qui est il? XVIII
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Re: qui est il? XVIII
ruth a écrit:Sauf que la rue Rubens est minuscule. C'est une sorte de trouée entre deux avenues. On ne s'y donne pas rendez-vous.
On peut se rencontrer dans un squat et passer une soirée a picoler ou a fumer du shit
Slavabogu77
Re: qui est il? XVIII
Kassandra88 a écrit:Slavabogu77 a écrit:
Je pense pas que IM ai noté cette adresse comme etant l’adresse que le G lui ai donné comme etant la sienne (pas grand monde si ce n’est personne donne son adresse a une femme) mais plutot l’adresse ou ils se sont vu ou il la ramené,cest pour ca j’opterai pour l’hypothèse qu’il connaissait et fréquentait ce squat.
"l'adresse où ils se sont rencontrés" pourquoi pas, d'autant plus que le rue Rubens est à 15 min à pieds de la rue de Tolbiac (où Irmgard suivait ses cours de géographie). Cette hypothèse a été formulée par un internaute.
A noter qu'on n'est pas loin non plus de la place d'Italie.
Comme si notre ami qui venait de la grande banlieue parisienne avait atteri dans le 13 eme chez quelqu’un de sa famille,avait commencé ses saloperies tout proche et trainait dans un squat dans le 13 eme pour passer le temps
Slavabogu77
Re: qui est il? XVIII
-Slavabogu77 a écrit:ruth a écrit:Sauf que la rue Rubens est minuscule. C'est une sorte de trouée entre deux avenues. On ne s'y donne pas rendez-vous.
On peut se rencontrer dans un squat et passer une soirée a picoler ou a fumer du shit
Très réaliste, surtout dans les lieux de ce genre dans les années 80' tout le monde est le bienvenu généralement, suffit que le type se ramène avec de la pillave ou de la fumette, ils s'en fichent de qui est qui, ils planent ensemblent pour une soirée ou plus si affinités.
Possible qu'il ait fait la rencontre d'Irmgard Müller dans ce genre d'endroit, je vois mal le grêlé être étudiant à la Sorbonne.
À 20 piges, on est insouciant, et elle avait l'air d'être une fille ouverte d'esprit avec les gens ( sans arrière-pensées malsaine. )
Invité- Invité
Re: qui est il? XVIII
Tristaaan a écrit:-Slavabogu77 a écrit:ruth a écrit:Sauf que la rue Rubens est minuscule. C'est une sorte de trouée entre deux avenues. On ne s'y donne pas rendez-vous.
On peut se rencontrer dans un squat et passer une soirée a picoler ou a fumer du shit
Très réaliste, surtout dans les lieux de ce genre dans les années 80' tout le monde est le bienvenu généralement, suffit que le type se ramène avec de la pillave ou de la fumette, ils s'en fichent de qui est qui, ils planent ensemblent pour une soirée ou plus si affinités.
Possible qu'il ait fait la rencontre d'Irmgard Müller dans ce genre d'endroit, je vois mal le grêlé être étudiant à la Sorbonne.
À 20 piges, on est insouciant, et elle avait l'air d'être une fille ouverte d'esprit avec les gens ( sans arrière-pensées malsaine. )
Peut etre le G etait son dealer,a l’epoque je pense pas de four ou de livreur par snapchat
Slavabogu77
Re: qui est il? XVIII
-Slavabogu77 a écrit:Tristaaan a écrit:-Slavabogu77 a écrit:ruth a écrit:Sauf que la rue Rubens est minuscule. C'est une sorte de trouée entre deux avenues. On ne s'y donne pas rendez-vous.
On peut se rencontrer dans un squat et passer une soirée a picoler ou a fumer du shit
Très réaliste, surtout dans les lieux de ce genre dans les années 80' tout le monde est le bienvenu généralement, suffit que le type se ramène avec de la pillave ou de la fumette, ils s'en fichent de qui est qui, ils planent ensemblent pour une soirée ou plus si affinités.
Possible qu'il ait fait la rencontre d'Irmgard Müller dans ce genre d'endroit, je vois mal le grêlé être étudiant à la Sorbonne.
À 20 piges, on est insouciant, et elle avait l'air d'être une fille ouverte d'esprit avec les gens ( sans arrière-pensées malsaine. )
Peut etre le G etait son dealer,a l’epoque je pense pas de four ou de livreur par snapchat
Les médecins légistes ont-ils communiqué dans la presse sur les résultats toxicologiques d'Irmgard Müller ? Pour de possible trace de THC, ou autres produits psychotropes/ psychoactifs dans son sang ?
Invité- Invité
Re: qui est il? XVIII
Ils en parlent dans un documentaire, ils étaient négatifs les résultats toxicologiques.
Cogiteur75
Re: qui est il? XVIII
La piste s'effondre en partie alors, elle n'était pas consommatrice ( du moins peu de temps avant sa mort.. )
Invité- Invité
Re: qui est il? XVIII
ruth a écrit:Sauf que la rue Rubens est minuscule. C'est une sorte de trouée entre deux avenues. On ne s'y donne pas rendez-vous.
Sauf si pour une raison bien précise, elle était certaine de pouvoir le trouver à cette adresse (ou du moins qu'il la fréquentait).
Le hic avec l'hypothèse "squat" c'est que rien n'indique que IM fréquentait de tels endroits. Ses proches ne l'ont jamais mentionné aux enquêteurs en tout cas.
En revanche, l'adresse aurait pu être à proximité de son lieu de travail / d'étude ou de l'endroit où il habitait. À une époque on évoquait l'hypothèse que le G ait pu fréquenter l'école de photographie juste à côté, je ne sais pas si on a des nouvelles de cette piste ?
Metsec
Re: qui est il? XVIII
Vu le profil de notre ami et son âge éventuel au moment des faits il y a fort a parier qu’il a commencé sa carrière tres jeune,si on en juge son look de l’epoque il est plus proche d’un loubard qu’un bobo du 16 qui bouffe du pain sans gluten.
Quant a sa carte de police en admettant qu’elle soit vraie alors on a trois solutions soit il est flic, soit il a un proche qui est flic soit il fait les cartes de par son activité professionnel.
Si elle est fausse alors soit il les fait et il doit en faire un minimum commerce, soit il connaît quelqu’un qui fait des faux faf,si on ajoute a ca les faux flingues alors il connait également quelqu’un il a des relations et ces relations sont plus facile pour un mec de sevran qu’un mec du 16, en tout cas moi je peux vous garantir que dans la cité ou j’ai grandi tout le monde sait ou se procurer des flingues et des faux papiers.
Le profil banlieusard de part le fait qu’il ai laissé la voiture des parents de cyril dans une ville de grande banlieue,qu’il connait mitry mory et sa connaissance des caves me parait fort probable.
Quant a sa carte de police en admettant qu’elle soit vraie alors on a trois solutions soit il est flic, soit il a un proche qui est flic soit il fait les cartes de par son activité professionnel.
Si elle est fausse alors soit il les fait et il doit en faire un minimum commerce, soit il connaît quelqu’un qui fait des faux faf,si on ajoute a ca les faux flingues alors il connait également quelqu’un il a des relations et ces relations sont plus facile pour un mec de sevran qu’un mec du 16, en tout cas moi je peux vous garantir que dans la cité ou j’ai grandi tout le monde sait ou se procurer des flingues et des faux papiers.
Le profil banlieusard de part le fait qu’il ai laissé la voiture des parents de cyril dans une ville de grande banlieue,qu’il connait mitry mory et sa connaissance des caves me parait fort probable.
Slavabogu77
Re: qui est il? XVIII
C'est quasiment sûr, comme déjà évoqué avant, il a sûrement commis des petits vols à la roulotte etc, des petites combines, vendre du jaune, ou de la blanche pour les bobos du 16e arrondissements Neuilly etc, je le vois bien tenir ce genre de rôle être une sorte d'invité mystère qui a toujours le bon produit pour tripper..
Ensuite vers 20-25 ans piges il gagne en assurance et passe aux choses "sérieuses" c'est un pédophile avant tout.
Pour la carte de police ou de gendarmerie, les anciens membres du forum ont fait un gros taff de recherche avec la description du grêlé mais rien.. Idem pour les enquêteurs.
Cela n'engage que moi, mais le fait qu'il vouvoie, et demande une carte d'identité à des gamines ne colle pas aux pratiques d'un bon keuf.
Un vrai keuf, il va tutoyer pour mettre à l'aise l'enfant, et il sait pertinemment qu'à 10 ans environ, aucun enfant ne se balade avec sa carte d'identité tranquillou.. Question de bon sens.
Il doit avoir des contacts avec des faussaires, ou il est lui-même faussaire, je ne vois que cela pour expliquer les fausses cartes...
Ensuite vers 20-25 ans piges il gagne en assurance et passe aux choses "sérieuses" c'est un pédophile avant tout.
Pour la carte de police ou de gendarmerie, les anciens membres du forum ont fait un gros taff de recherche avec la description du grêlé mais rien.. Idem pour les enquêteurs.
Cela n'engage que moi, mais le fait qu'il vouvoie, et demande une carte d'identité à des gamines ne colle pas aux pratiques d'un bon keuf.
Un vrai keuf, il va tutoyer pour mettre à l'aise l'enfant, et il sait pertinemment qu'à 10 ans environ, aucun enfant ne se balade avec sa carte d'identité tranquillou.. Question de bon sens.
Il doit avoir des contacts avec des faussaires, ou il est lui-même faussaire, je ne vois que cela pour expliquer les fausses cartes...
Invité- Invité
Re: qui est il? XVIII
Tristaaan a écrit:C'est quasiment sûr, comme déjà évoqué avant, il a sûrement commis des petits vols à la roulotte etc, des petites combines, vendre du jaune, ou de la blanche pour les bobos du 16e arrondissements Neuilly etc, je le vois bien tenir ce genre de rôle être une sorte d'invité mystère qui a toujours le bon produit pour tripper..
Ensuite vers 20-25 ans piges il gagne en assurance et passe aux choses "sérieuses" c'est un pédophile avant tout.
Pour la carte de police ou de gendarmerie, les anciens membres du forum ont fait un gros taff de recherche avec la description du grêlé mais rien.. Idem pour les enquêteurs.
Cela n'engage que moi, mais le fait qu'il vouvoie, et demande une carte d'identité à des gamines ne colle pas aux pratiques d'un bon keuf.
Un vrai keuf, il va tutoyer pour mettre à l'aise l'enfant, et il sait pertinemment qu'à 10 ans environ, aucun enfant ne se balade avec sa carte d'identité tranquillou.. Question de bon sens.
Il doit avoir des contacts avec des faussaires, ou il est lui-même faussaire, je ne vois que cela pour expliquer les fausses cartes...
Exactement
Cest ce que je pense, il a jamais ete keuf,je le vois venant de la banlieue ayant baigné dans les mauvais coup de petit con et ensuite ayant vraiment mal tourné, il a connu paris et a du faire plein d’autres saloperies la bas, peut etre meme qu’il est mort dans une sale affaire qui sait.
Je sais plus qui avait dit que dans une lettre anonyme le G avait été désigné comme jean pierre flahaut celui qui c’était désigné comme coupable dans l’affaire de bruay en artois.Le profil colle bien,on sait pas ce qu’est devenu ce type mais dans un article il est noté qu’il etait sorti de prison plus desaxé que jamais.
Slavabogu77
Re: qui est il? XVIII
-Slavabogu77 a écrit:Tristaaan a écrit:C'est quasiment sûr, comme déjà évoqué avant, il a sûrement commis des petits vols à la roulotte etc, des petites combines, vendre du jaune, ou de la blanche pour les bobos du 16e arrondissements Neuilly etc, je le vois bien tenir ce genre de rôle être une sorte d'invité mystère qui a toujours le bon produit pour tripper..
Ensuite vers 20-25 ans piges il gagne en assurance et passe aux choses "sérieuses" c'est un pédophile avant tout.
Pour la carte de police ou de gendarmerie, les anciens membres du forum ont fait un gros taff de recherche avec la description du grêlé mais rien.. Idem pour les enquêteurs.
Cela n'engage que moi, mais le fait qu'il vouvoie, et demande une carte d'identité à des gamines ne colle pas aux pratiques d'un bon keuf.
Un vrai keuf, il va tutoyer pour mettre à l'aise l'enfant, et il sait pertinemment qu'à 10 ans environ, aucun enfant ne se balade avec sa carte d'identité tranquillou.. Question de bon sens.
Il doit avoir des contacts avec des faussaires, ou il est lui-même faussaire, je ne vois que cela pour expliquer les fausses cartes...
Exactement
Cest ce que je pense, il a jamais ete keuf,je le vois venant de la banlieue ayant baigné dans les mauvais coup de petit con et ensuite ayant vraiment mal tourné, il a connu paris et a du faire plein d’autres saloperies la bas, peut etre meme qu’il est mort dans une sale affaire qui sait.
Je sais plus qui avait dit que dans une lettre anonyme le G avait été désigné comme jean pierre flahaut celui qui c’était désigné comme coupable dans l’affaire de bruay en artois.Le profil colle bien,on sait pas ce qu’est devenu ce type mais dans un article il est noté qu’il etait sorti de prison plus desaxé que jamais.
Tu penses qu'il habitait non loin des premières agressions ?!
Moi je pense que oui, la banlieue proche dans le 93 92 pas trop près, mais pas trop loin non plus ( zone de replie )
Invité- Invité
Re: qui est il? XVIII
Tristaaan a écrit:-Slavabogu77 a écrit:Tristaaan a écrit:C'est quasiment sûr, comme déjà évoqué avant, il a sûrement commis des petits vols à la roulotte etc, des petites combines, vendre du jaune, ou de la blanche pour les bobos du 16e arrondissements Neuilly etc, je le vois bien tenir ce genre de rôle être une sorte d'invité mystère qui a toujours le bon produit pour tripper..
Ensuite vers 20-25 ans piges il gagne en assurance et passe aux choses "sérieuses" c'est un pédophile avant tout.
Pour la carte de police ou de gendarmerie, les anciens membres du forum ont fait un gros taff de recherche avec la description du grêlé mais rien.. Idem pour les enquêteurs.
Cela n'engage que moi, mais le fait qu'il vouvoie, et demande une carte d'identité à des gamines ne colle pas aux pratiques d'un bon keuf.
Un vrai keuf, il va tutoyer pour mettre à l'aise l'enfant, et il sait pertinemment qu'à 10 ans environ, aucun enfant ne se balade avec sa carte d'identité tranquillou.. Question de bon sens.
Il doit avoir des contacts avec des faussaires, ou il est lui-même faussaire, je ne vois que cela pour expliquer les fausses cartes...
Exactement
Cest ce que je pense, il a jamais ete keuf,je le vois venant de la banlieue ayant baigné dans les mauvais coup de petit con et ensuite ayant vraiment mal tourné, il a connu paris et a du faire plein d’autres saloperies la bas, peut etre meme qu’il est mort dans une sale affaire qui sait.
Je sais plus qui avait dit que dans une lettre anonyme le G avait été désigné comme jean pierre flahaut celui qui c’était désigné comme coupable dans l’affaire de bruay en artois.Le profil colle bien,on sait pas ce qu’est devenu ce type mais dans un article il est noté qu’il etait sorti de prison plus desaxé que jamais.
Tu penses qu'il habitait non loin des premières agressions ?!
Moi je pense que oui, la banlieue proche dans le 93 92 pas trop près, mais pas trop loin non plus ( zone de replie )
Je pense qu’ il avait un point de chute dans le 13eme la ou il a officiellement commencé son parcours mais que c’est pas la d’ou il vient, je pense qu’il vient du 77 ou du 93
Slavabogu77
Re: qui est il? XVIII
S'ils l'identifient un jour, cela serait intéressant de connaître son parcours de vie ( plus particulièrement l'enfance - adolescence )
Les tueurs en série psychopathes - sociopathes sadiques ont pour point en commun dans dans leur enfance/adolescence :
- la cruauté envers les animaux
- la pyromanie ( impulsion obsédante qui pousse à allumer des incendies. )
- avoir subi des sévices à caractère sexuel ( attouchements/viols. )
- des humiliations ( pendant les années d'école/lycée. )
- famille pathogène, ( carence affective grave, père absent/alcoolique/violent, mère absente/surprotectrice/pute. )
- énurésie nocturne ( jusqu'à l'adolescence où l'âge adulte. )
- homosexualité refoulée.
Bon après il y a des exceptions, ce n'est pas du 100%, mais c'est relativement fiable tout de même..
Les tueurs en série psychopathes - sociopathes sadiques ont pour point en commun dans dans leur enfance/adolescence :
- la cruauté envers les animaux
- la pyromanie ( impulsion obsédante qui pousse à allumer des incendies. )
- avoir subi des sévices à caractère sexuel ( attouchements/viols. )
- des humiliations ( pendant les années d'école/lycée. )
- famille pathogène, ( carence affective grave, père absent/alcoolique/violent, mère absente/surprotectrice/pute. )
- énurésie nocturne ( jusqu'à l'adolescence où l'âge adulte. )
- homosexualité refoulée.
Bon après il y a des exceptions, ce n'est pas du 100%, mais c'est relativement fiable tout de même..
Invité- Invité
Re: qui est il? XVIII
Tristaaan a écrit:S'ils l'identifient un jour, cela serait intéressant de connaître son parcours de vie ( plus particulièrement l'enfance - adolescence )
Les tueurs en série psychopathes - sociopathes sadiques ont pour point en commun dans dans leur enfance/adolescence :
- la cruauté envers les animaux
- la pyromanie ( impulsion obsédante qui pousse à allumer des incendies. )
- avoir subi des sévices à caractère sexuel ( attouchements/viols. )
- des humiliations ( pendant les années d'école/lycée. )
- famille pathogène, ( carence affective grave, père absent/alcoolique/violent, mère absente/surprotectrice/pute. )
- énurésie nocturne ( jusqu'à l'adolescence où l'âge adulte. )
- homosexualité refoulée.
Bon après il y a des exceptions, ce n'est pas du 100%, mais c'est relativement fiable tout de même..
Cest presque sur qu’il ya eu des gros disfonctionnements dans sa famille, on devient pas un détraqué comme ca par l’opération du saint esprit.
Qu’il a volé, braqué cest presque certains.
Viol et attouchement oui je pense aussi,presque certainement qu’il a commencé dans son entourage proche.
Je pense que oui il a eu un pere absent voir violent, mais cest surtout sa mere qui est le coeur du problème, peut etre meme que cest a elle qu’il a donné tous les trucs qu’il a volé, il a une relation malsaine avec elle.
Je sais pas ce qu’il a eu dans sa vie avant mais il a du se passer quelque chose de cruciale quant a sa maniere d’etre, la facon dont il a tué 3 personnes alors agé de 25 ans max ca ne s’apprend pas et ne vient pas naturellement.
Je pense aussi qu’il a fait de la prison, soit pour adulte soit maison de redressement et que dans cet endroit il a di être confronté a une violence inouie a son encontre sans doute car il etait la comme pointeur et que cest le traitement qu’on reserve aux pointeurs en prison, peut etre que cetait a l’armée mais je pense qu’il a pris tres cher quelque part et ca a joué sur son développement.
Slavabogu77
Re: qui est il? XVIII
Slavabogu77 a écrit:Kassandra88 a écrit:Slavabogu77 a écrit:
Cest mon impression aussi et je pense qu’on est pas les seuls, ce n’est pas normal que la plupart des français connaissent rien de cette affaire qui concernent quand meme l’un des pires ou peut etre le pire tueur en serie francais et jamais identifié et connaisse tout de Jonathan daval par exemple.Qu’il y’ai peu de médiatisation est voulu a mon avis.
Bonjour,
Il y a énormément de Français qui ne s'intéressent pas aux faits divers, et parmi ceux qui s'y intéressent, ne vont se manifester que les personnes qui pensent avoir reconnu quelqu'un.
Il y a un peu plus de 900 membres sur ce forum (et encore, il y en a que se sont inscrits mais qui ne se sont jamais connectés) mais il y en a énormément qui s'intéressent à d'autres sujets que le grêlé.
"Daval" Les gens préfèrent probablement s'exprimer sur les affaires récentes: des articles sont publiés en fonction de l'avancement de l'enquête, puis il y a les réseaux sociaux qui s'en mêlent, mais surtout des personnes concernées de près ou de loin qui s'expriment.
Faites l’expérience, demandez autour de vous a 10 personnes si ils connaissent l’affaire du Grelé et vous verrez
Par contre demandez si ils connaissent l’affaire Dutroux ou Guy Georges et vous verrez que les gens connaissent.
Bonjour
J'ai demandé autour de moi si ils connaissaient cette affaire même à ma mère. Ils n'ont jamais entendu parlé de ce grêlé...
Ce qui m'a toujours interrogé.. C'est comment avec une telle peau tu passes inaperçu ????
C'est impossible que personne n'ait rien vu ??? Et ne le reconnaisse pas ! Il a faut de la chirurgie. Un traitement ou quoi ???
Invité- Invité
Re: qui est il? XVIII
La discrète a écrit:Slavabogu77 a écrit:Kassandra88 a écrit:Slavabogu77 a écrit:
Cest mon impression aussi et je pense qu’on est pas les seuls, ce n’est pas normal que la plupart des français connaissent rien de cette affaire qui concernent quand meme l’un des pires ou peut etre le pire tueur en serie francais et jamais identifié et connaisse tout de Jonathan daval par exemple.Qu’il y’ai peu de médiatisation est voulu a mon avis.
Bonjour,
Il y a énormément de Français qui ne s'intéressent pas aux faits divers, et parmi ceux qui s'y intéressent, ne vont se manifester que les personnes qui pensent avoir reconnu quelqu'un.
Il y a un peu plus de 900 membres sur ce forum (et encore, il y en a que se sont inscrits mais qui ne se sont jamais connectés) mais il y en a énormément qui s'intéressent à d'autres sujets que le grêlé.
"Daval" Les gens préfèrent probablement s'exprimer sur les affaires récentes: des articles sont publiés en fonction de l'avancement de l'enquête, puis il y a les réseaux sociaux qui s'en mêlent, mais surtout des personnes concernées de près ou de loin qui s'expriment.
Faites l’expérience, demandez autour de vous a 10 personnes si ils connaissent l’affaire du Grelé et vous verrez
Par contre demandez si ils connaissent l’affaire Dutroux ou Guy Georges et vous verrez que les gens connaissent.
Bonjour
J'ai demandé autour de moi si ils connaissaient cette affaire même à ma mère. Ils n'ont jamais entendu parlé de ce grêlé...
Ce qui m'a toujours interrogé.. C'est comment avec une telle peau tu passes inaperçu ????
C'est impossible que personne n'ait rien vu ??? Et ne le reconnaisse pas ! Il a faut de la chirurgie. Un traitement ou quoi ???
Ca reste mon avis mais cest impossible que des gens ne le connaissent pas, il a forcément une famille,des collegues, parmi eux sans doute quelqu’un a ete au courant et a fait le rapprochement.
Des gens savent mais se taisent
Slavabogu77
Re: qui est il? XVIII
La discrète a écrit:
Bonjour
J'ai demandé autour de moi si ils connaissaient cette affaire même à ma mère. Ils n'ont jamais entendu parlé de ce grêlé...
Ce qui m'a toujours interrogé.. C'est comment avec une telle peau tu passes inaperçu ????
C'est impossible que personne n'ait rien vu ??? Et ne le reconnaisse pas ! Il a faut de la chirurgie. Un traitement ou quoi ???
Bonjour la discrète,
Bonjour à tous,
Pour ce qui est de la peau, nous en avons souvent discuté. Toutes les victimes ne décrivent pas une vilaine peau. Il s'agirait plutôt d'une irruption de boutons passagère. (Acné? Allergie? réaction médicamenteuse?).
Ca n'est donc pas un critère pour le reconnaitre.
Tu as bien fait d'en parler à ton entourage.
Re: qui est il? XVIII
Un article sûrement déjà publier, mais fort intéressant :
Le fichier des empreintes génétiques a 20 ans
Plus de 3 millions de personnes identifiées sont recensées dans le Fichier national automatisé des empreintes génétiques. Retour sur une révolution policière, judiciaire et scientifique.
C'est l'histoire d'un fichier conçu en 1998 sur les braises encore brûlantes de l'affaire Guy Georges. Le violeur et tueur en série de l'Est parisien, qui sera reconnu coupable de sept meurtres, est passé trop longtemps entre les mailles de la police. Il est finalement interpellé le 26 mars 1998. A cette date, l'idée d'une base de données génétiques est déjà dans l'air mais elle se heurte à l'opposition des défenseurs des libertés individuelles. L'affaire Guy Georges sert de catalyseur : trois mois après cette arrestation, en juin 1998, une loi est votée à l'assemblée nationale. Dans le sillage du Royaume-Uni, précurseur en la matière, la France se dote, elle aussi, d'un fichier ad hoc. Mais il faut attendre le 18 mai 2000 pour voir paraître son décret d'application. C'est l'acte de naissance officiel du FNAEG.
Aujourd'hui, le fichier français contient le profil génétique de plus de 3,3 millions de personnes identifiées. Comme certaines d'entre elles ont dû se soumettre plusieurs fois à des prélèvements au fil des vingt dernières années, le fichier comprend plus de 4,6 millions de profils « individus ». Majeures ou mineures, françaises ou étrangères, de sexe masculin ou féminin, ces personnes ont été impliquées dans un crime ou un délit.
L'immense majorité d'entre elles (87 %) n'ont été que mises en cause : des indices graves ou concordants ont pesé sur elles à un moment donné. Les autres, les 13 % restants, sont des personnes condamnées. Par ailleurs, le FNAEG contient 660 000 traces inconnues. Leurs « propriétaires » ne sont pas identifiés mais ces traces ADN sont loin d'être inutiles. Elles peuvent permettre de procéder à des rapprochements et de comprendre, par exemple, que l'auteur d'un vol avec violence a probablement agi dans plusieurs régions différentes.
Limité d'abord aux affaires de meurtres et de délits sexuels, le FNAEG a été rapidement étendu aux personnes condamnées dans les affaires d'homicides involontaires, de terrorisme et de grand banditisme. La loi du 19 mars 2003 élargit ensuite le fichier à tous les mis en cause dans des affaires d'atteintes aux biens et aux personnes (NDLR : proxénétisme, trafic d'armes et de stupéfiants ou encore les dégradations de mobilier urbain etc.). En 2013, le ministère de la Justice refuse son extension aux délits financiers et routiers.
D'une scène de crime au FNAEG
Sur une scène de crime ou de délit, les sources potentielles d'ADN (NDLR : acide désoxyribonucléique) sont de deux types. Soit il existe des objets disponibles (NDLR : une arme, un mégot de cigarette, un morceau de verre, un drap ou un sous-vêtement par exemple). Ils sont alors placés sous scellés puis expédiés dans un laboratoire spécialisé. Un minuscule morceau de peau ou une simple goutte de sang, de salive, de sueur ou de sperme, peut ensuite « parler ». Soit encore les policiers scientifiques, souvent reconnaissables à leurs combinaisons blanches, procèdent à des prélèvements à l'aide d'écouvillons frottés sur des surfaces inertes comme les portes ou les fenêtres.
Une fois au labo, l'ADN est extrait de ces objets ou prélèvements puis analysé lorsque c'est possible. Il arrive en effet que la trace ADN ne soit pas assez riche ou mélangée à celle d'un autre individu. Dans un cas favorable, le FNAEG reçoit de la part du laboratoire un profil génétique composé d'une suite de nombres. Chacun correspond à un marqueur génétique. « Le moteur de recherche du fichier procède à une comparaison avec la base de données, détaille Florence Mouraret, cheffe du pôle central d'identité judiciaire au siège de la Police technique et scientifique à Ecully (Rhône). S'il trouve des concordances avec un profil déjà existant dans la base, il va proposer un éventuel rapprochement, soit avec une trace inconnue soit avec une personne identifiée. C'est ce qui se passe dans 44 % des cas. Ensuite, l'agent du FNAEG réalise une vérification du résultat et transmet cette proposition au service requérant (police, gendarmerie ou magistrat). Laquelle est validée ou non par un expert en biologie ». Ce processus peut prendre plusieurs jours ou plusieurs semaines… ou seulement deux heures « en cas d'urgence », typiquement pour une affaire de terrorisme ou de crime odieux.
Vices et vertus du fichier
Souvent présenté comme « la reine des preuves », l'ADN est un outil à manier avec précaution. « L'ADN n'est qu'un indice, à charge ou à décharge, susceptible d'orienter les enquêteurs. Ce n'est pas la preuve absolue », prévient Florence Mouraret. Voilà pour la théorie. « Une fois que l'ADN a parlé, c'est à l'accusé (NDLR : présumé innocent) de prouver qu'il y a eu une erreur, réplique Me Francesca Satta, auteur d'une thèse « Génétique et droit pénal ». Les contre-expertises génétiques coûtent cher et à défaut d'un avocat compétent prêt à contester les résultats scientifiquement prouvés, il est quasiment impossible de parvenir à démontrer son innocence ».
En 2011, Me Satta a défendu Abelaziz Seridi, un homme accusé du meurtre de sa petite amie à Royan, en 2007. L'avocate a obtenu l'acquittement en démontrant l'existence d'un doute sérieux sur la datation des traces ADN laissées par son client sur le jean de la victime. « Le FNAEG est un outil précieux pour identifier des tueurs ou des agresseurs, reconnaît Me Didier Seban, avocat du père d' Elodie Kulik, violée et tuée en 2002. Le danger est de le considérer comme le seul outil d'enquête. La possibilité de confondre des coupables grâce au FNAEG ne doit pas exonérer d'un vrai travail d'enquête ».
Du côté des services d'enquête, l'analyse est beaucoup moins nuancée. « Dans les « cold case » en particulier, le FNAEG est primordial, estime un policier de l'Office central pour la répression des violences aux personnes (OCRVP). A chaque fois que l'on reprend une affaire ancienne non élucidée, la première question consiste à savoir si l'on a de l'ADN disponible et si tous les scellés ont été exploités. Parfois, en réanalysant certains scellés, on parvient à prélever de nouvelles traces. En ce sens, la création du FNAEG a été une révolution pour la police judiciaire ».
La mère de Christelle Bletry, assassinée en 1996, peut en témoigner. Le coupable a été retrouvé en 2014, après avoir été enregistré au FNAEG dix ans plus tôt. « Sans ce fichier, c'est une évidence pour moi, jamais l'assassin de ma fille n'aurait été retrouvé par les enquêteurs, souffle Marie-Rose Blétry. C'est à se demander si on ne devrait pas tous être enregistrés dans ce fichier ». Ce n'est pas tout à fait dans l'air du temps.
Des pistes d'évolution, pour le meilleur… ou pour le pire
Depuis quelques mois, un projet de décret navigue entre le ministère de l'Intérieur et la commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL). Il prévoit un raccourcissement des durées de conservation des données génétiques en fonction de l'âge des personnes fichées et de la gravités des délits. Il est aussi question d'étendre le fichier aux personnes disparues et aux personnes décédées sans identité. L'utilisation du FNAEG se ferait alors dans un cadre civil ou administratif, hors du judiciaire.
Reste surtout à savoir jusqu'où ira la finesse des analyses ADN diligentées pour renseigner le FNAEG. En 2018, la liste des marqueurs génétiques autorisés s'est allongée de 19 à 26, sans déborder sur les brins d'ADN dits « codants », ceux qui donnent accès aux caractéristiques physiques visibles des individus. Une digue éthique qui résiste bien pour l'instant. Mais dans le même temps, la technique et la science avancent. A partir d'une trace ADN laissée par une personne, il est désormais possible de déterminer la couleur de sa peau, de ses yeux et de ses cheveux, l'existence de taches de rousseur ou encore sa propension à développer une calvitie.
Ces « portraits-robots génétiques » sont déjà utilisés sur demande d'un juge d'instruction mais seulement dans des cas très précis et hors du cadre du FNAEG. « C'est l'outil de la dernière chance lorsqu'une affaire grave se retrouve dans l'impasse », décode Florence Mouraret. Pour l'instant, la loi n'autorise pas le fichage des données recueillies par ce biais. Mais dans vingt ans ?
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Le fichier des empreintes génétiques a 20 ans
Plus de 3 millions de personnes identifiées sont recensées dans le Fichier national automatisé des empreintes génétiques. Retour sur une révolution policière, judiciaire et scientifique.
C'est l'histoire d'un fichier conçu en 1998 sur les braises encore brûlantes de l'affaire Guy Georges. Le violeur et tueur en série de l'Est parisien, qui sera reconnu coupable de sept meurtres, est passé trop longtemps entre les mailles de la police. Il est finalement interpellé le 26 mars 1998. A cette date, l'idée d'une base de données génétiques est déjà dans l'air mais elle se heurte à l'opposition des défenseurs des libertés individuelles. L'affaire Guy Georges sert de catalyseur : trois mois après cette arrestation, en juin 1998, une loi est votée à l'assemblée nationale. Dans le sillage du Royaume-Uni, précurseur en la matière, la France se dote, elle aussi, d'un fichier ad hoc. Mais il faut attendre le 18 mai 2000 pour voir paraître son décret d'application. C'est l'acte de naissance officiel du FNAEG.
Aujourd'hui, le fichier français contient le profil génétique de plus de 3,3 millions de personnes identifiées. Comme certaines d'entre elles ont dû se soumettre plusieurs fois à des prélèvements au fil des vingt dernières années, le fichier comprend plus de 4,6 millions de profils « individus ». Majeures ou mineures, françaises ou étrangères, de sexe masculin ou féminin, ces personnes ont été impliquées dans un crime ou un délit.
L'immense majorité d'entre elles (87 %) n'ont été que mises en cause : des indices graves ou concordants ont pesé sur elles à un moment donné. Les autres, les 13 % restants, sont des personnes condamnées. Par ailleurs, le FNAEG contient 660 000 traces inconnues. Leurs « propriétaires » ne sont pas identifiés mais ces traces ADN sont loin d'être inutiles. Elles peuvent permettre de procéder à des rapprochements et de comprendre, par exemple, que l'auteur d'un vol avec violence a probablement agi dans plusieurs régions différentes.
Limité d'abord aux affaires de meurtres et de délits sexuels, le FNAEG a été rapidement étendu aux personnes condamnées dans les affaires d'homicides involontaires, de terrorisme et de grand banditisme. La loi du 19 mars 2003 élargit ensuite le fichier à tous les mis en cause dans des affaires d'atteintes aux biens et aux personnes (NDLR : proxénétisme, trafic d'armes et de stupéfiants ou encore les dégradations de mobilier urbain etc.). En 2013, le ministère de la Justice refuse son extension aux délits financiers et routiers.
D'une scène de crime au FNAEG
Sur une scène de crime ou de délit, les sources potentielles d'ADN (NDLR : acide désoxyribonucléique) sont de deux types. Soit il existe des objets disponibles (NDLR : une arme, un mégot de cigarette, un morceau de verre, un drap ou un sous-vêtement par exemple). Ils sont alors placés sous scellés puis expédiés dans un laboratoire spécialisé. Un minuscule morceau de peau ou une simple goutte de sang, de salive, de sueur ou de sperme, peut ensuite « parler ». Soit encore les policiers scientifiques, souvent reconnaissables à leurs combinaisons blanches, procèdent à des prélèvements à l'aide d'écouvillons frottés sur des surfaces inertes comme les portes ou les fenêtres.
Une fois au labo, l'ADN est extrait de ces objets ou prélèvements puis analysé lorsque c'est possible. Il arrive en effet que la trace ADN ne soit pas assez riche ou mélangée à celle d'un autre individu. Dans un cas favorable, le FNAEG reçoit de la part du laboratoire un profil génétique composé d'une suite de nombres. Chacun correspond à un marqueur génétique. « Le moteur de recherche du fichier procède à une comparaison avec la base de données, détaille Florence Mouraret, cheffe du pôle central d'identité judiciaire au siège de la Police technique et scientifique à Ecully (Rhône). S'il trouve des concordances avec un profil déjà existant dans la base, il va proposer un éventuel rapprochement, soit avec une trace inconnue soit avec une personne identifiée. C'est ce qui se passe dans 44 % des cas. Ensuite, l'agent du FNAEG réalise une vérification du résultat et transmet cette proposition au service requérant (police, gendarmerie ou magistrat). Laquelle est validée ou non par un expert en biologie ». Ce processus peut prendre plusieurs jours ou plusieurs semaines… ou seulement deux heures « en cas d'urgence », typiquement pour une affaire de terrorisme ou de crime odieux.
Vices et vertus du fichier
Souvent présenté comme « la reine des preuves », l'ADN est un outil à manier avec précaution. « L'ADN n'est qu'un indice, à charge ou à décharge, susceptible d'orienter les enquêteurs. Ce n'est pas la preuve absolue », prévient Florence Mouraret. Voilà pour la théorie. « Une fois que l'ADN a parlé, c'est à l'accusé (NDLR : présumé innocent) de prouver qu'il y a eu une erreur, réplique Me Francesca Satta, auteur d'une thèse « Génétique et droit pénal ». Les contre-expertises génétiques coûtent cher et à défaut d'un avocat compétent prêt à contester les résultats scientifiquement prouvés, il est quasiment impossible de parvenir à démontrer son innocence ».
En 2011, Me Satta a défendu Abelaziz Seridi, un homme accusé du meurtre de sa petite amie à Royan, en 2007. L'avocate a obtenu l'acquittement en démontrant l'existence d'un doute sérieux sur la datation des traces ADN laissées par son client sur le jean de la victime. « Le FNAEG est un outil précieux pour identifier des tueurs ou des agresseurs, reconnaît Me Didier Seban, avocat du père d' Elodie Kulik, violée et tuée en 2002. Le danger est de le considérer comme le seul outil d'enquête. La possibilité de confondre des coupables grâce au FNAEG ne doit pas exonérer d'un vrai travail d'enquête ».
Du côté des services d'enquête, l'analyse est beaucoup moins nuancée. « Dans les « cold case » en particulier, le FNAEG est primordial, estime un policier de l'Office central pour la répression des violences aux personnes (OCRVP). A chaque fois que l'on reprend une affaire ancienne non élucidée, la première question consiste à savoir si l'on a de l'ADN disponible et si tous les scellés ont été exploités. Parfois, en réanalysant certains scellés, on parvient à prélever de nouvelles traces. En ce sens, la création du FNAEG a été une révolution pour la police judiciaire ».
La mère de Christelle Bletry, assassinée en 1996, peut en témoigner. Le coupable a été retrouvé en 2014, après avoir été enregistré au FNAEG dix ans plus tôt. « Sans ce fichier, c'est une évidence pour moi, jamais l'assassin de ma fille n'aurait été retrouvé par les enquêteurs, souffle Marie-Rose Blétry. C'est à se demander si on ne devrait pas tous être enregistrés dans ce fichier ». Ce n'est pas tout à fait dans l'air du temps.
Des pistes d'évolution, pour le meilleur… ou pour le pire
Depuis quelques mois, un projet de décret navigue entre le ministère de l'Intérieur et la commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL). Il prévoit un raccourcissement des durées de conservation des données génétiques en fonction de l'âge des personnes fichées et de la gravités des délits. Il est aussi question d'étendre le fichier aux personnes disparues et aux personnes décédées sans identité. L'utilisation du FNAEG se ferait alors dans un cadre civil ou administratif, hors du judiciaire.
Reste surtout à savoir jusqu'où ira la finesse des analyses ADN diligentées pour renseigner le FNAEG. En 2018, la liste des marqueurs génétiques autorisés s'est allongée de 19 à 26, sans déborder sur les brins d'ADN dits « codants », ceux qui donnent accès aux caractéristiques physiques visibles des individus. Une digue éthique qui résiste bien pour l'instant. Mais dans le même temps, la technique et la science avancent. A partir d'une trace ADN laissée par une personne, il est désormais possible de déterminer la couleur de sa peau, de ses yeux et de ses cheveux, l'existence de taches de rousseur ou encore sa propension à développer une calvitie.
Ces « portraits-robots génétiques » sont déjà utilisés sur demande d'un juge d'instruction mais seulement dans des cas très précis et hors du cadre du FNAEG. « C'est l'outil de la dernière chance lorsqu'une affaire grave se retrouve dans l'impasse », décode Florence Mouraret. Pour l'instant, la loi n'autorise pas le fichage des données recueillies par ce biais. Mais dans vingt ans ?
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Invité- Invité
Re: qui est il? XVIII
Est ce exact que lors de l’agression d’Ingrid il ne portait ni chaussettes ni caleçons ?
Slavabogu77
Re: qui est il? XVIII
Ou avez-vous lu cela ?!
Il y a des trucs qui ne sont pas clairs, lors de cette agression notamment : sur la tenue vestimentaire, et les caractéristiques de sa Volvo.
Déjà le fait que dans la Volvo du grêlé il n'y avait pas de siège-auto pour enfant en bas-âge a été confirmé.
Il y a des trucs qui ne sont pas clairs, lors de cette agression notamment : sur la tenue vestimentaire, et les caractéristiques de sa Volvo.
Déjà le fait que dans la Volvo du grêlé il n'y avait pas de siège-auto pour enfant en bas-âge a été confirmé.
Invité- Invité
Re: qui est il? XVIII
Slavabogu77 a écrit:Est ce exact que lors de l’agression d’Ingrid il ne portait ni chaussettes ni caleçons ?
Il ne portait pas de slip, je confirme.
Quant aux chaussettes, je n'en sais rien.
Re: qui est il? XVIII
Tristaaan a écrit:
Déjà le fait que dans la Volvo du grêlé il n'y avait pas de siège-auto pour enfant en bas-âge a été confirmé.
Pas de siège auto, ça signifie simplement que son propriétaire (lui? Quelqu'un d'autre?) n'avait pad d'enfants.
Re: qui est il? XVIII
Le fait qu'il ne porte pas de sous sous-vêtements peuvent laisser penser à une préméditation d'agression à caractère sexuel de sa part.
Autre hypothèse : il n'a pas pour habitude de porter des sous-vêtements à cause de la chaleur par exemple.
Autre hypothèse : il n'a pas pour habitude de porter des sous-vêtements à cause de la chaleur par exemple.
Invité- Invité
Re: qui est il? XVIII
Tristaaan a écrit:Le fait qu'il ne porte pas de sous sous-vêtements peuvent laisser penser à une préméditation d'agression à caractère sexuel de sa part.
Autre hypothèse : il n'a pas pour habitude de porter des sous-vêtements à cause de la chaleur par exemple.
Ca voudrai dire qu’il la reperé avant et ca c’est mon hypothèse, dailleurs la petite avait dit que la veille lorsqu’elle etait dans ce bois elle c’etait senti epié et généralement une femme sent ce genre de chose.
Quel genre de mec porte pas de caleçon quand ll fait chaud ?
Slavabogu77
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