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Re: Féminicides
par Sortcière Mar 20 Fév - 19:02
Même les vieux sont dangereux et même 8 ans après le divorce quand il faut partager les biens ...
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Edit :
Depuis janvier, 22 féminicides ont eu lieu d'après le collectif Féminicides Par Compagnons ou Ex
Le Collectif Féminicides Par Compagnons ou Ex affirme sur X que ce féminicide constitue le 22ème depuis le début de l'année 2024.
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Edit :
Depuis janvier, 22 féminicides ont eu lieu d'après le collectif Féminicides Par Compagnons ou Ex
Le Collectif Féminicides Par Compagnons ou Ex affirme sur X que ce féminicide constitue le 22ème depuis le début de l'année 2024.
Sortcière
Re: Féminicides
par Sortcière Jeu 22 Fév - 11:16
213889ŦSortcière a écrit:Même les vieux sont dangereux et même 8 ans après le divorce quand il faut partager les biens ...
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Edit :
Depuis janvier, 22 féminicides ont eu lieu d'après le collectif Féminicides Par Compagnons ou Ex
Le Collectif Féminicides Par Compagnons ou Ex affirme sur X que ce féminicide constitue le 22ème depuis le début de l'année 2024.
La raison probable de ce féminicide ...
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Bref ! si c'est une maison de famille du coté de l'ex mari, je comprends mal car elle est et reste un bien propre ... donc il s'agit plus probablement de la nécessité de trouver des liquidités (pas simple à 72 ans) pour régler à l'ex épouse un partage de la communauté ayant existé entre eux.
Le plus effarant : "Le couple avait un fils. Le meurtrier présumé avait encore sa maman en vie, âgée de près de 100 ans."
Sortcière
Pauline
par Kassandra88 Jeu 22 Fév - 17:00
Elle avait été aperçue pour la dernière fois le 15 février à Lorient (Morbihan).
Un homme a été interpellé et placé en garde à vue. Face aux enquêteurs, il aurait été « placé devant des incohérences » avant de reconnaître d’« avoir tué la victime », sa petite amie, selon une source policière.
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Un homme a été interpellé et placé en garde à vue. Face aux enquêteurs, il aurait été « placé devant des incohérences » avant de reconnaître d’« avoir tué la victime », sa petite amie, selon une source policière.
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Kassandra88- Administrateur du forum
-
Re: Féminicides
par Sourisverte Lun 26 Fév - 18:24
C’est Terrible!
C’est quasi quotidien de nos jours!
Les instances doivent éduquer car souvent les parents sont défaillants
Puis punir réellement lorsqu’il y a passage à l’acte, sans cellules aménagées, sans sorties avec bracelet ou pas.
Pour la récidive je préconise des peines très lourdes sans possibilité de remise de peine ou de sortie!
De même pour les pedophiles trop souvent punis fort légèrement. Seuls les pointeurs denonces en milieu carcéral sont bien punis!
PS: dernièrement j’ai lu qu’une dame avait coupé le robinet de son compagnon le jour de la saint Valentin !
On appelle cela comment ? Un zizicide?
Sourisverte
Re: Féminicides
par Sortcière Mer 13 Mar - 15:55
De mieux en mieux !
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"Il a expliqué être tombé amoureux d’une autre femme, rencontrée sur Internet. Sauf que cette dernière était en réalité… un brouteur, soit un escroc localisé en Afrique qui l’a manipulé, selon *le quotidien." (*Le Parisien mais l'article est pour abonnés).
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"Il a expliqué être tombé amoureux d’une autre femme, rencontrée sur Internet. Sauf que cette dernière était en réalité… un brouteur, soit un escroc localisé en Afrique qui l’a manipulé, selon *le quotidien." (*Le Parisien mais l'article est pour abonnés).
Sortcière
Re: Féminicides
par Tristanduvar Mer 13 Mar - 16:16
Nicolas H. est tombé amoureux deux fois. La première fois, c’était d’Alicia. Le couple s’est formé le 11 novembre 2016, selon plusieurs publications amourachées publiées sur les réseaux sociaux, où l’on voit ces deux jeunes originaires du Pas-de-Calais s’embrasser et se renvoyer des « Je t’aime » enflammés.
Depuis deux ans, ils ont pris quartier dans une petite maison du village de Beussent, petite bâtisse qu’ils retapent le week-end. Lui officie comme agent d’entretien des espaces verts à la mairie d’une commune limitrophe. Elle est secrétaire médicale dans un centre hospitalier situé sur le littoral, après avoir longtemps œuvré en maison de retraite. Le couple a pour projet d’agrandir leur famille avec un bébé, eux qui sont déjà les heureux propriétaires de Milou et Ollie, leurs deux chiens. Tout semble alors au beau fixe, d’après les villageois qui ont l’habitude de les croiser partir à la chasse. « Un petit couple serviable et sans histoire », résume une habitante de Beussent.
Las, l’histoire a viré au drame. Le dimanche 28 janvier dernier, le corps d’Alicia, 28 ans, est retrouvé sans vie dans leur pavillon. Moins de deux mois plus tard, à l’issue de minutieuses investigations, les gendarmes de la section de recherches (SR) de Lille ont interpellé, ce lundi 11 mars, Nicolas H. Contacté, le procureur de la République de Boulogne-sur-Mer, Guirec Le Bras, nous confirme l’interpellation du compagnon de la victime pour « homicide » sur commission rogatoire du juge d’instruction.
Selon nos informations, devant les enquêteurs, le jeune homme de 27 ans a avoué avoir tué sa compagne. Un féminicide de plus dans une année déjà noire. Mais avec cette particularité que le suspect a expliqué avoir agi car il était tombé amoureux pour la seconde fois. D’une autre femme, une certaine Béatrice Leroux. Mais ce qu’ignorait Nicolas H., c’est que cette jeune interlocutrice, rencontrée virtuellement, était en réalité « un brouteur », un escroc basé en Afrique et qui a exercé sur lui une véritable arnaque aux sentiments…
L’hypothèse de cambrioleurs écartée
Il est 8h15, ce 28 janvier, lorsque Nicolas H. appelle la gendarmerie pour signaler la découverte du corps ensanglanté de sa compagne gisant au sol dans la maison. Alicia présente de nombreuses plaies causées, semble-t-il, par un couteau et un marteau. Sous le choc, le jeune homme de 27 ans explique aux gendarmes qu’il rentrait de la boulangerie, où il a effectué quelques courses, et qu’il s’apprêtait à partir à la chasse avec son père lorsqu’il a fait la macabre découverte.
Une hypothèse se dégage, livrée par le jeune homme aux gendarmes : Alicia aurait malheureusement surpris des cambrioleurs à leur domicile et aurait été tuée en voulant s’interposer, ce qui expliquerait le relatif désordre.
La division des atteintes aux personnes de la SR de Lille est chargée des investigations par le parquet et envisage toutes les pistes. Celle du cambriolage, un temps crédible, est finalement écartée, car incohérente avec les constatations. Aucun véhicule suspect, notamment, n’a été aperçu aux abords du domicile du couple. Qui ne roule pas sur l’or. La thèse d’un rôdeur assassin n’est pas jugée davantage convaincante
« On ne l’imagine pas faire du mal à une mouche, bien au contraire »
Les enquêteurs resserrent alors leurs filets sur l’entourage de la victime, et en particulier sur Nicolas H. Aux dires de ceux qui le connaissent, l’homme ne présente aucune aspérité. Après la mort d’Alicia, il a rapidement demandé à retrouver son emploi d’agent communal pour se changer les idées, avec un rythme adapté. « Il n’était pas comme à son habitude, dans sa pudeur, on sentait que ce garçon était malheureux, confie une agente de la mairie où le suspect était employé. Il parlait de la piste d’un cambriolage qui a mal tourné mais tout en se disant incapable de comprendre ce qu’il avait pu se passer. » Le visage du veuf éploré semble faire illusion, d’autant que son caractère est unanimement apprécié de ses collègues.
« C’est un garçon serviable, poli, bien élevé et qui ne hausse jamais le ton, confie une collègue, « catastrophée » par la nouvelle de son arrestation. On ne l’imagine pas faire du mal à une mouche, bien au contraire, c’est une crème de garçon, précieux et tout en rondeur, un peu nounours, pour qui on ne peut avoir que de l’affection. »
Récemment encore, alors que la région était frappée par de graves inondations, Nicolas H. avait appelé la mairie pour proposer son aide, « y compris la nuit ». A 6 heures du matin, il était venu débloquer une route de campagne sur laquelle un arbre était tombé…
Une relation extraconjugale virtuelle
Ce portrait d’un homme altruiste va toutefois être noirci par l’enquête des gendarmes, qui mettent à jour une incohérence entre la chronologie évoquée par Nicolas et l’heure de la mort d’Alicia datée par le médecin légiste, qui serait bien antérieure au signalement. Un élément scientifique l’incrimine par ailleurs dans le meurtre.
Surtout, les enquêteurs de la SR de Lille découvrent que Nicolas H. entretenait depuis janvier, sur Facebook, une liaison numérique extraconjugale avec une femme blonde attrayante du nom de Béatrice Leroux, « commercente (sic) à Brest », selon sa biographie sur le réseau social. Il s’agit en réalité d’un faux profil.
Le suspect n’avait visiblement pas conscience qu’il s’était entiché d’un escroc virtuel qui a usurpé des photos d’une femme probablement étrangère. Les enquêteurs mettent ainsi en évidence que derrière cette pseudo Béatrice Leroux se cache « un brouteur », surnom donné à ces aigrefins basés en Afrique de l’Ouest et qui sont capables d’inventer des identités et des scénarios romantiques pour soutirer l’argent d’internautes crédules. L’adresse IP de « Béatrice Leroux » est d’ailleurs localisée dans l’un de ces pays.
Mirage mortel
Visiblement très épris de cet avatar virtuel, Nicolas H. lui avait d’ailleurs envoyé de l’argent à plusieurs reprises. Et il envisageait de refaire sa vie avec Béatrice, si bien que des dissensions étaient apparues au sein de son couple avec Alicia. Dans ce projet fantasmé, la jeune secrétaire médicale était devenue un obstacle insurmontable.
En garde à vue, Nicolas H. a admis avoir planifié la mort de sa compagne en raison de son amour pour la pseudo Béatrice. Selon nos informations, il a aussi reconnu avoir tenté d’empoisonner Alicia avec des médicaments quelques jours plus tôt. Depuis la mort de sa compagne, Nicolas avait gardé le contact avec Béatrice… Sans, évidemment, jamais parvenir à rencontrer ce mirage mortel.
À l’issue de sa garde à vue, le jeune homme devrait être présenté au juge d’instruction ce mercredi en vue de sa mise en examen.
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Depuis deux ans, ils ont pris quartier dans une petite maison du village de Beussent, petite bâtisse qu’ils retapent le week-end. Lui officie comme agent d’entretien des espaces verts à la mairie d’une commune limitrophe. Elle est secrétaire médicale dans un centre hospitalier situé sur le littoral, après avoir longtemps œuvré en maison de retraite. Le couple a pour projet d’agrandir leur famille avec un bébé, eux qui sont déjà les heureux propriétaires de Milou et Ollie, leurs deux chiens. Tout semble alors au beau fixe, d’après les villageois qui ont l’habitude de les croiser partir à la chasse. « Un petit couple serviable et sans histoire », résume une habitante de Beussent.
Las, l’histoire a viré au drame. Le dimanche 28 janvier dernier, le corps d’Alicia, 28 ans, est retrouvé sans vie dans leur pavillon. Moins de deux mois plus tard, à l’issue de minutieuses investigations, les gendarmes de la section de recherches (SR) de Lille ont interpellé, ce lundi 11 mars, Nicolas H. Contacté, le procureur de la République de Boulogne-sur-Mer, Guirec Le Bras, nous confirme l’interpellation du compagnon de la victime pour « homicide » sur commission rogatoire du juge d’instruction.
Selon nos informations, devant les enquêteurs, le jeune homme de 27 ans a avoué avoir tué sa compagne. Un féminicide de plus dans une année déjà noire. Mais avec cette particularité que le suspect a expliqué avoir agi car il était tombé amoureux pour la seconde fois. D’une autre femme, une certaine Béatrice Leroux. Mais ce qu’ignorait Nicolas H., c’est que cette jeune interlocutrice, rencontrée virtuellement, était en réalité « un brouteur », un escroc basé en Afrique et qui a exercé sur lui une véritable arnaque aux sentiments…
L’hypothèse de cambrioleurs écartée
Il est 8h15, ce 28 janvier, lorsque Nicolas H. appelle la gendarmerie pour signaler la découverte du corps ensanglanté de sa compagne gisant au sol dans la maison. Alicia présente de nombreuses plaies causées, semble-t-il, par un couteau et un marteau. Sous le choc, le jeune homme de 27 ans explique aux gendarmes qu’il rentrait de la boulangerie, où il a effectué quelques courses, et qu’il s’apprêtait à partir à la chasse avec son père lorsqu’il a fait la macabre découverte.
Une hypothèse se dégage, livrée par le jeune homme aux gendarmes : Alicia aurait malheureusement surpris des cambrioleurs à leur domicile et aurait été tuée en voulant s’interposer, ce qui expliquerait le relatif désordre.
La division des atteintes aux personnes de la SR de Lille est chargée des investigations par le parquet et envisage toutes les pistes. Celle du cambriolage, un temps crédible, est finalement écartée, car incohérente avec les constatations. Aucun véhicule suspect, notamment, n’a été aperçu aux abords du domicile du couple. Qui ne roule pas sur l’or. La thèse d’un rôdeur assassin n’est pas jugée davantage convaincante
« On ne l’imagine pas faire du mal à une mouche, bien au contraire »
Les enquêteurs resserrent alors leurs filets sur l’entourage de la victime, et en particulier sur Nicolas H. Aux dires de ceux qui le connaissent, l’homme ne présente aucune aspérité. Après la mort d’Alicia, il a rapidement demandé à retrouver son emploi d’agent communal pour se changer les idées, avec un rythme adapté. « Il n’était pas comme à son habitude, dans sa pudeur, on sentait que ce garçon était malheureux, confie une agente de la mairie où le suspect était employé. Il parlait de la piste d’un cambriolage qui a mal tourné mais tout en se disant incapable de comprendre ce qu’il avait pu se passer. » Le visage du veuf éploré semble faire illusion, d’autant que son caractère est unanimement apprécié de ses collègues.
« C’est un garçon serviable, poli, bien élevé et qui ne hausse jamais le ton, confie une collègue, « catastrophée » par la nouvelle de son arrestation. On ne l’imagine pas faire du mal à une mouche, bien au contraire, c’est une crème de garçon, précieux et tout en rondeur, un peu nounours, pour qui on ne peut avoir que de l’affection. »
Récemment encore, alors que la région était frappée par de graves inondations, Nicolas H. avait appelé la mairie pour proposer son aide, « y compris la nuit ». A 6 heures du matin, il était venu débloquer une route de campagne sur laquelle un arbre était tombé…
Une relation extraconjugale virtuelle
Ce portrait d’un homme altruiste va toutefois être noirci par l’enquête des gendarmes, qui mettent à jour une incohérence entre la chronologie évoquée par Nicolas et l’heure de la mort d’Alicia datée par le médecin légiste, qui serait bien antérieure au signalement. Un élément scientifique l’incrimine par ailleurs dans le meurtre.
Surtout, les enquêteurs de la SR de Lille découvrent que Nicolas H. entretenait depuis janvier, sur Facebook, une liaison numérique extraconjugale avec une femme blonde attrayante du nom de Béatrice Leroux, « commercente (sic) à Brest », selon sa biographie sur le réseau social. Il s’agit en réalité d’un faux profil.
Le suspect n’avait visiblement pas conscience qu’il s’était entiché d’un escroc virtuel qui a usurpé des photos d’une femme probablement étrangère. Les enquêteurs mettent ainsi en évidence que derrière cette pseudo Béatrice Leroux se cache « un brouteur », surnom donné à ces aigrefins basés en Afrique de l’Ouest et qui sont capables d’inventer des identités et des scénarios romantiques pour soutirer l’argent d’internautes crédules. L’adresse IP de « Béatrice Leroux » est d’ailleurs localisée dans l’un de ces pays.
Mirage mortel
Visiblement très épris de cet avatar virtuel, Nicolas H. lui avait d’ailleurs envoyé de l’argent à plusieurs reprises. Et il envisageait de refaire sa vie avec Béatrice, si bien que des dissensions étaient apparues au sein de son couple avec Alicia. Dans ce projet fantasmé, la jeune secrétaire médicale était devenue un obstacle insurmontable.
En garde à vue, Nicolas H. a admis avoir planifié la mort de sa compagne en raison de son amour pour la pseudo Béatrice. Selon nos informations, il a aussi reconnu avoir tenté d’empoisonner Alicia avec des médicaments quelques jours plus tôt. Depuis la mort de sa compagne, Nicolas avait gardé le contact avec Béatrice… Sans, évidemment, jamais parvenir à rencontrer ce mirage mortel.
À l’issue de sa garde à vue, le jeune homme devrait être présenté au juge d’instruction ce mercredi en vue de sa mise en examen.
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Tristanduvar
Sortcière
Re: Féminicides
par Lisetoct Mar 2 Avr - 23:36
Shanon, une collégienne de 13 ans, est morte le mercredi 27 mars après trois semaines de coma. Elle avait été hospitalisée dans un état grave après avoir subi un viol à Rantigny au nord de Creil. Trois personnes ont été mises en examen.
[url=Shanon, une collégienne de 13 ans, est morte le mercredi 27 mars après trois semaines de coma. Elle avait été hospitalisée dans un état grave après avoir subi un viol à Rantigny au nord de Creil. Trois personnes ont été mises en examen.]Shanon, une collégienne de 13 ans, est morte le mercredi 27 mars après trois semaines de coma. Elle avait été hospitalisée dans un état grave après avoir subi un viol à Rantigny au nord de Creil. Trois personnes ont été mises en examen.[/url]
[url=Shanon, une collégienne de 13 ans, est morte le mercredi 27 mars après trois semaines de coma. Elle avait été hospitalisée dans un état grave après avoir subi un viol à Rantigny au nord de Creil. Trois personnes ont été mises en examen.]Shanon, une collégienne de 13 ans, est morte le mercredi 27 mars après trois semaines de coma. Elle avait été hospitalisée dans un état grave après avoir subi un viol à Rantigny au nord de Creil. Trois personnes ont été mises en examen.[/url]
Lisetoct
Re: Féminicides
par Manor Lun 8 Avr - 19:17
Bonsoir,
Episode de Les Pieds sur Terre sur le meurtre de Alaïs Ragot
Elle s’appelait Alaïs Ragot, elle avait 18 ans et le 10 février 2020, elle a été violemment assassinée. Quatre femmes racontent, tour à tour, ce féminicide tragique et les années non moins violentes qui l’ont précédé : Stéphanie, sa mère, Dym, sa sœur, Lola, une amie et Nathalie, sa tante.
LSD, La Série Documentaire sur "Féminicides, la guerre mondiale contre les femmes".
Pour LSD, Pauline Chanu retrace le continuum féminicidaire dans le monde entier. Des féminicides conjugaux aux tueries masculinistes, des crimes “d’honneur” aux tueurs en série… Comment se maintient ce système qui autorise les hommes à tuer les femmes ?
Episode de Les Pieds sur Terre sur le meurtre de Alaïs Ragot
Elle s’appelait Alaïs Ragot, elle avait 18 ans et le 10 février 2020, elle a été violemment assassinée. Quatre femmes racontent, tour à tour, ce féminicide tragique et les années non moins violentes qui l’ont précédé : Stéphanie, sa mère, Dym, sa sœur, Lola, une amie et Nathalie, sa tante.
LSD, La Série Documentaire sur "Féminicides, la guerre mondiale contre les femmes".
Pour LSD, Pauline Chanu retrace le continuum féminicidaire dans le monde entier. Des féminicides conjugaux aux tueries masculinistes, des crimes “d’honneur” aux tueurs en série… Comment se maintient ce système qui autorise les hommes à tuer les femmes ?
Carte des affaires non élucidées francophones
N'hésitez pas à me contacter si vous avez des propositions ou remarques à faire.
Manor
Re: Féminicides
par Kassandra88 Mar 9 Avr - 11:14
J'ai bien cru qu'il s'agissait d'un Xième féminicide en écoutant les propos de son beau-frère.
Ce n'était pas cela:
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L'auteur "présumé" (oups il a quand même avoué) serait un jeune homme fréquentant les sphères marginales et toxicomanes de Tournai. Sudinfo précise qu’il s'agit d'un père de famille originaire de Lessines. Selon l’Avenir, Sébastien P., âgé d’une trentaine d’années, résiderait chez sa compagne, à Ath (Belgique).
Un gars connu pour violence et récidiviste.
Ce n'était pas cela:
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L'auteur "présumé" (oups il a quand même avoué) serait un jeune homme fréquentant les sphères marginales et toxicomanes de Tournai. Sudinfo précise qu’il s'agit d'un père de famille originaire de Lessines. Selon l’Avenir, Sébastien P., âgé d’une trentaine d’années, résiderait chez sa compagne, à Ath (Belgique).
Un gars connu pour violence et récidiviste.
Kassandra88- Administrateur du forum
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