Affaires non élucidées II
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Tueur en série : le grêlé. :: AFFAIRES EN COURS :: NON ÉLUCIDÉ
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Re: Affaires non élucidées II
Très intéressant ce reportage, des similitudes avec ce qui est arrivé à Axel, qui quitte le bar seul, laissant son manteau, vers une zone déserte.
NOLFF Alice
Re: Affaires non élucidées II
Je suis d'accord pour dire que quelque chose ne tourne pas rond dans certaines de ces affaires irrationnelles …
Lorsque j'avais vu la vidéo de Karl Zéro je m'étais demandé si un fil était consacré à ces affaires que l'on cherche à élucider en accident ou suicide alors qu'à l'évidence le comportement des victimes est plutôt celui de personnes se retrouvant brutalement dans un état anormal qui ne s'apparente pas tant à l'excès de boisson qu'à l'absorption d'une substance les shoutant hors de la réalité (en mode parano parfois) voire les privant de volonté, d'orientation et de tout réflexe normal de survie.
Il me semble que les familles devraient se regrouper pour mieux alerter sur ce phénomène et obliger les autorités à enquêter de plus près sur de tels comportements et effets qu'il me semble tout à fait ridicule d'attribuer à quelque chose de connu.
Qu'en est il des analyses réalisées pendant les autopsies sur la recherche de produits toxiques pouvant produire de tels effets. C'est effrayant que les familles soient ainsi maintenues dans l'omerta totale.
Lorsque j'avais vu la vidéo de Karl Zéro je m'étais demandé si un fil était consacré à ces affaires que l'on cherche à élucider en accident ou suicide alors qu'à l'évidence le comportement des victimes est plutôt celui de personnes se retrouvant brutalement dans un état anormal qui ne s'apparente pas tant à l'excès de boisson qu'à l'absorption d'une substance les shoutant hors de la réalité (en mode parano parfois) voire les privant de volonté, d'orientation et de tout réflexe normal de survie.
Il me semble que les familles devraient se regrouper pour mieux alerter sur ce phénomène et obliger les autorités à enquêter de plus près sur de tels comportements et effets qu'il me semble tout à fait ridicule d'attribuer à quelque chose de connu.
Qu'en est il des analyses réalisées pendant les autopsies sur la recherche de produits toxiques pouvant produire de tels effets. C'est effrayant que les familles soient ainsi maintenues dans l'omerta totale.
Sortcière
Re: Affaires non élucidées II
Nordine a écrit:La dernière vidéo d'Axel, un film sur les graffitis
J'ai l'impression que ces wagons sont dans la zone portuaire de Strasbourg, assez fréquentée par les graffeurs. En sortant du bar Alex se serait donc dirigé vers une zone qu'il connaissait mais çà ne change rien à l'étrangeté de son comportement.
Dans Rue 89 un article qui parlait de ce problème :
cf l'article de Guillaume Krempp publié le 03/12/2018
"À Strasbourg, la nuit craint les verres piégés au GHB
Témoignages spontanés, souvenirs (ou oublis) intrigants et petits changements à l’initiative d’établissements nocturnes… La crainte de se trouver avec son verre piégé à son insu par du GHB et ses dérivés, difficilement détectables, a été réactivée de manière visible ces derniers mois à Strasbourg. Les urgences et la police n’ont pourtant observé aucune recrudescence dans le même temps."
NOLFF Alice
Re: Affaires non élucidées II
[quote="Sortcière"] Je suis d'accord pour dire que quelque chose ne tourne pas rond dans certaines de ces affaires irrationnelles …
Lorsque j'avais vu la vidéo de Karl Zéro je m'étais demandé si un fil était consacré à ces affaires que l'on cherche à élucider en accident ou suicide alors qu'à l'évidence le comportement des victimes est plutôt celui de personnes se retrouvant brutalement dans un état anormal qui ne s'apparente pas tant à l'excès de boisson qu'à l'absorption d'une substance les shoutant hors de la réalité (en mode parano parfois) voire les privant de volonté, d'orientation et de tout réflexe normal de survie.
Il me semble que les familles devraient se regrouper pour mieux alerter sur ce phénomène et obliger les autorités à enquêter de plus près sur de tels comportements et effets qu'il me semble tout à fait ridicule d'attribuer à quelque chose de connu.
Qu'en est il des analyses réalisées pendant les autopsies sur la recherche de produits toxiques pouvant produire de tels effets. C'est effrayant que les familles soient ainsi maintenues dans l'omerta totale. [/quote="Sortcière"]
Quelques réponses à la question du dépistage
trouvé sur le site [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Le GHB nourrit nombre de fantasmes dans le petit monde de l’analyse toxicologique. Il a la réputation d’être indétectable dans le sang et dans les urines. C’est en partie vrai.
La demi-vie du GHB est en effet de 30 à 50 minutes, soit encore moins que la durée de ses effets. Tout au plus, les traces de GHB ne resteront détectables dans le sang et dans les urines que 6 à 12 heures (12H dans les urines et 6H dans le sang). Il sera ensuite dégradé en dioxyde de carbone. Il est dès lors très rare de pouvoir le détecter via une analyse en laboratoire de type GC/MS. Pour ce faire, il faudrait que l’échantillon de sang ou d’urines soit prélevé dans les quelques heures qui suivent la consommation.
Pourquoi n’existe-t-il pas de test rapide de dépistage du GHB dans les urines et la salive ?
Plusieurs éléments de réponse :
1) Car les traces de GHB sont très vite éliminées par l’organisme. L’intérêt de ces tests rapides s’en trouve de facto limité au vu de ce qu’ils sont censés pouvoir déterminer, à savoir si la personne a consommé du GHB dernièrement (intérêt du test urinaire) ou si elle est encore sous l’influence du GHB (intérêt du test salivaire).
2) Le GHB ne se métabolise en aucune molécule caractéristique et pérenne dans l’organisme. Lors d’une analyse de GHB, la seule chose que l’on puisse dépister est le GHB dont nous savons qu’il disparaît en quelques heures. Il est donc impossible de rendre compte d’une consommation de GHB en détectant l’un de ses métabolites plus stable, comme c’est le cas avec la cocaïne et son métabolite, la benzoylecgonine.
3) Car l’organisme sécrète en continu du GHB de manière naturelle. Il s’agit du GHB endogène qui est présent dans l’organisme en faibles quantités. La concentration de GHB induite par une consommation du sédatif correspond quant à elle au GHB exogène. Il est alors tout bonnement impossible pour un test rapide de faire le distinguo entre GHB endogène et exogène, sauf à relever le seuil de détection de l’anticorps du GHB (qui n’a jamais été développé), avec le risque inhérent de ne plus pouvoir identifier quoi ce soit deux à trois heures après la consommation (volontaire ou non).
4) Enfin, car la communauté scientifique et les fabricants de tests ne voient pas dans ce lourd effort en R&D un juste retour sur investissement. Le GHB consommé à des fins récréative reste largement méconnu et est toujours considéré comme un épiphénomène.
Existe-t-il un moyen fiable de dépister le GHB exogène ?
Oui, une solution existe, celle de l’analyse capillaire. Pour le moment, seuls quelques labos à la pointe de la technologie sont à mêmes de réaliser cette analyse.
Rappelons ici que les cheveux poussent en moyenne d’un cm par mois. Généralement, les laboratoires d’analyse exigent une petite mèche d’au moins 3 cm de long. Ils peuvent alors remonter l’historique de consommation jusqu’à 3 mois.
Vous me demanderez alors qu’elle est leur méthode pour faire la différence entre le GHB endogène (sécrété naturellement) et exogène (du à une consommation de GHB). La réponse de ne va pas de soi. Pour ce faire, ils découpent les cheveux en petits segments de 3mm de long (3mm = 10 jours) et analysent chaque segment dont ils comparent la concentration en GHB par rapport au segment précédent. Si, par exemple, il y a eu consommation de GHB il y 5 semaines, l’analyse le révèlera en observant l’augmentation abrupte de la concentration en GHB par rapport aux semaines précédentes et suivantes.
Non seulement cette technique est la seule à pouvoir mettre en évidence la présence de GHB exogène, mais elle permet également d’établir une datation à plus ou moins 10 jours près de la consommation. Cette analyse est précieuse et est notamment utilisée par la Justice de certains pays pour confirmer ou infirmer des cas d’actes criminels par soumissions chimiques. Il est toutefois à déplorer que cette analyse reste marginale et inconnue en France.
Seul bémol, cette analyse est excessivement onéreuse et difficile d’accès pour les particuliers. D’ailleurs, la plupart de ces analyses sont réalisées à la demande d’un juge, dans le cadre d’une affaire judiciaire.
Lorsque j'avais vu la vidéo de Karl Zéro je m'étais demandé si un fil était consacré à ces affaires que l'on cherche à élucider en accident ou suicide alors qu'à l'évidence le comportement des victimes est plutôt celui de personnes se retrouvant brutalement dans un état anormal qui ne s'apparente pas tant à l'excès de boisson qu'à l'absorption d'une substance les shoutant hors de la réalité (en mode parano parfois) voire les privant de volonté, d'orientation et de tout réflexe normal de survie.
Il me semble que les familles devraient se regrouper pour mieux alerter sur ce phénomène et obliger les autorités à enquêter de plus près sur de tels comportements et effets qu'il me semble tout à fait ridicule d'attribuer à quelque chose de connu.
Qu'en est il des analyses réalisées pendant les autopsies sur la recherche de produits toxiques pouvant produire de tels effets. C'est effrayant que les familles soient ainsi maintenues dans l'omerta totale. [/quote="Sortcière"]
Quelques réponses à la question du dépistage
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Le GHB nourrit nombre de fantasmes dans le petit monde de l’analyse toxicologique. Il a la réputation d’être indétectable dans le sang et dans les urines. C’est en partie vrai.
La demi-vie du GHB est en effet de 30 à 50 minutes, soit encore moins que la durée de ses effets. Tout au plus, les traces de GHB ne resteront détectables dans le sang et dans les urines que 6 à 12 heures (12H dans les urines et 6H dans le sang). Il sera ensuite dégradé en dioxyde de carbone. Il est dès lors très rare de pouvoir le détecter via une analyse en laboratoire de type GC/MS. Pour ce faire, il faudrait que l’échantillon de sang ou d’urines soit prélevé dans les quelques heures qui suivent la consommation.
Pourquoi n’existe-t-il pas de test rapide de dépistage du GHB dans les urines et la salive ?
Plusieurs éléments de réponse :
1) Car les traces de GHB sont très vite éliminées par l’organisme. L’intérêt de ces tests rapides s’en trouve de facto limité au vu de ce qu’ils sont censés pouvoir déterminer, à savoir si la personne a consommé du GHB dernièrement (intérêt du test urinaire) ou si elle est encore sous l’influence du GHB (intérêt du test salivaire).
2) Le GHB ne se métabolise en aucune molécule caractéristique et pérenne dans l’organisme. Lors d’une analyse de GHB, la seule chose que l’on puisse dépister est le GHB dont nous savons qu’il disparaît en quelques heures. Il est donc impossible de rendre compte d’une consommation de GHB en détectant l’un de ses métabolites plus stable, comme c’est le cas avec la cocaïne et son métabolite, la benzoylecgonine.
3) Car l’organisme sécrète en continu du GHB de manière naturelle. Il s’agit du GHB endogène qui est présent dans l’organisme en faibles quantités. La concentration de GHB induite par une consommation du sédatif correspond quant à elle au GHB exogène. Il est alors tout bonnement impossible pour un test rapide de faire le distinguo entre GHB endogène et exogène, sauf à relever le seuil de détection de l’anticorps du GHB (qui n’a jamais été développé), avec le risque inhérent de ne plus pouvoir identifier quoi ce soit deux à trois heures après la consommation (volontaire ou non).
4) Enfin, car la communauté scientifique et les fabricants de tests ne voient pas dans ce lourd effort en R&D un juste retour sur investissement. Le GHB consommé à des fins récréative reste largement méconnu et est toujours considéré comme un épiphénomène.
Existe-t-il un moyen fiable de dépister le GHB exogène ?
Oui, une solution existe, celle de l’analyse capillaire. Pour le moment, seuls quelques labos à la pointe de la technologie sont à mêmes de réaliser cette analyse.
Rappelons ici que les cheveux poussent en moyenne d’un cm par mois. Généralement, les laboratoires d’analyse exigent une petite mèche d’au moins 3 cm de long. Ils peuvent alors remonter l’historique de consommation jusqu’à 3 mois.
Vous me demanderez alors qu’elle est leur méthode pour faire la différence entre le GHB endogène (sécrété naturellement) et exogène (du à une consommation de GHB). La réponse de ne va pas de soi. Pour ce faire, ils découpent les cheveux en petits segments de 3mm de long (3mm = 10 jours) et analysent chaque segment dont ils comparent la concentration en GHB par rapport au segment précédent. Si, par exemple, il y a eu consommation de GHB il y 5 semaines, l’analyse le révèlera en observant l’augmentation abrupte de la concentration en GHB par rapport aux semaines précédentes et suivantes.
Non seulement cette technique est la seule à pouvoir mettre en évidence la présence de GHB exogène, mais elle permet également d’établir une datation à plus ou moins 10 jours près de la consommation. Cette analyse est précieuse et est notamment utilisée par la Justice de certains pays pour confirmer ou infirmer des cas d’actes criminels par soumissions chimiques. Il est toutefois à déplorer que cette analyse reste marginale et inconnue en France.
Seul bémol, cette analyse est excessivement onéreuse et difficile d’accès pour les particuliers. D’ailleurs, la plupart de ces analyses sont réalisées à la demande d’un juge, dans le cadre d’une affaire judiciaire.
NOLFF Alice
Re: Affaires non élucidées II
Apparemment il n'y a pas que les verres piégés mais une véritable consommation de ce produit … avec un réel danger en cas de consommation concomitante d'alcool.
Je trouve toutefois que les comportements observés lors de certaines disparitions inquiétantes ne correspondent pas aux effets décrits du GHB, d'autant qu'il y a aussi consommation d'alcool.
Il doit donc exister d'autres produits ...
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Je trouve toutefois que les comportements observés lors de certaines disparitions inquiétantes ne correspondent pas aux effets décrits du GHB, d'autant qu'il y a aussi consommation d'alcool.
Il doit donc exister d'autres produits ...
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Sortcière
Re: Affaires non élucidées II
Merci Alice, c'est intéressant. Les autorités n'ont donc aucun intérêt à trop parler du problème dans la mesure où il est peu gérable quant aux moyens de détection et leur coût.
Sortcière
Re: Affaires non élucidées II
En effet on peut le voir ainsi, mais restons optimistes,certains cherchent tout de même,
voici la réponse de Pierre, membre de la rédaction de Rue89 Strasbourg :
Bonjour. Nous cherchons des moyens d'objectiver ces bribes d'informations. Ce que nous suspectons, sans pouvoir le préciser ni le prouver à ce jour, c'est qu'il circule dans les substances psychotropes diffusées à Strasbourg et autour des produits dont l'intensité fait perdre le sens de l'orientation aux consommateurs, pendant plusieurs heures voire dizaine d'heures.
voici la réponse de Pierre, membre de la rédaction de Rue89 Strasbourg :
Bonjour. Nous cherchons des moyens d'objectiver ces bribes d'informations. Ce que nous suspectons, sans pouvoir le préciser ni le prouver à ce jour, c'est qu'il circule dans les substances psychotropes diffusées à Strasbourg et autour des produits dont l'intensité fait perdre le sens de l'orientation aux consommateurs, pendant plusieurs heures voire dizaine d'heures.
NOLFF Alice
Re: Affaires non élucidées II
Merci Alice pour ces explications.
Je m'étais intéressée à la disparition de Vincent Z.cca et m'étais demandé si on ne lui avait pas fait prendre de la kétamine, drogue qui circule également.
Je m'étais intéressée à la disparition de Vincent Z.cca et m'étais demandé si on ne lui avait pas fait prendre de la kétamine, drogue qui circule également.
Re: Affaires non élucidées II
Les victimes semblent ressentir de gros coups de chaleur … (blousons et affaires personnelles abandonnés alors que la température extérieure ne le justifie pas) et il y a des réflexes de fuite vers l'eau ou pour trouver de l'eau.
Sortcière
Re: Affaires non élucidées II
Sortcière a écrit:Les victimes semblent ressentir de gros coups de chaleur … (blousons et affaires personnelles abandonnés alors que la température extérieure ne le justifie pas) et il y a des réflexes de fuite vers l'eau ou pour trouver de l'eau.
En tout état de cause , si l'eau était un besoin impérieux, pourquoi ne pas se précipiter aux sanitaires ?
Étaient ils disponibles ?
Si oui , alors pourquoi fuir ?
Il faudrait lister tous les etablissements concernés par ces comportements étranges
Gigas
Re: Affaires non élucidées II
Bonjour Gigas, bonjour à tous,
J'avais ouvert un fil "les noyés de la Deule" dans la rubrique "affaires résolues ou presque"
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Je viens de la rebaptiser "les noyés de la Deule et les autres". Vous pouvez y mettre vos commentaires si vous le souhaitez.
Meilleurs voeux.
J'avais ouvert un fil "les noyés de la Deule" dans la rubrique "affaires résolues ou presque"
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Je viens de la rebaptiser "les noyés de la Deule et les autres". Vous pouvez y mettre vos commentaires si vous le souhaitez.
Meilleurs voeux.
Re: Affaires non élucidées II
est une volupté de fin gourmet." -
G. COURTELINE
ruth
Re: Affaires non élucidées II
Issoire
J'avais vu cette info.Nordine a écrit:Des restes humains retrouvés par un plombier dans une canalisation à Issoire (Puy de Dôme)
Un homme de 45 ans porté disparu. l'IRCGN est sur place.
Samedi, le parquet a indiqué qu’il ne communiquerait qu’en début de semaine sur cette affaire.
Ma première réaction a été de penser à Antoine ... avant de réaliser que ce n'était pas le corps d'un enfant.
Issoire
On sait désormais qui est la victime et qui est l'auteur présumé:Nordine a écrit:Kassandra88 a écrit:
J'avais vu cette info.
Ma première réaction a été de penser à Antoine ... avant de réaliser que ce n'était pas le corps d'un enfant.
Des tests ADN sont en cours sur les fragments récupérés.
Qui que ce soit, c'est affreux.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Oui, c'est affreux.
Re: Affaires non élucidées II
Ces crimes restent des mystères.
Sont rappelées aussi des affaires qui ont bouleversé une région entière, comme les disparitions de la petite Marion, à Agen, et celle de Valérie, en 1982, à Laluque, dans les Landes.[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Re: Affaires non élucidées II
Bonjour,
Un inédit de l'émission Non Elucidé a été diffusé hier soir sur RMC Story : l'affaire Michèle LAFORGE
Le 13 décembre 2011, Hervé Laforge, un vétérinaire parisien, est très inquiet de ne pas parvenir à joindre son épouse. Il rentre rapidement à leur appartement du XVe arrondissement, où il découvre le corps de sa femme gisant dans la baignoire. A moitié dévêtue, Michèle Laforge, 62 ans, tient dans la main un sèche-cheveux encore branché. Tout laisse à croire qu'elle s'est électrocutée. Mais s'agit-il d'un accident domestique ou d'un suicide ?
Bande annonce :
En espérant que le replay soit disponible bientôt, je n'ai pu suivre que la moitié de l'émission hier soir mais c'était déjà très intéressant.
Il sera normalement possible de visualiser le replay sur ce lien : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Un inédit de l'émission Non Elucidé a été diffusé hier soir sur RMC Story : l'affaire Michèle LAFORGE
Le 13 décembre 2011, Hervé Laforge, un vétérinaire parisien, est très inquiet de ne pas parvenir à joindre son épouse. Il rentre rapidement à leur appartement du XVe arrondissement, où il découvre le corps de sa femme gisant dans la baignoire. A moitié dévêtue, Michèle Laforge, 62 ans, tient dans la main un sèche-cheveux encore branché. Tout laisse à croire qu'elle s'est électrocutée. Mais s'agit-il d'un accident domestique ou d'un suicide ?
Bande annonce :
En espérant que le replay soit disponible bientôt, je n'ai pu suivre que la moitié de l'émission hier soir mais c'était déjà très intéressant.
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