Affaires élucidées.
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Tueur en série : le grêlé. :: AFFAIRES EN COURS :: AFFAIRES RÉSOLUES .... ou presque
affaires TROADEC, DAVAL, Anaïs G, WISSEM, Lucas T., Sophie Narme
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Re: Affaires élucidées.
Didier a écrit:Moi suis étonné du laxisme de la justice.
Ce gars est tellement retord qu'il a réussi à convaincre son oncle et sa grand mère qu'il était innocent. Personne n'a donc fait opposition à sa libération conditionnelle. Déni, vous avez dit déni???
Affaire Emile Louis
Quatre squelettes de jeunes adultes découverts au bord de l'Yonne. Pierre Monnoir, l'emblématique président de l'association des disparues de l'Yonne ne peut s'empêcher de faire un lien avec l'affaire Emile Louis.
Quatre squelettes ont été découverts cette semaine sur les bords de l'Yonne à Gurgy (Yonne) lors de travaux de terrassement pour un parking. Les corps étaient enterrés à peu près entre 40 et 50 cm de profondeur. Les travaux ont été interrompus et les tas de terre décaissés dans lesquels des os ont été aussi découverts sont placés sous contrôle de la gendarmerie. Il s'agirait de jeunes corps adultes.
Un lien avec l'affaire des disparues de l'Yonne ? «On ne peut pas s'empêcher de faire un lien éventuel avec les disparues de l'Yonne. Dans cette affaire, il nous manque cinq corps. Des familles attendent toujours de donner une sépulture aux victimes du tueur Emile Louis», réagit Pierre Monnoir, l'emblématique président de l'association des disparues de l'Yonne.
Lors de l'enquête sur le tueur en série Emile Louis, seuls les corps de Jacqueline Weiss et Madeleine Dejust ont été retrouvés dans l’Yonne, lors de fouilles en décembre 2000 sur les bords de la rivière du Serein, le coin de pêche préféré du tueur à la crinière blanche décédé en détention en octobre 2013, après avoir été condamné en appel en juin 2006 à la réclusion à perpétuité.
Les os vont être analysés pour datation
Emile Louis, chauffeur de car scolaire, avait reconnu en 2000 avoir tué sept jeunes filles, donnant des précisions pour les lieux d’inhumlation de deux d’entre elles. Il n'a jamais indiqué où il avait fait disparaître les autres victimes : Christine Marlot, Chantal Gras, Bernadette Lemoine et Françoise Lemoine et Martine Renault. Il a longtemps vécu à Seignelay non loin de la commune de Gurgy et fréquentait assidûment les rives de l'Yonne où il aimait aller pêcher.
Les ossements sont partis pour expertises à l'Institut de recherches criminelles de la gendarmerie nationale (Ircgn) pour datation. Les résultats ne sont pas attendus avant dans plusieurs semaines.
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Quatre squelettes ont été découverts cette semaine sur les bords de l'Yonne à Gurgy (Yonne) lors de travaux de terrassement pour un parking. Les corps étaient enterrés à peu près entre 40 et 50 cm de profondeur. Les travaux ont été interrompus et les tas de terre décaissés dans lesquels des os ont été aussi découverts sont placés sous contrôle de la gendarmerie. Il s'agirait de jeunes corps adultes.
Un lien avec l'affaire des disparues de l'Yonne ? «On ne peut pas s'empêcher de faire un lien éventuel avec les disparues de l'Yonne. Dans cette affaire, il nous manque cinq corps. Des familles attendent toujours de donner une sépulture aux victimes du tueur Emile Louis», réagit Pierre Monnoir, l'emblématique président de l'association des disparues de l'Yonne.
Lors de l'enquête sur le tueur en série Emile Louis, seuls les corps de Jacqueline Weiss et Madeleine Dejust ont été retrouvés dans l’Yonne, lors de fouilles en décembre 2000 sur les bords de la rivière du Serein, le coin de pêche préféré du tueur à la crinière blanche décédé en détention en octobre 2013, après avoir été condamné en appel en juin 2006 à la réclusion à perpétuité.
Les os vont être analysés pour datation
Emile Louis, chauffeur de car scolaire, avait reconnu en 2000 avoir tué sept jeunes filles, donnant des précisions pour les lieux d’inhumlation de deux d’entre elles. Il n'a jamais indiqué où il avait fait disparaître les autres victimes : Christine Marlot, Chantal Gras, Bernadette Lemoine et Françoise Lemoine et Martine Renault. Il a longtemps vécu à Seignelay non loin de la commune de Gurgy et fréquentait assidûment les rives de l'Yonne où il aimait aller pêcher.
Les ossements sont partis pour expertises à l'Institut de recherches criminelles de la gendarmerie nationale (Ircgn) pour datation. Les résultats ne sont pas attendus avant dans plusieurs semaines.
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Affaire Emile Louis
Kassandra88 a écrit:Quatre squelettes de jeunes adultes découverts au bord de l'Yonne. Pierre Monnoir, l'emblématique président de l'association des disparues de l'Yonne ne peut s'empêcher de faire un lien avec l'affaire Emile Louis.
Quatre squelettes ont été découverts cette semaine sur les bords de l'Yonne à Gurgy (Yonne) lors de travaux de terrassement pour un parking. Les corps étaient enterrés à peu près entre 40 et 50 cm de profondeur. Les travaux ont été interrompus et les tas de terre décaissés dans lesquels des os ont été aussi découverts sont placés sous contrôle de la gendarmerie. Il s'agirait de jeunes corps adultes.
Un lien avec l'affaire des disparues de l'Yonne ? «On ne peut pas s'empêcher de faire un lien éventuel avec les disparues de l'Yonne. Dans cette affaire, il nous manque cinq corps. Des familles attendent toujours de donner une sépulture aux victimes du tueur Emile Louis», réagit Pierre Monnoir, l'emblématique président de l'association des disparues de l'Yonne.
Lors de l'enquête sur le tueur en série Emile Louis, seuls les corps de Jacqueline Weiss et Madeleine Dejust ont été retrouvés dans l’Yonne, lors de fouilles en décembre 2000 sur les bords de la rivière du Serein, le coin de pêche préféré du tueur à la crinière blanche décédé en détention en octobre 2013, après avoir été condamné en appel en juin 2006 à la réclusion à perpétuité.
Les os vont être analysés pour datation
Emile Louis, chauffeur de car scolaire, avait reconnu en 2000 avoir tué sept jeunes filles, donnant des précisions pour les lieux d’inhumlation de deux d’entre elles. Il n'a jamais indiqué où il avait fait disparaître les autres victimes : Christine Marlot, Chantal Gras, Bernadette Lemoine et Françoise Lemoine et Martine Renault. Il a longtemps vécu à Seignelay non loin de la commune de Gurgy et fréquentait assidûment les rives de l'Yonne où il aimait aller pêcher.
Les ossements sont partis pour expertises à l'Institut de recherches criminelles de la gendarmerie nationale (Ircgn) pour datation. Les résultats ne sont pas attendus avant dans plusieurs semaines.
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Ce ne sont pas 3 victimes d'Emile Louis, mais 3 squelettes d'homme.
Les anthroplogues de l'Institut de recherches criminelles de la gendarmerie nationale (IRCGN) sont formels. Quant à la datation des corps, elle devrait intervenir en fin de cette semaine.
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Dernière édition par Kassandra88 le Lun 26 Juin 2017, 17:28, édité 1 fois
meurtre de Valentin Vermeesch
Kassandra88 a écrit:Kassandra88 a écrit:Qui sont vraiment les handicapés mentaux????
Alexandre
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Dorian
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Loic
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Belinda
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Killian 16 ans
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Loick Masson a demandé à pouvoir bénéficier d’un bracelet électronique pour rester détenu à domicile. Après examen de son dossier, la chambre du conseil de Huy a rejeté sa demande de libération conditionnelle.
Une reconstitution du crime aura normalement lieu mercredi et jeudi prochains.
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Affaire Emile Louis
Kassandra88 a écrit:Kassandra88 a écrit:Quatre squelettes de jeunes adultes découverts au bord de l'Yonne. Pierre Monnoir, l'emblématique président de l'association des disparues de l'Yonne ne peut s'empêcher de faire un lien avec l'affaire Emile Louis.
Quatre squelettes ont été découverts cette semaine sur les bords de l'Yonne à Gurgy (Yonne) lors de travaux de terrassement pour un parking. Les corps étaient enterrés à peu près entre 40 et 50 cm de profondeur. Les travaux ont été interrompus et les tas de terre décaissés dans lesquels des os ont été aussi découverts sont placés sous contrôle de la gendarmerie. Il s'agirait de jeunes corps adultes.
Un lien avec l'affaire des disparues de l'Yonne ? «On ne peut pas s'empêcher de faire un lien éventuel avec les disparues de l'Yonne. Dans cette affaire, il nous manque cinq corps. Des familles attendent toujours de donner une sépulture aux victimes du tueur Emile Louis», réagit Pierre Monnoir, l'emblématique président de l'association des disparues de l'Yonne.
Lors de l'enquête sur le tueur en série Emile Louis, seuls les corps de Jacqueline Weiss et Madeleine Dejust ont été retrouvés dans l’Yonne, lors de fouilles en décembre 2000 sur les bords de la rivière du Serein, le coin de pêche préféré du tueur à la crinière blanche décédé en détention en octobre 2013, après avoir été condamné en appel en juin 2006 à la réclusion à perpétuité.
Les os vont être analysés pour datation
Emile Louis, chauffeur de car scolaire, avait reconnu en 2000 avoir tué sept jeunes filles, donnant des précisions pour les lieux d’inhumlation de deux d’entre elles. Il n'a jamais indiqué où il avait fait disparaître les autres victimes : Christine Marlot, Chantal Gras, Bernadette Lemoine et Françoise Lemoine et Martine Renault. Il a longtemps vécu à Seignelay non loin de la commune de Gurgy et fréquentait assidûment les rives de l'Yonne où il aimait aller pêcher.
Les ossements sont partis pour expertises à l'Institut de recherches criminelles de la gendarmerie nationale (Ircgn) pour datation. Les résultats ne sont pas attendus avant dans plusieurs semaines.
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Ce ne sont pas 3 victimes d'Emile Louis, mais 3 squelettes d'homme.
Les anthroplogues de l'Institut de recherches criminelles de la gendarmerie nationale (IRCGN) sont formels. Quant à la datation des corps, elle devrait intervenir en fin de cette semaine.
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Les squelettes de Gurgy ne cachaient pas un cimetière caché d'Emile Louis
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meurtre de Valentin Vermeesch
Nouveau rebondissement dans l'affaire du jeune Valentin à Huy: un bourreau avoue qu'ils se sont concertés pour le noyer!
Valentin Vermeesch, Wanzois de 18 ans, a subi 5 heures d’épouvantables sévices avant d’être jeté, menotté, dans les eaux de la Meuse, à Huy. Si les jeunes qui ont été inculpés dans ce dossier l’ont été pour meurtre, on apprend aujourd’hui que la qualification pourrait changer en «assassinat».
L’un des jeunes a avoué qu’ils s’étaient concertés pour le noyer. Et ce, pour effacer les traces des sévices infligés à leur victime.
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Valentin Vermeesch, Wanzois de 18 ans, a subi 5 heures d’épouvantables sévices avant d’être jeté, menotté, dans les eaux de la Meuse, à Huy. Si les jeunes qui ont été inculpés dans ce dossier l’ont été pour meurtre, on apprend aujourd’hui que la qualification pourrait changer en «assassinat».
L’un des jeunes a avoué qu’ils s’étaient concertés pour le noyer. Et ce, pour effacer les traces des sévices infligés à leur victime.
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Re: Affaires élucidées.
Un couple retrouvé momifié dans un glacier, 75 ans après sa disparition.
Le directeur du domaine skiable pense que le couple est probablement tombé dans une crevasse et que le glacier a rendu les corps à la suite du réchauffement climatique.
La police va effectuer une recherche ADN, mais selon Le Matin, qui cite une des six enfants du couple, il s'agirait d'un cordonnier de 40 ans et de sa femme institutrice de 37 ans, qui étaient partis à pied le 15 août 1942 du village de Chandolin pour nourrir leur bétail dans les montagnes.
Ils devaient rentrer le soir même, mais après deux mois et demi de recherches infructueuses, les 6 enfants devenus orphelins ont dû être placés dans des familles d'accueil.
«Nous avons passé notre vie à les rechercher sans relâche. Nous ne croyions pas pouvoir leur donner un jour les obsèques qu'ils méritaient», a confié au Matin Marceline, qui avait 4 ans au moment de la disparition de ses parents.
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Le directeur du domaine skiable pense que le couple est probablement tombé dans une crevasse et que le glacier a rendu les corps à la suite du réchauffement climatique.
La police va effectuer une recherche ADN, mais selon Le Matin, qui cite une des six enfants du couple, il s'agirait d'un cordonnier de 40 ans et de sa femme institutrice de 37 ans, qui étaient partis à pied le 15 août 1942 du village de Chandolin pour nourrir leur bétail dans les montagnes.
Ils devaient rentrer le soir même, mais après deux mois et demi de recherches infructueuses, les 6 enfants devenus orphelins ont dû être placés dans des familles d'accueil.
«Nous avons passé notre vie à les rechercher sans relâche. Nous ne croyions pas pouvoir leur donner un jour les obsèques qu'ils méritaient», a confié au Matin Marceline, qui avait 4 ans au moment de la disparition de ses parents.
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Re: Affaires élucidées.
Kassandra88 a écrit:Un couple retrouvé momifié dans un glacier, 75 ans après sa disparition.
Le directeur du domaine skiable pense que le couple est probablement tombé dans une crevasse et que le glacier a rendu les corps à la suite du réchauffement climatique.
La police va effectuer une recherche ADN, mais selon Le Matin, qui cite une des six enfants du couple, il s'agirait d'un cordonnier de 40 ans et de sa femme institutrice de 37 ans, qui étaient partis à pied le 15 août 1942 du village de Chandolin pour nourrir leur bétail dans les montagnes.
Ils devaient rentrer le soir même, mais après deux mois et demi de recherches infructueuses, les 6 enfants devenus orphelins ont dû être placés dans des familles d'accueil.
«Nous avons passé notre vie à les rechercher sans relâche. Nous ne croyions pas pouvoir leur donner un jour les obsèques qu'ils méritaient», a confié au Matin Marceline, qui avait 4 ans au moment de la disparition de ses parents.
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Le Violeur des balcons
Le Violeur des balcons renvoyé devant les assises. Le procès devrait avoir lieu au premier semestre 2018.
Un homme escaladait les façades pour surprendre ses victimes. Il est accusé de six viols et quatre tentatives, entre 2013 et 2015, principalement dans le Vaucluse.
Après de longs mois d'enquête infructueuse, la police judiciaire, appuyée par l'Office central pour la répression des violences aux personnes, sollicite l'aide d'une profileuse, qui classe l'agresseur dans la catégorie du «violeur gentleman», c'est-à-dire qui passe à l'acte pour se rassurer sur sa virilité. «Comme s'il était l'Arsène Lupin du viol, un homme extrêmement courtois et poli !
Il finira par se trahir. Il laisse son ADN, et son véhicule est signalé à deux reprises, notamment par un témoin qui le surprend en train de grimper à un immeuble et relève l'immatriculation de sa voiture. Placé en garde à vue en janvier 2015, il avoue tout, reconnaissant même d'autres agressions et se déclare «soulagé» de déposer «ce fardeau».
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Un homme escaladait les façades pour surprendre ses victimes. Il est accusé de six viols et quatre tentatives, entre 2013 et 2015, principalement dans le Vaucluse.
Après de longs mois d'enquête infructueuse, la police judiciaire, appuyée par l'Office central pour la répression des violences aux personnes, sollicite l'aide d'une profileuse, qui classe l'agresseur dans la catégorie du «violeur gentleman», c'est-à-dire qui passe à l'acte pour se rassurer sur sa virilité. «Comme s'il était l'Arsène Lupin du viol, un homme extrêmement courtois et poli !
Il finira par se trahir. Il laisse son ADN, et son véhicule est signalé à deux reprises, notamment par un témoin qui le surprend en train de grimper à un immeuble et relève l'immatriculation de sa voiture. Placé en garde à vue en janvier 2015, il avoue tout, reconnaissant même d'autres agressions et se déclare «soulagé» de déposer «ce fardeau».
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Re: Affaires élucidées.
Quand des internautes aident Europol à résoudre des affaires de pédophilie
L'office européen de police criminelle a publié sur son site et sur Twitter la photo d'une chambre d'hôtel dont la localisation lui était inconnue. Résultat, des internautes sont parvenus à l'identifier.
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disparition de Fiona
Publié à la demande de Ninaben
Bonjour,
Le jour où... Une voyante a parlé de Fiona
Cécile Bourgeon et son compagnon Berkane Makhlouf s’accusent mutuellement de coups mortels sur la petite Fiona. La mère a été acquittée pour ce crime, tandis que le beau-père a écopé de vingt ans de prison.
Le corps de la petite fille de 5 ans n'a jamais été retrouvé. Au procès de sa mère et de son beau-père, jugés pour coups mortels, ce mystère a suscité toutes les folies.
L'air décidé, une femme brune se campe à la barre. Devant la cour d'assises du Puy-de-Dôme, ce 16 novembre 2016, Julieta, 47 ans, décline identité et profession : «Conseiller de vie. Médium-radiesthésiste», énonce-t-elle. La salle murmure... Le témoin, convoqué par le président après avoir sollicité l'une des avocates des parties civiles la nuit d'avant sous prétexte de révélations, poursuit : «La petite Fiona m'a contactée tout au début de l'affaire. Quand j'ai vu sa mère, j'ai tout de suite su qu'ils l'avaient tuée. La petite m'a dit que c'était une histoire de drogue, qu'ils l'avaient frappée puis enterrée dans la nuit du dimanche au lundi. Elle m'a indiqué l'endroit...» Le public frémit, l'avocat général s'agace... Et au terme d'un récit délirant, la voyante s'effondre, évanouie !
LIRE AUSSI
> Cécile Bourgeon, la mère de Fiona, «impatiente de sortir de prison»
Jailli au troisième jour du procès de Cécile Bourgeon et de son ex-compagnon, Berkane Makhlouf, jugés pour «coups mortels aggravés» sur Fiona, 5 ans, cet épisode calamiteux illustre la folie que suscite cette affaire. Au mensonge initial du couple, qui a inventé le scénario d'une disparition de la fillette, et à l'incertitude sur les causes de sa mort s'ajoute ce mystère : qu'est devenu le corps ? La petite dépouille a-t-elle été jetée dans un conteneur à ordures, comme le pensent certains des enquêteurs et l'avocat du père biologique de l'enfant, M e Charles Fribourg ? Ou enterrée aux alentours du lac d'Aydat, dans les montagnes du sud de Clermont-Ferrand, comme l'ont réaffirmé maintes fois les accusés lors des débats ?
Sépulture fantôme
«Non, je n'ai jamais jeté Fiona à la poubelle. On a décidé d'aller l'enterrer», a répété Berkane Makhlouf. Le grand sac qu'un témoin l'a vu descendre le 13 mai 2013 au soir sur son épaule ? «C'était les ordures ordinaires», dit-il. «Les draps et la serviette souillée», assure Cécile Bourgeon. Celle-ci était au volant lorsqu'ils sont partis en voiture, «défoncés» aux médicaments, avec le corps de Fiona à l'arrière, caché dans un autre sac posé à côté de sa soeur de 2 ans, embarquée dans leur macabre périple.
Durant l'enquête, l'un et l'autre n'ont livré que de maigres indications sur leur parcours jusqu'à l'endroit où lui s'est mis à creuser la terre : «Une route à gauche. Un panneau marron. Un petit chemin qui monte. Une pelle au fond d'un jardin. Un champ avec un barbelé... » Là, quelque part, ils ont enseveli l'enfant, nue. «Elle avait son petit pendentif...» a précisé sa mère.
LIRE AUSSI
> Le père de Fiona : « Ses grands yeux bleus, c'était le ciel »
«Cela fait trois ans, je n'y arrive pas. C'est un trou noir... Si je sors, j'irai la trouver», a exprimé Cécile Bourgeon lors du procès. Son amnésie sur la localisation de cette tombe de fortune, considérée comme un possible «système de défense» par les experts psychiatres, attise les rancoeurs à son égard. «Si elle savait, elle l'aurait dit», estiment pourtant ses proches. «Elle sait que cela paraît incompréhensible, soulignent ses avocats, M es Gilles-Jean et Renaud Portejoie. On pense : Comment peut-on ne pas se souvenir où on a enterré sa gamine. Elle l'explique par le traumatisme de la découverte de Fiona, la panique, ce cocktail de stupéfiants, la peur de perdre ses autres enfants... Elle y aurait intérêt mais n'y parvient vraiment pas.»
L'absence de corps nourrit les fantasmes. Durant l'enquête, les allégations d'une cinquantaine de radiesthésistes - dont celles de la fameuse Julieta, découvre-t-on à l'audience - ont été vérifiées par les policiers, rappelle M e Marie Grimaud, avocate d'une des associations parties civiles au dossier. La quête de la sépulture fantôme conduit même de simples citoyens, connectés sur les réseaux sociaux, à se retrouver régulièrement pour des recherches. Or la zone délimitée à l'époque par les policiers pour les opérations de recherche s'étend sur 300 km2.
LIRE AUSSI
>Chronologie d'une tragédie
En décembre, la pseudo-découverte d'une promeneuse près d'Aydat a suscité l'émoi : un sac d'ossements, qui se sont révélés être ceux d'un animal. Quant à la médium surgie aux assises, elle n'a pas renoncé : sur la page Facebook de Julieta figure un montage audio censé rendre compte d'une récente «tentative de communication avec Fiona» en juin...
Les dates clés de l'affaire
12 mai 2013. Cécile Bourgeon, 25 ans, signale la disparition de sa fille Fiona, 5 ans, au parc Montjuzet de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme). De vaines recherches sont lancées.
24 septembre 2013. La mère de Fiona et son compagnon, Berkane Makhlouf, 32 ans, avouent avoir menti. Le couple dit avoir découvert l'enfant sans vie dans son lit le 12 mai et l'avoir enterré sur les hauteurs de Clermont-Ferrand. Ils s'accuseront mutuellement de coups sur l'enfant.
14-26 novembre 2016. Berkane Makhlouf est condamné à vingt ans de réclusion pour « coups mortels aggravés » sur Fiona. Cécile Bourgeon écope de cinq ans de prison, notamment pour non-dénonciation de crime.
9-20 octobre 2017. Le procès en appel doit se tenir devant les assises de la Haute-Loire.
Source : Le Parisien
Bonjour,
Le jour où... Une voyante a parlé de Fiona
Cécile Bourgeon et son compagnon Berkane Makhlouf s’accusent mutuellement de coups mortels sur la petite Fiona. La mère a été acquittée pour ce crime, tandis que le beau-père a écopé de vingt ans de prison.
Le corps de la petite fille de 5 ans n'a jamais été retrouvé. Au procès de sa mère et de son beau-père, jugés pour coups mortels, ce mystère a suscité toutes les folies.
L'air décidé, une femme brune se campe à la barre. Devant la cour d'assises du Puy-de-Dôme, ce 16 novembre 2016, Julieta, 47 ans, décline identité et profession : «Conseiller de vie. Médium-radiesthésiste», énonce-t-elle. La salle murmure... Le témoin, convoqué par le président après avoir sollicité l'une des avocates des parties civiles la nuit d'avant sous prétexte de révélations, poursuit : «La petite Fiona m'a contactée tout au début de l'affaire. Quand j'ai vu sa mère, j'ai tout de suite su qu'ils l'avaient tuée. La petite m'a dit que c'était une histoire de drogue, qu'ils l'avaient frappée puis enterrée dans la nuit du dimanche au lundi. Elle m'a indiqué l'endroit...» Le public frémit, l'avocat général s'agace... Et au terme d'un récit délirant, la voyante s'effondre, évanouie !
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> Cécile Bourgeon, la mère de Fiona, «impatiente de sortir de prison»
Jailli au troisième jour du procès de Cécile Bourgeon et de son ex-compagnon, Berkane Makhlouf, jugés pour «coups mortels aggravés» sur Fiona, 5 ans, cet épisode calamiteux illustre la folie que suscite cette affaire. Au mensonge initial du couple, qui a inventé le scénario d'une disparition de la fillette, et à l'incertitude sur les causes de sa mort s'ajoute ce mystère : qu'est devenu le corps ? La petite dépouille a-t-elle été jetée dans un conteneur à ordures, comme le pensent certains des enquêteurs et l'avocat du père biologique de l'enfant, M e Charles Fribourg ? Ou enterrée aux alentours du lac d'Aydat, dans les montagnes du sud de Clermont-Ferrand, comme l'ont réaffirmé maintes fois les accusés lors des débats ?
Sépulture fantôme
«Non, je n'ai jamais jeté Fiona à la poubelle. On a décidé d'aller l'enterrer», a répété Berkane Makhlouf. Le grand sac qu'un témoin l'a vu descendre le 13 mai 2013 au soir sur son épaule ? «C'était les ordures ordinaires», dit-il. «Les draps et la serviette souillée», assure Cécile Bourgeon. Celle-ci était au volant lorsqu'ils sont partis en voiture, «défoncés» aux médicaments, avec le corps de Fiona à l'arrière, caché dans un autre sac posé à côté de sa soeur de 2 ans, embarquée dans leur macabre périple.
Durant l'enquête, l'un et l'autre n'ont livré que de maigres indications sur leur parcours jusqu'à l'endroit où lui s'est mis à creuser la terre : «Une route à gauche. Un panneau marron. Un petit chemin qui monte. Une pelle au fond d'un jardin. Un champ avec un barbelé... » Là, quelque part, ils ont enseveli l'enfant, nue. «Elle avait son petit pendentif...» a précisé sa mère.
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> Le père de Fiona : « Ses grands yeux bleus, c'était le ciel »
«Cela fait trois ans, je n'y arrive pas. C'est un trou noir... Si je sors, j'irai la trouver», a exprimé Cécile Bourgeon lors du procès. Son amnésie sur la localisation de cette tombe de fortune, considérée comme un possible «système de défense» par les experts psychiatres, attise les rancoeurs à son égard. «Si elle savait, elle l'aurait dit», estiment pourtant ses proches. «Elle sait que cela paraît incompréhensible, soulignent ses avocats, M es Gilles-Jean et Renaud Portejoie. On pense : Comment peut-on ne pas se souvenir où on a enterré sa gamine. Elle l'explique par le traumatisme de la découverte de Fiona, la panique, ce cocktail de stupéfiants, la peur de perdre ses autres enfants... Elle y aurait intérêt mais n'y parvient vraiment pas.»
L'absence de corps nourrit les fantasmes. Durant l'enquête, les allégations d'une cinquantaine de radiesthésistes - dont celles de la fameuse Julieta, découvre-t-on à l'audience - ont été vérifiées par les policiers, rappelle M e Marie Grimaud, avocate d'une des associations parties civiles au dossier. La quête de la sépulture fantôme conduit même de simples citoyens, connectés sur les réseaux sociaux, à se retrouver régulièrement pour des recherches. Or la zone délimitée à l'époque par les policiers pour les opérations de recherche s'étend sur 300 km2.
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En décembre, la pseudo-découverte d'une promeneuse près d'Aydat a suscité l'émoi : un sac d'ossements, qui se sont révélés être ceux d'un animal. Quant à la médium surgie aux assises, elle n'a pas renoncé : sur la page Facebook de Julieta figure un montage audio censé rendre compte d'une récente «tentative de communication avec Fiona» en juin...
Les dates clés de l'affaire
12 mai 2013. Cécile Bourgeon, 25 ans, signale la disparition de sa fille Fiona, 5 ans, au parc Montjuzet de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme). De vaines recherches sont lancées.
24 septembre 2013. La mère de Fiona et son compagnon, Berkane Makhlouf, 32 ans, avouent avoir menti. Le couple dit avoir découvert l'enfant sans vie dans son lit le 12 mai et l'avoir enterré sur les hauteurs de Clermont-Ferrand. Ils s'accuseront mutuellement de coups sur l'enfant.
14-26 novembre 2016. Berkane Makhlouf est condamné à vingt ans de réclusion pour « coups mortels aggravés » sur Fiona. Cécile Bourgeon écope de cinq ans de prison, notamment pour non-dénonciation de crime.
9-20 octobre 2017. Le procès en appel doit se tenir devant les assises de la Haute-Loire.
Source : Le Parisien
Peter Madsen
Après avoir prétendu avoir déposé sur la terre ferme la personne qui l'accompagnait dans son sous marin, il a fini par admettre qu'elle était décédée suite à un accident.... Sauf que le corps de Kim Wall a été dépecé.
...et maintenant, on se demande si Madsen n'a pas quelque chose à voir avec le meurtre d'une touriste japonaise en 1986. Le corps de cette dernière, âgée de 22 ans à l'époque, avait été retrouvé en mer, aux abords de Copenhague, décapité et amputé de ses membres, tout comme pour la journaliste suédoise. De troublantes similitudes. .... même si Madsen n'avait que 15 ans au moment des faits.
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...et maintenant, on se demande si Madsen n'a pas quelque chose à voir avec le meurtre d'une touriste japonaise en 1986. Le corps de cette dernière, âgée de 22 ans à l'époque, avait été retrouvé en mer, aux abords de Copenhague, décapité et amputé de ses membres, tout comme pour la journaliste suédoise. De troublantes similitudes. .... même si Madsen n'avait que 15 ans au moment des faits.
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La petite fille de Berck sur Mer
Elle avait abandonné sa fillette à la marée montante sur une plage de Berck : Fabienne Kabou, 40 ans, condamnée en première instance à 20 ans de réclusion criminelle, est jugée en appel à partir de vendredi pour assassinat devant les assises du Nord, à Douai.
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meurtre de Catherine Gardère.
En octobre 2014, Jérémy Tiberghien avait violé et battu à mort une femme qu'il venait de croiser. Il est jugé, à partir de ce lundi, par la cour d'assises de Charente-Maritime.
Le 2 octobre 2014 il a délaissé sa canne à pêche, rattrapé à petites foulées une randonneuse qu'il venait de croiser, avant de la violer et de la rouer de coups à l'ombre d'un sous-bois.
Trois pêcheurs et amis évoquent bien la présence, le long du canal, d'un « jeune homme d'environ 25 ans ». Mais cet autre pêcheur reste introuvable. Les gendarmes prélèvent de l'ADN en masse. L'enquête, elle, est au point mort. L'affaire rebondit par hasard le 18 novembre. Les services du FNAEG - fichier national automatisé des empreintes génétiques - établissent un rapprochement avec Jérémy Tiberghien. Le 6 octobre, quatre jours après le meurtre de Catherine Gardère, son ADN a été prélevé dans une autre affaire - des faits de violence sur une ancienne compagne remontant à 2012.
Jérémy Tiberghien avoue. Il a frappé, violé et frappé encore Catherine Gardère, avec les poings et les pieds, « sans savoir pourquoi ». Puis il a repris sa partie de pêche avant de rentrer chez lui, à Echillais, vers 17h30. Aux enquêteurs, son beau-père lâche : « Il préfère dissimuler la vérité plutôt que d'assumer ses actes. »
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Le 6 octobre, quatre jours après le meurtre de Catherine Gardère, son ADN a été prélevé dans une autre affaire - des faits de violence sur une ancienne compagne remontant à 2012.
Il aura donc fallu deux ans entre les faits de violence et le prélèvement ADN
Le 2 octobre 2014 il a délaissé sa canne à pêche, rattrapé à petites foulées une randonneuse qu'il venait de croiser, avant de la violer et de la rouer de coups à l'ombre d'un sous-bois.
Trois pêcheurs et amis évoquent bien la présence, le long du canal, d'un « jeune homme d'environ 25 ans ». Mais cet autre pêcheur reste introuvable. Les gendarmes prélèvent de l'ADN en masse. L'enquête, elle, est au point mort. L'affaire rebondit par hasard le 18 novembre. Les services du FNAEG - fichier national automatisé des empreintes génétiques - établissent un rapprochement avec Jérémy Tiberghien. Le 6 octobre, quatre jours après le meurtre de Catherine Gardère, son ADN a été prélevé dans une autre affaire - des faits de violence sur une ancienne compagne remontant à 2012.
Jérémy Tiberghien avoue. Il a frappé, violé et frappé encore Catherine Gardère, avec les poings et les pieds, « sans savoir pourquoi ». Puis il a repris sa partie de pêche avant de rentrer chez lui, à Echillais, vers 17h30. Aux enquêteurs, son beau-père lâche : « Il préfère dissimuler la vérité plutôt que d'assumer ses actes. »
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Le 6 octobre, quatre jours après le meurtre de Catherine Gardère, son ADN a été prélevé dans une autre affaire - des faits de violence sur une ancienne compagne remontant à 2012.
Il aura donc fallu deux ans entre les faits de violence et le prélèvement ADN
La petite fille de Berck sur Mer
Kassandra88 a écrit:Elle avait abandonné sa fillette à la marée montante sur une plage de Berck : Fabienne Kabou, 40 ans, condamnée en première instance à 20 ans de réclusion criminelle, est jugée en appel à partir de vendredi pour assassinat devant les assises du Nord, à Douai.
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Fabienne Kabou a t-elle prémédité son geste?
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Disparues de l'Yonne
Disparues de l'Yonne : l’émouvant hommage posthume au gendarme Jambert . Le responsable de la formation des gendarmes dans le Cantal a décidé placer sa nouvelle promotion sous le patronnage de Christian Jambert, l’enquêteur (aujourd’hui décédé) qui a permis de démasquer le tueur en série Emile Louis.
C'est un choix courageux. Mais assumé. Même revendiqué. Un capitaine de gendarmerie du Cantal, responsable de la formation d'officiers de police judiciaire, les enquêteurs compétents pour mener des investigations, a décidé de placer sa classe sous les auspices de l'adjudant-chef, Christian Jambert. Ce sous-officier est un mythe pour beaucoup d'enquêteurs criminels. Il est le gendarme qui avait identifié dès 1984, soit dix-sept ans avant son arrestation en décembre 2000, le tueur en série Emile Louis dit «le boucher de l'Yonne». Un prédateur, décédé en détention en 2013, et condamné à la réclusion à perpétuité pour avoir enlevé et tué entre 1977 et 1979 sept jeunes filles, dont certaines mineures ou vulnérables en raison de leur handicap, et toutes des enfants de la Ddass. Un militaire hors norme.
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C'est un choix courageux. Mais assumé. Même revendiqué. Un capitaine de gendarmerie du Cantal, responsable de la formation d'officiers de police judiciaire, les enquêteurs compétents pour mener des investigations, a décidé de placer sa classe sous les auspices de l'adjudant-chef, Christian Jambert. Ce sous-officier est un mythe pour beaucoup d'enquêteurs criminels. Il est le gendarme qui avait identifié dès 1984, soit dix-sept ans avant son arrestation en décembre 2000, le tueur en série Emile Louis dit «le boucher de l'Yonne». Un prédateur, décédé en détention en 2013, et condamné à la réclusion à perpétuité pour avoir enlevé et tué entre 1977 et 1979 sept jeunes filles, dont certaines mineures ou vulnérables en raison de leur handicap, et toutes des enfants de la Ddass. Un militaire hors norme.
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Re: Affaires élucidées.
Posté par Jacyntia
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un violeur de mineurs (garçons ou fillettes) et majeurs (ex concubine), le grele même genre de predateurs...?
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dont extrait: "" Enlevée sur le chemin de l'école.
Axel Maaziz, 33 ans, avait été mis en examen et placé en détention provisoire le 19 avril 2014, deux jours après avoir enlevé et séquestré une fillette de 7 ans qui rentrait chez elle après l'école à L'Argentière-la-Bessée, près de Briançon.
Il avait utilisé un pistolet à impulsion électrique pour l'immobiliser avant de l'embarquer dans une voiture. Mais elle avait ensuite réussi à prendre la fuite et prévenir les gendarmes.
L'accusé reconnaît avoir enlevé la fillette mais conteste avoir tenté de la tuer comme le soutient l'accusation en raison de traces de strangulation.""
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un violeur de mineurs (garçons ou fillettes) et majeurs (ex concubine), le grele même genre de predateurs...?
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dont extrait: "" Enlevée sur le chemin de l'école.
Axel Maaziz, 33 ans, avait été mis en examen et placé en détention provisoire le 19 avril 2014, deux jours après avoir enlevé et séquestré une fillette de 7 ans qui rentrait chez elle après l'école à L'Argentière-la-Bessée, près de Briançon.
Il avait utilisé un pistolet à impulsion électrique pour l'immobiliser avant de l'embarquer dans une voiture. Mais elle avait ensuite réussi à prendre la fuite et prévenir les gendarmes.
L'accusé reconnaît avoir enlevé la fillette mais conteste avoir tenté de la tuer comme le soutient l'accusation en raison de traces de strangulation.""
meurtre de Valentin Vermeesch
Valentin VERMEESCH, 18 ans :A-t-on voulu faire disparaître des traces du drame qui s’est déroulé dans l’immeuble où Valentin avait été torturé ?
un incendie, sans doute volontaire, s’est déclaré dans le bâtiment de la rue Oscar Lelarge où ont été commises les tortures envers Valentin.......Peu de doutes persistent sur l’origine de nature criminelle du sinistre. En effet, des traces d’accélérant ont été retrouvées et le feu a manifestement été bouté à différents endroits.
Les enquêteurs doivent cependant déterminer si l’incendie est bel et bien lié avec le drame qui s’est déroulé quelques mois auparavant au même endroit.
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un incendie, sans doute volontaire, s’est déclaré dans le bâtiment de la rue Oscar Lelarge où ont été commises les tortures envers Valentin.......Peu de doutes persistent sur l’origine de nature criminelle du sinistre. En effet, des traces d’accélérant ont été retrouvées et le feu a manifestement été bouté à différents endroits.
Les enquêteurs doivent cependant déterminer si l’incendie est bel et bien lié avec le drame qui s’est déroulé quelques mois auparavant au même endroit.
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Tueur en série : le grêlé. :: AFFAIRES EN COURS :: AFFAIRES RÉSOLUES .... ou presque
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