les mutilations et meurtres d'animaux
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Re: les mutilations et meurtres d'animaux
Sanjon a écrit:Les plus "fragiles" sont justement ceux dont le savoir leur laisse à croire qu'ils sont supérieurs en bien des domaines où ils ne connaissent rien ! Les sectes recrutent plus chez les gens "aisés" et leur descendance que chez les prolétaires dont l'avenir immédiat les préoccupe plus que les hypothèses d'un devenir posthume !
Pas toujours Sanjeon dans les milieux aises... La secte en question ce ne sont pas des gens aises... Eux c'est pas les coupables de torture... Je vois que tu habites dans le même dép que moi...???? Tu devrais trouver la secte on en a bcp parle. J'ai vu des vidéos ce ne sont pas des gens aises mais des gens bernes !!!
Après chacun son avis !!
Invité- Invité
Re: les mutilations et meurtres d'animaux
Merci pour l'info. Je n'ai pas entendu parler de ces sectes. Quelques précisions ?
Sanjon
Re: les mutilations et meurtres d'animaux
2022
LA LONGUE TRAQUE DU VIOLEUR DE CHEVAUX
ANIMAUX
Le 12/01/2022
Partager cette enquête :
Un dimanche matin de juillet 2021. La campagne du Lot-et-Garonne chauffe déjà sous le soleil. Joëlle, qui tient un club hippique près d’Agen avec son mari, vient de terminer son café. Comme tous les jours, elle sort faire sa petite tournée pour s’assurer que ses chevaux vont bien. Mais à peine dans la cour, premier constat étrange. Deux juments se promènent en liberté sur la propriété. Aurait-elle mal refermé la porte de leur box ? La première urgence est de les rattraper, avant qu’elles n’aillent divaguer sur la route. Joëlle passe un licol au cou de la première jument, et la ramène à l’écurie. Mais sur place, nouveau mystère. Dans son box, dont la porte est grande ouverte, il y a un tabouret qui n’a rien à faire là, et un gros pot de vaseline abandonné. La directrice de club a peur de comprendre… Une demi-heure plus tard, le vétérinaire confirme ses pires craintes.
— La jument a été enduite de vaseline sur les parties génitales, observe-t-il, un peu gêné.
LA NUIT, IL SE PASSE DES CHOSES BIZARRES AU CLUB HIPPIQUE
En clair, un type s’est introduit dans le box pendant la nuit. Il est monté sur le tabouret pour se mettre à la bonne hauteur, et… il a violé la jument. Joëlle encaisse l’information comme un uppercut. Qui serait assez dérangé pour commettre un acte pareil ? Pour autant, ce n’est pas la première fois que la nuit, il se passe des choses bizarres au club. Ça a commencé au printemps 2020…
Retour un an en arrière. Ce matin-là en faisant sa tournée, Joëlle découvre des mégots et des canettes de bière vides dans le box d’une autre jument. La patronne du club soupçonne tout de suite ses deux filles, capables de toutes les bêtises avec leurs copains. Elle va les trouver. L’explication est orageuse. Mais les deux ados tiennent bon.
— On te jure, maman, c’est pas nous !
Joëlle, pas vraiment convaincue, leur rappelle qu’il est dangereux de fumer dans la paille. L’incident est clos. Mais au cours des mois suivants, elle découvre encore plusieurs fois des reliefs d’apéro dans les écuries. Systématiquement, elle interroge ses filles avec une pointe de soupçon. Systématiquement, les deux gamines lui répondent qu’elles n’ont rien fait. Mais ce dimanche matin d’été, découvrir qu’on a violé une de ses juments, c’en en est trop. Joëlle alerte les gendarmes, qui viennent constater les faits et relever quelques empreintes. Sans conviction.
DES MÉGOTS ET DES CANETTES
Puis la patronne de club parle de sa mésaventure à plusieurs propriétaires de chevaux des environs. Stupéfaite, elle découvre alors que d’autres ont eu des mauvaises surprises similaires. Un de ses voisins a lui aussi trouvé des mégots et des canettes dans son pré. Un autre se plaint d’avoir retrouvé sa jument très irritée de l’arrière-train. Un autre a carrément retrouvé la sienne avec la queue et la crinière coupées ! Mais un quatrième a connu encore pire : on a brisé les dents de sa jument à coups de clef à mollette ! Il a même rapporté l’outil aux gendarmes, en allant déposer plainte. Face à cette série noire, le mari de Joëlle, Patrick, n’arrive plus à dormir tranquille. Il multiplie les rondes nocturnes. Et sa vigilance va finir par payer…
A l’automne, un soir que la pleine lune illumine ses écuries, Patrick effectue sa ronde lorsqu’il entend un bruit suspect. Ça vient d’un box. Il s’approche et allume la lumière
par surprise. Un homme de taille moyenne, très mince, le visage dissimulé sous une capuche, jaillit alors et s’enfuit en courant vers la sortie. Patrick tente de lui faire un croche-pied, mais l’autre parvient à garder l’équilibre, grimpe sur son vélo laissé contre un mur, et disparaît dans la nuit. Patrick et Joëlle portent à nouveau plainte, un peu froissés de trouver les gendarmes si passifs. En réalité, il n’en est rien. Mais faute d’indices probants, les militaires n’arrivent pas à mettre un nom sur le détraqué. La série noire continue. Une autre jument est retrouvée ligotée dans son pré, allongée sur le flanc.
CETTE FOIS, LE PERVERS A COMMIS UNE ERREUR
Jeudi 30 décembre. Alors qu’elle effectue sa tournée matinale, Joëlle trouve encore une fois un tabouret dans un box. Posé à côté, nul pot de vaseline, mais une petite bouteille du goudron liquide dont on se sert pour protéger les sabots des chevaux contre l’humidité. Appelé d’urgence, le vétérinaire constate une fois encore que le sexe de la pauvre bête en a été barbouillé. Pour faire office de lubrifiant ? Sans doute. Mais cette fois, le pervers a commis une erreur. Il est reparti avec du goudron plein les doigts, et il a laissé ses empreintes sur la porte du box. Les enquêteurs les prélèvent méticuleusement, et interrogent le fichier central. C’est un match ! Le violeur s’appelle Mourad, un type de 43 ans déjà condamné par le passé pour une série d’agressions sexuelles. Le détraqué « s’amusait » alors à caresser les fesses des vieilles dames dans la rue ! Chômeur et célibataire, il habite toujours chez ses parents, et on le voit souvent traîner dans le centre d’Agen, avec deux SDF aussi déglingués que lui. Gros fumeur, alcoolique, cocaïnomane, il serait en outre accro au porno. Il n’aurait eu qu’une seule vraie relation dans sa vie, avec une SDF qu’il a fini par cogner… Petit détail en plus : les enquêteurs découvrent qu’il ne se déplace qu’à vélo.
Interpellé, le suspect passe rapidement aux aveux.
— Avant, j’allais voir les prostituées, mais c’est trop cher et j’ai fini par m’en lasser ! se justifie-t-il.
D’où lui est venue cette idée saugrenue de se rabattre sur des juments ?
— Quand j’étais enfant, au Maroc, j’ai vu mes cousins violer une ânesse, répond-il.
UN SOMMET DE CONFESSION SORDIDE
Et c’est sans se faire prier qu’il détaille son mode opératoire. Le tabouret. Le lubrifiant. Comment il faut tenir l’animal pour l’empêcher de bouger… Un sommet de confession sordide ! Les enquêteurs lui demandent s’il a violé les juments à chacun de ses passages au centre équestre. Sa réponse est d’un cynisme glacial.
— Quand je suis sous coke, je n’arrive pas à bander, mais il m’arrive d’utiliser mes mains ou des objets.
Quant à la fameuse clef à mollette, déjà en possession des gendarmes, le violeur ne fournit pas d’explication… A la fin de sa garde à vue, ne voyant pas bien ce qu’il a fait de mal, Mourad commence à s’agacer.
— Ce ne sont que des animaux ! argumente-t-il.
Défendu par Me Sylvie Brussiau, l’homme a été jugé en comparution immédiate le 4 janvier dernier. Il n’a exprimé aucun remords face au juge. S’il reconnaît avoir pénétré les juments – la justice ne parle pas de viol quand il s’agit d’animaux –, il nie leur avoir fait subir des violences. Mais il reconnaît qu’avec l’alcool et la drogue, il ne se souvient pas toujours précisément de ce qu’il a fait…
« MOINS GRAVE QUE SI C’ÉTAIT UN ENFANT »…
De quoi faire bondir Me Sophie Grolleau, avocate de la SPA dans cette affaire.
— Que voulez-vous dire quand vous déclarez que ce ne sont « que des animaux » ? l’interroge-t-elle.
— Que c’est moins grave que si c’était un enfant…
Certes. Mourad a été condamné à quinze mois de prison ferme, avec (pour une fois) mandat de dépôt. Désormais, c’est lui qui est enfermé dans un box. Et pas question de sortir au pré. Souhaitons que ça le fasse réfléchir un peu…
Une enquête de Mathieu Fourquet
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LA LONGUE TRAQUE DU VIOLEUR DE CHEVAUX
ANIMAUX
Le 12/01/2022
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Un dimanche matin de juillet 2021. La campagne du Lot-et-Garonne chauffe déjà sous le soleil. Joëlle, qui tient un club hippique près d’Agen avec son mari, vient de terminer son café. Comme tous les jours, elle sort faire sa petite tournée pour s’assurer que ses chevaux vont bien. Mais à peine dans la cour, premier constat étrange. Deux juments se promènent en liberté sur la propriété. Aurait-elle mal refermé la porte de leur box ? La première urgence est de les rattraper, avant qu’elles n’aillent divaguer sur la route. Joëlle passe un licol au cou de la première jument, et la ramène à l’écurie. Mais sur place, nouveau mystère. Dans son box, dont la porte est grande ouverte, il y a un tabouret qui n’a rien à faire là, et un gros pot de vaseline abandonné. La directrice de club a peur de comprendre… Une demi-heure plus tard, le vétérinaire confirme ses pires craintes.
— La jument a été enduite de vaseline sur les parties génitales, observe-t-il, un peu gêné.
LA NUIT, IL SE PASSE DES CHOSES BIZARRES AU CLUB HIPPIQUE
En clair, un type s’est introduit dans le box pendant la nuit. Il est monté sur le tabouret pour se mettre à la bonne hauteur, et… il a violé la jument. Joëlle encaisse l’information comme un uppercut. Qui serait assez dérangé pour commettre un acte pareil ? Pour autant, ce n’est pas la première fois que la nuit, il se passe des choses bizarres au club. Ça a commencé au printemps 2020…
Retour un an en arrière. Ce matin-là en faisant sa tournée, Joëlle découvre des mégots et des canettes de bière vides dans le box d’une autre jument. La patronne du club soupçonne tout de suite ses deux filles, capables de toutes les bêtises avec leurs copains. Elle va les trouver. L’explication est orageuse. Mais les deux ados tiennent bon.
— On te jure, maman, c’est pas nous !
Joëlle, pas vraiment convaincue, leur rappelle qu’il est dangereux de fumer dans la paille. L’incident est clos. Mais au cours des mois suivants, elle découvre encore plusieurs fois des reliefs d’apéro dans les écuries. Systématiquement, elle interroge ses filles avec une pointe de soupçon. Systématiquement, les deux gamines lui répondent qu’elles n’ont rien fait. Mais ce dimanche matin d’été, découvrir qu’on a violé une de ses juments, c’en en est trop. Joëlle alerte les gendarmes, qui viennent constater les faits et relever quelques empreintes. Sans conviction.
DES MÉGOTS ET DES CANETTES
Puis la patronne de club parle de sa mésaventure à plusieurs propriétaires de chevaux des environs. Stupéfaite, elle découvre alors que d’autres ont eu des mauvaises surprises similaires. Un de ses voisins a lui aussi trouvé des mégots et des canettes dans son pré. Un autre se plaint d’avoir retrouvé sa jument très irritée de l’arrière-train. Un autre a carrément retrouvé la sienne avec la queue et la crinière coupées ! Mais un quatrième a connu encore pire : on a brisé les dents de sa jument à coups de clef à mollette ! Il a même rapporté l’outil aux gendarmes, en allant déposer plainte. Face à cette série noire, le mari de Joëlle, Patrick, n’arrive plus à dormir tranquille. Il multiplie les rondes nocturnes. Et sa vigilance va finir par payer…
A l’automne, un soir que la pleine lune illumine ses écuries, Patrick effectue sa ronde lorsqu’il entend un bruit suspect. Ça vient d’un box. Il s’approche et allume la lumière
par surprise. Un homme de taille moyenne, très mince, le visage dissimulé sous une capuche, jaillit alors et s’enfuit en courant vers la sortie. Patrick tente de lui faire un croche-pied, mais l’autre parvient à garder l’équilibre, grimpe sur son vélo laissé contre un mur, et disparaît dans la nuit. Patrick et Joëlle portent à nouveau plainte, un peu froissés de trouver les gendarmes si passifs. En réalité, il n’en est rien. Mais faute d’indices probants, les militaires n’arrivent pas à mettre un nom sur le détraqué. La série noire continue. Une autre jument est retrouvée ligotée dans son pré, allongée sur le flanc.
CETTE FOIS, LE PERVERS A COMMIS UNE ERREUR
Jeudi 30 décembre. Alors qu’elle effectue sa tournée matinale, Joëlle trouve encore une fois un tabouret dans un box. Posé à côté, nul pot de vaseline, mais une petite bouteille du goudron liquide dont on se sert pour protéger les sabots des chevaux contre l’humidité. Appelé d’urgence, le vétérinaire constate une fois encore que le sexe de la pauvre bête en a été barbouillé. Pour faire office de lubrifiant ? Sans doute. Mais cette fois, le pervers a commis une erreur. Il est reparti avec du goudron plein les doigts, et il a laissé ses empreintes sur la porte du box. Les enquêteurs les prélèvent méticuleusement, et interrogent le fichier central. C’est un match ! Le violeur s’appelle Mourad, un type de 43 ans déjà condamné par le passé pour une série d’agressions sexuelles. Le détraqué « s’amusait » alors à caresser les fesses des vieilles dames dans la rue ! Chômeur et célibataire, il habite toujours chez ses parents, et on le voit souvent traîner dans le centre d’Agen, avec deux SDF aussi déglingués que lui. Gros fumeur, alcoolique, cocaïnomane, il serait en outre accro au porno. Il n’aurait eu qu’une seule vraie relation dans sa vie, avec une SDF qu’il a fini par cogner… Petit détail en plus : les enquêteurs découvrent qu’il ne se déplace qu’à vélo.
Interpellé, le suspect passe rapidement aux aveux.
— Avant, j’allais voir les prostituées, mais c’est trop cher et j’ai fini par m’en lasser ! se justifie-t-il.
D’où lui est venue cette idée saugrenue de se rabattre sur des juments ?
— Quand j’étais enfant, au Maroc, j’ai vu mes cousins violer une ânesse, répond-il.
UN SOMMET DE CONFESSION SORDIDE
Et c’est sans se faire prier qu’il détaille son mode opératoire. Le tabouret. Le lubrifiant. Comment il faut tenir l’animal pour l’empêcher de bouger… Un sommet de confession sordide ! Les enquêteurs lui demandent s’il a violé les juments à chacun de ses passages au centre équestre. Sa réponse est d’un cynisme glacial.
— Quand je suis sous coke, je n’arrive pas à bander, mais il m’arrive d’utiliser mes mains ou des objets.
Quant à la fameuse clef à mollette, déjà en possession des gendarmes, le violeur ne fournit pas d’explication… A la fin de sa garde à vue, ne voyant pas bien ce qu’il a fait de mal, Mourad commence à s’agacer.
— Ce ne sont que des animaux ! argumente-t-il.
Défendu par Me Sylvie Brussiau, l’homme a été jugé en comparution immédiate le 4 janvier dernier. Il n’a exprimé aucun remords face au juge. S’il reconnaît avoir pénétré les juments – la justice ne parle pas de viol quand il s’agit d’animaux –, il nie leur avoir fait subir des violences. Mais il reconnaît qu’avec l’alcool et la drogue, il ne se souvient pas toujours précisément de ce qu’il a fait…
« MOINS GRAVE QUE SI C’ÉTAIT UN ENFANT »…
De quoi faire bondir Me Sophie Grolleau, avocate de la SPA dans cette affaire.
— Que voulez-vous dire quand vous déclarez que ce ne sont « que des animaux » ? l’interroge-t-elle.
— Que c’est moins grave que si c’était un enfant…
Certes. Mourad a été condamné à quinze mois de prison ferme, avec (pour une fois) mandat de dépôt. Désormais, c’est lui qui est enfermé dans un box. Et pas question de sortir au pré. Souhaitons que ça le fasse réfléchir un peu…
Une enquête de Mathieu Fourquet
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Re: les mutilations et meurtres d'animaux
Savez -vous qu'en Algérie et en Tunisie les chardonnerets ont été massacrés ? Merci au Maroc : ils survivent encore .
Je suis tellement en colère , ils sont tout petits mais leur chant si mélodieux devait outrager leur prophète .
Pas de coexistence possible avec les massacreurs de Chardonnerets.
Je suis tellement en colère , ils sont tout petits mais leur chant si mélodieux devait outrager leur prophète .
Pas de coexistence possible avec les massacreurs de Chardonnerets.
Lisetoct
Re: les mutilations et meurtres d'animaux
Lisetoct
Re: les mutilations et meurtres d'animaux
Marseille : Un trafiquant d’espèces protégées condamné à six mois ferme
ANIMAUX Les policiers avaient été alertés, mardi, par les militants d’une association qui avaient repéré la présence de ce trafiquant sur le marché aux puces de Marseille, haut lieu de ce trafic
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ANIMAUX Les policiers avaient été alertés, mardi, par les militants d’une association qui avaient repéré la présence de ce trafiquant sur le marché aux puces de Marseille, haut lieu de ce trafic
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Lisetoct
Re: les mutilations et meurtres d'animaux
Lisetoct
Re: les mutilations et meurtres d'animaux
Pas-de-Calais : Prison ferme pour les ados qui ont tué et mutilé 30 animaux d’un retraité
CRUAUTÉ Jugés par le tribunal pour enfants de Béthune, les trois mineurs accusés d’avoir massacré les bêtes d’un octogénaire ont été condamnés à des peines de prison
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CRUAUTÉ Jugés par le tribunal pour enfants de Béthune, les trois mineurs accusés d’avoir massacré les bêtes d’un octogénaire ont été condamnés à des peines de prison
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Lisetoct
Re: les mutilations et meurtres d'animaux
Les affaires de zoophilie vont-elles envahir les tribunaux ?
DEVIANCES Deux affaires particulièrement sordides de zoophilie vont être bientôt jugées devant des tribunaux. Pour les associations, non seulement de tels faits se multiplient, mais ils ne révèlent que la partie émergée de l’iceberg
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DEVIANCES Deux affaires particulièrement sordides de zoophilie vont être bientôt jugées devant des tribunaux. Pour les associations, non seulement de tels faits se multiplient, mais ils ne révèlent que la partie émergée de l’iceberg
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Lisetoct
Re: les mutilations et meurtres d'animaux
Lisetoct a écrit:Les affaires de zoophilie vont-elles envahir les tribunaux ?
DEVIANCES Deux affaires particulièrement sordides de zoophilie vont être bientôt jugées devant des tribunaux. Pour les associations, non seulement de tels faits se multiplient, mais ils ne révèlent que la partie émergée de l’iceberg
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Bonjour Lisetoct,
La zoophilie encore légale dans trois pays européens
Hongrie, Roumanie, Finlande, dernier refuge de la bestialité légale
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Mais cet article date de 2015.
J'espère que depuis lors, les choses ont changé.
N.B: les enfants qui ont été victimes de sectes sataniques ont parfois du subir des viols commis par des animaux.
Re: les mutilations et meurtres d'animaux
Bonjour Kassandra
C'est inouï.
Selon cet article, l'interdiction de la zoophilie ne date que de :
1971 en France
2003 au Royaume-Uni
2007 en Belgique
2012 en Allemagne
2015 au Danemark
C'est inouï.
Selon cet article, l'interdiction de la zoophilie ne date que de :
1971 en France
2003 au Royaume-Uni
2007 en Belgique
2012 en Allemagne
2015 au Danemark
Tout ce que nous entendons est une opinion et non un fait;
Tout ce que nous voyons est une perspective et non la vérité.
Marc-Aurèle
Tout ce que nous voyons est une perspective et non la vérité.
Marc-Aurèle
Casta- Administrateur du forum
Re: les mutilations et meurtres d'animaux
Casta a écrit:Bonjour Kassandra
C'est inouï.
Selon cet article, l'interdiction de la zoophilie ne date que de :
1971 en France
2003 au Royaume-Uni
2007 en Belgique
2012 en Allemagne
2015 au Danemark
Grand merci Casta pour ce rappel . La barbarie humaine devrait être rappelée
Et là , on devrait adopter des sanctions beaucoup plus fortes .
Comment est-ce possible ces actes cruels ? violer une chatte? violer une chèvre ?
On devrait publier les noms et les photos de ces barbares . C'est le seul moyen d'endiguer cette sauvagerie .
Lisetoct
Re: les mutilations et meurtres d'animaux
Une vidéo partagée sur Facebook montre un enfant qui tente de poignarder un sanglier sous les encouragements de son père. Une enquête de flagrance, notamment pour « provocation de mineur à la commission d’un délit » et « acte de cruauté envers un animal », a été ouverte.
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Pauvre gamin!
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Pauvre gamin!
Re: les mutilations et meurtres d'animaux
De plus le père n'est pas doué. . .Un couteau Mora de cette longueur de lame pour atteindre le cœur d'un sanglier n'est pas suffisant.
Etre chasseur, bien souvent, c'est s'habiller en tenue de camouflage pour parcourir les bois avec les idiots du village qui tentent de se viriliser aux yeux des autres impuissants.
Cordialement,
Etre chasseur, bien souvent, c'est s'habiller en tenue de camouflage pour parcourir les bois avec les idiots du village qui tentent de se viriliser aux yeux des autres impuissants.
Cordialement,
JM
Re: les mutilations et meurtres d'animaux
2023
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les policiers ont entendu un homme crier et insulter, des bruits ressemblant à des coups et un chien hurler. Ils ont enfoncé la porte au bélier et ils ont embarqué Nour El Islam Benostmane, 43 ans maintenant, seul occupant des lieux, résidant à l’étage.
le type viole une chienne de 12 ans
Faut pas penser qu'ils aient honte ; Non . Un trou avec des hurlements de douleur , ça doit les faire jouir.
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les policiers ont entendu un homme crier et insulter, des bruits ressemblant à des coups et un chien hurler. Ils ont enfoncé la porte au bélier et ils ont embarqué Nour El Islam Benostmane, 43 ans maintenant, seul occupant des lieux, résidant à l’étage.
le type viole une chienne de 12 ans
Faut pas penser qu'ils aient honte ; Non . Un trou avec des hurlements de douleur , ça doit les faire jouir.
Lisetoct
Re: les mutilations et meurtres d'animaux
« Chenil de l’horreur » : Chien pendu, trafic de puces électroniques… Les propriétaires devant la justice, à Lille
PROCÈS Cinq personnes, propriétaires d’un chenil et d’un élevage, comparaissent devant le tribunal de Lille, suspectés de « sévices graves » envers les animaux
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PROCÈS Cinq personnes, propriétaires d’un chenil et d’un élevage, comparaissent devant le tribunal de Lille, suspectés de « sévices graves » envers les animaux
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Lisetoct
Re: les mutilations et meurtres d'animaux
Lisetoct
Re: les mutilations et meurtres d'animaux
Des oreilles coupées, des yeux crevés ou encore des parties génitales arrachées : à la fin de l’été 2020, entre deux confinements, un mystérieux phénomène se répand dans le pays : le nombre de cas de chevaux et d’ânes agressés se multiplie, des centaines de signalements, d’une cruauté parfois sans nom, sont recensées dans toutes la France. La panique s’installe.
Éleveurs et propriétaires d’équidés s’organisent. Des rondes sont élaborées et des caméras de surveillances sont installées près des enclos et des pâtures. Du côté du gouvernement, l’affaire est prise au sérieux et le ministère de l’Intérieur ouvre des cellules spécialisées, qui enquêtent partout en France. Au total, plus de 500 signalements seront recueillis pour blessures, mutilations ou morts suspectes d’équidés.
Trois ans après, l’épisode a tout, rétrospectivement, d’une psychose. Il y a bien eu une légère hausse des cas des actes de cruauté en 2020, mais d’une ampleur limitée. Sur les 500 signalements, seuls 84 étaient de véritables actes de cruauté dus à l’action humaine. Le reste ? Des accidents, des animaux qui se blessent entre eux, ou encore des plaies post-mortem infligées par des charognards. Et un énorme mensonge, par lequel tout a commencé, comme le détaille le magazine d’analyse des médias de l’INA dans un long récit publié ces derniers jours.
Un mensonge pour lancer l’affaire
Pauline S. est l’une des premières personnes à témoigner, il y a trois ans. Sa jument Lady est retrouvé morte le samedi 6 juin 2020 vers Grèges, en Seine-Maritime. Les photos qu’elle partage sont terribles : oreille droite coupée et tête déchiquetée. « Elle allait parfaitement bien avant que je ne parte », assure-t-elle aux informations dieppoises, et à tous les médias qu’elle alerte. Sauf que quelques jours avant le drame, la Normande a fait l’objet d’un signalement auprès des autorités sanitaires. En quelques mois, un vétérinaire a euthanasié cinq équidés lui appartenant. Pauline S. n’arrivait plus à s’occuper de ces animaux et à les nourrir correctement.
La jeune femme sera condamnée un an plus tard, en 2021, à quatre mois de prison avec sursis pour mauvais traitements et dénonciation mensongère. La jument n’est en effet pas morte à la suite d’un rituel satanique, mais à cause de la chienne de Pauline S., qui affamée, s’est jetée dessus. Pourquoi mentir ? La jeune femme craignait que sa chienne soit euthanasiée, et a donc induit les enquêteurs sur une piste criminelle. À laquelle peu croyaient d’ailleurs au départ, privilégiant celle d’une attaque de corbeaux.
Retour en 2020. Une dizaine de jours après la mort de sa jument, c’est un âne nommé Scipion qui est tué à en Seine-Maritime. Il a été retrouvé l’œil crevé avec, comme la jument de Pauline S., l’oreille droite coupée. La jeune femme rentre en contact avec le propriétaire. Trois ans après les faits, Loïck Crampon est formel : « Vu la netteté de la coupure au niveau de l’oreille ça ne peut qu’être qu’un coup de lame. » Il n’en démord pas, la jument de Pauline S. et son âne ont été attaqués par le « gang massacreur de chevaux » évoqué par le très sensationnaliste « Nouveau Détective ».
Contrairement à la jument de Pauline S., l’acte de cruauté a bien été envisagé par le Service central du renseignement territorial (SCRT) pour son âne Scipion. Mais « personne n’a été retrouvé, du moins pas à ma connaissance car nous n’avons plus du tout de nouvelles », confie l’éleveur. Il ajoute tristement : « Peut-être que c’est à cause de mensonges et de faux témoignages qu’il y a eu un frein dans l’enquête, cela a pu décrédibiliser les vraies victimes… »
Un homme également attaqué
Nicolas Demajean, président de l’association SOS Chevaux mutilés et propriétaire du Ranch de l’Espoir, à Villefranche-Saint-Phal, dans l’Yonne, a lui-même été attaqué. Dans la nuit du 24 au 25 août 2020, deux personnes s’introduisent chez lui. « J’ai pris un coup de hachette au niveau du bras et j’ai retrouvé deux de mes juments couchées au sol avec l’abdomen ouvert. » Atteint d’un handicap, l’homme explique qu’il s’est « débattu avec sa canne » et s’est « retrouvé avec le sang » de son agresseur sur ces vêtements.
Quelques semaines après sa première agression, deux autres de ses chevaux sont attaqués. Mais « la police scientifique a constaté que ce n’était pas la même épaisseur de lame et donc que ce n’étaient pas les mêmes personnes », précise Nicolas Demajean.
Pour lui, c’est sûr, c’est l’œuvre d’une secte, car « un gourou m’a écrit une lettre de menace de mort ». Il permet à la police de réaliser un premier portrait-robot. Une personne est interpellée en Allemagne. Mais elle ne correspond pas.
Le rôle de la médiatisation
Plusieurs théories surgissent, à l’époque : œuvres sataniques, sectes ou même challenges lancés sur les réseaux sociaux. Tout est envisagé car rien n’est homogène ni cohérent dans ces agressions. Elles ne touchent ni un territoire ni une espèce précise. Les chevaux de compétitions ne sont pas spécialement visés. Et surtout, le phénomène n’est pas totalement nouveau : dans les années 1970 et 1980, le Royaume-Uni et les États-Unis avaient déjà été touchés par des épisodes similaires. Sans qu’aucune enquête ne vienne privilégier la piste criminelle.
Fin 2020, bis repetita : la majorité des investigations peinent à trouver à ces mutilations et décès des origines autres qu’accidentelles. Il apparaît alors évident qu’une partie de la hausse des signalements est à imputer à la médiatisation de l’affaire qui aurait semé le doute chez les éleveurs. Quand la lumière s’éteint, les signalements diminuent d’ailleurs.
Et depuis ? Une nouvelle attaque a bien été recensée dans l’Yonne en juin dernier, mais « la situation n’a rien à voir avec le phénomène de 2020 », balaie l’Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique.
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Éleveurs et propriétaires d’équidés s’organisent. Des rondes sont élaborées et des caméras de surveillances sont installées près des enclos et des pâtures. Du côté du gouvernement, l’affaire est prise au sérieux et le ministère de l’Intérieur ouvre des cellules spécialisées, qui enquêtent partout en France. Au total, plus de 500 signalements seront recueillis pour blessures, mutilations ou morts suspectes d’équidés.
Trois ans après, l’épisode a tout, rétrospectivement, d’une psychose. Il y a bien eu une légère hausse des cas des actes de cruauté en 2020, mais d’une ampleur limitée. Sur les 500 signalements, seuls 84 étaient de véritables actes de cruauté dus à l’action humaine. Le reste ? Des accidents, des animaux qui se blessent entre eux, ou encore des plaies post-mortem infligées par des charognards. Et un énorme mensonge, par lequel tout a commencé, comme le détaille le magazine d’analyse des médias de l’INA dans un long récit publié ces derniers jours.
Un mensonge pour lancer l’affaire
Pauline S. est l’une des premières personnes à témoigner, il y a trois ans. Sa jument Lady est retrouvé morte le samedi 6 juin 2020 vers Grèges, en Seine-Maritime. Les photos qu’elle partage sont terribles : oreille droite coupée et tête déchiquetée. « Elle allait parfaitement bien avant que je ne parte », assure-t-elle aux informations dieppoises, et à tous les médias qu’elle alerte. Sauf que quelques jours avant le drame, la Normande a fait l’objet d’un signalement auprès des autorités sanitaires. En quelques mois, un vétérinaire a euthanasié cinq équidés lui appartenant. Pauline S. n’arrivait plus à s’occuper de ces animaux et à les nourrir correctement.
La jeune femme sera condamnée un an plus tard, en 2021, à quatre mois de prison avec sursis pour mauvais traitements et dénonciation mensongère. La jument n’est en effet pas morte à la suite d’un rituel satanique, mais à cause de la chienne de Pauline S., qui affamée, s’est jetée dessus. Pourquoi mentir ? La jeune femme craignait que sa chienne soit euthanasiée, et a donc induit les enquêteurs sur une piste criminelle. À laquelle peu croyaient d’ailleurs au départ, privilégiant celle d’une attaque de corbeaux.
Retour en 2020. Une dizaine de jours après la mort de sa jument, c’est un âne nommé Scipion qui est tué à en Seine-Maritime. Il a été retrouvé l’œil crevé avec, comme la jument de Pauline S., l’oreille droite coupée. La jeune femme rentre en contact avec le propriétaire. Trois ans après les faits, Loïck Crampon est formel : « Vu la netteté de la coupure au niveau de l’oreille ça ne peut qu’être qu’un coup de lame. » Il n’en démord pas, la jument de Pauline S. et son âne ont été attaqués par le « gang massacreur de chevaux » évoqué par le très sensationnaliste « Nouveau Détective ».
Contrairement à la jument de Pauline S., l’acte de cruauté a bien été envisagé par le Service central du renseignement territorial (SCRT) pour son âne Scipion. Mais « personne n’a été retrouvé, du moins pas à ma connaissance car nous n’avons plus du tout de nouvelles », confie l’éleveur. Il ajoute tristement : « Peut-être que c’est à cause de mensonges et de faux témoignages qu’il y a eu un frein dans l’enquête, cela a pu décrédibiliser les vraies victimes… »
Un homme également attaqué
Nicolas Demajean, président de l’association SOS Chevaux mutilés et propriétaire du Ranch de l’Espoir, à Villefranche-Saint-Phal, dans l’Yonne, a lui-même été attaqué. Dans la nuit du 24 au 25 août 2020, deux personnes s’introduisent chez lui. « J’ai pris un coup de hachette au niveau du bras et j’ai retrouvé deux de mes juments couchées au sol avec l’abdomen ouvert. » Atteint d’un handicap, l’homme explique qu’il s’est « débattu avec sa canne » et s’est « retrouvé avec le sang » de son agresseur sur ces vêtements.
Quelques semaines après sa première agression, deux autres de ses chevaux sont attaqués. Mais « la police scientifique a constaté que ce n’était pas la même épaisseur de lame et donc que ce n’étaient pas les mêmes personnes », précise Nicolas Demajean.
Pour lui, c’est sûr, c’est l’œuvre d’une secte, car « un gourou m’a écrit une lettre de menace de mort ». Il permet à la police de réaliser un premier portrait-robot. Une personne est interpellée en Allemagne. Mais elle ne correspond pas.
Le rôle de la médiatisation
Plusieurs théories surgissent, à l’époque : œuvres sataniques, sectes ou même challenges lancés sur les réseaux sociaux. Tout est envisagé car rien n’est homogène ni cohérent dans ces agressions. Elles ne touchent ni un territoire ni une espèce précise. Les chevaux de compétitions ne sont pas spécialement visés. Et surtout, le phénomène n’est pas totalement nouveau : dans les années 1970 et 1980, le Royaume-Uni et les États-Unis avaient déjà été touchés par des épisodes similaires. Sans qu’aucune enquête ne vienne privilégier la piste criminelle.
Fin 2020, bis repetita : la majorité des investigations peinent à trouver à ces mutilations et décès des origines autres qu’accidentelles. Il apparaît alors évident qu’une partie de la hausse des signalements est à imputer à la médiatisation de l’affaire qui aurait semé le doute chez les éleveurs. Quand la lumière s’éteint, les signalements diminuent d’ailleurs.
Et depuis ? Une nouvelle attaque a bien été recensée dans l’Yonne en juin dernier, mais « la situation n’a rien à voir avec le phénomène de 2020 », balaie l’Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique.
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