Karine était montée dans une voiture sur une route (en plein air)..." tu es sure que tu ne confonds pas avec Cécile Vallin?
Pour le sous terrain, ce n'est qu'une hypothèse basée sur le fait qu'elle l'empruntait souvent car c'était un raccourci pour rejoindre son école et que ce jour là, elle risquait d'arriver en retard.
Son emploi du temps:
A 9H10, Karine Leroy quitte l’appartement de la tour Cheverny (Meaux) qui n’existe plus aujourd’hui. Elle est aperçue au bureau de tabac du centre Colbert vers 10H10. Elle achète un paquet de cigarettes (Chesterfield d'après la vidéo).
Le bureau de tabac n'est qu'à 300m de l'école mais Karine ne s'y rend pas directement, elle revient sur ses pas (sa soeur la voit depuis la fenêtre parler avec leur père) car doit rencontrer une amie.
Elle repasse devant la Tour Cheverny puis traverse le terre plein central de l’avenue de l’Appel du 18 juin, longe ensuite le trottoir (voir vidéo 6ème minute)) pour aller (on suppose) rejoindre le parking souterrain de la tour Anjou qui était utilisé à l’époque comme raccourci pour traverser une partie de la cité et rejoindre le lycée Jean Vilar.
Ensuite, on perd sa trace. Son premier cours (elle doit assister à une rencontre sportive entre profs et élèves) démarrait à 10H30.
Maintenant, c'est vrai qu'elle a pu sortir à pied du parking et disparaitre ensuite.
Bonjour Kassandra,
1H pour aller de chez elle au bureau de tabac ? Est ce bien normal ? Ce bureau de tabac se trouve à quelle distance, j'avoue que ça m'interroge ...
Dans le tout premier reportage que j'ai vu sur cette affaire (mais je ne me souviens plus lequel) sa soeur Nathalie, de mémoire, ne semblait pas douter beaucoup à l'époque de la culpabilité de l'ex ...
J'avais l'impression que la mère avait plus de mal à envisager cette hypothèse vu qu'il s'agissait du fils de son deuxième mari et qu'elle devait quand même culpabiliser un peu d'avoir éventuellement fait entrer le loup dans la bergerie. C'est pourtant à elle que l'ex s'en prend quand il cherche à l'étrangler. Etrange pulsion d'ailleurs.
Sortcière
Re: meurtre de Karine Leroy
Bonjour Sortcière,
Effectivement, si les cités Beauval (tour Cheverny où résidait Karine) et Pierre Collinet, c'est le même endroit, alors effectivement, se rendre à pied au centre Colbert (buraliste) ne prendrait que 10 min selon google.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Elle a du flâner en route ...
Effectivement, si les cités Beauval (tour Cheverny où résidait Karine) et Pierre Collinet, c'est le même endroit, alors effectivement, se rendre à pied au centre Colbert (buraliste) ne prendrait que 10 min selon google.
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Elle a du flâner en route ...
Re: meurtre de Karine Leroy
Kassandra88 a écrit:natacha37000 a écrit:Il serait intéressant de savoir si le grêlé fumait toujours en 94.
A-t-il fumé en présence d'ingrid ?
Karine a pu être remarquée par le grêlé lors de son achat de cigarettes au bureau de tabac un peu avant sa disparition.
Elle a pu être suivie par le grêlé , c 'est ce qu'il a fait avec Marianne, et interpellée par ce dernier dans le parking souterrain avant de rejoindre son lycée.
Bonsoir Natacha,
Le paquet de cigarettes retrouvé près du corps, c'était celui que Karine avait acheté.
J'ai bien l'impression que c'est dans le sous terrain qu'elle a été enlevée.
Bjr Kassandra,
Effectivement, c'est bien le paquet que Carine a acheté.
Mais qui a fumé la cigarette manquante dans le paquet?
Je penche aussi pour le souterrain pour l'endroit du rapt.
natacha37000
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