Féminicides

Kassandra88 a écrit:C'est déjà cela:

Espoir?
En Iran, la police des mœurs a été abolie
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Bonjour Kassandra,
Bonjour à tous,

Il semble que ce soit un mensonge éhonté.

Sur TW, des exilés iraniens relatent que certaines femmes reçoivent depuis peu des SMS leur intimant de ne plus se dévoiler/se voiler correctement (= sans mèche de cheveu apparente).

Elles avaient ôté leurs voiles dans leur voiture et ont peut-être été repérées par des caméras de vidéosurveillance.

Kassandra88 a écrit:

Kassandra88 a écrit:C'est déjà cela:

Espoir?
En Iran, la police des mœurs a été abolie
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Il n'y a pas que des femmes qui s'insurgent contre la tyrannie des ayatollahs.
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Et en Afghanistan, on a vu des hommes refusant de se rendre à l'université depuis que les filles n'y sont plus admises.

...Mais c'est très compliqué de lutter contre la tyrannie... Les médias nous le rappellent tous les jours.

Cela est selon moi une vision erronée : c'est le fait d'une extrême minorité . Ne croyons pas les médias sur ce sujet :
les femmes afghanes subissent une oppression forcenée . On ne voit que Kaboul .
Elles sont réduites à l'état d'esclaves . Faut pas dire n'importe quoi .
Et personne ne dit rien

Sur TF1 les meurtres  de Pouyastruc (Hautes-Pyrénées) "Jalousie, meurtres et cavale mystérieuse "
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Pour rappel le meurtrier présumé  Cédric Tauleygne est toujours recherché , sa moto avait été retrouvée en Espagne .
Quelques articles :[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]  La Dépêche du 03/01/23  Six mois après le double assassinat de deux professeurs à Pouyastruc, Aurélie Pardon et Gabriel Fourmigué, le frère d’Aurélie, Jean-Romain Pardon, sort de sa réserve pour que l'affaire ne tombe pas dans l'oubli. Persuadé que l'auteur présumé du crime, son beau frère Cédric Tauleygne, ne s'est pas suicidé, il revient sur les semaines qui ont précédé le drame. Interview.

DOUBLE ASSASSINAT DE POUYASTRUC: CÉDRIC TAULEYGNE S'ÉTAIT RENSEIGNÉ SUR XAVIER DUPONT DE LIGONNÈS AVANT LES FAITS
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Double assassinat de Pouyastruc : Cédric Tauleygne a un compte bancaire crypté en Israël  
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Mais aucun retrait n'a été effectué sur aucun de ses comptes , donc à moins d'une complicité ...

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Celui-ci avait déjà roué de coups une ancienne compagne, lui occasionnant dix jours d’ITT : « Sans mon intervention, il l’aurait tuée. » dit son propre frère qui a cessé alors toute relation avec lui. Des faits pour lesquels il a été condamné à 4 mois de prison avec sursis, le 2 octobre 2015.

Bon ... avec ce genre de condamnation pousse au crime, on est pas sortis de l'auberge !
Il y a aussi un gros ménage à faire au niveau des chaines youtube.

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Le féminicide par la mort lente ...

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Procès en appel du féminicide Julie Douib : la perpétuité requise contre Bruno Garcia-Cruciani
Rassurant, la partie civile s'attendait à une peine plus clémente.

Meurtre de Mélanie à Ecquevilly : Mickaël Philétas condamné à la perpétuité 
La cour d’assises des Yvelines a rendu son verdict. Accusé du meurtre de Mélanie à Ecquevilly, Mickaël Philétas a été condamné à la perpétuité https://actu.fr/ile-de-france/ecquevilly_78206/meurtre-de-melanie-a-ecquevilly-mickael-philetas-condamne-a-la-perpetuite_56864301.html
.https://www.lepoint.fr/societe/proces-de-mickael-philetas-un-rapport-aux-femmes-entre-obsession-et-haine-25-01-2023-2506104_23.php#11

Des nouvelles de l'affaire du féminicide de Magali Blandin (à déplacer au besoin si une file lui avait été dédiée au moment de sa disparition.) Histoire sordide jusqu'au bout...

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"Chloé a repris conscience": la mère de la jeune femme victime d'une tentative de féminicide témoigne.
jeu. 9 février 2023 à 9:29 AM UTC+1
Chloé, victime d'une tentative de féminicide à Blois en décembre 2022 - BFMTV
Chloé, victime d'une tentative de féminicide à Blois en décembre 2022 - BFMTV
Les faits remontent à décembre dernier. Âgée de 24 ans, Chloé avait été placée dans le coma à l'hôpital de Tours après avoir été frappée par son ancien compagnon à Blois, dans le département du Loir-et-Cher. Avant cette agression, elle était allée alerter le commissariat car elle se sentait menacée, mais avait été invitée à revenir plus tard. (...)La mère de la victime dit vouloir donner des suites judiciaires à cette affaire et laisse exploser sa colère contre le commissariat de Blois.
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Corps retrouvé aux Buttes-Chaumont : le mari d'Assia fait preuve d'incohérences.
Serait-ce un énième cas de féminicide ?
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Ci-dessous article du ND n° 2111
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J'espère sincèrement qu'Aurélie Vaquier n'a pas été enterrée vivante :

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Quant à Assia, c'est vrai que le comportement du mari est plus que suspect. Mais quand même, si c'est lui, comment peut on "traiter" ainsi le corps de la femme avec laquelle on a partagé sa vie depuis de si longues années ? C'est juste inimaginable et effroyable !

Isild a écrit:J'espère sincèrement qu'Aurélie Vaquier n'a pas été enterrée vivante :

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Quant à Assia, c'est vrai que le comportement du mari est plus que suspect. Mais quand même, si c'est lui, comment peut on "traiter" ainsi le corps de la femme avec laquelle on a partagé sa vie depuis de si longues années ? C'est juste inimaginable et effroyable !

Ce ne serait pas le premier mari tueur d'épouse à procéder ainsi. Si un individu est capable de féminicide, le reste ne m'étonne pas plus que ça.

J’en avais parlé sur le fil disparitions récentes, j’étais étonnée de n’avoir vu personne en parler sur le forum. Le mari est dans le viseur.

Pour ce qui est d'Assia, son mari est bien dans le viseur de la police suite à des contradictions dans ses déclarations.

Il est d'ailleurs en garde à vue :

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Sybil a écrit:Le mari d'Assia enfin placé en garde à vue : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Désolée je ne suis pas abonnée.

Curieuse de savoir pourquoi ce choix pour se débarrasser du cadavre.

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Bonsoir Sybil, je transfère ton post dans la bonne rubrique :

Le puzzle macabre est-il en passe de trouver sa résolution ? Selon nos informations, un suspect a été placé en garde à vue ce jeudi 23 février dans les locaux de la brigade criminelle de Paris dans l’enquête sur le meurtre épouvantable d’Assia Matoug. Il s’agit de Youcef Matoug, l’époux de la victime. Dans cette affaire mystérieuse et sordide qui a débuté par une disparition, le corps de cette femme de 46 ans avait été retrouvé démembré le 13 février dernier dans le parc fréquenté des Buttes-Chaumont, dans le XIXe arrondissement de Paris. Une enquête puis une information judiciaire avaient été ouvertes par le parquet de Paris le 17 février pour « assassinat, atteinte à l’intégrité d’un cadavre et recel de cadavre ».

C’est sur convocation des enquêteurs que le père et les trois enfants du couple âgés de 8, 14 et 16 ans se sont rendus ce jeudi matin dans les locaux de la Crim’. En arrivant, le quadragénaire a été placé en garde à vue tandis que les plus jeunes enfants du couple ont également été entendus mais en tant que témoins. Ils sont tous sortis des locaux de la police judiciaire parisienne dans la soirée. L’aîné de fratrie a lui été brièvement placé en garde à vue le temps que les policiers vérifient certaines déclarations avant d’être laissé lire. Contacté ce jeudi soir, Me Antoine Ory, l’avocat du fils aîné, n’a pas souhaité s’exprimer.

Un féminicide ?
Très tôt dans l’enquête, les policiers s’étaient interrogés sur les incohérences dans le récit du mari d’Assia Matoug, qui avait signalé la disparition de son épouse le 6 février en se rendant au commissariat de Montreuil (Seine-Saint-Denis), commune où vit la famille. Or, la disparition d’Assia datait du 31 janvier, soit une semaine plus tôt.

Youcef Matoug avait justifié ce délai auprès de RTL en expliquant que sa femme « avait l’habitude de se rendre dans des braderies pour acheter des vêtements et les revendre », raison pour laquelle il ne s’était pas inquiété. Il avait ensuite affirmé l’avoir cherchée dans Paris. Or, les policiers ont acquis la certitude qu’il n’était pas allé à Paris et qu’il ne l’avait pas non plus appelée à de très nombreuses reprises contrairement à ce qu’il affirmait. Entendu une première fois par la crim’ en audition libre, il s’était dit « dépassé par les événements ». S’agit-il d’un féminicide déguisé sous un meurtre brutal ?

Selon les informations recueillies par les enquêteurs, Assia sortait rarement de l’appartement situé au onzième étage, ce qui explique que dans le quartier peu de monde la connaissait. Le Parisien-Aujourd’hui en France l’avait constaté le 16 févier en allant à la rencontre des habitants de son immeuble, une tour de quinze étages, avec en main une photo d’Assia. Des riverains suggéraient même qu’elle ne vivait pas là. « Ça fait quinze ans que je vis ici, je ne l’ai jamais vue ! » nous avait ainsi confié une voisine. Assia passait en fait son temps sur le canapé du salon. Le 30 janvier, toute la famille avait fait une soirée pizza. Ne manquait qu’Assia. C’est ce jour-là que les enfants ont vu leur mère vivante pour la dernière fois.

Un corps découpé de façon chirurgicale
Après le signalement fait par Youcef, une enquête avait été ouverte pour disparition inquiétante, confiée à la brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP). Jusqu’à ce que le 13 février, des agents d’entretien des espaces verts découvrent un tronc humain, découpé de la poitrine aux genoux, caché dans un sac-poubelle dans un endroit reculé du parc fréquenté des Buttes-Chaumont, où familles et joggeurs se côtoient. Des motifs floraux sur le jean laissaient penser qu’il s’agissait d’une femme. Le tronc ne présentait pas de traces de sang, comme si une découpe avait été faite de façon chirurgicale par un professionnel. Puis une tête et le reste de la dépouille avaient été retrouvés le lendemain dans le parc.

Ce sont les empreintes digitales qui ont fini par aboutir à l’identification d’Assia Matoug. Au domicile des Matoug, les enquêteurs avaient mené une perquisition, laquelle n’avait rien révélé de particulier, si ce n’est quelques traces de sang mais pas en quantité décisive. Youcef, le mari, avait posté un message dans la semaine sur son mur Facebook disant qu’Assia lui manquait. Depuis, il en a restreint l’accès. La seule image visible sur le réseau social le montre avec un cœur rouge disant qu’il a déjà trouvé l’amour de sa vie. Le couple n’avait jamais fait parler de lui.

A ce stade, aucune charge ne pèse sur le mari. Sa garde à vue peut durer jusqu’à 48 heures. Le temps pour le juge d’instruction de décider s’il existe des faisceaux d’indices permettant de mettre Youcef en examen.

Toujours dans l'hypothèse où il est le coupable, je me demande où il a effectué la sale besogne vu que paraît-il, les enquêteurs n'ont pas trouvé de traces de sang significatif dans le logement familial.

La suite dans le prochain épisode...

Merci pour l’article Tristan.
Si elle ne sortait jamais de chez elle, le mari est encore plus suspect.

Vu l'inaction des pouvoirs publics sur ces féminicides , je propose la création d'une brigade citoyenne régionale . J'ai une petite malinoise du feu de dieu capable de mettre à terre un type de plus de 100 kgs.